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 interview with the unknown sister (katalina)

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Message Sujet: interview with the unknown sister (katalina)   interview with the unknown sister (katalina) Empty Dim 16 Déc - 14:55


Katalina & Keziah.
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Ton job. Moins de match de foot en équipe de France, mais toujours présent pour tes frères de combat, va-t-on dire. Tu aimes ce sport, à t’en détruire la santé, sans ce père dans les parages depuis des années pour te pousser, tu l’as fait seul. Tu as toujours pensé au plus profond de toi que tu allais devoir te dépasser pour le faire revenir, qu’un jour il arriverait, qu’il serait là. Durant la coupe du monde, tu y as pensé, clairement. Tu t’es dit que malgré cette belle aventure à vivre, tu pourrais le revoir  et lui dire qu’il n’a pas assez cru en toi. Sans doute.   Tu as toujours hésité entre l’aimer ou le haïr ce père. Lâche est celui qui t’a donné la vie, il a délaissé son enfant à cause d’une maladie et cette femme si magnifique qui s’est vu brisé. Elle aurait pu te haïr elle aussi, tu es la raison pour laquelle il avait fui, mais elle fût qu’amour comme toujours. C’est ton cœur qui vibre quand tu penses à elle, cette femme courageuse, prête à tout donner pour que son bébé puisse enfin avoir  la vie qu’il mérite. Elle te l’a dit plus d’une fois avant de devenir professionnelle, tu peux tout abandonner, plus personne ne te force. Mais ce sport, le football c’était ta vie, tu pensais le faire pour le paternel, mais c’était bien plus, tellement plus. Alors, venir pour une première fois affronter des personnes et parler de ta maladie à la télévision, tu ne pensais pas le faire, et pourtant c’est le témoignage d’un jeune gars qui t’a fait le déclic, ce sentiment de honte, tu l’avais ressenti, approfondit par des mots horribles de cet homme, laissant ce même mal être grossir par sa bêtise. Alors, venir en parler, raconter le parcourt que tu avais eu était une bonne chose. Tu n’étais pas le seul invité, mais tu avais déjà rencontré la jolie blonde : Katalina. Quelques mots échangés en France ou ailleurs, dans des Galas invitant les sportifs ou des personnes engagés dans la vie des autres. Tu n’avais pas eu le temps de lui parler avant, vous vous étiez que rapidement croisé, faut dire que tout était très speed, dans ce genre de plateau avec public. Le trac, bien plus que si tu étais sur un terrain de foot, prés à t’élancer dans un élan pour marquer un pénalty décisif d’un match.  «    Bonjour, je suis avec Katalina Sewell et Kéziah Maynard. Deux sportifs très apprécié et tous deux très performants.  » Tu souris, le trac toujours présent. Tu laisses la journaliste vous présentez et parler de la coupe du monde ou encore du fait que tu sois toujours célibataire. Et comme toujours tu n’as rien  n’à déclarer sur ce sujet. «  Toujours rien à dire !  »   Tu souris puis tu regardes le public qui rit et tu déposes tes prunelles sur Katalina à qui on vient de poser une question.

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Message Sujet: Re: interview with the unknown sister (katalina)   interview with the unknown sister (katalina) Empty Ven 28 Déc - 0:28


Katalina & Keziah.
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Ta blondeur passant les portes du grand bâtiment d'une des célèbres chaînes d'actualités, tu ne savais pas encore si c'était une bonne idée. Encore à cet instant, alors que tu montrais ta carte d'identité à l'accueil, t'hésitais à faire demi-tour. T'avais hésité à accepter l'invitation pour aujourd'hui. Pesant le pour et le contre. Evidemment, pour toi, il y avait bien plus de contre que de pour. Et pourtant, tu étais là. Tu ne savais pas réellement ce qui t'avait pousser à le faire, accepter, à venir. L'engagement, sans doute. Tu détestais te défiler alors que tu t'étais engagée envers quelqu'un mais pour autant, tu demeurais incertaine. T'avais pourtant toujours été à l'aise avec les caméras, avec les gens. Aujourd'hui, c'était différent. Aujourd'hui, après des mois d'absences, t'acceptais ta première interview et logiquement, tu craignais certaines questions. Les plus poussées. Celles qui pourraient te tendre des pièges, te menaient dans un chemin que tu ne souhaitais emprunter. Parce que oui, aujourd'hui, tu n'étais toujours pas certaine de vouloir que les gens savent pour toi. Pour le public, pour tes supporters, tu t'étais absentée pour une blessure, pas grave mais longue à traiter. Pour tes plus proches amis, pour ta fille (ou du moins ce qu'il en restait), t'étais en arrêt parce que t'étais malade, gravement... Plus le temps de réfléchir, de prendre tes gens à ton cou, tu te retrouvais assise sur un des fauteuils. Tu soupirais discrètement, comme pour te donner du courage. Ce qui aurait pu marcher, si tu n'avais pas vu arriver un certain homme, celui que tu recherchais depuis quelques temps. Celui qui, comme par magie, te tombait du ciel. Celui qui était ton demi-frère sans le savoir. Un salut de tête, il s'installe non loin de toi. Et comme d'habitude, tu pouvais pas t'empêcher de l'observer à la dérober. Après votre côté sportif de haut niveau commun, tu ne pouvais t'empêcher de chercher encore et toujours les traits de ton père, recherchant vos similitudes. L'émission ou l'enregistrement commence, tu ne sais même pas si c'est en direct, tu t'obliges à détourner le regard, pour le déposer sur la journaliste vous présentant et commençant son sujet. Petite réponse désinvolte de ton cher demi-frère-pas-au-courant, tu regardes le public rire. Toi, t'as qu'un petit sourire contrit quand c'est ton tour. "Vous savez, les histoires de coeur d'une jeune femme..." à ton tour d'être désinvolte sur le sujet à coup de petit geste de la main comme si tu plaisantais alors qu'au fond, ton cœur est tout aussi meurtri à ce sujet. Ca passe crème et t'as presque peur qu'elle se mette à vouloir jouer les entremetteuses entre vous à ce rythme. Eurk, Kéziah et toi, quelle horreur... Heureusement, la journaliste passe rapidement au coeur du sujet et malheureusement pour toi, c'est pour ta pomme. Alors, dites-nous Katalina, vous êtes en pause depuis... commence la brunette. 14 mois. tu réponds à sa question avec un petit hochement de tête avant qu'elle ne te demande de confirmer la cause de cette absence. Une déchirure, c'est bien cela. Du tendon. Rien de bien grave, c'est sûr mais vous comprenez que quand on chausse des patins, les pieds sont importants. Mon instrument est mon corps avec ses patins, comme Kéziah l'a avec le sien et le ballon. J'en ai profité pour faire une petite pause, profiter un petit peu de mes amis et ma famille. tu souris doucement, incluant l'homme à tes côtés dans la conversation, comme si cette mention pouvait détourner la journaliste de ton attention. Justement Kéziah, parlez-nous un peu vos matchs passés sur le banc ? outch, toi-même, à sa place, t'aurais pas aimé ce genre de question.
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Message Sujet: Re: interview with the unknown sister (katalina)   interview with the unknown sister (katalina) Empty Dim 6 Jan - 17:30


Katalina & Keziah.
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Tu étais pas très sûr de toi dans le fait d’en parler, de parler de ta maladie, tu as les mots de ton père gravé en toi, et autant dire que c’est plutôt compliqué pour toi de ne pas craquer sous la pression. La même pression qui fait que tu succombes aisément à la maladie. Une maladie mentale, une maladie qui fait de toi un taré ? T’en sais rien. Tu le sais pourtant qu’il faut que tu fuis les mots, les dires d’un père qui n’a été que fantôme et qu’il est encore plus à présent. Tu cherchais à te rassurer autrement de cet interview, de ce cœur que tu allais ouvrir face à tout le monde, que tu allais laisser tes sentiments, ton mal être s’éparpiller aux yeux de tous. Tu étais déjà plutôt content de ne pas être le seul, mais surtout heureux, que la jeune femme t’accompagnant dans cette aventure était une personne que tu avais déjà rencontré. Une petite douceur, une jeune femme que tu avais relativement appréciée lors de vos rencontres. Tu tentais d’oublier la voix de ton père, oubliant la même occasion de ce que tu faisais pour approcher ton frère, savoir comment lui avait pu vivre avec ce père, un homme si loin d’être aimant, sauf quand cela l’arrangeait. Tu te concentrais tout bonnement sur la femme posant des questions, répondant de ton mieux, le trac tracassant ton être tout entier, les jambes qui dansaient, tes doigts qui jouaient ensemble. On te l’avait dit, ne laisse rien paraître, mais tu ne peux pas, t’es pas un robot, les émotions t’ont comme prit à la gorge, coincée dans le mal qui te foudroie. Puis la première question est la même, comment se passe les amours. À croire que c’est le plus important, toujours. Cette question est la seule que tu entendes à chacun des interrogatoires qu’on te fait, tu n’es pas le seule à devoir répondre. La belle blonde en fait autant, ce qui te fait sourire, sa réponse est comme la tienne incomplète et secrète, laissant vos jardins amoureux secrets. Tu écoutes Katalina qui répond à la première question pour elle, tu acquiesces d’un sourire et hochement de tête le fait que votre corps est important pour le sport de haut niveau. L’instrument d’une vie, le mentale en fait aussi parti, parfois on pense que c’est le corps, alors que c’est juste le mentale qui bloque, pas seulement ta maladie, tellement d’autre, la peur d’être à nouveau blessé, de ne plus être à la hauteur. C’est complexe, pour être bon faut le mentale et le corps en parfait état et tout problème sont pris à bras le corps quand il le faut, comme pour toi. «    Notre corps est la chose la plus importante ainsi que le mentale, sans ces deux choses ont ne peut rien faire, bon dans mon cas, l’équipe et l’esprit est important !  »  Que tu ajoutes à ses propos, alors qu’une question fini par t’atterrir dessus, en tout cas tu deviens de plus en plus détendu, la boule au ventre s’en allant petit à petit. T’as jamais été aussi mal pour une interview, toujours là pour rire, mais tu le sais, y a un sujet particulier que tu vas aborder.   «    Bin écoutez ça se passe bien !  »  Tu te doutes qu’elle veut en savoir plus. «    ça me manque c’est sûr de ne pas être avec mes potes sur le terrain, de vivre la joie que les spectateurs nous donnent et qu’on tente de leur redonner en retour en faisant de notre mieux, en donnant le maximum à nos publics.  »  Tu souris. «    Mais si je suis sûr le banc c’est pour une bonne raison vous savez !  »  Tu souris, puis tu t’attendais à ce qu’elle rétorque, ce qu’elle fait. «    Donc vous affirmez que vous êtes sur le banc pour une raison ? Non, car on sait que votre collègue Diaz est sur le banc à cause de sa cheville après s’être blessé, mais vous  quelle est la raison !  »  La nausée qui vient te tirailler, tu sais toi pourquoi, ton équipe aussi, mais tu avais demandé à ce que cela soit caché, mais tu le sens, tu le veux, affronter les regards. «    Et bien je suis cloué sur le banc pour une maladie qui m’empêche d’être sur le terrain.  »   «    Ah oui laquelle ?  »  Elle savait que tu allais annoncer quelque chose, mais elle ne sait pas quoi. Alors, elle te saigne, elle te pousse, te piquant ce qui est déroutant dans le fond. «    Je suis atteint d’anorexie mentale …  »  ta voix s’est comme écourté dans le temps, le son est posé sur muet, plus rien ne sort de ta bouche, tu es comme bouche-bée et tu n’as pas l’air d’être le seul.

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Message Sujet: Re: interview with the unknown sister (katalina)   interview with the unknown sister (katalina) Empty Mar 8 Jan - 0:06


Katalina & Keziah.
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ça te surprend, littéralement. au même titre que la journaliste, tu le regardes un instant sans bouger. d'ailleurs, lui-même ne bouge pas, comme s'il venait de se rendre compte de ce qu'il venait de balancer. là comme ça, dans une interview, face à une journaliste. tu ne doutais pas de la douceur de cette jolie demoiselle ou du fait qu'elle pouvait peut-être être une bonne personne. mais tout de même. lui comme toi, vous connaissiez ce putain de monde des journalistes. celui qui n'aidait personne. tel un homme à terre, au sol ou le genou plié, ils vous écrasaient de plus belle. juste pour se frotter les mains. comme des rapaces, comme des assoiffés de sang. et là, kéziah, ton demi-frère-secret venait de leur offrir sa maladie comme le père Noël offrant un cadeau à un gosse, comme un homme tendant lui-même le couteau qui allait le tuer quelques instants plus tard. tu le regardais et tu te rendais compte que putain, même ton demi-frère était mal en point. t'étais venue comme une arriviste dans l'optique de lui demander un service, et pas qu'un petit service et voilà que t'apprenais cela. t'avais des pensées égoïstes et tu détestais cela, bordel. t'étais pas comme cela habituellement, c'était cette foutue maladie, la tienne pour le coup, qui te rendait bien différente. et tu sais pas cqui te prends, tu t'entends parler sans avoir réellement réfléchie. "et j'ai été trompée par mon petit-ami l'année dernière." tu balances ça, brisant le silence. parce que tu tentais de sortir de ce foutu merdier un demi-frère qui n'était même pas au courant pour toi, en révélant une chose strictement intime et douloureux de ta vie. tu savais que ça allait jaser, presque autant que sa maladie à lui mais ses enfoirés de journalistes aimés tout autant les histoires de cul. ça avait déjà jasé à l'époque, quand on ne vous aviez plus vu ensemble. leto t'avait trompé, tu l'avais gardé pour toi. jusqu'à aujourd'hui. "enfin.. c'est rien comparé à ce qu'à kéziah. tu es très courageux de l'avoir dit d'ailleurs... " t'as ce regard pour lui, cette main qui tremble légèrement sur son avant-bras quand tu la poses sur lui. pour lui témoigner ton soutien. ou pour toi même t'en donner. beaucoup plus courageux que moi, putain. tu préfères balancer sur ton ex plutôt que d'avouer à ton tour que t'es malade, gravement malade. "mais c'est le cas, c'est une des raisons de pourquoi je me suis éloignée de la glace... et maintenant que vous le savez, autant que vous connaissez à présent la maladie de kéziah, on aimerait ne pas être embêtés par divers questions sur le sujet, ni même harcelez par quiconque." t'as ce petit sourire, le faux, pour la journaliste mais aussi et surtout pour les caméras. laissez-nous tranquille bande de charognards. t'as le sourire, ouais mais t'en mènes pas large... t'as le coeur qui raisonne atrocement dans le crâne, le coeur au bord des lèvres. tu viens de remettre le feu de projecteur sur toi. mais aussi sur leto. sur votre ancienne histoire. bordel, qu'est-ce que j'ai fait ?

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Message Sujet: Re: interview with the unknown sister (katalina)   interview with the unknown sister (katalina) Empty Sam 19 Jan - 23:34


Katalina & Keziah.
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Tu le sais que tu allais lancer tout cela, tu y avais songé, longuement, tu avais échangé avec ton manager et tout. Tu sais que tu pourrais jouer gros, mais le fait d’avoir le soutient de tes coéquipiers de l’edf ça te convenait, même le sélectionneur, car c’est une maladie qui ne t’empêche pas en soi de jouer. C’est juste du repos que tu mérites, dont tu as besoin pour te centrer sur toi. Même si c’est complexe, par exemple revoir India t’as aidé, bien plus que la jeune femme ne pourrait le penser. Pinçant tes lèvres, tu sens ton organe central s’emballer, comme ci tu ne pouvais plus rien contrôler et c’est le cas. Tu n’as plus la parole, tu peux pourtant la prendre, mais à quoi bon ? Tu as l’impression que tes oreilles sifflent, qu’elles commencent à entendre les regards, oui les regards, ces derniers sont là pour juger, d’autre pour t’attendrir, tu finis par perdre le contrôle et tu vas couler, sans même pouvoir te raccrocher à une bouée qui pourrait te sauver. Ça sonnait mieux dans ta tete, l’annonce était mieux aussi. Mais là c’est juste sorti, comme un grand boum surprenant avec effroi une population. Et c’est toi cette bombe, cette voix qui vient de faire taire les hommes et femmes pouvant te voir, toi t’as juste le cœur chamboulé ainsi que l’esprit. Autant dire que tu ne t’attendais pas aux mots de Katalina, qui te retourne le cerveau. Comme ci ta propre situation, bien à toi avait donné cet envie de tout dire, de ne plus laisser de part d’ombre, de pas laisser ta vie aux mains d’anonyme qui jugent, qui tape comme des bourrins sans même se dire que toi, comme bien d’autre vous avez droit à vos petits secrets, votre vie intime, mais vous êtes connus ce qui revient à laisser une fenêtre voire une porte ouverte sur tous les aspects de vos vies. Tu la regardes la rousse, elle est étonnée de ses propres paroles, sans doute pas prête à dire cela, à dire qu’elle a été bafoué dans le fond. Les hommes te déçoivent beaucoup trop, ils jouent, et mettant à mal des âmes sans même sans soucier, toi tu es bien trop fidèle, féal que tu es. Peu importe ce qui se passe tu n’as que l’impression que seule India sera la parfaite à tes yeux, parfaite pour ton cœur, malgré son absence. Puis elle te parle, tu te sens gêné puis sa main sur ton avant bras, te fait sourire, tu y disposes avec douceur ta main sur la sienne.   «  il a été idiot ! »   Pas la première fois que tu la croises la jolie rousse, non et autant dire qu’elle a l’air génial, certainement pas ta India, mais elle est pas mauvaise, que ce soit visuellement ou bien mentalement . Oui tu restes un homme malgré tout. Petit bout de femme,  qui prend comme ta défense, demandant de ne pas nous emmerder, car tu le savais, ça allait être les retombés de tout cela, mais peu importe, tu le sais la demande de la rousse ne seront pas écoutez, il ne faut pas trop en demander à tous ces vautours. «  Je tiens à ajouter que ce n’est pas une honte cette maladie, j’ai longuement cru cela après l’avoir entendu de la bouche de mon père, mais pour ceux qui en sont atteint, ne vous en faîtes pas , ça ne fait pas de vous des personnes moins bien, tout au contraire, vous avez la même valeur que toutes les autres personnes présentes sur cette terre, alors gardait la tête haute et n’hésitez pas à affronter cela avec vos proches, certains vous décevront et d’autre seront de véritable bouffée d’air frais. »   toujours elle. India. «  Je me sens presque gênée de poser des questions après votre discourt Katalina, mais je vais quand même poser des questions, mais sentez vous libre de ne pas y répondre, en tout cas ça sera la dernière pour cet interview ! »   Elle reprend son souffle, comme si elle-même était soufflée par toutes ces vérités. «  Alors, pensez vous tous les deux reprendre vos sport ? Et puis pourquoi avoir confié cela votre maladie pour vous Keziah et vous votre situation amoureuse ? »   Les opales déposés sur la belle rousse.


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Message Sujet: Re: interview with the unknown sister (katalina)   interview with the unknown sister (katalina) Empty Jeu 31 Jan - 12:13


Katalina & Keziah.
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c'est le bourdonnement dans tes oreilles, la sensation de mal être dans le corps, tu ne te sens pas bien. t'es paralysée de ce que tu as dit. presque honteuse. idiote. tout ça pour apporter une espèce de soutien à un mec qui ignore complètement qui tu es, qui ne sait même pas que sa demi-soeur se tient à ses côtés. ça fait psychopathe limite. t'es là à le regarder, tout le temps. à te demander comment il t'accepterait. comment vous vous entendriez s'il était au courant. si vous partageriez des moments ensemble à essayer de rattraper le temps perdu en critiquant un mort. ou alors, est-ce qu'il t'enverrait chier ? sans doute. c'était bizarre. mesquin ta manière de faire. mais tu ne savais pas vraiment comment faire. tu ne te voyais pas arriver devant lui et lui sortir un oh fait, je suis ta demi-soeur. on a le même connard de père. c'est quoi ta couleur préférée ? c'était impensable. mais plus le temps passé, plus tu t'enfonçais dans le mensonge. et t'en venais à faire des conneries. à parler de leto. idiotement, t'espérais qu'il n'entende jamais parler de ça. mais c'était impossible. il le saurait, sans doute même dans la minute même où ces images seraient diffusés au monde entier. et encore d'une manière idiote, énervante, t'en venais à t'en vouloir de lui faire du tort. amusant n'est-ce pas ? tu te claquerais toute seule. et ce n'est qu'un sourire qui répond à ton demi-secret secret qui décrit le hockeyeur comme idiot. ce n'est pas le mot que tu emploierais, ce serait bien plus dur mais t'es d'accord.
l'interview continue. kéziah revient sur sa maladie, sur son père, votre père et ton corps se fige sur le coup. sérieusement papa ? ça te retourne le coeur ce qu'il déclare, ces paroles qu'il lie à votre père. cet homme t’écœure bien plus encore. parce que toi aussi, tu te souviens de cette lueur dans son regard quand tu lui as annoncé ta maladie. il n'a rien mais t'as vu, t'as su. il n'y avait pas besoin de mot. déjà qu'il n'était pas vraiment présent pour toi, tu le voyais qu'une chose venait de changer. puis il est mort. puis t'as pleuré sa mort comme une bonne petite fille, une femme trop en attente d'attention qui aimait malgré tout son père. pour ça. pour réaliser à quel point, votre géniteur était un enfoiré de première... tu dis rien pendant son allocution, trop sonnée, jusqu'à ce que la voix de la journaliste te réveille. tu te décides de répondre pour vous deux. juste pour vous faire remarquer que l'on est des êtres humains comme les autres. t'as un sourire faux, un petit soupir à tes mots. on a des problèmes comme tout le monde, des peines de cœur, des différends avec certaines personnes, plus grave des maladies comme n'importe qui. si on s'absente de nos passions, si on est moins présent, c'est pour une bonne raison. pas souvent des meilleurs mais c'est comme ça. c'est la vie. tu conclues avec cette même expression sur le visage. l'interview dure encore quelques minutes. la journaliste interroge kéziah sur les pronostiques pour les prochaines qualifications, passe à toi sur ceux concernant les prochains jo avant qu'elle ne conclue tout cela en vous remerciant. c'est terminé et t'as qu'une envie, te sauver. le plateau se remet en mouvement après l'annonce et tu descends de ta chaise, déjà en chemin pour récupérer tes affaires, t'accordes d'ailleurs peu d'attention à ton demi-frère. non pas par impolitesse mais juste parce que tu es secouée. juste parce que tu es secouée par ce qu'il s'est passé, ce que tu as dit, ce que tu as appris. et c'est là que tu te dis que tu ne pourras jamais lui dire, ni jamais lui demander de faire ça pour toi, de t'aider à guérir.

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