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Message Sujet: Re: Blurred lines | ATLAS   Blurred lines | ATLAS - Page 2 Empty Mar 16 Oct - 9:37


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@Atlas Mclaren

« Parce que tout le monde prend des pincettes avec moi ces derniers temps et qu’un peu de sincérité est la chose qui me ferait le plus de bien !! » Réplique t-il alors que je lui demande pourquoi je devrais avoir une mauvaise image de lui, une image de grincheux et exécrable alors que je ne le pensais pas le moins du monde et qu'il ne m'avait donner que là aucune raison de penser cela de lui. C'était même le contraire. J'appréciais sa compagnie même si cette entrevue provoquait d'étranges réactions chez moi. Réactions que j'avais du mal à comprendre encore. Je le regardais, l'écoutant attentivement. Il n'avait pas besoin d'en dire plus. Je devinais aisément les raisons du changement de comportement des autres envers lui. Il avait tout perdu il y a quelques mois à peine. J'imagine que les gens ne voulaient pas le blesser mais ne savaient simplement pas quoi lui dire, ni quoi faire. Même moi, je marchais sur des œufs, ne voulant pas faire de gaffe mais je n'en restais pas moins honnête dans mes paroles. Je glissais une mains sur ma barbe de quelques jours. " J'imagine qu'ils ne pensent pas à mal ... Ils essaient d'être compatissant, même si ils ne s'y prennent pas de la bonne manière avec vous. Ne leur en veuillez pas. " Lui dis-je, haussant les épaules, ne voulant pas nous entrainait sur la pente glissante qu'était les souvenirs de la soirée de notre rencontre. " En tous cas, je vous promet d'être honnête et de vous le dire si vous devenez un parfait emmerdeur. Ca vous convient ? " Lui dis-je en esquissant un léger sourire. Je fus surpris et amusé quand il m'apprit apprécier plus le thé que le café. Au fond de moi, j'étais heureux d'en apprendre plus sur lui même si c'était simplement de connaître la réponse à cette question futile qu'était sa préférence entre le café et le thé. D'ailleurs, je n'aurais jamais devinez. « C’est meilleur pour la santé que l’on dit… » Me dit-il avec un sourire. " J'imagine que c'est pareil pour tout, il ne faut pas en abuser non plus. " Répondis-je, amusé. Voilà qu'on parlait thé maintenant. De mieux en mieux. Il se trouva ensuite qu'on apprécier tout les deux le même genre de thé et cela me réjouit, sans que je comprenne pourquoi cela me faisait autant plaisir. J'imagine que c'était une information de plus à ranger dans la boite de mon esprit qui lui état dédier et qui allait rejoindre ce que je savais d'autre sur lui. Atlas Mclaren, pilote, hétéro, riche, beau, ayant perdu la femme qu'il aimait et leur enfant à naitre dans un accident, aime le thé Earl Grey. Voilà tout ce que je savais de lui et je ne pouvais m'empêcher d'avoir envie de rallonger cette liste, de remplir cette boite jusqu'à ce qu'elle déborde.

On se dirige alors vers la salle de repos. Sur le trajet, je sens qu'on m'observe, qu'il m'observe et je fais de mon mieux pour ne pas réagir. Je me sers donc un café, ajoutant du sucre en même temps que je pose tout un tas de question les unes après les autres, trop embourbé dans cette envie d'apprendre à le connaître pour me retenir même si mes question reste basique mais j'ai le sentiment que c'est ce qu'il veut. Je finis par m'en excuser, prônant ma curiosité comme mon grand problème et en lui disant que j'étais impressionné par ce qui nous entourait. « Aha… non, ne vous arrêtez pas, ça fait du bien de parler d’autre chose ! Puis j’ai toujours pensé que la curiosité était un sacré atout. Ne changez pas ça !! » Je ne pu retenir un ricanement et un sourire en coin. Je bu une gorgée de café avant de répondre." Très bien. A vos risques et périls alors. " Lançais-je spontanément. Peu être un peu trop et je prenais une nouvelle gorgée de café pour ne pas m'enfoncer plus que je ne le faisais déjà. C'était affligeant. « Et oui… affaire familiale, et encore ici n’es qu’une minuscule pierre à l’édifice !! Ça peut faire peur, mais on a étaient élevé dans le but de reprendre l’affaire. Chacun son domaine... » Je souris simplement en l'écoutant et hochais la tête, d'accord avec lui. " Rien n'est plus gratifiant que de faire ce qu'on aime, ce pourquoi on est fait. " Lui dis-je. Il semblait vraiment à l'aise ici. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'il paraissait apaisé mais clairement dans son élément. Et c'était plutôt sympa à voir. « Et… non désolé de vous décevoir, aha, pas de période vilain petit canard ! Ca a toujours était une évidence pour moi et je dirais même plus pour ma famille !! » Je souris alors que je vois son visage lui aussi souriant devant moi. " C'est une chance, je crois. Il y a tellement de gens qui se cherchent toute leur vie. Trouver sa voie est important. " Avouais-je. Cela rendait plus heureux et donner un sens à la vie, tout comme avoir une famille et les gens qu'on aime autour de soi. " Même si j'aurais voulu avoir quelques dossiers croustillants sur vous ... " Le taquinais-je, amusé. « C’est moi qui devrais être impressionné, pompier c’est une sacré vocation… bien plus importante que pilote de F1 et héritier d’un empire familiale !! Vous avez bien plus de mérite !! » Je le regardais, un peu gêné. " C'est très gentil même si je ne pense pas avoir plus de mérite que quiconque. J'aime simplement ce que je fais. Je n'attend rien en retour. Croyez moi, c'est loin d'être un métier facile. Et c'est dangereux, j'en ai fais l'expérience. " Lui dis-je. " Parfois je me dis que je suis fou d'avoir repris après mon accident. Mais au fond, je sais que je ne pourrais pas renoncer à tout ça, la caserne, les collègues, le danger et l'adrénaline. " Avouais-je en souriant avant de finir mon café. Je le regardais. " Je crois que vous ... Je peux te tutoyer ? " Lui demandais-je de but en blanc. A ce parler comme ça, nous pouvions nous passer du vouvoiement, pas vrai ? " Je crois que tu me dois une visite guidée ! J'te suis. "  
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Message Sujet: Re: Blurred lines | ATLAS   Blurred lines | ATLAS - Page 2 Empty Ven 19 Oct - 17:52


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crédit/ tumblr ✰ w/@shady al masrí

Tu ne t’en détaches pas de se sourire ancré sur tes lèvres en réponses au sien. Il t’empreint d’une étrange légèreté qui vient bercer les maux de ton âme. Ton âme meurtrie par cette foutue douleur qui n’est pas prête de te quitter. Elle oscille à l’unisson avec ton ombre. Elle te suit, elle ne te lâche pas. Alors, tu prends ce moment de répit. Tu prends la pause de bonté que l’on t’offre sans pensée aux démons qui t’attendes derrière. Non, tu ne voie pas le mal qui pourrait te prendre derrière les regards si profond de Shady ancré dans le tiens. Qu’ils te prennent et qu’ils t’attaquent ces putains de démon si c’est pour avoir une simple minute de pause derrière. Tu t’enfermes égoïstement dans cette bulle avec lui dedans. Non, tu ne lui demandes pas son avis et tu te laisses gagner au jeu de sa curiosité. « Tester moi alors, je suis prêt à périr à votre curiosité ! » Lances-tu sans réfléchir tu es définitivement devenue que folie. Il t’embarque dans un étrange endroit de ton esprit inexploré. Tu te laisses tenter, intrigué. Bercé par cette même folie. Tu veux bien être le fou si cela te permet d’oublier. De mettre un pansement sur ces plaies à demi rafistolé. Ouais, t’es prêt à te laisser embarquer sur cette pente glissante que tu sembles déjà avoir commencé à emprunter malgré toi. Ton esprit semble partie si loin, bien loin des réflexions que tu te fais en permanence. Pour la première fois depuis six mois ton cœur ralenti par la souffrance semble avoir repris le dessus. « … et oui, malheureusement tout le monde n’as pas la chance de trouver sa vocation ! » Tu réponds en te gardant d’ajouter ta satanée noirceur au tableau. Ton regard ne pouvant s’empêcher de se perdre loin dans ce coin qui te dit que trouver sa vocation c’est risqué de tout perdre. Tu voulais chasser cette vérité de ta vie qui ne cessé de te revenir en pleine face. Tu avais tout perdu. Tu voulais juste croire un instant que tu avais encore tout, là, à discuter avec lui. A te perdre étrangement dans ces mots. Dans ces regards. La tête qui se secoue machinalement d’elle-même comme pour tenter désespérément un dernier retour à la raison. Mais, tu l’as définitivement perdu. Elle est loin. Tu l’as laissé à la minute ou ton prénom est sorti d’un souffle de ces lèvres. « Si je vous dis tout maintenant quel intérêt ?!... disons que je garde le croustillant pour une prochaine fois ! » Sourire qui se relèves en coin et clin d’œil qui viens fendre ton regard. Tu te laisses amuser par tout cela. Pas la sensation bizarre de plaisir que tu ressens à l’idée de le revoir. T’es même plus là à tenter de décrypté toutes ces réaction contradictoire qui secoue chacune des cellules de ton corps. Tu en aurais presque peur mais tu aurais tout le temps plus tard de te rendre compte du ridicule de la situation. De ton ridicule à toi. Alors que tu appréciais bien plus que nécessaire l’entendre parler de lui et de sa passion pour son métier. Pour en découvrir que vous n’étiez pas si différant. Pour y trouver un indéfectible espoir alors que lui aussi avait surmonté un accident. Pas le courage de lui en demandé plus mais tu te disais que tu finirais peut-être par faire de même. « Vous avez encore plus de courage et de mérite d’y être retourné… je ne serais capable d’une tel force ! » Lances-tu ton regard perdue dans le vague de son âme « Ouais pathétique d’avoir abandonné sans même essayer mais, je me suis fait à l’idée !! » Tu faisais les questions et les réponses alors que tu voulais retrouvais la légèreté du début de votre conversation. Tu voulais retrouver se doux sourire et ce regard loin des méandres de douleurs qui s’agitait en toi. A croire qu’il avait entendu ton appel silencieux. Café finit, il savait y faire et tu l’en remercié secrètement. D’un léger sourire masqué par une peine que tu ne pouvais pleinement effacer des traits de ton visage. « C’est vraie, chose promise, chose dû… c’est partie. Tu as de la chance d’être dans un bon jour on prépare les voiture pour la course à venir. » Que tu dis passant du coq à l’âne. Prenant les devants pour marcher à ces côtés ne pouvant pas t’empêcher ces regards furtifs en sa direction. « Tu t’es déjà pris au jeu de faire un tour de circuit ?! Jihane est une bonne pilote… lui répètes pas ce compliment ! » Lances-tu en souriant alors que vous approchiez du coin qui vous appeliez tous le garage. Les mécaniciens en actions et le bruit des moteurs qui étaient testés dans l’odeur qui avait bercé toute ton enfance. Toute ta vie pour ainsi dire.
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Message Sujet: Re: Blurred lines | ATLAS   Blurred lines | ATLAS - Page 2 Empty Lun 22 Oct - 9:05


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@Atlas Mclaren

Je lui avouais sans gène ma grande curiosité. Un curiosité sur les choses, les gens, qui n'était jamais rassasiée puisque une seule vie ne suffirait pas à tout connaitre, tout savoir et finallement, c'était tant mieux. Cela nous donnait à tous un but à atteindre. Et quand il me conseilla de concerver cette curiosité, une vague de bien-être m'envahit étrangement même si je lui assurais que c'était à ses riques et périls de me donner l'autorisation même si jamais je n'en abuserais. C'était stupide par ce que j'allais bien, j'étais heureux avec ma famille, mes amis et mon boulot mais c'était comme si être là, avec lui à simplement discuter de tout et de rien, ajoutait quelque chose. Quelque chose dont je n'avais aucune idée que cela me manquait et sans même savoir ce que c'était vraiment. « Tester moi alors, je suis prêt à périr à votre curiosité ! » Je le regardais, un sourire amusé et les yeux rieurs. " Très bien. Je ne me gènerais pas. Il ne faudra pas m'en vouloir alors si je vais trop loin. " Le taquinais-je. C'était vraiment un moment à part que nous étions entrain de vivre. Comme si nous étions seul, coupé du reste du monde alors que le monde extérieur grouillait pourtant de gens. Pourtant, aucun de nous ne semblait s'en rende compte ou peut être qu'on s'en fichait, tout simplement. On alla en salle de repos et on se servit chacun un café pendant que je parlais de l'importance de trouver et de faire un boulot qu'on aime, même si il demande efforts et sacrifices. Mais si on aime ce qu'on fait, tout ça est vite oubliée. C'était une chance que lui et moi avions. Même si je pensais qu'il serait plus heureux au volant qu'a diriger tout le monde. Mais je ne lui disais pas, ne voulant pas réduire à néant la confiance qu'il y avait entre nous. J'imagine de toute façon les raisons l'ayant ammené à ne plus entrer sur la piste. Il recommenerait quand il serait prêt et je comptais bien être au premier rang ce jour-là pour l'encourageait. « … et oui, malheureusement tout le monde n’as pas la chance de trouver sa vocation ! » Je hochais la tête. Ce qui était néanoins une bonne chose à notre époque, c'était que les possibilité était infinie. On pouvait se tromper, changer d'avis et ptir dans une autre direction. Rien n'était figé.

Le prenant aux mots, je l'intéroge sur son boulot, sur ce que ça représente d'être un Mclaren. Ca ne devait pas être tout les jours faciles et avoir son lot de contraintes. Je lui demannde si il n'y a pas eu un jour o% il avait voulu prendre ses distances par rapport à l'héritage familiale. Il m'assua que non et je le taquinais, faussement déçu de n'avoir rien de croustillant sur son compte. « Si je vous dis tout maintenant quel intérêt ?!... disons que je garde le croustillant pour une prochaine fois ! » Je le regarde, surpris et silencieux quelque seconde face à cette répartit, ce sourire en coin et ce clin d'oeil. J'éclatais de rire. Un rire franc et sincère. Je ne rêvais pas n'est ce pas ? Il parlait bien de nous revoir ? Peut-être que, finallement, cette espèce de connexion quelconue entre nous n'était pas qu'une lubie de mon esprit. Aussi incroyable que cela puisse paraitre. " D'accord. Je vois ... C'est pas une si mauvaise idée. " Avouais-je, souriant et mon coeur battant plus fort dans ma poitrine. " Gardons du suspence pour notre prochaine rencontre. " Dis-je, droit dans ses yeux, cette promesse flotant entre nous deux. En parlant de on boulot de pompier et de combien je l'appréciais, je lui parlais brièvement de mon accident. J'aimais tellment mon métier que je avai eu qu'une envie : reprendre le plus vite possible. Les médecins et ma famille avaient eu du mal à me réfréner. « Vous avez encore plus de courage et de mérite d’y être retourné… je ne serais capable d’une telle force ! » Dit-il avant que on visage ne s'assombrisse. Et j'aperçu de nouveau l'homme brisé qui avait donner si bien le change depuis le début de cette rencontre, l'homme meurtrit qui pourtant semblait être plus léger pendant notre discussion. « Ouais pathétique d’avoir abandonné sans même essayer mais, je me suis fait à l’idée !! » Je le regardais, compréhensif. " Ne soyez pas si dur envers vous même. Chacun avance à son rythme. Laissez-vous du temps ... " Dis-je sans trop m'enfoncer dans le sujet. Il savait de toute façonde quoi nous parlions. " C'est la seule chose a faire. " Concluais-je.

On bu aors notre café et une fois avaler, pour revenir à une atmosphère plus légère, je lui rappeler sa promesse de me faire visiter, désireux de découvrir son univers et également celui de ma nièce. « C’est vrai, chose promise, chose dû… c’est partie. Tu as de la chance d’être dans un bon jour on prépare les voiture pour la course à venir. » Lâche t-il, retrouvant un peu de sourire en étant dans son élément même si je savai que la souffrance et la peine n'était pas loin. Je lui souris et le suivis avec plaisir. On marcha à côté et je sentais ses regards surement autant qu'il ressentait les miens. « Tu t’es déjà pris au jeu de faire un tour de circuit ?! Jihane est une bonne pilote… lui répètes pas ce compliment ! » Me dit-il alors qu'on avançait et qu'aparaissait devant nous des équipes de mécaniciens et tout un tas d'appareil et de pièces de mécanique. J'observais tout ça d'un oeil captivé de novice. Je tournais la tête vers lui, amusé. " Je lui dirais rien, promis. " Soufflais-je. " Jihane me l'a proposait mais je t'avoue que j'ai jamais eu le cran d'accepter. Peut-être un jour ! " Lançais-je en riant tout en continuant de le suivre à travers son monde, son royaume. " C'est vraiment impressionnant. " Lachais-je plus tard. " Ca doit être un travail titanesque pour arriver à faire des bolides aussi puissant tout en étant de plus en plus sur. " Lui dis-je en le regardant. " Je comprend qu'on puisse être passionné. " Assurais-je, perdu dans ma découverte et dans mes observation.  
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Message Sujet: Re: Blurred lines | ATLAS   Blurred lines | ATLAS - Page 2 Empty Dim 4 Nov - 20:18


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Il y avait cette étrange force en toi qui bouillonnait comme les prémices d’un feu que tu pensais s’être éteint à jamais. Étrange cette sensation qui envahissais les parcelles de ton corps. De ton cœur. T’étais tout simplement peut-être gagnais par la folie. C’était ça, une putain de folie qui te faisait croire des choses qui n’en était pas. Putain d’illusion de bien-être car tu préférer te dire que ce n’étais là que le fruit de ton imagination plutôt que d’accepté que tu ne t’étais pas senti aussi bien depuis des mois. T’étais enlisé dans une putain d’incompréhension que tu ne cherchais même plus à démêlé pour le moment. Tu t’étais laissé prendre dans les filets de l’instant. Dans les filets du sourire qui étiré son visage et de son regard qui s’alignais avec le tiens. Il y avait cette connexion qui agitait ces endroits oublié de ton être. Comme cette sensation d’avoir trouvé une place que tu ne pensais plus jamais avoir mais pourquoi ?! Putain que tu ne comprenais pas. Plonger dans un flou total. Enliser dans les sables mouvant ou bien perdu dans un épais brouillard. Trouble de ton existence toujours coincé dans un passé qui te hantais. T’en étais à demander s’il était ta porte de sortie où là, pour te rappeler le drame qui avait ébranlé ta vie. T’en avais aucune idée. Tu n’avais plus idée de rien. Tu venais de te laisser prendre au piège par le moment. Par cette échange qui alléger le poids qui peser sur tes épaules. Tu te laisser prendre à la simplicité autant qu’à la légèreté de cette échange. T’avais laissé s’envolé ce masque que tu t’efforcer de chausser tous les matins. Ouais, t’avais tout enlevé pour laisser réapparaitre ce sourire que tu pensais mort il y a six mois. Les parts les plus enfouie de toi semblait se ressuscité pour éluder un peu la noirceur de ton âme. « Je ne pourrais pas vous en vouloir, après tout c’est moi qui ai demandé… si ça tourne mal je serais l’unique personne à blâmer ! » Que tu lances en continuant de lui sourire. Encore et toujours prie par son charme sans en comprendre les raisons te laissant même à ouvrir une petite brèche dans ton cœur meurtrie. Tu en montre surement plus que tu le voudrais mais c’est malgré toi. A croire, que tu n’étais plus aux commandes de ton propre corps. De ton propre esprit. Tu te noyais la folie. Tu sombrais surement sans t’en rendre compte. Là, entourer par un inexplicable halo de lumière tout semblait juste. Alors, tu te laissais prendre au jeu. Stupide jeux de question réponse à tenter de dissimuler tantôt ton mal être, tantôt le trouble qui t’envahissais. Le trouble qu’il te faisait ressentir. T’avais comme cette étrange envie de paraître bien assez yeux. Sous le meilleur jour sans aucune raison apparente comme si cela changerais sa vie. Surement que cela l’emmerder plus qu’autre chose de tenir compagnie à un putain d’homme brisé incapable de surmonté la douleur. Tu te trouvais pathétique plutôt que de bonne compagnie. T’en étais à apprécié la prévenance de laquelle il faisait preuve alors que c’était la première personne qui ne te renvoyais pas de la pitié. « Bah oui… Il n’y aurait aucun intérêt si les gens se livré tout à la première entrevue, l’humain n’arriverait jamais à rien construire dans cette optique ! » Lances-tu comme si tu lui faisais un exposé de l’intérêt de vous revoir. Car c’était bien là le sens cacher de la chose t’avais bizarrement le désir de le revoir. De retrouver l’instant de pause qu’il t’offrait là. Comme une putain de drogue de bien-être. Tu te sentais comme un putain de drogué et pour l’heure il était ta foutu dose. « Ouais… le temps, pour le moment j’trouves que c’est une bien belle connerie mais, je suppose que je verrais bien dans quelques mois !! » Dis-tu le regard plongé dans le vide un instant avant de revenir à toi. A lui. A l’instant présent et à cette visite que tu lui avais proposée ou le bon moyen de passer à autre chose. Ne plus te replonger avec lui dans un moment que tu voulais oublier mais qui ne semblait pas vouloir te lâcher. Se détacher de toi. C’était ça, la clé de l’instant, resté léger. Simple marché coupé de regard jeter à la volé sur lui. D’une parole lancé comme pour parler de lui plutôt que de toi. Comme pour retrouver cette légèreté qu’il réussissait à te faire ressentir. Comme un appel qu’il entendu dans votre étrange que secrètement tu espérais être réciproque. Sourire que tu peints de nouveau sur le bout de tes lèvres et ton regard radoucie à la lumière de ces prunelles. « Tu devrais vraiment te jeter à l’eau et faire ou deux tour de piste, je suis certain que tu apprécierais !! » Lances-tu en te disant même que tu aurais aimé lui offrir, le conduire… mais t’en étais pas capable. Plus du moins, tu avais assez prit de vies comme ça. Toujours ramener à la réalité par la culpabilité qui te rongé. T’étais là, à faire ton possible pour rester à toi-même, à lui. Laisser de côté la douleur qui n’était jamais bien loin, qui guettais. Tu te sentis comme un robot l’espace d’un instant. L’instant qui viens se brisé au son de sa voix et à son enthousiasme qui vient te chercher de nouveau. Te sortir de la cachette de ton être. De tes démons. « Aha… en effet c’est un travail d’orfèvre, ma sœur pourrait débattre de ça avec vous pendant des heures !! La création la passionne… moi la seule chose qui m’intéresses se sont les performances et les résultats !! » Léger pincement en cœur en parlant de ta famille que tu évitais ces derniers temps car les affronter rendaient les choses encore plus compliqué. Plus compliqués qu’elles ne l’étaient déjà. « … mais c’est vraie, tellement de détails entre en jeux du début à la fin que ça en devient vite prenant… une vraie passion ! » Ajoutes-tu en continuant d’avancer au cœur de ton lieu de travail, de vie presque tu pourrais dire. « Rien ne vaux la passion pour avancer dans la vie de toute manière… » Ton regards plongé dans le siens te voilà t’y perdant à nouveau. Tu t’y noie et tu te retrouves envelopper d’un étrange sentiment de réconfort.
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Message Sujet: Re: Blurred lines | ATLAS   Blurred lines | ATLAS - Page 2 Empty Jeu 8 Nov - 16:40


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@Atlas Mclaren

Atlas me laissa carte blanche pour laisser court à ma curiosité à son égard. Pauvre et adorable fou ... Il n'avait aucune idée de ce dont j'étais capable. Je le prévenais donc qu'il ne fallait pas qu'il m'en veuille une fois que j'aurais dépasser les limites même si je savais qu'avec lui cela ne serait pas le cas. Je n'irais pas loin, je ne voulais pas le blesser sans le vouloir, par ce que je tenais à lui, par qu'il avait marquer mon esprit plus profondément que je ne l'aurais cru. Alors je briderais ma curiosité, me contentant de chaque petite information sur lui qu'il voudra me donner, m'offrir. Ouais, je me contenterais de ça, juste pour parler avec lui, pour être avec lui, même un court instant. Je serais déjà heureux par ce petit moment qu'on partagerait. Je devenais surement fou vu que la dernière fois que je me suis vraiment sentis comme ça, c'était avec Nell, mais j'accueillais cette folie passagère avec un sourire et les bras grand ouvert. Si ce que je ressentais ne devait être que furtif, autant en profiter. « Je ne pourrais pas vous en vouloir, après tout c’est moi qui ai demandé… si ça tourne mal je serais l’unique personne à blâmer ! » Me rassure t-il en souriant. Je le regarde quelques secondes, en silence puis un sourire s'affiche sur mes lèvres. " D'accord, ça sera votre faute alors ! Vous voilà prévenu. " Lui assurais-je en souriant. C'est si facile d'être en sa compagnie, de lui parler de tout et de rien, de plaisanter, de le taquiner gentiment sans que rien ne porte vraiment à conséquence. C'est en tous cas ce que je me dis. C'était plutôt excitant de simplement me laisser porter et d'apprécier sa compagnie. On continua de parler, encore et toujours. « Bah oui… Il n’y aurait aucun intérêt si les gens se livré tout à la première entrevue, l’humain n’arriverait jamais à rien construire dans cette optique ! » Me répondit-il alors que je lui disais être déçu de n'avoir rien appris de croustillant sur lui. Je le regardais, me mordillant la lèvre. Est ce que je rêve ou est ce qu'il semble avoir vraiment envie qu'on se revoit ? Mon coeur s'emballe quand cette idée arrive à mon cerveau. J'ai l'impression d'avoir 15 ans, c'est pathétique. Mais c'est aussi grisant même si il ne faut que je me fasse trop d'illusion si je ne veux pas être déçu. Je le regardais, essayant de capter son profond regard pour essayer d'y trouver les réponses à mes questions, tout en sachant bien que c'était surement plié d'avance, qu'il n'avait pas oublier l'accident ... Pourtant je voulais avoir raison. Je voulais que ce truc que je sentais entre nous, cette complicité ne soit pas le fruit de mon imagination provoquait par une attirance physique indéniable. Je lui souris, le regard joueur. " Très bien ! Gardez votre mystère. Ca me plait. " Lui dis-je avant même que je ne me rende vraiment compte de ce que je venais de dire. Quel idiot... Je baissais légèrement les yeux puis décide de prendre mon courage à deux mains et reporte mon regard sur lui, essayant de faire comme si de rien été.

Puis on aborde l'accident, par des tours dévier, certes, mais ça vient quand même sur le tapis et la vulnérabilité qui ne s'était pas montrer jusque là refait surface. Je prend conscience qu'il ne faut pas que j'oublie qu'il a souffert, qu'il souffre encore. Je n'avais pas le droit de faire n'importe quoi. Autant pour lui que pour moi-même. Il semblait encore affecté et je lui demandais d'être patient. Il ne s'en remettrait pas comme ça. Plus rien n'était comme avant pour lui et il devait l'accepter avant de songer à aller de l'avant. Voir sa douleur, sa tristesse et sa colère aussi me mettait à genoux. J'aurais voulu pouvoir l'aider, pouvoir effacer de quelque manière que soit cette peine de son coeur. Mais ce n'était pas possible. « Ouais… le temps, pour le moment j’trouves que c’est une bien belle connerie mais, je suppose que je verrais bien dans quelques mois !! » Je le regardais, frapper en plein coeur par ses mots. " Atlas... " Soufflais-je en le regardant, la voix légèrement tremblante, sans savoir quoi faire. " Je suis tellement désolé. " Lui dis-je simplement, sans savoir vraiment pourquoi je m'excuse. Probablement à cause de la culpabilité que je ressens de n'avoir rien pu faire pour aider sa femme et l'empêcher la tragédie qui s'était abattu sur lui. Au fond de moi, je savais que j'avais fais tout ce que j'avais pu avec mes collègues mais ça me rester quand même sur la conscience malgré tout. Après un café, la visite commença, avec Atlas pour me guider. En marchant on discuta encore de tout et de rien. Il me demanda alors si je n'avais jamais été tenté de faire un tours de piste. Jihane me l'avait proposer mais je n'avais pas encore accepter. Je le ferais peut-être un jour. « Tu devrais vraiment te jeter à l’eau et faire ou deux tour de piste, je suis certain que tu apprécierais !! » Me dit-il, souriant et ses prunelles s'accrochant aux miennes. Je ris en hochant la tête. " Ok ok ! La prochaine fois, je me laisse tenté, promis. Et si j'ai une crise cardiaque, ça sera ta faute ! " Lançais-je pour le taquiner avec amusement et complicité. Une complicité que j'apprécie de plus en plus. Une complicité qui semble combler un vide dont j'ignorais l'existence jusqu'à aujourd'hui, jusqu'à ce que je tombe sur lui de manière inattendue. .

La visite continue et j'observe tout, curieux de mieux connaître le monde auquel il appartient. Je suis franchement impressionné par tout ce que je vois. Tout semble tellement complexe. Je n'imagine pas tout le travail que ça doit demander pour arriver à faire des voitures aussi performantes. « Aha… en effet c’est un travail d’orfèvre, ma sœur pourrait débattre de ça avec vous pendant des heures !! La création la passionne… moi la seule chose qui m’intéresses se sont les performances et les résultats !! » Je le regarde et souris. Une nouvelle information à ranger dans la case Atlas Mclaren. Je souris. " C'est le cerveau et toi les muscles ? " Plaisantais-je en le regardant avant de mettre mentalement des baffes. " Tu es proche d'elle ? De ta soeur je veux dire ? " Lui demandais-je. Je le suis, aveuglément tout en discutant avec lui. « … mais c’est vraie, tellement de détails entre en jeux du début à la fin que ça en devient vite prenant… une vraie passion ! » Ajoute t-il. Je hoche la tête. " Ouais, je comprend. C'est pareil pour moi. Mon job a beau comporté des risques, je crois que ce sont ses risques qui font que je l'aime autant. Quand on part en intervention, on sait jamais vraiment sur quoi on va tombé. L'adrénaline prend le dessus. Se dire qu'on est en capacité de faire le bien, d'aider quelqu'un est grisant. Je sais vraiment pas ce que je pourrais faire si un jour je ne peux plus être pompier. " Lui avouais-je. J'imagine que chacun des gars à la caserne ressentait la même chose. Être pompier, ça ne s'improvise pas. C'est en nous. On reste un pompier pour toujours. « Rien ne vaux la passion pour avancer dans la vie de toute manière… » Me dit-il, son regard plonger dans le miens. " Je suis d'accord. On ne vit pas vraiment sans passion. "  Le monde extérieur semble s'évaporer et soudain, j'ai le sentiment qu'il y a à nouveau que nous, dans une bulle en dehors du temps. Les secondes passent et je me perd dans son regard, profondément. Si profondément que je pourrais m'y noyer. Je reste immobile. Je pourrais rester là, à le regarder yeux dans les yeux pendant des heures sans que cela ne me gène. Mais une chevelure blonde que je ne connais que trop bien attire mon attention et me tire de mes pensées, de cette bulle où lui et moi étions confortablement enfermé avec joie depuis je ne sais combien de temps. Jihane apparaît dans mon champ de vision. Je glisse une main dans mes cheveux mais ne fais rien pour m'éloigner, pas encore. Par ce que je n'ai aucune envie de m'éloigner. Mais je sais qu'il le faut, que tout rentrera dans l'ordre quand j'aurais pris mes distances et que j'y verrais plus claires sur ce qu'il s'était passer. Même si, au fond de moi, je savais que c'était loin d'être aussi simple que ça. Après un regard furtif à ma nièce, qui ne m'avait pas encore vu, je revenais à Atlas. " Je crois que Jihane a terminer ... " Dis-je doucement, comme si ça me coûtait de le lui dire car cela voulait dire que j'allais devoir le quitter, m'éloigner. " Je devrais la rejoindre avant qu'elle ne s'éclipse à nouveau. " Clamais-je en esquissant un léger sourire. C'était comme si mon corps refusait de bouger malgré toutes mes sollicitations. Je reste à ses côtés, fébrile. " C'était cool de passer le temps avec toi. Merci de m'avoir tenue compagnie et de m'avoir fait visiter. "  Lui dis-je, sincère, mon coeur tambourinant encore dans ma poitrine. " A bientôt ? " Lançais-je, comme si j'étais entrain de le supplier.
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Message Sujet: Re: Blurred lines | ATLAS   Blurred lines | ATLAS - Page 2 Empty Dim 18 Nov - 17:17


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crédit/ tumblr ✰ w/@shady al masrí

C’était ce petit quelque chose qu’il y avait dans sa façon de te regardais qui t’emportais complètement ailleurs. Tu ne savais pas où mais, tu étais à mille lieues d’ici. De la réalité ou du moins de la tienne. Oublié l’espace d’un instant la douleur qui était ton ombre depuis des mois et la souffrance qui avait enroulé ton cœur dans un étau de torture. T’étais encore loin de te dire que tu étais le seul à t’y être enfermé dans cette peine. Cette noirceur accompagnée des démons que tu te refuser seul à laisser partir. Il t’avait comme cueilli de ton lit confortable de peine pour t’emmener en balade dans de contré bien meilleur que celle dans lesquelles tu t’étais réfugié depuis l’accident. Depuis le drame de ta vie. Il en avait fait partie malgré lui de ce drame et tu tentais de te convaincre que cette étrange connexion que tu ressentais avec lui n’était que le fruit de cette rencontre pleine d’infortune mais, une part de toi savait pertinemment que ce n’était qu’un piètre mensonge que tu te servais encore car, c’était plus simple ainsi. Tu n’avais plus de place pour le compliqué, plus d’énergie. Pourtant, tout ce qu’il t’offrait en cet instant ne semblait qu’être simplicité dans un échange empreint d’une inexplicable fluidité. Pas de blanc, pas de silence gênant ou du moins pas plus que nécessaire… juste lui et toi dans un échange qui faisais de nouveau s’agiter ton cœur dans ta cage thoracique meurtrie. Tu avais mis de côté tous ces tracas qui s’agitaient en toi pour te concentrer l’espace d’un instant sur le pompier. Perturbation chimique de chacune de tes cellules à chacun de ces sourires et question étrange qui s’agitait en toi que tu tentais de taire. Tu te sentais étrangement de nouveau en vie à t’ouvrir pour la première fois depuis longtemps. Tu prenais cette étrangeté à bras le corps car elle te faisait du bien. Un bien que tu savais éphémère alors qu’à l’instant où celle qu’il attendait arriverais il t’échapperait. Pour de bon ?!... tu n’espérais pas. Oui, tu te prenais à vouloir le revoir et tes révélation dissimulé dans des paroles qui se voulait évasives, tu espérais qu’il comprenne. Tu espérais une étrange réciprocité de sentiment inexplicable. Tu n’étais qu’un pauvre fou. Un putain d’égoïste alors que Shady avait surement mieux à faire que de perdre son temps avec l’épave que tu étais devenu. En apparence bien mais un intérieur complètement détruit. Tu jouais l’homme au contrôle, l’homme mystérieux surtout pour masquer cette foutu lueur de vulnérabilité qui ne quitter plus tes iris. Tu t’étais accrochais à cette conversation comme à la bouée de sauvetage pour arriver au terme de cette journée. A chaque jour une nouvelle manière de survivre un moment de plus. C’était là ta nouvelle existence, plus de vie, de la survie. Tu voulais donner le change face à lui mais, il semblait faire volé en éclat ta carapace sans grand effort. Tu voulais connaitre son secret. Tu voulais tout connaitre et tu te gifler mentalement d’en avoir envie. Définitivement devenu le sombre fou que tu pensais être.« Gardez le vôtre aussi… de mystère !! » que tu te prends à te dire à voix haute te rendant compte trop tard de la raisonnante de tes paroles. Profitant des autres questions de l’homme pour continuer. Faire comme si de rien était te concentrant sur la visite. Sur tout sauf lui et son regard. Lui et son sourire. Lui et ces paroles qui arrivent à te réchauffer le cœur même en abordant le sujet le plus sensible de ta vie tout entière. Il ne sait pas quoi dire, pas quoi faire mais s’il savait que sa présence suffisait simplement à atténuer ta peine. Te voilà épris d’une étrange colère contre toi. Contre lui. Une colère que tu gardas au fin fond de ton être te refusant à céder à elle. A tout cette situation qui te perturbé. Tu ne lui offres qu’un sourire compatissant, la seul chose qu’il te reste et un changement de sujet. Lui. Un sujet bien plus intéressant. Encore une fois il a cet étrange don de te faire penser à autre chose, de t’arracher un rire, un sourire. «… mais non, pas de crise cardiaque je t’assure au pire, je… on sera là pour te sauver ! » belle gaffe tu n’étais plus toi-même. Voilà que tu mettais ça sur le compte du manque de sommeil. Elles avaient bon dos tes insomnies. Tout était toujours bon pour te rattraper comme t’éparpiller de longue minute sur ta passion, dans ces questions à y nourrir sa curiosité débordante. « Aha.. Les muscles ?! On peut dire ça ! Disons que ma sœur c’est celle qui pense en dehors des sentiers battue et que mon frère c’est la raison et le cerveau… je suppose que oui, ça fait de moi les muscles ! » Tu te perds dans un rire alors qu’il semble avoir si bien cerné ta famille en une seule conversation. « Il y a des hauts et des bas… on est plutôt dans un bas en ce moment mais, oui, on est proche… » Encore un sujet sensible la relation avec ta fratrie en ce moment mais il a la prévenance de rebondir sur sa propre expérience de son métier et tu es toujours autant souffler par son enthousiasme. Un enthousiasme que toi, tu sembles avoir perdu à tout jamais. La passion dont vous parliez été bien toujours là mais la douleur pour toi prenait le dessus sur tout à en venir gâcher les bons moments parfois. Pourtant, l’écouter réussissais presque à faire naître en toi un nouvel espoir. L’espoir que tout n’était pas si noir et que tu pouvais réussir à t’en sortir. Un jour peut-être. Il faudrait du temps. En parlant de temps, tu ne l’avais pas vue passer.  Il avait courue à une allure déconcertante et c’est lui qui t’en rappela à l’ordre. Sortant de ta torpeur et de cette bulle où le temps c’était stopper pendant un moment tu vie la tête blonde de Jihane au loin. « Oui... vous devriez probablement ! » que tu te voies répondre presque à contre cœur mais, c’était mieux ainsi. Il n’était pas venu pour toi après tout. Tu l’avais probablement assez ennuyé comme cela. « Merci à toi d’avoir supporté ma compagnie… à bientôt oui ! » tu te manquas de dire un j’espère. Tu le gardas pour toi et lui offris un sourire avant de lui serrer la main dans un contact qui te perturba presque autant que celui de ces yeux dans les tiens avant de le laisser rejoindre Jihane. Tu le regardas s’éloignais avant de retourner à tes occupations qui semblait bien fade après cette échange… si vivant !
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