may god have mercy on my enemies 'cause i wont ∆ (hakan)

(come from the bottom)/ Une mère qui donner de la vodka à son fils pour le faire taire ou qui préféré un bon fixe d’héroïne que d’entendre son gamin pleurer et qui payer les couches à coup de passe avec les hommes mariés du quartier sur le canapé miteux du salon pendant que bébé faisais sa sieste à côté. Elle est là ta putain de mère. Celle qui t’as mis au monde dans cet appartement du Queens sans savoir qui était le putain de connard qui l’avais foutu en cloque. T’étais qu’une épine de plus dans sa vie de raté et elle une boîte qui n’a servie qu’à ta venue au monde. Pas d’amour ou celui d’une femme qui pensais qu’un gamin pourrait l’aimé juste en lui apportant des barres de chocolat en guise de repas du soir. N’importe qui aurait pu mal finir avec une arrivé sur cette Terre aussi raté. Dans un trou à rat. Avec un peu de bon sens on peut se dire qu’on ne peut pas finir plus bas que ça, qu’on ne peut que grimper au sommet. L’ascension de la montagne fut pourtant aussi difficile que ton premier crie de bébé qui sortait tout juste du ventre de sa mère. Si ce n’était pas pour la voisine, tu aurais finit dans l’un de ces sac poubelle à faire la une des chaînes d’information. Un putain de déchet aux yeux de la personne qui étais censé t’aimé le plus au monde. Heureusement que tu n’as pas compté sur elle pour t’en sortir. Tu t’es fait tout seul… ou presque. T’es souvent là, à te dire que tu as plus tiré de ton père que de cette bonne femme pas capable d’autre chose que de vendre son corps pour se tuer à coup de substance illicite. Puis, tu te dis qu’il ne devait pas valoir cet homme qui avait besoin de se soulagé avec une nana défoncé. Avec le temps, tu as appris à t’en foutre et quand tu vas rendre visite à cette femme dans le lit de l’hospice que tu lui payes c’est comme un rappel de tout ce que tu aspires à ne pas être. (the musketeers)/ La légende dit que les mousquetaires étaient quatre alors, elle vous colle à la peau cette putain de légende. Une vraie histoire digne de ces drames hollywoodiens. Une résidence merdique du Queens effervescent et ces trois portes d’appartement qui refermer toutes des putain d’histoire à faire chialer dans les chaumières. Trois gars que tout auraient pu opposer et une fille dont la fragilité n’était que la douceur de son regard. Dakota, Arès, Hakan et Nova la sœur du premier. Les quatre et un pacte de toujours être là les uns pour les autres. A défaut d’avoir une famille entre un père violent et une mère défoncés à longueur de temps, il te fallait bien ça : des amis, des vraies. Une putain de famille qui t’avaient choisi et que tu avais choisie en retour. Accueilli à bras ouvert par une mère courage qui se battait pour ces enfants, sans la mère de Dakota et Nova surement que tu aurais finit aussi dépravé que la femme qui te servait de mère. Surement qu’Arès serait mort sous les coups de son sadique de père. C’étaient comme le pacte que vous vous en sortiraient tous ensemble de se merdier qu’était vos vies. Tout n’étaient pas si noir dans le fond. Il y en a eu des bon moments, les quatre cents coups mémorable mais, la chienne de vie vous à rattraper. Une piqure de rappel comme pour vous dire que votre place était dans les bas-fonds. Un peu comme les coups de poing que vous receviez du salaud de père d’Arès mais, en pire. En bien pire. Une foutue maladie qui s’attaquer au cœur de votre douceur à vous. Nova qui sans les liens du sang était comme même ta sœur. Comme le coup de trop et celui où vous aviez décidé de faire un putain de bras d’honneur à votre foutu destin. Un Non qui venait du cœur pour dire que vous vous en sortiriez quitte à vous salir les mains. Une idée stupide lancer à la volé et qui pourtant, même avec le recul serait à refaire. Cela devait être simple, des armes chopé aux marché noir et une banque. Pas de blessées que vous vous étiez dit. Simple et efficace pour offrir à Nova la chance de prendre un second souffle. La chance d’avoir un cœur. C’était aussi simple que vos conneries. Aussi simple que le temps qu’il a fallu la veille du jour J au père d’Arès pour lui défoncé le portrait encore un fois. La fois de trop. De quatre vous n’étiez plus que deux mais avec la force de vos alliés dans vos myocardes et l’idée qu’il était temps de changer vos vies. Toi et Dakota pour un braquage qui changea vos vies à tous à quelques balles tirés dans le monstre qui ne terroriserait plus personne. Un montre qui tombait pour sauver une princesse mais, ça, à l’époque vous ne le saviez pas.(brothers in arms)/ C’était votre plan à tous les trois : braquer la banque du père d’Arès, sauver Nova et partir à l’armée. Votre changement de vie, votre nouveau départ. Le destin y est toujours pour quelque chose pour que rien ne se passe comme prévue. Personne n’y avait vraiment prévue d’y laisser un cadavre et personne n’avais pensé qu’Arès serait hots jeu et que dire au revoir à Nova serait impossible alors qu’elle avait fini par l’avoir son cœur. Sans avoir eu besoin de cet argent. Alors, un nouveau pacte, celui de cacher le butin et de n’y toucher qu’une fois vous tous réunie. Oui, c’était le plan mais, l’envie de t’en sortir à tout prix à surement eu raison de toi après quelques années. Vingt ans ou l’âge de tous les espoirs, celui que c’était le nouveau départ dont vous aviez tous besoin. Dakota et toi partie pour la guerre sans trop savoir si vous en sortirez vivant. Inséparable durant vos dix ans de bons et loyaux services sous la bannière du drapeau américain. Tu t’es battu pour lui mais, avant tout pour toi. L’idée de revenir dans le trou dans lequel tu étais né te semblait inconcevable. Etat de service à la limite de la perfection. On donner les ordres et tu exécutais jusqu’à gravir les échelons pour arriver Lieutenant. Des coups tu en as pris de tes débuts à l’armée jusqu’à tes années de services chez les Navy Seals mais, tu t’es toujours relever plus fort. Plus grand. T’en a même prit des putain de balle pour des gens qui n’avaient que leurs argent pour pourvoir envoyé au casses pipe les militaire pour sauver leur gamine qui jouer au reporter. Celle-là, tu l’as en travers. Cette mission même si elle t’a valu une putain de médaille qui t’as acheté le prix de ta liberté. Le respect de tes paires et ta carte d’entrée dans un autre monde, loin du trou à rat dans lequel tu es né. Tu t'en souviendra du jour ou tu as rencontré la fille Saab. (no one made me, i made me)/ Il ne t’a pas fallu longtemps pour comprendre que si tu voulais t’en sortir il fallait que tu penses à toi un peu plus. Que tes états d’âmes fallait les ranger de côté. La guerre t’avait forgé une carapace. Un vrai blindé. Tu avais enfouie ton cœur sous une carapace rejetant toutes les merdes de ton passé sur la personne qui t’avais fait venir au monde. Te jurer que personne jamais ne te ferais sentir comme de la merde, comme cette bonne femme t’avais fait sentir. Tu t’en sortais pour toi avant tout jouant les égoïstes oubliant un instant les autres. Tu assumerais le retour de bâton du haut de la montagne que tu aurais franchi. Au sommet. Personne ne te ferait redescendre. Tu t’es lâchement servie dans l’argent scellé par un pacte de gamin de vingt ans pour acheter ton succès. La manière qui ne comptais pas plus que l’arrivé. La proposition faites à l’homme que la guerre t’avais fait devenir par des hommes soucieux d’avoir à leur service quelqu’un sur qui quelqu’un. En un an tu t’es construit ta porte de sortir vers un avenir meilleur à coup d’argent sale et de pot de vin versé au bonne personne. Le chantage fait de grande chose. Secrètement financé par la C.I.A tu as construit ta société de sécurité et de protection sur personne. Tu t’es construit sur un pacte brisé sur un pseudo honneur que tu te devais à toi-même. H.A.S.P ta putain de salvation. Tu te sens comme un Phoenix qui renait de ces cendres de son nouveau perchoir luxueux. T’avais ces secrets que tu cachais à tes frères en te regardant la glace chaque matin en te disant que c’était pour eux aussi.   (seduce and destroy)/ Tu avais rien et cette promesse que tu t’étais faite à toi-même du haut de tes huit ans, celle que tu ne finirais pas sans rien. Pas comme ta mère, tu l’avais tenue mais, finalement, il te manquait peut-être bien quelque chose. L’amour qu’il disait alors que ton myocarde tu l’avais enfermé à double tour refusant que n’importe qu’elle nana te l’arrache tu jouer. Tu jouer comme pour te venger de la mère que tu n’avais pas eu. Tu jouer car, tu le pouvais. C’était facile, trop peut-être. Il te manquer du piquant alors que l’on te disait trop facilement oui, il te manquait de piment dans ta vie. Tu cherchais un peu trop et tu trouvais aussi avec un code d’honneur et celui de ne jamais mélanger travail et plaisir mais, c’était probablement plus fort que toi cette fois ci. Une partie d’échec que tu voulais gagnait. Probablement que tu avais mal choisie la Reine dans cette partie. La fille de l’ambassadeur russe qui venait juste de faire appel à tes services pour lui et surtout pour son indomptable de gamine. L’homme que t’es censé espionner mais, quiconque t’as dans ta fierté fait valsé ton code d’honneur. Elle t’a voulu, elle t’aura mais, à tes règles… que tu crois.