idiots. (hakan)

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crédit/ tumblr ✰ w/@Hakan Ivanenko

le cou trempé de sueur, tu te l'éponges avec ta serviette que tu viens de ramasser sur le banc en bois. légèrement essoufflée, il est temps de faire une pause. d'un geste de la main rapide à ton professeur, tu lui signales que tu la prends finalement cette pause. de toute façon, ton cours privé vient de terminer. t'as besoin de prendre l'air, de décompresser un petit peu. et surtout de boire. mais t'as aussi bien le besoin de rester un peu plus, d'aller frapper sur un de ses sacs. vaut mieux ça plutôt que de frapper sur quelqu'un. quoi que, ça te plairait rien. surtout à voir ses deux gars plus loin s'entraînaient sur le ring. ta bouteille vide à la main, tu te retournes pour traverser la grande salle en direction des distributeurs de boissons, de barres et fontaines. t'ignores les regards sur toi alors que tu passes entre les machines. tu t'évertues à choisir une salle où quasiment que des mecs viennent ici. sans aucune doute parce que tu sais que le meilleur professeur est ici. que ce mec t'épargnera pas, qu'il t'apprendra ce qu'il faut. pour te protéger, s'il faut. si ça arrive une seconde fois. combien de chance pour ? t'en as aucune idée mais ça peut arriver. déjà la première fois, combien avais-tu de chance de te faire enlever par les talibans ? si c'est arrivé une fois, t'es pas à l'abris. surtout parce que tu comptes pas arrêter ce que tu fais. voilà donc pourquoi t'es là. parce que tom est le meilleur. t'ignores donc tous ces mecs qui te lorgnent, tes militaires, des ex, des boxeurs et tout un tas d'autres genres. si, y a quand même deux trois filles plus loin qui s'entraînent mais la sexe masculin s'impose ici. Ta bouteille à présent remplie à la fontaine, tu te retournes bien trop vite et ne fais littéralement pas attention, tu fonces dans un torse. "Oh pardon !"  ton front contre les pectoraux trop durs, légèrement humide. ta bouteille pas encore refermée se déverse entre vous, sur vous. t'es confuse alors que tes réflexes te manquent pour rattraper la bouteille afin d'éviter de vous faire passer pour deux personnes revenant d'un saut dans la piscine. tu relèves la tête vers l'homme, grimace mélangée à un sourire, que tu perds rapidement en voyant l'homme contre qui tu viens de buter. c'est pas vrai ? qu'est-ce qu'il fout là ?

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crédit/ tumblr ✰ w/@Kára Saab

C’était ton moment où tu oublier tout le reste. Tu oubliais tes putains de casseroles que tu traînais et ces démon qui te hantais mais que tu étouffais car, rien ne se mettrais au travers de ton succès. Rien pas même toi. Le sport c’était bien la seule chose qui te permettais d’extériorisé toute cette rage refoulé celle qui autrefois ce laisser sur le champ de bataille. Aujourd’hui, le sport faisait le reste du travail. Tu y relâcher le stress de ton quotidien un stress que tu affectionnais mais, qi avait besoin d’être mis de côté pour avancer sainement. Putain d’égoïste mais, tu venais de trop loin pour retourner à la case départ. Alors, si tout ne tenais qu’à quelques heures passer à te défouler contre un sac et quelques machines de musculation tu t’y plierais. Puis, tu ne te gênais pas non plus pour laisser tes yeux se faire plaisir sur de charmantes créatures qui ne s’offusquais pas quand c’était quelqu’un comme toi qui leurs faisait du rentre dedans. On donnerait tout à quelqu’un de beau. Triste reflet de la société mais, foutu réalité. Peut-être d’ailleurs que tu étais trop concentré sur la nana qui te faisais de l’œil sur les tapis de course ou peut-être que tu en fis exprès quand tu accueilli se corps aux courbes délicieuses contre le tiens. Finalement tu te laisses prendre de surprise. Elle. Qui laisser comme un putain de goût amer dans le fond de ton palais. La fille Saab ou celle que tu aurais bien laissé là-bas pour tous ces foutu imprudent de reporter  « Mais qu’elle désagréable surprise ! » sarcasme sans pareil alors que tes yeux se poses dans les siens avec un sourire des plus charmeur. « Une invitation à prendre une douche ensemble ?! » Le sarcasme dans toute sa splendeur. Peut-être bien la dernière personne que tu avais envie de voir et pourtant la voilà ramener sur ton chemin des plus paisible. C’était ton putain de moment de quiétude et il fallait que l’ironie du foutu destin te revienne en pleine face. Surement presque content de voir qu’elle était aussi peu ravie d’être tombé sur toi et tu comptais bien rendre cette rencontre inopportune encore moins agréable pour la beauté brune. « Toujours aussi peu douée à ce que je voie… vous savez le sport ne vas pas vous aidez à vous donner de la tenue, il y a des cas qui sont désespérer malgré tous les efforts du monde ! » Connard oui, mais, on ne te changerait pas et tu te ravisais presque d’avance de l’entendre répliquer. De la voir te fusiller du regard ou du moins essayer désespérément.

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sa voix désagréable t'arrive aux oreilles en même temps que tes yeux remontent sur son visage. oh bon sang, pas toi. t'as presque envie de lui grogner mais tu gardes la bouche fermée. t'es aussi tentée de prendre une grande inspiration et de pousser une grosse expiration pour lui montrer à quel point ouais, quelle désagréable surprise. non mais quel connard. évidemment, l'homme face à toi n'a pas vraiment la voix désagréable. il est juste tellement insupportable que tout t'insupporte chez lui. jusqu'à sa coupe de cheveux. non mais regardez-le, même transpirant, même après une séance de sport, monsieur est impeccable. tu recules d'un pas, t'assurant que ton corps ne touche plus sien, ni même que ses sales pattes puissent encore se posaient sur tes hanches. c'est qu'il en a profité en plus ce con, alors qu'il t'a rattrapé lorsque vous vous êtes rentrés dedans. "t'es vraiment écœurant, Ivanenko."  tu le fusilles du regard, les yeux orageux, la petite grimace sur tes lèvres bien trop pulpeuses. t'es bien tentée de lui déverser le reste de ta bouteille à la tête, pour lui donner sa douche, pour lui remettre ses idées au clair. finalement, tu le pousses ton soupir. exaspéré par son comportement. arrg, j'ai envie de tuer, Hakan Ivanenko. à vrai dire, t'as jamais su pourquoi il est comme cela avec toi. pourquoi tu l'énerves à ce point. enfin, si tu sais que c'est parce qu'il a dû venir sauver ta peau.. mais tout de même. t'as pas voulu être enlevée, séquestrée et battue. t'as pas eu envie de perdre ton mari dans la bataille. "jvois que tu as toujours autant de tact, un putain d'ego surdimensionné et t'es toujours aussi con. c'est impressionnant les cas désespérés qu'il y a dans ce monde..." t'as une petite moue sur tes lèvres, hochant légèrement la tête. tu perds pas de temps avec son baratin, avec son vous absolument pas poli comme le voudrait la règle. tu sais qu'il le fait exprès. qu'il n'est qu'un abruti fini. parfois tu te demandes si les balles qu'il a prise ne lui ont pas non plus retiré quelques neurones en moins. s'il en a eu un jour.

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crédit/ tumblr ✰ w/@Kára Saab

Une bien désagréable surprise qui se glisse contre ton corps par pure maladresse. T’es pas du genre à les repousser les créatures qui se glissent contre toi-même quand elle t’insupporte. Tu ne dis jamais non au corps d’une femme aux courbes divines. Tu prendrais même un malin plaisir à t’éternisé tes mains sur ces hanches juste pas ce que c’est elle. Juste car tu veux te délecter de sa réaction qui ne tarde pas à venir. A t’en faire échapper un léger rire. Elle te repousse après un temps d’arrêt ces mots qui viennent complaire tes oreilles. Rien qu’elle ne dise ne t’atteint. Rien qu’elle puisse pensée ne pourras un jour te toucher tu te dis. « Te voile pas la face chérie !! T’en auras jamais assez de moi ! » Sourire en coin et un putain d’air suffisant calé sur ton visage. Oui, tu t’étais décidé à en rajouter une couche comme pour lui faire payer d’être venu secouer ta tranquillité. Elle tombé toujours au mauvais moment. Toujours à se foutre dans tes pâtes pour te rendre la vie impossible. Une vraie punaise. Sexy mais, insupportable. Elle pensait savoir mieux que tout le monde voilà pourquoi tu les détesté tous c’est abruti de reporter. Elle parlait encore et toujours pour rien en finalité. Usage de salive inutile. Gaspillage de ton temps. Alors, tu te décidas à gaspiller le siens. « … et tu sais quoi ?!... Je vie très bien avec. Moi et mon égo surdimensionné on a rien de désespéré alors tu veux, garde ton énergie pour dire des trucs intéressant la prochaine fois ! » Tu la regarde d’un calme olympien malgré ton envie de la faire taire de ta main enserrant sa mâchoire pour la fermer. Elle t’insupporte la belle. Elle serait bien plus intéressante si elle ne l’ouvrait pas en permanence pour juger. Tu ne prétendais pas être quelqu’un de bien mais, elle ne connaissait rien de ce que tu étais. Le ressentiment étais grand mais, l’envie de l’insupportais bien plus était bien trop tentante. Tu tendais la baguette, elle plongé et cela ravisais ton moi profond.

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alors qu'il est canon, il te dégoûte. il te dégoûte. il te dégoûte. c'est con, c'est que tu te dis. quel gâchis, un terrible gâchis. son caractère gâche tout. tu n'arrives pas à le comprendre et tu penses que tu ne le comprendras jamais. tu sais, tu comprends, ce qu'est la vie de soldat. ce qu'est la vie d'un mec qui se bat contre des hommes qui n'ont rien à perdre en face. tu sais ce que peut avoir comme impact sur ta vie les aléas de la vie. t'es plutôt conciliante comme femme. t'es plutôt là à chercher où il faut pour tenter de trouver au moins un bon côté des choses. mais là, alors que t'as tes yeux posés sur lui, t'as beau cherché, y a rien. rien qu'un mec qui t'horripile, avec ses airs de machos, avec son comportement de dieu du stade. "même le peu que jsais de toi, ça me donne envie de vomir ivanenko." ton regard figé, ton faciès qui n'a envie de rien montrer comme s'il ne te faisait rien, comme s'il son existence ne te faisait ni chaud ni froid. tes yeux que tu lèves au ciel, t'as un soupir tandis que tu commences à le retourner. "t'as quel âge franchement ? vas faire ton numéro de charme minable ailleurs. il y en a qui ont des choses à faire plus intéressantes ici." t'as envie de mettre fin à cette discussion, à mettre une bonne distance entre lui et toi, à faire semblant que cette rencontre n'était qu'une petite parenthèse dans ta vie. une mauvaise parenthèse. tu crois réellement que toute les balles qu'il a pris, en plus du son horrible de la guerre lui ont fait perdre quelques neurones en plus. déjà qu'à ton avis, il n'en n'avait déjà pas beaucoup de naissance. tu comprenais absolument pas pourquoi dakota était ami avec ce genre de mec, ni comment il faisait pour le supporter. tu savais qu'ils étaient amis d'enfance mais tout de même. quel connard ce mec. tu le bouscules de ton épaule pour passer.

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Il t’en faut peu pour t’amuser finalement. Pour tourner une situation qui te tape sur le système en quelque chose de presque plaisant. Savoir que tu l’irrites autant qu’elle t’énerve suffit à refaire ta journée. « C’est minions, je t’inspire tellement que tu en vomirais… c’est trop d’honneur vas !! » tes yeux accrocher au siens avec une arrogance feinte. Tu ne le montre pas mais, elle te pique et même si tu le cherches bien ça te fait quelque chose. Vas savoir pourquoi, pas comme si tu n’assumais pas d’être un connard finit. Rare était les personnes qui pensaient le contraire et en même temps rare étaient les personnes à qui tu t’ouvrais vraiment. La fille Saab était d’ailleurs bien la dernière à qui tu voulais t’ouvrir. Elle ne méritait clairement pas ta personne et elle avait encore moins mérité d’être sauvée. Non, tu ne souhaitais la mort de personne mais, tu ne comprenais pas qu’on débourse autant d’argent et de moyen pour sauver des gens qui se sont mis dans la merde seul. Lui rendre ne serait-ce qu’une seconde de sa vie impossible était la moindre des choses selon toi. T’étais un abruti mais, tu l’assumais. « Parce que tu crois que j’essaie de te charmer ?! Ne faut pas prendre ces rêves pour une réalité chérie !! » Que tu lances le petit rire qui s’échappes d’entre tes lèvres qui vas bien. Oui, tu en rajoutes et cela à l’effet escompter. Fier de toi tu la regarde râler silencieusement et se faire la malle dans la précipitation. Tout pour te satisfaire. Tu t’amuses de sa réaction alors qu’elle tourne les talons, alors qu’elle en redemanderait. « Tu te l’as joue Cendrillon maintenant, c’est un signe… ta serviette, et les douches c’est de l’autre côté !! » que tu lances toujours avec le même air charmeur à lui en faire arracher ses cheveux. Sa serviette sur le sol que tu prends la peine de ramasser. Connard mais gentleman. C’était un cercle vicieux. Oh, oui, elle te ressortait par les yeux la belle mais, tu t’amusais tellement à l’énerver. Tu étais assez masochiste pour la supporter un peu. Son air faussement outré, sa façon de te bousculer c’était grisant. Un, deux, trois… tu comptais combien de seconde elle allait mettre à faire demi-tour comme si de rien était. Ton sourire moqueur tendu sur tes lèvres, tu te délectais de la vision de la femme que tu voies même de dos se foutre de toi. Elle est drôle dans son genre.

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il te gonfle. il te sort totalement par les yeux. lui et son machisme. lui et ses grands airs de beaux gosses. pour qui il se prend sérieusement ? "je te pensais pas aussi con mais t'as dépassé mon barème. je le prendrais pas pour un honneur, si j'étais toi." regard qui accroche le sien. noir contre sa putain d'arrogance, regard orageux, t'es même tentée de lui envoyer une baigne dans le nez. t'as jamais compris pourquoi il réagissait ainsi avec toi. et l'excuse de risquer ses couilles pour te sauver n'est pas valable d'après toi. ni même qu'il ait pris une balle. c'est son foutu métier, pas le tien. il avait qu'à se protéger davantage ce con, mieux faire son job. dans une autre situation, avec une autre personne, tu t'en serais voulu que celle-ci ait pris un risque pour toi, qu'il se soit pris une balle. mais avec hakan, t'arrivais plus à pensée convenablement. et ses phrases toutes plus horripilantes les unes que les autres n'arrangeaient rien. t'allais le fracasser contre la fontaine derrière toi. "putain, j'espère bien que non. sentir ton regard pervers sur moi ?" tu finis pas ta phrase exprès, laissant clairement entendre que ça te dégoûte. même si au fond, t'es légèrement vexée. tu te dis cependant que tu préfères ne pas être du goût de cet homme, ne pas être rangée dans parmi les pimbêches nunuches à gros seins avec qui il sort. ou du moins avec qui il couche.  tu le contournes, un gros soupir exaspéré à l'encontre du militaire, tu t'arrêtes pas surtout pas de marcher quand il t'apostrophe. "si c'est une invitation ivanenko, va crever. salement. merci. " un doigt d'honneur par dessus ton épaules, tu roules des hanches dans ta démarche repartant d'où tu viens, vers un ring, à moitié trempée. enfoiré. t'as qu'une envie, c'est qu'il te laisse tranquille, qu'il passe son chemin. ou sinon, t'es capable de lui en foutre une. enfin une, depuis le temps que tu rêves de ça.

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Vous aviez bien un point commun, vous ne pouviez pas vous supporter. Peut-être que dans le fond vous n’aviez jamais fait l’effort de vous connaitre mais, à dire vraie tu n’avais aucune envie de perdre de ton temps pour ça. Tu te fié à ce que tu voyais et il n’y avait rien de bon qui en ressortais de tes analyses. Peut-être que tu été trop buté sur la foi ou tu as pris une balle pour elle. Ou tu as perdus des frères d’armes pour sauver des fichus reporter. Ta haine était surement démesurée mais, à tes yeux elle était belle et bien fondé. « Si tu n’arrives même plus à distinguer le sarcasme du reste c’est que t’es encore plus stupide que je le pensais. Que veux-tu, j’ai une tendance à surestimée les gens !! » Tu la regard l’air aussi mauvais qu’elle. Qu’elle continue à te piquer là où ça fait mal et elle allait finir par découvrir un Hankan qu’elle voudrait encore moins connaitre que le putain de rôle que tu lui sers à chaque fois que tu l’as croise. « Je préfère devenir aveugle ou entrer en abstinence totale que de laisses courir quoi que ce soit sur toi chérie !! » que tu lances l’air à demi mauvais. Regard suffisant et sourire en coin. Oui, tu l’as cherche, tu l’as pousse à bout. Tu t’en prendras peut-être une mais, tu étais prêt à tout encaissé dans la mesure où tu finirais toujours par gagner la partie. Oh, que oui, dans d’autre circonstance, si elle n’était pas si désastreusement elle, bien sûr que tu ne te serais pas gêné pour la mettre dans ton lit ou même partager une douche mais, elle rester elle. Insupportable. Toujours à en rajouter, à en faire un drame. A faire mine de s’éloigner comme si elle en avait fini avec toi mais, dans le fond, elle comme toi, vous saviez que ce n’était pas vraiment le cas. Toujours un mot pour rattraper l’autre et dans cette danse c’était toi qui guiderais jusqu’au bout. Qu’elle le veuille ou non « L’espoir fait vivre Saab. Fait ce que tu veux si tu aimes être mouillé, après tout c’est ton choix !! » La voix qui portes jusqu’à ces oreilles qui s’éloignes et tes yeux qui ne manque pas de s’éternisé sur ces courbes voluptueuse. La garce faut qu’elle soit tentante, tant de beauté gâchée par un esprit si ingrat. Ouais, t’étais un connard mais, à la différence c’est que toi, tu ne prétendais pas être parfait. Toi, tu t’étais battu pour ce que tu as aujourd’hui, elle, ce n’est qu’une de ces nana qui penses que tous leurs est dû. Bon vent.

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vos regards qui s'affrontent, vos mots qui se battent, tu ne sais réellement pas qui sortira vainqueur de cette nouvelle bataille. mais cque t'espères, c'est ressortir grande gagnante de cette guerre. t'en es certaine. et peut-être à tort. "c'est pour ça que tu me regardes comme si t'avais envie de me bouffer ivanenko ?" tu balances en levant tes sourcils de manière exagérée et en lui souriant faussement face à son air suffisant. tu passes pas par quatre chemins, il te met les nerfs à chaud. le sang en ébullition. s'il n'était pas lui, t'aurais pu imaginer que cela se passe ainsi. que vous vous retrouviez le temps de quelques instants dans les bras l'un de l'autre, que ton corps se mouve contre le sien dans le plaisir, dans le désir de la chaire. t'as envie de le bouffer oui. mais pas de cette façon là. t'as envie de le mordre pour lui faire mal. t'as envie de lui faire tout ce qu'on t'a fait subir dans cette petite pièce humide et sale. juste pour lui faire ravaler son air narquois, son air suffisant. te canalisant, tu préfères prendre sur toi et le contourner pour éviter de lui en foutre une, d'arriver dans les extrêmes. t'as pas aussi envie de te donner en spectacle plus encore. parce que votre échauffourée verbale a déjà fait tourner quelques têtes vers vous. ton doigt centrale par dessus ton épaule, tu lèves les yeux au ciel, grogne presque à sa répartie. il peut pas la fermer, sérieusement. alors dans la continuité de votre guerre, tu te retournes vers lui, te mettant à marcher à reculons. "mais évidemment, j'adore être mouillée. pas toi ? t'aimes pas les filles mouillées ?" tes mains que tu relèves légèrement pour désigner tes vêtements trempées qui révèlent bien plus qu'il ne faudrait. "t'es plus mec ? y a pas de problème.. oh.. j'ai compris. c'est pour ça que tu viens ici..." faux air de fille surprise et confuse qui vient de révéler un secret. son secret. t'insinues que monsieur vient se rincer l’œil dans cette salle dont la présence est majoritaire masculine. t'es une vraie gamine, tu le sais pour le coup et t'arranges rien avec ce petit clin d'oeil en mode, ça reste entre vous.

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crédit/ tumblr ✰ w/@Kára Saab

C’est un pain combat de coq. Une joute verbale sans fin au-delà de vos regards qui se jauge. Qui s’affronte dans le but de faire plier l’autre. Sauf que, vous saviez qu’aucun de vous deux n’étaient prêt à plier. Toujours à se renvoyer la balle. Sans fin. T’en regretterais presque ta première remarque acerbe car, maintenant pour t’en dépêtrais il te faudrait des heures. Quoi que la laisser en plan la bouche en cœur au beau milieu de la salle de sport était tout aussi tentant. « Même avec un sparadrap pour arrêter de t’entendre raconter des conneries je ne te toucherais pas ! Le jeu n’en vaut pas la chandelle !! » Mauvais. Jusqu’au bout elle t’en faisait perdre tes bonnes manières. Elle te cherchait, elle te trouverait. Bien sûr que le jeu devait en valoir la chandelle fallait être aveugle pour pas voir qu’elle donne envie mais, tout ce physique aguicheur était gâcher par sa stupide personnalité. C’était un cercle vicieux dans lequel vous vous étiez enfermés tous les deux. Un pic pour un autre et c’est qu’elle était douée la saloperie quand elle s’y mettait. De ces airs de miss parfaite elle en a de la répartie et cela te mettrais presque hors de toi. Elle ne de vrais pas être de taille. Elle ne devrait être rien du tout. C’était comme une épine sous ton pied. Une épine vicieusement bien placé si bien qu’on ne pouvait pas s’en dépêtré facilement. Tu étais persévérant à la tâche mais, elle te taper clairement sur le système. Elle te prenait à ton propre jeu. Tu le cherchais autant qu’elle le cherchait. « Merci de pointé mon charme irrésistible, tout le monde craque j’y peux rien moi !! » que tu balance à sa remarque qui tu ne te le caches pas ta piqué en plein dans ta fierté. La garce. T’avais rien contre l’amour homosexuel et ô combien de fois on t’avait fait des avance mais, tu ne jouais pas sur ce terrain. Elle le savait. Elle savait aussi que c’était ce genre de chose qui faisais tiqué les hommes, les attaquer sur leurs virilité. Avec toi, ça ne marcherais pas. Quoi qu’elle tente. Tu ne lui donneras cependant pas raison. Jamais. Trop de fierté pour t’avouer vaincu face à la brune. Peut-être que si elle n’avait pas été elle, peut-être que tu lui aurais accordé cette victoire ?! La Saab, tu ne lui donnerais pas se plaisir. Le dernier mot elle pouvait courir pour l’avoir.