k » kisses (katalina)

(douce), dans tes mots, dans ta gestuelle. t'apparais comme délicate telle une fleur sauvage, telle une fleur fragile. même ta voix l'est, trop douce quand tu t'exprimes. Trop douce qu'elle peut parfois être énervante. Tu énerves, tu horripiles par ton attitude, par cette image trop parfaite que tu rends.
parce que ouais, en plus de cela, t'es (gentille). sans doute un peu trop, que tu te fais souvent avoir. Tu dirais même toujours avoir. T'as le mot gentil.
(souriante), ton sourire illumine ton visage. Ni forcé, ni exagéré. T'es contagieuse dans ton bonheur. Certains diront que t'es celle qui en fait trop. Et pourtant, y a pas que cela. Parfois tu souris, même quand t'es triste, même quand cela va mal.
Parce que t'es (protectrice). Tu tiens aux autres. T'avais pas envie qu'on s'inquiète pour toi. T'en serais alors presque (menteuse) mais pour les bonnes raisons. Parce que tu ne veux pas qu'on s'en fasse pour toi. Parce que tu veux montrer que t'es une femme forte. T'es pas cette pauvre fille de vingt-trois ans à qui on a diagnostiqué un putain de cancer.
Parfois, tu montres ce que tu n'es pas. Tu te valorises parce que t'as envie qu'on te porte de l'attention. T'as ce besoin constant qu'on te voit, qu'on soit là pour toi.
à ce beau tableau déjà parfait, trop parfait, on te qualifierait de (généreuse). Tu donnes avec plaisir, trop. Enfant, t'étais cette gamine rousse qui partageait ton goûter avec celui qui n'en avait pas, tu tendais la main à celui qui venait de se faire pousser.
on te compare à une renarde sur la glace, souvent. Mais parfois, tu sais qu'on t'appelle le requin. Parce que t'es (ambitieuse). Tu cherches toujours la perfection. Tu cherches toujours à t'élever, à atteindre le stade impensable. Mais tu le fais, tu essayes. Tu écrases, avec modestie, dans les règles, tes concurrents.
c'est là qu'arrive tes plus gros défauts, ceux qui viennent ternir ton beau tableau, ceux que tes ennemis n'hésitent pas à te rappeler. T'es (rancunière), gentille mais pas conne. Tu pardonnes mais tu n'oublies pas. Tu pardonnes une fois mais pas deux. Et t'aurais presque parfois une attitude (vengeresse) que tu confines dans ton esprit. Tu franchirais pas le pas. Ou avec subtilité, pas avec grande méchanceté car tu te sens parfois mal quand tu fais du mal aux gens. Plus tard, tu revois toujours leur tête, leur émotion et tu perds la satisfaction d'avoir pu te venger. Alors la plupart du temps, tu ignores, tu gardes tout pour toi. Jusqu'à ce que ça éclate.
(têtue), difficile de te faire changer d'avis. T'écoutes les avis, t'écoutes les arguments, tu débats, t'es indulgente avec les autres mais t'es comme tu es.
c'est pourquoi on pourrait te pardonner ton caractère (jaloux). T'y peux rien, c'est plus fort que toi. T'essaies de pas le montrer mais t'es souvent gaulé, t'es comme un livre ouvert... surtout quand ta jalousie concerne des personnes auxquelles tu tiens.