the shape of you ❁ (ft.dakota)

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{ the shape of you }
crédit/ tumblr ✰ w/@dakota bussby

Il y a de ces jours ou la vie viens vous surprendre, vous prendre de cours malgré vous. Des jours ou le les étoiles semble s’alignés pour vous foutre votre destin sous les yeux sans que vous vous en rendiez compte pour autant. De ces jours où l’on n’y va à reculons et pourtant dans quelques années au moment d’une bonne rétrospective sur le passé on se diras que les choses étaient bien tombées. Aujourd’hui, c’était l’un de ces jours. Tu t’étais sortie du lit avec cette sensation que tu aurais mieux fait d’y rester. Même Azur avait eu l’air d’être d’accord mais, les messages à répétition de tes amies avaient eu raison de toi. Journée entre fille qu’elles t’avaient tanné les traîtresse. Tu aurais dû sentir le piège quand elles t’avaient forcé à te faire jolies. Jolie, comme si tu étais moche en temps normal. Tu ne voyais pas ce qu’elles avaient toute contre tes robes t-shirt XXL et tes baskets que tu traînais partout. Tu t’en voulais presque de ne pas les avoir écoutés ou peut-être d’avoir écouté Noam qui t’avais lancé que te sortir les yeux de ton ordi ne te ferait pas de mal. Tu aurais presque eu envie de te rouler en boule comme une gamine capricieuse qui n’avait pas eu ces bonbons mais, tu avais encore bien trop de dignité pour t’en résoudre à cela. Tu les entendais encore te lancer leurs « ça va être fun » tu vas voir. Fun de quoi, de se trémousser devant un inconnu qui se foutrais de la gueule de ton manque de féminité. Sans parler que si ton père de voyais tu serais très certainement morte sur place. Toi et un club de ce genre ce n’était pas la bonne combinaison. Trop tard de toute manière alors que tes amies profiteraient juste du spectacle du soir elle avait voté pour que ce soit toi qui profite du cours particulier. Une blague. C’était ça, une putain de caméra caché. Tu n’en mené pas large en poussant la porte du « Play it again Sam » à t’en sentir nue alors que tu ne l’étais pas. Pas encore. Que le putain de diablotin sur ton épaule te murmurais à l’épaule. Dieu se retourné dans son paradis et toi tu triturais ce petit anneau à ton annulaire comme si cela pourrait te sauver. T’avais envie de mourir. Tu ne pus t’empêcher d’avoir une petite pensé pour Delta, ton Delta qui rigolerais surement en recevant ta prochaine lettre contant tes mésaventure de cette après-midi. Tu te sentais comme une innocente brebis entrant dans l’antre du loup et tu ne savais pas à quelle sauce tu allais te faire manger. L’estomac tordu par le stress et les mains qui se font nerveuse dans ta chevelure de lionne qui encadre ton visage. Le regard qui court du bar à l’estrade centrale, au canapé luxueux et aux lumières brillantes et tamisées. Tu ne pouvais pas enlever la beauté de l’endroit mais, tu ne te sentais pas à ta place. Le confort de ton ordi et des lignes de code te manquais tout d’un coup. Tu ne savais pas où te mettre alors qu’une beauté brune à la plastique parfaite été venue à t’as rencontre. Rien de mieux pour te sentir encore moins en confiance. « Vous êtes la gagnante de la Master classe ?!... Dakota ne devrait pas tarder ! Installez-vous !! » Intimidé tu t’exécutas sans attendre à te demander à quoi pouvait ressembler cette Dakota sans savoir que tes soit disant amies t’avais booké avec un homme. Elles avaient été malignes, elles te connaissaient. Tu aurais su, tu aurais trouvé le moyen de fuir. Là, tu ne pouvais plus reculer.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@kahina stylinson

T’es en retard, c’est une chose rare chez toi, mais tu as tellement de chose à gérer. La vie elle pourrait t’abimer, te calciner en quelques secondes. Après tout tu n’es qu’une chose, tu as beau tenter de faire en sorte que tout vas bien, tu ne sais pas du tout si un jour tu parviendras à t’en sortir. T’as la tête en vrac pour le coup, t’es clairement pas chaud pour aller faire le kéké au club. T’as qu’une envie envoyer promener la nana qui va avoir un cours pour le coup. Tu marches, essayant de faire le vide dans ton esprit. Ce n’est pas gagné. Clairement, tu ne sais pas trop comment tu vas savoir refaire descendre la pression, elle est si forte, que tu as l’impression que tu pourrais déplacer des montagnes. La situation est juste énervante, tu t’énerves et un peu plus à chaque fois. Elle t’a oublié, elle t’a pris pour le dingue qui t’as conçu de force avec elle. T’as le cœur qui s’est complétement déchiré comme à chaque fois. Elle est dans l’oubli, alors que tu toi tu ne veux rien oublier. Peu importe, tu veux la garder à toi, ta mère, la seule et unique femme la plus importante au monde. Celle qui te prend pour ce connard, puis toi, tu ne sais pas trop quoi faire dans ces moments-là, car te voir ça lui donne envie de tout défoncer. Tu la revois encore caresser son ventre, comme si Nova et toi vous y étiez encore. Elle est déboussolée, puis l’instant d’après elle se souvient de toi. Et toi tu es en morceau, le cœur émietté dans tes intestins, comme si ta vie était en train de t’abandonner. Tu perds la mesure du temps, tu ne veux pas qu’elle s’en aille, pas qu’elle dise adieu à ce qu’elle était. Si douce, si magnifique, si forte et elle n’est plus qu’une petite feuille brisée. Faudrait prendre des virages, prendre des notes pour retenir l’esprit de ta chère mère, la seule qui ait pu te donner de l’espoir dans le monde des adultes quand tu étais un minot. Arrivant au club, tu passes par l’arrière, aucune envie de parler, t’as qu’une envie que la personne prévu ne vienne pas. Tu le sais t’es pas prêt, t’as pas envie de faire ça. Mais tu dois aussi prendre de l’argent, alors tu t’accroches, tu le fais, voilà tout. Te changeant, tu mets un jogging serré et un débardeur laissant tes muscles qui se sont développé durant ton époque dans l’armée. Tu finis par saluer des gens, avant d’arriver près de la personne présente pour le cours. Un cours devant la rendre sexy, l’apprendre à faire de la barre, tu l’observes de loin. Les opales qui se délectent du spectacle, mais cette fille à par avoir de bel forme, n’a pas l’air d’avoir grand-chose pour elle. Mignonne, mais sans plus. Cette façon de se tenir, c’est une cata, sans doute que tu es trop habitué aux femmes qui savent se tenir, être sexy sans grand effort, t’es pas mauvais, mais réaliste, surtout que la poupée aurait de quoi être au top. Elle s’est pourtant bien fringuée, mais tout joue dans une façon de voir quelqu’un. « On se redresse ! » Que tu lâches en tapant contre la chaise. « Assise ! » T’es pas cool, sans doute, car tu es de mauvaise humeur, la mère toujours dans l’esprit, le cœur larmoyant en silence. « Alors, ton petit nom c’est quoi ? » Tu luttes avec ta mauvaise humeur pour être un minimum gentil, un chouia, vraiment. La pauvre est tombée sur une mauvaise journée, l’un de tes mauvais jours.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@dakota bussby

Tu n’as aucune envie d’être là. Aucune envie de te faire juger pour ce que tu es par quelqu’un qui n’allait te connaître par de là l’image que tu renvoyais. Il n’y aurait rien derrière et tu exécré toute relation superficielle basé sur le physique. Tu voulais fuir à en haïr tes amies qui t’avais traîné ici. Tu voulais disparaître tant que tu le pouvais encore. Tu te sentais piégé quasi privé de ta liberté et pourtant rien ne t’empêché de partir. Pourtant, tu ne le faisais pas. Surement un petit brun de curiosité malsaine et tu le regretterait plus tard. Ou tout de suite quand tes yeux se posèrent sur la fameuse Dakota. Dakota qui était tout sauf ce que tu t’étais imaginé. A y regardé deux fois à la limite de la terreur qui se lisait surement dans tes prunelles qui ne savait pas où se mettre. Mais bon Dieu où étaient les longs cheveux lisses et les courbes voluptueuse ?! C’était là une blague, une putain de caméra caché ?! Mais non… Aucun temps d’arrête, aucun moment pour digéré la nouvelle et la surprise d’un coup sur le fauteuil sur lequel tu es assis accompagné de mots dénué de toute prévenance. Le corps qui se crispe. Le cœur qui se braque. Tu haïssais silencieusement celle qui se disait être tes amies, elles t’endenteraient. Elle n’avait pas choisi le plus moche ou tout simplement que les traîtresse connaissais tes goût. Toi, tu avais perdu ta langue. Surprise de tes prunelles comme si tu tentais de déchiffrer ce qu’il te racontait. L’espace d’un instant, t’étais à dix mille lieux de là. Dix mille lieux de lui. Son intonation qui te ramène au moment. A lui. Lui qui n’a pas l’air d’avoir envie d’être ici non plus. Tu le sens se ressentiment qui émane de lui et c’est violent. Violent à t’en percuté de plein fouet. Au moins vous aviez au moins un point commun. Le seul que tu penses.  Tu te redresse, tu t’assoies mieux, tu fais ce qu’il te dit comme si tu avais peur si tu n’obéissais pas mais, tu n’avais pas envie d’obéir. Toi, tu voulais partir. En finir avec cette e mascarade. Il le voyait surement qu’il n’y avait rien à faire de toi. Il se foutait surement de ta gueule mentalement. « Kahina… » Que tu lances en le détaillant du regard « Je pensais que Dakota serait une fille… pas contre vous mais, on m’a tiré ici de force, j’ai rien à faire là… » Pas de réflexion dans tes mots. Pas de filtre non plus. C’est machinal chez toi. Instinctif comme ton regard qui fuit pour se réfugié sur ta bague que tu t’amuses à faire tourner sur ton doigts comme un mécanisme de sécurité. Comme si tu avais besoin de te protéger de quoi que ce soit. Pas que tu avais peur de quoi que ce soit tu n’avais tout simplement aucune confiance en toi quand il s’agissait de ton corps ou de l’image que tu renvoyais. Tu te cachais car, c’était tout simplement plus simple ainsi. Tu n’avais rien de spéciale à tes yeux et ce n’est pas une session avec un mec qui déborde de confiance et qui ne se retournerais même pas sur une nana comme toi dans la rue qui y changera quelque chose. C’était juste t’enfoncer un peu plus. Te ridiculiser. Au moins, tu lui referais sa journée à lui, il aurait de quoi rigoler après avoir regretté d’avoir perdue son temps avec toi… Tu n’étais qu’une foutue perte de temps.

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crédit/ tumblr ✰ w/@kahina stylinson

Tu es remonté, mais surtout à plat. À terre. Les mots de ta mère qui use encore ton esprit, rongeant petit à petit ton cœur. T’aurais dû dire merde à cette mascarade pour aujourd’hui. Autant dire que ça aurait été mieux pour la fille qui se retrouve avec toi pour l’après-midi. À peine arrivée que tu aboies, laissant aucune chance à ce pauvre petit être esseulé au milieu de la scène. Les regards sont sur vous, mais tu t’en fiches, on te connait, t’as pas de saute d’humeur et tu sais parfaitement ce que tu fais pour le coup. Joli fessier, joli forme en soi, elle serait bonne pour quelques mouvements de rein échangé dans un lit, mais pas pour plus. T’es comme ça, t’inspecte et tu juges, mais cette fois c’est bien plus mauvais, car t’es pas de bonne humeur. Assise et droite, tu ne demandes pas grand-chose, t’as pas besoin d’une personne voutée, te faut une poupée, capable de s’assumer, de déposer la peur d’être vu, car dans le fond, quand tu laisses tes opales l’examiner plus en détail elle pourrait envoyer du lourd, si elle le voulait. Là, elle est cachée, voilà tout, la jeune femme ne s’assume pas, la pression descendu pour toi, petit à petit, que le ton que tu emploieras à l’avenir sera dur , mais clairement plus doux. « Ok Kahina ! » Que tu lâches, alors que tu l’observes te dire qu’elle aurait vu une meuf sous le prénom de dakota. « Rien à faire là ? » Que tu demandes passant le soupçon que ce soit une femme et non toi, le prof. Tu vois le genre de situation dans laquelle tu es, tu te retrouves nez à nez avec un cadeau empoisonné, pour elle comme pour toi, finalement. Elle n’a pas envie d’être là, mais elle est là, comme toutes les autres. Y a forcément une raison, alors le cadeau empoisonné, toi tu n’en veux pas, tu vas vite le faire valser et la faire changer d’avis, la laisser s’ouvrir, car façon c’est ce qui est prévu. Tu prends une chaise, t’installant à l’envers sur cette dernière, pour te mettre face à face à elle, plutôt près d’elle. Les opales qui virevoltent de ses yeux à son corps, ses lèvres, tu ne laisses rien passer à la trappe. « Alors, si tu ne veux pas être là, pourquoi tes fesses sont posés sur la chaise, pourquoi ? » Tu ne lâches pas son regard, glissant ta main sur son menton. « Y a une raison, une bonne raison, car je ne vois pas de marque de couteau ! » Tu soulèves son menton, pour relever tes paroles. « Pas de couteau, pas de forçage, alors qu’est-ce qui t’amène ici ? » Que tu demandes. Puis tu l’as vois trifouiller de ses doigts fins cette bague à son doigt, annuaire gauche, tu souris... « Je vois fiancé, qui aimerai un peu plus de nuit de folie, un peu plus de sensualité chez toi ! » Tu ris un peu, pas méchamment, mais c’est toujours pour ça que les femmes font ça, souvent trop. « Pourquoi les filles veulent changer pour les hommes ? » Tu dis ça, mais toi aussi tu l’aurais dans ton lit, tu demanderais un peu plus de sensualité, le fait qu’elle s’assume, mais t’aimerais tellement plus une femme qui te résiste, t’envoyant promener, mais ça existe pas. Toi tu souris, tu soulèves, dispose puis tu dis adieu. C’est ainsi.
 

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Tu as cette boule au ventre qui grandi et putain que tu aller les tuer tes amies si tu sortais vivante de cette entrevue forcé. Oui, forcé car, il fallait les connaitre ta petite bande pour savoir qu’elles t’attendaient sagement dehors et que tu ne sortirais pas d’ici s’en y avoir mis du cœur à l’ouvrage.  Tu allais te ridiculisé et t’en été même à penser qu’elles avaient pu payer quelqu’un de la boîte pour te filmer te rétamer en beauté. Elles avaient bien calculé leur coup. Dakota, une vraie blague, il avait rien d’une nana… au contrarie. Le pire dans tout ça c’est qu’elle avait choisi un gars qui pouvait te plaire. Qui te plaisais tu ne pouvais pas te voiler la face sur ce coup-là. Enfin tu enlever le fait qu’il avait l’air d’un vrai con. Tu le voyais déjà te prendre de haut et te juger, t’avais qu’une envie te barrer mais, va savoir pourquoi tu n’arrives pas à décoller le cul de ta chaise. Tu le regardes se jouer de toi sans être capable de sortir un mot. Oui, il t’intimidé sans parler du frison non dissimulé quand sa main se glissas délicatement sur ton menton. Bien trop proche de toi que tu sentais son souffle s’échouer sur ton visage et ton cœur qui voulait s’échapper de ta poitrine. Le traitre. Le pire c’est que se Dakota avait raison, tu aurais très pu envoyer bouler tes amies mais, vas savoir pourquoi, tu ne l’avais pas fait. « Curiosité malsaine probablement… » Que tu lui lances avec le peu de contenance que tu arrives à trouver au fin fond de toi. Dieu que tu aimerais qu’il te rende ton espace vitale. Il était bien trop proche de toi. Tellement proche de toi que tu manquas de lui cracher dessus à ces autres paroles. Il voulait te tuer c’était donc là cela. Le rouge au joue merci à ta peau métissé pour cacher la honte qui pouvait se lire sur ton visage et la rage dans tes yeux quand il assumas de savoir qui tu étais. Tu parles d’un cadeau, tu allais passer la pire heure de ta vie oui. Tu te décides enfin à te lever de ta chaises, mauvais plan surement alors, que ça ne fait que réduire l’espace entre vous. Ton regard qui s’ancre dans ces prunelles de cristal. Rien que son regard te donne chaud. Putain pourquoi il ne pouvait pas être moche car, surement s’il l’était-il ne serait pas là, à travailler. « Aucun homme ne me feras changer, c’est un anneau de chasteté abruti !! » que tu lances sur la défensives et sans aucune gêne de lancer que tu étais vierge. Quoi que… t’en étais sûr qu’il allait te le faire regretter mais, jamais tu ne laissais qui que ce soit te rabaisser encore moins un inconnu. « Je ne comprends pas les hommes qui penses tout savoir des femmes juste en les regardant !! » que tu finis par lui lancer en retour le regard aussi profondément plongé dans le siens. S’il s’attendait à ce que tu dises amen à c’est jugement il avait choisi la mauvaise nana pour ça.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@kahina stylinson

Tu déçois souvent les petites timides qu’on t’envoie de par ton prénom. Autant dire que ça te fait rire, mais que tu t’en fiches totalement. Tu la regardes la Kahina qui a l’air peu ravie dans le fond de te voir toi et ta mauvaise humeur. T’es pas d’humeur, mais tu vas le faire. Voilà, tu fais le job. Sans en avoir envie, mais tu donneras de ton mieux pour dresser un peu les courbes de cette jeune femme, qu’elle sache vendre du rêve à n’importe quel type en privé. Alors que t’aurais aimé rester à écrire, laisser des mots d’encre sur une feuille, pour pouvoir laisser échapper les songes et émotions qui coincent en toi, seul moyen pour toi qu’il t’échappe sans nul doute les écrire. Tu les laisses tous couler, sans vraiment y prêter une quelconque réflexion qui serait douloureuse. Tu ris en délaissant son menton, relaissant son visage tomber comme elle le voulait. « Malsaine, je n’aurais pas imaginé cela ! » Aucune envie d’être là. Toi tu ne comprendras jamais ces filles. Pourquoi ? Faire plaisir aux autres ? Suivre le mouvement ? Tu ne sais pas trop, mais ça te laisse moqueur, clairement. Tu cherches la petite bête qui fera monter le diable en elle, que tu vois dans ses iris le pouvoir qu’elle pourrait avoir au lieu de jouer la biche épeuré. Tu le sais bien que énormément de femme font les timides et les saintes nitouches alors que c’est bel et bien tout le contraire. Alors tu essayes de savoir les raisons, de trouver la vraie réponse. Un homme, sans nul doute. T’en vois trop des meufs qui suivent les ordres, qui veulent faire plaisir, t’y vois pas de mal, sauf quand tu te retrouves devant une brindille meurtrie comme cette Kahina. Tu la vois s’énerver, cracher des mots, tu les prends de plein fouet, mais elle t’enlève pas ton petit sourire sur le visage. Le regard qui la toise alors que tu laisses un rire moqueur. « Pauvre créature, j’ai touché la corde sensible ? » Que tu demandes, alors que tu ne délaisses pas la proximité qu’il y a entre vous, car il en est hors de question. Tu laisses tes opales dans les siennes. « Alors, c’est les copines qui veulent te pousser à te laisser aller ? » Tu poses des questions, t’insiste car tu ne vas pas juste lui donner un cours et la laisser partir. Puis à un moment donné dans la soirée tu lui vendras du rêve, tu laisseras ton corps danser contre son corps inerte, car t’es persuadé dans ta tête qu’elle ne bougera pas un seul instant sous ta danse. Tu la vois ainsi et pas autrement. Tu ne relèves pas sa virginité, car ça prouve des choses pour toi, elle est bien, mais pas assez éveillée, pas assez confiante en elle et ça tu le vois. « Debout, maintenant ! » Que tu craches avec un sourire exquis sur le visage. « Montre comment tu danses, sans parler de sensualité, hein ! » Petit clin d’œil moqueur alors que tu lui tends ta main pour qu’elle bouge de sa chaise. 

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crédit/ tumblr ✰ w/@dakota bussby

Il en avait fini de t’énervé et il ne lui avait pas fallu longtemps. Lui et son putain de sourire condescendant non, mais c’était quoi son problème sérieusement ?! Tu en repasseras du cadeau empoisonnée de tes amies et elle ne manquera pas de le payer. Tu retenais au passage ta sœur qui n’avais pas manqué d’approuver l’idée. A croire que tout le monde c’était bel et bien ligué contre toi. Tu allais faire un meurtre à commencer par lui. Lui, qui croyais tout savoir juste en une observation. Ce cours avait à peine commencé que c’était déjà un calvaire. L’après-midi aller être longue et Dieu que tu venais à t’en demandé s’il avait du succès en traitant les nanas de la sorte ou si c’était juste tomber sur toi. S’il croyait qu’il aller pouvoir passer ces nerfs comme ça et que tu aller dire amen il pouvait se foutre le doigt dans l’œil. Pourtant, il continue de te chercher comme si c’était un jeu et il avait l’air de bien s’en amuser de tout cela. Il s’en amuserait moins quand il trouverait ton poing dans sa figure. Non, tu n’étais pas violente mais, tu n’aurais aucun scrupule à lui faire ravaler sa fierté. « Pauvre créature ?!... non mais, sérieusement !! » Ton regard planter dans le siens tu étais peut-être réservé mais, il ne fallait pas trop te chercher longtemps pour te trouver. Tu n’étais pas du genre à t’écraser devant ce genre de mec. Le genre qui se croit tout permis juste parce qu’ils savent qu’ils sont beau. Car, bien sûr qu’il était beau. Oui, il pourrait même clairement te plaire, il te plaisait tu ne pouvais pas te le cacher mais, son putain de caractère semblait gâcher tout le reste ou du moins ce qu’il montrer de lui ne donner clairement pas envie en l’instant. « On t’a déjà dit que tu étais un abruti ?! » que tu dis en réponses à sa question sur tes amies. Ce que voulait tes amies ne le regarder pas et tu ne voyais même pas pourquoi il poser toute ces question. Tu voulais juste en finir. Certes, tu n’avais aucune envie d’agiter ton corps sous ces yeux jugeur mais, s’il fallait le faire pour que tu puisses claquer la porte après sans lui donner raison tu étais prête à le faire. C’est même avec plaisir que tu te lèves pour l’espace d’un moment t’éloigner de lui et de cette proximité qui te mets mal à l’aise. Il t’intimide mais non, tu ne le laisserais pas gagner. Sa main qu’il te tend tu n’en veux pas tu sais encore te lever d’une chaise toute seule. Pourtant, tu redescends vite en te rendant compte que tu ne sais même pas comment t’y prendre. Pas que tu ne sais pas bouger mais, quand tu ne rap pas c’est différent. Tu te sens mise à nue et tu détestes cette sensation. Tu as de nouveau envie de disparaître alors que tu commences à ondulé tes formes au grès de la musique juste pour en finir. Priant pour qu’il ne te demande pas de te déshabillé à l’étape suivante et pourtant tu le sais au fond de toi que ça vas arriver.  

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crédit/ tumblr ✰ w/@kahina stylinson

T’aime énerver, chercher la petite chose qui fera réagir, pas forcément méchamment, mais elle t’avait agacé au premier mot flirtant avec ses lèvres charnues. Une fois piqué, tu continuais de le faire sans même te préoccuper du reste. Le regard mordant, les mots infects avec ce petit sourire qui donnerait à quiconque envie de te foutre une bonne droite dans ta gueule. Petit con. Ça te fait rire toi. toujours. Façon ce n’est pas une droite, pas des coups qui seront plus horrible que toute ta vie, rien ne pourra au grand jamais te happer et te mettre à mal. Ou alors peut être bien la fin de cet échange épistolaire avec Onyxx. T’en sais rien, tu l’as pas vraiment vécu, t’as même pas songé à ce qu’elle le fasse. Pourquoi elle le ferait ? Peut-être, car tout le monde fini par merder, surtout toi, tu te mèneras forcément à ta perte, toujours. Pour ça que dans ta tête il est clair que tu ne voudras jamais la voir, ne jamais révéler son identité, ne pas la détruire, alors qu’elle paraît si douce, douce mais sauvage. Différente de cette fille face à toi, qui te fait sourire, légèrement moqueur. « Attention je provoque la petite princesse ! » Tu ne cesses d’employer des mots, des paroles qui la feront réagir, sauf si elle est vraiment ce qu’elle a l’air d’être : petite puce coincée sans aucune envie d’être sexy et de savoir y faire. Toi ce genre de nana ça te refroidie, ouai tu as basé le jugement sur ce caractère et ce manque de sexe appeal, mais peut-être bien que tu pourrais la voir autrement, mais t’as pas vraiment que ça à foutre en fait. T’as le regard perçant figé dans le sien, à la chercher, à la toiser d’une manière dont rester de marbre devrait être impossible. T’aimes la voir fulminer, son regard qui tente de te faire frémir sans nul doute, mais t’as même pas un clignement de paupière. C’est qu’une bouchée pour toi, pas grand-chose, puis c’est ton job. Tu ne l’avais pas sonné toi de base, hein. « Ouai c’est mon surnom fétiche, y a un problème avec ça ? » tu lui lances un petit regard un peu plus amusé, qui va sans doute lui donner encore plus envie de te démolir, tu le vois dans ses yeux et t’as juste envie de rire. Une mouche qui veut terrasser le lion, perdu d’avance pour elle. « Sérieux y j’ai pas vu de balai, alors c’est quoi le truc qui te constipe en t’empêchant de te déhancher ! » Que tu demandes après l’avoir vu danser. Tu lui tends ta main ! « Attrape là ! » Tu sais déjà que tu vas la faire bouger, t’as pas envie de pas bien faire le job, car elle est pire qu’une statue !  

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crédit/ tumblr ✰ w/@dakota bussby

Tu ne te rappelais pas le derniers moment où tu avais autant prit sur toi. Peut-être jamais quoi que, tu avais beau l’air d’être gentille il ne fallait pas trop te chercher bien longtemps. Lui, il avait fait imploser ta patience en une demi-seconde à peine. Il ne lui avait pas fallu bien longtemps pour te troue et c’était surement là, ce qui t’énervais le plus. Tu t’énervais toi-même dans toute cette histoire à te laissé atteindre par un mec qui ne savais rien de toi. T’avais beau essayer d’ignorer ces mots ils t’atteignaient plus que tu l’aurais voulu. C’était peut-être là, la brutalité de la vérité ou que c’était simplement parce que c’était lui. Pourtant qu’es ce que t’en avais à faire de lui. Qu’est-ce que cela pouvait te faire ce qu’il pensait de toi ?! Lui, et sa répartie de merde. Toujours un mot de plus. « Garde ton sarcasme pour toi tu veux !! » que tu lances balayant son pseudo princesse. Il se joue de toi tu la voie. Tu sens que c’est ce qu’il chercher te pousser hors de toi et le pire dans tout cela c’est que ça fonctionne. « T’as toujours réponses à tout hein ?! » que tu lances en le regardant presque dépité. A quoi bon de toute façon l’ignorance était la meilleure des armes. Tu ignorais ces affronts ou tu essayeras du moins. Pas bien longtemps du moins ta résolution éclater à la minute ou il ne se gêna pas de faire une remarque sur ta façon de bouger ton corps. Non mais, sérieusement il avait tout pour mettre à l’aise lui. « …Et sinon, ça t’arrives de donner envie parfois ?! » le regard rivé dans le siens alors que tu te résous malgré toi à attraper sa main. Cette proximité qui tu le sais vas te mettre mal à l’aise et le pire c’est que tu sais qu’il va en jouer. Encore. Comme il se jouer de toi de ces simple mots. Dieu que tu aimerais pouvoir juste avoir le contrôle une seconde sur cette situation qui te ressortait par les yeux. Tu pourrais peut-être plus t’amuser si tu y mettais un peu plus du tiens mais, l’idiot ne te donner aucune envie de le faire. « Ce n’est pas me donner la main qui changera quelque chose peut-être que si la musique donnée plus envie je mettrais plus d’entrain à la tâche !! » ta main libre que tu passes dans ta chevelure et ton corps qui attends alors que ton esprit fulmine au travers de tes yeux. Tes yeux qui ne cachent rien. Les traîtres.

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crédit/ tumblr ✰ w/@kahina stylinson

Tu souris offrant juste un autre petit pique à la jeune femme. Tu ne comprendras pas pourquoi elle est là, sans une réelle envie de s’ouvrir, elle a l’air tout bonnement cassée. Toi t’es pas là pour elle, mais pour l’argent, mais t’as ce trait de caractère qui est d’être consciencieux. T’aimes faire les choses biens, elle est là pour apprendre le métier, apprendre comment donner envie, donner des ailes en quelques mouvements de corps. T’as un petit bonus avec elle qui est sans nul doute pouvoir la brutaliser par les mots, la pousser dans ses retranchements. Alors te stopper dans ton sarcasme ? Autant dire que ton sourire ne sera que ta seule réponse. Tu joues avec elle, ne cessant de lui offrir un sourire à sa nouvelle réplique, alors que t’as le regard qui se perd dans le sien. « Ouai, sans doute que j’ai même les meilleures réponses …sinon tu ne serais pas là ! » Un petit sourire en coin, un clin d’œil, t’as clairement pas envie de la laisser tranquille, tu devrais le faire, mais ton boulot tu le fais ainsi quand tu files un cours, surtout quand tu as ce style de fille devant toi. Une fille qui faudrait plus protéger que bousculer, mais toi tu fais tout à l’envers, c’est ainsi. Tu retiens vaguement ton rire, alors que ton regard se paume sur son corps. « Tu veux vraiment que je réponde à ta question-là ? » toi donner envie ? Une question qui n’a pas lieu de donner de vraies réponses vu qu’en un coup d’œil cette dernière est là. Ou juste pas pour cette pauvre petite vierge. Te voilà mauvais même dans tes pensées. Main dans la sienne, tu l’attires à toi, sans envies comme tu pourrais l’avoir en prenant Autumn par exemple ainsi. Tu l’as fait tourner autour d’elle, puis tu souffles. Elle est désespérément chiante. « Non, mais tu veux accuser la musique, mais si on est douée on bouge sur tout et n’importe quoi … ne remet pas en question le son ! » Elle te fatigue. « Laisse toi guider sauf si même pour ça t’es pas douée. » Le regard qui croise le sien, ta main dans la sienne, ta main sur le dessus de ses fesses, appuyant pour que son bassin s’entrechoque avec le tien. « Allez détend toi … ce n’est pas comme ci … » tu te retiens d’ajouter que ce n’était pas comme si elle te donnait envie. Mignonne, mais trop peu sûre d’elle. T’es pas fou, mais pour toi les femmes avec assurance même sans avoir un physique subjuguant peuvent clairement retourner les têtes. Tu bouges avec elle, laissant son corps s’imposer contre le sien, mais malgré tout ça, elle a bien du mal. « T’es pire qu’un balai … » et encore le balai serait plus doué.