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 a mirror effect ? Atlas.

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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 3 Empty Lun 1 Avr - 15:57


Atlas & Tazmin.
A mirror effect ?

Les opales qui sourient, le sourire qui le console un peu. « Maintenant je le sais. » tu le sais déjà, déjà gamine t’étais toujours déterminée à réussir un nouveau pas de danse, un nouveau mouvement, à t’en faire souffrir à sang. T’as toujours tout donné de toi quand il le fallait, même beaucoup trop au goût de ta mère qui elle aurait voulu que tu ne te consacre qu’à l’art, que tu deviennes toujours et pour toujours la meilleure, oubliant le reste. Même le deuil. Elle n’était plus la même, toi non plus et tu voulais être la Tazmin d’avant durant un temps, mais t’as bien vite capté que tout cela était impossible. Cette Tazmin était encore là, mais elle avait évoluée, comme chaque personne qui se retrouve le cœur brisé ou endommagé. Tu ris à sa remarque, lui pas têtu, il doit être le pire âne que tu es pu croiser, mais tu passeras bien volonté de lui dire qu’il est comme un âne. Tu lui offres juste un sourire et un petit regard se posant dans le sien qui signifie tout simple : mais bien sûr. Au moins il est capable de faire monter l’envie en toi de te battre, de prouver que tu peux l’aider, un défis, mais clairement plus. Tu apprécies l’homme, il est touchant, sans même en avoir conscience sans doute. T’as le sourire loin de l’arrivée de cette rencontre où tu étais à la limite d’appeler la police pour te défendre de ce fou. T’as pas la sensation de faire d’effort pour l’aider, car lui aussi il t’aide, tu t’en rends pas compte, et lui non plus. Alors, que le regard est perdu sur le queens, les lumières nonchalantes charmant vos opales, le courant d’air qui vous caresse et vous berce. T’as le cœur qui implose, les souvenirs qui viennent à toi pour te faire du mal. Te rendre et te mettre à mal. Le ciel c’est la terre de tes proches, de vos proches, plus proche d’eux, alors que tu avais ce manque qui te rongeait sans doute le même qui pouvait bien ronger Atlas. Tu essayes de ton mieux, de laisser les larmes là où elles sont, ne pas craquer, ne pas flancher. T’es pas là pour guérir tes maux, mais les siens. Ce soir, c’est lui, Atlas que tu essayes de rattraper et de secourir de ces abymes ou tu es sortie, mais où parfois tu plonges sans même percuter que tu rechutes. C’est une sorte d’addiction ce mal qui ronge, qui nous rappelle qu’on est encore là, toi ce mal tu l’aimes dans le fond, tu ne danses jamais aussi bien quand ton âme tourbillonne dans ces abysses, lugubre et amer. « Je ne peux que dire oui à ces belles paroles, les femmes ont toujours raison ! » T’as les yeux qui pétillent sous tes mots, ça te fait rire, clairement pour toi les femmes ont bien plus de pouvoir que ces messieurs, ce n’est pas compliqué. Faudrait juste que parfois entres elles, elles cessent de se tirer dans les pieds. Le sexe fort, les femmes, c’est tout. « Je trouve ça magique moi, de se dire qu’ils sont là, qu’ils nous guident sans qu’on le sache. » Que tu ajoutes en souriant à ses propres propos. « Je pense que ça marche dans les deux sens … » Un petit sourire et tu t’expliques. « Je croyais en une force supérieur, on peut appeler ça un dieu ou peu importe, avant l’accident, mais je ne vois pas pourquoi un dieu ferait du mal à des personnes qui n’ont jamais fait … alors j’y crois plus, je ris à chaque fois qu’on me parle d’un putain de dieu ! » Tu te confies toi aussi, sa présence à lui elle te fait du bien, il ne connait pas toute ton histoire, le beau et le moche, alors tu lui dis, tu racontes à manière douce et triste à la fois. Le sourire qui s’étend toujours un peu plus en sa compagnie. Une manie. Non, mais une habitude. Te sentir toujours désolée pour les autres, toujours te remettre en question, c’est con, mais parfois chiant. « On a tous une sale manie, pas vrai ? » Si seulement tu avais que celle-là, rien que quand tu dansais tu en avais une, celle d’oublier de respirer, de restais souvent en apnée, oubliant de prendre l’air qu’on t’offrait. « Je suis là pour vous, on n’est pas là pour moi … » même si ça fait du bien de parler de toi, avec lui, vos vies sont si semblable tout en étant différente à la fois. Sensation étrange. Désire de le connaître, de le rassurer, d’être la bouée qui le sauvera de sa noyade, une noyade dans la peine qui ne doit cesser de le submerger. Tu souris en découvrant la présence d’une amie. L’esprit qui tourbillonne pour savoir qu’elle style d’amie, puis pourquoi cela intéresserait ton esprit après tout ? Tu souffles sur ces interrogations souriant à nouveau. « Vous devriez peut être pensé à l’invité un jour pour manger avec vous, peut être que c’est un message pour avoir un repas comme celui-ci avec vous ? » Au final, t’as quand même posé des questions cachées sous un conseil assez minable dans le fond. Pourquoi ? Pas envie de savoir, pas envie de répondre à la kyrielle de question qui se faufile à cet instant dans ton esprit. « Merci. » puis tu ajoutes. « Vous pouvez me tutoyer vous savez ! » ça te paraissait tellement étrange le vouvoiement de lui à toi, alors que beaucoup moins dans le sens inverse. Tu laisses ta fourchette se guider à ta bouche, laissant la bouchée fondre dans ta bouche. Un délice et ce petit bruit presque semblable à un petit cri de jouissance qui s’extirpe d’entre tes lèvres le fait savoir, sans mot. La lèvre inférieure qui se fait croquer par tes dents tellement tu aimes ça. La nourriture chez toi c’est sacré, malgré que tu sois danseuse, t’es pas dans l’excès de la nourriture ou dans autres choses qui rend ta relation malsaine avec la bouffe. « Ah oui à ce point-là, donc vos proches vous connaisses d’accord mais les nouvelles rencontres se renseigne via les magazines ou encore internet ? » Que tu demandes amusée. Tu connais bien ça et ce genre de personne tu les évites. T’as horreur que les personnes préfères croire des dires de personne qui fabule souvent sur ta vie plutôt que te demander à toi. Tu n’as jamais trop comprit le fait qu’on ait le besoin de suivre les âneries des journalistes à scandales. Tu continues de picorer tes lasagnes avec envie, tout en gardant ton intention sur l’homme face à toi, le sourire qui le dévore. « Ouai et bien je ne veux pas lire la presse à scandale, mais vous écoutez parler de vous c’est mieux … » que tu lâches en souriant. « Vous avez toujours su que vous alliez reprendre l’empire McLaren ? » Un empire que tu connais, toi aussi tu étais dans un empire qui fait que forcément tous les empires se connaissent sans vraiment que ce soit le cas.
@Atlas Mclaren  a mirror effect ? Atlas.  - Page 3 1967697819
 
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Message Sujet: Re: a mirror effect ? Atlas.    a mirror effect ? Atlas.  - Page 3 Empty Lun 22 Avr - 21:36


≈ ≈ ≈
{ a mirror effect?   }
crédit/ tumblr ✰ w/@Tazmin Milwok

T’es bien Atlas, peut-être un peu trop. La chaleur qui te réchauffe ton cœur blessé pas un trop plein de douleur emmagasiné. Mais, t’es trop léger Atlas, elle est où la souffrance. Oh, elle guète surement alors, que tu te laisses aller à cette instant de répit dans le flot de tourment qui berce tes jours depuis six mois. T’es en lutte Altas, avec toi-même pour ne pas te laisser rattraper par les démons cajolant ton âme. Tu te laisses happer par ce doux regard qu’elle dépose sur toi et ces mots qui ravivent le délicats de tes pensées qui ne sont plus. Tu veux l’oublier la culpabilité. Tu veux l’étouffer cette petite voix en toi qui te cries que tu n’as pas le droit. Pas le droit au bonheur. Plus le droit à rien encore moins à la douceur de la belle devant tes yeux. –réveil toi, Altas, tu ne ferais que la blesser elle aussi. Elle n’a pas besoin de cela, pas besoin de toi.- Pourtant, tu voudrais y croire à ces mots d’espoir et à tout le reste Elle te ferait presque y croire à la putain d’illusion qu’un jour tu puisses t’en sortir et tu les joues les fichus égoïste toujours persuadé que tu n’as rien à lui offrir. Rien d’autre que de la douleur et de la souffrance. La coquille vide que tu crois être devenue ou t’es juste celui qui se raccroche au fantôme d’une femme qu’il ne rêvera plus. Pourtant, tout semble si simple vu de là. Elle, toi et l’instant. Rien d’autre que ça. Que vous. Elle est tordue la situation. Aussi malsaine que les ides qui traversent ton esprit ou toi tentant de te convaincre qu’elle n’est pas elle. Elle ne le sera jamais. Tu le sais et pourtant tu t’y accroche comme à une foutue bouée de sauvetage persuadé de ne rien en tirer de bon. Peur de l’emporter dans ton sillage, de la faire couler avec toi. Tu n’tais bon qu’à cela. Semer le mal et elle, elle tu voulais la préserver. Désespérément mais, juste l’espace d’un instant tu t’autorisé à rêver. Rêver à ces côté. « Aha… mais vous serez surprise de savoir que je suis un féminisme dans l’âme !! » assez contradictoire pour un homme qui a était d’autant plus élevé dans un milieu d’homme. Pourtant, tu as toujours eu un profond respect pour les femmes et le double travail qu’elles doivent accomplir pour s’en sortir dans la société. Une pensée, pour ta mère et ta sœur. Pour Ornella aussi et même toutes ces femmes qui t’ont aidé de prêt pou de loin à devenir l’homme que tu es aujourd’hui. Tout du moins l’homme que tu étais il y a quelques mois. Avant que ton monde tout entier ne s’écroules et pourtant plus tu l’écoutes la belle plus te dis qu’elle a réellement raison. Raison mais, tu n’es pas prêt à le vrai réellement ou tout simplement à l’accepter. Tu t’es tellement enfermer dans une pseudo solitude ou dans le déni que tu ne t’en contente pas de leurs présence d’en haut. Tu te sens tellement vide, incomplet qu’il ne te semble avoir aucun mots qui pourraient consoler tes peines. Pas même les plus juste du monde. Pas même la vérité. Pas maintenant. « J’aimerais voir les choses de façon aussi belles que vous, magique je ne sais pas… » Que tu laces le regard accroché sur son être. Sur sa beauté. Le profond de tes iris qui veulent décoder chaque recoin de son âme. Qui veulent capturer chaque détail de ces prunelles. « Surement que oui… je ne vois qu’un sens de là où je suis… » Tu voudrais voir avec ces yeux. Avec son cœur. –apprend-moi Tazmin, réapprend-moi à vivre…- « J’y croyais aussi mais, comme vous dites…. Comment ?!... comment est-ce possible… Je mettais les pieds à l’église tous les dimanches avant l’acc… enfin, je n’ai pas pu y remettre les pieds depuis l’enterrement ! »  Souffles et le regard qui s’éloignes. Le corps qui s’enfonce dans la chaise au note d’un soupire de tristesse lâché par ton palpitant. Les lumières de l’horizon que tu laisses danser devant toi et comme une envie d’y plonger pour ne plus jamais en ressortir. En revenir. Ces mots qui raisonnent en toi comme l’écho de tes propres pensées que tu ne veux pas accepter pourtant elle est là. Sa présence qui t’appel, qui t’enveloppe. Désespérément attirer par sa beauté et ces yeux que tu ne peux te résoudre à quitter plus longtemps. Comme la peur d’un rêve duquel tu te réveillerais. Comme la peur d’avoir à revivre une perte que tu ne supporterais pas une seconde fois. Un sourire que tu glisses sur ton visage de ceux qui se font si rare ces derniers temps. « Je dirais même que c’est ses sales manies qui font tout le charme des gens… » Tu les appuis peut-être un peu trop tes mots de ce regard pénétrant. Profond qui se glisses en elle. Sur elle comme si tu voulais lui donner les clés de ton âme. De tout. « …et si moi j’ai envie d’être là pour vous ?! » sérieux dans les mots, dans la voix et ces sortie tout seul. Toute seule cette pensée que tu aurais voulait garder pour toi. Le cœur laissé sur la  table et la raison de côté. – t’es qu’un égoïste atlas mais, tu te le rendras bien. La culpabilité te le rendra bien…- « Aha… Isabella ?! Non,…. Enfin c’est comme une sœur ! Elle nous a pour ainsi dire mariées avec Ornella… » Que tu lances sans comprendre même pourquoi tu te justifies. Comme cette étrange sensation de lui devoir quelques choses. Comme si tu voulais lui effacer certains doutes. Répondre à ces silencieuses interrogations, celle que tu aimerais qu’elle se pose aussi malsain que cela puisse être. – il n’y a personne Tazmin, non,… je ne voies personne d’autre que sa beauté. La tienne…- Sourire gêné et tu te concentre sur ton assiette pour ne pas te perdre. Te perdre d’elle. « Aha… j’aime bien le vous, je suis un peu vieux jeu je l’avoue mais… tu…si tu veux alors… enfin j’essaierais ! » une barrière qui tombe en même temps que cette brèches qu’elle ouvre dans ton cœur et cette peur qui te paralyse. Celle te perdre à nouveau. Encore et toujours. Pourtant, tu continues… Tu continues à te livrer dans ce que tu ne devrais pas faire mais, tout te parait si simple. Comme si elle avait une clé que tu avais perdues il y a quelques mois. Une clé que tu ne pensais plus jamais retrouvé. « Aha… les nouvelles rencontre, je n’en fait pas beaucoup du moins… de celles sur qui on peut avoir confiance et compter !! Beaucoup d’opportuniste… et oui, les magazines connaissent apparemment mieux que moi ma propre histoire !!! » Colère ou lassitude surement un peu de tout. T’en souffrait plus que tu ne voulais le montrer de ce genre de situation. De voir ta vie ne même plus vraiment t’appartenir mais, pour la première fois depuis longtemps tu avais l’impression d’avoir quelqu’un en face de toi qui comprenais ce que tu vie. Ta frustration. Quelqu’un qui se souciais de toi réellement et pourtant t’en rester effrayer. Effrayer de la blesser en chemin. Cela tu ne le pardonnerais pas. « Aha… vous êtes sûr, on y trouve des trucs intéressant dans les magazines !! » Un sarcasme dans toute sa splendeur peut-être bien pour masquer le bien fou que les paroles de la jeune femme te faisaient. « Aha… on ne peut pas dire que j’ai eu le choix, je suis né dedans mais, disons qu’avec mon frère et ma sœur on y a chacun trouver notre place naturellement… » Maintenant tu n’étais plus très certains de ta place. Tu ne sentais plus nulle part à ta place en même temps. « Et toi alors… tu as toujours su que tu voulais être danseuse ?! » le regard qui ne la quitte plus et un réel intérêt u delà de ta question. Comme une envie profonde de te connecté au-delà de l’instant. Au-delà de tout. Te raccrocher à quelque chose. A la vie peut-être…
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