(TC) SUMMERTIME / fair games.

topic commun ---- / SUMMERTIME

all i wanna do is get high by the beach, get by baby baby bye bye

l'été est une période de l'année extrêmement animée à new-york, et pour cause : de nombreux lieux emblématiques sont pris d'assaut pour mettre en place diverses activités au cours des deux mois estivaux. Dans le Queens, les plages sont particulièrement fréquentées notamment parce qu'elles permettent bien évidemment aux touristes comme aux locaux de se rafraîchir, d'apprécier le soleil et/ou de passer d'agréables moments en bonne compagnie, mais aussi (et surtout) parce qu'elles disposent de différents services attrayants pour profiter de l'été comme il se doit : barbecues, coins de pique-nique, concerts et jeux en tout genre.

groupe 01 ---- / fair games

dans le secteur est des baies, une foire locale avec des stands de jeux et autres attractions a vu le jour. c'est l'endroit idéal pour tuer l'ennui et s'amuser tout l'été tout en profitant des bienfaits du soleil et de la mer.

---- / organisation et infos pratiques

01 / vous êtes invités à écrire des rps plus concis afin que l'activité soit plus rapide et régulière (mais il va de soit qu'il ne vous est pas demandé de vous restreindre si vous êtes très inspirés).
02 / il vous est bien évidemment possible de venir avec quelqu'un. néanmoins, veillez à ne pas négliger les personnes qui seraient seules. merci de bien vouloir les intégrer, dans la mesure du possible, afin de favoriser les rencontres irp.
03 / chaque personnage ne peut participer qu'à un seul des quatre topics proposés. en revanche, si vous possédez plusieurs comptes et que vous souhaitez tous les faire participer, nous vous conseillons vivement de les répartir.
04 / pour encore plus de fun, des défis ont été mis en place. pour tenter de les relever, c'est par ici que ça se passe.

les défis spécifiques au tc "fair games" :

Le berceau de ses nuits s’illumine au gré des rêves installés, comme des logiciels qu’il aurait cracké. Stella toujours dans ses bras, qui lui sert de veilleuse pour son bonheur injecté en intraveineuse, somnambule de souvenirs construits à partir de songes, noctambule cherchant à viser son astre assigné aux mensonges de son être éteint.
Pourtant, c’est Océan qui se tient face à lui, paupières tatouées d’étoiles. Ses traits qu’il aurait pu recopier sans modèle sur une toile. Toujours sa corde de satin autour de son cou frêle, ses cheveux odeur miel, toujours un appel du vide calé dans un coin de ses paupières. Crasse amère logée que même pas Loup peut déraciner, reste fatiguée la prostituée à la peur opaque. Comme un playback qu’elle se répète effrontément, Loup seul musicien pour le soundtrack de sa vie d’chien.
Aujourd’hui,
c’est
la
t r ê v e.
(Promis.)
Un peu de sourire acide sur des lèvres irritées, un peu de sucre sur des gestes édulcorés. Il agrippe sa main fermement, avec la peur de perdre dans la foule Océan, première fois qu’il autorise un contact avec un “excuse-moi” qui pend au bout des lèvres. Le vacarme écorche le silence d’une plaie brève.
- Tu veux faire un jeu en particulier ?

@Océan Cobb

T’as laissé l’eau couler sur toi, cette odeur de détergent et de sang n’est pas forcément très attractive. Tu viens de finir ton job, le job ingrat pour certain et unique pour d’autre. Toi tu l’aimes le job, t’aime voir la désastreuse vie des autres. Comme si la tienne était mieux, qu’elle méritait mieux que celle des autres. Tu te trompes pas et tu trompes personne, t’fais fausse route. T’as la misère avec ton père, t’as tout la peine du monde à survoler avec un amour inconditionnel votre relation. Elle est fait comme une route imparfaite, à chaque nid de poule tu trésailles, ça tiraille ton être, ton cœur. Ça fait mal, putain.
Ça te tue à petit feu, comme si tu étais un plat à faire cuire, sauf que la cuisson parfaite rime avec ta mort. Ça te manque de pouvoir passer un coup de fil en parlant, échangeant des mots, chose simples pour n’importe qui sauf vous. Tu taciturnes tes sentiments et lui démontre toute la haine qu’il porte à cette passion, ce feu qui brûle dans tes veines pour l’art. T’es prêt à tout pour réussir, lui prouver que tu ne seras pas son père, que tu seras fiable, comme il avait su l’être.
Il est têtu le paternel et toi tu n’as pas fait que survoler son défaut, tu lui as volé, comme il a toujours volé ton respect. Ce vieille homme tu le respecte et tu l’aimes, putain.
Enfin, tu marches sur l’asphalte, comme si ça t’appartenait, rien à fiche des autres qui roulent et qui s’en ficheront de te voir décorer de ton sang la route.
Tu t’laisses mener par tes pieds dans un endroit sans doute déjà affublé d’un monde dingue, le monde t’aime ça. Puis il est là, toujours fidèle à ton être, prête à capturer quelques âmes. Ton appareil, ton dieu des captures. Tu ne le lâche jamais, t’en a besoin, t’as besoin de lui pour ne pas louper les choses. Mais peut être que tu loupes des choses en réalité. Là est la question, mais dans le vrai tu t’en branles pour le coup.
La plage est là et tout se dévoile sous tes yeux. T’es un gamer, alors tu fonces. T’as envie de vider ton esprit, pour retrouver ton envie de créer. Tu files dans l’affluence, marchant comme un marcheur blanc, sans vraiment savoir sur quel jeu tu vas atterrir.

un peu de sourire bonheur sur son visage, océan se fait une place parmi la foule, joue des coudes chaque fois que ses yeux cherchent le corps de celui qui l’accompagne dans ce rendez-vous adolescent, chaque fois qu’elle a trop peur de le perdre de vue. peur qu’il s’envole si le vent souffle trop fort. loup.
elle se laisse porter par les hautes vagues aujourd’hui océan, glisse un peu sur le sable qui se soulève à son passage. à leur passage à deux, loup et elle. loup et océan. parce qu’aujourd’hui c’est le sablier qui s’est brisé et le temps sur lequel elle marche, une enveloppe chaude autour de son palpitant, loin du froid de la nuit. et peut-être que loup aussi il a peur du vent parce que c’est bientôt sa main qu’elle sent dans la sienne (enfin). alors océan elle ne sait pas vraiment combien de temps, ne sait plus vraiment où ils sont, sait seulement que ce sont ses yeux qui ne quittent plus le visage du garçon.

- tu veux faire un jeu en particulier ?

océan elle vire au rouge en détournant la tête, comme une enfant pris en flagrant délit, glisse une mèche derrière son oreille avant de regarder autour d’elle. il y a ce stand à quelques pas d’eux et son sourire qui prend plus de place sur son visage quand elle tire sur la main de loup, jette un coup d’œil derrière son épaule avant de l’entrainer avec elle. ici. océan elle oublie un peu quand elle est avec lui, oublie que ce soir elle retournera dans les rues sombres. celui qui gagne décide du jeu d’après ? derrière elle le stand du lancer d’anneaux, sur son visage un air enfantin qu’elle pensait disparu depuis longtemps.

@loup malgani

Draps de satin. Coton usé par le temps. Elle ouvre ses paupières sur le plafond noirci par la nuit. Immobile, elle tente de comprendre pourquoi elle a ouvert les yeux. Elle regarde son réveil. Elle s’est endormi dans l’après-midi « pour cinq minutes » qui se sont transformés en quelques heures. Elle sait. Elle sait qu’elle ne va pas se rendormir. Pas tout de suite alors elle se lève et sort de sa chambre pour tomber sur un mot que ses colocataires lui ont laissé. Ils sont sortis s’amuser au fair games sur la plage. Une pluie de perle s’appose sur son corps quelques instants plus tard avant qu’elle ne s’habille rapidement d’un short et d’un tee-shirt à manche courte rehaussé par une paire de petite tennis. Une queue de cheval orne son crâne puis elle file. Il fait bon dehors. Il y a du monde même si le monde qu’elle voit est muet.

L’air marin arrive à son nez avant qu’elle ne puisse voir la mer ou le sable encore chaud de la journée. Elle n’entend pas la musique forte, les cris non plus. Elle empli ses poumons de l’air marin qu’elle sent et qu’elle trouve particulièrement agréable. Elle tourne plusieurs fois avant de pouvoir, enfin, voir la mer. Elle reste un instant sur place avant de traversée rapidement. Elle descend jusqu’au sable avec un grand sourire. Ca fait du bien d’être là, de ne pas travailler. De ne penser à rien en fait. Elle tourne son visage pour voir les lumières des fair games et décide d’aller trouver ses colocataires pour leur faire une surprise.

Miss infortune à parler. Elle se prend les pieds toute seule en voulant se tourner dans la bonne direction et PATATRA, le visage dans le sable. Elle tombe, s’étale, s’écroule de tout son long. Elle relève la tête pour cracher le sable qui s’est retrouvé dans sa bouche. Beurk, c’est pas agréable du tout. Elle voit une main devant ses yeux et lève la tête un peu plus haut pour rencontrer le regard d’une âme charitable. Elle voit ses lèvres bouger et elle sourit avant de prendre la main de cette charitable âme afin de se lever. « Merci » dit-elle de sa voix éraillée et tremblotante. Quand on ne s’entend pas parler, il est toujours difficile de parler …

quand l'été, son soleil et sa chaleur sont de retour à new york, elle revit lisa. comme si, telle une plante, les rayons de lumière l'aidaient à se maintenir en vie. pendant pratiquement toutes les années de sa maigre existence, elle n'a connue que le climat et les plages de miami, la jolie lili. et si elle rêvait de s'installer à new york depuis toute petite, sa ville de naissance laissait pourtant comme un vide, que rien ni personne ne pourrait combler, dans son coeur. t'es un peu la fille de deux terres lisa. celle qui rêve de la grandeur de l'une, et du confort de l'autre.
puis, elle a entendu parler des animations estivales. et ça lui a rappelé tout ce qu'elle avait vécu gamine. quand elle passait ses après-midis à courir dans le sable, à profiter de la mer et des glaces qui l'enchantaient toujours. elle n'était pas compliquée lisa. elle était de ces jeunes femmes qui se satisfaisaient d'un rien. qui savaient apprécier le peu qu'on voulait bien leur offrir, et ça lui facilitait la vie sans aucun doute. alors elle ne se fait pas prier pour rejoindre les baies du queens. pour l'occasion, la plage y est parsemé de stands qui lui font déjà tous les yeux doux. elle a la tête et le coeur en fête lisa, même si elle ne sait absolument pas où ses pas la mèneront dans un premier temps. elle s'apprêtait à jeter son dévolu sur le chamboule-tout qui lui avait toujours offert des fous-rires enfant, quand ses yeux se baladant alentour, tombent sur une femme qui s'écroule dans le sable. elle ne sait pas si c'est une simple chute ou un malaise. ni une, ni deux, elle accourt pour lui porter secours. j'peux vous aider ? elle articule d'une voix douce en lui proposant sa main, comme mince soutien. merci. elle lui offre un sourire chaleureux en retour, pour qu'elle ne se sente pas gênée de la situation. vous allez bien ? ce type d'accident malencontreux pouvait arriver à n'importe qui et elle ne pouvait pas dire qu'elle n'était pas coutumière de ce genre de maladresses lisa. pour l'heure, elle se met en tête de tenir compagnie à cette jolie femme, en attendant que son amie se pointe dans le coin, si tant est qu'elle soit disponible. on ne savait jamais vraiment où pouvait trainer zahra, ni même ce qu'elle pouvait bien faire. ce pourquoi elle choisit de lier l'utile à l'agréable la petite martinez.

(@emilyana silaïev (TC) SUMMERTIME / fair games. 3476085353

(TC) SUMMERTIME / fair games. 3476085353

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fair games.

cheveux dans le vent. respirer le grand air à pleins poumons. bonheur. l'été qui arrive. du soleil comme s'il en pleuvait, inondant les paysages de la baie de new york. gamine, le sourire aux lèvres qui se laisse bercer par la nature, fermant les yeux pour apprécier la délicatesse avec laquelle les embruns viennent se déposer sur son visage. elle a beau aimer sa ville faite de gratte ciels, faite de toujours plus de grandeur, sa ville qu'elle ne voudrait pas quitter, mais quand l'été arrive blondie elle revit ses vacances à miami notamment. s'évader loin des boulevards et des ruelles qui quadrillent new york. sentir la chaleur pénétrer sa peau, sentir l'été jusqu'au plus profond de ses entrailles.
blondie qui arrive plus excitée que jamais à la foire organisée dans la baie de sa ville d'amour. la tête dans les nuages, les pensées qui voguent au dessus des vagues. la gamine tête en l'air qui regarde le ciel plus que ses pieds et les gens de devant elle. petit coup d'oeil rapide sur ce qu'il se passe autour d'elle quand elle reconnait sa meilleure amie de dos, en train d'aider une personne tombée par terre. elle la rejoint donc en sautillant, en essayant de ne pas faire de bruit pour la surprendre. arrivée derrière lisa, elle lui fait un câlin. coucou ma beauté. za se décale ensuite pour faire face à la femme tombée devant lisa. salut, moi c'est zahra, tu vas bien? tutoiement qui vient instinctivement devant cette inconnue, comme pour la mettre à l'aise.

@lisa martinez @emilyana silaïev

l'air marin a toujours eu un effet salvateur et il ne faut pas plus que du sable et des vagues pour que lisa se sente déjà en vacances. l'avantage de new york était sans aucun doute ses deux facettes. il y avait tous ces bâtiments industriels pour ceux qui préféraient le style urbain, mais il y avait aussi les baies pour ceux qui préféraient la nature et l'évasion. finalement, cette ville avait tout pour lui convenir et pour combler tous ses manques.
les différentes attractions installées sur place l'appellent toutes à elles. et lisa, la grande indécise, peine à savoir où donner de la tête en premier. une distraction sous forme d'un malencontreux accident la coupe pourtant dans ses réflexions. et elle n'hésite pas, comme chaque fois qu'elle peut rendre service. elle décide même de rester tenir compagnie à la jeune femme, en prenant de ses nouvelles. coucou ma beauté. puis, c'est le moment que choisit zahra pour se pointer dans son sillage. elle sursaute, d'abord prise de court. t'as toujours l'art et la manière de t'annoncer. elle dit en riant. elle rend son câlin à la deuxième blonde avant qu'elle ne poursuive à l'intention de la troisième. salut, moi c'est zahra, tu vas bien ? celle-ci ne tarde pas à les remercier une fois encore et à les rassurer sur sa situation, avant de s'éloigner pour retrouver quelques amis, les laissant finalement seules. comment tu vas ? ça m'fait plaisir de te voir. elle s'accroche au bras de sa meilleure amie alors qu'elle la traine déjà vers les animations qui l'attiraient depuis son arrivée. j'me sens encore l'âme d'une gamine, ça te dit une pêche à la ligne ? une petite moue enfantine affichée sur ses traits, elle mettait déjà toutes les chances de son côté la jolie lili.

(@zahra al khalir (TC) SUMMERTIME / fair games. 3476085353

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