Sujet: Re: l'un part l'autre reste - Warston Jeu 8 Nov - 18:40
L'un part, l'autre reste
Warston
« with these hungry eyes, one look at you and i can't disguise, i've got hungry eyes, i feel the magic between you and i. i want to hold you so hear me out, i want to show you what love's all about, darling tonight, now i've got you in my sights. »
Elle était tout simplement horrible avec lui, elle était tout simplement en train de le tuer, de prendre son cœur, lui arracher de la poitrine et jouer avec. C'était comme si elle était en train de le serrer tellement fort entre ses doigts, comme si elle le maltraitait, comme si ce n'était qu'un vulgaire jouet pour elle. Et les mots qu'elle emplois, qu'elle utilise contre lui, c'est tellement douloureux. Il encaisse, il essaie même de la contrer en espérant qu'elle change d'avis ou qu'elle lui dise réellement ce qui ce passe pour avoir changé d'avis de cette façon. Il ne comprend pas et elle ne veut pas lui expliquer, elle lui balance juste des horreurs en espérant que ça suffise pour le dégoûter, ou peut être l'achever tous simplement. Plus elle lui sort des arguments moins il arrive à savoir si elle lui ment ou si au contraire elle dit vrais ... Elle lui avait dit qu'elle l'aimait uniquement parce qu'elle voulait qu'il arrête d'être jaloux. Mais bon sang ça ne lui ressemblait tellement pas de faire une chose pareil ! Elle lui aurait dit tout simplement ! Elle n'avait jamais eu besoin de lui mentir et ce n'était pas maintenant qu'elle allait commencer. Mais tous ce qu'elle disait n'était tellement pas crédible à ses yeux ! C'était comme si il faisait fasse à une pâle copie de la femme dont il est tombé amoureux. - Mais arrête ! Tu n'as jamais eu besoin de mentir sur quoi que ce soit ! C'est pas toi ! Non ce n'était pas elle ou plutot elle n'agissait pas d'elle même, pas de la propre volonté ! Ce n'était pas possible autrement ! Mais pourtant elle finit par trouver les arguments qui font mal, ceux qui finissent de le briser. Il finit de tomber à terre et c'était comme si elle ce faisait un plaisir de l’abattre alors qu'il était au sol. Elle lui fait comprendre qu'il n'est rien pour elle, juste un minable petit passe temps qu'elle à prit pour maintenant le jeter sans ménagement. Elle était en train de le tuer, laissant ce trous béant en centre de sa poitrine alors qu'il peine à ce maintenir en vie. Il l'aime ... mais plus rien ne semble l'atteindre, ses mots n'ont pas d'impact sur elle, au contraire, elle s'en sert pour les retourner contre lui et lui faire un peu plus de mal. Est ce qu'il souffre ? Oui ! Alors qu'elle lui ordonne presque de ne plus chercher à la voir. Elle prenait même la fuite, comme si rester auprès de lui était bien trop difficile. Pourtant, il n'est pas décidé à la regarder partir comme ça même si elle vient de l'achever, il voulait juste vérifier une dernière chose. - Isabella ! Il était déjà derrière elle et lorsqu'elle ce retourna vers lui, il profita de cette occasion pour lui voler ce qui serait sans doute leur dernier baiser. Si ce qu'elle disait était vrais ... alors elle ne prolongerait pas par contre si elle mentait, il allait très vite le savoir.
Sujet: Re: l'un part l'autre reste - Warston Jeu 8 Nov - 19:16
♛ L'un part, l'autre reste.
Je rêve son visage, je décline son corps Et puis je l'imagine habitant mon décor J'aurais tant à lui dire si j'avais su parler Comment lui faire lire au fond de mes pensées? Mais comment font ces autres à qui tout réussit? Qu'on me dise mes fautes, mes chimères aussi Moi j'offrirais mon âme, mon cœur et tout mon temps Mais j'ai beau tout donner, tout n'est pas suffisant S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer Je ferais de ce monde un rêve, une éternité...
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Elle est en train de le tuer, peut-être, mais c’est pour mieux le maintenir en vie. Tout ce qu’elle veut, c’est le sauver des griffes de l’homme qu’elle a épousé. Elle, elle ne peut pas lui échapper, il la tient, mais elle refuse de faire plonger Nikolaï avec elle. Elle refuse de le mettre en danger, il en est hors de question. Elle connaît le pouvoir de Luke mieux que personne. Elle sait qu’il a les moyens de le faire disparaître en un claquement de doigts s’il le veut et, jamais, elle ne l’en aurait imaginé capable. Mais il lui a fait si peur ce soir… Trop peur pour qu’elle ne prenne pas la menace au sérieux. Elle ne veut pas risquer la vie de l’homme qu’elle aime, ni même l’entacher, ou lui porter un quelconque préjudice. Elle tient beaucoup trop à lui pour faire une chose pareille. Et puis, c’est d’Isabella qu’il s’agit. Elle a toujours fait passer ceux qu’elle aime avant elle, ce n’est pas avec lui qu’elle compte faire le contraire. Alors peut-être qu’elle le fait atrocement souffrir, peut-être qu’elle le torture autant qu’elle se torture elle-même. Mais il s’en remettra… Il est fort, il est courageux. Il a vécu des douleurs incommensurables, déjà, et s’en est remis. Il se remettra d’elle également. C’est avec cette idée ancrée en tête qu’elle trouve la force nécessaire pour vouloir le blesser, le blesser tant qu’il n’aura plus jamais envie de la voir. Il est pourtant tenace, Nikolaï. Plus encore qu’elle le croyait. Il tente de la contrer, encore et encore, il essaie tout ce qui est en son pouvoir pour lui faire retrouver ses esprits. Mais, peu à peu, il perd ses mots. Comme s’il commençait à y croire enfin, comme si… Comme si elle avait réussi à le briser suffisamment pour qu’il abandonne. Cette pensée est censée la soulager mais, là tout de suite, elle sent juste son cœur se tordre. Elle a mal, tellement mal. Elle a l’impression qu’elle n’a plus d’air. Qu’elle ne peut plus respirer, qu’elle ne peut plus vivre. Elle a la sensation de s’arracher une partie d’elle-même. Mais, finalement, il rend les armes. Elle commence à s’éloigner, lentement, le corps qui peine à la porter. Quand elle entend son prénom. Elle ne devrait pas, elle sait qu’elle ne devrait pas, mais le réflexe arrive si vite qu’elle agit avant de réfléchir. Elle se tourne vers lui, lui qui s’empare de ses lèvres dans un baiser qu’elle n’attend pas. Comment… Comment peut-il encore l’embrasser après toutes les horreurs qu’elle lui a dites ? Après toute la cruauté dont elle a fait preuve ? Tout son être réagit au contact de Nikolaï, tout son être l’appelle. Mais elle se souvient de la photographie du jeune homme, celle que Luke a reçu moins d’une heure auparavant. Plus que le risque que son amant comprenne, elle redoute qu’un sbire de son mari puisse la voir embrasser l’homme qu’elle est contrainte de quitter. Elle a trop peur pour lui. Alors elle n’attend pas plus d’une demi-seconde pour se reculer brusquement. Les larmes qui lui montent aux yeux, à Isa. Elle n’a pas pleuré depuis l’âge de quatorze ans, elle n’a plus pleuré une seule fois depuis la mort de sa mère. Elle n’y arrivait plus. Elle devait juste avoir le cœur brisé en mille morceaux. – Au revoir Nikolaï. laisse-t-elle échapper dans un murmure à peine audible, pour éviter que sa voix ne la trahisse plus que ses yeux brillants ne l’ont fait. Et, cette fois, elle n’attend pas une seconde de plus pour partir… S’éloigner vite de la seule personne dont elle aurait besoin en cet instant.
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Sujet: Re: l'un part l'autre reste - Warston 
Jeu 8 Nov - 18:40
Elle est en train de le tuer, peut-être, mais c’est pour mieux le maintenir en vie. Tout ce qu’elle veut, c’est le sauver des griffes de l’homme qu’elle a épousé. Elle, elle ne peut pas lui échapper, il la tient, mais elle refuse de faire plonger Nikolaï avec elle. Elle refuse de le mettre en danger, il en est hors de question. Elle connaît le pouvoir de Luke mieux que personne. Elle sait qu’il a les moyens de le faire disparaître en un claquement de doigts s’il le veut et, jamais, elle ne l’en aurait imaginé capable. Mais il lui a fait si peur ce soir… Trop peur pour qu’elle ne prenne pas la menace au sérieux. Elle ne veut pas risquer la vie de l’homme qu’elle aime, ni même l’entacher, ou lui porter un quelconque préjudice. Elle tient beaucoup trop à lui pour faire une chose pareille. Et puis, c’est d’Isabella qu’il s’agit. Elle a toujours fait passer ceux qu’elle aime avant elle, ce n’est pas avec lui qu’elle compte faire le contraire. Alors peut-être qu’elle le fait atrocement souffrir, peut-être qu’elle le torture autant qu’elle se torture elle-même. Mais il s’en remettra… Il est fort, il est courageux. Il a vécu des douleurs incommensurables, déjà, et s’en est remis. Il se remettra d’elle également. C’est avec cette idée ancrée en tête qu’elle trouve la force nécessaire pour vouloir le blesser, le blesser tant qu’il n’aura plus jamais envie de la voir. Il est pourtant tenace, Nikolaï. Plus encore qu’elle le croyait. Il tente de la contrer, encore et encore, il essaie tout ce qui est en son pouvoir pour lui faire retrouver ses esprits. Mais, peu à peu, il perd ses mots. Comme s’il commençait à y croire enfin, comme si… Comme si elle avait réussi à le briser suffisamment pour qu’il abandonne. Cette pensée est censée la soulager mais, là tout de suite, elle sent juste son cœur se tordre. Elle a mal, tellement mal. Elle a l’impression qu’elle n’a plus d’air. Qu’elle ne peut plus respirer, qu’elle ne peut plus vivre. Elle a la sensation de s’arracher une partie d’elle-même. Mais, finalement, il rend les armes. Elle commence à s’éloigner, lentement, le corps qui peine à la porter. Quand elle entend son prénom. Elle ne devrait pas, elle sait qu’elle ne devrait pas, mais le réflexe arrive si vite qu’elle agit avant de réfléchir. Elle se tourne vers lui, lui qui s’empare de ses lèvres dans un baiser qu’elle n’attend pas. Comment… Comment peut-il encore l’embrasser après toutes les horreurs qu’elle lui a dites ? Après toute la cruauté dont elle a fait preuve ? Tout son être réagit au contact de Nikolaï, tout son être l’appelle. Mais elle se souvient de la photographie du jeune homme, celle que Luke a reçu moins d’une heure auparavant. Plus que le risque que son amant comprenne, elle redoute qu’un sbire de son mari puisse la voir embrasser l’homme qu’elle est contrainte de quitter. Elle a trop peur pour lui. Alors elle n’attend pas plus d’une demi-seconde pour se reculer brusquement. Les larmes qui lui montent aux yeux, à Isa. Elle n’a pas pleuré depuis l’âge de quatorze ans, elle n’a plus pleuré une seule fois depuis la mort de sa mère. Elle n’y arrivait plus. Elle devait juste avoir le cœur brisé en mille morceaux. – Au revoir Nikolaï. laisse-t-elle échapper dans un murmure à peine audible, pour éviter que sa voix ne la trahisse plus que ses yeux brillants ne l’ont fait. Et, cette fois, elle n’attend pas une seconde de plus pour partir… S’éloigner vite de la seule personne dont elle aurait besoin en cet instant.