— we're gonna rise 'til we fall (w/waël)

Sourire qui s’étire sur tes lèvres, alors que tu entends le son de tes talons qui claquent contre le parquet. Tes doigts qui glissent le long de la rampe, alors que tu t’engages dans l’escalier. Sécurité du bloc appartement duquel tu te mets à douter d’ailleurs, à cet instant. Parce que clairement, tu n’as pas trop eu de mal à entrer toi, sans même demander la permission à qui que ce soit. Comme si tu en avais besoin. Parce qu’il ne t’avait fallu qu’attendre que quelqu’un quitte l’immeuble pour que tu t’y faufiles. Chemin que tu as mainte fois emprunté, que tu connais d’ailleurs par cœur maintenant. Parce que tu auras bientôt rejoint son appartement, et tu t’imposeras comme tu as pris la mauvaise habitude de le faire. La porte, qui se dessine finalement sous tes yeux, et certainement pas une once d’hésitation de ta part. Non, il y a simplement ton poing qui s’abat contre la porte à répétition. Jusqu’à ce que son visage se dessine sous tes yeux. Visiblement un peu étonné de te voir là, ce qui n’est pas très surprenant d’ailleurs comme tu ne t’étais pas annoncée avant d’arriver. Après, il faut bien dire que tu ne savais pas que tu finirais par terminer ton chemin ici quand tu as quitté ta demeure. « Salut Waël. » Toujours cet éternel sourire sur les lèvres, alors que tu n’attends même pas la permission pour entrer dans son appartement. Ton regard qui se pose naturellement un peu tout autour de toi, avant que tu ne te retournes finalement vers lui, croisant finalement son regard. « J’espère que j’te dérange pas ? » Pourtant, pas tout à fait sûre que ce soit la vérité en fait. Parce que clairement, tu t’en fichais bien toi, d’arriver au moment le moins bien choisi qui soit. Et même que ça t’amuserait probablement si tu réalisais que c’était le cas. Dans tous les cas, tu ne comptais pas repartir de sitôt, où tout du moins, pas sans qu’il t’accompagne tu ne sais encore où. Princesse capricieuse, à ne plus en douter. Princesse qui bat des cils, et qui croit qu’avec ça, le monde sera à ses pieds. « Dis-moi, t’as pas un truc à boire ? » Que tu ajoutes, en te retournant, t’aventurant un peu plus loin encore dans son appartement. Chemin qui se termine jusqu’au salon, avant que tu t’affales dans le canapé, beaucoup plus confortable qu’il ne l’était dans ton souvenir d’ailleurs.

@waël oxford  

Tu t’étais dis après ton court séjour en prison que ta vie changerait, mais les vieilles habitudes reviennent souvent au galop. Tu détestes être et faire comme les autres. Toi t’en a rien à foutre des autres. Tu fais ce que tu veux quand ça te chante et franchement c’est ce qui te plait.  Tu ne demande l’avis de personne et opère dans le sens qui te plait.  Alors hier soir t’es sorti avec des copains. T’as bu au point de ne plus te souvenir de ta soirée – un blackout. Qu’est-ce qui s’est passé ? T’en sais foutrement rien, tu t’es seulement réveillé dans un lit qui ne t’appartenait pas. C’est en voyant la couleur des murs qui ornait la pièce que t’as compris que tu n’es jamais rentré chez toi.  Un mal de crâne bien présent, tu t’sens étourdis. T’étire donc chaque muscle de ton corps avant de te lever, d’agripper tes vêtements et de foutre le camp. Tu n’as même pas regardé qui se trouvait tout près de toi. Fille ou garçon, tant que tu as pris ton pied ça pas d’importance.  Tu rentres donc chez toi, un peu, beaucoup éméché en taxi parce que tu sais pas ce que t’as fais de ta voiture. TU finiras par t’en souvenir, au pire tu l’as surement laissé dans le parking sous-terrain de l’autre appartement que tu as visité hier soir. Devant ton immeuble, tu hésites à entrer. T’as pas envie de tomber nez à nez avec ton père – qui te sermonnera probablement sur tes agissements. Tu l’écoutes, mais son opinion tu ne lui as pas demandé, t’en à rien à foutre.  T’hésites à prendre l’escalier, ou l’ascenseur qui est carrément plus rapide. Manque de bol t’as le haut le cœur alors que l’ascenseur est en mouvement. Tu te tiens donc fortement contre les gardes jusqu’à ce que les portes s’ouvre – il était temps. Tu as à peine eut le temps de refermer la porte de ton appartement qu’on cogne.  Tu fronces les sourcils puis te retourne.  « salut waël. »  Laure. Malgré le fait que t’as la tête dans le cul, tu lui souris et finis par ouvrir la porte. « Hé, salut ! » Tu te pousses pour lui laisser le chemin libre. « Ça va ? » Lui demandes-tu spontanément. Comme si c’était obligé qu’il ait un truc de louche pour qu’elle se pointe chez toi. D’toute façon y’a qu’elle à qui tu peux sourire et laisser entrer sans qu’elle se soit annoncé. Ça date votre amitié. Tu sais qu’elle peut être présente dans ton appartement sans avoir à te parler. Parfois l’humeur n’y est pas mais vous vous comprenez du regard vous deux.   « j’espère que j’te dérange pas ? » Tu passes une main derrière ta nuque et te pinces les lèvres. « Bah non..d'puis quand tu me déranges ? T'as déjà eut cette impression ? » Jamais. « En fait j’viens de rentrer. » La douche attendra quelques minutes. Quoi qu’en même temps tu pourrais bien disparaitre et revenir ensuite que ça ne ferait pas de différence. TU suis donc ton amie jusque dans le salon puis  la regarde s’affaler dans le sofa. « dis-moi, t’as pas un truc à boire ? »  Tu secoues la tête et te mets à rire.  « Tu m’le demande sérieusement ?  » Depuis quand le frigo est vide chez toi ?  « Tu veux boire quoi plutôt ? Fort ou doux  ? Bière, vin, whisky ? » Les réserves sont pleines. « Attends, j’ai vu un truc l’autre jour.. Le bonhomme a acheté une bouteille de Rémy martin..  Le truc que personne ne pense à acheté. » Ton père il impressionner la galerie, alors que toi tu te sers souvent dans ses choses. T’aimes le faire rager. « Sinon bah on sort en ville et on s’fait servir. » Dis-tu prêt à repartir et faire la fête. Tu t’affales dans le sofa tout près de ton amie la bouteille de Rémy martin en main. Tu l’ouvres en prend une gorgée, grimace et lui tends. « Même à trois milles.. ça goûte la merde.  Comment j'peux détester le cognac..  » Dis-tu en allumant ton joint.

Princesse, qui n’a pas beaucoup de tact. Parce que toi, t’es entrée chez lui, comme si tu étais la maitresse de ces lieux. Prenant des droits que tu n’avais pas vraiment. Pour lui, ça ne semble pas trop le déranger. Te laissant passer, comme s’il était tout à fait normal que tu débarques ainsi, à l’improviste. « Bah non..d'puis quand tu me déranges ? T'as déjà eu cette impression ? » Tes lèvres qui s’étirent rapidement en un sourire. Sa phrase qui te fait clairement plaisir à entendre. Parce que non, effectivement, tu n’as jamais eu cette impression en débarquant chez lui. Tu as toujours été accueilli à bras grand ouvert. Et c’est peu dire que tu en as mainte fois probablement abusé. Alors tu hausses tout simplement les épaules en guise de réponse. Parce que clairement, il doit bien le savoir, vu la manière dont il t’a toujours reçu que non, tu n’avais pas l’impression de déranger. Et si bien même que ce serait le cas, tu t’en ficherais un peu. « En fait j’viens de rentrer. » Légèrement intriguée par cette histoire, te demandant où il avait bien pu passer la nuit, tu te laisses pourtant tomber dans le sofa. Quémandant à boire à qui veut bien entendre. « Tu m’le demandes sérieusement ?  » Si, tu étais tout à fait sérieuse en lui posant cette question. Bien qu’encore une fois, la réponse te semblait évidente. Toi, qui ne doutais clairement pas qu’il pourrait satisfaire cette envie pressante d’un brin d’alcool en ce début d’après-midi. « Tu veux boire quoi plutôt ? Fort ou doux  ? Bière, vin, whisky ? » Tous des choix très intéressants, il faut bien dire que tu n’y avais pas trop réfléchi encore. Bien que clairement, un truc fort serait probablement plus efficace pour calmer tes pensées qui divaguent dans tous les sens. « Surprend-moi. » Que tu dis pourtant, toujours ce sourire qui fend ton visage. « Attends, j’ai vu un truc l’autre jour… Le bonhomme a acheté une bouteille de Rémy martin…  Le truc que personne ne pense à acheter. » Et ton sourire qui ne fait que s’agrandir sur tes lèvres. L’idée qui te plait bien. Peut-être parce que justement, le cognac, c’est un truc fort. Comme s’il était parvenu à lire dans tes pensées. Il ne faudrait pas pourtant. Plongeant dans les réserves qui devaient être celles de son père, il finit donc par en ressortir la dites bouteille dont il faisait mention, quelques instants plus tôt. « Sinon bah on sort en ville et on s’fait servir. » Le jeune homme qui revient vers toi. Se laissant à son tour tomber sur le fauteuil. La bouteille dans les mains, qu’il porte rapidement vers ses lèvres. Une grimace qui ne tarde pas à suivre, alors qu’il finit par te tendre la bouteille. Pas une seule hésitation, tu la saisis à ton tour. « Même à trois milles… ça goûte la merde.  Comment j'peux détester le cognac…  » Et tu ne peux t’empêcher de rire à sa remarque. La bouteille que tu portes à ton tour à tes lèvres pour en prendre une grande gorgée. Goût qui est loin de te plaire à toi aussi, bien que clairement, t’as l’impression d’avoir déjà eu à faire à pire. Et pourtant, tu ne peux t’empêcher de grimacer, alors que l’alcool vient de brûler la gorge. Sensation qui s’estompe peu à peu, alors tu te risques à nouveau à prendre une autre généreuse gorgée. Il faudrait que tu ralentisses la cadence pourtant. « Mouais j’trouve ça pas trop pire moi. Et clairement, j’préfère que toi tu me serves plutôt qu’un étranger. » Que tu lances, alors que ton sourire se glisse à nouveau sur tes lèvres. Pourtant, tu ne manques pas d’ajouter : « À moins que tu me dises que tu connais un endroit où y’a des barmans vraiment canons, dans c’cas je dis pas non pour qu’on se fasse servir par un inconnu. » Nouvelle gorgée que tu prends, avant de déposer la bouteille sur la table basse du salon. « Alors, qu’est-ce que t’as fait hier, hein ? » Parce que non, clairement, tu n’avais pas oublié qu’il t’avait mentionné qu’il revenait à peine chez lui. Et là, c’était le parfait moment de lui demander ce qui en était, alors que tes doigts venaient de saisir le joint qu’il tenait entre les siennes pour finalement le porter à tes lèvres.

Ton père il fait toujours un paquet de réserve d’alcool mais va savoir pourquoi il n’est jamais là. Alors toi et tes potes vous enfilez ces bouteilles comme si tout vous appartenait. Enfin, toi tout t’appartient. T’es comme ça, ce qui t’importe le plus c’est ta petite personne et rien d’autre. L’opinion des autres t’en à rien à foutre. Ton reflet dan le miroir est carrément le visuel que t’as envie de voir de toi-même. Tu bois donc à même la bouteille d’alcool que tu viens de sortir de cette armoire précieuse et tu la tends à ton amie qui s’est sagement posée dans le sofa. Tu grimaces en précisant que tu détestes réellement ce goût. « mouais j’trouve ça pas trop pire moi. et clairement, j’préfère que toi tu me serves plutôt qu’un étranger. » Te dit-elle alors que tu viens de t’allumer un joint. Tu te retournes pour la regarder et lui souris. Tu tires « D’toute évidence.. le mec qui t’aurait servis un verre t’aurais probablement pas offert une taff.. T’en veux ?» Tu lui tends le joint que t’as entre les doigts puis te laisse retomber dans le sofa comme une roche. « à moins que tu me dises que tu connais un endroit où y’a des barmans vraiment canons, dans c’cas je dis pas non pour qu’on se fasse servir par un inconnu. » Ajoute-t-elle. Tu secoues la tête en riant. « Bah j'vais te dire un fait.. je matte rarement les mecs c’est difficile de dire. Tu dois connaitre plus ce genre de bar qu’moi. » Tu continues de rire en attendant que ton joint te revienne, pour l’instant tu te contente de la bouteille d’alcool que t’as pris le temps de choisir et qui a un goût foutrement dégueulasse. Toi t’es pas un fan de l’Alcool. TU en bois, mais tant que ça saoule ça te plait. Alors pour le goût on repassera ce n’est pas ce qui est vraiment important pour toi. « .. moi j’fréquente plutôt les endroits clos où il y a peu de lumière et que les nanas se baladent en string. Souvent elles offrent un petit extra si tu vois ce que je veux dire.. » Pas b’soin d’un dessin, si ? En tout cas, elle devrait se douter que toi tu ne fais pas dans la normalité. T’es surtout en relation libre avec toi-même, alors pour expérimenté dans ta vie tu le fais. Tu fréquentes des endroits qui ont du bon sens, tout comme les pires endroits. Tu t’en fous de te retrouver dans le pire des endroits miteux, t’as envie de voir des trucs nouveaux, t’as envie de fréquenter de nouvelles personnes – bonnes comme mauvaises pour toi t’en à rien à foutre. « alors, qu’est-ce que t’as fait hier, hein ? » Tu hausses les épaules et fais une petite moue. « J’en sais foutrement, je me souviens de rien. Juste qu'à voir la tête que j'ai, j'ai carrément dérapé. » Ça t’arrives un peu trop souvent de boire et de perdre la carte comme ça. Peut-être devrais-tu modérer ta consommation d’alcool, mais tu dois l’avouer t’as du mal. Tu t’accroches à elle comme si ta vie en dépendait alors que tu n’en as pas vraiment besoin. T’aimes seulement le feeling. « .. enfin j’suis allé dans une soirée et j’me suis réveillé dans le lit de quelqu’un d’autre..c'est ce que je sais. » Finis-tu par dire comme si tu parlais à un ami de gars et que c’était tout à fait normal. « Toi.. qu’est-ce qui t’amène ? Rien de grave j’espère ? Ou juste une envie de te saouler ? » Tu repris ton joint et tira dessus de nouveau attendant sagement la réponse de ton amie.

Cet éternel sourire collé sur tes lèvres, celui qui est plutôt difficile à t’arracher. Un brin d’insolence qu’on peut y déceler d’ailleurs. Mais rien de bien méchant. Alors toi, tu lui demandes s’il n’a pas un endroit en tête. Un, où tu pourrais te rincer l’œil un peu. Où tu pourrais provoquer, chercher un peu. Mais probablement pas trouver. Parce qu’au final, tu n’as pas réellement la tête à ça dernièrement. Et c’est peut-être bien ça le problème. « Bah j'vais te dire un fait..  je matte rarement les mecs c’est difficile de dire. Tu dois connaitre plus ce genre de bar qu’moi. » Sourire qui ne fait que s’étirer sur tes lèvres. Effectivement, à bien y penser, il y a probablement plus de chances que ce soit toi qui fréquente ce genre d’endroit. Le jeune homme qui d’ailleurs, ne tarde pas trop à te mentionner le genre d’endroit que lui, fréquente. « .. moi j’fréquente  plutôt les endroits clos où il y a peu de lumière et que les nanas se baladent en string.  Souvent elles offrent un petit extra si tu vois ce que je veux dire..  » Ouais, non, clairement, tu n’as pas besoin de plus d’explications que celles-ci pour te figurer l’endroit dans un coin de ta tête. Clairement pas le genre d’endroit qui te plait à toi, sans grande surprise. Ton regard qui se pose sur lui à cet instant, toujours ce sourire au coin des lèvres, alors que tu reprends la parole, tout naturellement. « Oh oui, je vois très bien. Et on va éviter, si ça ne te dérange pas. » Pour la simple et bonne raison que dans ce genre d’endroit, tu aurais seulement l’impression d’être de trop. Enfin, d’ailleurs ce serait le cas. Et puis, tu ne te doutes pas une seule seconde qu’il n’a clairement pas besoin de ta compagnie pour s’amuser dans ce genre d’endroit. D’ailleurs, il apprécierait probablement plus la compagnie d’un autre mec, qui partagerait probablement ses goûts en matière de jolies jeunes femmes.
Alors tu finis par détourner la conversation, par lui demander ce qu’il a bien pu faire hier soir pour revenir à cette heure, dans cet état. Clairement très intéressée par la réponse qu’il ne tardera probablement pas à te donner. « J’en sais foutrement, je me souviens de rien.  Juste qu'à voir la tête que j'ai, j'ai carrément dérapé. » Tu ne peux pas t’empêcher de rire. Au final, il faut bien le dire, ça ne te surprend pas vraiment, qu’il ne se souvienne pas de grand-chose de la soirée précédente. Même que tu aurais probablement dû t’en douter toi, vu la tête que ton ami a à cet instant. « .. enfin j’suis allé dans une soirée et j’me suis réveillé dans le lit de quelqu’un d’autre.. c'est ce que je sais.  » Ton rire qui ne s’estompe pas. Tu ne te moques pas forcément de lui, mais c’est clair que la situation t’amuse, et pas qu’un peu il faut bien le dire. Quoi qu’au final, ça t’est déjà arrivé. De te réveiller dans le lit d’un parfait inconnu. De sentir l’odeur de l’alcool, mais de ne rien te rappeler de ce qui s’est passé avant. Et il faut bien le dire, dans cette position, tu trouvais ça bien moins drôle. « Toi.. qu’est-ce qui t’amène ? Rien de grave j’espère ? Ou juste une envie de te saouler ? » Le rire qui s’estompe, peut-être de manière un peu trop drastique d’ailleurs. Si bien que ça ne fait pas du tout naturel. Alors tu prends une grande inspiration, avant de te replacer dans le divan. Pas vraiment certaine d’être prête à lui avouer que c’est l’ennui, qui t’amène avant tout. Et ce besoin, presque vital de t’occuper l’esprit, de te changer les idées. « J’espère quand même que je n’ai pas besoin d’une vraie raison pour débarquer ? » Que tu lances, ton sourire qui commence à nouveau à se dessiner sur ton visage. Parce que oui, ça, ça te ressemble déjà bien plus. Et puis au final, à quelque part, c’est un peu vrai ça aussi. Parce que quand tu es partie de chez toi, tu n’avais aucune idée que tu finirais ici. Donc c’était avant tout une visite un peu à l’improviste. « Mais sinon, c’est clair que toutes les raisons sont bonnes pour se saouler au beau milieu de l’après-midi. En bonne compagnie, c’est toujours mieux. » Petit regard complice que tu lui lances. Et là, tu hésites. À en rester là, à rien dire de plus. Après tout il t’avait tout de même offert la porte de sortie. Mais d’un autre côté, tu n’étais pas tout à fait honnête là. « Puis je me faisais chier chez moi, Zahra est sorti, c’est beaucoup trop calme. » Part de vérité ici, pas complète, même que tu ne mentionnes même pas l’essentiel, mais au final, c’est probablement mieux comme ça. Alors tu t’arrêtes là dans tes explications, puis tu prends une grand gorgée de l’alcool que tu semblais avoir un peu délaissé jusqu’ici.