Sujet: (les rois de l'incruste) ft andreas. Dim 1 Déc - 20:44
La même rengaine chaque soir, trouver un endroit où poser tes fesses pour la nuit. t’aurais pu voir Dario, squatter la coloc de ta sœur, mais autant dire que au vu de l’heure déjà avancé et de ton accoutrement de fille démoniaque en latex noir, tu as décidé de le faire encore. Rentrer dans un lieu abandonné, les squats de jeune dont les adresses s’échangent sur les réseaux sociaux. Des bonnes adresses et des adresses pitoyables où tu côtoies les ténèbres, toi lumineuse petite poupée. Des gênes défectueuses, tu aurais pu tomber dans l’abysse des enfers, mais petite fille toujours lumineuse, besoin de voir les bonnes choses de la vie, même quand rien n’est normal, rien n’est simple. Les mains glacées, la tenue bien trop fine pour retenir une quelconque chaleur, tu es gelée, mais tu essayes de presser le pas en direction de l’adresse pour pouvoir te réchauffer, nouvelle adresse, donc des chances que le gaz et la lumière y soit encore, donc une douche chaude. T’as pas l’habitude d’écumer ce genre de lieu abandonné pour mille et une raisons, mais quand tu n’as pas le choix, que tu as déjà trop squatté chez Billie ou autre, tu le fais, sinon tu trouves une laverie ouverte pour t’y poser. Un jour tu auras ton chez toi, ce jour est loin d’arrivée au vu de l’emprunt que tu as fait pour tes études de médecine, t’as pas la cuillère en or dans la bouche, ni même personne pour réellement t’aider, niveau argent. Alors tu te le fais l’argent, avec la petite tenue en latex et le fouet que tu as dans le sac. Tu as tout pour être la dominatrice à ces messieurs au portefeuille grossir par les billets. Tu ne pensais pas être capable de faire ça, trop douce, trop frêle pour ça, mais t’es capable de tant poupée. Arrivée dans la rue, tu observes le quartier, qui est rassurant bien plus que d’autre, une famille moyenne pourrait vivre ici. Pas la tienne. Les opales qui observent, le silence régnant dans cette rue, le monde était endormi à même titre que les étoiles avaient tiré les nuages sur elles pour faire un somme. Devant la maison, il te faut faire de la gym, et vu la tenue ce n’est pas une chose aisée à faire. Tu grimpes évitant de tomber, mais t’as jamais été très douée pour ce genre d’exercice toi. tu tombes du haut du portail, tout en te retenant de crier, pour ne pas éveiller les bons gens déjà endormi, pourtant à ta chute, les hurlements des chiens semblables à des loups se firent entendre, la boule au ventre, tu repris ton chemin jusqu’à la porte arrière, comme prévu, cette dernière était forcée. Entrant dans l’endroit, tu déposais tes affaires, gardant encore ton manteau sur les épaules et l’ouvrant, regardant tes genoux égratignés. « punaise t’es vraiment nulle … » Nulle ,car tu n’avais pas l’oseille à gaspiller dans une nouvelle tenue de dominatrice, tu n’avais plus qu’une hâte de mettre dans ton jogging et ne plus sortir de cette maison qui n’était pas totalement vidé. @andreas stevenson
Sujet: Re: (les rois de l'incruste) ft andreas. Sam 25 Jan - 18:23
La nuit se lève sur New-York et comme presque chaque soir, Andreas vient admirer le spectacle des toits de la ville qui ne dort jamais. C'est illégal, il le sait mais le garçon n'en a rien à faire des interdits. Les règles, il s'en contrefout et ça lui a déjà valu quelques séjours en garde à vue. Ce qui ne l'a jamais empêché de recommencer. Andreas se veut être un homme libre et sans contrainte. Il vit sa vie comme il l'entend, comme ça lui chante et personne ne pourra le faire réfléchir par rapport à ça. Pas même les flics. Surtout pas eux. Son vieux sac à dos sur le dos, il finit par se relever et quitter l'immeuble où il a prit ses aises avec le temps. Il prend le chemin pour rentrer chez lui, ce n'est pas très loin à pied. Enfin chez lui, ce n'est pas le terme exact parce qu'Andreas n'a pas d'endroit à son nom. Pas légalement en tout cas. Il n'a pas les moyens même s'il pourrait facilement les avoirs s'il le souhaitait vraiment. Il dépense surtout son argent dans des bricoles qui n'ont pas lieu d'être mais dont il a besoin. Ce quartier est bien trop riche pour lui mais un confort un peu plus pointu ne fait jamais de mal. Il en a marre des piaules qui ressemblent plus à un squat qu'à une chambre. Comme s'il était en capacité d'avoir des exigences. Mais après tout, personne n'est là pour l'entendre. Il fait le tour de la propriété et passe par l'arrière, au fond du jardin. Quelque chose de beau, qu'il ne connaîtra jamais évidement. Comme il l'a laissé un peu plus tôt dans la journée, la porte arrière est ouverte alors il entre dans son chez lui pour quelques jours. Mais en allumant les lumières que personne ne peut voir de l'extérieur puisque les volets sont fermés, il découvre qu'il n'est pas seul. Une femme est là. Euh... Pardon mais qu'est-ce que vous faites ici ? Qu'il demande comme si la maison lui appartenait alors qu'il est autant fautif qu'elle, certainement. Il a longuement observé cette maison par le passé, comme toutes les autres. Et les propriétaires n'avaient aucun visage qui lui ressemblait. Il laisse tomber son sac à dos près de lui et retire son blouson pour se mettre à l'aise, comme il a l'habitude de le faire dès qu'il rentre. C'est chez moi ici. Qu'il ment ouvertement. Mais Andreas n'a aucun mal à mentir, encore moins à des personnes qu'il ne connaît pas. Il s'en fout, il était là le premier et il ne compte pas s'en aller. Qui êtes-vous d'ailleurs ? Qu'il lui demande en fronçant les sourcils.
Sujet: Re: (les rois de l'incruste) ft andreas. Lun 25 Mai - 11:24
Tu pourrais craquer ela, mais ce n’est pas toi, voir le mauvais dans les choses. Toujours à imaginer qu’un jour tout finira par aller mieux, tu pourras finir par t’envoler dans des douceurs de la vie prochainement. Pour le moment, tu devais composer, comme bien d’autre personne, t’aurais pu aller dormir dans la rue, mais tu sais très bien que ce n’est pas une bonne idée, si tu veux sortir indemne de la rue. Un jour t’auras ton propre chez toi, ça sera quand t’auras l’argent de ton prêt étudiant, ce n’est pas encore gagné. Pourtant c’est tout ce que tu espères, survivre à la vie que tes parents t’avaient donnée. Les parents résument aisément ce que les enfants pourraient devenir, tu as toujours entendu ça, mais toi tu veux plus, bien plus que ce qu’on pourrait te proposer comme un simple job de serveuse dans un fast food. T’as toujours été brillante, prête à tout pour réussir que ce soit dans tes études ou pour vivre. Tu n’es pas du style à survivre, mais bel et bien à vivre. Alors malgré la peur au ventre que de te faufiler dans ce palace, tu ne te sens pas plus coupable que de profiter des belles choses de ces personnes absentes. Le sourire glissé sur tes lèvres qui finit par faire disparaitre ta petite tête morose quand tu aperçois ton pantalon de maitresse dominatrice abîmé. Tu vas devoir dépenser un peu d’argent pour l’échanger, mais tout ce que tu désires c’est d’aller prendre une douche, profiter de l’endroit et de cette chaleur qu’il offre. Tu allais partir pour te poser dans le bain avant de commander quelques choses à manger si les placards étaient vides, mais ça c’était avant de voir une personne débarquer. Un jeune homme qui s’installe en déposant son sac, tu l’écoutes Ela, le sourire fixé sur ton visage. « Oh chez vous ? » tu as appris à gérer ce genre de situation et pour le coup, tu le sais parfaitement que le jeune homme n’est pas le propriétaire de l’endroit. Tu clignes des yeux quelques petites minutes avant de juste plier tes bras sous ta poitrine. Tu hésites. Jouer la carte de la fille qui sait ou celle de la fille coupable. « j’ai dû me tromper d’adresse alors … je suis chez mon oncle. » Soufflant, tes yeux sont rivés sur ses iris. « je ne suis pas chez les boomberg ? » Tu joues à merveille la fille crédule, alors que tu sais que lui comme toi vous n’avez rien à faire ici. Rien du tout même. « Je ne vous ai jamais vu dans le coin, pourtant ici dans ce quartier on se connait tous, vous êtes nouveau ? » Interroge-le et fais le cuir, un peu, car monsieur sac à dos n’est clairement pas ici chez lui. « Ela au fait. » que tu dis en tendant ta main. @andreas stevenson
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Sujet: (les rois de l'incruste) ft andreas. 
Dim 1 Déc - 20:44
La même rengaine chaque soir, trouver un endroit où poser tes fesses pour la nuit. t’aurais pu voir Dario, squatter la coloc de ta sœur, mais autant dire que au vu de l’heure déjà avancé et de ton accoutrement de fille démoniaque en latex noir, tu as décidé de le faire encore. Rentrer dans un lieu abandonné, les squats de jeune dont les adresses s’échangent sur les réseaux sociaux. Des bonnes adresses et des adresses pitoyables où tu côtoies les ténèbres, toi lumineuse petite poupée. Des gênes défectueuses, tu aurais pu tomber dans l’abysse des enfers, mais petite fille toujours lumineuse, besoin de voir les bonnes choses de la vie, même quand rien n’est normal, rien n’est simple. Les mains glacées, la tenue bien trop fine pour retenir une quelconque chaleur, tu es gelée, mais tu essayes de presser le pas en direction de l’adresse pour pouvoir te réchauffer, nouvelle adresse, donc des chances que le gaz et la lumière y soit encore, donc une douche chaude. T’as pas l’habitude d’écumer ce genre de lieu abandonné pour mille et une raisons, mais quand tu n’as pas le choix, que tu as déjà trop squatté chez Billie ou autre, tu le fais, sinon tu trouves une laverie ouverte pour t’y poser. Un jour tu auras ton chez toi, ce jour est loin d’arrivée au vu de l’emprunt que tu as fait pour tes études de médecine, t’as pas la cuillère en or dans la bouche, ni même personne pour réellement t’aider, niveau argent. Alors tu te le fais l’argent, avec la petite tenue en latex et le fouet que tu as dans le sac. Tu as tout pour être la dominatrice à ces messieurs au portefeuille grossir par les billets. Tu ne pensais pas être capable de faire ça, trop douce, trop frêle pour ça, mais t’es capable de tant poupée. Arrivée dans la rue, tu observes le quartier, qui est rassurant bien plus que d’autre, une famille moyenne pourrait vivre ici. Pas la tienne. Les opales qui observent, le silence régnant dans cette rue, le monde était endormi à même titre que les étoiles avaient tiré les nuages sur elles pour faire un somme. Devant la maison, il te faut faire de la gym, et vu la tenue ce n’est pas une chose aisée à faire. Tu grimpes évitant de tomber, mais t’as jamais été très douée pour ce genre d’exercice toi. tu tombes du haut du portail, tout en te retenant de crier, pour ne pas éveiller les bons gens déjà endormi, pourtant à ta chute, les hurlements des chiens semblables à des loups se firent entendre, la boule au ventre, tu repris ton chemin jusqu’à la porte arrière, comme prévu, cette dernière était forcée. Entrant dans l’endroit, tu déposais tes affaires, gardant encore ton manteau sur les épaules et l’ouvrant, regardant tes genoux égratignés. « punaise t’es vraiment nulle … » Nulle ,car tu n’avais pas l’oseille à gaspiller dans une nouvelle tenue de dominatrice, tu n’avais plus qu’une hâte de mettre dans ton jogging et ne plus sortir de cette maison qui n’était pas totalement vidé. 
