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 a mirror effect ? Atlas.

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Message Sujet: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Jeu 20 Déc - 16:28


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

C’était à la pause que tu as reçu ce message, tu ne t’étais pas aperçu du m’égard  en partant de la réunion pour les personnes endeuillés que tu avais filé avec un téléphone qui n’était pas le tien. Alors, en lisant le premier message, tu t’étais demandée c’était quoi cette blague, ton réflexe était d’aller fouiller les photos et tout, mais tout était bloqué sauf les appels et les messages. Ce qui fût troublant c’était sans doute le fait que la photo de couverture était ta personne. Pour cela sans doute que tu n’avais pas capté que ce n’était pas ton téléphone. Mais qui était la personne derrière ce téléphone. Ce fût avec étonnement que tu pu lire Atlas. Ton cœur qui loupe une marche, comprenant clairement pas la situation. Pourquoi cet homme avait une photo de toi sur son téléphone ? Ce même homme qui ne cessait de te repousser depuis la première fois, alors que tu étais censée toi l’aider dans le deuil de sa compagne. Tu ne parviens pas à faire la clairvoyance sur la situation, surtout que tu n’as qu’une envie casser son téléphone, vu que monsieur reparle de cette fois où tu avais égratigné par malchance son téléphone. Toi qui partais dans une optique de geste gentil, tu avais chuté avec son téléphone, cassant l’écran, autant dire que cela n’avait pas plus. Tu avais fini par passer ta soirée à traîner dans la rue, grimpant sur l’un des toits de la ville, pour finir par danser, t’épuiser, la danse était épuisante quand tu laissais tes émotions prendre le contrôle de chacun de tes gestes, les courbatures n’étaient rien comparé à la douleur interne que tu pouvais ressentir. Ce sentiment qu’ils étaient encore quelque part dans ce monde, juste loin de toi, intouchable de ta personne. Tu pourrais finir par pleurer, pas succomber encore, mais à quoi bon ? Les larmes allaient toujours couler. Il fallait parfois reprendre le cours d’une vie, continué de danser, de faire de ce travail la meilleure chose au monde. Enfin, tu lui avais dit à Atlas, que tu allais lui rendre son téléphone après ta séance d’entrainement, alors une fois ce dernier fini, tu avais commandé un taxi, attendant sagement à l’entrée du ballet pour attendre ce dernier. Sentant le froid venir t’agresser dès que la porte s’ouvrait. Tes mains gelées, tentant encore de parvenir aux photos de cette appareil, tes opales tentant de détecter d’où venait cette photo de toi, tu avais des lunettes de soleil que tu n’avais jamais vu. Non, tu n’arrivais pas à retrouver l’endroit de la photo dans ta tête. Demander des explications ? Sans doute. Ton taxi arrivée, tu te précipitais dans le gouffre glacial, une seule envie celle d’aller te réchauffer vite fait dans l’habitacle de la voiture. Une fois dedans tu donnais l’adresse qu’Atlas t’avait donnée pour qu’on t’y conduise. Pendant la route, qui ne fût pas longue, tu jetas un œil sur les rues qui étaient encore bondé de monde en début de soirée. Tu remis en place ton écharpe et ton col, pour mieux te protéger de cette température hivernale. Le taxi payé, tu filé jusqu’à la porte d’entrée de cette magnifique maison. Cognant la porte, tu trépignais d’impatience pour avoir un peu de chaleur, trop gelée pour faire le moindre geste. Tu ne sais pas encore comment tu vas aborder le fait qu’il ait ta photo en fond d’écran, c’est encore très flou dans ta tête, alors autant dire que tu tentes de mettre de l’ordre pour expliquer ça. La porte qui s’ouvre, tu laisses un rictus prendre place sur ton visage. «   Bonsoir ! »  finissant par glisser tes prunelles dans celle d’Atlas.

@Atlas Mclaren
 
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Sam 22 Déc - 17:48


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{ a mirror effect?   }
crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

C’était comme si on t’avait dépossédé d’une partie de ton cœur et tu te sentais complétement con de te laisser atteindre par le pouvoir d’une boîte électronique. Par la stupidité du matériel et c’était simplement là ce que tu te disais pour ne pas te dire que tu te laissais atteindre facilement. Pour te voiler la face sur ta dépendance à ce que renfermer l’outil de télécommunication qui n’en était plus vraiment un. Le smartphone faisant office de boîte à souvenir alors qu’il avait en son fort intérieur emprisonné les mémoires des moments passée avec Ornella. Tu vivais encre dans son fantôme à écouter ces derniers messages vocaux et à parcourir les photos qu’elle t’envoyer à longueur de temps. C’était comme la maintenir en vie d’une certaine manière alors que, tu étais hanté par cette peur viscérale de l’oublier. Tu avais atteint la poche de ton manteau pour en sortir ton Iphone et comme à chaque fin de ces stupides réunions tu avais se besoin de parcourir les derniers souvenirs de l’amour de ta vie comme pour te remémorer ce que tu avais perdue. Comme pour te faire un peu plus de mal que ce que tu te faisais déjà.  C’était ta routine, ton moment à toi… Instant écourté par la photo d’inconnus souriant sur le fond de l’écran. Moment pour te rendre compte que tu ne tenais pas ton téléphone entre tes mains. Moment pour te laisser gagner par une étrange panique qui t’empêchas un instant de réfléchir. A croie que ton téléphone avait été maudit un peu comme ta putain d’existence. Il n’avait pas suffi de cette malheureuse fois ou ta marraine de ton groupe de soutient te l’avais explosé au sol. Ironie que ce soit-elle, effet miroir du fantôme qui faisait saigner ton cœur par son absence. Tu lui en avais voulue à l’innocente Tazmin, une haine contre toi-même que tu redirigé vers elle pour ne pas avoir à affronter les sentiments qu’elle éveiller en toi. Tu ne supporterais pas ce deuxième stress, pas la perte définitif de qui pouvait semblait dérisoire pour beaucoup mais, qui pour toi représenter le peu d’envie de vivre qu’il te rester. La chance dans ton malheur d’un téléphone sans aucune sécurité. Pas de code, pas de barrière et finalement la détermination de retrouver ton bien. Ton âme. Ton cœur. Echange ampli d’espoir avec ton propre numéro que tu contactas comme une bouteille jeté à la mer. Des heures durant à attendre devant l’écran perché sur le plan de travail de ta cuisine toute équipé. Esprit bien trop embrumé pour s’occuper à autre chose. Attendre à en perdre patience. Puis… la libération qui sonne deux heures plus tard par le biais d’un message. L’ironie voulais que ce fut-elle. Celle qui hantait ton esprit malgré-elle. Malgré-toi. Celle que tu t’efforcer à repousser, à ignorer pour ne pas te confronter à ces putain de démon qui avait pris l’emprise sur tout ton être. Tazmin. Comme si tous tes chemins te ramener à elle. Voilà qu’elle te lancer sans une spirale d’une nouvelle attente qui semblait te tuer à petit feu. Tu n’avais qu’à attendre alors, une douche prise pour te détendre et un simple survêtement enfilé et un t-shirt blanc pour te dire que les choses iraient mieux comme ça. Mais, les minutes ne passer pas et la peur qu’elle ne te le ramène pas en un seul morceau, comme cette dernière fois. Les minutes s’écoulaient si lentement que tu t’étais pris curieusement à parcourir sa galerie photos et la ressemblance à t’en faire mal au cœur te rendais encore plus que tu l’étais. Tu n’étais qu’un putain de masochiste qui aimé à se faire du mal avec l’image d’une femme qui n’es pas tienne. Ornella est morte, loin et Tazmin est en vie mais, tu n’es que ce connard prétentieux à ces yeux et tu l’as comprend dans le fond. Finalement le temps finit par s’écouler prit même de court dans la contemplation de la beauté de la jeune femme lorsque la sonnette de l’interphone sonne. Un bond de ton palpitant qui se fait remarquer et le mobile que tu laisses se perdre dans ton canapé pour aller lui ouvrir. Appréhension alors que tu demandes si la faire entrer dans ta demeure était la meilleure des choses à faire. Elle n’était pas bête et les photos de mariage et de tes moments de vie heureux avec cette femme qui n’était pas elle aller la faire fuir. Finalement ne serait-ce là pas plus mal ?! T’aurais voulu dire que oui mais, t’avais besoin d’elle dans ta vie quitte à ce que vous continuez à vous détesté. C’était mieux que rien. La porte que tu ouvres sur la belle créature dont la beauté te souffle à chaque fois. Tes prunelles qui croisent les sienne sans un sourire mais, tout dans le regard. « Bonsoir Tazmin… » Non, tu ne la quitte pas du regard alors qu’ele à l’air frigorifié tu te décides à l’invité à entrer face à son air frigorifié. « Entrez, je vous en prie… votre téléphone est sur mon canapé ! » sourire tendu qui fend tes lèvres et tu fermes la porte derrière elle avant de rejoindre l’immense séjour de la villa d’architecte. « Merci à vous d’être venu si vite ! » que tu sembles bon de dire sans savoir comment cela serait reçu de sa part. A dire vraie, tu ne savais pas à quoi t’attendre d’lle en cette instant. Tu ne t’attendais à rien comme à chacun de vos échanges car, c’était plus simple ainsi.   
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Sam 29 Déc - 21:47

[quote="Tazmin Milwok"]

Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

Tu ne pensais pas qu’en farfouillant dans le téléphone, du moins en essayant de le faire tu te retrouves avec une photo de toi. Tu aurais dû prendre peur, prendre le temps de penser à la situation avant de filer droit en direction de cet homme qui jusque-là n’a jamais vraiment été un ange, un parfait gentleman avec ta personne. Il t’avait prévenu dès le début, commençant dans ton petit esprit à croire qu’il avait quelque chose contre les femmes. Cette idée n’avait pour autant dire jamais quitté ta tête, histoire de ne pas paraître complétement folle. Mais cela serait possible Pablo était un homme et donc accepté plus ou moins par Atlas. Pablo n’avait jamais eu de tel problème avec lui comparé à toi, qui ne cessait de rencontrer des embouchures avec lui. Ta maladresses, ta bêtises étaient peut être les fautives de tout cela ? Tu pourrais y croire, te cramponner à cette idée, mais comment au premier abord l’homme pouvait savoir cela ? Ce n’est pas annoté sur ton front. Tu as beau tenter de trouver des réponses, c’est peine perdu, tu as pourtant bien des questions et donc des réponses à trouver, avec cette photo de profil de toi sur son téléphone. Tu avais la boule au ventre quand tu avais prévenu de ta présence, attendant, la peur et de l’anxiété présent dans ton être, tu tentais de ne pas céder à la panique, de pas directement agressé l’homme. Puis façon tu te jettes clairement dans la gueule du loup là. Le sourire qui s’impose sur ton visage, sans même avoir à forcer les choses. C’est comme inné d’offrir un bout de bonheur à cet homme, tu ne te l’expliques pas, comme bien trop de chose. Tu es congelée sur place, le temps est d’une torture pour quiconque qui est dehors. Ton regard qui se noie dans le sien, toi qui oublie toute les bonnes pensées que tu avais, toutes les questions possible et inimaginable qui pourrissaient ton esprit quand tes opales avaient flirté avec l’écran de téléphone, tout est oublié. C’est comme de la magie, une magie que tu ne pourrais expliquer, pas de suite. Soufflant, tu vois la buée sortir de ta bouche, alors que tu relèves un peu les épaules, prouvant que le froid est en train d’avoir raison de ta pauvre personne. « Merci ! » Que tu glisses rapidement entre tes deux lèvres, en passant devant Atlas, pénétrant chez lui. Une sorte de mélange de sentiment qui se bataille en toi : une appréhension, l’envie de comprendre cet homme qui peut sans doute te surprendre. Tu ne vois que le bon, mais parfois faudrait voir autre chose. Vraiment. « J’avais besoin de mon téléphone aussi ! » Ce n’est pas un mensonge, mais presque. « Puis, je ne voulais pas risquer de faire une énième connerie avec votre bien ! » Dire que la dernière fois tu avais fini par le tutoyer sous le coup des émotions, la peine terrassant ton être. C’est ainsi, l’esprit bien plus poser, alors tu parviens à trouver les mots délicatement, alors que tu finis par retirer ton manteau, non pas que tu es à l’idée de t’installer bavarder, quoi que, mais c’est plutôt ton côté contentieuse, celui de se découvrir pour ne pas chopper froid en retournant dehors sans autre vêtement. Les restes d’une éducation protective et aimante, sans nul doute. Le vêtement retiré, tu le pli sur ton bras, sans savoir ce que tu es censée faire, les opales fixant tes pieds, tu es plus que mal à l’aise, petite princesse. Tu as du mal à ne pas craquer sous la pression, trop de question torturant ton esprit. « Dites pourquoi sur votre téléphone … » Puis tu te coupes, tes opales ayant croisé les siennes, mais à la même hauteur ou presque de ses yeux, quelques photos sur lesquels tu t’attardes. Toi en mariée ? Les sourcils qui se froncent, le cœur qui bat à pleine vitesse, alors que tu sens de petit picotement dans l’estomac. Totalement perdue, incapable de comprendre. « Pourquoi je suis en photo ? » Tu secoues la tête, commençant à prendre peur, reculant de quelque pas, cognant ta jambe dans la table base. Les yeux tentant de trouver une sortie. « C’est quoi le souci chez vous ? » Tu essayes de ne pas piquer non plus Atlas, tu as bien trop peur, oubliant clairement une autre solution, celle que tu sois semblable à la femme qu’il avait perdu. Tu ne connais rien de lui, alors pourquoi tu penserais à cela ? Tu n’as pas de raison de le faire à vrai dire. Le souffle coupé, tu vois ton téléphone, tu le jonches l’homme face à toi, puis le téléphone. « On n’a qu’à faire comme si je n’avais rien vu … » Tu es complétement idiote, voilà que tu commences à t’imaginer ses réponses et autant dire que les réponses sonnent plutôt mauvaise que bonne. « Atlas ? » Il est silencieux rien de tel pour t’aider à paniquer un peu plus. Tu vas finir par faire une syncope.

@Atlas Mclaren a mirror effect ? Atlas.  1967697819
 
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Lun 31 Déc - 11:50


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{ a mirror effect?   }
crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

Tu n’arrivais pas à te retirer de ton esprit l’image de ces courbes délicates et de son regard à t’en transpercer tes iris. Tu n’arriver à d’ôter de ta tête se visage si angélique et cette lueur de défi qui brille dans ce regard. Une flamme qui semble ne pas vouloir s’éteindre. Tu ne te la retire pas cette image et dieu que tu viens à t’en vouloir d’avoir transgressé l’intimité des photos de son téléphone. Plus fort que toi, c’était ça, comme si c’était raviver les souvenirs d’un passé mort il y a quelques mois. Faire revivre Ornella au-delà de ces photos à elle mais, tu n’étais pas dupe, ce n’était pas elle. La ressemblance tait impressionnante mais, ce n’était tout simplement pas elle. Cela éveillait en toi une rage démesurée et la pauvre Tazmin en faisait bien trop souvent les frais presque malgré toi. Mécanisme de protection d’un myocarde qui avait déjà pris bien trop de coup. Il en pourrait supporter plus. Il en mourrait. Tu voulais te débarrasser de cette boîte démoniaque tu te tenais dans les mains. Tu voulais retrouver ton téléphone qui te servais de boîte à souvenir, qui te raccroches à ce passé que tu ne voulais pas mort. Tu n’étais pas prêt à aller de l’avant, non. La libération que tu crues sonner à la porte mais, c’était là surement le début de tout autre chose. Ce genre de chose inévitable dont tu avais aucun contrôle sur l’issu. Tazmin, là, devant la porte, frigorifié et toi, tu es encore soufflais par ce putain d’effet miroir. Cette putain de ressemblance venue d’outre-tombe. La laissant entrer dans ton chez toi sans mesurer la conséquence de cet acte pourtant des plus banal. Loin de toi l’idée d’exposer le secret que tu tiens éloigné d’elle. Ton secret ou celui qui expliquerais bien des choses. Qui l’aiderais à comprendre mais, tu n’étais peut-être tout simplement pas prêt pour qu’elle te comprenne. Tu voulais rester ce connard d’incompris car, c’était plus simple ainsi. La haine était tout simplement plus facile à gérer que tout le reste. Trop tard pourtant pas de retour en arrière possible alors que tu la fait entré juste pour qu’elle se réchauffe. Juste par élan de bonté car, tu n’es pas si horrible que ça. « On en a tous besoin, c’est horrible de ce dire que notre vie dépend d’un si petit truc ! » que tu lances comme si tu avais envie de faire la conversation alors qu’en réalité tu voulais juste qu’elle parte, que cette douleur qui te tourner le cœur se dissipe. C’était une torture que tu disais ne plus supportais mais, tu semblais en redemander à chaque fois. « Ravie de voir que vous ne me détestez pas au point de le cassé une deuxième fois ! » cela se voulait être une tentative de plaisanterie mais, tu n’étais pas doué pour ce genre de chose. Trop froid, trop fermer et tu ne sais même pas pourquoi tu tentais des efforts. Tout semblait en vain. Alors, sans plus attendre ou comme pour arrêter ce massacre tu te dirigeais vers l’imposant canapé pour récupérer son téléphone pour le lui rendre mais, arrivas ce qui devait arriver. Son regard qui se glisses sur les photos, ces images figé dans le temps, ces souvenirs qui te maintenais en vie. Arrivas le moment  des questions et tu ne t’étais pas attendu à ce qu’elle te prenne pour un malade. Tu ne t’tais attendu à rien après tout, tu n’as jamais compté lui révélé quoi que ce soit. Il avait fallu juste que ton putain de téléphone t’accroche encore et toujours à elle. Tu te relèves son téléphone dans tes mains et tu ne peux que la regardé. Tu la voie la panique dans son regard et les questions qui se bousculent. Tu l’écoutes même sa panique, sa colère presque… Tu l’écoutes et tu ne dis rien. Les mots coincé dans ta gorge et le cœur aussi lourd que tu plomb. Le cœur qui saigne. Des explications tu n’étais pas prêt à en donner et le destin te forcé la main. Ce foutu destin qui avait définitivement une dent contre toi. Ton prénom qui fend ces lèvres pour te ramener à toi, à elle… A l’instant. Tu ne savais pas quoi dire. La colère prenait encore et toujours le dessus alors que ton visage tendu par la douleur t’avait juste envie de la faire disparaître. « Votre téléphone… je peux avoir le miens ! » que tu lui lances froidement comme si c’était elle le problème. Tu lui posses sur la table basse incapable de supporter une proximité plus que celle que vous aviez à présent. « Tout ne semble pas être ce qu’il est, vous n’avez qu’à regarder de plus prêt… vous connaissez le chemin de la sortie ! » les dents serrer et les point agripper à eux même comme pour soutenir ton corps que tu sentais flancher. Tu te détournas d’elle et de sa perfection qui te faisais souffrir encore et toujours. Même morte Ornella avait trouvé le moyen de te hanter. Tu voulais mettre autant de distance que possible en allant à la cuisine ouverte en trouvant de quoi t’occuper pour ne pas t’effondrer. Pas avec Tazmin encore là...
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Dim 6 Jan - 16:06


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

Le froid t’avait pris en otage, taquinant chaque morceau de peau découvert, pas assez on aurait pu dire, mais suffisant pour que tu ressentes le temps glacial au point de frémir de froid. Tu n’avais qu’une idée récupérer ton téléphone et redonner celui que tu avais bien rangé dans ton sac à son propriétaire. Atlas. Mais bien des questions avaient naquis quand toi petit fouine tu avais été plongée tes yeux dessus, te demandant si tu pouvais voir plus que les messages. Tu aurais pu lire les messages envoyé à certaine personne, mais c’était protégé, comme tout le reste. Mais la chose qui ne l’était pas et qui te laissait la boule au ventre avec des interrogations c’était bel et bien cette photo de toi sur son écran. Tu aurais dû reculer, annuler le lieu de rencontre, faire la file raisonnable et envoyer un message pour vous retrouver en centre-ville, dans un lieu neutre et blindé de monde. Mais dans le fond t’es curieuse, qui sait où va te mener ta curiosité, espérant ne pas avoir à imaginer le pire. Le froid te pousse à ne pas refuser l’hospitalité de l’homme face à toi, tu pourrais presque oublier la question en tête, qui pourrait être rejoins par des petites sœurs. Sourire aux lèvres, tu ressens tout de même un peu d’angoisse, mais tu restes confiante, il a l’air d’un ours, mais pas d’un méchant non plus. Alors t’as confiance, peut être que t’es conne, et peut être que ça ne va pas durer. « Cette petite chose elle détient presque nos secrets, les photos dossiers, les souvenirs ! » T’as le sourire gravé sur le minois en pensant à ça, il détient tellement de chose le tien, ton cloud aussi, une histoire d’être sereine, ne pas oublier les visages des tiens, de ces personnes que tu n’as plus possibilité de tenir dans tes bras, d’entendre leur voir. C’est tellement bon que de les entendre, alors qu’ils sont absents. Quand tu as appris la nouvelle de la perte de ton père et ta sœur, tu as directement fermé les yeux, commençant à oublier, ou alors tu avais l’impression de le faire ? Peu importe les photos, les vidéos étaient là pour combler les vides de ton subconscient et les faires vivre. « J’y ai songé ! » tu rigoles, car ce n’est pas le cas, tu as protégé le téléphone de tout, en l’ayant emmitouflé dans un petit foulard pour le protéger des affaires que tu détenais dans ton sac. Puis dans le fond tu aurais pu lui dire que tu ne le détestais pas, non en fait tu ne le comprenais juste pas. Tu n’arrivais pas à le capter, à l’accrocher pour l’aider. C’était comme un iceberg perdu en mer qui ne faisait que s’entrechoquer avec les autres sans s’attacher. Il te fallait redoubler d’effort et ça tu l’avais compris, il ne te restait pas trop de temps avant d’abandonner, de le laisser entre les mains d’un autre parrain, pour qu’il l’aide. Mais t’as pas envie d’abandonner, de l’abandonner. T’es pas très sûre que ce ne soit que pour le fait de ne pas échouer dans ton nouveau rôle, dans le fond t’as pas envie d’avoir de réponse. Tu étais loin, trop loin de te douter que tu allais avoir si peur. Bien trop peur. Tu pensais poser la question, cette question rongeant ton esprit : qu’elle était cette photo sur son téléphone. Mais, tes opales avaient flirter avec le reste des ornements de la pièce, des photos, plein de photo de toi ou alors de lui et toi. Le cœur qui bat, qui chevauche dans ta cage thoracique, te demandant clairement de filer, de partir et de prier de t’en sortir. Mais t’as une bouche, trop grosse, faut que tu l’agresses et un esprit étriqué pensant au pire directement sans tenter de creuser. « Que si vous me laissez partir ! » T’es pas très rassuré et autant dire que tu prends le même ton que lui, tu te sens limite fautive à cause de lui, alors que t’as rien fait. Juste être saute. Puis, il te crache dessus, te laissant dans le salon, paniquée et interrogée aussi. Tu ne devrais pas l’écouter, pas regarder de plus près, pourtant t’es idiote et tu le fais. Tes pupilles qui nagent sur les photos, laissant ton esprit se poser des questions y répondre, trouvant parfois cela complétement idiot comme réponse que tu pouvais trouver. Alors, tu ne sais pas, tu hésites. Demander une explication, lui faire confiance ? Tu ne sais pas. Tu peux le faire ? Tu ne sais pas. Tu ne sais pas grand-chose là, de suite. Tu prends les deux téléphones, déposant le tien dans ta besace, alors que tu te retrouves à déposer le regard sur Atlas. « C’est quoi l’explication, c’est qui ? » Tu le demandes, car tu as bien comprit que ce n’était pas toi. Des cheveux plus court, ton grain de beauté manquant à son visage et peut être d’autre chose que tu n’aurais pas pu capter à travers des photos. Tu t’approches, mais tu es tremblante, déposant le téléphone prés de sa main dont la tienne aurait presque frôlé la sienne, mais tu l’as évité de justesse, la peur toujours amouraché de ton être.
@Atlas Mclaren  a mirror effect ? Atlas.  1967697819
 
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Mar 8 Jan - 0:20


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crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

Comme si tu n’avais pas assez morflé la vie continuait de te jouer des putains de tour. A te la mettre continuellement sur ton chemin comme si le destin essayer de te dire quelque chose. Comme si tu n’en avais pas fini. C’était une foutu ironie que celle qui était censé t’aider à sortir la tête de l’eau ressembler trait pour trait à celle qui t’avais fait plongé. Le sort s’acharné et pourtant tu n’étais pas de ceux qui se plaignaient. Non, toi, tu enduré en silence la souffrance qui te rongé des tréfonds de ton âme jusqu’au morceau de cœur qui te restais. Qui se battait pour survivre. Toi, tu n’avais plus l’envie, plus la force et pourtant ces rappels à la réalité ne cessé de revenir. Comme elle. Tu ne pouvais lui retirer sa ténacité mais, elle ne t’aidait pas ou tu n’avais tout simplement pas envie de l’être. Tazmin que tu fuyais autant que tu cherchais sa présence à t’en sentir comme un foutu malade mental. Un putain de masochiste qui cherchais à noyé la douleur par de la souffrance. Effacer le mal par le mal c’était ça que le destin te servais sur un plateau à chaque fois que tu pensais avoir réussi à t’en être débarrasser. Tu avais tout fait pour la fuir, pour qu’elle t’envoie balader et voilà que c’était encore ton foutu téléphone qui te trahissais à croire qu’il était attiré par les mains de la belle. A  croire que tu voulais secrètement qu’elle découvre le secret de ta vie ou celui qui rendait le tout si compliqué entre vous. Il n’y avait aucune place à la simplicité dans ta vie. Pas entre vous. Tu l’avais compris à la minute ou ton regard c’était déposé sur elle lors de l’un de ces galas. Tu l’avais confirmé à cette première réunion du cercle qui était censé te sortir de tout se merdier de deuil qui te bouffer la vie. A croire que tu étais destiné à rester au fond du gouffre avec elle en haut qui t’observer couler encore et encore. Sans fin. C’était sans fin. Pourtant, jamais tu n’aurais cru que tout se ramènerais à un si simple geste qu’un malencontreux échange de téléphone. Que la vérité éclaterait de la sorte d’un simple échange chez toi. Toi qui aimais tout prévoir, tout contrôlé la seule que tu ne pouvais pas semblait virevolté autour de toi comme pour te narguer sans que tu puisses rien y faire. Même ton ressentiment et tes répliques acerbes ni changer rien. Dans le lot tu semblais être le seul à te brûler littéralement les ailes. Tu prenais sur toi et tu t’essayais même à la gentillesse en la laissant entrer chez toi, en allant à une phrase sans une once de méchanceté mais, tout te revenais à la figure. C’était continuel. Inévitable. Même avec le sourire qu’elle réussit à te faire tirer de sa répartie qui te rappelle Ornella. Ta femme que tu as continuellement l’impression de lâcher rien qu’en autorisant à ce que Tazmin entre dans votre espace. Ton espace encore empreint de la présence de l’amour qui t’as quitté. Elle l’a remarqué la jeune femme et s’en ai fini de ton calme. Il a volé en éclat à mesure que la colère prend place pour retenir la douleur qui menace d’exploser. Tu te refuses à craquer devant qui que ce soit. Encore moins devant elle. Tu l’as rejettes, tu l’invite à sortir quand elle aurait fini de s’imaginer des atrocités sur toi. Tu avais beau jouer au connard tu n’en avais rien d’un dans le fond. T’étais juste brisé par la violence de la vie qui avait jeté son dévolue sur toi. Tu avais des difficultés à te comprendre toi-même alors, tu ne faisais même pas l’effort de te mettre à sa place. « Vous n’avez pas entendue ?! La porte est ouverte, vous connaissez le chemin… je ne vous retiens pas ! » Que tu lances de ton coin dans la cuisine ne voulant même pas lui accorder un regard alors que la boule dans le fond de ta gorge continue de grandir. Tout devrais être simple, facile à comprendre et pourtant elle en rajoute. Le couteau qui se tourne dans ta poitrine et qui y reste enfoncé profondément. Tu n’as plus la force de faire semblant là, les bras appuyer sur le plan de travail et le visage baissé alors que tu veux juste qu’elle s’en ailes. Tu sens sa présence à côté de toi. Celle qui se rapproche pour y glisser ton téléphone que tu as toi même envie de balancer à travers la pièce par rage. « A votre avis ?! Vous croyez vraiment que je m’amuserais à collectionner des photos de vous alors que je vous fuis comme la peste ! Vous pensez que je n’ai que ça à faire de mon temps !! Faire des montages de vous est moi !!! Vous ne comprenez donc rien ?! » Ton regard entre le noir et le brisé qui s’ancre dans ces prunelles que tu sens perdues. Tu te sens presque coupable pour elle…
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Mar 8 Jan - 14:12


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

Tu as sans nul doute visé la plus simple des conclusions, que cet homme était complétement barge, complétement tarée et qu’il fallait que tu ne l’approches plus. Mais ça s’était depuis votre premier échange, il n’avait cessé de tenter de te faire fuir, de te propulser loin de lui, loin du travail que tu devais faire, pour l’aider tout en t’aidant toi-même à sortir de cette spirale infernale qui ne cesse de prendre les âmes en mal, celle qui ont perdu, qui ne se sent plus en place sur cette terre. Mais tu t’es accroché. Tu es comme ça, quand une mission t’es donnée, tu veux la faire à fond, beaucoup trop parfois, mais tant que tu ne te mets pas toi en parenthèse ça te convient. L’aider lui ou les autres n’étaient qu’une simple mission et aussi une manière pour toi de savoir que tu pouvais t’en sortir, que le chemin parcouru depuis ces quelques années étaient là, présent dans ton esprit pour avancer, ne pas laisser ton cœur dans l’amertume. La peur t’avait pris place en toi, la peur quand tes opales avaient drivé sur ces photos, se visage si connu, le tien. Tu n’avais pas regardé les détails, tu avais foncé, laissant le reste t’échappé, laissant le ton utiliser et les mots faire comprendre à l’homme qu’il était sans doute dangereux pour toi. Alors, tu voulais partir, tu le voulais, mais tu l’écoutes, pourquoi tu le fais ? Il t’offrait une porte de sortie, tout bonnement. T’aurais pu laisser le téléphone, loin de lui alors qu’il te demandait de partir, la porte étant ouverte pour te voir partir. Mais, non. Tu ne le feras pas, car tes pupilles se sont attardés plus ardument sur les bouts de papier glacés, des photos le représentant lui, il avait l’air si : heureux. Tout le contraire de maintenant. Le regard vide, la brillance n’avant n’y était plus, le visage terne, sa luminosité l’avait quitté comme s’il était mort l’instant d’après sa perte. Tu ne sais pas qui il a perdu, car finalement Pablo ne le dit pas, c’était à Atlas de le faire Tu savais qu’il avait perdu de la famille, un bout de lui, comme toi, comme vous tous. Parfois ce sont des amis que les gens viennent pleurer avec vous, c’est tout aussi important, tu le sais tellement, tu considères des amis comme de la famille, pas tous, mais quand tu déposes tes yeux sur Sage ou Athénais tu ressens cela, alors les perdre te feraient autant de mal que la perte de ton père et ta sœur. La sensation que chaque seconde ton cœur t’est arraché, torturé encore et encore, c’est encore là, toujours présent, mais tu gères mieux, c’est ainsi que le groupe aide, mais il arrive que tu pètes tout, que tu as envie de tout foutre en l’air y comprit toi. Tu commences à laisser ton esprit faire les rapprochements. Mais il n’est pas compliqué de le faire, tu as peur de la vérité à cet instant, pensant que le fait que l’homme soit dingue, fou soit plus doux que la réalité. Ses mots t’arraches le cœur, laissant tout se compléter dans ton esprit aussi tordu que tu avais accusé l’homme de l’être, tu ne sais comment réagir, pourquoi c’est toi qui devait l’aider ? Tu devrais partir, ça serait si simple. Mais le voir si mal, prêt à craquer, tu le vois, sa voix est différente, son regard fuyant, tu connais tellement ça. Le fait d’avoir à être heureux, à ne pas donner notre chagrin aux autres pur ne pas rendre mal à l’aise. Tu l’as fait, tu le fais encore. La danse, seule elle te libère de ce poids que tu portes, rendant tes pieds sanglant pour finir par évacuer, laissant quelques secondes de répit à ton pauvre cœur qui en perd la tête. Le corps frémissant comme une petite feuille sans défense, qui n’est qu’un vulgaire jouet pour le vent. Tu tentes de rester droite, hésitante, déposer ta main sur son épaule, le toucher, ne pas le toucher. Tu as peur des questions qui cette fois brûle tes lèvres, laissant ton cœur s’emballer. Cette femme, ton reflet est-elle celle perdu ? Sa femme ? Les calculs sont si vite fait dans ta tête. Tu es mal, mais tu ne veux pas abandonner, car tu l’as déjà vécu, revoir les mimiques de ta jeune sœur chez une autre, le rire de ton père ailleurs, mais là c’était comme une copie conforme et c’était toi la personne qui représentait le mal. « Je suis désolée … » Tu voudrais laisser une question pénétrer la conversation, mais non. Tu t’excuse, regrettant d’avoir été celle choisi. « Je suis désolée de vous avoir accusé … j’ai été, non je suis idiote. » Tu souffles. Tu as l’impression que tu trouveras jamais les mots, la boule à l’estomac, tu as envie de garder le silence, alors que ta mémoire te hante, laissant tes souvenirs de ces dur moment sans les tiens. « Je sais ce que c’est … si il m’a mis dans vos pattes Pablo ne savait pas que j’étais … » Que tu étais quoi ? Une perfection de sa défunte femme. Pinçant tes lèvres. « Il m’a mis là, car je le sais vous avez un accident de voiture comme moi …. Je me suis pas réveillée … et quand je l’ai fait plus personne n’était là, tout le monde avait fait leur adieu sauf moi … il pensait que je pouvais aider … je suis désolée … » Les larmes qui ruissèlent contre tes joues, tu tentes de ne pas craquer littéralement, mais c’est tellement dur d’en parler, de réentendre tout ça, car tu ne le fais pas, tu ne parles que rapidement de ce que tu ressens, sans redire l’histoire, car tu ne l’assumes pas. « Je ne sais pas quoi faire … je partirais du groupe laissant ma place … » Puis ta main qui se pose instinctivement sur son épaule. « Je suis désolée ! » Tu n’as que ces mots à la bouche.
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Ven 11 Jan - 21:36


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Tu as mal. Mal à t’en recroqueviller en boule par terre et à laisser ton cœur crier comme tu le fais lors de ces cauchemars sans fin qui te hante la nuit tombé. Tu as mal mais, tu n’en montre rien de plus que ton regard aussi anéantie que ton être tout entier. Partagé entre la douleur d’enfoncer le couteau dans une plaie encore fraîche et celle de l’avoir si proche de toi. Tu l’as voie perdue et luttant contre ce qui s’agites en elle. Tu te voies lutter contre l’envie de la garder aussi prêt qu’éloigner de toi. La vérité aurait finit par tomber ou alors tu as crue pouvoir la gardé éternellement. Tu n’as étais qu’un pauvre idiot. Elle, elle n’avait rien de l’idiote de l’histoire. T’aurais surement ru qu’avec tout ça, elle aurait fuis mais, non. Surprise de ton âme de l’as voir s’accrocher. Comme attacher à découvrir la vérité sur toi. A l’apprivoiser.  Tout aurait été plus simple si elle t’avait fui une nouvelle fois te traitant de connard. Connard que tu étais alors qu’elle te tendait la main de son histoire aussi déchirante que la tienne. Plus surement. Toi, tu avais encore tes parents, tes frères et sœurs… elle, elle avait dû se reconstruire avec elle-même. Tu te serais flagellé pour tout ce que tu avais pu lui faire vivre jusque maintenant. Son pas vers toi, tu ne savais si cela allait t’aidé à t’adoucir mais, probablement qu’en l’instant c’était ce qui semblait le plus juste. « …et moi un pauvre con, arrêtez dont de vous excusez !! » ton regard qui s’accroches au siens pour y lire quelques chose que tu n’avais pas remarqué auparavant. La même lueur de désespoir, la même souffrance noyée sous un tas de faux semblant et de colère. C’était fort. C’était puissant. Indescriptible. Tu avais était un connard et tu ne pouvais pas lui garantir de ne plus l’être, ta vie régie pas tes foutue émotions. Ta foutue peine qui te rongé. Qui t’ensevelissais sous un torrent incontrôlable. « Ce n’est pas de votre faute ! » les mots que jamais tu n’aurais crue lui dire. Jamais tu n’aurais pu prévoir cette instant alors que ton plan ça avait été de la tenir la plus éloigné de toi. Loin des yeux, loin du cœur que l’on dit. Une autre belle connerie que les aînés vous enseignez gamin. Ton cœur c’était brisé à la perte de ta vie, ta femme. Le voilà se déchirant une nouvelle fois à la présence de son ombre. Il ne semblait pas y avoir de repos possible à ton âme. Pas de repose en paix pour toi. Tu l’avais compris et tu te laissais guider par le gré de tes humeurs au détriment d’autres. Tu l’écoutes son histoire et c’est comme si la souffrance du monde continuait inlassablement de poursuivre ceux qui avait une vie heureuse. Rien ne vient jamais seul. Le bonheur vient avec le risque de tout perdre. « Les adieu sont surfait, si j’en avais eu l’occasion je n’en aurais pas fait… les adieu rendes tout plus difficile. La seule chose que je changerais c’est crever à leurs place ! » Tu n’allais pas lui sortir des conte de fée, pas lui mentir sur le putain d’homme brisé que tu été. Elle l’avait compris d’elle-même. Tu n’allais pas non plus l’envoyer balader, tu n’étais pas si horrible qu’elle pouvait le pensé. Tu n’avais pas non plus l’intention de t’ouvrir plus que tu venais le faire. Non, ça, tu n’en avais pas la putain de force. Pas prêt à déballer comment tu avais perdu ta seule raison de vivre et le fruit de votre amour qui n’a même pas eu le temps de voir la lumière du jour. Cette peine, c’était la tienne et Tazmin semblait avoir assez à faire avec la sienne. Partager ne ferais que lui donner un fardeau de plus à porter. Tu étais vidé et le myocarde aux bords de la rupture. Ce chagrin que tu retenais dans le fond de ta gorge à t’e faire mal. Tu t’accrocher à cette douleur physique pour panser celle de l’esprit. « Arrêtez vos bêtise aussi vous voulez !!! Elle en est où votre détermination à me prouvais que j’ai tort ! Vous n’avez pas à partir, pas pour moi… J’ai supporté jusque-là, je le ferais encore ! » Les mots d’un désespéré qui est prêt à purgé sa peine. La culpabilité qui te rongé t’empêcher de voir claire mais, t’étais prêt à assumer toute les souffrances du monde si à l’arrivé, tu parvenais à te pardonner à toi-même à l’arrivé. « … et Pablo c’est un foutu abruti ! » que tu lances entre tes dents. Ouais, tu lui en voulais de t’avoir jeté en pâture en toute connaissance de cause. Il savait le con et il avait laissé faire et il n’y avait bien qu’un abruti pour penser que cela t’aiderais à aller de l’avant. Mélange de colère de cette infinie tristesse que tu ne retiens pas au-delà de tes yeux. Les fenêtres de l’âme que l’on dit. Tes prunelles qu’elle a lues aussi facilement d’un livre ouvert qu’elle en ose à glisser sa main délicate sur ton épaule. Le souffle qui se coupe et le cœur qui s’arrête. Paralysé par ce geste si simple qui te brûle jusqu’à m’âme. Ce geste qui te fait autant de bien que de mal. Un instant, là, sans bouger, prunelle contre prunelle puis… s’en est trop. Tu t’écartes, tu romps se contact avec un certain désespoir alors que ton cœur t’appellerais presque à la prendre dans tes bras. A l’embrasser mais, ton esprit, lui, il sait, elle n’est pas elle. Elle ne le sera jamais. « Je… » Les mots coupés autant que le reste avant que tout ne redeviennes se masque de contrôle et ta main qui se glisse sous son menton pour le relever pour y voir un moment son regard de plus prêt « Ne vous es-je pas dit d’arrêté de vous excusé ?!! » Tu n’en fais pas plus si ce n’est la lâché. « Vous devriez penser à verrouiller vos données personnelles ! » plus soucieux de la protéger que de lui révéler que tu as laisses tes prunelles s’égarer plus qu’elle n’aurais dû.
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Jeu 24 Jan - 20:32


Atlas & Tazmin.
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Idiote que tu es. Tu as pensé à mal, pensant que cet homme n’était qu’un dingue, complétement fou au point de coller ta tête sur un autre corps. Tu aurais dû le voir que tu étais juste conne. Son corps était plus courbée que le tien, plus harmonieux à ton goût, ton être étant un art, un modèle à façonner, il n’avait que des formes épurée et pas forcément très féminine dans le fond. Tu t’étais arrêté sur le pire, ne voulant pas songer un instant qu’elle était la femme, celle perdue, une parfaite goutte d’eau à ta propre beauté. Tu t’excuses, tu te sens si mal, maladroite aussi. Tu as glissé de la personne qui devait à l’aider, à une personne qui n’allait que lui causer du tort, tu le remarquais, tout s’expliquait à présent. Le pourquoi du comment il te fuyait en voulant te protéger cette fois-là où tout allait mal en ville. Mais toi tu n’as vu que toi à ce moment-là, ne voyant pas là, une opportunité d’en savoir plus. Peu gourmande de sa vie, pour te préoccuper de ta sœur, de ton père, de cette peine qui te bouffe, comme le feu ravage tout autour de lui. C’est un feu ce deuil, tu le combats, tu y mets toute l’eau possible, déversant les extincteurs que ton cœur disposent, mais rien n’y fait, celui-ci est sans cesse ravivé et nourris par ta peine et tes pensées. « Non vous n’êtes pas un pauvre con … vous êtes juste mal. » tu ne peux pas le juger, tu ne peux pas lui dire qu’il est un pauvre con. « J’aurais sans doute été plus méchante que vous avec cette personne ! » Cette personne voulait tout bonnement représenter cette folle ressemblance avec sa femme, tu t’imagines croiser la parfaite copie de ta petite sœur et tu n’auras qu’une envie la kidnapper ou alors la tuer pour ne plus jamais la croiser. Tu ne sais pas trop comment tu pourrais réagir, c’est compliqué de le savoir, après tout. « Hm … » pas ta faute ? Non, sans doute. Mais tu aurais aimé lui dire qu’il aurait dû prévenir, que tu aurais tout fait pour ne plus être dans ses jambes comme tu le faisais. Alors, oui, tout ça est un putain d’acharnement pour toi. Chacun a ses propres montagnes à gravir, alors ce n’est pas facile, car les épreuves sont juste insurmontables à ton goût. Comment lui ou toi, ou d’autres doivent s’en sortir ? Tu te le demandes, franchement tu te demandes comment cela est possible. Ça reste à vie ? Tu te le demandes. Pourtant tu n’avais pas ressenti autant de douleur à la mort de ta grand-mère, peut être une question d’âge, de comment on comprend la situation, puis le manque fût là, mais tu as évolué, grandit et tu n’as pas vécu ces pertes de la même façon. Tu le sais d’avance que là, tu ne les reverras pas, alors t’habituer à leur absences est impossible à tes yeux. « Moi aussi j’aurais voulu une autre fin … » Que tu dis avec tendresse. « Prendre la place de ma sœur … » tu t’efforces de garder les larmes pour toi, ne pas laisser en couler une. Mourir avec eux ou pour eux, peu importe, mais tu ne voudrais pas ressentir toutes cette peine, qui te prennent à la gorge, comme si les mains de ces émotions étaient nouées autour de ton cou, serrant un peu plus parfois, puis relâchant la pression d’autre fois. Prisonnière, vous l’être tous, lui aussi, tu le comprends. T’étais peut être trop jeune, trop sûre que tu pourrais gérer la peine des autres, t’aurais pas dû être là. Car dans le fond, tu es toujours cette gamine de dix-huit ans qui réalise que son monde s’est écroulé. T’avance, mais tu recules deux fois plus, sauf que tu laisses l’impression que ce n’est pas le cas. T’as compris le délire, sourire, ne pas cacher les choses et ne pas tout dire, ça fonctionne, ça fait de toi une personne forte, alors que tu n’es qu’une menteuse. Une menteuse douée, pour laisser croire que tout va bien. « Je suis toujours une battante. » Que tu répliques rapidement suite à ses mots. « Mais je ne peux pas continuer en sachant que je vais vous faire du mal .. . il y avait une raison à me repousser, je ne comprenais pas, mais je le fais maintenant … » Pinçant tes lèvres, tu essayes de ne pas tout tourner autour de toi. « C’est pour ton, votre bien ! » Que tu te reprends. Tu as peur de la familiarité avec lui, peur de le bouleverser, d’employer des mots qu’elle aurait pu employer. « Je ne veux pas avoir à être supporter, pas être un poids. » Tu laisses un petit sourire s’esquisser sur ton minois, les opales qui se déposent tendrement dans les siennes. Peur de faire une merde, mais tu essayes de te contenir, ce n’est pas toi la personne à qui on doit faire attention. « Mais … Pablo savait, il savait ? » Tu n’en savais rien. Non il ne pouvait pas savoir, c’est impossible. « Non, Pablo est bon il n’aurait pas fait ça, pas vrai ? » Tu fronces les sourcils, l’imaginant lui, cet homme t’ayant tenu la main, t’ayant aidé un minimum à reprendre une vie en main, pourquoi l’imagines tu te mettre un homme ou une fille semblable à ses personnes perdues ? Tu n’en sais rien. Les mots se soufflent, tu es désolée, ta main elle se pose sur son épaule, mais vos opales se perdent les unes dans les autres. Tu ne comprends pas, tu te perds oubliant ce que tu viens de découvrir, comme si ses yeux t’avaient ouvert une porte sur son âme. Il s’était décalé suis à tes mots, encore en train de t’excuser, la sensation que tu t’es déclarée coupable d’un crime que tu ne pensais pas possible. T’avais entendu qu’on avait tous un jumeau caché, mais là c’était trop gros. Sa main chaude sous ton menton, tu reperds tes opales dans les siennes, le cœur vibrant à un rythme qui t’écorche la respiration. Tu n’oses plus ouvrir la bouche. « Je suis désol … » tu stoppes tes mots, finissant juste par lever les épaules quand il rompt le contact de sa main avec ton visage. L’impression d’être folle, tellement folle que tu devrais prendre la fuite, sans jamais le revoir. Mais tu en as autant envie que l’envie de rester près de lui. Ce que tu ne t’expliques pas. Un petit sourire s’installe sur ton minois, alors que tu regardes ton téléphone. « Je le sais … » tu plisses le regard. « J’oublie ces petites choses de la vie depuis l’accident … et les codes sont mes plus gros problème et je ne peux pas faire confiance à mes pouces pour ne pas finir écorché par la danse … » Tu ne songes pas à lui voyant tes photos ou autre. « Puis je n’ai pas grand-chose à cacher. » Ce court échange te laisse prendre un peu plus de confiance y compris à ton estomac qui quémande un du, le du de manger pour la première fois de la journée après le petit déjeuner. Pas le temps de manger. « Euh … je devrais vous laissez.. je suis encore … » Tu secoues la tête, levant les yeux au ciel. « Rien. » pour ne pas dire désolée, encore.
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  Empty Mar 29 Jan - 18:40


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La tête qui se hoche tout simplement que dire de plus. Les mots ne suffisaient plus. Il était si futile quand la douleur était si grande. Si violente. La douleur qui terrasser tout. La douleur qui ne laisser aucun répit. La souffrance ton ombre. Ton toi. Tu n’étais plus que ça. Noirceur. Il pouvait le chercher, l’homme heureux n’était plus. Il ne serait jamais plus. Elle en était la preuve vivante. Là, devant tes yeux. Un fantôme, un doux mirage. Tentatrice illusion. L’effet miroir de celle que tu as aimait. De celle que tu aimes encore. De celle qui déchire ton cœur de chaque jour qui se suis. Tu es là, elle n’est plus. Pourtant elle te suit. Elle te hante. Une ironie. Tu avais joué, tenter de fuir. Le connard n’avait pas gagné. Tu ne gagnerais jamais ce combat. Tout était perdue d’avance et cette fichue culpabilité qui surpasser tout. A quoi bien te battre. C’était un combat en vain. Tout était en vain. « Ne me cherchez pas des excuses ! Vous voulez ?!... J’accepte mon rôle, je n’ai pas d’excuses ! Lâche, égoïste, connard… je suis toutes ces choses ! Votre prévenance ne m’aidera pas… » La froideur de te mots. La violence de la vérité. Ta vérité. Elle était moche mais, elle était ainsi. Tu vivais avec depuis des mois. Tu vivrais avec jusqu’à ton derniers souffles. « Partir c’est facile, c’est resté qui est insurmontable… je serais partie avec eux si on m’en avait laissé le choix !! » il n’y avait aucun mérite à être en vie. Pas pour toi. Pas seul. Tu te repasser chaque jour la douleur en boucle. « Être en vie c’est ma putain de punition !! Mon putain d’enfer sur Terre !! » Pour toi, il n’y avait pas d’autre explication sur le fait que ta vie avait été épargné. Tu avais de la chance que les médecins avait dit mais, qu’elle chance ?! Une belle connerie. Tu n’avais aucune chance. Tu n’avais plus rien. Tu n’avais plus de raison de te débattre chaque jour. De te réveiller le matin. Plus de raison d’avancer. De vivre. Tu méritais la souffrance. La douleur. La peine. Il n’y avait aucune chance à survivre seule. La belle fleure en face de toi devais le savoir autant que toi. « Je ne ferais que vous brisez… je ne suis plus celui que j’étais !! Je ne vous repoussez pas pour moi mais,… pour vous ! » La vulnérabilité de ce cœur que tu contiens qui s’ouvre. Elle te prend aux tripes la jeune femme. Elle te cueille et tu en as peur. Pour elle. Tu en as brisé une,… une deuxième, tu ne le supportais pas. Tu vivais déjà difficilement avec toi. Tu ne pourrais plus le faire après l’avoir brisé elle. Pas elle. Pas Tazmin. Pourtant, quelques choses te poussaient presque à l’accrocher à toi. A te laissais aller à plus qu’une simple main délicatement posé sur son menton. « Il est venu ici Pablo, plus d’une fois… puis pas compliqué de savoir ! Ma putain de vie et partout dans les tabloïds, sur internet… il savait ! » Tu l’aurais étranglé d’une main si tu l’avais eu en face de toi. Quel esprit tordu pensais que tu pourrais guérir au côté d’une copie conforme de ce que tu pleurer chaque jours depuis plus de six mois. Un plus gros connard que toi c’était certains. Le sourire timide qui fend tes lèvres pour elle. Pour tenter de la rassuré. Dieu que tu te sens incapable de l’éloigner et pourtant il le faut. T’es qu’un foutu lot de contradiction. La protégée, la garder pour toi et te nourrit de se souvenir malsain qui vie au travers d’elle. Malgré elle. Tu devrais acquise, la laisser partir. Qu’elle s’éloigne sans un autre mot de ta pars mais, tu ne peux t’y résoudre. T’es-en vrac. Elle te met en vrac. « Il n’y a rien de plus personnel que des photos ou un message échangé… vous ne savez pas sur qui vous pourriez tomber ! » que tu lances le regard droit dans le siens. T’as se soucis d’elle, se soucis de la protégée qui te prend au corps. Au cœur. C’est plus fort que toi. Tu as l’âme connecté à la sienne à t’en faire souffrir à t’en arracher le peu qu’il te reste en toi… pourtant tu restes là, masochiste. Prêt à en redemander, à souffrir un peu plus pour te délecté de chacun de ces petit truc qui te font sentir proche de ta femme. Elle n’est pas elle, tu le sais mais, tu te laisses happer par la tentation. Pas le démon. Tu brûleras en enfer dans tous les cas. Ta main qui l’a rattrape avant qu’elle ne t’échappe. Idiot. Tu devrais la laisser partir mais, tu en as besoin. Besoin d’elle, juste un instant. Un petit moment avant de retourner à ta souffrance. « Restez… un peu ?! Enfin, si vous voulez ?!... j’ai des lasagnes, trop pour moi tout seul ! » Pas de sourire, pas de grand geste. Juste toi. Toi qui se reflètes dans son regard qui te fait autant de mal que de bien. « Reste… je t’en prie ! » tu t’y prends à cette proximité, tu en as besoin. Désespérément besoin.
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