rencontre hasardeuse. (tehani)

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{ rencontre hasardeuse }
crédit/ tumblr ✰ w/tehani andreani

Journée off, c'est le week-end. Joslyn l'attendait avec impatience après la longue et difficile semaine qu'elle venait de passer. Il y en a des plus joyeuses habituellement mais les fêtes de fin d'année approchent et forcément, on lui en demande plus. Et elle s'en demande plus aussi. Quelle idée de se surcharger de travail aussi. Quelle idée de se mettre deux fois plus la pression. Heureusement qu'elle a Liam maintenant, son assistant. Mais il est plus que ça. Il a été l'homme de l'une de ses meilleures amies auparavant. Et malgré la tragédie, elle a du mal à le voir autrement pour le moment. C'est pour ça que c'est étrange pour elle de travailler avec lui ou même de se rapprocher de lui. Elle a l'impression de trahir un peu Jean, son amie. Pourtant, elle ne fait absolument rien de mal, ils ne font que travailler. Ensemble. Rien de plus. Pourquoi Joslyn se sent aussi mal ? Elle n'a aucunes réponses à cette question. Tant pis. Aujourd'hui, elle a passé sa journée à chanter et danser sur des chansons de Noël tout en passant un bon coup de ménage dans l'appartement qu'elle occupe. La semaine, elle n'a jamais le temps. Et Joslyn est une grande fan de Noël. Elle adore cette fête et toute la féerie qui l'entoure. Elle a hâte de retrouver sa famille pour cette occasion et d'offrir les cadeaux qu'elle a soigneusement acheté pour chaque membre. Elle est trop généreuse, Joslyn. Elle aime faire plaisir, elle aime les chérir. Elle s'en fout de ne rien avoir en retour. Ce n'est pas le plus important pour elle. C'est surtout d'être entourée des personnes qu'elle aime le plus au monde. Il n'y a pas plus important.

Pour compléter cette féerie de Noël et après avoir terminé son ménage, Joslyn décide de se rendre sur le marché de Noël de New-York. Elle n'a pas encore eu l'occasion de s'y rendre. Et même si elle commence à connaître tous les stands par cœur avec les années, elle ne peut s'empêcher d'y aller. C'est comme une tradition, une coutume à laquelle elle ne veut pas échapper. Elle enfile des vêtements un peu plus chaud en dessous de son manteau ainsi que de grosses chaussettes en dessous de ses bottines et elle est prête. L'hiver à New-York est intraitable, elle n'arrive pas à s'y habituer, alors même qu'elle a toujours vécu ici. Joslyn, c'est une femme du soleil, une femme de la chaleur. Son sac à main sur l'épaule, elle quitte son appartement pour se rendre jusqu'aux transports en commun qui la mènent jusque dans le centre de New-York. Il y en a bien un dans le Queens mais Joslyn, elle préfère celui de la ville. Plus impressionnant, plus grand, plus beau. Elle a beau adoré son quartier, il y a des choses qui ne rivalisent pas avec la ville. Elle descend du métro et sort des souterrains de la ville pour retrouver la surface de la terre. Il y a du monde à l'approche des fêtes. Ça court dans tous les sens, comme à n'importe quelle période de l'année mais bien plus à partir de la mi-décembre. New-York est une ville toujours en mouvement, il y a toujours du monde partout. Joslyn adore ça. Elle traverse les quelques rues qui la mènent jusqu'à son lieu favori. La marché de Noël. Il est immense mais surtout bondé de monde. C'est le week-end. Avant Noël. Quelle idiote de penser qu'il serait vide. Tant pis, elle est là de toute façon. Elle n'a pas envie de faire demi-tour et rater son rendez-vous préféré. Elle s'engouffre dans la foule et contemple chaque stand. Elle ne peut s'empêcher d'acheter des babioles pour elle-même et pour offrir ou des choses complètement inutiles dont elle ne saura pas quoi faire le lendemain. Mais sur le moment, elle lui trouve une tonne d'utilité. Joslyn dans toute sa splendeur. Elle arrive difficilement à se faufiler jusqu'à un stand de boisson chaude. Elle s'approche sans remarquer la femme déjà présente. Un grand café s'il vous plaît. Qu'elle demande lorsqu'elle arrive enfin à destination, à la personne en face d'elle. Elle sort quelques pièces de son porte-monnaie pour lui permettre de payer sa consommation et en attendant, elle se tourne pour admirer ce marché, des étoiles plein les yeux. Comme une gamine le jour de Noël, devant une montagne de cadeaux. Ses yeux croisent la jeune femme à ses côtés sans forcément y faire trop attention. Mais ce visage. Ce visage, elle s'en souvient très bien. Elle a un moment hanté ses pensées, ne sachant pas vraiment si c'est en bien ou en mal. Elle a envie de faire demi-tour et de partir en courant. Elle se sent un peu mal à l'aise, Joslyn. Elle se souvient de ce baiser qu'elles ont échangé. Ou plutôt que Tehani lui a offert. Elle se souvient de ses lèvres si douces contre les siennes. De cette décharge électrique et intense qui s'est dégagée de ce baiser. C'était son premier baiser avec une femme, elle a été quelque peu troublée. Elle a toujours été un peu curieuse à ce niveau là, n'ayant jamais testé avec une femme, c'est à présent chose faite. Elle a beaucoup aimé mais... Peut-être que l'alcool y a joué un rôle ? Elle avait un peu bu avant ça, étant trop mal de cette énième rupture. Joslyn ne sait pas. Elle esquisse un petit sourire lorsque leurs regards se croisent et elle tourne la tête presque aussitôt. Salut.. Qu'elle dit seulement, en espérant juste que la jeune femme se souvienne d'elle. Elles ne se sont vues qu'une seule fois après tout.

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Cette période te régale. Autant dire que tu te promènes sans grand danger dans les rues du Queens, te régalant de pouvoir croiser le jour en dehors que sous un tas de vêtement sur ta monture, la moto. Le soleil est des moindres, ses rayons sont complétement caché par les nuages et ce temps à neige. Ce n’est pas toi qui va-t’en plaindre, tout au contraire, tu vis en même temps que tout le monde. Pas besoin de te blottir dans le manteau noir de la ville pour une fois. Tu as l’habitude de ces désagréments avec ton allergie au soleil. Une coutume pour toi limite. Le fuir, se cacher, terrer ce dernier comme les autres peuvent fuir la pluie, pour protéger leur brushing. Toi tu te protège toi, évitant les plaques, les boutons ou encore les brûlures. Mais tu le vis bien, enfant c’était beaucoup moins ça. Tu fixais les autres enfants s’amuser dans la cours, se moquant de toi, laissant ta personne être réduite à un simple mot : le monstre. Le monstre qui ne sort pas. Il t’en a fallu du courage princesse pour rester forte, tu t’es plongée dans les livres, te baraquant derrière une immense forteresse te sentant en sécurité, puis parfois tu avais Alexis, le seul, l’un des seuls amis que tu avais. Et ta vie t’a rendu forte, battante, plus personne ne peut abattre sauf si tu le décides. Alors, des habits chauds enfilé, tu te décides pour aller arpenter la ville, tranquillement, sans aucun planning, tu ne songes même pas à ce taquin de soleil, capable de sortir d’un coup sans prévenir juste pour tout ruiner, comme souvent. C’est un peu comme un couple la vie grise et toi, le soleil c’est l’ex qui revient sans prévenir qui parvient à t’éjecter aussi rapidement qu’une disquette. Le temps est glacial, mais l’ambiance rattrape tout. Tu te sens bien dehors, à contempler toutes ces personnes qui d’habitude passe juste sous ta fenêtre protégeant des uv. Tu marches, sans même savoir où tu vas et même ce que tu voudrais faire en réalité. Tu finis par entendre parler du marché de noël, un marché auquel tu ne peux que rarement aller, alors tu sautes presque aussitôt sur l’occasion, tu aurais pu te préoccuper de ton boulot, répondre au téléphone pour dire des choses salaces, mais tu ne le fis pas. Pas besoin. Pas l’envie non plus, puis y a Lexis qui va te regarder et faire le pitre, tu as du mal depuis que tu vis avec ton meilleur ami à te concentrer quand il est là, à t’épier quand tu es au téléphone. L’air caressant ton visage, te ravi, malgré qu’il soit glacial, tu apprécies de pouvoir être autre chose qu’un petit vampire comme aime à t’appeler ton cher meilleur ami. La ville t’appartient pour une fois, tu aimes ça, alors tu marches, prenant le bus, ne passant pas par les souterrains de la ville, car hors de question d’aller encore te terrer dans l’ombre de la ville, tu veux vivre à la lumière. L’esprit totalement libéré de tes autres pensées, comme celle menant à Denzel, tu tentes de réfléchir à ce que tu pourrais faire, c’est rare que tu puisses autant profiter. Arrivant au marché, tu jettes un regard sur les choses proposées, les mains dans les poches pour réchauffer les extrémités complétement gelées, les rires des enfants, toutes ces choses rappelant les souvenirs avec ta fratrie ça te fait un bien fou. Complètement perdu dans cette vague de souvenir, tu te ferais presque avoir par une petite larme, mais tu accuseras le froid de l’avoir fait couler. Femme enfant, mais femme diable avant tout. Tu détruis sans le vouloir et en le voulant quand il s’agit de celui qui aurait pu être le père de l’enfant que tu avais perdu. Un enfant que tu avais chéri, en quelques semaines avant de sentir cet effroi, un froid magistral régner en toi, pour te faire fondre de tristesse comme le soleil fait fondre la neige pour ne plus jamais la laisser revenir. Elle se renouvelle, mais ne revient jamais vraiment. On ne retrouve pas les bonhommes de neige, monsieur Olaf chaque année, il est différent. Enfin, l’odeur du vin chaud, du cidre et toutes ces choses rappelant les fêtes mettent du baume à ton cœur, il t’en faut, une tonne, beaucoup pour s’en doute guérir de tes maux. Le chocolat chaud à la cannelle, t’appela, te posant pour faire la queue, tu ne t’attendais pas à cette rencontre. Le sourire venant démanger tes lèvres qui venaient de s’ourler, tu déposes ton regard dans le sien, glissant petit à petit tes opales sur ses lèvres, objet du dernier délit entre vous, une folie, une envie toute simple qui été venu démanger ton être. « Salut ! » Que tu réponds, alors que tu fais un pas vers elle, vous retrouvant à quelques centimètres l’une de l’autre. Les opales flirtant avec les siennes oubliant clairement ta commande jusqu’à ce que l’homme ne t’interpelle encore une fois sans doute. « Merci ! » Que tu dis en payant. « Comment tu vas Joslyn ? » Tu n’es pas sûre que dans le fond, elle se souvienne de toi, jolie poupée au tient ensoleillée. Tu aurais voulu plus que ce simple baiser, tu pensais avoir oublié, ce fût le cas, jusqu’à ce que tes opales se déposent à nouveau sur cet être, un être aux formes voluptueuse.

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crédit/ tumblr ✰ w/tehani andreani

Elle ne s'attendait pas à la revoir un jour. New-York est une ville immense, c'est presque impossible de recroiser une inconnue, plus si inconnue que ça, totalement par hasard dans un marché de Noël. Il faut croire que Joslyn fait partie de cette minorité de personne à qui ça arrive. Elle ne sait pas si elle doit s'en réjouir ou au contraire, se détester d'être si malchanceuse. Elle ne sait pas, elle y a beaucoup réfléchi et elle n'arrive pas à trouver la réponse à cette question. C'est peut-être un mélange des deux. Elle se sent aussi ravie que dépiter à cette idée. Mais elle lui dit quand même bonjour, par pur politesse. Et si, de son côté, elle n'a aucun souvenir d'elle, elle n'aura qu'à lui dire que c'est une erreur et qu'elle s'est trompée de personne. Salut ! Les yeux de la jeune femme se posent sur Joslyn, sur ses lèvres, sur son regard. Elle est un peu gênée, détournant le regard. Mais ça a aussi un côté excitant qui lui plaît beaucoup. Vraiment, elle ne sait pas comment réagir à tout ça et encore moins face à Tehani. Elle tente de garder la tête haute, de sembler indifférente à la situation ou ce qui a pu se passer entre elles, mais elle n'est pas sûre que ça fonctionne. Joslyn n'a jamais été très doué pour cacher quoi que ce soit. Tant pis, elle aura au moins essayé. Comment tu vas Joslyn ? Cette dernière ne peut que constater qu'elle se souvient relativement bien d'elle. Elle a retenu son prénom et certainement que la surprise peut se lire sur le visage de la trentenaire. Mais pourquoi ça la surprend autant que ça ? Elle aussi, elle s'en souvient de son prénom. Elle a mis du temps avant de remettre le doigt dessus mais elle a fini par le retrouver. Tehani. Prénom qu'elle n'avait jamais entendu jusqu'à présent. Mais elle le trouve jolie, enivrant, entêtant. Elle en oublie même de répondre à sa question. Elle ne sait pas combien de temps est passé depuis qu'elle l'a posée mais Joslyn se ressaisie et affiche un sourire sur les lèvres. Je vais bien et toi ? Elle est juste troublée par ces retrouvailles qu'elle ne pensait jamais vivre et qui ne font que confirmer que ce baiser lui a plu. Que ce baiser reste dans sa tête depuis cette fameuse soirée. Qu'elle essaie de le ranger dans un tiroir dans le désert pour qu'elle n'y repense jamais, tout lui ramène à cet instant. Satané cerveau. Elle n'est pas vraiment sûre qu'il soit responsable que quoi que ce soit mais... Tant pis. Son chocolat chaud dans les mains, elle souffle un peu dessus pour qu'il refroidisse un peu plus vite. Bien qu'avec la température extérieure, ça ne devrait pas être trop compliqué. Son regard se perd un peu sur le visage de la jeune femme, elle se souvient encore des traits qu'elle avait longuement observé ce soir là. Elle se souvient encore de ses prunelles marrons avec lesquelles les siennes se sont amusées à se chercher à longueur de temps. Elle se souvient de pas mal de choses au final, malgré l'alcool et la chaleur de cette nuit. Je ne pensais pas te recroiser un jour. Et encore moins ici. Qu'elle finit par lui avouer pour éviter de laisser un blanc s'installer. Joslyn a horreur de ça, ça l'angoisse. Elle pourrait dire n'importe quoi juste pour que quelqu'un parle, juste pour ne pas laisser la gêne s'installer un peu trop à son aise. Portant le gobelet à ses lèvres, elle boit une gorgée de ce liquide brun et fait une grimace en l'abaissant. Elle s'est un peu brûlée le bout de la langue. Et la gorge. Mais ça fait aussi du bien. Je t'avoue que je suis un peu surprise mais... Ça me fait plaisir. Elle ne sait pas pourquoi elle lui dit ça. Elle se sent rougir à cette révélation et préfère détourner le regard. Cette femme la trouble, c'est indéniable.

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Tu déambulais tranquille, l’esprit qui volait au loin laissant quelques moments de répit. Autant dire que tu étais plutôt contente d’être entouré de monde tout en étant en solitaire. Mais quand tes opales se sont glissé sur la jeune femme, la belle Joslyn, tu as laissé ta commande faites de côté. Ne fixant qu’elle. Tu laisses les vapeurs de votre souvenir, ce simple baiser pourtant assez chaud t’envelopper de ses bras pour mieux te cueillir. Tu ne pensais pas autant avoir été prise par ce simple geste. Peut-être que ce n’était pas assez, peut être que toi princesse t’es si gourmande que tu as toujours envie d’avoir plus que des lèvres effleurant, jouant avec les tiennes. T’aurais plus, peut-être la belle poupée Joslyn tout entière ? Sans doute. T’es une fonceuse, tu profites de la vie sans se soucier du reste. T’as juste envie de t’éclater d’oublier le reste. Tu ne veux plus t’enfermer dans une simple relation, t’as besoin de bien plus, de te sentir libre, de sentir que plus jamais surtout tu ne ressentiras ce que tu as ressenti quand vos rêves avec D. ce sont brisé. Et c’est peut-être pour ça que tu te blottis contre tant de corps, que tu uses de tes pouvoirs de séduction à chaque fois que tu te sens seule. Pourtant tu l’aimes la solitude toi. T’aimes ça, sauf quand tu te laisses aller à y songer, encore, à laisser le passer te briser à petit feu. T’es une petite poupée faible en réalité, mais tu sais faire preuve de courage quand il le faut, t’es capable de tout réussir si tu le veux. Capable de grande chose voilà tout. « Oui très bien, surtout que je suis plutôt heureuse de te voir ! » la voix n’est pas suave, du monde autour, mais tes prunelles jouent avec les siennes, tu ne cesses de glisser ces dernières sur ses lèvres charnues, qui t’ont laissé un souvenir sucré et de douceur. T’aurais bien envie d’y gouter à nouveau pour pouvoir savoir si tu n’as pas la mémoire qui flanche. Tu écoutes le doux son de sa voix qui vient adoucir tes pensées, laissant les souvenirs de cette soirée s’envoler, laissant le présent te ramener pour peut-être amorcé une nouvelle petite aventure avec la beauté empoissonné que peut être la belle Jos’. Serait-elle déçue que ce soit le cas ? Que tu te demandes, t’aimerais savoir que non, qu’elle te dise que c’est plutôt plaisant comme ce que toi tu penses de cette rencontre certes surprenante. T’as peut être envie de sauter sur cette nouvelle occasion pour t’amuser un peu et autant dire que comme compagne de jeu elle serait parfaite. Tu souris à son aveu, autant dire que ça te fait plutôt plaisir. « C’est le même plaisir partagé alors ! » Ajoutes-tu. « Ça te dis qu’on marche un peu ensemble ? » tu ne sais pas trop pourquoi tu es ainsi, mais t’as envie de te laisser porter, pas envie de forcer les choses. Peut-être que tu pourrais t’entendre parfaitement avec la jeune femme. Le regard qui se perd dans le sien, tu glisses tes yeux à nouveau sur ses lèvres amusée. Tu ne peux pas t’en empêcher. T’as même envie de commenter, de dire les choses. Puis c’est ton style de tout dire, de laisser l’esprit lancer tout est n’importe quoi en utilisant tes lèvres sauvage. « Je ne cesse depuis que je t’ai vu à tes lèvres, c’est frustrant ! » Que tu lâches avant de sourire un peu. Tout la simplicité de la tehani, tout dire et ne rien retenir, tout est bon à dire.