shrapnel.

save the queens ---- / NARSES AZNAR

47 ans ---- / ace of diamonds ---- / pedro pascal

identité complète - l'homme aux dizaines de noms,
de ceux qui font secrètement la renom
sans être capable de tout relier
sans qu'ils soient capables d'poser un visage sur le recherché.
juste assez fort qu'pour ça les nique
alors qu'en réalité, il n'est que consonnances hispaniques,
aznar pour foutre tout un tas d'bazar
alors qu'en réalité, c'est tout logique,
narsés pourvu qu'tu cesses.

lieu de naissance et origines - d'un pays chaud, remplis trop d'maux
le chili en héritage pour un gamin qui n'a jamais été sage.
ils diraient que c'était écrit,
quoi d'autre pour un enfant né dans les bas-fonds d'une capitale qui poussent autant de cris ?

études ou métier - il existait sur les eaux troubles et menacées,
entre tempêtes et krakens, un navire fait de chairs et d’os que mille marins et marchands redoutaient.
eux-mêmes n’étaient plus fait d'os et de sang,
seulement devenus des fantômes pillant sous l’doux chant.

chercheur de trésors, braqueur d'or
acheteur d'art, voleur d'ces derniers sans hasard,
el banquero où certaines légendes en faisaient un héros
l’compte rempli de zéros
quand les autorités cherchaient pour t'foutre derrière les barreaux.

toi. eux.
groupe de bienheureux.
groupuscule de frauduleux

orientation sexuelle - d'ce feu entre les reins qui te prend, t'forces à plier les genoux devant.
elles sont belles. divines, toujours presque irréelles, d'une senteur des vignes
dans de nombreux ports les naïades,
celles pour qui tu t’laisses aller à l’illusion de la noyade.
sans jamais d’accroche, quand toujours quelque chose cloche,
le tremblement presque invisible des mains creusant et marquant les hanches,
les gémissements fous, presque sans voix, qui flanche
frissonnant contre l'épiderme d'sueur chaude, les lèvres suivent le galbe des dunes,
embrassent les plus ravageurs monts de venus sous le rire de la plus mauvaise lune.
j'suis marquée par ses runes.

statut civil - des années que tu es marié à une douce tentatrice,
putain d'manipulatrice.
c'était l'amour, un drôle de séjour.
malsain, coquin,
l'bonheur grignoté par les requins.
et pourtant, l'désir séjourne toujours entre tes reins.
les monstres pillent vos cœurs,
à vous faire pousser tant d'cris, à t'faire rêver d'terreur en attendant ton heure. votre heure.
ça fait trop longtemps qu'ça dure.
trop longtemps qu'vous ne vous êtes pas retrouvés entre les mêmes murs.
en instance de divorce, pourvu qu'elle signe.
pourvu qu'elle se résigne.
pourvu qu'elle t'assassine.
pourvu qu'pour la faire souffrir qu'tu baises la nouvelle voisine.
pourvu que vous apparaisse un signe.
que rien n'est terminé, que vous continuerez de vous déchirer et de vous aimer dans l'éternité.

pi, scénario ou prélien - inventé.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star

traits de caractère /
et j'ai dans le cœur un trou béant, comme s'il répondait à ce drôle de chant. à tue tête. là. là. encore. encore et encore. tu l'entends ? si tu savais à quel point il est percutant. à quel point j'pourrais m'y perdre, si j'le laissais aller à cet appel mourant. ; il était impossible de dire qu'il n'était pas humain. comme tout être son cœur battait, son esprit pensait. il était plutôt questionnable d'savoir comment il survivait. il avait en tête tout un tas d'images qui le condamnaient. jour après jour, les nuits l'accompagnant, elles le tourmentaient. j'pouvais vous dire quc'était bon. à petit feu, d'retirer sa vie. à petit feu, sous l'étau, serrant, l'étouffant, entendre l'homme qui gémit. j'pouvais vous dire quc'en était tout autant déchirant, d'voir qu'il ne faisait presque plus semblant. que trop peu souvent il pensait à celle qui était sa femme, que trop peu souvent il se rappelait l'existence et le prénom de ses enfants. froid et distant, il l'était devenu, sa flamme se rallumant seulement devant les trésors et les corps nus.

- la pieuvre alléchée.

et j'viendrai déchirer tout ce que l'on est, par plaisir d'te voir tomber. offerte à la caresse de mes doigts, tu continueras à faire de moi un roi alors qu'il ne reste déjà plus rien d'toi. ; on racontait qu'il fallait être fou pour conclure un pacte avec lui. c'était un menteur et un voleur qui n'avait presqu'aucune conscience. on l'disait capable de toujours rebondir, quitte à se salir. il était oui, salissant, la manipulation lui sied comme un gant. et pourtant, il remplissait toujours sa part du contrat avant d'se terrer comme un rat. on n'savait réellement ce qu'il ressentait car de peu de mots, généralement, il se contentait. on savait ce qu'il en était seulement lorsqu'il lui arrivait d'exploser. il avait tout de son héritage chilien, là revenait sa vraie nature à se comporter comme un sale chien. on le disait juste, un acerbe trop rustre. on disait qu'il était fait de mystères, que les ombres le poursuivaient depuis sa création dans l'univers. s'il avait encore là une importance dans toute cette drôle de dance. il n'était même pas synchro, à rendre les autres trop souvent barjots, l'poussant chaque jour un peu plus derrière les barreaux. c'était beau.

- la pieuvre renversée.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share

-- sea monsters; i.

le chant des mers. art.i.i
il existait sur les eaux troubles et menacées, 
entre krakens et tempêtes déchaînées, un navire fait de chairs et d’os que mille marins et marchands redoutaient. 
eux même, ces membres de l'équipage, n’étaient plus fait d'os et de sang, 
seulement devenus des fantômes pillant sous l’ensorcelant chant.

ils étaient ce que les rumeurs appelaient pirates.
ceux faisant fuir les navires marchands en hâte,
naviguant sur les mers qui se gâtent
seulement répondant à l'appel du chant de la sirène écarlate. 

- oh ça ?
ton regard descend sur l'encre noire,
là où un crane repose
posant fièrement au côté d'une rose des vents, élément important de la chose.
là où les vagues, marquées à même la peau,
donnant l'impression d'être tout droit sorties des eaux.
là où y est placardé un navire qui navigue
le brigantin irrattrapable sans aucune fatigue
en signe de message à chacun d'vos passages.

sur tes lèvres, l'sourire se glisse,
de celui qui trop souvent hérisse
il aurait tout pour l'être
surtout pour l'homme, devant lui, qui voudrait effacer ce jour qui la vu naître.

ton regard se heurte,
au sien possédant l'envie d'meurtre
fierté contre fierté,
loup contre brebis coincée.
tu n'saurais dire qui est vraiment qui.
lui ou toi.

on l'sait que je serais toujours roi
même sous tes lois.

nyc. non daté.
(retranscription audio d'une allocution brouillée, mémoires retrouvées sur un magnéto presque trop rouillé. on racontait qu'il s'agissait là des mots du pirate condamné. il l'était à la potence, prêt à laisser vaguer son âme noire dans l'eau salée avec errance. qui sait s'il aurait souhaité qu'il soit écouté et surtout analysé.*)

ils comprennent pas, n'ont même jamais voulu comprendre. (grésillement. un souffle long. peut-être d'une fumée expirée par le nez.) est-ce qu'on peut leur en vouloir ?
oui, non.
le kraken dirait qu'oui. qu'ils l'ont toujours cherché. medusa, qu'on les a pendant des années bien baisé.
et j'les entends encore tous. j'les imagine rire ces cons. chantant... (amusement dans la voix.)
j'vois encore leurs sourires, (grésillement.) leurs excitations, leurs danses. octopus avait ça dans l'sang.
(respiration.) il le disait;
« ils nous condamnent, ces crapules, alors que la seule différence entre nous, (grésillement) c'est qu'ils volent les pauvres grâce à la loi, et que nous pillons les riches armés de notre seul courage. » (respiration plus forte.)
y a qu'ça de vrai. sa réalité d'hier, notre réalité d'aujourd'hui sans plus retour en arrière. (longue pause.
fin de l'audio.)

* nb : j'peux pas dire qu'il aurait détesté. il était comme ça, un trop plein d'fierté. 
il en aurait été heureux, 
d'avoir son nom relayé dans les chants et légendes 
mais c'était pour la postérité.
on le disait prince des mers devenu condamné
fils de poséidéons, l'union de monstres marins fous à lier.

voyez, jamais il ne les appelle par leurs prénoms
alors même qu'ils sont tous bon pour la pendaison. 
c'était ça la politique de la maison. 

-  la pieuvre.
le chant des mers.

-- sea monsters; ii.
medusa,
gorgone trop bonne.

le chant des mers. art.ii.i
on disait qu'après une chaude nuit, elle était née pour lui. 
il se racontait qu'elle avait le pouvoir de faire tomber la pluie 
sur les joues des princesses terriennes pour qui il en venait à ressentir qu'un ennui.

medusa n'était rien
qu'un corps féminin où venaient se perdre tes coups de reins.
medusa n'était rien.
tu n'étais pas sien.
juste la caresse d'un sein,
quand le bonheur en venait à faire un mal de chien.

nyc. non daté.
(retranscription audio d'une allocution brouillée, mémoires retrouvées sur un magnéto presque trop rouillé. on racontait qu'il s'agissait là des mots du pirate condamné. il l'était à la potence, prêt à laisser vaguer son âme noire dans l'eau salée avec errance. qui sait s'il aurait souhaité qu'il soit écouté et surtout analysé.*)

medusa et moi ? (un rire.)
y aurait tellement d'choses à dire.
j'aurais tellement d'choses à t'dire.
m e d u s a. (surnom appuyé. sans timbre particulier.)
c'est vrai qu'on s'amusait bien. ton corps avait la douceur du satin,
j'pourrais dire qu'il donnait l'impression d'arriver au paradis, à côtoyer les saints. que (grésillement. incompréhensible)
mais non. (grésillement. incompréhensible) c'était juste ça.
juste pour passer le temps.
c'était cool.
ouais medusa était cool. (sourire dans la voix.)

* nb : j'peux pas dire qu'elle était celle à qui il s'accrochait. 
c'était pas l'cas. 
elle était juste là. comme il était juste là. 

ils n'étaient que deux enfants de l'océan
se laissant l'temps d'une nuit avoir par le chant. 
sans qu'ce soit réellement important. 

-  la pieuvre.
le chant des mers.

-- sea monsters; iii.

le chant des mers. art.ii.i
on racontait qu'elle était la plus horrible de tous. 
peut-être plus que lui. c'est dire. c'est pour cela qu'on les craignait.
elle était également sirène
métamorphe à se la jouer reine
quand derrière elle n'était qu'un monstre pourri 
la légende disait qu'elle était la seule à pouvoir lui prendre la vie.

j'ai en tête tellement d'moments,
de nos premiers instants.

j'pourrais pas dire que ce n'était pas beau
mais quand j'regarde en arrière, j'tombe de haut.

et ça m'fait mal.
et ça m'renvoie à tant d'râles.
de tes plus excitants,
aux plus navrants.

quoi que

jt'avoue que ceux qui m'excitent le plus aujourd'hui sont ces derniers
dt'entendre chialer.
derrière un ancien baiser
derrière un dernier coup d'rein claqué
derrière nos vœux tragiquement prononcés
derrière mon prochain coup pour t'faire clamser.

nyc. non daté.
(retranscription audio d'une allocution brouillée, mémoires retrouvées sur un magnéto presque trop rouillé. on racontait qu'il s'agissait là des mots du pirate condamné. il l'était à la potence, prêt à laisser vaguer son âme noire dans l'eau salée avec errance. qui sait s'il aurait souhaité qu'il soit écouté et surtout analysé.*)

(grésillement.)
puta.
(un long silence. une inspiration.
audio coupé.)

* nb : entendez-vous dans sa voix ces milles nuances ? 
c'est fascinant tout ce qui se mêle et se démêle. 
tout ce qui s'affronte. 

ils étaient la lune et le soleil. 
j'pouvais vous confirmer qu'autrefois ils s'aimaient. 

c'était l'amour impossible
car s'effleurant sans jamais pouvoir atteindre leur cible 
chacun leur tour, ils mourraient à la renaissance de l'autre dans des cris devenus effroyablement inaudibles. 

c'était l'amour devenu haine 
juste pour faire vivre leur Jour ou leur Nuit en reine.
car tel était pourquoi ils avaient été créés, 
ils renaissaient afin de se tuer pour l'éternité.

c'était déchirant
quand on prenait le temps d'analyser ce conte pour enfant.

-  la pieuvre.
le chant des mers.

-- keywords.
songes nébuleux; de sang et d'os; noirs désirs; prince of the seas; fumée cigare; le chant des mers; l'île aux trésors; silence olympien; et dans ses yeux se meurent le fruit de la terre; el panquero; délectation d'un bon malt; et j'entends le chant des sirènes qui m'appelle et m'appelle; l'homme fait d'ombres.

-- moodboard.

crédit : la louve rouge.

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

la louve rouge ---- / 24 ans ---- / rpgiste

ville - france. études ou métier - ahah. avis général sur le forum - tjr sous le charme de son élégance. le détail qui t'a fait craquer - un envie d'retour aux sources. fréquence de connexion - souvent ? crédits des icons - vocivus. le mot de la fin - omg, ça fait longtemps. re ici !! c chouette d'être de retour. shrapnel. 3227196488

Code:: [b]pedro pascal[/b] / [i]nars aznar[/i]

cette poésie, mon dieu ! ça me retourne, c'est tellement beau et puis le portrait de ton beau Nars qui se dessine... va falloir qu'on se trouve un petit quelque chose !!
en tout cas, re-bienvenue parmi nous ahah et bon courage pour ta fiche

Re-bienvenue à toi, j'ai bien hâte de lire la suite shrapnel. 946831849

re-bienvenue par ici

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dans le jeu des persiennes, des fumées me reviennent,
comme les démons insomniaques de nos amours rebelles.
nos conditions humaines, nos émotions cruelles,
comme des vapeurs qui m'attaquent,
hallucinogène.

bienvenuuue shrapnel. 3227196488

@sahel al assad oh mon dieu tamino blblb, amoureuse de ton choix de fc !! et je ??? merci bcp pour tes mots si gentils. t'es un <3
avec plaisir pour le lien, de ce que je peux voir dans ton profil, ça m'plaît ++. je reviens vite vers toi après avoir terminé ma fiche (sauf si t'as déjà des idées, hésite pas)

@Misha Orlov @Kaan McDonald @Jill Warner merci vous !

non mais c'est quoi cette fiche de malade ? j'étais clairement pas prête à cette bombe shrapnel. 697000959

cette mise en page, cette poésie, tes mots marry meeeeee shrapnel. 1505825564

si tu veux de moi, assurément que je t'embêterais pour un lien. bon courage pour la suite de ta fiche et rebienvenue shrapnel. 3227196488

@Serpentine Girardi oh mais, tu rejoues serpentine, je me souviens d'elle blblb
trop contente de la voir encore en vie sous tes doigts. elle est tjr autant divine !!
et je ??? merci mille fois pour tes mots rolala. contente que ça te plaise. jt'attends devant l'autel (avec plaisir pour le lien !!) mais sa future ex-femme confirmera quc'est pas un mari de rêve hihi. de l'amour

@Nars Aznar je me disais bien que ton pseudo me disait quelque chose shrapnel. 1285608406

je suis revenue par ici il y a quelques mois, c'est si cool de recroiser ta route shrapnel. 3227196488

merci pour tes doux mots, blblblb, je sais plus quoi dire là t'es trop un amour shrapnel. 3176379322

je viens te mp pour qu'on manigance un petit lien comme on les aime shrapnel. 3476085353