SAVE THE QUEENS
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 combustible (jules)

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Message Sujet: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 0:13

save the queens ---- / JULES AERHTS

26 ans ---- / ace of clubs ---- / imogen poots

identité complète / Julianna, dite Jules depuis trop d’années, effacer les restes d’un passé qui colle à la peau. Jules c’est bien, c’est court, c’est simple, ça sonne juste sur le creux de la langue. Avant c’était Walsh cette famille qu’on connait que trop bien quand on a ses initiales brodées sur ses mouchoirs. Aujourd’hui c’est Aerhts, depuis qu’elle a dit oui, bague autour du doigts, trace de maquillage pour camoufler la réalité. lieu de naissance et origines / New York, born and raised, jeunesse cosmopolite, Manhattan comme berceau. Cependant elle a des origines anglaises, de cette noblesse désargenté qui a fui vers le nouveau monde pour prospérer. Faut croire que ça a marché. études ou métier / artiste, plus précisément peintre même s’il lui arrive de toucher à l’argile ou au métal pour ériger ses peurs en 3D. Jules préfère quand même l’acrylique, celle qui tâche, rouge carmin, rouge vermillon, rouge garance, rouge ponceau. Des trainées qui semblent couler tout droit de ses veines. Elle se balade toujours à l’université pour étudier l’art, études qui ont des hauts et des bas – surtout des bas – et qu’elle menace d’arrêter à chaque instant.  orientation sexuelle / sans orientation fixe, ou alors pansexuelle pour rentrer dans une case. Doigt d’honneur constant à sa mère, quand elle embrasse une fille, y a comme un rire qui sonne dans un recoin de sa tête, quand c’est un homme c’est un soupire qui s’échappe. Pas de préférence, un pour le jour et l’autre pour la nuit statut civil / On l’appelle Madame car elle est mariée, pour le meilleur ou pour le pire à Isaiah. Parfois elle se demande comment elle en est arrivé là, bague autour du doigt qui ressemble étrangement à un collier, parfois si joli à regarder, parfois une torture à porter. pi, scénario ou prélien / scénario

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère /Lunaire, trop souvent on la décrit comme ça. Lunaire et pas dans le genre brillante, lumineuse, attirante. Lunaire, celle qui tourne, qui change, trop facettes  qui forment un cycle de visages complets. Jules, Julie, Julianna. Prénoms qui s’entassent un peu comme ses rires, ses larmes, la façon dont ses pommettes se creuses quand les sentiments décident de frapper. C’est la lune Jules, imprévisible, incontrôlable, mauvaise, moqueuse. Eclipse totale quand son cerveau décide de balancer entre les deux, elle connait pas le milieu, jamais vraiment.
De ce genre de femmes qui brulent, la vie, les cœurs, le temps. L’impression que le monde n’est qu’une flaque d’huile et qu’elle joue les allumettes en sautant à pieds joints dedans. Elle prend pas le temps de s’arrêter Jules, prends pas le temps de regarder en arrière, elle va trop vite, trop loin, trop fort, refuse de laisser le temps la rattraper, horloge qui tourne et qui la prend à la gorge, tout détruire sur son passage, trainée flamboyante qui prend naissance dans l’empreinte de ses pas.
Cassée, quelque chose qui marche pas vraiment, poupée qu’on a recollé au gros scotch à déménagement, ça bringuebale un peu toujours, sonne creux quand on la secoue. C’est le cerveau qui flambe, acide dans les neurones et dans les veines, la folie douce-amère qu’elle ne sait plus soigner, refuse les médicaments pour ne plus comater, préfère ressentir le tout trop intensément : le bien comme le mal, la douleur trop pointue dans la poitrine et la joie débordante, celle qui étouffe presque et qui force le sourire brillant. Elle marche plus droit depuis longtemps Jules, désaccordée, jamais en harmonie avec le reste, dit bleu quand il faut dire rouge, prend la gauche quand on lui dit de tourner à droite, le cerveau qui refuse de marcher.
Jules on l’aime souvent un peu trop, ou pas assez, poison qui s’immisce dans les veines, comme une drogue elle rend le reste accro à sa folie destructrice, car il y a comme une certaine récompense quand elle vous prend dans ses bras, quand elle plonge ses yeux trop bleus dans les votre, quand elle bouleverse votre univers. Jules tentatrice, sirène qui tire vers les bas-fond, parce que c’est trop tentant de couler à deux, compagne d’infortune à la misère contagieuse, au sourire qui caresse, aux murmures qui apaisent, aux larmes qui hypnotisent. Jules dangereuse, suffit d’une piqûre sur le ventricule droit, du bout de son ongle elle érafle, elle contamine. tant pis pour toi

Point par point / 1.Famille au sang bleu, un arrière-grand-père qui a quitté l’Angleterre pour faire fortune dans le Nouveau Monde. Les Walsh sont aujourd’hui implantés un peu partout dans le monde, la richesse qui coule entre leurs doigts. Ils ont autant leur place dans l’immobilier que dans la production de Gin, famille qui a su se reconvertir en commerçants accomplis
2.L’étiquette ça la colle depuis sa naissance. Fais ci, pas ça, tiens-toi droite, sois belle, tais toi. Julianna élégante, cheveux biens ordonnés, petite princesse des Walsh, fierté de sa mère quand elle tourne sur elle-même, gracieuse, talentueuse, trésor de son père, quand il la prend dans ses bras, il rayonne.
3. véritable couteau suisse de l’aristocratie, elle a été trainée de cours de danse en cours de chants, équitation, flûte traversière, français, allemand. Au début c’était marrant, aujourd’hui il ne reste que des vestiges, reflexes d’antan, il lui arrive encore de souffler dans sa flûte quand elle a la force.
4.Malade, comme un secret honteux, sang poisseux qui coulent dans ses veines. C’est héréditaire, y a eu sa tante, la sœur de son père, et y a eu son grand père, surement d’autres aussi, qu’on a caché à la société. On en parle pas, surtout pas, alors quand à 15 ans y a les premiers symptômes qui apparaissent chez Jules, on étouffe ça. Elle est partie à la montagne, soigner son asthme comme aime raconter sa mère. Cacher la vérité, les semaines passées enfermées entre quatre murs aseptisés, ribambelle de médecin pour la contrôler.
5.Rébellion, quand la princesse déchire sa robe, cigarettes qu’elle cache dans sa pochette, dans ses cheveux, bouteilles passées en soirée, jeunesse qu’elle flambe un claquement de doigts entre leurs bras, choisir toujours le pire pour regarder avec plaisir, le sourire de sa mère se décomposer sur son visage glacé. Sale gosse, les études qui demandent trop de temps, le retard qu’elle prend, se perd dans sa spirale.
6.Solitaire, Jules n’arrive pas à garder les gens autour d’elle, trop poison, mauvaise, méchante. Elle n’arrive pas à calmer les mots qui sortent de ses lèvres, finit par attaquer droit dans le cœur sans vraiment s’en rendre compte. Elle crame les amis comme on craque des allumettes, crame son entourage jusqu’à en faire chialer ses proches.
7.Artiste, depuis toujours, le crayon ou le pinceau entre les doigts peut être même avant qu’elle ne sache marcher. Curiosité mal placée de sa famille devant l’ovni qu’elle est, ils ne savent pas s’ils doivent en rire ou en pleurer. Jules le canard boiteux de la famille, celle qui ne prendra pas place dans l’usine des Walsh, celle qui s’envole quand elle dessine, scènes macabres qui hantent son esprit depuis toujours. Elle fascine le monde, la presse, de par ses œuvres trop dures qui tranchent avec son joli visage trop doux. Un si petit corps hanté par tant de démons, elle exorcise ses cauchemars sur des formats géants.
8. Rouge, comme une passion pour la couleur, qu’elle étale un peu partout, sur elle ou sur ses toiles. Rouge partout, toujours, tout le temps. Rouge dont elle connait chaque teinte sur le bout des doigts, comme une blague quand elle laisse couler l’encre le long de sa peau, sourire mauvais quand elle attend qu’on la trouve dans son bain écarlate. Rouge, sang sur la langue, fer qui titille les papilles, la violence qui fascine.
9.Aimante, un peu trop, parce qu’il n’y a pas que les mauvais côtés, lune encourageante, de celle qui a un sourire si chaleureux et le rire facile. Party girl quand ça la prend, les embrassades sans complexes, Jules la folie, Jules l’entrain, Jule le feu d’artifice, connue pour ses soirées sans mauvais goût et son cœur un peu trop gros, quand on arrive à la surprendre.
10.Mariée, depuis ce qui semble trop longtemps ou pas assez. Elle aime son mari bien trop fort même si parfois elle se demande si les sentiments sont bien réels. Isaiah, comme une partie obligatoire de son monde, une pièce de puzzle manquant, pas vraiment à la bonne forme, mais ça réussi à compléter le tableau. Isaiah pour qui elle crèverait, amour coupant, qu’a commencé à la terrasse d’un restaurant. Elle ne sait pas si elle devrait le détester ou bien le supplier de ne jamais l’abandonner. Elle oscille Jules, perdue. Toujours perdue. Et lui aussi. Mais surement un peu moins.

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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 0:14

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
Je me souviens d’avant, des heures passées à rire, descendre l’escalier en courant, en hurlant, maison de vacance familiale au bord de la mer, avec les cousins, à se cacher pour que les parents ne nous surprennent pas, se faire taper sur les doigts pour la moindre bêtise mais on recommençait quand même. Toujours. Gamins avec le vent dans les mollets, sourire impérieux sur le visage, y avait bien que Mary pour nous cacher des autres, de notre grand-mère trop sévère, à nous glisser des caramel en douce entre les doigts alors qu’on était privé de desserts.
Je me souviens d’avant, de quand mon père souriait encore, malgré la sévérité trop empreinte sur son visage. Je me souviens de la fierté qu’il affichait à chacun de mes ballets, de la fierté devant mes notes, de la fierté devant sa fille, devant son fils. Je me souviens de Charles, à l’époque on s’entendait encore, des nuits passées à dormir dans le lit de l’autre à raconter des histoires à faire peur, c’était le premier qui se relevait pour allumer la lumière qui perdait. Charles perdait souvent. Moi presque jamais. Les démons c’était des foutaises à l’époque, gamine trop terre à terre, qui se contentait des perles aux oreilles et des rubans dans les cheveux, princesse blonde qu’on aimait admirer, j’aimais qu’on m’admire. Je sais pas ce qui s’est passé.
Mary c’était comme une seconde mère pour Charles et moi. Trop proche de mon père, elle a toujours été là dans le décors, malgré les regards de ma mère, malgré sa froideur devant les crises de Mary. Mary c’était la douceur, la façon qu’elle avait de faire courir ses doigts dans mes cheveux en les tressant. Elle m’appelait Julie, sa Julie. S’endormir contre elle, fermer les yeux et respirer son odeur. Mary, Mary, Mary. Mary et ce sourire si fragile, triste, comme si elle était hanté par le fantôme d’un clown Pierrot, commissures des lèvres qui tremblaient trop facilement quand ses sentiments s’étiolaient. Mary, Mary, Mary. Malade. J’ai jamais compris. Du moins pas avant longtemps. Enfermée dans sa chambre, trop pâle, trop seule, puis parfois les larmes qui coulent le long de ses joues quand elle me serre contre elle. Ma Julie qu’elle disait. Et ça me manque tellement.

Y a du rouge un peu partout, sur mes doigts, sur ma robe, sur mes joues. Ya du rouge sur le sol, du rouge dans l’eau, du rouge sur sa peau. Ca coule de partout. Mary sans vie, Mary étendue, Mary vidée et la lame qui dors à ses côtés. Mary contre moi, son corps froid qui souille le reste de mes vêtements, et c’est comme ça qu’on nous trouve, pas une larme qui coule, parce que je sais que c’est mieux comme ça. Elle est mieux comme ça.
Dans la famille ça murmure de partout – comment elle a pu – le regard glacé de grand-mère alors qu’on enterre sa benjamine, la terre qui recouvre son joli cercueil, et quand je ferme les yeux c’est moi que j’imagine sous le sol.

Il y a beaucoup trop de flou, des passages à vides, à blanc, parait que c’est la faute aux médicaments, ou tout simplement à cause de mon cerveau détraqué. J’me souviens de quelques mots, des regards, des moments, années après années, quand le temps file entre mes doigts, le reflet du miroir qui me donne envie de gerber. Princesse, j’en viens à haire ce mot, comme cette fois où je déraille, ciseaux dans la paume alors que des mèches en vrac recouvrent le sol. Des bribes des années au lycée, des jeux mauvais dans les bars le soirs, odeur de fumée accrochée aux draps, le regard de ma mère quand ils ont dit que j’étais comme elle. Comme Mary. Même poison dans mes veines, celui qui me pousse à toujours plus. Elle a pleuré maman. De rage. L’échec qui se lit sur son visage. Et mon père qui me fait promettre de ne jamais faire comme sa sœur. Soudain on éloigne tout objet tranchant de ma portée, si seulement ils savaient.

Il n’y a qu’une chose qui me reste de ces années en vrac. C’est le rouge. Rouge encore. Rouge à lèvre, rouge de l’uniforme, rouge la couleur des mes cachets, rouge celle de mes ongles quand je l’ai giflée. Rouge la couleur de mon sang, parfois j’imagine que c’est mes larmes qui coulent le long de mes veines, je fantasme la couleur en l’utilisant sur papier, sur toile, sur tissus. Gribouillis qui prennent forme un peu partout, tout le temps, monstres macabres et scènes de folies. Je peins pour ne pas hurler. Je peins quand je suis enfermée. D’après les médecins c’est comme une thérapie, alors on me laisse faire. Seule chose qu’on m’autorise vraiment encore, seule chose qu’on ne limite pas. Mon acrylique, mes toiles, mes pinceaux. Des heures à peindre les murs, les monstres qui arrivent au loin, ceux qui grattent à la porte, effraient ma santé mentale au point de la faire se réfugier quelque part où je ne la retrouve pas.

Parfois je me demande ce qui est réel et ce qui ne l’est pas. Si toutes ces années ne sont que le fruit de l’imagination trop fertile d’une gamine qui s’ennuie dans son palais. Puis y a cette douleur dans la poitrine qui me rappelle que c’est que trop vrai. Je fais tout pour l’étouffer cette douleur, à coup de verres pas assez dilués, de bras dans lesquels je me perds, de nuits passées à l’arrière d’une moto, cheveux au vent à hurler pour se sentir en vie. De princesse je deviens rebelle, cliché qu’on trouve dans trop de livres, j’essaye de me détacher de ce carcan étouffant, couronne trop lourde sur mes épaules, et ma mère qui se traine à mes jambes, me tire encore, refuse de me laisser m’échapper. Tu es a moi Julianna. Son trésor. Son regret. Son naufrage.
Peut-être pour ça que j’ai trébuché sur lui, en voulant fuir j’ai pas fais attention, j’ai pas regardé devant moi, j’me suis cognée contre lui sur cette terrasse de boulangerie. C’était pas fait exprès, essayer de me sortir d’une situation compliqué, cet homme trop insistant au regard nauséeux qui m’a fait m’installer en face de lui ? Pauvre gars. Il a pas du comprendre. J’ai pas compris aussi. Quelques mots crachés, on se fracasse l’un contre l’autre, et dans mon ventre y a un truc qui remu un peu plus fort que d’habitude. T’aurais pas du Jules, semble me murmurer Mary.

Isaiah. C’est drôle sur la langue, comme un son que je ne connaissais pas avant, un gout différent, celui qui s’apparente à une sensation de liberté. Isaiah et son sourire trop brillant, débordant, l’envie de déposer des baisers dans ses fossettes à chaque fois que ses lèvres s’étirent. Isaiah qui soudain prend trop de place, expulse le reste, les démons, eau bénite humaine, j’ai l’impression qu’avec lui il ne pourra rien m’arriver. J’aime cette période. Je me souviens de tout – ou presque – des débuts maladroits à se retrouver à la boulangerie, partager un café entre deux pauses. J’ai cru qu’il pourrait m’aider à arrêter de voir la vie en rouge. Et pendant quelques temps il l’a fait.
Puis ça a recommencé.
Isaiah c’est des larmes, Isaiah c’est des cris, Isaiah c’est la jalousie quand je le vois parler à ses collègues, à ses amis, de ceux qui ne sont pas moi. Isaiah que je ne comprends pas, qu’est-ce qu’il fait là avec moi. Un an, deux ans, trois ans et les années qui filent. Il reste là. Il reste là même après la première fois, même après la seconde fois. Il reste là quand je pleure. Il reste là quand je hurle. Il reste là quand je sombre, avalée par la folie qui me ronge.

Il y a du bon. Du très bon même. Il y a son enthousiasme qui me fait avancer, accepter que je ne serais jamais comme mon père, jamais comme mon frère. Il y a la chaleur de ses bras, quand j’ai sonné à sa porte un soir, valise à mes pieds, quand j’ai décidé de tout quitter. Il y a les moments passés à rigoler, pieds nus dans l’appartement, à se poursuivre pour une bêtise proférée, des doigts qui glissent sur les côtes, sourire qui fait mal tellement il est fort.
Il y a du mauvais aussi. Les crises de larmes, les insultes qui s’échappe, poison dégueulasse qui se répand dans nos veines à tous les deux. Je le contamine comme je peux, égoïste, incapable d’accepter de couler en solitaire. Il y a cette fois avant le mariage, les mots trop forts, l’impression que ça ne sera jamais assez, tout envoyer bouler. Il y a les menaces, couteau contre la gorge, quand j’ouvre la fenêtre et menace de sauter. Si tu m’aime tu feras pas ça. Et les murmures trop forts quand je regarde la bague passée à mon doigt. Tu ne le mérite pas. Il y a cette fois, cette fois de trop, caprice ultime quand je vacille. Il y a cet homme qui n’est pas Isaiah, il y a cette homme avec qui je me noie. C’est dégueulasse, rien de beau dans tout ça, l’envie de gerber quand il s’en va et qu’il ne reste plus que moi sous les draps.
Ouais. Il y a cette fois. Cette fois de trop. Cette fois que j’ai pas maitrisé, comme toutes les autres mais en dix fois pire. Cette fois où y a quelque chose qui s’est cassé en lui. Définitivement semble me murmurer Mary. Et ça fait peur. Tellement peur. Pourtant c’était qu’un question de temps pas vrai Jules ? T’es incapable de rien casser. Catastrophe humaine qui est vouée à tout bousiller.
Putain qu’est-ce que j’ai mal.
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agapanthe ou forget-me-not ---- / 23 ans ---- / rpgiste

ville / la capitale études ou métier / je dessine des jardins. avis général sur le forum / gros coup de cœur et vous semblez être adorablesle détail qui t'a fait craquer / la bannière fréquence de connexion / je me connecte tous les jours globalement sauf quand je suis débordée au taff :’( pour le rp c’est plus aléatoire mais je suis assez rapide lalalala le mot de la fin / adoptez moi.

Code:
[b]imogen poots[/b] / [i]julianna aerhts[/i]
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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 0:25

je suis amoureuse! combustible (jules) 1505825564 combustible (jules) 697000959
bienvenue et réserve moi un lien! combustible (jules) 3794924939
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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 0:27

IMOGEN, OHLALA combustible (jules) 1505825564
bienvenue dans le coin combustible (jules) 2465598603
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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 0:47

elle est déjà si parfaite combustible (jules) 3176379322 que de très bons choix de pré-liens combustible (jules) 697000959
bienvenue chez toi poupée combustible (jules) 3227196488
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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 0:53

bébé imo d'amour combustible (jules) 2465598603
bienvenue par ici combustible (jules) 3227196488 combustible (jules) 857285543
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Kurtis McDonald;

-- le bigmac d'la street --
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Kurtis McDonald



king.
a devious route - av | self, sign.
betsi - peltz | brynn - o'neil | cez - o'connell | oona - piekarz | sage - gauthier | sonny - bador | tad - piper.
7943
820
29
véritable bras cassé.
effervescent.
( m o o d b o a r d )

NOA(2) / KAAN / KIDD / SOFIA / TRIPP
JOLENE / SOCO / SCYLLA / YOU ?
(voir le répertoire complet)

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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 2:26

bienvenue officiellement ma toute belle (avec tous ces bons choix de préliens, je maintiens combustible (jules) 697000959).
bon courage pour la rédaction de ta fiche. combustible (jules) 2465598603

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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 5:23

Je suis en plein matage de Roadies et j'aime beaucoup trop Imogen combustible (jules) 3227196488 Bienvenue !
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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 8:47

Imogen combustible (jules) 697000959
bienvenue et contente de voir que tu as craqué combustible (jules) 2480631781 (super choix de pré liens btw, je vais vous stalker les trois là combustible (jules) 1252774950 )
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Message Sujet: Re: combustible (jules)   combustible (jules) Empty Lun 18 Juin - 9:27

imogen. combustible (jules) 946831849
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