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 taisez-moi. (atlas)

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Message Sujet: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Dim 17 Fév - 23:17

taisez-moi.
trois petits coups à la porte, une attente de quelques minutes et c’est une personne que tu commences à connaître que trop bien qui t’ouvre, qui se présente en face de toi. salut. ton sourire habituel sur tes lèvres peintes couleur carmin, tu l’observes un instant avant de t’avancer, avant d’imposer ta personne pour embrasser le coin de ses lèvres et passer sa porte.
tu ne savais pas vraiment ce que tu tentais de faire en t’imposant ici, en déambulant chez lui, en faisant claquer tes talons là où ceux de sa femme étaient passés bien avant les tiens, et beaucoup plus. c’était la première fois que tu voyais l’intimité d’atlas, c’était une nouvelle manière de t’accrocher un peu plus à son âme. ce n’était sans doute pas une question de t’imposer face au fantôme de son ex-femme mais presque. tu ne serais pas une femme pansement. tu ne serais pas celle qui lui soignera ses blessures ancrées au plus profond de sa tête. mais tu t’imposais. comme la reine des enfers, comme celle qu’il t’avait permis d’être. il t’avait permis d’entrer dans sa vie comme dans sa maison. et tu ne comptais pas y partir, jamais. désolée d’arriver à l’improviste. brice m’a passé ton adresse. tu lances, ton regard passant par dessus ton épaule pour le voir, petit sourire sur tes lèvres. pas besoin de préciser que le fameux brice, votre psy de groupe manque clairement aux règles de confidentialité concernant ses patiences, ni préciser à quel point il fut facile pour toi d’obtenir cette adresse. un café et monsieur fut aussi heureux qu’un jouant à la baballe avec son maître. tu retires ton manteau pour le déposer contre le dossier d’un de ses canapés.
le regard sur l’espace luxueux, t’as un petit sourire en découvrant où vit le pilote. c’est sympa chez toi. tu lances, comme dans un semblant de déjà vu pour ta propre personne et non pas avec atlas mais avec un autre homme, quand tes mains se posent sur les meubles et les effleurent, quand ton regard se pose sur un cadre photo au lieu d’un livre. jolie brune  aux yeux clairs en robe de mariée posant amoureusement et avec la lueur heureuse aux côtés de l’homme qui est aujourd’hui un de tes amants. tu prends le temps de détailler le fantôme de son passé et qui le hante toujours autant avant de reposer doucement, toujours en silence. tu ne feras aucun commentaire sur elle, aucun commentaire pour avouer qu’elle était jolie, qu'elle avait l'air douce et gentille, amoureuse. simplement parce que t’es pas là pour lui donner ce que tu ne veux pas toi-même recevoir, que l’on te rappelle ce que tu as perdu et ce que tu pourrais avoir aujourd’hui. il a pas besoin de ta pitié, ni d’aucunes autres personnes. comme toi. c’est pas non plus cela votre arrangement. pas de mot, que du sexe, que des moments où vous oubliez tout, où tu peux absolument mettre de côté les événements destructeurs et ravageurs qui te bouffent la vie, tout comme les personnes de ton passé qui te rattrapent comme si tu avais arrêté de fuir, comme dans ces rêves où il t’était impossible de courir pour échapper au prédateur. tu te sentais incapable, tu sentais ta vie t’échapper. alors quand c’était le cas, quand plus rien n’allait dans ta vie, t’avais juste besoin de ça, d’un mec. et encore plus d’un mec comme mclaren. parce qu’encore une fois, était-il nécessaire de le rappeler ? vous viviez dans la même chose, dans la perte, la même douleur, le même chagrin. il te comprenait. tu le comprenais. et t’avais besoin de te perdre dans la chaleur de ses bras musclés, contre ses baisers aussi passionnés que colériques, parce que tu le savais bien. tu le savais pertinemment que pendant vos étreintes, l’homme tentait d’oublier la femme qu’il avait perdu dans les tiens, l’homme déchargeait sa colère contre toi. d’une certaine manière, il se servait autant de toi, que toi te servant de lui.
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Mar 19 Fév - 22:01

taisez-moi.
Tu rentrais tout juste du boulot ou plutôt de l’échappatoire. Celui qui t’empêcher d’errer telle une âme en peine sous ton propre toit. On ne pouvait pas dire que tu te tuer à la tâche au travail. Le pilote déchu qui se refusaient à conduire. Réduit à des crises d’angoisses rien que sur le trajet commun d’ici à là-bas. A en faire perdre patience à ton chauffeur et à tout le monde d’ailleurs. A s’en demandais comment tout le monde faisais pour te supporter surement tous guider par ce putain de sentiment qu’es la pitié à ton égard. Tu l’as détestais cette pitié. Toi, à en faire le connard pour qu’on finisse par te remettre à ta place mais, à attendre en vain. Comme si avoir tout perdu t’accorder des droits d’en faire baver à ton entourage pour te sentir mieux et encore… Tu ne te sentais que plus coupable à l’arrivé. Personne pour te secouer, personne pour te comprendre. Finalement même entourer tu restais aussi enfermé dans la solitude. T’en étais lasse de cette fichue solitude. T’en chérissais le calme mais, tu avais besoin qu’on te brûle autant que tu brûlé. Qu’on te consume jusqu’à épuisement. Qu’on te fasse du mal pour nourrir ta propre douleur. T’en demandais surement trop à des gens qui n’y connaissaient rien à la souffrance. Pas la peine de cœur bateau ou un bobo au doigt. Non. Toi, tu parlais de celle qui détruisait tout. Sans répits. Sans questions. Peut-être bien que tu l’avais trouvé cette personne aussi tordu que toi ?! Ton échappatoire. Celle qui savait parler à tes démons et les caresser de sa propre douleur. Ouais, tu l’avais cette personne mais, rien était aussi simple que la culpabilité qui finissais par reprendre ces droits à l’arrivé. C’était peut-être l’appel du destin ou l’ironie de tes envies pour que la sirène te suive jusque sur ton rocher. Coïncidence de ton esprit qui dérives vers le siens pour que la sonnerie retentisse de ces mots. De son corps. Les démons toujours plus réactive que les anges. Toi, l’idiot prêt à te dépossédé de ton âme pour une pause dans le calvaire de tes pensée. De ta vie. C’était peut-être là, le soulagement dont tu avais eu besoin. Il n’y avait eu qu’à penser ou que finalement vous étiez encore bien plus connecté que tu le pensé.  Elle ne te laisse par le temps a tentatrice elle s’immisce jusqu’à la part la plus sombre de toi pour la cueillir. Elle la cajole de son regard et là l’attise de sa simple présence. La surprise qui passe sur ton visage à la porte qui s’ouvre sur la belle au rouge à lèvre carmin. Insolente sa beauté qui ne demande qu’à être prise. Elle s’efface bien vite la lassitude de ta journée et le corps qui se décale pour la laisser rentrer sans réfléchir. T’en as pas envie de réfléchir. Foutu pour foutu de toute manière. « Merci Brice… » Que tu lances aussi sarcastique que secrètement ravie de la connerie du gars qui vous sers de pseudo psy lors de ces inutiles séance de groupe. Tu pariais qu’il ne lui avait fallu qu’un sourire un peu t’attention de la belle pour lâcher l’information. Tu avances dans la pièce à vivre et ne perd pas une miette de la Nana qui explore avant d’accrocher son regard sans avoir à poser la question tu savais ce qu’elle était venu chercher ici. Ce soir. « Tu ne peux plus te passer de moi, c’est ça, que tu te pointes chez moi ?! » le regard perçant, le sourire en coin et le désir pour seule arme. Tous les deux vous connaissiez la finalité de ce jeu. Il finissait toujours de la même manière « T’es pas venu admirer la déco… » Que tu ajoutes le regard ancré dans le siens et le corps qui ne bouge. Tu te laisses juste absorber par la tension qui s’agite autour de vous. Tu te laisses bercé par l’électricité comme si elle signé ta putain de rédemption.
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Jeu 21 Fév - 14:21

c’est le rire qui sort de tes lèvres. l’amusant, le reconnaissable, le détestable, face à son remerciement sarcastique. toi aussi tu trouves qu'on devrait remercier brice ? lueur joueuse au fond de tes yeux posé sur lui dans ce regard passé par dessus de ton épaule, brice est déjà totalement remercier, totalement satisfait, et peut-être déjà redemandeur. il l’a eu son café et ce moment en ta compagnie. et t’as eu ce long moment de thérapie privée mêlée à une drague approximative.
impossible de se passer de lui ? tu ne sais pas réellement. le pilote, tu l’aimes bien. ton pilote, il est devenu cette nouvelle lubie. un exutoir sur les différents et précédents événements qui chamboulent ta vie depuis quelques semaines. un baume sur tes anciennes et vilaines blessures. toujours le temps de longs instants, le temps de perdre la tête, d’unir tes plaies encore ouvertes aux siennes dans des étreintes délicieuses, dans des étreintes parfois vengeresses. contre ce corps musclé qui t’enferme, te maintient et épouse parfaitement les courbes de ton corps. la sécurité, c’est étrange mais ce sentiment pourrait convenir à ce que tu ressens dans ces moments où il prend soin de toi, où ses lèvres parcourent ton corps qu’il commence à si bien connaître. comme celui qui fait te sentir parfaitement connecter à lui, comme celui qui te rend peut-être un peu accro.
car elle est comme cela ta vie. t’es accro aux choses qui te maintiennent dans ton passé. accroc à ces choses qui te font souffrir. t’es accro aux souvenirs traumatisants, accro à l’éventualité que tu ne sois plus jamais seule à ressentir le manque, le trou dans le coeur, la noirceur dans ton âme.
alors, est-ce que c’est le cas ? est-ce que c’est pour ça que tu te pointes chez lui ? possible. tu souris, sans lui adresser, les yeux sur la photo, les doigts qui frôlent le canapé. jusqu’à te retourner vers lui, jusqu’à ce que vous vous fassiez face. la tension entre vous déjà présente, les membres déjà vibrants, enflammés, impatients.
il sait et il veut. il joue et tu veux. tu adores ça, les jeux, la séduction titillante. les sous-entendus puis les concluants.
juste venu pour admirer la déco ? peut-être que si... c’est ton corps qui avance, dans ce balancement de tes hanches naturel. ce sont tes talons qui se mettent à marteler le sol pour le rejoindre. lentement. dangereusement.
comme la reine des enfers, tu es celle qui vient cueillir. celle qui vient prendre son dû, ce qu’on lui a promis. et on t’a promis tellement de choses dans ta vie. tant de choses qui se sont brisées, qui n’ont jamais atteint leur but, de ceux qui ont rompu leurs promesses, de ceux qui t’ont tourné le dos. on t’a promis l’amour, la passion, tu n’as reçu que la tristesse, la peine, l’abandon. on t’a promis la vie, l’adoration, les rires cristallins d’une petite-fille, tu n’as reçu que le silence, la douleur, le chagrin, la mort. à présent, tu n’attends plus. les devants, les décisions, tu n’attends plus qu’ils viennent des autres. la propre maîtresse de ta vie, c’est terminé depuis si longtemps de
peut-être que non... c’est ton corps qui s’arrête à quelques centimètres du sien. tes yeux qui le jaugent, le défient à quelques centimètres des siens.
faut dire qu’il y a certaines choses intéressantes ici. sourire coquin, mutin. flamme dansante, écho de tes désirs, de ton désir pour lui.
toi.
ta tête se penche légèrement sur le côté, le bras qui se lève, le doigt qui vient glisser sur l’arête de sa mâchoire, la dessine, la caresse. le doigt qui remonte et vient glisser sur sa lèvre inférieure.
et j’avais très envie de visiter tout cela. pas toi ?
les pièces où tu me prendras,
celles où t’éclipsera le souvenir de ta femme,
pour moi.

susurrement, invitation qui n'en est pas vraiment une. parce que tu sais ce qu'il se passera, dans les secondes à venir. tu sais qu'il ne te rejettera pas. pas encore. il n'en est pas encore là. son réveil n'a pas encore sonné, il n'est même pas prêt de le faire. pour ton plus grand plaisir.
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Dim 24 Fév - 18:36

taisez-moi.
C’est une blague qui glisserait sur vos peaux. Le même sourire carnassier quand vous parliez de ces abrutis du cercle. Vous étiez pareil plein de sarcasme et de ressentiment. Vous vous compreniez et cela semblait vous suffire en l’instant. « Je lui toucherai deux trois mots sur ma gratitude à la prochaine réunion… » Putain d’ironie et pourtant la lueur joueuse qui agitent ton regard répond aux défis qu’elle t’offre. T’en a rien à faire de Brice tu le remercierais presque de son fichu manquement au secret professionnelle pour cette fois. Juste cette fois qui t’empêcherais de te morfondre dans la solitude. Oh, oui, tu le remercierais d’avoir emmené le démon jusqu’à ta porte. T’étais pas prêt à t’exorcisé de ton mal. T’étais prêt à te laisser posséder pour oublier la douleur au détriment du plaisir. T’étais qu’une fichue épave rongé par la culpabilité et tu voulais l’as rouillé elle aussi. Tu voulais juste te nourrir de son mal comme elle prenait tout de toi. Nana ou ta dose de plaisir coupable. Qu’elle t’arrache de ces griffes si tu pouvais juste goûter un instant au plaisir de ne plus être seul enfermer dans un gouffre sans aucune clé. Non, tu ne voulais pas être libérer tu voulais juste être accompagné. Dieu qu’elle savait le faire la diablesse. Elle te cherchait de ces courbes. De cette bouche carmin qui t’appels à fondre. Tu répondrais à son appel tant que la promesse de se déchirer à deux continuer d’être là, au-dessus de vos êtres. De vos corps. Tu ne fuyais plus, non, tu en redemandais comme un putain de camé qui veux sa dose de drogue. Tu prenais ton shoot de souffrance au travers d’elle. La Nana et son histoire aussi peinte d’horreur que la tienne. Comme vos âmes c’était bien trouver dans le malheur. T’étais sur la pente glissante de l’enfer et tu te laisser envelopper par se désespoir. Connard d’égoïste surement autant qu’elle. Pas un pour rattraper l’autre bien trop occupé à se chercher. A jouer. Il n’y avait pas de gagnant dans ce jeu. Pas de fin de partie possible. C’était un cercle vicieux dans lequel vous étiez enfermé et tu commençais à bien t’y plaire. Tu n’y pensais plus à la culpabilité, tu l’as mettais de côté pour mieux la reprendre après. T’avait qu’-elle dans le regard. Dans la peau tu l’avais. T’en crier pour sentir ces mains parcourir ton corps et les tiennes la prendre fermement. La faire tienne. Vous vouliez la même chose et vous vous y plaisiez à ces sous-entendue. A ces regards qui en disaient long.  Ce jeux de cache-cache dont vous connaissiez déjà tout deux l’issus. Presque inévitable. Vous n’aviez nullement envie d’y échapper de toute manière. Sourire en coin tu l’as regardés laisser son emprunte dans l’air de ta maison. Tu ne perds pas une miette de ses courbes qui se déhanchent jusqu’à toi. Attirées. Ton corps droit, celui qui attend sa proie ou son prédateur. Les deux du pareil au même. Tu aimes à la voir de sa démarche si félines se rapprocher si dangereusement de toi. Tu l’aimes à les entendre ces mots qui ne font qu’alimenter ton désir. Ton envie d’elle. Tu t’en délecte de ce doigt qui vient caresser de ta mâchoire à tes lèvres pour en secouer ta respiration. Ce doigt que tu mordillerais presque pour ressentir plus. Toujours plus. Ta mains qui la saisi aussi fermement que délicatement par la nuque comme pour prendre le contrôle ou possession d’elle. Tes opales qui s’accroches au siennes pour y appeler le siens de désirs. Les siennes d’envies.  « …une visite du propriétaire alors ?! » le regard brulant dans le siens le souffle murmurant qui s’écrase sur son visage à quelques centimètre du tiens. Ton corps écraser contre le siens de l’une de tes mains au creux de ces reins que tu l’as attiré à toi. « Il y en as tout un tas de pièces intéressante à visiter, dans lesquels s’attarder… » C’est sur elle que tu comptes bien t’attarder. De ta bouche, de tes mains. De ton corps presser contre le siens. Juste un signe d’elle et c’est sur le canapé que tu commencerais…
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Lun 25 Fév - 15:45

délicieuse pression de la main masculine contre ton cou. exquise domination de cette main ferme qui fait avancer ton corps proche du sien. tes yeux se fondent dans les siens, défieurs, enflammés, nargants. toujours bien trop joueurs. et qu’est-ce que tu adores ça. jouer avec lui. réussir à rentrer ainsi dans sa tête. par le jeu de ton corps sensuel, par le jeu de tes paroles directes, celles qui se font un chemin jusqu’à sa raison. t’es le serpent, la réincarnation de kaa, celui qui ensorcelle, celui qui endort pour mieux croquer.  
parce que c’est le cas, tu vas le bouffer atlas. pas seulement de tes lèvres mais par ta présence, par ta personne que tu vas imposer. seulement parce qu’il le veut bien, car les armes ont été déposé à tes pieds comme ce fut le cas face à un grand empereur. alors, tu prends, avec grand plaisir ce qu’on t’autorise à prendre. ce qu’il t’autorise à faire de lui.
ensemble, vous ne vous soignerez pas. ensemble, vous ne ferez que vous enfoncer un peu plus dans les ténèbres. et c’est ce qui te convient le mieux. c’est ce qui t’attire, te rend euphorique au fond de toi.
juste pour ne plus être toute seule à souffrir.
je n’attends que ça, de visiter le propriétaire. encore une fois. derniers mots chuchotés contre ses lèvres, son souffle se mêle au tien, s’écrase contre lèvres souriantes. tu te trouves la vocation à devenir celle qui adore visiter les choses. les gens. atlas encore plus en l'occurrence. atlas, l’homme attirant. un homme à ton goût. puissant, masculin. autant dérangé que toi. sa lèvre pleine inférieure que tu fais tressauter doucement, tu frisonnes encore de ton pouce passant la barrière de ses lèvres, de ses dents l'emprisonnant.
nouvelle prise de position, de possession, de cette autre main masculine qui se pose au creux de tes reins. elle t’enflamme, te brûle la peau à travers le tissu, te marque déjà bien trop. te fait frissonner quand ton corps butte contre le sien, quand tes formes épousent les siennes avec force. j’ai hâte de tout visiter chez toi, avec toi. par où on commence ? cette tête que tu as penché légèrement, cette nouvelle allusion que tu as partagé avec amusement, avec tellement d’envie, tu ne perds plus de temps, tu ne perds plus votre temps. c’est la machine qui se met en route, celle du désir, celle de vouloir posséder, le posséder autant qu’il pourra te posséder. autant qu’il pourra te faire perdre la tête. le bouton qui s’enclenche, la raison bien trop éloignée et repoussées depuis tant d’années et absente pour toi mais pas encore assez pour lui, tu plaques tes lèvres contre les siennes sauvagement, désireuses, hâtives. tes mains parcourent déjà ce corps que tu rêves de connaître sur le bout des doigts, que tu parcours pour la seconde fois et dont tu rêves de parcourir encore tant d’autres fois. ce sont tes doigts, passés sous son t-shirt, qui dessinent les muscles de son tronc, ce sont tes doigts impatients qui lui retirent déjà le tissu en trop. et tu t’accroches à lui, comme à une bouée de sauvetage, comme la mante religieuse que tu es, tes mains s'attardant dans son dos, descendantes, revenant vers l'avant pour déboucler sa ceinture.
c’est là où tu puises ta puissance, ta force, celle dont tu as tant besoin en ce moment. en continuant de te perdre entre les mains des hommes, entre ses mains d’homme, en t’offrant au désir bestial, à son désir bestial. pour qu’il puisse effacer seulement le temps de vos étreintes le souvenir des autres, le souvenir d’un autre. et c’est pareil pour lui. tu le sais, il le sait. vous vous servez l’un de l’autre. mais toi, tu veux lui prendre ses souvenirs, lui prendre le souvenir de ses mains enlaçant sa défunte épouse, de ses lèvres chérissant l’épiderme de son joli fantôme.
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Dim 3 Mar - 12:09

taisez-moi.
L’envie de tes prunelles que tu laisses se perdre dans les siennes. Que tu laisses le parcourir le chemin de ces courbes si délicieuses qui t’appellent à la défaites. C’est avec plaisir que les rend les armes. Que tu le laisses s’éclater contre son corps ton bouclier qui implose au prix du désir de souffrir avec plaisir. Ta peine qui s’entremêle à la sienne à l’image de vos corps prêt à ne faire qu’un. Elle est violente cette envie de la possédé. De la faire tienne juste un bref instant. Il est piquant ce désir de sentir ces griffes se refermer sur toi. De ces doigts agiles qui trace un chemin de ta mâchoire à ta bouche. De ce sourire si impertinent que tu aurais presque envie d’étouffer. Prendre de tes lèvres pressées sur les siennes. Elle est venue de cueillir la vipère de son venant hardant qui alimente ce feu qui brûle en toi. Tu brûles pour elle en l’instant. Il n’y a que l’idée d’oublier pour mieux se reprendre la douleur des maux qui agites ton âme plus tard. Le temps votre ennemie et comme un putain de défis que vous lui lanciez. Comme en mettant la position muette sur une télécommande. C’était l’électricité qui qui oscillait entre vous pour laquelle vous succombiez. Il n’y avait plus de cœur, plus de raison non plus. Il n’y avait que ça. Que vous et l’appel d’un manque à combler. « Il n’est pas question de décevoir madame… » Murmure pour le siens. Celui qui s’entrechoque sur son visage pour le tiens. Echo de vos mots. Echo de vos corps attirée l’un à l’autre en attente de recevoir leur dû. Prêt à accueillir l’autre une nouvelle fois. Tu l’attire à toi, un peu plus, tu la lances cette danse. Tu l’instaure le tempo de ce corps à corps qui n’avait plus raison d’attendre. « Dis-moi, par quoi tu veux commencer… » Un vrai gentleman ou le salaud qui ne veux pas se mouiller en premier. De toute manière cela ne changerais rien u avais déjà embarqué sur le bateau des enfers à la minute ou ton regard avait croisé le siens pour la première fois. Tout était perdu d’avance et putain que tu perdais avec joie. Tu l’accueil avec un demi soupir de soulagement l’instant où elle vient trouver tes lèvres avec une dévorante envie. Celle qui consume tout sur son passage. Tu ne tardes de plus. Tu n’attends plus. Tu te laisses à l’instant de ta bouche s’harmonisant avec les siennes. De ces mains se frayant u chemin sous ton t-shirt pour en éveiller chaque cellule de ta peau qui frissonnes. Tu laisses ton corps se presser contre le siens et tes mains la posséder avec fermeté et délicatesse. Tes lèvres se perdre le long de sa nuque et ton souffle qui s’éternise au creux de son oreille. Tu t’en délectes de son désir qui heurte le tiens avec violence. Vos âmes connectées à l’urgence de l’autre. Le tissu qui te quittes et le sourire qui s’installe au coin de tes lèvres quand ces mains s’attardent à déboucler ta ceinture. L’impatience qui vous prend et tu ne penses plus à rien. Tu ne penses qu’à elle. Nana et ces mains qui s’aventurent sur ton corps. Nana et son corps qui s’ondule  contre le tiens. Ta main qui relèves son visage vers le tiens pour t’aventurer dans son regard au reflet du tiens. Au reflet de ce désir viscérale qui vous une unie. « …viens là… » Que le souffle saccadé se perds en la soulevant de terre de tes mains placés sous ses fesses. De ses jambes qui s’agrippes à toi et de tes baisers qui se perdes de sa bouche à sa nuques et jusqu’à cette poitrine que tu meurs d’envie de découvrir à nouveau. Tu l’embarques dans ton entre de perditions. Les escaliers que tu montes avec elle dans tes bras sans la quitter des yeux et cette tension qui prend tout sur son passage. La porte d’une des chambres que tu pousses pour vous enfoncer dans le confort du lit ou celui de vos corps empli de désir.
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Mer 6 Mar - 12:44

sourire léger, billes qui parcourent son visage. nouveau passage dans ses bras, bientôt tu n’auras plus besoin de le découvrir. faciès imprimé, tu commences à le connaître le pilote. pour ton plus grand plaisir. bientôt, tu le connaîtras sur le bout des doigts. le grain de sa peau, les muscles de son corps, les zones sensibles, les endroits à couver d’attention. bientôt, atlas mclaren, n’aura plus de secret pour toi. ça tombe bien, je n’aime plus être déçue. que tu chuchotes, tes lèvres qui viennent froler les siennes, les taquiner dans une délicieuse caresse, appréciant les pulpes humides, pleines, envoutante. qui aime ? être déçu. personne. toi, encore moins. tu l’as trop souvent été dans ta vie. déçu des gens que tu aimais. déçu des décisions que les gens prennaient. et c’est encore le cas aujourd’hui. c’est drôle, énervant mais évident, ce sont toujours ces mêmes personnes qui te décoivent, ceux qui prennent les mauvaises décisions, ceux qui continuent de te meurtrir le corps. le coeur. marionnette entre ses mains, tu te laisses faire. avec plaisir, avec délectation. il mène la danse de vos corps, épouse tes courbes de ses mains. te marquant au fer rouge, la chaleur du désir sensibilisant l’épiderme de ton corps. t’es pourtant bien sa reine, celle qui l’emmène bien plus bas qu’il n’est. mais tu te délectes le voir prendre le contrôle, de voir à quel point il est près à perdre pied, à s’enfoncer avec toi dans les tréfonds de l’enfer. ton enfer. votre enfer. commençons par ça. tes lèvres contre les siennes, qui les retrouvent. elles t’avaient manqué. il t’avait manqué, le corps puissant du pilote. ça t’avait enivré, cette fois-là dans ton bureau, perdue et renversée sur la nouvelle table de bois, sur un de tes canapés de réception. toute une nuit de passion. toute une nuit de libération. de longues heures à ne plus rien penser. seulement à ton plaisir. au sien. ils étaient chassés les problèmes du quotidien, les coups durs revenus de ton passé. ceux qui venaient taquiner ton coeur, appuyer là où ça faisait mal, là où ton coeur s'effritait encore plus. et c'était là dedans que tu avais trouvé le baume à badigeonner sur ton coeur. dans les bras des hommes. dans les bras d’atlas. le corps aimé, passionné, chéri par ses mains, ses lèvres, sa virilité. tu te sentais revivre. juste le temps de la jouissance. de plusieurs jouissances.
corps en ébullition, mouvements de vos mains se déshabillant l’un l’autre, de vos lèvres se jouant de l’autre avec empressement, désir, tu te perds face à l’assaut de ses pulpeuses contre ta nuque offerte. tu t’évades dans le même empressement que le frisson que tu ressens dans le corps, souffle de l’homme contre gémissement féminin. tu te noies autrement que dans le chagrin, sa main qui agrippe ton menton, te force à lui faire face. yeux dans les yeux, chocolat chaud contre lagon en ébullition, désir contre désir, moment un instant suspendu. mille messages pour un à retenir, mille façon de mourir. y a aucune promesse et pourtant. y a peut-être celle qui vous lie. celle qui jure que tu ne laisseras pas tomber. tu ne le laisseras pas s’en sortir sans toi. c’est impossible pour toi, ça sera impossible pour lui. il ne peut pas te laisser derrière lui, guérir en te laissant dans le passé. jamais. t’y veilleras. l’autre jour, vous l’avez scellé votre pacte par un baiser enchanteur. le même que tu viens reproduire ici quand il te soulève, pour lui rappeler. « …viens là… »
Allez viens avec moi,
Nos coeurs à la lumière,
Les étoiles dans nos bras,
Et nos âmes en enfer.*

jambes que tu noues autour de lui, c’est les murs d’une prison que t’ériges autour de ses hanches. prison de chair, ta chair. c’est le piège que tu refermes sur lui. c’est dans celui-ci qu’il continue à parcourir ton corps de ses lèvres, c’est dans celui-ci, quand il monte les escaliers, que vos souffles se mêlent lorsque vos regards s’accrochent. c’est dans ton piège qu’il plonge de la même manière que ton dos enfonce la porte, qu’il plonge au-dessus de toi quand il t’allonge sur un lit.
si t’avais le temps, pas occupée à continuer de le déshabiller, de défaire sa ceinture pour sceller pleinement votre pacte, tu détaillerais cette chambre dans laquelle il t’a emmené. juste pour sentir la présence du fantôme planer au-dessus de vos corps, pour savoir si elle aussi, elle a été déposée sur ce lit par ton amant, votre amant commun. certainement. si elle aussi, dans ce lit, il a épousé son corps nu comme il épouse le tien. si elle aussi, dans cette chambre, gémissante, elle s’est laissée perdre sous l’assaut de ses coups de rein, rageurs, passionnés, enfoncée dans les draps, accrochée à son corps parfait, la grimace de plaisir sur son visage de poupée.
comme c’est le cas pour toi.
dans les bras d'atlas, nana, tu te perds.
dans mes bras, atlas, je t'enlève à elle.

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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Dim 10 Mar - 16:50

taisez-moi.
Désir coupable ou plaisir dangereux Tu t’en fou de succomber à la douleur qui berce ton être meurtrie par les coups dur que la vie à planter sur ton chemin sans te demander ce que cela pourrais te faire. Tu jour le lâches à fuir la réalité ou la guérissions qui n’existe pas. Tu l’embrasse la care de l’égoïsme. Celle de pensée à toi avant tout tes proches qui se tanne pour que tu t’e sorte. Et l’instant, tu n’as pas envie de t’en sortir. Tu ne le mérites pas. Tu veux te perdre en chemin. T’égarer dans les tréfonds d’une solitude accompagné. A deux, avec elle est son sourire carnassier. Elle que tu laisses te dévoré de son corps. De sa claire. Elle t’enveloppe de l’effluve de l’envie de ne plus vouloir voir la lumière. Elle te cajole de ses lèvres et de ces mains qui parcourt n corps comme si cela allé t’aider à aller mieux. Tu t’enfonces dans le mal en nourrissant le démon par le démon. Tu te perds volontiers en enfer. Dans son enfer. Tu le chérie de ta bouches qui prend possession de chaque recoins de sa peau. De son corps qu’elle presse contre le tiens. Tu l’admire de tes iris qui brûlent sur leurs passages. Qui prennent tout sans aucune autorisation. Tes mains qui s’accroches pour se laisser à tenter à ces courbes qui t’appel à plier. Tu plie devant elle tu t’enivre de ta faiblesse avec violence. La rage qui s’éveille et le souffle qui se perd dans le rouge du désir. Il n’y a plus que cette envie d’éluder le passée qui s’accroche à vos deux âmes connectés par les même maux. Plaisir violent qui te secoue de part en part. Tu te laisses mourir à petit feu à coup d’incessant baisé et de vos corps qui se cherches. Tu te laisses cueillir de ces mots et de cette mélodie qu’elle chante pour toi à chacun de tes assauts. Echos de deux âmes qui se sont bien trouvé dans l’instant. Les deux âmes égarées qui ne veulent en rien retrouver leurs chemins. Les plaies qui se pansent dans le désir charnel. Les corps qui se lient pour ne faire qu’un dans un même rythme. Dans une même envie pour la destruction. Vous vous complaisez dans cette violente douceur. Le corps qui vibre avec elle. Pour elle. Elle te fait du bien la Nana. Du bien dans ton mal. Tu sais que ce moment de plaisir ne changeras à la douleur qui enserre ton cœur. Ton âme. Pourtant, tu y plonges volontiers. Tête la première comme tu caresses de tes lèvres sa peau. De tes mains que tu agrippes ses courbes qui se glissent sous tes muscles. Tu te laisses rouler sur elle, sous elle tu ne penses plus. Plus à rien tout s’élude, tout s’efface si ce n’est son regard qui s’accroches au tiens comme pour répondre aux étincelles qui s’agitent entre vous. Tu découvres, tu apprends, tu dévores. Tu ne t’en lasses pas et tu en redemandes. Tu voudrais le mettre en bouteille l’instant celui ou tout s’efface ou ta vie semble se mettre sur pause pour un instant de répit. Le retour de bâton sera violent mais, tu t’y enferme dans cette bulle. Tes lèvres dans un souffle qui se glisse dans sa nuque, sur ses lèvres délicates pour les faire tiennes. Pour la faire tiennes. Prisonnières de ton corps. De ton être tout entier jusqu’à la fin. A cette fin… Le moment ou la sensation de plénitude ampli ton être connecté au siens. Le torse qui se soulèves de ta respiration qui s’envole vers ailleurs. A mille lieu d’ici avant que ton corps ne retombe à côté du siens. Les yeux qui se perdent sur le plafond et la respiration qui se calme. Silence qui t’apaises silence que tu brises de ton regard qui cherches celui de la belle créature à tes côté « Alors cette pièce ?!... » Sourire en coin et regard qui se perd sur le corps dénudée de Nana t’oublies avec elle et le moment te suffit. –Fait moi oublier Nana-
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Mer 13 Mar - 11:36


dans les étreintes enflammées, dans le désir des hommes, tu oubliais tout. nana, tu te sentais aimer. irremplaçable sous des yeux plissés et envieux.
dans les moments où on chérissait ton corps, tu faisais abstraction de tout, pour arrêter de te perdre dans les méandres de ton esprit. pour arrêter de penser, arrêter de souffrir. le temps d’atteinte le désir, de libérer une jouissance qui n’était pas que libératrice de celui-ci, ton désir. c’était encore autre chose.
et alors qu’ordinairement, tu le faisais pour ça, oublier. là, en cet instant, avec atlas, c’était bien différent. atlas, il te comprenait. atlas, tu avais l’impression de te voir. tu te nourrissais de sa souffrance plus fraîche de la tienne. tu te nourrissais de l’espoir, qu’enfin, tu ne sois plus seule. que t’es un allié dans la guerre de ta vie. avec lui, tu voulais autant oublier que continuer de te souvenir. tu t’accrochais à lui plus qu’à un autre dans une envie malsaine, pour ne pas qu’il guérisse, pour t’assurer qu’il s’éloigne pas en ayant trouvé la paix, seul ou avec une femme lui apportant.
alors, dès que tu le pouvais, tu plantais tes crocs dans son épiderme, allusion et fait réel. tes dents martelés sa peau dans l’étreinte autant qu’elles le faisaient contre son âme. tes lèvres, ayant parcouru son corps, l’empoisonnaient dans un sortilège endormant. non pas pour qu’il t’oublie car il pouvait étreindre d’autres personnes, mais pour qu’il n’oublie rien de son malheur, pour qu’il n’oublie pas que, toi, tu le comprenais, dans l’abandon de vos corps, de vos âmes et de vos souffles, en commun, dans le silence qui s’installe tandis qu’il se relaisse tomber à côté de toi.
reprise de ton souffle, tu souris, le regard sur le plafond d’un blanc éclatant avant de laisser passer un petit rire. pas trop mal, pas trop mal. j'aime bien...  tu souffles, taquine. lui comme toi vous le savez que vous ne parlez pas de la pièce. qu’est-ce que t’en as à foutre de sa maison, de l'aménagement et de la déco. t’aurais même pas la thune pour t’acheter une maison telle que celle-ci même si chez les mcgrath, ça paye bien. de sur le dos, tu te retournes, fesses à l’air en te mettant sur le ventre, l’avant de ton corps appuyé contre un de tes avants bras alors que tu passes une main dans ton carré plus si parfait que ça après votre étreinte. t’y viens jamais dans cette chambre, hein ? que tu lances en recoiffant ta frange, les yeux dans les siens. c’est trop net ici. bien trop rangé. bien trop vierge de tout. il y a eu bien trop facilité à venir ici alors qu’il aurait pu te prendre contre un mur ou sur le canapé. c’est ce qu’ils font, les mecs rangés, apparemment. et ça te fait toujours marrer quand t’y penses. c’est ce qu’ils font ceux qui ne veulent pas le fruit du péché dans le lit conjugal, ceux qui ne veulent pas que l’odeur de la maîtresse, qui n’est qu’un coup parmi tant d’autres, reste. toi, t’en as rien à foutre d’être l’amante, la fille avec qui un mec trompe sa nana. c’est pas ton problème. et c’est pareil pour atlas, là. l’être aimé n’est pas au travail pour lui, elle est six pieds sous terre comme ta fille, mais c’est du pareil au même. tu le vois au fond de lui, dans ses yeux que t’étudies. malsaine, t’es à la recherche de la lueur du regret alors que tu passes une main dans ses cheveux blonds. tu sais pas trop ce que tu fous, tu fais jamais ça d’habitude. avec un autre, t’aurais renfilé tes vêtements avant de te barrer, avec des paroles ou non. là, tu traînes sans savoir ce que t’aimerais entendre. sans savoir si tu t’intéresses vraiment à cqu’il y a dans sa tête ou si c’est pour continuer à grignoter là où tu peux, en lui. si en parlant de sa défunte femme, tu ne pourrais pas le faire souffrir un peu plus comme tu souffres tous les jours. jte ferais oublier atlas avant de tout te renvoyer dans la gueule, à chaque fois.
parce que j’ai pas oublié, alors toi non plus tu n’oublieras pas.

ou alors, c’est un goût de nouveau qu’il se passe là, tandis que tu traînes au lit, l’ongle qui parcourt doucement son biceps.
@atlas mclaren taisez-moi. (atlas) 3227196488
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Message Sujet: Re: taisez-moi. (atlas)   taisez-moi. (atlas) Empty Dim 24 Mar - 21:33

taisez-moi.
Tu t’es laisser prendre au jeu, tu t’es laisser noyer dans l’instant juste pour oublier l’inoubliable. Juste pour mettre en pause se martèlement de douleur qui te compresse l’esprit. Qui te détruit avec une délicate violence. Une délicate lenteur. Tu t’es laissé perdre dans l’instant. Dans son corps, dans ces mots. Le simple écho de sa peine qui se marie à la perfection avec la tienne. Vous étiez de la même trempe tous les deux. Deux âmes perdue qui ne voulaient pas retrouver le chemin vers la surface. Pas prêt à sortir du confort de ce sombre gouffre dans lequel vous aviez chacun fait votre nid. Vous vous en contentiez de la douleur apprivoisée à votre manière. Vos démons pour meilleur compagnon de route. Route jusqu’à la fin. Survie jusqu’à ce que le cœur n’en puisse plus. Jusqu’à ce que l’esprit fou finisse par craquer… Alors, en attendant cet instant ou le seul fil qui vous maintient en vie ne craque, en attendant vous laissiez à vous faire du bien dans votre mal. Vous vous nourrissiez l’un de ‘autre tel des vampires. Tu t’accrocher à elle comme elle enserrer ces griffes autour de ton âme. Tu ne gardes plus rien.  Tu lui donner tout sans réfléchir car, tu n’avais plus envie de le faire. Plus envie de t’enfoncer seul. Tu l’as laissé volontiers t’entraîner dans sa chute. Tu descendais bien bas avec elle. Dans les méandres d’un violent désir. Dans les tréfonds d’un sombre désir. Les corps qui se lient, qui se délient. Les souffles qui se répondent et plus rien d’autre que le moment. La pause. L’oublie d’un moment charnelle avant de vous reprendre la réalité de vos vies merdique en pleine face. Le retour de l’effet boomerang. Tu l’attends pour mieux replonger par la suite. Tu te laisses flotter au-dessus de ta culpabilité. Tu ouvres tes yeux à son âme qui chante pour toi. A sa douleur qui embrasse la tienne. Puis, t’es prêt à retomber. Tout là-haut pour redescendre tout en bas. Là où est ta place désormais. Tu la regardes la sirène à côté de toi. Celle que tu as faite tienne l’espace d’un instant éphémère. Tu te perds dans la mélodie de vos deux souffles qui s’apaisent. Tu te laisses bercer par ces mots qui t’amuses car, tu ne veux le voir que comme ça ce moment. Tu veux les oublier tes démons qui te rattrapes déjà. Un sourire qui réponds a ces mots plein de sous-entendue. C’était devenu donc comme cela entre vous. C’était donc là tout le plaisir caché du jeu qui se jouer peut-être même malgré-vous. Tu l’observes de tes lagons bleus perçant ces prunelles chocolat. Tu te délectes de chacune de ces petites mimiques. De cette main quelle glisse dans tes cheveux et de son corps dénudée encore proche du tiens. « Celle-là, comme toutes les autres… » Que tu lances ton pouces venant chercher son menton. Ton doigts suivant le chemin de ces lèvres jusqu’à sa mâchoire avant de se perdre dans le creux de sa nuque pour retombé sur ton torse qui se soulèves de ta respiration. « Je dors dans le canapé… enfin quand j’arrive à dormir ! » le regard qui se perd au loin. Dans l’horizon du plafond de mots que tu gardes normalement pour toi. Tout va bien que tu sors à qui veux bien l’entendre mais, c’est Nana. La femme au rouge à lèvres carmin aussi détruite que toi. Aussi fêlé que toi. Tu vas aussi bien qu’elle va. Deux putain d’paves échouées. Deux naufragées de la vie qui ne semblait pas vouloir être repêchés. « On le voie tant que ça ?! » que tu lances sans vraiment attendre de réponse. Surtout pour combler le silence. Le silence que tu as envie de fuir juste une seconde de plus. Une seconde de plus avec sirène désenchanté de tes démons.  
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