there still are things you don't know. does it make you mad, baby ? (damen/slade)

there still are things you don't know. does it make you mad, baby ?

« Distrait ? » T’as l’impression que les rôles sont inversés - que c’est toi qui mène la danse et lui qui provoque. Sauf que c’est pas pour te déplaire, et sauf qu’il a pas tord. Et puis ce soir, t’as comme une envie de le remercier de ce contrôle qu’il t’offre sur la situation. Ce soir, t’as comme envie de ne pas faire de vagues, pour une fois. Il t’offre un cadeau inattendu, un truc dont tu lui es reconnaissant - alors c’est à ton tour de ne pas le chercher, de laisser ton silence répondre à ta place, positivement.

T’as même pas besoin de baisser les yeux pour voir que tu lui fais de l’effet, pour voir son bras bouger alors qu’il se caresse, pour que ton corps s’électrise alors qu’il ne fait qu’effleurer ta peau. Tu perds pas pied, pourtant, tu continues de te mouvoir sensuellement. Tu profites de ces demi touchers, qu’il s’agisse de sa main ou de ses yeux qui te caressent du regard. Tu fermes les yeux quelques secondes pour t’en délecter - chose qui t’arrache un léger soupir de désir. Putain. T’arrives à le désirer autant alors qu’il t’effleure seulement, rien qu’en imaginant ce que tu ressentirais s’il te touchait réellement, à pleine main. « Tu ne veux pas t'occuper du bas ? » Et puis ces mots, cette question qui te donne l’occasion de lui répondre une chose que tu ne lui avais encore jamais dite, des mots que tu ne prononceras sans doute plus jamais après cela. Alors tu te penches un peu, toujours sans le toucher, toujours en le frôlant à peine et tu viens glisser chaudement à son oreille. « Tout ce que tu voudras. » Tu ponctues ta phrase en détachant ta ceinture, laissant le bruit qui l’accompagne remplir le silence de ton bureau. Et puis t’en profites un peu, t’en profites pour passer ta langue sur le lobe de son oreille avant de reculer à nouveau pour mieux dézipper ton pantalon. Malgré tout, tu le fais lentement, ton regard planté dans le sien alors que tu lui donnes ce qu’il a demandé.

Tu finis par reculer encore plus malgré tout, à contre coeur, parce qu’il faut bien que tu vires ton froc. Mais là, tu prends pas ton temps. Là, tu le fais glisser le long de tes jambes et tu le vires à coup de pieds. Ça doit pas être la partie la plus sexy de ta danse mais tu t’en fous. Sa présence te moque, ton corps réclame la chaleur du sien alors tu reviens à ta position initiale et tu reprends ta danse.

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tu n'apprécies que trop le silence qui tombe sur la pièce, sur vos deux corps si proche l'un de l'autre, s'effleurant pourtant à peine. tu ne sais pas si tu seras un jour capable de t'en passer. c'est étrange comme pensées et t'as pas franchement envie de t'y attarder, préférant concentrer ton attention sur le blond. c'est sans doute mauvais, cette possessivité, et pourtant. pourtant, t'as envie de laisser tes marques sur son corps. partout. couvrir chaque centimètre carré de sa peau diaphane. tu l'observes longuement, torse-nu devant toi, ta propre main dans ton pantalon, te touchant sans te cacher face au blond. ouai, tu rates pas ses regards, aussi discrets soient-ils. tu le distrais dans sa danse, tu serais presque désolé pour lui. ou peut-être pas. tu te mords l'intérieur de la joue, le taquines un peu plus. c'est bien ça, mais il veut pas retirer le bas, aussi ? surtout que son pantalon ne cache plus grand chose de ce qu'il se passe à l'intérieur. damen vient se pencher sur toi, son corps effleurant toujours le tiens, ses lèvres s'arrêtant au niveau de ton oreille. tout ce que tu voudras. tu fermes les yeux, retenant un instant ton souffle. sa langue vient glisser contre ta peau et tu laisses un léger souffler s'échapper de tes lèvres. tu aimes entendre ses mots s'échapper de ses lèvres. le blond se redresse finalement, se relevant pour exhaussé tes paroles. sa ceinture vient briser le silence de la pièce, qui était retombé après les paroles de damen. tu ne manques aucun de ses mouvements, ta main toujours enfonce dans ton pantalon, ton regard planté dans le sien alors que tes mouvements sont toujours très nettement visibles.

damen revient finalement contre toi, son corps effleurant le sien. tu sais pas si t'as encore beaucoup de patience. pas franchement, quand le corps à moitié nu du blond se retrouve contre le tiens. tu viens finalement retirer ta main de pantalon, préférant glisser les tiennes dans le boxer du jeune homme, agrippant ses fesses sans ménagement, ton regard déterminé rencontrant le sien. oh, désolé. tu feins finalement, retirant tes mains. faut pas toucher, ici. tu ajoutes, haussant distraitement les épaules, revenant poser gentiment tes mains contre les accoudoir du fauteuil, l'air de rien. t'as envie d'le faire craquer le premier, toi, tu te contentes de jouer avec le blond, n'aimant que trop ça. tu guettes sa réaction, l'attendant avec impatiente, restant pourtant impassible face à damen, la tête légèrement penchée sur le côté.

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T’en as rien à foutre de craquer en premier ou non. Sur ce point, t’es pas comme lui. T’es pas comme Slade qui a besoin d’avoir le contrôle sur vos débats, sur vos ébats. T’arrives pas à lui résister et tu ne le lui as jamais caché. Ya juste des fois où tu joues les saloperies, ou t’essaies de te convaincre - autant que lui - que t’es capable de prendre sur toi, un peu. Sauf que c’est pas vrai, sauf que t’as même pas envie de te priver d’un truc juste pour nourrir ton égo. Surtout que t’en as pas besoin, surtout que ça ne marche pas. Pis tu sais qu’il adore ça, Slade, de voir que t’es incapable de lui résister ne serait-ce que quelques secondes ; et ça te fait du bien de lui faire du bien. Mais là, alors qu’il joue les provocateurs, alors qu’il pose ses mains sur ton corps pour mieux les retirer ensuite avec un air faussement innocent, ya ton cerveau et ta bite qui se battent. Ya ton cerveau qui te dit de pas craquer, de pas lui donner cette putain de satisfaction alors qu’il peut se jouer de toi aussi facilement, mais ya ta bite, ta bite poussée par les sensations que son simple contact te fait ressentir. « Oh, désolé. (...) Faut pas toucher, ici. » Yavait tes mains sur ta peau quelques secondes plus tôt et ton corps s’en est électrisé. Parce que t’as dansé si près de lui mais si loin à la fois, parce que ton corps aussi réclame d’être touché, frôlé. Pis merde, tu vas pas prétendre que t’as pas laissé échapper une petite exclamation quand tu l’as senti agripper tes fesses, et tu vas encore moins prétendre qu’il ne l’a pas entendu. Ca t’a fait mettre une pause dans ta danse, fermé les yeux pour mieux reprendre le contrôle. « Saloperie. » que tu siffles entre tes dents. Ya même pas de remarque intelligente qui te vient, de jeux de mots bien senti ou même une simple provocation. Rien.

Un danseur, c’est pas censé toucher non plus. C’est pas censé chercher le client au delà de mouvement lascifs. Mais tu te dis qu’il a enfreint les règles, lui - alors tu peux le faire aussi. Alors tu viens t’attaquer à son jean pour mieux l’ouvrir sans le quitter des yeux, pour mieux faire en sorte de te donner accès à ce dont tu as envie depuis le début. Et puis, petit con que tu es, tu viens t’asseoir sur lui cette fois. Finis la distance minimale, finit la danse sensuelle en respectant les règles. C’est assis sur lui que tu te mets à bouger ton bassin, cette fois, à la recherche de cette friction entre vous deux, ton regard venant à nouveau se planter dans le sien.

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évidemment, que tu viens le provoquer, que t'as envie de guetter ses réactions quand tu viens agripper ses fesses à pleines mains. ça t'amuses bien trop, sans que tu ne l'avoues. tu te pinces les lèvres un court instant, savourant le petit bruit s'échappant de tes lèvres. tu l'apprécies, avant de retirer tes mains, venant sagement les reposer sur le fauteuil, observant le blond. peut-être que si t'avais pas ton caractère de merde, t'aurais pu avoir l'air un brin amusé par la situation, mais, non. tu te contentes de le chercher, de lui montrer que c'est toi qui contrôles, ce soir encore. parce que damen, il s'amuse aux rebelles, mais il est tellement facile de le faire plier, oublier son air sûr de lui pour le laisser tomber entre tes doigts. saloperie. tu arques un sourcil face à sa remarque, l'observant quelques secondes, avant de rester silencieux, préférant attendre la suite. ouai, t'es pas non plus envie de tout gâcher, alors que ça part plutôt bien.

damen semble réfléchir quelques instants, ne sachant pas trop comment réagir suite à tes propres mouvements. t'aimes le voir comme ça, un peu paumé, près à craquer. et c'est ce qu'il fait, se redressant pour ouvrir ton jean. tu l'aides en le baissant un peu au niveau de tes cuisses, avant de le laisser s'asseoir sur toi une nouvelle fois. tes mains viennent agripper ses hanches, accentuant ses mouvements sur toi. tu soutiens son regard sans mal, tes prunelles rencontrant les siennes sans jamais vraiment t'en lasser. en même temps, comment tu pourrais te lasser de le sentir se frotter comme ça contre toi ? son bassin bougeant sans plus de retenue. terminé la danse lascive, ça te plaît de l'avoir fait craquer en premier, comme souvent d'ailleurs. tu te redresses un peu - à peine - simplement pour venir agripper sa lèvre inférieure entre tes dents, le provoquant un peu plus.

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T’as craqué ouais. De toute manière, t’as craqué d’avance avec ce mec. Après tout, ça sert à quoi de faire genre alors que, de toute manière, tu vas finir par tout faire pour qu’il s’occupe de toi en bonne et due forme ? À quoi ça t’aurais servi de le chercher encore un peu plus, à part reculer l’échéance et te rendre dingue à cause de l’attente ? T’es pas masochiste, quand même. Souffrir, c’est pas un truc qui te fout la trique. Slade lui, par contre, ça c’est un truc qui te la met bien - dans tous les sens du terme. Alors tu vas pas t’en priver pour quelques minutes ou même quelques secondes de plus. Alors ya ton bassin sur le sien, tes hanches qui bougent sur lui, et toi qui profite de la situation un maximum, jusqu’à ce qu’il ne vienne se saisir de ta lèvre inférieure entre ses dents. Putain ce que tu peux aimer quand il fait des choses comme ça, quand ses dents viennent se saisir de ton corps, le marquer - y laisser ensuite des traces que tu pourras revoir quelques heures, quelques jours plus tard et qui te referont penser à de jolis souvenirs. Tu ne lui as jamais, par contre, et tu ne le feras sans doute jamais. Ya une différence entre avouer que t’as toujours envie de lui et avouer que t’aimes ses marques de possession. T’as rien contre nourrir son égo, mais tu vas pas non plus chercher à ce qu’il explose.

T’as soudainement le besoin de sentir ta peau contre la sienne encore plus qu’à présent. T’as soudainement besoin d’enlever son haut, de le jeter à l’autre bout de la pièce pour pouvoir poser tes yeux sur son torse. Tu peux soudainement plus le supporter, ce vêtement qui t’empêche de mater correctement, de profiter de la vue et du touché. Alors tu glisses tes mains en dessus et tu finis par l’enlever avec urgence, par le balancer à l’autre bout de la pièce sans même y penser à deux fois. Et puis cette fois, tu peux glisser tes mains sur sa peau, laisser tes doigts dessiner les contours de ses muscles, avant de venir glisser ta langue sur sa peau et d’en dessiner le contour avec cette dernière.

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tes dents viennent agripper sa lèvre inférieure, quand son bassin vient bouger contre le tiens. tu agrippes ses hanches, le faisant bouger plus durement sur toi. pourquoi faire les choses à moitié ? tu fermes les yeux un court instant, ton visage à quelques centimètres du sen, vos souffles se mélangeant, avant que tu ne te recules pour te réinstaller contre le fauteuil. ton regard glisse un instant contre le visage de damen, t'aimes le voir comme ça, sans doute un peu perdu, t'en sais trop rien au fond. t'es pas si doué que ça pour découvrir les émotions des gens. c'est pas ton truc de toute manière. tout ce que tu sais lire, c'est le visage du blond bien souvent détruit par le plaisir quand il se retrouve sur toi ou sous toi. ça te plaît, ça. tu te pinces brièvement les lèvres quand il vient glisser ses mains sous ton haut, à même ta peau. tu mentirais en disant que ça ne te donne pas envie de sentir ses mains contre ta peau, plus que ce simple touché. tu fermes les yeux un instant, quand il se débarrasse de ton haut. t'es pressé, on dirait. tu souffles face au blond, quand il se penche sur toi pour lasser sa langue glisser contre ton torse, retraçant le chemin prit par ses doigts quelques instants plus tôt. tu glisses une main dans ses mèches blondes, le décoiffant par la même occasion et te fichant bien de tirer sur ces dernières au passage. un léger souffle s'échappe finalement de tes lèvres, tandis tes doigts traversent son dos, revenant se ficher sous son boxer, caressant presque la chair tendre de ses fesses, l'agrippant sans plus attendre, avançant brusquement son bassin sur toi. t'es pas du genre à être pressé - le blond l'est bien plus que toi - mais tu n'aimes que trop l'allumer et tester ses limites, un peu plus à chaque fois. voir jusqu'où il peut aller avant d'avoir envie de s'asseoir sur ta bite. même si c'est sans doute déjà le cas, quand t'y penses vraiment.

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« T'es pressé, on dirait » qu’il te dit. Et t’as même pas besoin de répondre parce que vous savez tous les deux pertinemment que la réponse est positive. T’arrives à faire ton petit con, t’arrives à chauffer pour attirer l’attention, mais après t’es dans le même état que la personne que t’as séduite, voire pire - et encore plus lorsqu’il s’agit de l’agent de sécurité, de ta putain de kryptonite. Bien sûr que t’es pressé. T’as épuisé ton quota de patience, là. T’as qu’une envie, c’est de le goûter, de le sentir en toi et contre toi. Et alors que ta langue dessine ces muscles que tu adores sentir sous tes doigts et que sa main glisse dans tes cheveux, ça va enfin mieux et tu soupires doucement. T’étais trop occupé à profiter de sa peau que tu le vois même pas venir. Alors t’es surpris, une nouvelle fois, en sentant ses mains se saisir de tes fesses. Ya ton souffle qui se coupe un peu, le temps de quelques petites secondes et un sourire qui se dessine au coin de tes lèvres - un sourire qui se dessine au contact même de sa peau. Il te provoque une énième fois, pour tester tes limites, des limites qui ne sont que très peu évoluées. Parce que t’as déjà envie de s’asseoir sur son membre, t’en crèves - sauf que t’as pas fini de le goûter, t’as pas fini de profiter avant qu’il ne te prenne. Tu veux pas perdre le contrôle et que ça se termine trop vite sans que t’ais eu le temps de faire ce que tu voulais.

oops les stalkers:

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évidemment qu'il est pressé, damen. tu l'es aussi, au fond, sans forcément le montrer non plus. t'as ce truc, toi, pour que personne n'arrive jamais vraiment à savoir ce qu'il se passe au fond de ton esprit. et c'est sans doute pour ça que t'arrives pas à le faire non plus. c'est comme ça, c'est tout. tu le laisses faire glisser ses lèvres contre ton torse, fermant les yeux un court instant.

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