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 a bullet from the dark ≈ ft. taz'

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Message Sujet: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Ven 28 Sep - 22:25


≈ ≈ ≈
{ a bullet from the dark  }
crédit/ tumblr ✰ w/@tazmin milwok

Les semaines passée et ce ressemblaient. Tu en détestais chaque seconde, chaque minute, chaque moment tout simplement. Comme une douce torture qui avait fait place à une routine ou respiration se faner dans l’air par pure mécanisme et par simple envie de respirer. Tu n’étais pas suicidaire mais tu n’avais tout simplement plus de raison de vivre. Tu te souviens de ces mots ridicules entendue à l’hôpital. Souffle murmuré au-dessus de ton être sonné par les calmants. Il a besoin simplement de temps qu’ils avaient dit. Le temps guéri tous les mots qu’ils continuent à dire. Mensonge pour ceux qui ont encore tout à faire, mensonge qui fonctionnait sur les plus naïfs. Tu n’en étais pas. Le temps tu l’avais vue passer et la douleur ne s’amenuisé pas au fil des jours qui passer. Constante peine qui assombrissait ton cœur et ton quotidien. Il n’y avait plus rien pour toi, il n’y avait encore moins quelques chose de l’autre côté du tunnel. Le processus de guérison est long qu’on t’avait sommé en rejoignant ce tout aussi stupide groupe de parole. Guérir de quoi au juste, d’avoir perdue  sa moitié. D’avoir tué sa raison de vivre, on n’en revenait pas de ça. Comment se remettre de ne plus avoir personne à qui se raccrocher. On pouvait te traitais d’égoïste comme le faisait ta famille mais il ne pouvait pas comprendre. Personne ne comprenait pas même les gens qui enchainer le récit de leurs histoire ici. Ni même ton parrain avec qui tu passer comme des heureux au téléphone juste pour te dire que t’essayer. Juste pour te rassurer comme si cela changerait quelque chose aux maux de ton cœur brisés. Te restais-t-il un cœur au moins ?! Tu n’avais que cette sensation d’avoir un trou béant dans ta poitrine qui c’était agrandie depuis le drame. Le stupide drame de ta vie. La vie semblait te punir et tu pouvais très bien imaginer Dieu rigolé de toi de là-haut. Le tout puissant qui jouer à faire des paris avec ces anges sur combien de temps tu mettras à tomber en enfer. Tu l’étais déjà pour toi. Hanté par le fantôme de ta femme matérialisé en une jeune femme de vingt-trois années. Une gamine avec le sourire de celle que tu aimes encore aujourd’hui à en mourir. La ballerine au regard d’ange qui semble te suivre partout. La douleur n’était peut-être pas assez forte pour qu’il faille en rajouter. Cinq mois à tenter de trouver un stratagème pour l’éviter. Eviter ces prunelles, son sourire et ces fossettes si distinctives. Ne pas à avoir à affronter a voix qui fend l’air à mesure qu’elle se livrerait. Tu ne voulais rien savoir d’elle et pourtant le masochiste que tu étais continué d’aller la voir danser comme pour retrouver la sensation de la première fois ou ton chemin à croisé le siens. Le bond dans ton cœur et l’infime espoir qui s’est vite en volé. De l’espoir comme même. Tu n’en voulais plus, le retour à la réalité était bien trop douloureux. T’assumais la douleur, tu l’as vivais pleinement mais remuer le couteau dans la plaie te demander bien trop d’effort. Alors, tu avais fait ton possible pour la fuir et pourtant le destin semblait te la renvoyé tel un effet boomerang. T’en voulais pas de ce jeu et pourtant la petite part de toi encore vivante semblait vouloir se contenter de la présence de la jeune femme à la chevelure d’ébène. T’étais juste l’idiot et le connard qui ne comprenait rien. L’égoïste qui ne pensait qu’à lui et qui ne voulait pas avancer. C’était ce que tu t’étais dit en te regardant dans le miroir. En te rendant au groupe de parole décidé à parler un peu même de la pluie et du beau temps toi qui restais dans ton coin à te farcir la souffrance des autres. Tu voulais en finir mais semblait-il que rien ne soit de ton côté alors que l’idée de ne pas la voir t’avais ravi, ton plaisir fut de courte durée quand elle passa la porte. Quand son parfum délicat vint chatouiller tes narines et que tes poings de colères agrippèrent les rebords de la chaise sur laquelle tu te trouvais. Encore une fois tu étais prêt à subir comme si c’était là, la punition que tu méritais pour avoir tué ta vie… Tu ne voulais pas un regard, pas un mots mais sa présence se rapprochant de toi te pesais sur le cœur alors que tu sentais venir la suite malgré toi.
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Message Sujet: Re: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Sam 29 Sep - 17:12


Atlas & Tazmin.
a bullet from the dark.

Une torture et un plaisir à la fois. Sentir tout ton corps se dépasser, chercher les dernières forces au plus profond de ton être, sentir ton émotion grandir avec les mouvements, la musique se jouant. Le sang, les blessures ce n’est jamais rien pour toi. Tu continues, tu délaisses ton âme dans ton art, pas après pas. Encore et le plus longtemps possible. T’as tant de chose  à raconter, à donner. Les mots manquent souvent, la parole n’est pas d’or, mais la danse l’est pour toi. Les opales fixant le miroir face à toi, tu délaisses tout, tu déposes chaque peine sur cette piste de danse, glissant, volant au-dessus. Encore un entraînement rempli de transpiration et de sang. L’une des meilleures, l’une des seules aux dires des journalistes à transporter autant d’émotion dans un petit être. Tu penses toujours à tout quand tu danses, tu n’as pas l’esprit libre. Loin de là. Tu repenses à toutes les blessures visibles, invisible qui te meurtrit. Tu caches tout un monde à beaucoup de personne. Épuisée, sur les rotules, tu devrais l’être après cette séance de torture que tu viens de t’infliger, aucun répit. Mais non. Tu ne peux pas rester à te reposer. Tu as d’autre chose à faire, tu dois à un groupe de soutient, ce même groupe qui t’a sauvé la vie. T’étais pourtant vivante, ça c’était juste la norme pour être en vie. Un cœur qui vie, mais un cœur brisé. Un cœur endeuillé de la pire des façons. Tu n’y pensais pas tout le temps, les moments d’accalmie étaient tempérée et courte. Parfois tu n’y pensais pas et d’un coup tes larmes roulaient, glissaient sur ta joue juste à la vue d’une famille, à la vue d’un paysage en commun. Un endroit où tu avais un souvenir, même le plus infime et le moins important. La mort brutale des êtres chers fait toujours des ravages et on vous chante que ça passera, mais les dates arrivent, les dates qui vont vous faire chavirer encore et encore. Repensant à ces moments de bonheur de souhaiter un an de plus à ces personnes ou alors la date fatidique, une date que toi tu n’as plus aucun souvenir. Pas d’au revoir. Pas de droit à assister à la glissait des cercueils dans ce trou lugubre. Non. Et ça te marque, ça te démoli de ne pas avoir été là, à demander pourquoi pas toi, pourquoi ? Et tu te le demande peut être trop souvent. Bien tenté de tout arrêter, d’arrêter de sourire, de vivre, de ressentir. Mais on te l’a fait comprendre. On te l’a redis encore et encore, ils ne voudraient pas ça. T’en sais rien si c’est vrai, mais tu veux le mieux pour eux, t’y crois à tout ça, la vie après ? Le fait qu’ils vous voient ? t’as envie, mais t’en sais rien, c’est peut être qu’un autre conte qu’on vous a tous vendu auquel beaucoup se rattachent pour avoir le droit de parler, de leur demander et de vivre avec eux, malgré cette absence. Et ce n’est jamais facile. Jamais. La douleur est là, en suspend puis elle assomme, parfois elle est tenace et rugueuse, mais on s’en sort toujours même après des crises de larmes incontrôlable. T’as déjà pleuré durant une représentation, tellement tu t’étais laissée prendre par le moment en pensant à eux dansant pour eux. Mais te voilà à devoir être forte, à devoir gérer le mal de d’autre personne, tout en étant encore suivit par ton propre parrain pourtant parti pour d’autre paysage, plus paradisiaque que grisâtre. Le gris t’aime ça, autant que tu aimes la grosse pomme et surtout le Queens. Arrivée à l’endroit de cette réunion, te voilà à sourire, laissant planer une petite joie sur ton visage. Tu es heureuse ? Peut-être. Tu l’es pour bien des raisons et t’as autant de raisons d’être à mal. Alors, tu tentes de viser les bons côtés de la chose. Puis tu vois cet homme, dont le nom est Atlas. Tu laisses ta main saluer les autres alors que tu vas dans sa direction. Les lèvres en cœur, le sourire fixé sur ton visage et les fossettes se creusant sur ton fin minois. «   Bonjour …  »   Ta voix douce vient à apprivoiser l’homme face à toi, le regard dans l’attente de croiser le sien, tu es là pour annoncer le départ de Pablo, le parrain, son parrain, votre parrain et tu es là pour lui maintenant. Un grand poids sur ton frêle corps, mais Pablo croit en toi, alors tu lui fais confiance, car tu le sais il a passé des nuits, des jours à te consoler, à tenter de calmer le mal, mais ça ne fait que calmer, rien de plus. «   Je viens de la part de Pablo.  »   Peu sur de toi, un peu timide, mais prête à affronter toutes les tempêtes au prés de cet homme et des trois autres personnes qu’on t’a confié, à toi.
 
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Message Sujet: Re: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Dim 30 Sep - 21:57


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{ a bullet from the dark  }
crédit/ tumblr ✰ w/@tazmin milwok

La douce torture de son odeur, de son sourire et de ces prunelles aussi claire et profondes que l’océan. C’était comme un coup de poignard au beau milieu de ton cœur déjà assassiné par la douleur. Ton cœur comme piégé dans un étau qi se resserré un peu plus chaque jour pour en arriver proche de l’implosion. C’était cette douce torture dont tu redemandé ton compte tel un masochiste car, secrètement, tu ne pouvais pas te passer de revoir l’ombre d’elle-même. Une vie qui n’était plus pour une autre. Le fantôme de ton amour matérialisé comme pour te martyrisé un peu plus ou bien te signifié que l’espoir ne mourrait jamais. Tu n’étais tout simplement pas prête à l’accueillir cette espoir. Non, toi, tu préférais te cacher derrière le froid de ton cœur mort et la colère qui cisaillée tes yeux et creuser les traits de ton visage. Tu préférais renvoyer cette rage pour mieux recevoir la souffrance. Tu ne voulais pas d’elle et pourtant sa présence te semblait vitale telle cette dose de drogue qu’il fallait aux adicts  pour survivre. Elle était ta forme de drogue malgré elle, ta survie. Pourtant, il était une chose de l’observé de loin que d’avoir à supporter sa présence à quelques centimètre de ton être car il y a des torture auquel le plus fort des hommes ne pouvaient survivre. La jeune femme était ta perte, ta torture. Tazmin ta perdition alors que tu pensais avoir réussi à la suivre l’ironie du destin qui te l’as renvoyé. Tu nageais entre culpabilité et colère et tu venais à la détestes elle. De la haine que tu ressens même, alors qu’elle n’y pouvait rien d’autre qu’être né pour ressemblais à celle que tu aimais. Celle pour qui tu donnerais tout pour la revoir ne serait-ce qu’une minute. Peut-être là l’humour sur tout puissant qui t’envoyer une réincarnation pour te torturer d’autant plus. Tu n’y croyais rien alors que tu n’y voyais que démon dans ces iris qui te hantaient jusque dans le peu de sommeil que tu réussissais à trouver ces derniers temps. Il ne semblait pas nécessaire de tuer ton énergie à la fuir alors qu’elle semblait encore et toujours capable de te rattraper. Masque d’impassibilité planter sur ton visage si tu es capable de lui offrir une seule chose c’est bien rien d’autre que cela. Elle n’aura que du froid. Elle pouvait te sourire ce n’était que le sourire d’un démon d’outre-tombe pour te rappeler à quel point tu étais coupable. Tu t’en sentirais mal de ne pas lui donner plus quand sa voie empli de douceur viens comme cajoler ton cœur. L’envelopper pour te réconforter mais tu n’en veux pas de sa prévenance. Tu te bas contre toi-même pour ne pas accepter sa main tendue alors que tu ne penses rien pouvoir mériter venant d’elle. « De sa part ?! S’il a quelques choses à me dire il est bien capable de me le dire… je n’ai pas besoin de toi !! » la voix profonde et froide pourtant tu l’aurais voulue dénué d’émotions mais bien trop perturbé par la brune aux yeux d’ange tu n’y arrivais pas. T’avais cette envie de te lever et de partir avant même que la réunion débute. Tu ne parlerais pas de toute façon, elle t’en avait retiré l’envie. Sa présence changer tout, elle compliqué tout…  
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Message Sujet: Re: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Dim 7 Oct - 19:31


Atlas & Tazmin.
a bullet from the dark.

Une nouvelle mission dont tu n’es pas sûre d’être à la hauteur. Pas sûre d’avoir les épaules. Déjà du mal à porter ton propre deuil, t’es entouré d’abime, qui essaye de t’attirer dans leur méandre. Les cauchemars sont encore assidus. Tu y penses souvent avant de dormir à ta petite sœur, ta douce fraise des bois qui n’enchante plus tes jours et à ce père, ce héros de ton enfance qui n’a pas eu le temps de te voir devenir une femme. Femme forte, mais détruite. Détruite, mais silencieuse. T’es loin de te plaindre, loin de râler aux dires d’une mère désireuse, voulant toujours plus, que tu te dépasses que ton corps soit une petite poupée à façonner à son envie. Toi qui en veux déjà plus, toujours plus de travail, plus de crevasse aux pieds, toujours plus de douleur et de sang déversée ainsi que de larme. Les larmes de peine, les larmes de douleur et de peur. T’as peur, tu es une petite fille qui refuse de l’accepter, mais tu as toujours peur qu’on vienne annoncer que c’est fini pour Landon. Qu’il n’est plus, qu’il a fini par les rejoindre. Tu n’aimes pas son job, tu as horreur qu’il aille à la guerre, qu’il aille se mettre en danger de la sorte. Tu te caches derrière ton sourire, tu caches ton angoisse et personne ne voit rien. Sauf lui. Pablo. Il est l’épaule sur laquelle tu as souvent pleuré, laissant tout glisser, ton âme et des bouts de ton cœur. La perte fut brutale. Tu n’as rien vu, tu n’as pas pu dire au revoir comme les autres. «   Du calme ! » Tu avais atterrit devant l’homme que tu devais secourir, aider de ton mieux. Pas facile l’homme en question. Pablo était-il fou ? Tu souffles et t’as le cœur qui te demande de ne penser qu’à toi, mais tu veux être plus forte que ça. Plus robuste. Même si ce n’est pas simple. «   Il ne peut pas vous le dire ! » Que tu t’empresses de rajouter. T’as un peu du mal à savoir quoi dire, comment dire les choses. Mais ça ne te ressemble qu’à moitié. Tu sais t’exprimer, mais bien plus par le corps, par l’art qu’est la danse. Mais ce n’est pas simple, tout au contraire. «   Je suis votre nouvelle marraine, je suis Tazmin ! » Tu lui offres un sourire et glisses tes opales dans les siens, avec un mal fou. Tu ne sais pas trop s’il ne va pas fuir ton regard. Si lui c’est déjà dur comment ça va se passer avec l’autre personne que tu dois aider ?  «   Pablo ne pouvant plus venir à ses réunions et vu qu’il n’y est plus obligé, alors il a décidé e déménager loin d’ici. » De fuir, en vrai. Tu en es sûre qu’il a fui, ce que beaucoup ferait. Toi tu es là pour rassurer le ballet et ta mère. Que tu ne perdes pas la tête, que tu ne plonges pas à nouveau dans un chaos total, que tu penses à autre chose qu’à la danse, que tu ne te détruises pas à l’aide de ta passion, de cet art si éprouvant qui peut faire vriller n’importe quelle personne n’ayant pas le mental pour endurer tout cela. Tu l’as ? Tu ne te poses pas la question, tu sais juste que tu donneras toujours tout pour parvenir à être la meilleure et à briller sur scène en continuant à déverser toutes tes émotions pour toucher le public, la personne qui regarde et qui se perd dans tes mouvements en imaginant l’histoire. «   Vous êtes Atlas c’est ça ? » La bouche en cœur, son prénom sonne de façon douce à ton oreille, tu l’observes espérant une autre réaction, moins froide, moins brute. Mais qui es-tu pour espérer qu’il ne soit pas si sauvage alors qu’il a perdu quelqu’un ? Une personne dont tu ne sais qui elle ou il est. Peu importe. L’importance n’est pas de savoir qui n’est plus de ce monde, mais d’affronter, d’accepter.

 
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Message Sujet: Re: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Ven 12 Oct - 21:33


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crédit/ tumblr ✰ w/@tazmin milwok

Tu t’accroches à cette rage au fond de toi comme à une bouée de sauvetage. Douce rage qui t’empêches de te noyer. De trépasser définitivement dans les eaux troubles de tes tourments. Amertume de douleurs au fond de ton palais incruster comme l’ombre des stigmates de la douleur sur ton visage tiré. Les poings qui se serrent à en faire craquer tes phalanges et à l’image de tes dents qui grincent sous l’étau enserrer de ta mâchoire. De l’amour à la haine. C’est là cela, ce profond sentiment qui s’agite en toi à en secouer tes tripes. Tu la déteste, elle qui n’as rien fait si ce n’est venir au monde avec les traits de l’amour de ta vie. Tu détestes sa chevelure brune qui tombe en cascade sur ces épaules. Tu détestes ces prunelles si douce et profonde qui semble te caresser si délicatement à t’en secouer les entrailles. Tu détestes cette grâce naturelle et ces putains de faussetés quand son sourire s’étire sur son visage. Dieu que tu la haïs ou que tu prétends. Impossible de t’en convaincre pleinement. Impossible de mettre une réelle distance pour toi le fou que tu étais. Toi, qui jouer la carte de l’insanité ou du passionné de ballet quand tu allais secrètement la voir évolue sur scène. Masochiste que de ressentir la douleur de l’inaccessible. Dégonflé de l’envoyé baladé alors qu’elle était peut-être la main tendue dont tu avais besoin pour t’en sortir. Tu préféré être le lâche qui ne voulais pas s’en sortir plutôt que de la laisser entrer dans ton monde. C’était comme la joue tendue à un autre drame. Tu ne supporterais pas de la perdre deux fois. Elle n’était pas elle, tu n’étais pas idiot mais le reflet de ces prunelles dans les tiennes le rêve pouvait vite se confondre à la réalité. Alors, tu t’ancre dans ce cauchemar. Dans le tiens, celui de ta nouvelle existence. Tu pique, tu single et tu la rayes d’avances. Tu ne veux pas entendre, ne pas écouter. La regardais de loin c’est comme regardais un film, goûter à un pan de nostalgie. Toute différence faites avec sa présence trop envahissante à quelque centimètre de ton corps. De ton cœur. C’est comme t’enfoncer des bouts de verre sous la peau. Comme te planter un poignard en plein cœur. Toi, qui ne pensais pas avoir pire torture que ta femme et ton enfant à venir arracher de ton paysage il fallait que l’on t’envoie son portrait craché. Que l’on te l’impose dans le semblant de vie qu’il te rester. Tu ne semblais pas avoir d’autre choix que de subir. Toi et ton envie de partir ce se foutu cercle tu étais comme collé à cette chaise qui avait dû en voir passé des âmes en peine. Toi, tu n’avais plus d’âme tu te sentais vide. Qu’elle prenne le reste si c’était ça qu’elle voulait. Qu’elle prenne tout si elle voulait, tu n’en voulais plus. Plus envie de rien, plus envie de te battre non plus. Démon venue pour te posséder ou fantôme venue pour te hantais. C’était tout. Révélation qui viens fracasser la seule chose qui te soulagé un peu ces derniers temps. Pablo ton parrain qui avait réussi à trouver la formule pour ne pas te braquer qui se faisait la mal. Le traître. Tu ne pouvais donc compté sur personne. Coup de tonnerre qui viens faire trembler le peu de tranquillité qu’il te resté. Ta poigne qui se resserre et ton regard acérer aussi froid que la glace qui se planter dans celui de la belle Tazmin. Tu l’emprisonne de tes opales avec cette conviction que si elles pouvaient tuer, elles l’auraient fait. Tu t’en sens coupable de ressentir tant de ressentiment pour la douce perle en face de toi. Celle qui ne t’as rien fait. Celle qui n’y peut rien. Tu te radoucies malgré toi à ces yeux posé sur toi. « Vous savez qui je suis, pas besoin de demander confirmation, non ?! » Lances-tu toujours aussi distant la froideur en moins ou du moins le peu de douceur que tu peux lui offrir tu le laisse sur la table. « Je présume que changer de marraine est impossible ?! » Demandes-tu peux soucieux de la blesser mais tu ne te voie pas t’ouvrir à elle. Pas alors qu’elle est le portrait craché de celle qui t’emmenés ici. Tu tentes de fuir cette inlassable douleur et voilà qu’elle te rattrapes.   
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Message Sujet: Re: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Sam 27 Oct - 16:16


Atlas & Tazmin.
a bullet from the dark.

Tu ne veux rien sauf aider, et tu le sais que tu n’auras pas toujours les bons mots, les bons gestes. Comme Pablo qui parfois s’y prenais mal avec toi, avec les autres, car dans cette histoire vous êtes tous en souffrance et tout le monde est différent. Tout le monde veux vivre le deuil d’une manière unique, pas identique des autres, car chaque morts, chaque pertes n’est pas la même et qu’elles ne laisseront jamais les êtres encore vivant être serein. Des moments sans ou avec. Tu en as, beaucoup, énormément. Mais ce n’est pas grave, tant que tu continues de les affronter, combattre la douleur qui te bouffe de l’intérieur, la combattre ou vivre avec, l’accepter. Il faut tout faire, tout pour qu’elle ne finisse pas par te perdre dans des abimes où personne ne veut finir. Alors, la nouvelle tâche te faisait peur, mais encore bien plus quand l’homme que tu pensais être Atlas, pas du tout brute qu’il avait dit Pablo venait tout bonnement de te lancer son venin en pleine face. Autant dire que c’est clairement brut à ton goût. Alors, tu tentes de ne pas perdre pied, de t’efforcer d’être calme, mais d’imposer des limites. Ne faudrait pas qu’il oublie que tu es aussi là pour tes propres démons et que rajouter une telle pression à aider les autres n’est pas forcément facile. Alors, tu essayes adroitement de le rassurer ou alors te rassurer toi-même, évitant de te perdre dans le bleu de ses yeux, tes opales bravant pourtant encore et encore l’interdit, car tu étais en train de perdre pied dans ses pupilles oubliant pourquoi tu étais si agacé dès que monsieur avait ouvert la bouche. Tu serais sure de toi s’il fallait que tu te mettes à danser pour le conforter dans ta présence dans ta vie pour l’aider, pour être présent pour lui, mais tu le sais, tu ne peux pas toujours utiliser cet art pour t’envoler et expliquer ce que tu ressens ou veux faire comprendre. Les mots c’est bien, mais faut savoir les manier, savoir les faire sortir dans leur juste milieu et convaincre la personne en face. Et autant dire que lui n’avait pas l’air très emballé que ce soit toi, mais tu n’avais rien fait. Tu avais juste la boule au ventre à présent. L’écoutant, respectant ses mots tu commençais à douter de toi, mais tu ne le devais pas, tu as aussi vécu des drames, comme lui, alors tu sais y faire, même si parfois c’est compliqué, car aprés tout ça l’est pour tout le monde. « Oui, je vérifie car l’homme qu’on m’a dépeint n’était pas si … » T’hésite à dire le mot, mais après tout, tu ne mens pas. « Froid. » Que tu ajoutes donc d’une voix douce, toujours à essayer d’arrondir les angles, imaginant qu’il est en peine et donc à pardonner, mais y a sans doute des limites à ne pas franchir, des limites que tu ne connais pas encore, peut être que tu n’auras jamais à les rencontrer, sans doute. Tu tentes de ne pas prendre la mouche, mais c’est compliqué. Peu importe. Tu ne sais pas si avoir un parrain c’est comme faire ses courses, car sinon au début t’aurais clairement envoyé balader Pablo, loin, mais alors très loin de toi. Il était trop là, à tenter de t’aider, alors que tu voulais être seule, tout fuir, mais maintenant, tu y vas de toi-même à ses réunions supportant les demandes des autres : tu vas bien. Avant tu peinais à répondre, tu ne parvenais pas à répondre, alors tu fuyais tout bonnement. « Je ne sais pas …. » tu baisses un peu la tête, puis tu la redresse laissant tes opales se plonger un instant dans les siennes, laissant tes lèvres s’étirer et faisant naitre tes fossettes. « Je vous propose d’essayer avec moi et si dans un mois ça ne va plus voire deux je dirais que je ne suis qu’une incapable ! » On peut sentir l’amertume à l’idée que tu te loupes, mais c’est possible, c’est peut-être même ce qui va se passer, car tu n’es pas à la hauteur. « On pourrait essayer, vous pensez ? » Tu souris un peu plus et espère qu’il soit un peu plus positive, alors tu tends ta main en sa direction pour que sa peau entre en contact avec ta peau douce, mais il n’y a que lui qui peut accepter ce contact, qui rime comme une promesse de chance.

 
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Message Sujet: Re: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Mer 7 Nov - 10:49


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crédit/ tumblr ✰ w/@tazmin milwok

Te plonger dans ces yeux c’était comme replonger dans le souvenir d’un passé qui se fanait inévitablement à mesure du temps qui passe. Alors, tu faisais ton possible pour ne pas la regarder, pour ne pas plonger tes iris dans les siennes au combien même c’était tentant. Au combien même tu avais cette envie presque viscérale de t’y perdre quitte à accepter de souffrir un peu plus. Tu fuyais de ton masque de froideur, ce bouclier qui ne protéger rien du tout. Ce bouclier qui ne rependait que le mal autour de toi. Oh que oui, tu l’as senti cette énergie pleine de doute quelle dégagé. Elle n’avait rien demandé et tu t’en voulais de la piquer là où elle ne le mérité pas. Sentiment coupable de ne pas pouvoir lui donner plus et dieu que tu aurais voulu être capable de plus. T’étais tout simplement bien trop guidé par la douleur de ton cœur fragmenté que pas même, la nostalgie des moments passés avec ta femme, remontant à la surface en sa présence, éludé. T’aurais voulu trouver le courage et la force de l’homme que tu étais six mois auparavant pour t’ouvrir. Pour lui dire les maux qui agités ton cœur et l’effet qu’elle te faisait. Ces sentiments de désespoir mêlaient au plaisir retrouver de croiser son regard. Tu te noyais en toi-même. Tête sous l’eau d’une cascade émotionnelle qui t’étouffer littéralement. C’était là, la vérité sur ton état, tu étouffer littéralement dans ton propre corps. Ta propre vie. Personne en mesure de t’aidais tant que tu ne serais pas prêt à accepter que t’avais besoin d’aide. Que tu méritais de l’aide. Elle était belle pourtant la main qu’elle te tendait mais, la peur de la saisir surpasser toute la volonté que tu pouvais avoir. Tu avais peur. Lâchement. Égoïstement. Après tout, tu ne la connais même pas et le prétendre était idiot. Les débris de ton cœur qui s’attachaient à une illusion de ton passé. Tu saluais silencieusement ces efforts à garder son calme et faire bonne figure face à l’homme que tu étais. Toi, à sa place, tu n’aurais pas supporter longtemps de te prendre des réflexions gratuitement. Sans explications. Car des explications, tu n’étais pas près de lui en donner. Pour lui dire quoi ?! Qu’elle ressemblât à ta femme décédée par ta faute et que sa présence faisait office d’une torture sans nom. Que respirer le même air qu’elle c’était à la fois enivrant et déchirant. Alors, tu ne savais pas gérer la situation autrement que par la violence de mots que tu ton âme ne pensait pas mais que ton cœur crier malgré toi. « Ah Oui ?!... Je me demande bien quelle image on a pu vous dépeindre de moi alors ! » question en suspens qui n’attend pas forcément de réponse. Constatation qui faisait à la sienne. C’était comme la curiosité de savoir de ce qu’on pouvait dire de l’homme affable que tu pensais être devenu. Une curiosité que finalement tu ne voulais pas vraiment découvrir persuader que la vérité serait comme un retour en flèche de la douleur tels un coup de plein poignard au creux de ton être. Tu voulais fuir. La fuir. La fuite ou la seule échappatoire possible à tes yeux. Ta porte de sorti mais encore faudrait-il qu’elle arrête d’hanter tes pensées. Que tu arrêtes ton petit manège à te renseigner sur elle sans pouvoir osé l’affronter en chair et en os. Tu n’étais qu’un ridicule gamin qui n’assumais plus rien. T’étais cassé, brisé et tu ne voulais pas être réparé. Sa détermination à penser le contraire, à vouloir tenter comme un challenge… cela te fit échapper un imperceptible sourire. « Cela ne prouveras pas votre incapacité juste que l’on est incompatible ! » Lances-tu tout simplement alors que tu prenais sur toi pour ne pas rajouter que tu vous savais incompatible d’entrée de jeu. C’était un mensonge que tu servais à toi-même mais tu préférais le croire. T’aurais voulue la blesser un peu plus mais le sentiment de culpabilité qui t’envahissais et cette envie de la protéger avais pendant un instant pris le dessus. Tu te perds dans son regard un instant et tu dérive vers cette main quelle te temps comme pour signer un pacte. Tu y glisses tes doigts dans la douleur de ton âme qui pleure à ce contact qui te fais remonter bien trop de chose. « Vous avez de l’espoir, deux mois… je ne nous donnes même pas un mois ! » tu ne pouvais pas t’empêcher d’être désobligeant mais elle finirait peut-être par comprendre que ce n’était là qu’un moyen de te protéger. De ne pas plier, de ne pas craquer face au poids de la souffrance qui ronger chacune des cellules de ton corp. De ton cœur. Ta main qui finis par bien vite lâcher la siennes pour retrouver sa jumelle, enserrées dans une poigne qui contenait la colère que tu retenais. « Essayons alors… » réplique comme murmurer dans un souffle qui fend tes lèvres à demi ouverte. Mâchoire serrer qui dénote de la tension que tu retiens dans ton corps. Tes yeux qui s'accrochent furtivement au siens avant de te perdre de nouveau dans la contemplation du parquet qui craquer sous les pas des personnes qui arrivait pour la réunion du soir. Toi, tu te sentais déjà vidé sans avoir même commencer la routine de parole et toi écoutant simplement dans ton coin. Toujours en train d’assimiler la nouvelle que Pablo t’avait abandonné. Le traître. Tu lui en voulais d’autant plus qu’il savait pour le belle Tazmin. Si c’était sa technique douteuse de te faire aller mieux dans un dernier effort c’était raté. Tu ne voyais aucune fin heureuse à la situation dans laquelle il t’avait enlisé. Tu entendais sa voix dans ta tête te clamer que c’était pour ton bien mais, toi, tu en voyais rien de bon. Tu aurais plus mal à l’arrivé et tu avais bien trop peur de l’embarquer elle aussi dans ton sillage.   
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Message Sujet: Re: a bullet from the dark ≈ ft. taz'   a bullet from the dark ≈ ft. taz' Empty Dim 16 Déc - 15:17


Atlas & Tazmin.
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Tu le sais il est difficile d’aider une personne qui n’a pas envie de l’être et même quand la personne le veut, les mots sont complexe à trouver. Des mots marcheront sur x et y, mais pas sur a et z. Chaque personne est différente et c’est là que tout est compliqué. Beaucoup trop. Alors quand Pablo t’a demandé d’aider à ton tour, tu as hésité, laissant tes doutes s’inscrire en toi. Mais il a eu les mots, les mots pour te convaincre de le faire. Il t’a donné de la force, t’a aussi donné l’impression d’être une femme forte, mais en vrai face à cet Atlas, tu as juste la sensation d’être une brebis égaré face à des phares, alors autant dire que c’est plutôt compliqué. «   Ai-je vraiment besoin de décrire ce que Pablo m’a dit ? Je ne pense pas.  »  Pourquoi tu prendrais cette peine, ce n’est pas comme ça que tu veux faire les choses. Tu veux juste l’aider cet homme, mais parfois quand on ne veut pas l’être c’est plutôt compliqué, tu le sais. Au début tu venais à ces séances, juste pour y être, faire plaisir, puis avec le temps tu t’es laissé aller, déversant tes doutes, tes questions, tes remords de ne pas être celle qui était morte. Tu n’as jamais été aussi distante avec Pablo, tu ne comprenais vraiment pas pourquoi il était distant et si froid.   «   Si ça prouvera mon incapacité … comment vous pouvez savoir qu’on est incompatible, alors qu’au final on ne sait rien l’un de l’autre.  »  Ce n’est pas une question, non car tu n’es clairement pas sûre d’être en mesure de le faire parler de tout façon, tu ne savais que trop peu comment le gérer, beaucoup, on ne t’avait pas expliqué mieux ce qui pouvait se produire avec les personnes que tu  étais sensé aider.  Aucune idée. Peut-être que c’est juste lui, ou alors toi. Tu ne le sauras qu’en rencontrant les autres, mais tu comprenais dans le fond, que pour ce soir, c’était peine perdue avec lui. Peut-être qu’il avait raison, tu devais y songer, songer que vous étiez incompatible, mais comment il pouvait dire ça sérieux ? Comment il pouvait en être sûr ? Trop de question en toi jeune fille, mais tu n’allais pas continuer de torturer ton esprit. Tu veux essayer, tu es là pour ça. tu es là pour continuer de combattre les jours plus ou moins compliqué qui pèse avec l’absence de ta sœur, de ton père et aider les autres. Ce n’était pas un devoir, pas une obligation donc, mais une envie, l’envie de redonner ce qu’on t’avait donné. C’est ainsi.   «   Et bien on verra lequel des deux a finalement raison !  »  Tu as limite envie de sourire. Ce que tu fais inévitablement quand tes lèvres s’ourlent. Tu veux essayer, c’est un marché, que tu proposes et auquel il est le seul à pouvoir répondre finalement. Autant dire que tu n’as pas trop envie qu’il refuse de tendre sa main pour prendre la tienne acceptant donc le deal. Alors, tes opales qui se glissent dans les siennes, tu souris attendant le contact. Ce contact qui finit  par se produire, les mains liées ensemble, un contact qui se termine rapidement par lui retirant sa main. «   En espérant vous prouver que j’ai raison !  »  Un sourire vient se poser sur ton visage, les yeux s’illuminant. Une première crise peut être bien évité pour toi, mais si seulement tu savais ce qui rongeait exactement l’homme face à toi, tu déguerpirais peut être aussi rapidement que lui. Pour sûr que tu comprendrais clairement pourquoi il est si distant avec toi, complétement l’opposé de e qu’on a pu te dire sur lui. Tu n’étais qu’une femme semblable à la sienne, mais tu n’en sais rien, tu nages en pensant que tu peux aider, alors que peut être tu pourrais le détruire tout autant, sans même le réaliser. Tu déposes ta main avec douceur sur son épaule, laissant ton regard fixer un peu les chaises installé en rond. «   On devrait aller s’installer !  »   Tu lui dis,  tu lui offres un dernier regard avant de finir par le laisser pour aller t’installer. Tu ne vas pas le fixer, pas regarder ce qu’il décide de faire, autant dire que tu ne veux pas le forcer ou autre, tu le sais que trop bien qu’aller mieux et accepter le deuil est une chose personnelle, même si on a besoin d’aide parfois pour prendre la décision. Tu seras là, s’il a besoin et parfois même quand il n’en aura pas besoin. Tu as bien pigé belle brune, que le monsieur n’allait pas faire un pas vers toi, c’était toi qui allait devoir aller à la pèche aux infos sans trop être intrusive dans sa vie, complexe à faire. Mais tu veux y arriver, faire ce qu’on a fait pour toi.


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