(ivre de peur) ft andreas

Pas à pas, battement après battement. Tu essayes de te convaincre que c’est la meilleure solution que d’affronter ton frère en premier. Tu trembles d’avance de le voir en face à face, sans pour autant te cacher. Comme toujours. La peur qui rend ton esprit embué, testant de te faire changer d’avis, te donnant envie de déguerpir au plus vite, pour que tu ne puisses tenir ta promesse à ton petit frère. Des mots qui se mûrissent dans ta tête, ton âme face au vide, la peur de tomber pour ne pas savoir se rattraper. Encore la même mélodie qui gît en toi, boum boum, le monde autour de toi est comme silencieux, n’entendant que l’odieuse mélodie qui s’amuse en toi. piétinant l’asphalte, tu essayes de te convaincre que c’est la meilleure solution que de débarquer à son boulot, il ne pourra pas râler, te tuer ou autre. Il pourrait sans doute apaiser les maux que son absence comme celle des autres à crée. Le besoin d’être loin d’eux, dépérir et mourir sans être un nouveau poids pour eux, comme tu l’es depuis bien des années. Bulldozer que tu es, tu détruis la vie des autres en disparaissant et en revenant comme un mauvais magicien. T’aurais dû avoir une fin et rien d’autre. Mais te voilà à tergiverser sur les mots que tu pourrais utiliser pour ne pas créer de nouveau maux, ton cœur, ce cœur qui est en quarantaine, encore incapable d’imposer le silence religieux et bienfaisant que tu quémandes. T’aurais dû faire demi-tour que tu te dis en déposant tes opales sur lui, il est derrière son bar et toi tu restes inerte, comme morte à l’observer, jusqu’à te faire bousculer. Taciturne, il faudra que tu cesses de l’être, que tu l’affrontes, comme on arrache un maudit pansement. Un pas, puis un autre, tu t’installes à l’écart des autres clients jonchant le bar, attendant qu’il s’occupe de toi, la fille dépouillée, qui porte encore sa capuche sur la tête, pour un gout de mystère. Ou comme une chance pour toi de changer encore d’avis, jusqu’à ce que tes frêles doigts t’en débarrasse. Les mains qui tremblent, aucun courage qui ruisselle dans tes veines, tu ne sais comment aborder ta mort qui n’en était pas une, juste une disparition qui fait égoïste maintenant que tu y songes, maintenant que le souffle de la vie est en toi. tu vis , mais tu ne le devrais pas. Tu devrais avoir rendu ton dernier souffle, ce qui n’est pas le cas. Maudit cœur, maudite personne morte t’ayant laissé cet organe. Tu ne sais plus comment régir ce cœur mécanique, rien n’est aussi beau qu’avant, quand ton cœur s’emballait à t’en faire tomber au sol, tellement tu aimais. Aimes-tu encore les autres, les fantômes que tu avais laissés de ta vie passée ? Des kyrielles de question à laquelle tu n’aurais peut-être jamais de réponse, un attachement aux tiens, mais tu voudrais avoir mal à les aimer ,comme avant, quand ton sourire s’imposer à cause d’eux. « Andreas. » Il est devant toi, à servir une autre nymphe que toi, le cœur au bord des lèvres, prêt à exploser à la face de celui qui était ta moitié. Fréquence du cœur qui s’emballe, laissant une mélodie épurée se répandre en toi, laissant un gout de magie dans ton sang. « tu … » Hésitante dans tes mots. « je suis là. » Il le voit bien, mais tes mots sont restés blotti dans le fond de ta gorge, l’audace qui s’est enfuie. Poupée elle a peur, voilà tout. Peur des mots qui pourront découler de sa bouche.
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Machinalement, il exécute les gestes appris sur le tas. Ce n'est pas ce qu'il préfère, ni même ce qui le fait rêver mais il n'a trouvé que ça pour vivre un peu ces temps ci. Surtout en période de fêtes. Parce qu'il aimerait faire plaisir à ses proches, à ses frères et sœurs principalement. Il ne s'y est pas encore mis, il n'a même pas commencé à chercher des idées. Ce n'est pas le genre d'homme à prévoir en avance, il voit ça en temps et en heure.
Il verra puisque ce n'est pas sa préoccupation première en ce jour. Parce qu'il a cette peur quotidienne de se voir jeter de l'appartement qu'il squatte illégalement. Il n'a pas d'autre endroit où il pourrait loger le temps de trouver un nouveau qg pour plusieurs jours.
Il pourrait bien se trouver une proie facile, une femme un peu naïve qui accepterait tout par amour pour lui. Une sorte de bouée de sauvetage, à laquelle il pourrait se raccrocher lorsqu'il en a besoin. Aucun sentiment réciproque de sa part même s'il pourrait lui faire croire en de belles choses juste pour garder un toit au dessus de sa tête.
Andreas n'a aucun scrupule à manipuler les gens pour obtenir ce qu'il veut, il n'en éprouve aucune honte et aucun remord même.
Il s'en fout.
Complètement.
Royalement.
Tant pis s'il blesse la personne. Tant pis si elle finit par avoir le cœur brisé ou si elle se sent trahie. Ce n'est pas vraiment son problème.
Il sert cette femme qui semble vouloir attirer son attention par tous les moyens depuis qu'elle est arrivée dans l'établissement. femme à qui il adresse quelques sourires lorsque leurs regards se croisent ou quand il lui a adressé la parole pour prendre sa commande.
Sur la table d'à côté, il n'ose même pas regarder.
Pas encore.
Pas jusqu'à ce qu'une voix lui parle et qu'il reconnait le son d'Odaleen.
Il se fige un peu, juste quelques secondes avant que son visage ne se tourne vers la silhouette de la jeune femme. Elle lui ressemble, c'est elle. Mais ce n'est pas possible puisqu'elle est décédée.
Son esprit lui joue des tours, ce n'est pas possible autrement. C'est peut-être à cause de la dose qu'il a pris dans la matinée qui fait encore effet. Peut-être qu'il n'aurait pas dû, juste avant le travail en plus. Mais c'est plus fort que lui parce que rien ne va depuis qu'Odaleen n'est plus là.
Il n'a pas encore fait son deuil, il n'y arrive pas. C'est peut-être pour ça qu'il la voit actuellement. Pour qu'il l'accepte et qu'il passe au chapitre suivant. Ce n'est pas réel. Ce n'est pas réel. Qu'il répète à lui-même à voix basse en contournant ce qu'il lui semble être le fantôme de sa petite sœur pour retourner derrière le comptoir.
Il s'en fout si quelqu'un l'entend parce qu'il se fout de ce que les gens peuvent penser de lui. Il s'en fout de l'image qu'il renvoie et de tout ce qui le concerne.
Il continue sa journée, à faire ce qu'il a à faire. Tu n'es pas réelle, c'est mon esprit qui me joue un tour, dégages Il ne voit que ça comme explication. Rien d'autre.
Il a l'impression de devenir fou. Complètement fou.

Ce vacarme incessant, tu n’en peux plus. T’aimerais que cette chose cesse de faire une telle cacophonie. Poupée que le destin a abimée. Tu ne cherches pas grand-chose , juste un ange qui pourrait te protéger des maux de ces retrouvailles. Lui, les autres. Bien trop de monde à affronter, t’aimerais l’éviter, mais ce miracle n’est pas tien et ne le sera sans doute jamais. T’as mis du temps à te décider, à arriver jusqu’au bar où bossait ton frère. T’avais peur, tellement d’angoisse à ce que ce maudit cœur ne réagit pas. Et si tu avais eu tort, depuis le début ? des remises en question qui te donne le bourdon, l’envie d’aller te mettre sous la couette pour ne jamais en sortir, t’avais que demandé qu’une chose en disparaissant, succomber à la mort. Mais te voilà pleine de vie, la chaire qui brûle sous le stigmate de l’opération, ton cœur n’est plus qu’un terrain de jeu de bulldozer, ta carcasse n’est plus ce qu’elle était. Toi non plus. Tu n’es plus sûre de qui tu es maintenant ? T’arrives pas à te l’expliquer, pour certain c’est normal, pour d’autre ce n’est que fabulation de charlatan. Alors, tu ne sais pas dans quelle valse entrer, quelle réponse tu préfères, qui te fait le moins de peine.
T’attends comme une parfaite inconnue, les opales qui cherchent la graine de l’amour, mais rien, t’aurais presque envie de fondre en larme, de tout lâcher, mais te faut être un minimum fort, même si ce n’est pas ça. Alors pourquoi tu ne bats pas, pourquoi tu ne t’emballes pas, pourquoi tu ne sautes pas dans ses bras. Maudit cœur. Ce cœur qui n’est pas tien, il n’a pas l’air de ressentir la moindre chose pour l’une des personnages qui étaient le plus importante pour toi, juste un organe innocent, qui a subit un reboot, il te faut retomber amoureuse de tes proches, à nouveau. Ça devrait aller. Les iris qui dévisagent avec une boule épineuse dans la gorge, Andreas. Le cœur qui ne chamboule rien, t’aimerais pourtant que ce soit le cas, tu le vois dans ses iris, qu’il te voit, mais qu’il te repousse, comme un lutin imaginaire qui venait d’apparaître par magie. T’es là que tu lui chantes, pendant qu’une mélodie se joue dans tes tempes, à t’en donner le vertige, à te laisser t’écraser des milliers de mètre plus bas, pour ne plus survivre. Tu vis et en vrai cette idée ne te plaît pas totalement. « Andreas, c’est moi, vraiment. » Que tu lui dis avec douceur, mais ton visage, il ne met pas d’âme à tes mots, il est muet lui, il s’est retranché dans ta peur ton minois. Peur de ne plus être ce que tu étais, celle qu’il aimait, celle qu’ils aimaient. « je ne suis pas une hallucination, j’suis réelle … » Ta main venant toucher la sienne, la preuve que tu n’es pas froide, comme toutes les carcasses dépourvues de vie. « Tu la sens ? » Tes mains qui viennent du froid luttait pour démontrer la chaleur que possédait ton être. « J’ai eu droit à un miracle … » ta voix est fébrile, la peine qui s’ancre dans ta gorge, comme coincée par la peur. C’est ton bonheur d’antan qui manquait à tes traits, les rendant aussi lumineux que des illuminations.

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Non.
Ce n'est pas possible.
Elle n'est pas là.
Ce n'est pas elle.
C'est son inconscient qui lui joue des tours.
Andreas ne trouve que ça comme réponse à cette hallucination parce qu'Odaleen est morte. Elle ne fait plus partie des vivants de cette planète terre, enterrée à six pieds sous terre depuis longtemps. Il n'a jamais vu son corps et de toute façon, il n'aurait pas voulu le voir parce qu'il ne veut pas garder cette dernière image du corps de sa sœur sans vie. Il préfère garder tous les bons moments qu'ils ont vécu par le passé et ne garder que les bons souvenirs. C'est le mieux à faire.
Ça ne lui était encore jamais arrivé, d'avoir une telle hallucination. Pourtant, il ne se souvient pas de s'être drogué plus que d'habitude avant de venir travailler.
Tout se mélange dans sa tête, il ne comprend plus rien. Il tente de continuer de faire ce qu'il était en train de faire, de servir les clients qui attendent. Mais il a du mal à rattacher son cerveau à ses mouvements. Il ne comprend plus rien.
Et cette voix le hante. Il la reconnaît, évidemment. C'est la voix d'Odaleen, il pourrait la reconnaître entre toutes les voix que portent la terre. Mais ce n'est pas possible.
Elle est morte.
Il a besoin de prendre l'air quelques instants. Même s'il entend sa voix et que sa main sur lui semble réel, il ne peut pas y croire. Je prends ma pause. Qu'il dit à son collègue avant de sortir sur la terrasse , passant ses mains sur son visage. Il fait les cent pas en prenant une cigarette dans son paquet et il l'allume avant de tirer longuement dessus et de recracher lentement la fumée. Ça l'apaise, il se sent légèrement mieux. Tu es morte, arrêtes de me hanter. Qu'il dit à l'attention de "sa sœur" lorsqu'il la voit revenir à la charge.
Ou alors, quelqu'un se joue de lui et veut le faire souffrir ? Qu'a-t-il fait pour mériter ça ? Andreas n'est pas un garçon foncièrement méchant, il l'est un peu malgré lui, pour se protéger et éviter de souffrir un peu plus. On t'a dit adieu depuis des mois, tu n'es plus qu'un souvenir dans nos vies. Il ne se rend même pas compte que ces paroles peuvent blesser ou faire du mal à la jeune femme en face de lui qu'il pense être un fantôme ou une hallucination. Il lâche ses mots comme il lâcherait n'importe quel mot de la vie quotidienne.
Mais au fond, la disparition de sa sœur lui fait encore du mal. La plaie est encore ouverte, impossible de la refermer, impossible de tourner la page sur cette vie avec elle.
Impossible de vivre sans elle.

Tu ne sais pas. Tu ne sais plus. Bam bam. Il est beau à battre, à ne pas démontrer les sentiments que tu pouvais avoir avant. Comme si tu venais de renaître, comme ci il n’avait aucun amour à fournir à tes proches, à ceux qu’avant tu aimais. Si perdu. Si déstabilisé. Tu n’es sûre de rien, pas sûre que ce soit le cœur ou les terminaisons nerveuses qui contrôle l’amour que tu pourrais distribuer. Un souvenir ? Vivre en harmonie , lui et toi. Ce cœur et toi ? c’est comme demander à l’impossible et le possible de se croiser.
Tu n’en sais pas ce que tu attendais de tes proches, de tes retrouvailles, tu commences à te dire que fuir au plus loin aurait été la bonne solution, que cela aurait été la meilleure des choses à faire. Ne pas continuer à t’accrocher à eux, les abandonner quand tu avais décidé de partir, de t’estomper de leur vie, rester dans leur passé pour dire adieu à leur passé. Mais t’avais pas réussi, laissant tes opales s’accrocher à leurs êtres, les cajoler de loin sans même qu’ils ne se doutent de tout ça. Tu ne souffles pas tes dernières ressources de vie, il bat ce maudit cœur en toi, t’aimerais juste qu’il crève. Mais tu causerais à nouveau de la peine, tout ce que tu ne voulais plus causer. Tes opales déposaient avec douceur sur l’être de ton frère, tu te concentres sur lui, sans parvenir à vraiment gérer ces battements qui partent en vrille, en deux secondes quand ta peau et la tienne se frôle, pour lui prouver ta réelle présence.
Tu ne t’attendais pas à sa fuite, à ce petit message pour sa pause à son collègue, alors tu le suis, sans vouloir pour autant l’affaiblir. Tu le laisses tirer sur sa clope. « toujours ce mauvais vice. » que tu souffles, comme avant. Comme pour lui prouver que c’était bel et bien toi. Tu l’écoutes, les larmes pourraient couler, mais tu contrôles, tu serres les dents, rentrant les ongles de tes doigts dans tes paumes, pour contrôler la douleur que tu penses devoir ressentir à ses mots. Blessée, touchée et peut être à deux doigts de couler. « Je ne suis pas morte … » Tu le regardes et tu te décales un peu plus sur la route, t’éloignant de lui … pour prouver que t’es là. « Je ne suis pas morte … je pensais mourir quand je suis partie … mais crois-moi je suis là … avec un cœur qui n’est pas le mien. » Tu souffles. « Je peux te prouver que je suis bel et bien vivante … prendre une voiture ou moins risqué te foutre une gifle ? » Les larmes n’auront pas tenu très longtemps avant de venir ruiner le peu de maquillage que tu portais sur tes yeux.

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C'est surréaliste à ses yeux et il se demande pourquoi une telle hallucination vient le hanter maintenant, alors qu'il travaille et que sa disparition lui fait encore un mal de chien. Il annonce prendre sa pause pour une quinzaine voir une vingtaine de minutes, il a besoin de s'aérer l'esprit et reprendre une certaine contenance. Il pourrait presque passer pour une personne mentalement instable à parler tout seul et peut-être qu'il l'est.
Dehors, il prend une grande bouffée d'air frais et s'allume une cigarette, comme à son habitude. Il sait que c'est mauvais pour la santé mais il s'en fout en réalité, il n'est pas prêt de s'arrêter pour si peu. Rien n'est bon pour la santé et l'issu est la même pour tous, quoi que l'on fasse. Peut-être qu'Andreas est pessimiste dans le fond mais il faut dire qu'il n'a jamais la vie facile. Ou qu'il n'a jamais cherché à l'avoir.
Cette ombre le suit et continue de lui parler comme si elle était bien réelle. C'est impossible. Il ne peut y croire, jamais elle ne leur aurait fait un coup pareil, pas vrai ? Elle les aurait avertis et ne les aurait pas laissé organiser un enterrement à son nom et leur faire croire qu'ils la mettaient sous terre à tout jamais. Ce serait horrible. On était tous à ton enterrement, ne dis pas de bêtises. Il y a une pierre tombale à ton nom au cimetière, tu peux aller vérifier par toi-même. Il lui rend même visite assez régulièrement pour s'assurer qu'elle est toujours aussi bien fleurie et que c'est la plus belle de toutes les tombes.
Sa clope au bec, il évite de poser son regard sur la silhouette d'Odaleen. Il ne veut pas se remémorer encore plus le passé, se rendre compte qu'elle semble bien réelle et que ça ne devienne une habitude de la voir aussi vraie qu'une vivante. Je sais ce que j'ai vécu après l'annonce de ta mort, Oda, je ne peux pas croire que c'était une mascarade orchestrée par tes soins.. Dans quel but ? Pourquoi ? Ce serait insensé.
Il soupire et baisse le visage pour passer sa main libre dessus, comme s'il venait de se réveiller d'un horrible cauchemar et qu'il voulait effacer toute trace de ce monde parallèle. Il tente un regard dans la direction de la jeune femme, toujours présente et toujours aussi réelle. Est-il vraiment le seul à la voir ou les gens autour peuvent-ils la voir aussi ? Il n'en sait rien et il n'ose pas demander de peur de connaître la réponse. Si tu es bien réelle et vivante, pourquoi avoir simulé ta mort ? Pourquoi ne rien nous avoir dit et nous laisser souffrir de ta perte ? Pourquoi nous faire autant de mal ? Maman est dévastée depuis et nous... Nous, on ère dans les rues de New-York. Vivant mais ils leur manquent une partie d'eux-même. Ils ne sont liés que par leur nom et pourtant, ils sont plus soudés que toutes les familles de sang. Ils se complètent et ont besoin les uns des autres, c'est un fait. Sans l'un d'entre eux, ils sont vides et incomplets.
Les Stevenson, c'est une famille de cœur et unie dans les épreuves de la vie. Une famille réunie par les épreuves que la vie leur a mis sur leur chemin mais qui se sont bien trouvés au final.