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| Sujet: Snake eyes Mer 14 Nov - 20:17 |
| save the queens ---- / NOAH POLLARD
30 ans ---- / ace of spades ---- / Oliver Jackson-Cohen
identité complète / Noah Gerard Pollard. Son deuxième prénom serait celui de son père, bien que Noah n'ait jamais eu de preuve tangible de l'identité de son géniteur. En effet, tout ce qu'il en sait vient des dires de Jenn Pollard, sa mère dont il a d'elle hérité le nom de famille et qui lui a servi des descriptions nombreuses et souvent contradictoires concernant la personne qui a abandonné femme et quatre enfants lorsque l'aîné, Noah, eut six ans. Il n'est pas étonnant qu'il ne se rappelle pas de son père puisque Noah a consciemment censuré les souvenirs de son enfance marquée par les coups et les crises d'une mère délaissée, dépressive, abusive. Dans tous les cas, le fait que son deuxième prénom officiel soit un soi disant hommage paternel ne lui fait ni chaud ni froid, puisque quasiment personne n'est au courant et qu'il ne le mentionne jamais sur les papiers administratifs. lieu de naissance et origines / Né New York d'une mère américaine et toute sa vie vendeuse dans un supermarché avant de mourir d'un infarctus il y a deux ans. Le père était, selon son ex femme, tantôt irlandais, tantôt de Hawaii, tantôt issu d'une mafia russe, mais Noah n'accorde toute façon peu d'importance à ses origines puisqu'il n'a toujours connu que la Grosse Pomme. études ou métier / Barman, presque propriétaire d'une petite salle de boxe malfamée et de temps à autre tueur à gage. A seize ans, Noah laisse ses deux frères et sa soeur entre les mains violentes de Jenn pour aller vivre avec sa petite copine de l'époque. Les deux arrêtent l'école et vivent difficilement dans un taudis new yorkais en enchaînant les boulots épuisants et humiliants pour survivre. Lorsqu'ils se séparent après seulement cinq mois de vie commune, Noah quitte le taudis et commence une période de errance. Assez rapidement, il trouve refuge dans une salle de boxe, où le propriétaire accepte de l'entraîner et de l'héberger gratuitement en échange de l'aide dans la salle. Noah devient donc une sorte d'homme à tout faire dans cette salle, organise des combats, nettoie la salle et se met même à devenir coach lorsque son niveau devient assez élevé. En parallèle, il trouve un job de barman dans une bar aussi malfamé que l'est la salle de boxe. Dans ces deux endroits, les rencontres et les hasards le mènent à rendre certains "services" en échange de liasses de billets passées sous le comptoir. Devenu pro dans l'art du combat et grâce à son caractère discret, on lui fait confiance pour aller régler des comptes à la place de ceux qui le payent. Passages à tabac ou menaces deviennent sa spécialité, jusqu'à ce qu'il passe le cap d'assassiner quelqu'un qui avait de sérieuses dettes envers un dealer qui a généreusement rémunéré Noah pour ce service. De fil en aiguille, ce genre de service est devenu son principal gagne pain. orientation sexuelle / hétérosexuel. Cependant, Noah n'est jamais tombé amoureux. En vérité, il n'a jamais eu de relation sérieuse hormis celle qu'il a connu lorsqu'il avait seize ans. Trouver l'amour n'est de toute évidence pas sa priorité, les femmes le laissent généralement de marbre au niveau émotionnel, bien qu'il soit bien évidemment sensible aux atouts féminins. statut civil / Ainsi, il est célibataire et n'a absolument pas pour projet de se marier, fonder une famille ou ne serait-ce que de se caser un jour. pi, scénario ou prélien / personnage inventé.
traits de caractère / A la rencontre de Noah, la première chose qui surprend est sans doute sa nature stoïque. Alors que la plupart des gens ferait votre connaissance à l’aide d’une chaleureuse poignée de main, d’une présentation courtoise et d’un sourire forcé, Noah se contente d’un haussement de sourcil. Il vous adressera éventuellement un mouvement de tête s’il est d’humeur sociable, mais n’ira jamais plus loin pour signifier qu’il vous a effectivement remarqué. Ainsi, il va sans dire que vous faites face à quelqu’un de taciturne sur laquelle vous pouvez difficilement compter pour avoir des échanges endiablés ou des soirées confidence. Cependant, cette pudeur n’est pas là pour camoufler un éventuel manque d’aptitudes intellectuelles mais résulte d’un manque d’intérêt global pour ses interlocuteurs. Les rares mots qui glisseront de ses lèvres sont alors des remarques souvent acerbes mais toujours bien placées qui ont pour particularité de viser juste et de déstabiliser la personne en face, ou alors de la faire éclater de rire à cause d’un humour mordant inattendu. Quoi qu’il en soit, ne vous attendez pas à ce qu’il partage cette bonne tranche de rigolade avec vous car son air imperturbable est difficile à transpercer. Par exemple, même les épreuves difficiles de son passé n’ont jamais réussi à le faire pleurer. Les seules larmes qu’il n’ait jamais sécrétées furent les conséquences physiques de coups de poing bien placés et n’eurent pas le temps d’atteindre le bas de son cou mal rasé qu’elles étaient déjà sèches. Pour toutes ses raisons, Noah met les personnes qu’il rencontre mal à l’aise, que ce soit par sa froideur, pour sa non réponse, mais aussi par un regard bleu froid qui n’est pourtant pas spécialement agressif mais juste naturellement effrayant. Cette particularité lui a d’ailleurs valu le surnom de snake eyes dans le monde de la boxe. Ce sport est le centre d’intérêt principal de Noah, non seulement parce qu’il est un sportif assidu et doué dans ce qu’il fait, mais la boxe a aussi acquis une valeur sentimentale en l’aidant à sortir de la rue et de la misère il y a de cela presque quinze ans. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, cette activité lui a permis de développer un sang-froid et un self contrôle. Noah ne se laisse pas facilement mouvoir ou déstabiliser par une situation et usera de son revers puissant qu’en cas d’extrême nécessité, de provocation ultime ou bien dans le cadre de ses jobs. En matière de combat, Noah fait les choses « biens » si tant est que l’on puisse dire une chose pareille. Le fait qu’il ne soit jamais submergé par ses émotions fait de lui quelqu’un de très performant lors de ses intimidations, il se fait discret et vise l’efficacité plutôt que les coups d’éclats, ce qui est sûrement la raison pour laquelle il n’a jamais atterri en prison par ailleurs. Noah ne rayonne pas par sa bonne humeur et son optimisme, il est depuis toujours du genre à vivre au jour le jour sans réel projet pour le futur. A vrai dire, il n’a jamais trouvé quelque chose susceptible de l’épanouir profondément mais il ne se considère pas malheureux pour autant puisqu’il a du mal à reconnaître ses sentiments profonds. De ce fait, il n’a aucun mal à tabasser voire tuer des types pour de l’argent car il n’y voit ni le mal ni le bien, juste une action comme une autre à effectuer. Soyons clairs, Noah se contrefiche d’à peu près tout, on pourrait donc le trouver assez négligé sur le plan physique: il n’est clairement pas du genre à assortir son tee-shirt avec son pantalon tous les matins - sa barbe a manifestement été rasée les yeux fermés, un trou orne la plupart de ses chaussettes - mais il fait quand même le minimum en ce qui concerne l’hygiène et la présentation, bien conscient qu’il a besoin de ça pour ne pas faire fuir les clients. Son allure lui garantit même un certain succès auprès de la gente féminine, il se laisse aller aux plaisirs charnels du corps féminin dès que l’occasion se présente, c’est-à-dire relativement souvent. Sans dégager de charisme formidable particulier, Noah dégage tout de même une sorte d’aura impressionnante qui est sûrement dû à sa grande taille et à une musculature qui se fait remarquer sans pour autant attirer l’attention à des kilomètres à la ronde.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share Enfance difficile à Brooklyn/ Le père de Noah ne fût présent que pour les six premières années de son fils aîné, Noah, les cinq premières de son second fils Dylan et respectivement les quatre et trois premières années de ses filles Mia et Nelly. Vous l’aurez compris, entre la fin des années 80 et le début des années 90, Jenn Pollard a passé près de cinq ans d’affilé à porter les enfants de l’amour de sa vie, un certain Gerard. Le reste l’identité du géniteur porte à confusion, puisque Noah ne s’en rappelle pas et que Jenn n’en donne jamais la même version. En tout cas, dès que le Gerard eut quitté la maison du jour au lendemain, Jenn se perdit dans les ravages de l’alcool, des antidépresseurs, puis, comme dans le schéma classique, reporta la rage qu’elle avait contre son mari déchu contre ses enfants qui subirent maltraitance physique et psychologique. Les enfants et la mère vivent dans une situation précaire, trainent d’appartement en appartement dans Brooklyn et échappent de peu à la vie en rue. A cette époque, Noah assume naturellement le rôle de grand frère dans une famille sans père mais dans un effet pervers, il est aussi celui qui subit le plus sévèrement les déboires de Jenn. L’idée de partir émerge très tôt dans sa tête, plus ou moins rassuré par le fait que ses frères et sœurs semblent encaisser moins de coups que lui. Un taudis d’amour illusoire/ Las de sa situation, Noah est un adolescent en soif d’aventure lorsqu’il rencontre l’amour à l’école. Les deux tourtereaux vivent toutes leurs premières fois ensemble : bisou, câlin, sexe, alcool, drogue, vol, jusqu’à ce qu’il ne manque plus que la mention « fugue » sur leur palmarès. La jeune fille étant issu du même milieu social que Noah, ni l’un ni l’autre n’eut besoin de se convaincre pour décider de quitter leur famille respective et vivre leur idylle à deux. Noah tourne le dos à ses trois frères et sœurs non sans un petit pincement au cœur, conscient de les laisser dans la gueule du loup. Les deux jeunes amoureux de seize ans à peine fuient leur maison pour s’installer dans un squat, avant de trouver des boulots à la con et de pouvoir s’installer dans un taudis pire que ceux d’où ils viennent. Leur relation est finalement plus un prétexte pour partir qu’autre chose, mais en tout cas, ce fût le sentiment le plus proche de l’amour que Noah n’ait jamais ressenti envers quelqu’un. Cette passion ne dura qu’un temps, à peine six mois à vrai dire, avant que Noah ne finisse par partir sans un regard en arrière, de nouveau. La salle de boxe/ A la veille de ses dix-sept ans, Noah se retrouve pour la énième fois déjà dans la rue. Après une brève période de errance, le jeune homme pousse les portes d’une salle de boxe miteuse, où, passionné de sport, il peut s’entraîner pour une misère. Rapidement, il se rapproche du propriétaire de la salle, un vieil homme seul et grincheux. Parler d’amitié serait peut-être exagéré puisque les deux ont pour point commun de ne pas être bavard. Cependant, ils se comprennent et se font confiance rapidement : le vieil homme confie à Noah l’entretien de la salle en échange du lit et du couvert. Au fil des années, leur relation reste la même, c’est-à-dire qu’ils ne se parlent pas vraiment mais ils se suffisent comme ça, leur confiance tacite se solidifie. Noah a dormi dans la salle de boxe pendant une paire d’années avant de se prendre un appartement. La salle de boxe est globalement fréquentée par des personnes peu recommandables, même si ces derniers temps, grâce aux rénovations apportées par Noah, de jeunes hipsters commencent à affluer. Le bar malfamé/ Noah y a gagné ses premiers salaires en travaillant dans le bar près de la salle de boxe. Il est dans l'ensemble aussi mal fréquenté que la salle de boxe mais la clientèle reste un peu plus diversifiée. C’est malgré tout son seul moyen de voir d’autres gens que les grosses brutes de la salle de boxe. Après près de dix ans passés dans ce bar, Noah y travaille toujours, mais c’est plus une couverture qu’un réel besoin d’y bosser. Il est à deux doigt d’hériter de la salle de boxe et il gagne bien assez d’argent avec ces fameux « side jobs » qu’en étant barman. First side jobs/ Ces deux lieux ont permis à Noah de se tisser un réseau de connaissances parmi les dealers de drogue et les proxénètes notamment, c’est d’ailleurs l’un d’entre eux qui lui a confié son premier job « parallèle ». En effet, le caractère discret, le regard terrible et la musculature de Noah ont poussé le patron d’une organisation de prostituées à New York à lui proposer un service musclé et rémunéré. Noah est alors allé « intimider » un client qui avait été violent avec une prostituée, une intimidation de laquelle la personne est ressortie avec quelques côtes cassées et un œil au beurre noir. Depuis, les choses se sont enchaînées et les jobs comme ça se sont multipliés. First kill/ Après des mois à tabasser ceux qui avaient des dettes ou des problèmes avec les mauvaises personnes, on a fini par lui proposer un véritable meurtre. Noah n’a pas cherché à savoir pour quelles raisons la personne méritait, selon son employeur, de mourir, il a surtout cherché à savoir s’il était capable de le faire. La personne, un certain Milo, était une cible facile puisqu’il fréquentait régulièrement le bar où Noah travaille. Un soir, il l’a discrètement suivi à la fermeture du bar et lui a foncé dedans avec sa voiture. Après avoir propulsé la personne sur plusieurs mètres, Noah s’est arrêté un peu plus loin pour guetter les dégâts via le reflet du rétroviseur. Après avoir attendu quelques minutes et au moment où il s’est dit que le job était réussi, la personne s’est mise à remuer faiblement. Sans trop savoir pourquoi, Noah est retourné sur place et en observant Milo à deux doigts de la mort, il a décidé de le ramener dans un endroit un peu plus protégé. Il a placé Milo dans un abri, une sorte de squat, et l’a bourré d’antidouleurs avant de disparaître. Il avait décidé de laisser son sort au destin, peut-être que quelqu’un l’emmènerait aux urgences ou alors, il finirait par y passer, mais sans souffrance… Cet épisode laisse un goût amer à Noah qu'il ne sait pas comment interpréter: un échec, une faiblesse... Quoi qu'il en soit, ce fût la première et dernière fois qu'il n'ira pas au bout d'un job, car quelques semaines plus tard, il poignarde à mort un toxicomane endetté, sans la once d'un remord. L'héroïnomane est la première personne tuée par Noah, à qui s'ajouteront ensuite une demi dizaine d'autres. Relation avec sa famille Noah a gardé un contact très léger, superficiel, avec ses frère et sœurs, autrement dit, il sait juste s’ils sont toujours en bonne santé. Une de ses sœurs s’est mariée il y a trois ans et c’est l’une des rares fois où il a revu tout le monde, mais il n’est même pas resté jusqu’à la fin des festivités, embarrassé par de telles retrouvailles familiales. Surtout, il n’a pas compris pourquoi sa mère avait été invitée, elle avec qui il a coupé tout lien. Elle est décédée d’un infarctus peu de temps après. Depuis le mariage, Noah n’a pas reparlé à ses frère et sœurs. Vie sociale/ Noah est de toute évidence quelqu’un de très solitaire. Cependant, il lui arrive ponctuellement d’aller boire des verres avec des gens, qu’il n’appellerait pas des amis puisque leur relation se limite là : pas de jeux vidéo entre potes ou de soirée film sur le canapé. En résumé, toutes ses relations restent superficielles, comme celles avec des femmes, ce sont d’autant de gens qui lui font passer le temps, sans attache ni sentiment.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
Tatiana ---- / 22 ans ---- / rpgiste
ville / Bruxelles. études ou métier / oui avis général sur le forum / BO.. le détail qui t'a fait craquer / convaincue par Miles fréquence de connexion / 3/7 crédits des icons / jaifkncourtney tumblr le mot de la fin / - Code:
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[b]Oliver Jackson-Cohen[/b] / [i]Noah Pollard[/i] |
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Ainhoa Bellini;
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blanca. (ava) blood eagle. (sign) uc. 1865 767 32 larguée par son fiancé il y a quelques mois (apr) et enceinte d'un inconnu. one shot, one mistake (may). kinésithérapeute, les mains magiques, soigner des maux pour oublier les siens. dans le queens vert, là où elle peut respirer. be a girl with a mind,
a woman with attitude,
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| Sujet: Re: Snake eyes Jeu 15 Nov - 0:50 |
| j'ai hâte d'en savoir plus bienvenue à la maison chaton _________________ sometimes i run, sometimes i hide, sometimes i'm scared of you. but all i really want is to hold you tight, treat you right, be with you day and night. all i need is time.
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