baby sitting gone wrong (nate)

il est bientôt l'heure de coucher jimmy, et ça semble être un miracle qu'il soit l'heure habituelle à laquelle l'enfant va au lit. tu te mords l'intérieur de la joue, nate te demande si tu veux rester, un fois l'enfant couché et tu ne peux t'empêcher de le provoquer un peu, lui demandant s'il a besoin d'aide pour garder un appartement vide. un sourire se dessine sur le coin de tes lèvres et tu t'approches un peu de nate. évidemment que tu le taquines, ouai. tu comptes pas partir, pas même pas la nuit, si le brun veut bien de toi - et tu n'en doutes pas. t’as raison, c’est pas comme si j’avais besoin de toi dans ma vie. tu esquisses un sourire face à sa réponse. t'as l'impression d'sentir ton myocarde s'accélérer un peu dans ta poitrine. tu fermes les yeux quelques courtes secondes, et te contentes d'un sourire, avant d'annoncer à jimmy qu'il est l'heure. tu arrives à négocier une histoire avec le petit, avant qu'il ne se couche. il se dirige donc tranquillement vers la chambre, après avoir quémandé que vous soyez deux pour lui raconter son histoire, ce soir. tu te mords l'intérieur de la joue et l'observes quelques instants avant de retourner te blottir contre ton homme, tes doigts glissant dans sa nuque, le serrant contre toi. et on finirait heureux pour toujours dans mon château ? tu hoches la tête à ses mots, souriant tendrement face à nate, caressant sa nuque. dans notre château de draps. tu murmures doucement, venant lui voler un tendre baiser, savourant cet instant, avant que la voix de jimmy ne résonne, impatient, dans sa chambre. tu fermes les yeux un instant. tu vas voir, je suis presque devenu raconteur professionnel. un rire t'échappe. tu n'en doutes pas, il a sans doute eu le temps de s'entraîner avec jimmy depuis son retour. tu te mords l'intérieur de la joue et laisses nate s'éloigner un peu en direction de la chambre du petit, et tu le rejoins rapidement. et merde, c'est normal de vouloir si fort revivre cette situation par la suite ? fonder votre famille.

alors qu’est-ce que tu nous as choisi comme histoire ? ARC-EN-CIEL tu fronces un peu quand le garçon cri le nom de son histoire et tu te mords l'intérieur de la joue, glissant tes doigts dans tes cheveux, venant t'installer sur le lit de l'enfant, d'un côté. et nate de l'autre. un petit sourire se dessine sur tes lèvres et vous commencez à lire l'histoire. tu laisses la narration à nate, tandis que vous vous départagez les dialogues naturellement. tu fermes les yeux un instant. t'aimes bien cette histoire, et inconsciemment, ça apprend aux gosses que c'est pas parce que quelqu'un est différent qu'il faut le mettre de côté. ça te rappelle ton histoire, l'histoire de sans doutes beaucoup de personne sur cette foutue terre. tu te mords l'intérieur de la joue et soupires un peu en glissant tes doigts dans tes cheveux, tandis que l'histoire touche bientôt à sa fin. tu t'extirpes du lit, un peu maladroitement, sachant que tu étais bloqué contre le mur. tu ris un peu en manquant de tomber et viens déposer un baiser sur le front de jimmy, le bordant doucement avec nate. tu allumes sa veilleuse avant de sortir de la chambre.

je pense qu'on a assuré. enfin, c'est majoritairement grâce à toi. d'ailleurs dis-moi que t'as galéré aussi au début steplait parce que là ça a l'air carrément instinctif et je me sens con. un petit rire t'échappe aux mots du brun, tandis que vous vous dirigez vers le salon. tu hausses les épaules et un sourire se dessine sur tes lèvres. je bosse avec des enfants depuis plusieurs années t'sais. évidemment qu'au début, j'étais débordé. faut savoir comment ils fonctionnent. tu verras, ça viendra avec le temps. tu souffles en riant, fermant les yeux et l'embrasser longuement, tes mains glissant contre son torse tandis que celle du brun n'attend pas pour glisser ses doigts sous ton haut, à même ta peau. tu soupires d'aise. tu sais qu'j'ai netflix dans ma chambre ? tu penches un peu la tête sur le côté. ah ouai ? tu demandes avec un sourire innocent, haussant les épaules et glissant tes mains dans son dos, le gardant un peu plus fort contre toi. t'as franchement pas envie de t'éloigner du brun. mais on peut rester ici aussi, s'tu veux. tu hausses un peu les épaules, tu t'en fiches bien au fond, te mordant l'intérieur de la joue. tu laisses ton regard glisser contre le visage du brun. j'sais pas. t'as une envie de film ? tu demandes avec un petit rire, haussant les épaules en le gardant contre toi. on peut aller s'poser dans la chambre. tu ajoutes avec un sourire, venant lui voler un petit baiser. parce que t'as bien envie d'pouvoir passer la soirée dans ses bras, posés devant un film en le gardant contre toi. tu te mords l'intérieur de la joue, revenant lui voler un baiser. t'as pas un sachet de bonbons qui traîne ? tu demandes en pouffant un peu de rire, laissant le brun se diriger finalement vers sa chambre. tu ne connais pas l'appartement par cœur, après tout. c'est calme. un soupir d'aise t'échappe. c'est vrai que l'appartement est calme à présent que jimmy est couché.

Y a leur bulle qui revient les envelopper quand Gabin vient se blottir contre lui, profitant des quelques secondes de répits pendant lesquelles Jimmy choisit son histoire. Alors que son mec caresse sa nuque, il referme ses bras dans son dos pour le maintenir contre lui. Il est si bien comme ça, contre lui. Il l’aime tellement. Et c’est franchement tricher parce qu’il doit le savoir qu’il peut tout lui demander, si c’est de cette façon. Puis ça lui plait bien, l’idée d’être son prince. Surtout si c’est pour vivre heureux pour toujours dans leur château. Gabin acquiesce et lui répond en faisant écho à ses pensées : « dans notre château de draps. » Ils échangent un baiser que Nate prolonge en venant rechercher ses lèvres quand il fait mine de s’éloigner. Il n’a pas du tout l’intention de le lâcher mais il est bien obligé quand l’enfant terrible commence à s’impatienter dans sa chambre, faisant éclater leur bulle. Heureusement qu’il est presque devenu un raconteur professionnel. Véritable homme de la situation. Ça fait rire Gabin et, comme à chaque fois, le cœur de Nate se gonfle. Il serait capable de foutre en l’air beaucoup de choses si ça pouvait faire rire son mec.

L’histoire se déroule carrément mieux que prévu. Il y a quelque chose de doux dans l’air. Une ambiance indéfinissable, mélange de tendresse et de sécurité. Une autre sorte de bulle, peut-être, dans laquelle un enfant a sa place. Le leur, ce serait encore mieux. Impossible de ne pas y penser, dans cette situation. Même s’ils n’en sont pas encore là. Et que ça ne sert à rien d’y penser maintenant, à part se torturer peut-être. Nate se concentre donc sur l’histoire, partageant facilement les dialogues avec Gabin. Tout ça se serait totalement déroulé sans encombre si Gabin n’avait pas manqué de tomber en sortant du petit lit. Étouffant également un rire, il se précipite pour le rattraper. C’est le genre de truc qui tient totalement de l’instinct, du réflexe. Quand c’est lui, du moins.

Dans le couloir, il lui chuchote qu’il trouve qu’ils ont assuré. En revanche, s’il pouvait le rassurer sur le fait que lui aussi a galéré au début, ce serait sympa. Parce que là, ça a l’air carrément instinctif. Il semble savoir exactement comme agir avec le gosse. C’est loin d’être le cas de Nate qui a encore beaucoup trop souvent tendance à lui parler comme si c’était un de ses potes, n’adaptant presque jamais son vocabulaire. Gabin rit un peu en lui répondant : « je bosse avec des enfants depuis plusieurs années t'sais. évidemment qu'au début, j'étais débordé. faut savoir comment ils fonctionnent. tu verras, ça viendra avec le temps. » Nate acquiesce. Il a sûrement raison. De toute façon, tous les papas du monde doivent flipper sur leurs capacités avant leur premier enfant non ? Il se réprimande mentalement d’y avoir à nouveau automatiquement pensé et vient embrasser Gabin longuement. Il frissonne un peu en sentant ses mains sur son torse pendant que lui ne résiste pas à retrouver le contact de sa peau en passant une main sous son haut.

Il n’a certainement pas l’intention d’arrêter ça et l’informe, l’air de rien, qu’il a Netflix dans sa chambre. « ah ouai ? » Il acquiesce et revient l’embrasser un peu. Ils peuvent aussi rester dans le canapé. Après tout, le but c’est surtout de rester avec lui, retrouver à nouveau leur bulle, l’avoir rien que pour lui. « j'sais pas. t'as une envie de film ? » Il sourit et secoue doucement la tête. « Non, j’ai une envie de t’avoir dans mes bras. » Et de glisser ses mains sur sa peau, ses lèvres sur les siennes. Toujours. Ça ne le quitte jamais. Même s’il se tient un peu mieux depuis cette nuit où il a dormi chez lui, suivi de ce réveil, cette douche, où il a pu se laisser aller à la force de son désir pour lui. « on peut aller s'poser dans la chambre. » Ça lui va bien parce que ça réduit les risques d’intrusion. Même si Romy a prévenu qu’elle ne rentrerait peut-être pas de la nuit. « t'as pas un sachet de bonbons qui traîne ? » Il rit avec lui, nouveau souvenir de leur adolescence, du château de draps. « Non, désolé. Y a sûrement du chocolat si t’as faim, ceci dit. » Peut-être qu’il a vraiment envie de grignoter devant le film, après tout. Y a sûrement des biscuits aussi mais les miettes dans le lit, c’est mort. Il se détache de lui pour se diriger vers sa chambre. Enfin ‘sa chambre’, c’est vite dit. C’est la chambre d’amis de Romy et elle n’est franchement pas très personnalisée. Quelques affaires à lui trainent de-ci de-là. Son ordi du boulot sur le bureau. Son déo sur la commode. Quelques livres. On dirait presque une chambre d’hôtel. Il n’a pas eu le temps de racheter grand-chose. « c'est calme. » C’est vrai que ça fait du bien, ce silence après les cris du gamin. « Ouais. Paisible. » Il referme la porte de la chambre derrière Gabin puis s’approche de sa commode. « Tu veux un pyjama pour te mettre à l’aise ? », il demande en commençant à se déshabiller, impatient de pouvoir enfin se débarrasser des vêtements de la journée. Il n’a jamais été du genre pudique, encore moins devant Gabin. Il sait aussi que son mec risque de flotter dans un pyjama à lui mais il a toujours trouvé ça trop mignon. Sans compter que ça lui donne l’impression qu’il lui appartient plus encore quand il porte ses fringues. Même s’il ne se l’explique pas tout à fait. Après avoir enfilé son pyjama, il s’approche de lui et referme ses doigts sur son pull pour l’attirer dans un nouveau baiser. « Tu vas pas venir au lit en pull. », il plaide dans un murmure, petit sourire aux lèvres. Après un coup d’œil vers la télévision, il ajoute : « Je proposerais bien un film d’horreur pour que tu viennes te blottir contre moi mais je pense pas que j’aie besoin de ça, si ? » Il sourit. C’est pas comme si son mec n’était pas tactile. Ou comme s’il allait se gêner pour l’attirer contre lui, une fois sous les draps.

t'aimerais vraiment que ce moment ne s'arrête pas, mais tout semble compromis par les appels de jimmy depuis sa chambre. l'histoire. c'est un rituel pour les enfants, l'histoire avant d'aller se coucher et putain, t'aimes déjà trop le partager avec nate, savoir qu'il est près de toi. tu fermes les yeux un instant, ton esprit peignant une toute autre situation et pourtant si similaire à celle-ci. tu te mords l'intérieur de la joue et viens glisser tes doigts dans tes cheveux en terminant de lire le livre avec le brun, esquissant un sourire, t'extirpant finalement du petit lit, non sans trébucher, ne pouvant t'empêcher de rire quand nate vient t'aider. tu esquisses un sourire et ton regard se pose sur le brun un instant, tu n'es pas certain de pouvoir l'aimer plus que tu ne le fais en ce moment. tu fermes les yeux un court instant avant de sortir de la chambre, fermant doucement la porte et retrouvant rapidement les bras de ton petit-ami. c'est paisible, comme instant, et tu aimerais qu'il s'agisse de votre enfant, dans votre appartement, celui dans lequel vous pourriez élever votre famille. putain. un léger soupir t'échappe. tu souris tendrement aux mots de nate, qui semble paniqué à l'idée de ne pas s'en sortir avec les enfants. et si t'arrives à les canaliser en ce moment, ça a aussi été compliqué pour toi, au début. c'est pas instinctif, savoir s'occuper d'un gosse. enfin, tu n'en sais trop rien, mais ça ne l'a pas été pour toi, en tout cas. tu te mords l'intérieur de la joue et vous vous éloignez un peu du couloir, simplement pour pouvoir parler sans déranger jimmy.

nate t'informe qu'il possède netflix dans sa chambre et tu ris un peu face au brun, esquissant un sourire et glissant tes doigts contre son torse, tandis que ceux de ton petit ami sont venus se faufiler sous ton pull. tu fermes les yeux un instant et laisses tes doigts glisser contre son haut, soupirant d'aise. non, j’ai une envie de t’avoir dans mes bras. un rire t'échappe et tu te mords l'intérieur de la joue. tu fermes les yeux un instant. t'as bien envie d'aller t'allonger dans ses bras, tu dois l'avouer, alors tu termines par céder, un sourire au coin des lèvres. et tu pousses sans doute un peu trop loin quand tu réclames des bonbons à nate, comme quand vous étiez des gosses. pourtant t'es pas du genre à aimer énormément le sucre. tu te mords l'intérieur de la joue et retiens un petit soupir d'aise. non, désolé. y'a surement du chocolat si t'as faim, ceci dit. un petit rire t'échappe et tu hausses les épaules l'air de rien. laisse tomber, juste une envie de sucre. tu ris un peu en le gardant contre toi, suivant le brun en direction de sa chambre. même si tu te doutes que c'est la chambre d'ami qu'il occupe. tu t'en fiches bien. un petit soupir t'échappe et tu te mords l'intérieur de la joue. l'appartement est silencieux et c'est agréable. ouais. paisible. tu hoches la tête. tu veux un pyjama pour te mettre à l'aise ? tu hausses les épaules l'air de rien, ne pouvant t'empêcher de fixer le brun se déshabiller, te pinçant les lèvres, ton regard glissant contre son torse. nate te sort de tes pensées quand il agrippe ton haut pour t'attirer à lui. tu soupires d'aise et lui rend tendrement son baiser, ta main glissant dans sa nuque une nouvelle fois. t'aimes bien trop pouvoir glisser tes doigts dans ses cheveux. tu vas pas venir au lit en pull. tu hausses les épaules en riant un peu. pourquoi pas ? tu te contentes de demander juste pour l'emmerder un peu. tu sus ensuite son regard en direction de la télévision. je te proposerais bien un film d'horreur pour que tu viennes te blottir contre moi mais je pense pas que j'aie besoin de ça, si ? tu hausses les épaules l'air de rien. il sait que t'aimes pas ça, les films d'horreur. pas du tout, même. effectivement, t'as pas besoin de ça. tu sais me convaincre. tu souffles dans un rire. tu viens retirer ton pantalon et le pose sur la chaise du bureau, ne te gênant pas. après tout, c'est nate qui t'as proposé de te mettre en pyjama. tu me files un haut ? tu demandes en venant retirer ton pull, te retrouvant en boxer - et en chaussettes, sexy - devant le brun. tu te pinces les lèvres un court instant. à moins que tu préfères que j'reste comme ça. tu souffles avec un sourire en coin, glissant une main dans tes cheveux, te mordant l'intérieur de la joue. tu te rapproches finalement du brun, venant lui voler un baiser, soupirant doucement d'aise contre ses lippes. tu glisses tes mains sous son haut, caressant doucement sa peau. toi aussi t'en as envie, de pouvoir toucher sa peau encore et encore. tu soupires d'aise. alors, ce film ? tu demandes avec un sourire, grimpant sur le lit pour t'y installer sans plus attendre.

Ils se retrouvent à deux et c’est comme si ça leur avait fait quelque chose, de s’occuper de ce gosse ensemble. Un aperçu d’un possible futur. Ou d’une réalité alternative si Nate n’était pas parti, qui sait. En tout cas, attirés comme des amants, ils se retrouvent à nouveau dans les bras l’un de l’autre. Comme chaque fois qu’ils en ont eu l’occasion ce soir. C’est trop agréable, leur bulle de tendresse. Il ne veut plus jamais quitter ça et il s’en fout bien du film, tant que ça veut dire qu’il peut l’avoir dans ses bras. Ça fait rire un peu Gabin qui finit par accepter de le suivre dans la chambre, demandant s’il n’a pas un sachet de bonbons. Ça le fait rire, lui rappelle leur adolescence et son envie de vivre pour toujours dans leur château de draps en ne se nourrissant que de bonbons et de bière. Mais tout ce qu’il peut lui proposer ce soir comme dessert, c’est du chocolat. « laisse tomber, juste une envie de sucre. » Il lui sourit et ils se dirigent dans sa chambre, ou plutôt celle qu’il squatte en ce moment chez Romy. Il en profite pour se mettre en pyjama, se débarrassant enfin de ses vêtements de la journée, et il demande à Gabin s’il veut aussi qu’il lui passe de quoi se mettre plus à l’aise. Ce n’est pas totalement innocent. Il s’imagine avoir plus facilement accès à sa peau comme ça. Et que son mec aura d’autant moins envie de repartir dormir chez lui s’il est déjà bien calé au chaud sous les draps avec lui. Pour plaider sa cause, il revient contre lui, fermant ses doigts sur son pull pour l’attirer dans un nouveau baiser, soupirant d’aise à son tour quand les doigts de son mec retrouvent le chemin de sa nuque. Il ne peut décidemment pas le rejoindre au lit avec ce pull. « pourquoi pas ? » Il doit presque se retenir de grogner de mécontentement. On déconne pas avec ça. « Parce que ça fait une couche trop épaisse entre nous. », il souligne l’évidence, fronçant un peu les sourcils, un peu amusé tout de même. De toute façon si Gabin ne le retire pas lui-même, c’est lui qui le fera.

Après un coup d’œil vers la télévision, il lui dit qu’il doute avoir besoin de l’excuse ‘film d’horreur’ pour l’avoir dans ses bras. « effectivement, t'as pas besoin de ça. tu sais me convaincre. » Ensuite Gabin se détache de lui pour pouvoir enlever son pantalon. Bien sûr que Nate le mate. « tu me files un haut ? » Il lui sourit, appréciant le spectacle de son mec presque à poil. « à moins que tu préfères que j'reste comme ça. » Il acquiesce, peut-être un peu hypnotisé. « Tu restes comme ça. », il confirme. Il caresse la peau nue de son dos quand il revient l’embrasser, frissonne un peu quand il le sent caresser la sienne aussi. « Je t’empêcherai d’avoir froid. », il ajoute ensuite avec un petit sourire en coin, le regardant grimper dans le lit. Ils sont quand même en plein hiver, après tout. « alors, ce film ? » Il le rejoint au lit sans attendre, venant directement se coller à lui pour l’embrasser avec tendresse, ayant tout loisir de laisser ses doigts glisser sur sa peau, jusque sur sa cuisse. « Mes collègues me harcèlent pour que je regarde Queer Eye et c’est pas le genre de truc qu’il faut suivre attentivement, ça tombe bien... » Ça peut avoir l’air presque homophobe que ses collègues lui demandent de regarder ça, lui qu’ils savent en couple avec un mec, mais ils sont réellement tous fans au bureau et voudraient juste que Nate les rejoigne dans leur délire. Il passe au-dessus de Gabin, une jambe de chaque côté de son corps, non sans se frotter un peu, alors qu’une main s’invite dans ses cheveux, le regardant dans les yeux. « Ça te chauffe ? », il lui demande, bien conscient du double sens de sa question. Mais il ne reste pas comme ça très longtemps et bouge, bras tendu, pour attraper la télécommande sur sa table de chevet. Il allume la smart-tv, directement sur Netflix. « Sinon j’ai vu qu’il y avait un film sur une cam girl, elle a l’air bonne... » Il dit ça pour le taquiner un peu, coulant un regard vers lui. Comme s’il pouvait mater une gonzesse à la télé alors qu’il a Gabin dans son lit. D’ailleurs la vérité c’est qu’il n’a franchement plus envie de regarder un film. Sa main part toute seule caresser son ventre alors qu’il revient contre lui, glissant une jambe entre les siennes. Il le regarde, incapable de détacher ses yeux de lui pour l’instant, de toute façon. « Ou tu regardes ce que tu veux pendant que j’essaye de te déconcentrer. » Il sourit. Certainement beaucoup trop facile comme challenge. Ce qui est sûr, en tout cas, c’est qu’il va avoir du mal à empêcher ses mains de se balader sur son corps pendant toute la durée du film.

tu laisses un léger soupir d'aise s'échapper de tes lippes quand tu rejoins finalement la chambre de nate. enfin, la chambre d'ami dans laquelle dort le brun, mais ça change pas grand chose. y'a un lit et une porte qui ferme, c'est tout ce qui t'importe pour le moment. tu te mords l'intérieur de la joue et observes brièvement le brun, qui ne se gène pas pour se déshabiller devant toi. t'aurais aimé l'empêcher de mettre un t-shirt. mais bon, tu sais très bien que si tu commences comme ça ... tu te mords l'intérieur de la joue. pas que l'idée de coucher avec nate soit désagréable - c'est sans doute une des sensations les plus agréables que tu puisses connaître - mais t'arrives pas à oublier que y'a jimmy deux pièces à côté. la discrétion n'a jamais été votre fort. et tu doutes qu'elle puisse l'être un jour. tu te mords l'intérieur de la joue et retiens un petit soupir quand il te propose de retirer ton pull, t'attirant à lui en agrippant le tissu. tu ne peux t'empêcher de venir le taquiner un peu. il est très bien ce pull, et t'es à l'aise dedans après tout. tu te mords l'intérieur de la joue. parce que ça fait une couche trop épaisse entre nous. un petit rire t'échappe, tu hausses les épaules l'air de rien. peut-être que c'est un argument valable pour que tu l'enlèves, ouai. alors tu termines par céder. évidemment que tu te déshabilles, quittant ton pantalon avant de retirer ton haut, te retrouvant presque entièrement nu face à nate. tu te pinces les lèvres un court instant, n'ayant pas rater son regard glissant sur toi. du toute manière, tu ne peux rien lui dire, au brun : t'as fais exactement la même chose il y a quelques minutes à peine. tu lui demandes un haut, avant de proposer en rigolant de rester comme ça. tu restes comme ça. je t'empêcherai d'avoir froid. tu ne peux t'empêcher de rire un peu, haussant les épaules et venant déposer tes fringues sur la chaise du bureau, avant d'aller te faire une place dans le lit sans attendre l'autorisation du brun.

nate ne tarde d'ailleurs pas à te rejoindre et un petit soupir d'aise t'échappe, venant le garder contre toi, fermant les yeux un court instant. t'es bien comme ça, t'as envie que ce genre de moments puissent durer toujours. ouai, oublier toutes les emmerdes du quotidien pour rester contre nate, comme ça, ses doigts glissant contre ta peau, tandis que tu réponds tendrement à son baiser, ta main contre sa joue. tu esquisses un petit sourire en caressant cette dernière. t'as jamais voulu te laisser pousser un peu la barbe ? tu demandes avec un sourire, la pulpe de tes doigts continuant de glisser doucement contre sa mâchoire. j'suis sûr que ça te rendrait encore plus sexy. tu ajoutes dans un souffle, souriant et revenant lui voler un petit baiser. tu peux sentir sans mal les doigts de nate se faufiler jusqu'à ta cuisse. tu lui demandes finalement ce qu'il veut regarder. mes collègues me harcèlent pour que je regarde queer eye et c'est pas le genre de truc qu'il faut suivre attentivement ça tombe bien ... tu hausses les épaules l'air de rien, tu sais pas si ça pourrait t'intéresser. c'est sûr qu'à côté, nate l'est bien plus. mais t'aimerais bien retrouver votre routine qui consistait à regarder des séries, au fond d'votre lit. et parfois à louper la moitié d'un épisode à force de vous embrasser et de vous chauffer. vous étiez du genre à mettre beaucoup trop de temps pour regarder un seul épisode. tu te perds dans tes pensées quand nate se retrouve au-dessus de toi, son corps venant se frotter un peu contre le tien. tu te mords la lèvre pour empêcher ce gémissement de sortir de ta bouche. tes mains glissent plutôt dans son dos. ça te chauffe ? tu arques un sourcil, amusé par ses mots. j'sais pas. tu souffles avec une petite moue, laissant nate reprendre sa place contre toi pour allumer la télévision. sinon j'ai vu qu'il y avait un film sur une cam girl, elle a l'air bonne... tu fronces les sourcils en tournant la tête vers nate, te mordant l'intérieur de la joue et te contentant de venir pincer ses côtes avec une petite moue boudeuse sur les lèvres. ou tu regardes ce que tu veux pendant que j'essaye de te déconcentrer. un petit rire t'échappe. t'es pas déjà en train de le faire ? tu demandes en désignant sa jambe glissée entre les tiennes. tu te mords l'intérieur de la joue et viens caresser sa cuisse l'air de rien. mm, on se pose devant murder sinon. c'est un truc avec des avocats qui doivent cacher un meurtre, ça a l'air sympa elisa m'en parlait l'autre jour. tu hausses les épaules en venant lu voler un petit baiser. t'en dis quoi ? tu demandes avec un sourire, te redressant un peu pour pouvoir l'observer.

Nate n’attend pas pour le rejoindre au lit, revenant l’embrasser en se collant contre lui. Il laisse ses doigts glisser doucement sa peau puisqu’elle est à présent accessible, tout contre lui. Gabin caresse sa joue, sa mâchoire. C’est tellement addictif, tout ça, leurs contacts, cette bulle de tendresse. « t'as jamais voulu te laisser pousser un peu la barbe ? j'suis sûr que ça te rendrait encore plus sexy. » Il sourit contre ses lèvres quand son mec revient l’embrasser. Il ne l’a jamais vraiment considéré, de se laisser pousser la barbe, mais s’il y a une chance pour que ça lui plaise, il veut bien tenter l’expérience. « Encore plus hein ? », il demande, sourire con sur les lèvres. « J’imagine que je peux essayer dans ce cas. » Il descend doucement ses caresses jusqu’à sa cuisse et lui répond que ses collègues le harcèlent pour qu’il regarde Queer Eye. C’est pas un show qu’il faut absolument suivre pour comprendre l’intrigue et ça l’arrange, là tout de suite. Parce qu’il se voit mal arrêter de le toucher voir même simplement arrêter de le regarder. Il vient un instant au-dessus de lui, se frotte un peu contre lui, souriant quand il retient un gémissement. Il lui demande si ça le chauffe, un peu amusé pour le double sens. « j'sais pas. », il répond, une moue non convaincue sur les lèvres. Nate bouge pour attraper la télécommander et reviens s’allonger contre lui après avoir allumé l’écran. Il lui dit qu’il y a aussi un film sur une cam girl qui a l’air franchement bonne. Et ça l’amuse, la mine boudeuse qui apparaît sur les traits de Gabin alors qu’il se venge d’un petit pincement de côtes. Nate grimace un peu sans avoir réellement mal. Passant une jambe entre les siennes, il se met à caresser son ventre. Il a dû mal à regarder les choix proposés par Netflix, trop perdu dans sa contemplation de son mec. Alors il propose d’essayer de le déconcentrer pendant qu’il regarde ce qu’il veut. C’est pas sérieux. Peut-être juste un peu une façon de lui dire qu’il pourrait se chauffer facilement. Parce que c’est trop bon, sa peau sous ses doigts, ça l’a toujours été. « t'es pas déjà en train de le faire ? », il lui demande en désignant sa jambe. Nate le regarde, sourit un peu, presque malgré lui. Parce que c’est le genre de truc que ça lui fait de regarder Gabin. « Je vois pas de quoi tu veux parler. » Il ferme les yeux un instant et soupire un peu d’aise quand il se met à son tour à caresser sa cuisse. « mm, on se pose devant murder sinon. c'est un truc avec des avocats qui doivent cacher un meurtre, ça a l'air sympa elisa m'en parlait l'autre jour. t'en dis quoi ? » Il le regarde un instant, pèse le pour et le contre de cette idée qui revient, finalement, à arrêter de tenter de le chauffer. Il acquiesce finalement, appréciant plutôt franchement l’idée de le garder amoureusement dans ses bras en regardant une série. Comme avant. « Ça me va. Je propose que si on accroche, ça devienne notre série. À regarder à deux. » Ensemble et pas chacun de son côté, quoi. Une nouvelle chose qui les lie, en somme. Il passe un bras autour de Gabin, le ramenant un peu contre lui, et lance le premier épisode. Ça a l’air de se passer à l’université. Nate continue de caresser la peau de son mec, incapable de s’en empêcher, complètement intoxiqué à lui. Ça lui plait trop de l’avoir contre lui comme ça. Il regretterait seulement qu’ils ne puissent pas être encore plus proches. Un des acteurs attire son regard et il fronce les sourcils, perturbé. « Putain. Mais ce mec te ressemble beaucoup trop. » Il y a clairement un air de famille. Même genre de barbe, aussi. « T’as un cousin acteur et tu me l’as pas dit ? Canon en tout cas. » Il resserre un peu leur étreinte pendant une seconde, peut-être pour signifier que le plus canon, ça reste lui. Son faux cousin d’Hollywood a l’air d’être gay dans la série en plus. Ça commence bien. La suite de l’épisode parvient à garder son attention. C’est vrai que ça a l’air sympa.

tes doigts viennent glisser contre la joue de nate, retraçant sa mâchoire du bout des doigts, légèrement pensif. et tu sais pas vraiment comment il fait pour avoir une peau si douce, et ce de manière constante. tu te mords l'intérieur de la joue, t'as beau essayé toi, quand ça t'arrive de te raser : ça ne dure pas plus de quelques heures. en même temps, il faut dire que vous avez pas vraiment la même pilosité, avec le brun. ça te tire un petit rire, tu termines par souffler quelques mots. ouai, t'aimerais bien voir ce que ça donne s'il se laisse un peu pousser la barbe. tu te mords l'intérieur de la joue. encore plus hein ? j’imagine que je peux essayer dans ce cas. tu te mords l'intérieur de la joue et esquisses un petit rire. bah ouai, tu l'es déjà, même si t'as les joues aussi lisses que le cul d'un bébé. tu souffles avec un sourire taquin sur les lèvres. t'aimes bien, au fond. tu te mords l'intérieur de la joue et vous changez finalement de sujet de discussion, essayant de trouver un film ou une série à regarder. t'es pas emballée par l'idée de ses collègues. un petit soupir s'échappe de tes lèvres et tu hausses un peu les épaules, avant de ravaler ton gémissement quand nate vient se frotter brièvement contre toi. tu soupires d'aise et fermes les yeux un instant, le laissant attraper la télécommande pour allumer l'écran, installée au pied du lit. tu viens te blottir contre le brun, soupirant d'aise.

nate vient glisser une jambe entre les tiennes en proposant d'essayer de te distraire. un rire t'échappe. mais au fond, t'aimes bien trop le sentir comme ça contre toi. tu fermes les yeux un instant et laisses ta main glisser contre son torse, malgré le haut qu'il porte. t'aurais bien envie de le lui retirer. tu te pinces brièvement les lèvres et le taquine un peu. je vois pas de quoi tu veux parler. tu lèves les yeux au ciel et hausses les épaules, te contentant de venir glisser ta main à l'arrière de la cuisse du brun, remontant pour effleurer son boxer. tu lui proposes finalement de commencer à regarder une série dont elisa t'as parlée il y a quelque temps déjà. ça me va. je propose que si on accroche, ça devienne notre série. à regarder à deux. un sourire sans doute un peu trop idiot se dessine sur tes lèvres. ouai. carrément. tu souffles en le serrant un peu plus contre toi, laissant nate passer un bras autour de tes épaules. tu poses d'ailleurs ta tête contre son corps, soupirant d'aise en commençant la série. tu te mords l'intérieur de la joue un instant, connaissant un peu le scénario de la série, mais sans plus. putain. mais ce mec te ressemble beaucoup trop ? t'as un cousin acteur et tu me l'as pas dit ? canon en tout cas. tu te redresses un peu et observes nate. mais il me ressemble pas t'as fumé. tu souffles avec une moue, te mordant l'intérieur de la joue. c'pas parce qu'il est brun et qu'il a une barbe qu'il me ressemble. tu souffles dans un petit soupir, revenant contre nate et te réinstallant contre son torse. vous continuez tranquillement l'épisode, et t'essayes de te concentrer sur tous les détails de l'histoire. par contre lui, je l'aime bien. il a son charme. tu souffles quand un nouveau personnage fait son apparition. dix dollars qu'ils baisent avant la fin de l'épisode. tu pouffes un peu de rire en relevant la tête vers nate, un sourire taquin sur le coin des lèvres. le pari pourrait presque vous concerner, quand tu y penses.

Laissant glisser ses doigts contre sa mâchoire, Gabin lui demande s’il a déjà pensé à se laisser pousser la barbe. Ce n’est pas quelque chose qu’il a déjà vraiment considéré. Il n’a pas tellement de pilosité faciale que ça. D’ailleurs, il n’a pas tellement de pilosité tout court. Mais son copain ajoute que ça pourrait le rendre encore plus sexy alors, ouais, tout d’un coup l’idée ne lui semble pas si mauvaise. S’il y a une chance que ça lui plaise, il peut totalement tenter l’expérience. « bah ouai, tu l'es déjà, même si t'as les joues aussi lisses que le cul d'un bébé. » Face à ce sourire taquin, il profite d’avoir la main qui se balade sur son corps pour le griffer légèrement. Petite vengeance. « C’est le risque quand on sort avec un mec plus jeune. » Il sourit, s’amusant à sous-entendre qu’ils ont beaucoup plus qu’une année d’écart. Même si, en réalité, peu de gens le prennent pour plus jeune qu’il n’est à cause de son manque de barbe. À l’inverse de Gabin, d’ailleurs, qui a subitement quatorze ans quand il se rase. Ce qui le rend carrément mignon, en vérité. « Je te propose un deal : je laisse pousser si tu rases. » Y a pas de raison qu'il soit le seul à changer de look et puis c'est vrai qu'il est à croquer sans barbe. Quoi qu’il en soit, ils enchainent sur le sujet de ce qu’ils vont regarder. Nate essaye de le convaincre un peu de laisser tomber cette histoire de film parce qu’il se voit bien passer les prochaines minutes à le chauffer, toute son attention dirigée vers lui, mais il accepte finalement de lancer un épisode de murder. Il propose d’ailleurs que ça devienne leur série s’ils y adhérent ce soir, un petit bout de leur quotidien du passé, une activité de couple supplémentaire pour les lier encore un peu plus. « ouai. carrément. » Il sourit quand ils se calent bien l’un contre l’autre, Gabin reposant sa tête sur lui. Il se fait aussi la réflexion qu’ils seront repassés par le cul avant de retrouver cette intimité-là. Ça leur ressemble bien, eux qui n’ont jamais été un couple tout à fait conventionnel. Il parvient à diriger son attention sur la télévision, sans pour autant arrêter ses caresses sur le ventre de Gabin, trop avide de profiter de sa présence. Plusieurs jours sans le voir, c’était déjà bien trop. D’autant plus qu’en s’incrustant chez lui pour le Nouvel An, il a bien été obligé de le partager avec d’autre. Ce soir, maintenant que Jimmy est couché, il l’a enfin rien que pour lui.

Sur l’écran, un acteur attire son regard. Il ressemble beaucoup trop à Gabin. Même cheveux, même barbe. Et même les traits de son visage sont à s’y méprendre. A croire que Gabin a un cousin acteur ou quelque chose dans le genre. Ce dernier n’est pas du tout de cet avis et c’est presque indigné qu’il se redresse pour le regarder. « mais il me ressemble pas t'as fumé. c'pas parce qu'il est brun et qu'il a une barbe qu'il me ressemble. » Nate rit un peu face à cet air scandalisé beaucoup trop adorable. « Oulah, non ok t’as raison bébé il te ressemble pas du tout. » Technique de survie, il capitule immédiatement. Même s’il continue de penser que le mec lui ressemble vachement. Pas impossible qu’il s’attache à ce personnage-là plus qu’aux autres d’ailleurs, pour cette raison. Gabin reprend sa place contre lui et ils continuent de regarder la série qui parvient, un peu étonnement, à garder l’attention de Nate dont les caresses se font plus distraites. « par contre lui, je l'aime bien. il a son charme. », il dit en parlant d’un mec un peu geek, qui a l’air hyper mal à l’aise quand Connor l’aborde. « Ouais ça va il est mignon. Un peu naïf quand même. » Mais c’est touchant comme il boit les paroles du mec-qui-ressemble-pas-à-gabin. « dix dollars qu'ils baisent avant la fin de l'épisode. » Nate secoue la tête. « Non mais quand même pas. Je pense que Connor est pas un enfoiré à ce p... » Il est bien obligé de se taire quand, sous ses yeux, ils se mettent bel et bien à baiser, le soir même de leur rencontre. Tout ça pour des mails. Ça le chauffe un peu, cette scène et il attend qu’elle soit finie avant de continuer : « Bon ok. Ben c’est une façon comme une autre d’arriver à ses fins. J’veux dire, moi aussi la dernière fois que j’ai demandé un service aux mecs de l’IT... » C’est faux, évidemment, mais les dés sont jetés, il défend le cousin de Gabin, maintenant. Il descend ses mains un peu plus bas sur le ventre de son mec, jusqu’à toucher son boxer. « Ça fait longtemps que j’ai plus déchiré tes fringues comme ça, dans l’empressement... » Comme dans le bout de scène de cul qu’ils viennent de voir quoi. Bien sûr que ça lui est arrivé de déchirer ses fringues. Il a toujours été impatient. Il remonte ensuite sa main sous son menton pour relever son visage vers lui et n’avoir plus qu’à se pencher un peu pour l’embrasser, prenant le temps d’en profiter, la langue s’invitant dans sa bouche. C’est plutôt raisonnable d’avoir attendu vers la moitié de l’épisode pour prendre une nouvelle bouffée d’oxygène contre ses lèvres, non ?

tu profites de cet instant pour venir faire glisser la pulpe de tes doigts contre la mâchoire de nate, retraçant doucement cette dernière, un sourire sur les lèvres. tu sais pas comment il fait pour avoir une peau aussi douce, c'est dingue. même en te rasant de près et en utilisant n'importe quel produit, t'y arrive pas. un petit soupir t'échappe et tu termines par le taquiner. il est déjà bien trop sexy comme ça, nate. même si t'as l'impression de caresser le cul d'un bébé en caressant sa joue, tu étouffes un petit bruit de douleur quand il se venge en venant te griffer. tu te mords l'intérieur de la joue, mais te détends tout de même contre le brun, fermant les yeux un instant. c’est le risque quand on sort avec un mec plus jeune. tu lèves les yeux au ciel, amusé par ses mots, et hausses les épaules. c'est vrai que nos onze mois de différences sont énormes. tu souffles avec une moue, tes doigts glissant dans son cou. je te propose un deal : je laisse pousser si tu rases. tu arques un sourcil aux mots du brun, l'observant de longues secondes, venant appuyer ton menton contre son torse. mm, ça peut se négocier. tu souffles avec un rire, haussant les épaules. tu te trouves un air bien trop juvénile quand tu te rases, mais bon, ça ne te déplaît pas non plus. mais je le fais qu'une seule fois. tu ajoutes en souriant, venant voler un baiser chaste au brun. tu reviens t'installer contre lui.

vous vous mettez finalement d'accord pour regarder une série à deux, qu'elle devienne la votre. ça te va bien, comme option. tu soupires d'aise face à ce moment qui te semble si précieux. tu te mords l'intérieur de la joue et vous vous plongez dans ce premier épisode. mais rapidement, nate te trouves une ressemblance avec un des acteurs principaux. tu fronces un peu les sourcils, retenant un petit soupir. t'es pas certain de lui sur le coup. quoique. t'en sais trop rien. mais sans doute qu'il dit ça parce que vous avez les cheveux bruns et le même genre de barbe. et les cheveux qui partent en couilles. oulah, non ok t’as raison bébé il te ressemble pas du tout. tu te mords l'intérieur de la joue et ris un peu à ses mots, te contentant de revenir contre son torse, y glisser un bras et fermant les yeux quelque courtes secondes, avant de te replonger dans le show, profitant des caresses distraites de nate contre ta peau. tu commentes un nouveau passage, quand un nouveau personnage fait son apparition et se fait draguer ouvertement par connor. ouais ça va il est mignon. un peu naïf quand même. tu te pinces les lèvres et la tête, observant les deux acteurs à l'écran. t'es certain qu'il va se passer un truc entre eux. non mais quand même pas. je pense que connor est pas un enfoiré à ce p... tu pouffes de rire en les voyant effectivement coucher ensemble. excuse-moi, tu disais ? je t'ai pas entendu à cause du gémissement poussé par oliver. tu ne peux t'empêcher de rire et te devenir déposer un petit baiser contre son épaule, te mordant l'intérieur de la joue. bon ok. ben c'et une façon comme une autre d'arriver à ses fins. j'veux dire, moi aussi la dernière fois que j'ai demandé un service aux mecs de l'IT... tu lèves les yeux au ciel, retenant un petit soupir en essayant de ne pas paraître trop jaloux. de toute manière tu ne pourras jamais l'être autant que nate. mm. tu souffles en le sentant descendre ses doigts contre ton bas-ventre, effleurant ton boxer. ça fait longtemps que j'ai plus déchiré tes fringues comme ça, dans l'empressement ... tu plantes tes dents dans ta lèvre inférieure en relevant la tête vers nate, n'ayant pas trop le choix quand il vient attraper ton menton. un petit soupir t'échappe et tu viens glisser ta main dans ses cheveux quand le brun vient t'embrasser. tu profites de ce baiser, ta langue glissant contre la sienne. tu soupires d'aise. tu caresses l'arrière de son crâne et sa nuque. on rate tout là. tu murmures, pourtant pas convaincu par le fait de devoir te détacher de nate. un nouveau soupir t'échappe et tu reviens à la charge en l'embrassant longuement. t'arrives pas à t'en passer, de vos baisers. tu viens grimper sur le brun, venant attraper sa lèvre entre tes dents, tes lippes glissant contre sa peau pour venir dans son cou, venant y sucer une marque possessive. un soupir t'échappe. tu craques si vite, avec nate. fais-moi l'amour. tu souffles en remontant ta bouche contre son oreille. ouai. pas juste d'la baise parce que vous êtes trop pressé. t'as pas envie d'avoir encore du mal à t'asseoir parce qu'il t'a pris trop violemment. t'veux juste profiter de vous deux.

Gabin se moque un peu de ses joues aussi lisses que le cul d’un bébé et Nate se venge en griffant légèrement sa peau, lui tirant un petit gémissement de douleur étouffé. Sourire aux lèvres, il lui dit que c’est le risque qu’on court, des joues lisses, quand on sort avec un mec plus jeune. « c'est vrai que nos onze mois de différences sont énormes. », Gabin lui répond, une moue sur les lèvres, alors qu’il caresse agréablement la peau de son cou. Nate dépose un baiser sur ses lèvres. « Ça frôle le scandale. », il répond doucement, dans un petit sourire. D’ailleurs, c’est plutôt lui qu’on suspecterait de se taper un petit jeune si Gabin se rasait. Ça lui enlève franchement quelques années. Mais c’est tellement mignon. Ça se croque sans modération, un Gabin sans barbe. Alors, il lui propose un deal : il laisse pousser si son mec se rase. Ce dernier le regarde longuement, menton posé sur son torse pendant que Nate lui caresse doucement le dos, pas pressé non plus de le lâcher du regard. « mm, ça peut se négocier. mais je le fais qu'une seule fois. » Gabin scelle le deal en l’embrassant rapidement avant de se réinstaller sur lui, tourné vers la télévision. « Tu dirais quoi si je te le faisais demain matin ? » Comme ça il est sûr que c’est vraiment rasé de près et que Gabin ne pourra pas juste tailler un peu et argumenter qu’il a rasé pendant qu’il n’était pas là et que ça a déjà repoussé. Ça lui permettra aussi de toucher tant que c’est encore tout à fait lisse.

Ils lancent ensuite un épisode de murder. Série dans laquelle, putain, y a un des acteurs qui ressemble beaucoup trop à Gabin. Ce dont l’intéressé se défend, presque vexé que Nate le mette dans la même catégorie que tous les mecs avec des cheveux bruns et de la barbe. Nate capitule directement, tirant un petit rire à son copain. N’empêche que maintenant, c’est sûr, il est dans le ‘camp’ de ce Connor. D’ailleurs, il refuse de croire qu’il va aller jusqu’à coucher avec celui que Gabin aime bien, juste pour des mails. C’est déjà assez bâtard comme ça de le draguer pour ça, selon lui. « excuse-moi, tu disais ? je t'ai pas entendu à cause du gémissement poussé par oliver. » Ouais, ils sont déjà en train de baiser. Nate s’est bien trompé dans son pronostic et Gabin se marre, déposant ensuite un baiser sur son épaule. Mais après tout, c’est une façon comme une autre d’obtenir ce qu’on veut. Il invente que lui aussi, il se tape de temps en temps les mecs de l’IT pour obtenir des services. « mm. » Son argument n’a pas l’air convaincant. En tout cas, la scène l’a un peu réchauffé et il glisse ses doigts contre le ventre de Gabin puis un peu plus bas, jusqu’à effleurer son boxer. Ça fait longtemps qu’il n’a plus déchiré ses fringues comme dans la série. Relevant son visage vers lui après avoir glissé une main sous son menton, il l’embrasse longuement. Leurs langues se trouvent. Ils en profitent, sans empressement. Ça a quelque chose de fondamentalement apaisant, beaucoup trop agréable. « on rate tout là. », son mec lui dit sans pour autant faire mine de se retourner à nouveau vers la série. « Ouais c’est con. », il répond en souriant, n’ayant pourtant aucune intention de se concentrer à nouveau sur la série.

Quand Gabin revient l’embrasser, il attrape la télécommande à tâtons pour mettre l’épisode en pause. Il renferme ensuite ses bras autour de lui et se consacre entièrement à leur baiser, le pressant doucement contre lui. C’est si bon. Son excitation monte d’un cran quand son mec vient au-dessus de lui, gardant un instant sa lèvre entre ses dents. Sexy. Nate passe une main dans ses cheveux et serre un peu ses mèches entre ses doigts quand Gabin marque la peau de son cou. L’autre main glisse contre sa colonne vertébrale. « fais-moi l'amour. » Ça l’électrise totalement. Il en frissonne, même. « Oh Gabin. », il murmure. Il glisse ensuite ses mains sur ses fesses pour l’attirer contre lui et l’embrasser encore, avec tendresse. Ça n’est pas toujours évident pour lui de faire l’amour en douceur mais ce soir ça s’aligne parfaitement à ses envies, dans la continuité de leurs caresses, de leur bulle, de cet aperçu de famille qu’ils ont eu aussi. Il les fait rouler pour reprendre le dessus et se débarrasse de son t-shirt. Du bout des doigts, il caresse ses côtes, le regarde dans les yeux. Y a des vagues d’amour qui le submergent, il plonge à son tour dans son cou, prend le temps de le marquer aussi un peu, avant de descendre ses baisers sur son torse. La main qui lui caressait le flanc descend pour aller effleurer du bout des doigts son entre-jambe, à travers son boxer pour faire grimper son excitation en douceur. Ça lui donne presque envie de l’attacher pour qu’il puisse continuer de s’y prendre comme ça, lentement, sans qu’il ne puisse protester. « Tu sais que j’ai acheté de l’huile de massage ? », il propose. Un massage sensuel, le genre qu'on a pas en salon, ce serait une belle façon de continuer à toucher son corps tout en s’assurant qu’il soit complètement prêt pour le moment où il entrera en lui, sans douleur.