rivalité fraternelle (neith)

identité complète - neith, un soupçon de féminité paradoxale, tâché par les récits d'un temps où les ziggourats pointaient le bout de leur nez. prénom à la saveur mielleuse et chaleureuse par ses origines divines, créateur du monde. Insolite, roulant sur la langue mais d'une douleur suprême, marqué au fer rouge par la maternel, par l'absence. lazaridis, patronyme accaparé, promulgué par l'adversité. Trop fragile, incapable de le porter solidement. L'ombre rôde autour, impossible d'y échapper, lui collant à la peau. Sa tombe.  lieu de naissance et origines - une nuit encore chaude de septembre empreinte d'un été caniculaire. ses cris brisent le silence dans le long Island dans l'appartement familiale sous un soulagement à peine dissimulé. bébé pansement, le sauveur tant attendu mais bientôt dévoré par ses ambitions. L'échec le frappe, le poursuivant dans sa misérable existence. études ou métier - n'ayant pu sauver le piètre mariage de ses parents, l'enfant médicament à toujours porté en lui ce besoin. de sauver. se rendre utile. vivant pour hurler la douleur qui émane de ses membres. soigner, c'est sa pilule. ce qui le maintien en vie. être infirmier, c'est sa vocation. orientation sexuelle - charmé par les contours ondulés où les dunes se forment avec harmonie. la féminité l'attire, l'arrache à ses rêveries le plongeant dans un désir dévorant. statut civil - fiancé, le coeur prit en otage, méchamment piqué par la douceur d'une nuance miel. L'aquarelle de sa vie portant en elle toutes les couleurs qu'il n'émet plus. pi, scénario ou prélien - scénario par @AMOS LAZARIDIS

traits de caractère / timoré, attaché à son quotidien, à ses habitudes, à son appartement, son cocon. son lieu, son seul repère. neith n'est pas du genre baroudeur, il se contente des petites choses simples mais qui font son bonheur. un pied à terre dans ce monde de brute. maladroit, les mots s’emmêlent, se démêlent et s’entremêlent, parfois douloureux et d'autre d'une brillance extrême. les mots pour neith, ça a toujours été son talon d'Achille. toujours blessant, les utilisant comme sel sur plaie. mais souvent, les mots n'ont plus de sens, aucune saveur, ça n'a jamais été le genre à savoir quoi dire au bon moment. parce qu'il connait. le poids des mots. les marques qu'ils laissent. terrassant. bienveillant, un brin de lumière dans la noirceur désespérante de la pénombre. ça a toujours été le gentil de la famille, celui qu'on laissait dans un coin et qu'on retrouvait dix minutes plus tard au même endroit. le gamin enclin à respecter les règles, non par force mais par logique. donner aux autres, pour se donner soi-même. le vilain petit canard qu'on ne comprend pas. et qu'on n'a jamais essayé de comprendre. une boule de sensibilité. un nuage de lait. créatif, doué de ses deux mains, plongeant son pinceau dans divers couleurs pigmentées pour dépeindre ses fantaisies, neith y trouve ici l'apaisement. ses pensées comme des nuages serpentent un instant sur ses toiles. déterminé/borné, quand un but se profile, neith ne recule devant rien pour l'atteindre. borné, si ses mains s'attachent sur une ordre, celle-ci pourra lui arracher la peau qu'il ne daignera lâcher. le garçon ne se met que rarement en question, d'avantage quand le sujet le concerne. envieux, parce qu'il n'est pas l'élu. il n'est pas celui qu'on attendait. sa présence n'est que l'ombre d'une lumière plus éblouissante. amos. la convoitise l'absorbe, la domine tant la jalousie est intense. tout lui appartient. et la blessure est béante. impulsif, calme en apparence seulement puisqu'un feu ardent bouillonne dans ses veines. sa patience s'égraine rapidement et laisse alors place à un tout autre neith à l'image fraternel ; destructeur. rancunier, si la morsure d'un loup familier vint le happée, la sentence sera irrévocable. sa colère est grande et éternelle. à la hauteur de sa douleur. solitaire, dure est la carapace, neith n'en démords pas. sa bulle, cet endroit où personne ne peut l'atteindre ou bien encore effleurer. la plénitude. fataliste, cette impression cuisante, de ne pas mériter le bonheur. dans la recherche sans cesse du négatif pour ressentir de nouveau l’échec. pour se rappeler d'où il vient. la crasse colle encore à ses vêtements, celle d'un patronyme qui le hante.

ville - poitiers. études ou métier - étudiante en psychologie. avis général sur le forum - très jolie, les couleurs j'aime beaucoup.    le détail qui t'a fait craquer - je suis déjà venue auparavant, je le confesse. y'a un bail. mais ça me manquait de pas rp, et je savais qu'ici j'aurai toujours ma place. fréquence de connexion - un peu près tous les jours. crédits des icons - ça arrive, j'ai fermé l'onglet.    le mot de la fin -je sens qu'on va bien s'marrer.