save the queens ---- / TAI INUZUKA
29 ans ---- / ace of spades ---- / sen mitsuji
identité complète - Tai, un truc qui vient de nulle part, coincé entre tes origines. Inuzuka c’est un nom à la con, heureusement qu’il n’y a pas grand monde pour le traduire dans le coin. lieu de naissance et origines - Texas. C’est pas c’qu’on aurait parié vu tes yeux bridés, mais c’est là que t’es né. Même s’il t’en restes rien. Pas plus redneck de nippon même si t’es censé l’être à moitié. Tu t’en fous, tu viens de nulle part et c’est vers là-bas que tu continues d’aller... études ou métier - T’es censé avoir un diplôme d’infirmier.. Mais ça fait des années qu’tu t’fais du blé en cassant des gueules. Videur c’est la face officielle. Officieusement, t’exploses ceux qu’on te demande d’exploser. orientation sexuelle - T’es même pas fichu d’être au clair là-dessus. Enfin si t’es au clair sur l’fait qu’tu t’en fous de c’qu’ils ont dans le froc. Mais t’as quasi pas eu d’relations sexuelles saines depuis près de dix ans. Même ça c’est vicié chez toi. statut civil - Divorcé, le palpitant en miettes, combustion perpétuelle entre deux plaques de blindage rouillé. pi, scénario ou prélien - pi.
traits de caractère /
C’est la fin. L’apocalypse. Et de la même façon que personne ne s’accorde sur les dernières heures de la Terre, ce sont des dizaines d’holocaustes qui se jouent entre tes tempes. La nécrose, tes traits figés et le regard vide. Des absences pendant des heures que ton cerveau endommagé est capable d'éclipser en une fraction de seconde. Pas d’émotion, pas de réflexion, pas de réaction. Le néant, juste ton être qui se meurt sans bruit, qui disparaît lentement, inexorablement. L’explosion, quand le mazout dans lequel tu étouffes s’embrase. T’as une passion morbide pour la violence, la cruauté dans les poings, et le plaisir dans les coups qui te collent à terre, assez pour ne pas te relever. T’es un chien de combat sans instinct de survie, et t’emmèneras le reste du monde dans ta chute. La crise, la panique, les affres du désespoir qui te tordent les tripes, et font trembler tes doigts, les lèvres. Les hurlements étouffés et les nuits blanches à te noyer dans l’eau salée et les benzodiazépines. Le renouveau, la fin d’un cycle, extermination d’une espèce pour l’avènement de la suivante. Des percées de lumières entre les nuages, tes sourires qui refont surface, et quelques rires au milieu du chaos. La sélection de ce qui est bon, pour survivre. ++++
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
01/ Il était une fois un ado qu’en avait rien à foutre de rien. De que dalle. Toi. Enfin presque, il y a avait bien quelque chose pour faire battre ton palpitant de cruche de lycéenne. Lui. Qui en avait à faire de tout Qui avait envie de vivre, et qui en a infusé le goût sur tes lèvres. Tu t’es envolé, poussé vers le haut. Trop haut vers le soleil, la peau qui brûle, les rétines qui crament, c’est peut-être pour ça que t’as rien vu arriver. 02/ T’as rien vu parce que c’était beau. A deux envers et contre tout, les majeur en l’air, en fuite de ce Texas pourri direction NYC, et sa demande en mariage avec une bague en plastique à une station essence. C’était peut-être pas malin, mais ses sourires à tomber par terre non plus, et toi avec lui, encore moins. 03/ La chute fut brutale. T’as tiré sur l’élastique jusqu’à ce qu’il casse. Pas à cause des engueulades et des bleus sur ta peau. Mais parce que c’était plus supportable d’attendre qu’il rentre à la maison ou qu’on t’appelle pour t’annoncer sa mort. Empoisonné par l’héroïne qui dansait dans ses veines. Tu suffoquais, t’étais en pause, tu voulais juste qu’il soit là, et lui, il était trop loin tout là-haut. 04/ T’as fuis, tu l’as abandonné derrière toi pour sauver ta peau. Sauf que quelque part, t’es mort quand même, dévoré par l’ogre de la culpabilité. Qui engendre la honte. Qui engendre la colère. Qui engendre le monstre. Et t’as vrillé à ton tour, noyé dans le goudron, envoyé par le fond. C’est la rage qui a tout remplacé en toi, contre tout le monde, parce que c’est plus simple que de te détester. 05/ T’en as trouvés d’autres à ton image, nourris par la haine, la souffrance, et les psychotropes. Vous avez foutu le feu au monde, arrosé à l’essence de vos âmes pourries. Serrés les uns contre les autres pour vous réconforter, même si c’était inavouable. 06/ Ta nouvelle violence s’est frayée un chemin jusqu’à ton compte en banque. De fight club en fight club, t’as fini par en récupérer un, et y instaurer des paris. Pour plus de fric, pour plus de sang. Pour avoir ta dose à porté de main, parce que tu es devenu addict aux os qui craquent. 07/ Et puis il est revenu, Lui, la lumière qui t'avait poussé vers l’enfer. Clean. Bonjour mon amour je t’ai couru après à travers le pays. Et toi dans ton bourbier à l’inverse de ce que tu étais avant. Y avait toujours la culpabilité, les non-dits, son flic, Kizuki. Y a eu une bref harmonie, des efforts pour redevenir honnête. Un calme. Mais ce n’était pas avant la tempête, c'était avant la fin des temps. Y avait peut-être plus de possible entre vous, vous y avez quand même cru. Tu l’aimerais, tu l’aimeras peut-être toujours, mais te le déteste aussi. 08/ Ton monde de pacotille s’est liquéfié. Parce que personne ne se complaît dans le sordide et la haine très longtemps, sauf toi peut-être. Les cavaliers disparaissent les uns après les autres, les liens s’entre-croisent trop fort, le monde est beaucoup trop petit. Et tu t’poses en trou noir qui broie ceux en orbite. Alors c’est tout, c’est fini, toi aussi tu jette l’éponge, quelque part. De toute façon, t’as dépassé la limite. 9/ T’as éclaté son flic. Son mec, son amant, son ex, t’as jamais su comment le nommer dans ton cerveau tortueux, mais t’as fini par le détruire. Le sous-sol de ton fight-club, la morphine dans ton sang, la rage dans tes nerfs et une fugue dissociative. Tu t’souviens toujours pas, t’en as pas envie. Y a d’autres trucs que t’as tendance à oublier récemment. T’en ai pas sorti indemne non plus, et ton crâne contre le béton, une fois de trop, l’hôpital à peine visité, fallait prier pour qu’il n’y ait aucune séquelle. Et Lui, ton mari, il a fait un choix, et il y a “fin” qui s’est affiché quelque part, sans soleil couchant. 10/ Tu t’es quasi retrouvé à la rue, seul avec ton berger allemand plus habitué que toi à pioncer sur le trottoir. Et ça a été au tour su seul qui restait de s’faire la malle. Le vide qui s’ouvre sous tes pieds. Alors t’es remonté jusqu’au queens à sa suite. Kizuki, il ne restait plus que lui. Il n’y a jamais eu que lui pour rester contre vents et marées, contre toi, contre l’horreur que tu as fait déferler sur son corps. Tu t’détestes peut-être plus que jamais, mais t’es trop égoïste pour l’épargner. Tu lui dois tout mais tu vas encore réclamer son attention. Et tu vas encore prier pour qu’il te sauve, ou qu’il t’achève.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
charlieMCK ---- / 26 ans ---- / rpgiste
ville - metz. études ou métier - instit’ -ok ça s’dit plus mais fck. avis général sur le forum - du beau, du drama, que d’mander d’autre ? et j’suis épaté par les prénoms des gens ici xDD le détail qui t'a fait craquer - la touche drama que n’ont pas les autres city. fréquence de connexion - 3/7 je dirais pour pas m’faire trop d’espoir à moi même >.> crédits des icons - thewinedarksea. le mot de la fin - je déteste cette “question” à la noix -o- .