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 feel the electricity ☆ ft.mahe

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Message Sujet: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Dim 12 Aoû - 14:17


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{ feel the electricity  }
crédit/ tumblr ✰ w/@mahe velázquez

Tu griffonnes sur le délicat du papier. Mine dure ou le contraste parfait entre l’intensité que tu y mets et la douceur que tu y couches. Traits délicat caché sous la force du crayon qui rend éternel tes idées les plus sombres sur la surface intemporel. Au gré de tes pensées et de tes maux tu dessinés. Tu dessinés tes monstres, tes démons, tes peurs aussi. Tu te laisses emporter par le calme des rues en contre bas. Là, logé sur les toits du Queens Contemporain où un sentiment te pesanteur envahis tes cellules de vie. Ton corps ici et ton esprit ailleurs. Dix mille lieux de la nuit qui s’est couché sur la belle New-York. Entre la lune et le soleil dans une zone dont toi seule à la clé. Ton jardin secret. 2h30 du matin ce moment d’entre deux. Ce moment où tu as la pression que le quartier t’appartient. Là, sur ton perchoir, tu surplombe et tu noie ton chagrin dans la beauté qui s’offre à ta vision. Regard curieux sur les moindres détails qui t’entoures. Sur ce bruit en contre bas qui viens briser le silence si particulier de la nuit. Son qui surprend ton calme et qui attise ton insatiable curiosité. Tes pupilles qui fendent la nuit, qui épie l’origine du bruit. Tu regardes, tu observes… tu attends un second souffle, un second signe que tu n’es pas seule. Et là, tu voies… Silhouette noire, silhouette élancé et athlétiques terrer dans la pénombre d’un lampadaire en fin de vie dont la lumière éclaire par intermittence sa parcelle de rue. Le regard qui se plisse et le cerveau qui se concentre. Toi, intrigué par cette nouvelle image qui s’offre à toi. Film qui se déroule seconde par seconde et qui te laisses se nourrir de sa beauté. Beauté mystérieuse, intrigante. Une beauté étrangement familière alors que tu aperçois la silhouette se lancer dans une danse artistique. Une danse avec couleurs et profondeur qui t’appelle irrésistiblement. L’envie de t’approcher, de toucher, de découvrir de plus près les moindres détails qui anime la scène qui se déroules devant tes yeux de gamine ébahit. Intrépide et la peur qui ne t’envahie jamais, un peu stupide aussi alors que tu plonges vers l’inconnu. Les affaires que tu ranges dans ton sac avant de le glisser sur ton dos et de descendre de ton perchoir Chemin que tu connais par cœur en empruntant rambarde de sécurité et escalier de secours te voilà en bas. Gagner à ton tour par le calme de l’asphalte au repos. Tu apprécies le calme et la mélodie unique de la nuit qui murmure à tes oreilles alors que tu t’approches. Sans peur, rhabiller de ta force et de ton courage tu viens avec l’espoir de ne pas faire fuir. L’espoir de lier, de communiquer. L’émerveillement d’encore plus prêt face à la toile de couleur qui ne fait qu’un avec la matière brut des briques. Ta présences prêt de la sienne alors qu’il semble enfin t’avoir remarqué. Tu t’apprêtes à demander la signification de son œuvre, l’essence qui en expliquerais sa beauté, sa singularité mais… ce regard te prend de cours. Il te souffle. Une gifle de souvenir et de familiarité. Une vague du passé qui te reviens en plein visage au gré d’un baisé que tu n’as jamais oublié. Un baisé que tu as fui. « Mahé ?!... »  Souffles-tu, intriguée, curieuse alors que la peur de l’incertain semblait enfin t’avoir gagné. « C’est toi ?! » Pas en arrière alors que tu manques de t’écouler sur le bitumes. Une vulnérabilité d’un nouveau genre semble te gagner.
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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Ven 24 Aoû - 10:53

Nevaeh & Mahe. feel the electricity.

Ce soir, comme trop de soir tu écumes le bitume, tu marches, la tête pleine d’idée, pleine d’envie. Tu n’es jamais rassasié de l’art, tu ne le seras jamais, tu es plus avide qu’autre chose. L’envie te brûle, t’irradie, fait virevolter ton cœur, laisse danser ton âme dans une infini danse délicate et rapide à la fois. Tant de chose consume ton esprit. Tu ne sais pas d’où donner de la tête, tu ne sais clairement pas ce que tu dois faire ou non.  Tu sais pourtant qu’il y a des choses que tu devrais cesser, que tu devrais fuir, mais fuir c’est peut-être pas ton style. Non, t’aimes affronter et tant pis si tu te retrouves avec des tourments par la suite. Tu en as l’habitude, tu ne vas pas succomber à des dédales sans te battre. Tu es plus fort que tu le penses, malgré que la seule chose qui te déchire tant dernièrement, soit bel et bien ce silence, ces absences de mot qui provoque bien des maux chez toi, te tuant. Tu finis par oublier, mais ça revient, ça ne fait des va et vient te procurant trop de peine, de haine, trop de sentiment en somme qui ne font jamais très bon ménage. Tu as trouvé l’endroit, pas toujours le même, toujours le Queens, ce bon vieux quartier que tu chéris si fort, peut-être même plus que tes prunelles. T’aimes la créativité de ce dernier, il est débordant d’originalité, mélangeant des êtres ne pouvant se croiser ailleurs, mélangeant le meilleur et le pire, laissant les humeurs des uns et des autres se démontrer d’une façon si différente à chaque fois. Ça te ferait presque rêver, ça te donne envie de planer, de voltiger au-dessus de ton quartier, pouvant voir tout d’un coup. Tu commences à laisser ton art s’appliquer. Pas de mine de crayon s’enfonçant, noircissant le blanc immaculée d’une feuille, non tu prends ce mur horrifique, couleur vieillit par les années et les intempéries. Tu y vis le visage de cette petite fille, un cœur brisé à seulement cinq ans, ton cœur se fend quand tu l’imagine prendre place dans ce quartier contemporain. Ton âme d’artiste est facilement touchable, on peut l’apercevoir dans tes créations, percevoir la tristesse dans une paire d’yeux qu’on a jamais croisé, tu peux laisser ton âme sur chacun de tes projets, tu la laisse même toujours. Tu y laisses un morceau de toi et tu es un peu partout dans ce Queens. Tu y laisses de toi partout, laissant des choses meilleures cherchant parfois à faire réagir, à toucher ou à redonner de l’espoir. Tu laisses tout, tu es vide après chaque ouvrage. Tu la dessines la petite fille aux cheveux long et bouclés retombant magnifiquement sur ses épaules, des yeux qui parle, qui pleur et hurle. Tu prends ton temps, tes mouvements sont semblables à une danse amère et triste à la fois. Pinçant tes lèvres sous ton masque, te protégeant de l’odeur des bombes, tu te laisses. Tu te fonds sur cette toile, oubliant le reste, plus qu’elle ne compte. Pas fini, pas encore, trop de mystère dans cette petite encore. Tu veux vendre son âme au monde, tu veux qu’on l’imagine devenir heureuse, vivre une vie meilleure que dans cet orphelinat. Mon dieu tu perds tout ton contrôle depuis que tu aides là-bas, ton âme est mortifiée. Puis cette voix, une voix t’appelle, une voix t’interrompt dans ton opération. Une voix connaissable, une voix qui est celle d’un démon. Démon de tes nuits, démons qui te déchire, t’attire et t’écorche. «  Si je dis que ce n’est pas moi, tu t’en vas ?   » tu ne veux pas la voir  et dans le fond, tu le veux, tu veux la sentir, la laisser t’abimer, te donner l’impression de te guérir de tes maux, mais tout en finissant par te laisser sur les rotules à la fin. Tu y poses ton regard sur elle et te voilà électrisé. Tu la jonche de tes opales et ses cheveux dansent dans la légère brise venant vous caresser.  Tu ne t’en rends pas compte, mais tu es près d’elle trop vite. «  Tu me suis maintenant ?   » Tu sais bien que non, mais tu t’en fiche.

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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Dim 2 Sep - 12:48


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crédit/ tumblr ✰ w/@mahe velázquez

Tu affectionnes tout particulièrement la nuit pour le mystère qui y place sous l’astre nocturne qui illumine la ville. Tel un second jour qui éveille les âmes empli de curiosité. Les âmes téméraires comme la tienne qui n’ont pas peur de se laisser surprendre par les chemins incertains de la nuit. C’était là le jeu. Ce laissé surprendre par ce qui se présentait devant vous. Dans le fond c’était surement pour cela que tu t’embarquer dans tes périples nocturnes. Pour le plaisir de ne pas savoir ce qu’il t’attendait. La liberté de la vie, du destin. C’était beau de ne pas avoir. Grisant même. Tu avançais au gré de ton imagination, de tes envies. Tu te posais sur les toits à observer la nuit qui bouge au rythme d’un quartier endormie.  Tu capturer la singularité du mouvement en contre bas. Tu te noyais dans les effluves de la ville qui te parvenait. Tu te laissais guider par l’envie toujours plus forte de découvrir. Surement un peu par ton irresponsabilité d’abordé l’homme que tu crois être un inconnu. Courage qui te mène au pied d’un nouveau chapitre de ta vie. Au pied d’une voix du passé. De ton passé. Toujours lu, qui reviens comme pour te hantais et te signifier que tu n’en a pas fini. Pas encore. Finalement la surprise est moindre qui d’autre que l’homme d’une autre de tes vies pouvait être à l’origine d’une telle œuvre. Tu y voyais de lui maintenant que tu étais plus proche. Trop proche. Vulnérabilité qui t’assaille. La tienne, alors que tu ne sais comment prendre ces retrouvailles. Le fruit du hasard. Hasard de l’existence, de la vie. « Tout dépend de toi, je n’ai pas encore décidé si je passais mon chemin… » Lances-tu en écho à sa question. Tes prunelles posées dans les siennes, ton visage légèrement sur le côté à la recherche du signe qui dictera la suite. Votre suite. Tu te laisses envahir par le piquant de l’atmosphère qui vacille entre vos deux êtres. Tu te laisses envahir par sa question direct avec un sourire en coin qui viens fendre le pulpe de ta bouche « Et si je dis oui… tu fais quoi ?! » le regard provocant fixé dans le siens alors que tu ne sais pas ce qui te prends si ce n’est que tu sens qu’il te chercher. Tu avais bien d’autre chose à faire que d’occuper tes rares moments de liberté de la sorte. Suivre des gens c’était bien pour ce qui n’avait rien à faire ou bien même les fous alliés. Tu n’étais d’aucune de ces deux catégories. Il était comme apparue sur la route de ta nuit et tu n’avais pas encore décidé si tu allais passer ton chemin ou non. Dépendrais surement de lui.
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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Mer 19 Sep - 18:14

Nevaeh & Mahe. feel the electricity.


Tu deviens trop sentimental. Ces gosses finiront par avoir ta peau, c’est compliqué autrement, beaucoup trop. Ils ont des vies difficiles, des vies qui te happe, massacre ton cœur d’une façon horrible. Mais tu le sais, toi tu n’as pas eu tant de malheur, mais tu sais tellement e qu’on peut ressentir quand tes géniteurs t’abandonnes. Tu le sais, mais t’es tellement pas à plaindre. Ces petits sont des puissances à eux tout seuls. Ils méritent tellement. Ça te touche, ça te laisse pas insensible, t’as pas oublié ton cœur dans un caniveau, pourtant tu pensais vraiment que c’était le cas. Mais non. Alors, t’es là à observer ce mur délavé par les intempéries, usé par le temps. Puis tu vois clair, très clair. Tu te laisses porter, tu peux bien voir la peine, la douleur dans les opales de celle que tu vas dessiner s’imposer sur ce mur. Tu ne t’en rends pas vraiment compte, mais quand tu t’imposes sur un mur, une toile ou autre, tu ne laisses pas vraiment qu’un morceau de ton âme, tu laisses celle de la personne que tu dessines. Cette petite fille, son histoire sera à tout jamais taggué sur ce mur, jusqu’à ce que quelqu’un ne vienne tout effacer, remettant les compteurs à zéro, brisant le tout. Mais laissant une image, un espoir aux autres. T’aimes voir ce genre de chose dans de l’art, trouver une pointe troublante, un petit quelque chose qui va t’aspirer, te noyer dans un tourbillon d’émotion, te laissant comme mort. Tu ne demandais rien. Comme souvent, tu peins juste, apprivoisant un peu plus ce mur, le rendant plus enjoué. Un démon, qui a dit que les démons étaient féroces et horrible à regarder. Les opales déposaient sur l’un d’eux, t’apprécie, mais tu n’en dis rien. Tu n’as rien à dire ça reste un démon qui n’a pas de forte raison d’être dans le coin. Tu le sais t’as envie de la sentir à tes côtés, envie de la voir déguerpir, elle est comme un pansement sur une écorchure, alors que c’est bien pire que ça, c’est un trou dans la peau, et il faut bien plus qu’un putain de pansement pour arriver à combler le trou. Du fil, de la douceur et bien d’autre chose. Mais pas Nevaeh. Pas elle. Pourtant, tu le sais, comme toujours tu vas plonger dans cet abîme, abimant tes ailes qui ne sont plus capable de te faire voltiger de part et d’autre de ta vie. T’es pas un ange, mais tu le sais tu te rapproches autant qu’elle d’être un putain de démon. Mais dans le fond, tu peux bien être les deux, un ange pour quelques personnes et un démon pour d‘autres. Une partie blanche, une partie noire n’attendant qu’une chose se mélanger pour devenir grise, la couleur la plus neutre au monde. « Et si je dis que je m’en contre fiche ? » Vous parlez en énigme, ça va rythmer le début de votre échange, t’en es sûr. Peut-être bien que tous les deux vous fonctionnez trop de la même façon. Tu vires ton masque, laissant tes lèvres se révéler. Pas de sourire, le regard se glissant dans le sien, tu t’y perds et ça sent déjà trop mauvais. « Je ne sais pas on peut faire quoi à des folles qui poursuis les garçons comme des âmes en peine ? » Que tu lui demandes. Elle a qu’à répondre elle-même à sa propre question, t’es pas là pour être à son service. « Si je comprends bien t’as rien de mieux que de me suivre … pathétique. » Un peu plus piquant, mais ça la fera pas fuir, et étrangement tu l’espère.


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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Sam 22 Sep - 22:03


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crédit/ tumblr ✰ w/@mahe velázquez

Ce n’était pas à ta grande surprise que tu t’étais heurté à un mur. Mahé n’avait pas changé fidèle à lui-même bien que l’infime espoir que ton approche en douceur ne l’aurait pas poussé à sortir son imposant bouclier de protection d’entrée de jeu. Il te connaissait aussi bien avec ces réponses qui te pousseraient à lui répondre dans un dialogue qui serait sans fin. Pente glissante sur laquelle vous vous embarquez. Une chose était certaine c’était bien que si tu tombais il tomberait avec toi au fin fond de ce gouffre qu’était vous deux. Ces provocations et ces regards défiant qui te lancer te faisais autant de bien que de mal et c’était surement ce qui devrais t’effrayer. Te faire fuir mais il n’en était pas. Au contraire stupide que tu étais, tu plongeais tête a première égoïste de savoir que tu ne tomberais pas toute seule. Tu comblé de façon malsaine ce mal qui te rongé de l’intérieur. Du creux de ton cœur au fond de ton âme. Surement qu’il serait préférable que tu t’en arrêtes là, que tu n’en supporte pas plus de ces mots désobligent mais c’était plus fort que toi d’attraper cette perche qu’il te tendait. D’en redemandais jusqu’à que sa finisse mal. Masochiste que vous étiez. « Je ne te croirais certainement pas… » Lances-tu sur le même ton que lui tes iris perçantes toujours déposés dans les siennes. Plonger au fin fond de son être pour y sonder son âme et ces plus sombre pensé. Tu te nourrissais tu mal commun que vous partagiez. C’était mauvais mais tu t’en foutais tant que tu te sentais moins seule et putain de vivante. Il rendait les choses plus supportables et ton existence plus réelle. Tu te sentais moins enfoncé dans un interminable cauchemar avec lui. C’était aussi noir que blanc. Aussi violent que doux. C’était tout. « …et pour les mecs qui tag illégalement les biens public ?! Jcrois qu’on est dans le même bateau de l’insanité !! » Sourire en coin qui étires tes lèvres alors que tu ne bouges pas d’un millimétré toujours ancré dans lui. Toujours trop proche de lui mais toujours aussi déterminé à je ne sais quoi. Probablement à venir au bout de toute la folie de cette situation. La folie dans laquelle vous étiez entrain de plonger tous les deux. Dans le rythme lent et enivrant d’une dangereuse danse verbale. Pupilles contre pupilles. « Ne te donnes pas temps d’importance, je rentrais simplement chez moi, c’est toi qui est sur mon chemin au final… » Lances-tu dans un demi mensonge empli de provocation en réponse à la sienne. Tu ne rentrais pas chez toi, tu en fuyais la solitude et la tristesse que tu y ressentais alors que ton frère était absent. Tu préféré de loin la liberté et l’air des rues que celui d’un espace confiné. Tout pour te sentir vivante serait bon à prendre. Mahé serait parfait…
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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Dim 14 Oct - 18:51

Nevaeh & Mahe. feel the electricity.

Comme toujours tu ne demandes rien à personne. Tu laisses justes la vie t’écorché, s’accrocher à toi. Tu as besoin d’évacuer les sentiments, ces émotions qui te noie dans un trop plein de tu ne sais pas trop quoi. Le besoin de lâcher prise et tu ne connais qu’un moyen de faire ça. L’art, qu’importe l’art, tu laisses tout sur tes projets, tes œuvres. Tu aimes ça, tu aimes mélanger les couleurs fixés dans ton crâne, les laisser s’écrire sur un nouvel support qui leur donne une seconde vie. Tu vis pour l’art, tu détruis ta famille pour l’art et ça te fait mal, ça déchire ton putain de cœur, mais c’est ainsi. Te retrouver face à ce démon, ton égal, ça t’amuse et te dérange à la fois. Tu le sais que tu n’obtiendras pas facilement son départ. Elle est coriace et c’est sans doute ce que t’aime chez cette douce et piquante jeune femme. Elle t’intrigue, peut-être un peu trop à vrai dire. Tu attends que tout se passe, que tu puisses la faire fuir et d’un côté t’as pas envie de la voir partir, non. T’aimerais être fort, un putain de mec brutal qui va finir par lui faire ravaler ses mots, mais tu finis juste par te perdre toi-même dans ses opales, la mauvaise idée. L’odeur de la situation est presque palpable et clairement. « Tu devrais, qui en a à foutre de toi ? » Te voilà plus piquant, peut-être même vexant, mais pour elle ça ne sera sans doute rien, juste un petit pique comme un autre. Tu la piques, tu le feras pour la voir partir, alors que dans le fond la voir rester ça te plait. Qu’elle s’accroche comme une moule si elle veut, mais tu le sais, tu piqueras décemment, pour ne pas perdre la face, car dans le fond tu l’as déjà perdu. « Tu vas faire quoi appeler la flicaille ? » T’as le regard qui la pousse au vice, qui la pousse à le faire, t’as le corps qui s’est approché d’elle sans trop le calculer. Plus près d’elle, sentant son effluve taquiner ton nez, tu souris et tu choppes son poignet. « Alors, tu vas faire quoi ? » Le regard qui devient noir, tu mets le jeu un peu plus haut, tu ne baisseras pas ta garder pas encore et pourtant t’as le nœud au ventre, car t’aimerais craquer dans ses bras, te glisser contre elle et peut être bien l’épuiser un peu. Le sourire en coin, le regard qui se joue du sien, tu laisses tes songes te pousser un peu plus dans tes propres retranchements. Tu joues avec le feu et tu finiras brûler puis peut-être bien que l’infirmière ça sera elle. Le sourire en coin qui vient se poser sur ton visage à cette pensée, ses mains sur ton corps pour apaiser tes maux, ça pourrait être cool, mais si complexe. T’as pas le cœur ici, pas dans le moment, pas avec elle, ou alors t’en as pas conscience. « Personne n’a demandé à ce que madame la princesse ne parle à ma personne … donc elle devrait passer son chemin, non ? » Que tu finis par lui dire, alors que ta main détient toujours son poignet entre tes phalanges.

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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Mar 16 Oct - 22:53


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T’es l’inconsciente qui se laisse posséder par le démon. T’es l’ange à demi couvert qui se laisse prendre à son propre jeu par l’appel du désir absurde de souffrir. Car c’est ça, t’es pas idiote, tu sais que rien de bon n’oscille entre vos deux âmes noircie. T’es la masochiste qui tendrait l’autre joue pour recevoir un autre coup. T’es celle qui se plierait aux volontés de la douleur pour continuer à se sentir étrangement en vie. Tu veux te laisser happé par le brumant désir de souffrir qu’il te sert sur un plateau. Tu veux être piqué, être provoqué. Tu veux qu’on te secoue, qu’on te fasse mal car à dire vraie tu ne penses mériter que cela. Et l’artiste est le seul à t’offrir cela. Il te sert les ténèbres que ton âme à besoin. Tu plonges dans les gouffres profonds de ces prunelles pour t’y brûler les ailes avec plaisir. Tu accueil avec une douce douleur ces paroles qui te fond autant de mal que de bien. Il te pique l’adversaire que tu jauge de tout ton regard. De tout ton corps. L’adversaire à ta taille. « Toi… sinon t’aurais déjà passé ton chemin… tu m’aurais déjà envoyé baladé… tu sais être plus convaincant ! » Provocation lancé dans un désir de fuir autant que de rester. Rester là, planter ton corps si proche du siens. Ton corps électrisé par l’air ambiant. Par l’emprise de son être tout entier sur le tiens. « Je devrais peut-être le faire… ou alors je devrais continuer à te torturer de ma présence ! » tu susurres, tu murmures à son âme. A son corps qui se rapproches du tiens. Deux aimants qui s’attires et qui se repousses dans un étrange jeu. Dans une étrange danse. Sa main qui par surprise viens enserrer ton poignet. La force d’un geste qui vient soulever chaque cellule de ton corps. Cette force que tu veux, cette force qui te réveille. Défis dans son regard reflets du tiens. Sourire en coin sur le pulpe de tes lèvres. Tu te laisses emporter par la corde qui te lance. Il t’accroche et tu t’agrippes. Tu ne comptes pas lâcher aussi vicieuse que l’homme en face de toi. « Et toi tu vas faire quoi ?! » Question pour une question. Provocation pour une autre alors que tu as envie de te perdre en lui. Tu as envie de tout oublier avec lui. Tu as envie de te laisser emporter dans les tréfonds les plus lugubre t’en foutant de te perdre un peu plus en chemin. Alors, tu te laisses happer par sa tempête. Tu te laisses piquer par ces mots. Attirer par son corps. Ces paroles sont comme une symphonie pour ton cœur en miette qu’il piétine un peu plus. Il te fait du bien dans ton mal. « Il semblerait que le vilain de l'histoire retienne la princesse en otage… » tu pourrais te libérer aisément de sa main enserrer sur ton poignet, des années d’art martiaux… pourtant, tu n’en as pas envie. Tu veux rester là à sentir son souffle s’écraser sur toi. A prendre chacune de ces paroles comme une douce et amère attaque. Tu veux tout. Tu ne veux rien laisser de cet échange aussi tordu soit-il. Tu irais jusqu’au bout à en perdre le souffle et l’esprit. Qu’il te rende folle autant qu’il voudrait si cela te donne cette sensation de vivre ne serait-ce qu’une seconde de plus.
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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Jeu 18 Oct - 14:19

Nevaeh & Mahe. feel the electricity.

Tu la regarde. Elle est un jeu, un petit terrain de jeu que tu aimes malmener et sans doute bien trop apprécier à la fois. Levant les yeux au ciel, tu laisses un rictus s’attarder sur tes lèvres. « J’en ai rien à faire de toi ! Mais je ne passerais pas mon chemin quand c’est toi qui viens de débarquer comme une fleur fanée face à moi. » Tu te figes, le regard qui se meurt dans le sien, le défis de l’impossible qui naît en toi. Tu es piqué. Pas de la même façon que quiconque peut être piqué, pas d’amour. Ö non. Juste l’envie de jouer un jeu, de laisser le défis et tout ce qui va avec venir te tirailler et voir lequel de vous deux finirez par abandonner le premier. Pas toi, mais pas elle non. Elle est coriace, elle a de la ressource, joueuse à souhait avec une envie dingue de te dévorer, de te voir te débattre dans ta perte. Mais tu es bien plus fort. Silencieux et très observateur. Tu aimes ce genre d’action, de petite péripétie. Un pas vers elle, un peu plus proche, l’un de l’autre, une boule de feu attirant une autre boule de feu. L’appel est courtois et pourtant il promet une bataille d’étonnante. Tu finiras par la faire plier, tu as envie de jouer, déraisonnable et clairement mal placé pour plonger ainsi, mais tu le feras, bêtement. Un fonceur. « Torture-moi ! » Tu la cherches, tu l’appel à rester à présent, à se jouer d toi car tu te sens de taille pour n’importe quelle bataille, mais dans le fond ça mine ton putain de moral de pas pouvoir te dire que tu n’auras pas fini la petite princesse pour habillé l’âme de cet immeuble, pour laisser la trace de cet enfant oublié dans le quartier. Mais bon. « Mais t’arrivera pas à me faire plier … » Tu continues de la fusiller du regard, d’attiser le feu qui règne entre vous. Plus la peine d’essayer de la faire déguerpir, plus besoin de la vouloir ailleurs, tu as cédé, la tentation trop forte de ‘imaginer de gagner une nouvelle bataille sur elle, mais pas la guerre, jamais. Clairement c’est un jeu qui ne finira pas comme ça, pas avec elle. Tu ne sais pas trop où tu t’enfonces, tu y plonges clairement, beaucoup trop. Elle continue de te cherche, résisteras-tu assez longtemps ? Rien n’est peu sûre que ça. Un coup de rein et la petite est contre toi, puis tu l’as cale contre le mur, le regard qui se plonge dans le sien. « Moi, rien … sauf te faire perdre ! » Et tu perdras avec elle, la distance entre vous est infime est forcément ce n’est pas ainsi que tu risques de gagner, tout au contraire. Vous avez envie de la même chose, mais aucun de vous n’a envie de perdre, de laisser l’autre prendre la main, de montrer une infime solution à perdre ou non. Punaise, le jeu t’aura toujours. Tu es un joueur et ce n’est pas bon, vraiment pas bon. Tu laisses ton bassin rencontre le sien, la cherchant, attisant un peu plus le feu en elle. Tu l’as trouvera sans doute, et tu finiras par la ruiner en essayant de sauver ta peau, mais il n’est pas sûr que tu t’en sortes. Prépares toi à la défaite, une double défaite de vous deux, mais dans le fond vous aurez peut être gagné ? Peut-être. « Où est la princesse, je ne la vois pas … » Tu ne l’as considère pas comme une princesse, c’est surtout péjoratif dans ta bouche, envers elle. Alors, tu insistes bien sur le vilain cherchant encore la princesse. Tu souris et tu l’as laisse essayer de reprendre le jeu en main, ça va t’amuser de voir ça.

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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Ven 19 Oct - 17:32


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Elle est douce sa piqûre. Mélodie susurré à ton âme noircie par la peine. Il sait parler à cette souffrance qui t'animes. A chaque parole qu'il sort d'entre ses lèvres, c'est l'effet d'une violente caresse sur les maux qui enchaînes ton cœur. Il les berces de son jeu. Il t’entraîne dans ces tréfonds et c'est volontiers que tu plonges avec lui. Pas de question. Pas de résistance de ta part. Tu pars, loin dans ce gouffre qui vous entoure. C'est du bien dans le mal. Ou là qu'une illusion mais tu t'en contente. Tu en as besoin de ce songe amèrement doux. Tu en as besoin pour ressentir se souffle de vie s’éternisé une seconde de plus au fond de ton être. Ligne de vie, ligne de mort. Il est les deux à la fois. Tu te laisses enivrer de toutes ces sensations qui s’agitent en toi. Tu te laisses attraper par ce brasier qui prend foyer à en embraser tout tes sens. D’une provocation à une autre qui sonne comme une délivrance. Ton jeu est siens. Son jeu est tiens. La réciprocité de deux âmes à demi brisé. A demi de l’espoir increvable qui n’as pas assez de force de se mourir définitivement. C’est peut-être lui ton putain d’espoir. Tu n’y crois pas vraiment, mais ces prunelles azur plongée dans le claire obscur des tiennes semble déliés l’incompréhensible. Il n’y a là que complexité à l’appel de ces mots. De son corps contre le tiens. Proche, trop proche ou pas assez. Écrasante qu’est l’envie de te perdre. Te perdre avec lui. Il cherche, il attise cette menaçante tempête en toi. Pyromane de vous. Pyromane d’un désir qui n’est que folie. Folie que tu prends à bras ouvert dans ce désir inavouable de t’oublier toi-même. Il appelle le vice qui sommeille en toi et tu réponds. Le marionnettiste et sa marionnette, qui est qui difficile à dire. Tu te joues de lui de tes yeux qui cherchent les siens comme un mouvement de désespoir. Tes armes que tu ne déposeras point à terre sans un frémissement de sa part. Sans le signe qu’il aura plié avant. Vous aviez surement déjà tout perdu. Perdre ou gagner la ligne était tellement infime. Fragile. T’étais fébrile de lui. Du poids de son corps qu’il vient peser sur le tiens ; Plus d’issus possible, plus d’échappatoire. Volontairement prisonnière qui ne parles plus de sa bouche. Lui qui attends que ça, ta réplique, cinglante aussi acérée que la sienne. Il n’y a pas de mot plus puissant que les actes. Les mots s’évapores alors que les actions laissent si facilement une emprunte. L’idiot qui ne pliera pas l’as déjà fait. Lui qui répond à l’appel de ta torture. Lui qui répond à ton appel. Tu te sens victorieuse de ce moment qui s’éternise. « Je n'ai jamais prétendu avoir le rôle de la princesse... » Suspend dans ta phrase, dans tes mots. Dans tes yeux si profondément ancré dans les siens par cette douce et sulfureuse tension qui vous unie. Non, tu n'as rien d'une princesse t'es aussi vil que lui. T'es le démon déguisé ange venue prendre. Tout prendre. Venue nourrir ta douleur de la sienne. Tu es la dangereuse qui approche son être un peu plus du siens. Ton visage si proche à y sentir son souffle s’évaporer sur le délicat de ta peau. A y voir chaque nuance de bleu dans ces yeux si perçant. Si hypnotisant. « Pourquoi perds-tu ton temps à me parler si tu n’en as rien à faire de moi ?!... » Murmure entre le pulpe de tes lèvres. Sourire en coin qui vient fendre ces mêmes lèvres en deux dans un subtil appel à la réplique. « L’homme qui dit qui ne plieras pas et celui qui est déjà préparer à le faire… » Rapprochement dangereux alors que ton cœur s’arraches dans ta poitrine alors que tu t’en fou de perdre. Simple volonté de le faire perdre avec toi.
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Message Sujet: Re: feel the electricity ☆ ft.mahe   feel the electricity ☆ ft.mahe Empty Dim 16 Déc - 15:20

Nevaeh & Mahe. feel the electricity.

Tout va trop vite, toujours avec elle. C’est une tempête qui terrasse ton âme, laissant ton cœur meurtrie, car il va encore être oublié dans l’histoire. Celui-ci est rarement présent dans ce style d’échange. C’est une envie de gagner, de compétitivité qui t’anime dans ces moments. Tu la regarde, l’attise de tes opales, continuant à laisser ces dernières glisser le long de son corps. C’est le feu qui brûlent entre vous qui te donnent envie de la garder à côté, tout prêt de toi, pour jouer, t’amuser, tout essayer, mais dans le jeu y a le perdant, le gagnant. Sais-tu qui tu seras dans cette drôle d’histoire ? Les deux ? Aucune des deux. Rien à faire. Car le regard de cette fleur fané te donne pas envie de céder, envie de la rembarrer tout en l’obligeant à ester à la fois. Tu deviens complétement con ou paumé, peu importe la réponse à vrai dire. Dans l’attente d’un moment de faiblesse de l’autre, voilà comment vous êtes et la petite, elle a de la ressource, bien plus que tu ne le penses dans le fond. Sans doute pour ça que jouer avec elle est une chose qui te donne jamais envie de fuir, car elle résiste te repoussant dans tes propres limites, alors tu souris souvent face à tout cela. Espérant arriver à la dompter, mais sans savoir pourquoi ici la dompter serait une chose essentielle. Toujours accroché à ses opales, tu ne délaisses  pas la bataille, et tu laisses un rire s’extirper de tes lèvres.   «  Faut tout apprendre à ton style de meuf trop sûr de soi pour voir qu’en un surnom n’est pas censé faire plaisir !  »  Les gestes sont brutaux et doux, les mots sont parfois déshonorant, mais peu importe. C’est ainsi la guerre, personne n’a de passe-droit, tu ne peux pas la laisse en avoir, une fille te rendant déjà assez dingue comme ça, cela suffit. Et tu t’empêches de penser à la brune, car non, pas l’endroit, pas le moment et clairement tu n’es pas avec la bonne personne pour penser à une autre. Tu souris et tu retiens même un petit rire moqueur. Elle pense te tenir, pensant clairement qu’elle est capable de te faire succomber ou autre délire. Mais elle est si loin de la vérité, elle est très loin même.  C’est elle qui en devient un jeu et clairement pas quelqu’un à ta hauteur en faisant ça. Alors, tu restes, tu laisses tes lèvres près des siennes, toujours les yeux dans les siens, ne lâchant rien, un plaisir et une torture à la fois. Doux et frustrant. Beaucoup trop de mélange en toi, mais tu peux battre, tu le peux, tu es capable de tout, surtout depuis que Scar est passée dans ta vie, elle y a marqué des choses qui t’ont fait évoluer, pas forcément dans le mieux, mais tout de même. «  Pas rien à faire … c’est différent.  »  Le regard un peu plus noir, la tension montant encore d’un cran. Tu as le regard qui glisse de ses yeux à son corps. Tentation, vilaine sensation. Ton corps est appelé au sien, et tu le laisse s’approcher, coller à lui, cette fois, plus rien ne peut empêcher ta chaleur d’attiser la sienne. «  Dixit la femme qui s’est arrêté pour me voir, me parler ? Je n’avais d’yeux que pour elle moi !  »  Tu parles bien entendu de la petite que tu dessinais sur ce mur, tu étais là que pour ça et pour rien d’autre. Alors, c’est qui qui avait besoin de l’autre ? Pour toi la réponse est clair, mais si elle était possiblement fausse, et si les deux êtes aviez envie de se trouver ? Tu laisses ta main coincer sa main, ton corps chahutant le sien. La guerre se perd dans un jeu bien plus sensuel et qui va vous perdre à deux, tous les deux, vous allez perdre pied. Fuir ou se jeter dans la gueule de la louve ? Tu hésites peut être bien encore.

LUCKYRED
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