SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !
Le Deal du moment :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à ...
Voir le deal

Partagez

 

 Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
Thomas Farrel;

-- play your cards --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Thomas Farrel



Daniel Sharman.
{ava : Dublin.}
508
807
Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 E5d43949aaaf89e4780d115ce0f9711ad8b1ac15
36
plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
thomivy #7

Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty Dim 14 Fév - 10:57



elle m'attire comme un aimant.
Tout au fond de lui, au fond de son être, une petite voix ne cessait de lui hurler qu'il avait mal agi en venant rendre visite à l'improviste à Ivy. Pourtant, il en avait eu envie. Tellement envie. La jeune femme avait commencée à lui manquer alors qu'ils venaient de se dire au revoir au pied de son immeuble. Heureusement, l'immeuble de la jeune femme ne se trouvait pas loin du tien. Tu aurais adoré pouvoir observer la demoiselle à travers la fenêtre, c'est malheureusement impossible. Ton appartement donne sur le côté rue. C'est parfois bruyant, surtout aux heures de pointes et tu peine à te rester concentrer sur la toile que tu es en train de peindre ou au livre que tu t'es engagé à lire, et à terminer. Les échanges de messages texte ou les appels sont là pour combler le vide de l'absence de la blonde. Mais toi, tu ne veux pas vivre dans un monde virtuel. Tu as toujours été, du plus loin que tu puisses t'en souvenir, très tactile. U as toujours eu ce besoin de toucher tes amis, ta mère. Au début, il t'étais difficile de toucher Ivy et puis, plus vous passez de temps ensemble et plus la demoiselle se laisse faire. Néanmoins, elle rougit encore énormément. Sa manière de rougir à chacun de tes contacts te fait immédiatement sourire. Tu trouve cela vraiment mignon et adorable. Ça a le don de te faire craquer encore plus pour la jolie petite serveuse.
Oui, tu avais eu envie de voir Ivy. De passer du temps avec elle. Cette révélation a, encore une fois, fait rougir la principale concernée. Tu souris, observant et guettant attentivement la moindre réaction de la jeune femme. Jamais tu ne pourrais lui mentir. Que ça soit sur ça ou sur autre chose. De toute manière, tu ne sais pas mentir. Ça se lit tout de suite sur son visage. T'apprécie vraiment la demoiselle. Passer du temps en sa compagnie te rend immédiatement. Une sensation de bien-être avec une légère pointe de bonheur t'envahis soudainement. Au début, tu pensais qu'il y avait un problème. Tu ne connaissais pas ce sentiment, même si avec Ella tu te sentais tout aussi et en sécurité. Mais là, avec Ivy, il y a quelque chose de plus fort. Tu ne parviens pas à l'expliquer. Ça te faisait peur tout ça et puis, finalement, tu as compris. Tu es simplement en train de tomber amoureux de la jeune femme. Dans la vie, tu t'es toujours abstenu de ne jamais t'attacher à qui que ce soit. Tes barrières, soigneusement construites, ont commencés à tomber lorsque la tempête Ella a fait irruption dans ta vie. Les barrières sont définitivement tombés avec l'arrivée de la petite serveuse dans ta vie. S'attacher c'est prendre le risque de souffrir. Tant pis. Tu n'as plus peur et est prêt à prendre le risque d'être déçu et de perdre la blonde. Ivy ne te décevra pas, t'en es certain. Lorsque tu la fixe silencieusement, tu le sais que jamais elle ne te fera le moindre mal. Tout comme toi, tu ne lui en fera pas. Votre rencontre n'a rien d'anodin. Vous êtes là pour vous entraider à avancer et à tenir debout.

Tu souris lorsqu'elle te résume le programme qu'elle s'était prévue pour ce soir. « J'espère que Socrate ne m'en voudra pas trop de lui voler sa petite maîtresse le temps de quelques heures ! » Oui, tu n'es pas pressé de rentrer chez toi. Entre passer du temps avec Ivy et rentrer, te retrouvant seul chez toi, le choix fut très rapidement fait. Toutefois, tu es un peu jaloux de la demoiselle. Elle, au moins, elle a quelqu'un qui l'attend le soir quand elle rentre chez elle après une éprouvante journée de travail. Toi, lorsque tu franchis le seuil de ton appartement, personne ne t'attend. Il n'y a que le silence qui habite ton appartement lorsque tu n'es pas là.
Au début, il y a des mots que jamais tu n'aurais osé prononcer face à Ivy. Cette dernière a fait de très gros progrès. Comme si elle acceptait enfin ta présence. Tu ne lui veux pas de mal, jamais ça ne sera le cas. « Il me semble que tu m'en avais parlé une fois. Mais tu sais, la mémoire et moi, ça fait deux ! » Tu dis, haussant les épaules et sourire aux lèvres. Tu n'as jamais eu de mémoire, ce n'est pas un fait nouveau. Tes rares proches le savent déjà et depuis longtemps.
Parfois, il suffit de pas grand chose pour être heureux et, tu dois bien admettre que, la présence de Ivy à tes côtés ne rend ta soirée que plus belle. Si tu étais rentré chez toi comme convenu au départ, tu aurais certainement passé une soirée sur ton canapé devant ta série du moment avec ton assiette de pâtes et ton soda à bulles sur les genoux. Pas très réjouissant, il faut bien l'avouer ! La présence de la blonde près de toi rend la soirée nettement plus belle et plus intéressante.

La réponse de la demoiselle te fait tellement plaisir. Tu sais qu'elle est capable de relever le défi avec brio. Tu n'as pas encore eu la chance de goûter ses créations culinaires mais tu sais qu'elle ne te décevra pas. Comment tu le sais ? Il y a des choses comme ça où les choses se ressentent tout de suite. Puis, tu viens lui proposer d'être ta cavalière pour cette grande soirée. Ça sera la première fois que tu participeras à une soirée inauguratrice au musée, il va falloir que tu trouve une tenue convenable, pas sûr que tu es cela dans ta garde-robe. « Bien sur je suis certain de moi. Ça me fera plaisir qu'on y aille ensemble ! » Un grand sourire s'affiche immédiatement sur ton visage. « Je te ferais une petite visite guidée du musée. J'pourrais même te montrer l'oeuvre que je suis en train de restaurer en ce moment ! » Une œuvre datant de plusieurs siècles déjà et avec un millier de petits détails. Il faut énormément de patience et de minutie pour arriver à leur rendre leur apparence d'origine. Heureusement pour toi, la patience est l'une de tes plus grandes qualités. Il faut également de bons yeux et là aussi, tu n'as pas trop à te plaindre de ta vue.
« J'ai hâte de voir ça ! J'vais devoir en faire un peu aussi. J'ai jamais mis de costume avant aujourd'hui ! » Ton style vestimentaire est on ne peut plus simple : jeans, pull ou tee-shirt -tout dépend de la saison- et baskets. Les couleurs prédominantes de ta penderie sont le noir et le blanc. Tu ne possède aucun vêtement extravagant.

Tu as plus que hâte d'offrir son présent à Ivy. Tu y a passé une soirée entière, te couchant à trois heures du matin. Tu ne peux t'empêcher de rire en entendant la réflexion de la demoiselle. Elle a vraiment une confiance en toi et en ta capacité à t'occuper d'une plante. « Je ne te raconterais pas comment j'ai fait mourir la plante préférée de ma mère à l'époque ! » La pauvre, qu'elle repose en paix ! « Je tâcherais d'être le meilleur élève possible et de ne pas te décevoir non plus ! » Toujours ce sourire idiot affiché sur tes lippes.
Ensemble, marchant côte à côte, vous arrivez chez le fleuriste juste de l'autre côté de la rue. Dans les allées que vous arpentez ensemble, tu observe chaque plante avec minutie. « Etant très maladroit, je pense qu'on exclure les cactus déjà. J'suis bien capable de me piquer avec à chaque fois que je passerais à côté. Après, j'aime bien les plantes grasses. Il n'y a pas trop besoin d'entretien je pense. J'ai un appartement avec une très bonne luminosité, ça peut aider non ?! » Tu te rends vraiment compte, à cet instant, que tu es plus que novice en ce qui concerne les plantes et fleurs. « Si je deviens un pro du jardinage en 201, ça sera grâce à toi ! » Ta main qui effleure celle de la jeune femme. Une décharge électrique qui te parcoure la colonne vertébrale. Sensation loin d'être désagréable.


@Ivy Wade  Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 2781936883
code by EXORDIUM. | imgs by tumblr


Revenir en haut Aller en bas
Ivy Wade;

-- play your cards --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Ivy Wade



Taylor Swift
Bazzart
166
767
Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Pusheen-flowers-icegif
34
Ré-illusionnée la petite fille au coeur brisé a enfin cédé à la tentation et se laisse tomber dans les bras de ce garçon qui pourrais bien être son sauveur
Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
I don't like that falling feels like flying 'til the bone crush
Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Crackship2
Thomivy ★

Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty Dim 14 Fév - 13:46




And it's hard to be at a party when I feel like an open wound




D’aussi loin qu’elle s’en souvenait, Ivy avait toujours eu l’impression d’être une pièce rapportée. Elle était tellement en décalage avec son entourage qu’elle n’avait jamais eu l’impression que qui que ce soit puisse avoir envie de la voir, elle, juste elle, sans aucune autre raison à faire valoir. Elle s’en était toujours contentée. Loin de penser qu’elle était le centre du monde, la blonde acceptait depuis toujours, sans mal et sans vexation particulière, que pour que l’on vienne la voir il faille toujours avoir une raison. Elle avait eu des amis, des amours, surtout un en fait, et elle n’avait pourtant jamais cru que les uns ou les autres puissent vouloir la voir juste pour la voir, pour passer du temps avec elle. Mais ce n’avait jamais été grave, elle n’avait pas besoin de ça pour avoir envie de s’occuper des autres, de prendre soins d’eux, de donner de sa personne. Aujourd’hui, Thomas, qu’elle ne connaissait pas depuis si longtemps que cela puisque leur rencontre remontait à la fin de l’été, venait la retrouver sur son lieu de travail en arguant qu’il avait envie de la voir, juste ça et… elle n’avait pas envie de le contredire, il semblait si sincère, même si la voix dans sa tête lui criait qu’il fallait vraiment avoir une idée derrière la tête pour venir ainsi la trouver, parce qu’Ivy ce n’est pas le genre de personne que l’on pourrait venir voir comme ça sans raison à moins d’être sacrément fou. Et Thomas ne l’était certainement pas, fou. Qu’importe si c’était réel ou non, s’il y avait une raison bien cachée derrière cette visite à l’improviste, Ivy n’avait pu empêcher le rouge de lui monter aux joues en entendant le jeune homme dire qu’il avait juste envie de la voir. Elle qui était persuadée depuis toujours que personne n’avait envie de la voir. Ivy était fragile, fébrile, facilement déstabilisée par autrui, elle devenait facilement rouge comme une pivoine, pour un oui ou pour un non, elle était influençable et elle n’osait que très rarement donner son avis, s’affirmer face aux autres. Face à Thomas son comportement n’avait donc rien d’exceptionnel, la seule chose qui était exceptionnel c’était ce qu’elle ressentait en elle, bien à l’intérieur, eu fond de son être, dans le creux de son ventre. Ce sentiment que son cerveau semblait décider à combattre encore avec ardeur. Thomas réveillait en elle quelque chose qui ressemblait à ce à quoi elle s’était fermée depuis plusieurs années. Pourtant, en sa présence, elle se sentait légère et une douce chaleur l’habitait, elle était destabilisée et elle riait, souvent comme une idiote. Quelque chose chez Thomas la touchait en plein coeur, plus que chez les autres qui avaient pu croiser sa route. Il réveillait en elle quelque chose qu’elle avait cru mort, ou qu’elle avait en tout cas voulu croire mort. Elle luttait, sans même en être consciente d’ailleurs et la perspective de se rapprocher de lui était aussi douce qu’elle n’effrayait la serveuse. La jeune femme restait, pour le moment indécise, perdue entre les sensations qui la parcourait en présence de Thomas et ce que son cerveau lui dictait. Elle voulait être son amie, elle devait arrêter de se comporter comme elle le faisait, elle le savait mais c’était plus fort qu’elle, les sourires et les compliments du brun avait, à chaque fois, raison d’elle et de ses bonnes résolutions. Thomas l’interrogea ensuite sur la perspective de passer un peu de temps avec lui ce soir. Elle n’avait rien de mieux à faire, elle qui allait rentrer chez elle et s’enfermer à double tour dans son appartement à la décoration cozy et épurée, elle allait retrouver son adorable petit chat et ses démons, ils étaient toujours fidèles au poste. Elle en emmenait toujours quelques uns avec elle la journée, qui surgissait à n’importe quel moment sans prévenir mais le soir, quand elle passait le pas de sa porte, ils étaient là, à attendre bien sagement le retour de leur meilleure ennemie. Passer du temps avec Thomas n’était pas quelque chose qui avait été prévu cette fois. Ce serait Sans doute éprouvant pour la serveuse mais, malgré la peur qui montait doucement en elle, cette perspective ne lui paraissait pas désagréable. Loin de là. Apprendre à connaitre un peu plus le jeune homme, flâner, discuter, ce n’était jamais désagréable. Même si Ivy avait parfois des petits passages difficiles, le brun n’en faisait jamais cas, il ne lui en tenait pas rigueur et de la questionnait pas plus que cela ce qui était agréable pour Ivy qui n’aimait pas être ouvertement regardée comme une bête de foire. Elle qui avait du mal à être sur le devant de la scène, c’était quelque chose de très désagréable que de se sentir observer d’un oeil rempli d’interrogations et de jugement.«J'espère que Socrate ne m'en voudra pas trop de lui voler sa petite maîtresse le temps de quelques heures !» Ivy avait sourit plus largement. Socrate était un chat très proche de l’homme ou en tout cas très proche d’elle. Il était toujours heureux de la retrouver lorsqu’elle rentrait chez elle après sa journée de travail, cependant il accepterait certainement de la partager un peu du moment qu’elle rentrait dans la soirée pour le nourrir et lui donner sa dose de câlins habituels. « Je crois qu’il n’est pas très rancunier mais, si jamais, tu peux toujours lui offrir une boite de pâtée au thon pour te faire pardonner, il adore ça…». Ivy avait laissé échapper un rire léger et cristallin. Socrate ne dirait certainement rien et accepterait le retour de sa maitresse avec joie, quelle que soit l’heure. Ceci dit, il était gourmand et il ne refusait jamais des petites friandises, le thon était son péché mignon et avec Ivy il était plutôt gâté, elle ne pouvait pas nier qu’elle aimait faire plaisir à son petit compagnon. Sans hésiter une seconde, Thomas avait inviter la jeune femme à une soirée organisée sur son lieu de travail dans quelques semaines et, visiblement, que ce soit en temps que participante ou simplement visiteuse, le brun semblait bien décider à voir Ivy à cette soirée. Elle se sentait tout aussi flattée qu’effrayée. Si Thomas était là et qu’il ne la lâchait pas de la soirée, si en plus Joseph était aussi de la partie pour l’aider avec le buffet alors elle pensait pouvoir être capable de relever ce défi qui en représentait un sur bien des plans pour la demoiselle, Thomas était certainement loin de s’en douter. Quand la soirée approcherait, Ivy serait certainement tétanisée, effrayée mais, elle donnait ce soir sa parole à Thomas et il était hors de question de lui faire faux bond par la suite, elle ne le décevrait pas ou en tout cas elle ferait au mieux.  « Bien sur je suis certain de moi. Ça me fera plaisir qu'on y aille ensemble ! » Le sourire de Thomas n’avait fait qu’accroitre celui de la jeune femme. Il avait réellement l’air heureux de la voir accepter et il semblait confiant quant à la capacité de la blonde à se tenir correctement pour une soirée de cet acabit. « Dans ce cas, je promet de faire tous les efforts possibles pour être digne de cette invitation ! » Pour dissiper un peu le malaise qu’elle sentait la gagner malgré tout, contrastant avec la joie qu’avait provoqué la proposition de Thomas en elle quelques secondes plus tôt elle avait levé la main gauche comme si elle prêtait un serment solennel avant de se mettre à rire à nouveau.  « Je te ferais une petite visite guidée du musée. J'pourrais même te montrer l'oeuvre que je suis en train de restaurer en ce moment !». Cette perspective faisait briller les yeux de la jeune femme, visiter le musée en compagnie d’un guide aussi agréable que Thomas qui aurait sans doute de multiples anecdotes à lui narrer et découvrir un peu de son travail, c’était une belle perspective pour Ivy qui, en réalité ne demandait que ça, impressionnée par le métier du jeune homme. « Oh mais c’est super ! Je suis sûre que tu as plein de choses à m’apprendre sur les oeuvres que j’ignore ! Et je suis si impatiente de voir ton travail ! » Comme une enfant à qui l’on aurait promis un très beau cadeau, Ivy trépignait déjà à cette idée oubliant presque à quel point la soirée lui faisait peur. Visiter le musée en soirée, avec un guide particulier, véritable passionné d’art sans aucun doute, était quelque chose dont elle rêvait et découvrir le travail minutieux et délicat de Thomas était aussi quelque chose qui la rendait impatiente « J'ai hâte de voir ça ! J'vais devoir en faire un peu aussi. J'ai jamais mis de costume avant aujourd'hui ! ». Ivy ne serait donc pas la seule à devoir aller faire quelques boutiques pour trouver une tenue acceptable pour une telle soirée. La blonde en avait eu des robes de bal, des robes de galas, très belles pour diverses occasions mais c’était dans son ancienne vie et aujourd’hui elle n’en avait plus aucune, jamais elle n’aurai cru en avoir besoin à nouveau. Ses pensées vagabondaient déjà vers la robe qui pourrait convenir pour cette soirée, elle comptait bien rendre Thomas fière d’elle. «  Sérieusement ? Je suis sûre que ça t’iras très bien, j’en mettrais ma main à couper même ! » Désireuse de se montrer bienveillante et encourageante envers Thomas, elle ne s’était pas tout de suite rendue compte de ce qu’elle venait de dire et lorsque la réflexion lui arriva enfin au cerveau, elle ne pu s’empêcher de baisser les yeux et de rougir légèrement avant de relever le regard vers le jeune homme, après tout, elle pensait ce qu’elle disait et il n’y avait aucun mal à cela et pas lieu d’y voir un sous-entendu quelconque. « Je ne te raconterais pas comment j'ai fait mourir la plante préférée de ma mère à l'époque ! ». Ivy s’était empressée de mettre les mains sur ses oreilles en riant avant de répondre sur un ton beaucoup plus enjoué que précédemment. « Non je ne préfère pas savoir, je préfère ignorer tout de ton passé de serial killer de pauvres plantes sans défense ! ». En réalité, elle était convaincu que, s’il en avait la volonté, il arriverait à s’occuper d’une plante. c’était surtout une question d’observation pour Ivy, essayer de détecter quand il est temps d’agir, un peu comme dans les relations humaines finalement à l’exception que les plantes sont des êtres honnêtes et sans vices, elles ne mentent pas sur leur état. «  Je tâcherais d'être le meilleur élève possible et de ne pas te décevoir non plus ! ». Elle avait sourit avec douceur, heureuse d’entendre que Thomas ferait de son mieux pour faire honneur à cette plante, la première de son nouvel appartement, ce n’était pas rien quand même ! Ivy, elle, était d’ores et déjà convaincu que le jeune homme mènerait à bien cette nouvelle mission sans trop de pépins et si besoin, elle serait toujours disponible pour venir sauver une pauvre plante en détresse. Le duo gagna assez rapidement la jardinerie la plus proche, c’était un petit magasin agréable qu’Ivy connaissait bien, elle pouvait y passer des heures à se promener entre les rayons chargés de magnifiques végétaux. Dans son appartement, elle ne pouvait pas toutes les prendre sinon, elle l’aurait fait sans aucun doute. Sourire aux lèvres, dans son élément comme à la pâtisserie, elle entrainait le jeune homme à sa suite dans les rayons avant de s’arrêter pour l’interroger avec sérieux. « Etant très maladroit, je pense qu'on exclure les cactus déjà. J'suis bien capable de me piquer avec à chaque fois que je passerais à côté. Après, j'aime bien les plantes grasses. Il n'y a pas trop besoin d'entretien je pense. J'ai un appartement avec une très bonne luminosité, ça peut aider non ?! » La jeune femme restant interdite, réfléchissant à une plante qui pourrait convenir. Les gens pensaient souvent, à tord, que les plantes grasses et les cactus étaient faciles d’entretien, hors, s’agissant de plante ne nécessitant pas beaucoup d’eau pour vivre, il fallait faire très attention lors de l’étape cruciale de l’arrosage même si celui ci était rare. Soudain un sourire s’afficha sur son visage et elle invita Thomas à la suivre vers la plante qui lui était venue à l’idée. Après quelques mètres, elle s’arrêta devant une étale qui contenait tout un tas de plantes grasses. « Une rose du désert ! Qu’est ce que tu en dit ? c’est une plante qui a besoin de peu d’eau, de lumière et de chaleur. Elle fleurit de temps en temps et même souvent lorsqu’elle est bien entretenue. Ca te plait ? » Ivy désigna la plante à Thomas. Comme ça elle ne payait pas de mine mais les fleurs étaient magnifiques et, du point de vue d’Ivy l’appartement de Thomas conviendrais parfaitement puisqu’il était apparement lumineux et c’était une plante qui ne nécessitait pas beaucoup d’entretien, Ivy pourrait facilement venir s’en occuper elle même si Thomas ne s’en sortait pas, même si elle avait bon espoir qu’il se débrouille comme un chef. «Si je deviens un pro du jardinage en 201, ça sera grâce à toi !  » Ivy avait sourit en hochant la tête d’un air entendu et convaincue. « Moi je suis sûre que d’ici la fin de l’année tu seras devenu un expet et tu n’auras même plus besoin de mes conseils en botanique !» Elle avait rit avec légèreté, c’était agréable de passer un moment comme celui ci ou elle arrivait à ne penser à rien d’autre, comme lorsqu’elle était à la patisserie, concentré sur son but, sur l’objectif qu’elle se fixait. Devant le rayon, les allées étaient étroites et Ivy se tenait proche de Thomas, à nouveau leurs mains s’effleurèrent alors qu’Ivy entreprenait de choisir la rose du désert la plus belle pour Thomas, un frisson assez intense la parcourut à nouveau la bouleversant presque. Elle ne savait pas pourquoi elle ressentait soudainement quelque chose d’aussi fort mais elle sentait son coeur tambouriner plus fort pendant quelques battements et ses joues rougir encore. Un peu désorientée par cette réaction de son corps et cette proximité imposée par la configuration des lieux, Ivy resta silencieuses quelques instants, faisant mise de chercher, toujours, la plante parfaite.

panic!attack


@Thomas Farrel Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 4199206909

_________________
« Ré-illusionnée »
I'm laughing with my lover, making forts under covers, trust him like a brother, yeah, you know I did one thing right. Starry eyes sparkin' up my darkest night. My baby's fit like a daydream, walking with his head down. I'm the one he's walking to. So call it what you want
©️crackintime
Revenir en haut Aller en bas
https://savethequeens.forumactif.com/t8224-rescue-me-from-the-demons-in-my-mind-ivy
Thomas Farrel;

-- play your cards --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Thomas Farrel



Daniel Sharman.
{ava : Dublin.}
508
807
Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 E5d43949aaaf89e4780d115ce0f9711ad8b1ac15
36
plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
thomivy #7

Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty Lun 15 Fév - 11:29



elle m'attire comme un aimant.
Tu n'as jamais eu l'impression de compter pour qui que ce soit. Mis à part pour ta mère mais c'est normal, on compte tous pour ses parents. Ton père, tu ne le connais et ta mère a toujours refuser de t'en parler. Tu as grandis sans un modèle d'autorité paternel, tu as dû apprendre à te débrouiller seul. Des amis, tu n'en avais pas beaucoup. Voire quasiment aucun. À ton arrivée à New-York, tu ne pensais pas rencontrer des personnes qui deviendront si importante dans ta vie. Et puis, Ella est arrivée. Au départ, elle était une simple relation professionnelle et, aujourd'hui, la demoiselle est une très fidèle amie. Ta meilleure amie même. Et puis, il y a Ivy. Tu n'arrive pas à définir la nature de ta relation. Mais tu sais que tu tiens très fort à elle. Sa présence près de toi t'es devenu indispensable. Tu as besoin d'elle dans ta vie, de sa présence. Son sourire, sa manière d'être, de se tenir, d'agir. Tu as besoin d'elle dans ta vie. Tu serais bien incapable de cesser de lui parler à partir d'aujourd'hui. Elle est ton addiction, mais, celle-ci, n'est pas du tout nocive pour la santé. Loin de là. Toutefois, ça te fait peur. Tu n'as jamais eu de relation avec une femme. Tu ne sais pas comment cela fonctionne. Tu as toujours été maladroit. Que ça soit dans tes gestes, dans tes mots. Tu as toujours eu du mal à t'exprimer ou à agir sans te tourner en ridicule. Ivy ne t'intimide pas vraiment, elle t'impressionne. Tu as envie de lui plaire, de donner le meilleur de toi-même pour elle, pour lui faire plaisir. Tout le monde sait à quel point tu possède un immense manque de confiance en toi. Et pourtant, lorsque tu te trouve en présence de la demoiselle, tout semble aller pour le mieux. C'est comme si elle avait une excellente influence sur toi, qu'elle te rendait meilleur sans même s'en rendre compte.
Autrefois, jamais tu ne te serais amusé à venir rendre visite à l'improviste à l'un de tes proches. Encore une fois, Ivy te fait faire des choses folles. Tu es en train de changer. Tu es en train d'évoluer, de grandir. Tu es en train, tout simplement, de devenir un homme et pas n'importe lequel. Un homme qui éprouve de légers sentiments amoureux pour la jolie blonde à ses côtés. Certains t'ont déjà parlés d'un coup de foudre qu'ils ont eu dans le passé. Tu peinais à imaginer à quoi cela pouvait bien ressembler et puis, finalement, c'est à ton tour d'avoir un coup de foudre. Tu ne t'y attendais pas. Personne ne s'y attendais. Ivy est ton âme sœur, ta moitié dans ce monde. Tu le sais et, cette vérité t'effraie atrocement.
« Oh bah s'il n'y a que ça pour le rendre heureux ! Je lui en ramènerais ! » Tu adorerais rencontrer le chat de la blonde. Tu as toujours souhaité avoir un chat, ta mère a toujours refusé cette requête. Il faut dire que tu es allergique aux poils de chats, légèrement. Tu peux te trouver dans la même pièce que ces petites bêtes, mais en revanche, il t'es impossible de les toucher. « Par contre, je dois te prévenir que je ne pourrais jamais le toucher... Je suis allergique aux poils de chat. J'peux être dans la même pièce, mais pas les toucher ! » C'est très frustrant tout de même. Le rire de la jeune femme te rend heureux, des milliers de frissons se déclenchent tout le long de ta colonne vertébrale.

Ivy accepte ton invitation. Tu as hâte de la voir arriver dans sa belle robe longue semblable à celle d'une princesse Disney. Il va falloir que tu aille faire un peu de shopping, une étape difficile pour toi. Peut-être qu'Ella arrivera à t'y traîner, c'est même certain en fait. « Ce que j'aime dans ce travail, mis à part travailler sur de grandes œuvres d'art, c'est d'en apprendre plus sur l'oeuvre. J'ai toujours aimé apprendre des choses nouvelles. Je dois dire que je suis servi avec ce travail ! » Finalement, tu ne regrette pas de ne pas avoir suivi sur ta lancée. La danse te manque mais tu t’épanouis tellement bien dans ce nouveau job au musée. « Je travaille sur une grande fresque en mosaïque en ce moment. Il y a des milliers, voie des millions, de petits carrés de toutes les couleurs. Je peux te dire qu'en fin de journée, mes yeux n'en peuvent plus. » Les soirées, tu ne les passe à comater devant la télévision ou, bien souvent, tu t'endors avant que le film ne commence. Ou avec ton livre entre les mains. Tu pourrais passer des heures à parler de ton travail tellement il est intéressant. « En parlant de travail, j'attends toujours ton invitation pour goûter tes préparations ! » Tu dis, un grand sourire sur tes lippes. Toutes les excuses sont bonnes pour passer le plus de temps possible en compagnie de la blonde. Pourtant, vous ne vous connaissez que depuis six mois. Et déjà, la petite serveuse a pris une très grande place et une très grande importance dans ta vie.
Un peu honteux, tu baisse la tête, le regard vers tes pieds. « Ouais.. Il faut dire que j'ai jamais eu d'occasion de porter un costume ! » Tu aimerais tant lui raconter tout ce qu'il s'est produit dans ta vie depuis ta naissance mais non, c'est trop tôt. Certains passages de ta vie sont trop douloureux à raconter, elle risque de prendre peur également. Un jour, tu seras capable de lui parler. Pour le moment, c'est trop tôt.
C'est ensemble, marchant côte à côte, que tu rentre chez le fleuriste. Vous faites le tour de la boutique. Tu la laisse choisir, toi tu n'y connais rien. Elle te parle d'une rose du désert, c'est comme si elle te parlait chinois. Tu lui fais confiance de toute manière. « Si tu trouve que c'est la meilleure plante pour un novice comme moi, elle va pour la rose du désert ! » Tu dis, un grand sourire plaqué sur tes lippes. « Ok. Alors, je relève le défi de faire vivre cette plante jusqu'à, au minimum, le trente et un décembre deux mille vingt et un. » Tu dis, bombant fièrement le torse. Tu ne veux vraiment pas la décevoir. Tu veux qu'elle soit fière de toi alors tu mettras tout ton cœur et toute ton âme dans la réalisation de cette tâche. Tu souris à la demoiselle, tu prends un risque en venant déposer un baiser sur la joue de la jeune femme en guise de remerciement. « Je te ramène chez toi ? » Tu dis d'une voix douce, calme, sereine. Tu n'as pas envie qu'elle rentre seule, en pleine nuit. Le Queens n'est pas l'endroit le plus sûr de la ville.


@Ivy Wade  Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 2781936883
code by EXORDIUM. | imgs by tumblr


Revenir en haut Aller en bas
Ivy Wade;

-- play your cards --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Ivy Wade



Taylor Swift
Bazzart
166
767
Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Pusheen-flowers-icegif
34
Ré-illusionnée la petite fille au coeur brisé a enfin cédé à la tentation et se laisse tomber dans les bras de ce garçon qui pourrais bien être son sauveur
Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
I don't like that falling feels like flying 'til the bone crush
Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Crackship2
Thomivy ★

Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty Lun 15 Fév - 15:51




And it's hard to be at a party when I feel like an open wound




Thomas parlait, souriait, s’approchait d’elle pour lui dire à quel point il était heureux de la voir, combien elle avait pu lui manquer depuis la dernière fois qu’il l’avait vu, le téléphone, les messages c’est bien mais rien ne remplace la présence physique. Il lui disait tout cela et Ivy, dans un premier temps, la surprise aidant, avait semblé se laisser aller à le croire, à céder un peu à cette douce tentation de le laisser s’approcher et de faire tomber ses barrières, de la laisser la toucher encore un peu plus avec ses mots au risque de succomber pour de bon. Et puis, bien vite la raison, ou ce qu’elle pensait l’être en tout cas, avait repris le dessus et un léger sentiment de panique l’avait gagné, livrant bataille dans son être avec la partie d’elle qui voulait se laisser à aller au rapprochement, amical ou tout autre, avec Thomas. Pendant qu’il lui parlait de ce qu’il avait fait pendant les fêtes, la blonde était parvenu à mettre un peu d’ordre dans son esprit encore trop dérangé de tous les tourments qu’il avait eu à connaitre, elle avait chassé de son esprit les pensées qui avaient pu le traverser une fraction de seconde et se remettre dans de meilleures dispositions pour ne pas effrayer Thomas en paraissant trop étrange, trop perturbée. Bien malgré elle, malgré la lutte qui faisait rage dans son crâne, son coeur parla avant son cerveau et elle avait accepté la proposition de Thomas de poser quelques heures avec lui avant de rentrer chez elle ce soir. Elle voulait de tout coeur devenir son amie car elle savait que c’était par là que passait sa guérison, son retour à la vie ‘normale’, vie qui ne ressemblerait peut être pas à son ancienne vie mais après tout n’était ce pas cette ancienne vie qui l’avait rendue malade ? Et il parait que l’on ne peut pas guérir en restant dans l’environnement qui vous a rendu malade. Peut être que le changement aurait du bon mais ce changement, quel qu’il soit, quelle que soit la vie vers laquelle Ivy voulait aller, ne se ferait pas sans douleur, dans la douceur toujours, non il fallait accepter de sortir de sa zone de confort comme on le disait souvent. Ivy comprenait pleinement et douloureusement le sens de l’expression zone de confort, elle qui était si souvent en dehors depuis son retour à New-York. Devenir amie avec Thomas, réapprendre à nouer des liens avec autrui, c’était une étape importante de cette reconstruction qu’elle essayait tant bien que mal d’ammorcer, la plus importante peut être après l’apprentissage d’un nouvel emploi.  Cependant si l’idée de se lier avec Thomas avait semblé une bonne idée au début, depuis quelques temps, à force d’échanger avec lui, elle avait l’impression qu’autre chose était en train de couver en elle, quelque chose qu’elle ne voulait pas parce que cela lui rappelait trop d’évènements douloureux de sa vie et elle se retrouvait embrouillée, peut être sans aucune raison valable, dans des pensées contraires. «Oh bah s'il n'y a que ça pour le rendre heureux ! Je lui en ramènerais ! » IIvy avait à nouveau rit légèrement. C’était la première fois qu’elle avait un chat et Socrate était plutôt patient et compréhensif avec sa maitresse. Entre laissé pour compte tous les deux semblaient s’être bien trouvés et s’entendre à merveille. Le petit félin était une présence agréable et rassurante pour la jeune femme et, bien qu’il ne soit qu’un animal aux yeux de certains, il arrivait toujours à déceler la tristesse de la blonde et avait toujours un remède face à cela.  « Il va t’adorer si tu lui ramène de la nourriture la première fois qu’il te voit, c’est certain ! ». Socrate était un petit gourmand, malin et adorable. Ivy était totalement amoureuse de son petit chat et cela ne faisait aucun doute lorsqu’elle parlait de lui. C’était son meilleur ami, celui à qui elle confiait tout même si cela pouvait paraitre ridicule. « Par contre, je dois te prévenir que je ne pourrais jamais le toucher... Je suis allergique aux poils de chat. J'peux être dans la même pièce, mais pas les toucher ! » A ces mots le sourire de la jeune femme s’évanouie. Cela devait être horrible d’être allergique aux chats ou même à tout autre animal. Ivy aimait bien trop les animaux, elle n’aurait jamais pu supporter cela. Sa vie n’était déjà pas des plus joyeuse, alors si elle avait en plus eu le même problème que Thomas…  « Oh mon dieu, quelle horreur… enfin je veux dire ça doit être horrible ! Je ne sais pas comment on peut résister à caresser un animal aussi mignon… En plus Socrate est très proche de l’homme, il vient toujours se frotter, chercher des caresses… et la nuit, il dort avec moi, je ne sais pas comment je ferais si je devais me passer de ça …» Tout tournait à toute vitesse dans la tête d’Ivy, comme bien souvent elle se faisait des film alors que le problème évoqué ne la concernait pas et qu’elle n’avait donc pas vraiment à se poser de question, elle n’avait qu’à se contenter d’être heureuse de ne pas être dans le cas du jeune homme et de pouvoir profiter de son chat sans aucun soucis. La conversation se poursuivait dans une légèreté et une simplicité particulière et appréciable, Thomas parlant maintenant de son travail sous le regard fasciné d’Ivy qui avait vraiment hâte d’en apprendre plus et de voir de ces yeux l’oeuvre dont prenait soin le jeune homme.« Ce que j'aime dans ce travail, mis à part travailler sur de grandes œuvres d'art, c'est d'en apprendre plus sur l'oeuvre. J'ai toujours aimé apprendre des choses nouvelles. Je dois dire que je suis servi avec ce travail ! ». Lorsqu’il parlait de ce qu’il faisait il avait réellement l’air passionné et la blonde buvait ses paroles, l’observant avec un sourire aux lèvres. Elle savait ce que cela procurait d’aimer son travail et il n’y avait pas beaucoup de sentiments plus satisfaisant, Thomas devait savoir cela aussi bien qu’elle à en juger par sa façon de décrire ce qu’il faisait. « Tu crois que tu pourras me raconter des anecdotes sur certaines oeuvres ? J’adore connaître les secrets qui se cachent derrière les oeuvres… » Elle avait sourit, réellement intéressée par tout cela. Elle espérait que Thomas pourrait lui livrer quelques petits secrets et que cela ne relevait pas de quelque chose qui ne devait pas être dit à qui que ce soit qui ne travaillait pas sur les oeuvres… « Je travaille sur une grande fresque en mosaïque en ce moment. Il y a des milliers, voie des millions, de petits carrés de toutes les couleurs. Je peux te dire qu'en fin de journée, mes yeux n'en peuvent plus. ». La serveuse était réellement impressionnée par le travail minutieux de Thomas. Pour pouvoir faire ce qu’il faisait il fallait de la patience, certainement beaucoup et il fallait aussi, certainement, être soigneux, méticuleux, précis avec des gestes experts. «  Ohlala j’imagine ! Ca n’a peut être rien à voir mais je compatis, la décoration de certains gâteaux demande aussi un peu de précision et rien que ça, ça me fait des maux de tête parfois ! » Avec son exemple de pâtisserie elle se sentait un peu ridicule mais c’était la seule chose qui lui était venue en tête pour compatir à ce que venait de lui dire Thomas qui d’ailleurs ne demandait certainement aucune compassion. Mais cela dit, la pâtisserie demandait parfois beaucoup de précision et de soin pour réaliser un beau glaçage ou bien pour décorer joliment un gâteau. Ivy adorait le cake design qui lui permettait de réaliser de belles choses. Elle ne se considérait pas comme une experte en la matière mais elle essayait de s’améliorer à chaque fois.
« En parlant de travail, j'attends toujours ton invitation pour goûter tes préparations !». Apparement le jeune homme n’avait pas oublié ses propos de la dernière fois et il tenait réellement à gouter les réalisations qu’elle pouvait faire. Elle baissa les yeux d’abord confuse avant de reprendre, en essayant de ne pas paraitre trop gênée.  « Promis, je ne t’ai pas oublié ! Quand je viendrait te donner ton premier cour de jardinage je t’emmènerais des petites douceurs ! ». Elle avait sourit à nouveau, baissant rapidement les yeux lorsque son regard avait croisé celui du jeune homme. A l’évocation du costume qu’il devrait porter Thomas avait baissé les yeux, semblant honteux et cette attitude faisait de la peine à Ivy. «  Ouais.. Il faut dire que j'ai jamais eu d'occasion de porter un costume ! ».Elle repris la parole rapidement sur un ton le plus enjouée possible. « Je suis sûre que ça va bien t’aller et après tu auras hâte d’avoir à nouveau l’occasion d’en mettre un ! » Rapidement le duo était arrivé chez la sympathique fleuriste du quartier, le magasin était agréable tout comme la propriétaire des lieux, Ivy adorait y flâner. Après quelques instants de réflexion quant à la meilleure plante pour le jeune homme, le choix d’Ivy se porta sur une rose du désert. « Si tu trouve que c'est la meilleure plante pour un novice comme moi, elle va pour la rose du désert !» Le brun y mettait beaucoup moins d’entrain qu’elle mais elle ne pouvait pas lui en vouloir. Cependant elle espérait qu’il ne se forçait pas à accepter une plante juste pour ne pas la vexer. «Ok. Alors, je relève le défi de faire vivre cette plante jusqu'à, au minimum, le trente et un décembre deux mille vingt et un.  » A nouveau la blonde hocha la tête, reprenant la parole d’un air bien déterminé. « J’espère bien que tu vas le relever haut la main… et si jamais cette pauvre plante a trop grise mine, je la prendrais chez moi pour la requinquer ! » Ivy, elle était totalement décidée à ne pas laisser mourir cette plante même si Thomas ne devenait pas un jardinier hors paires. Elle voulait l’offrir au jeune homme, elle avait même insisté pour alors il était de sa responsabilité de ne pas laisser mourir la pauvre élue. Une fois le cadeau fait, Thomas s’était penché vers elle pour venir déposé un baiser délicat et tendre sur sa joue. Automatiquement son corps s’était raidi sous l’effet de cette proximité qu’elle n’avait ni prévue et encore moins anticipée. Tout se bousculait dans sa tête, sa raison et son coeur se livraient une bataille toujours aussi acharnée. Un simple merci et voilà la pauvre Ivy à nouveau totalement déstabilisée. Elle se savait fragile mais elle avait honte de perdre si facilement ses moyens. Incapable de dire quoi que ce soit, elle s’était contentée de baisser les yeux et de respirer le plus profondément possible avec le plus de discrétion pour chasser les pensées qui l’envahissait et la culpabilisait. «  Je te ramène chez toi ?» Ivy avait réglé à la caisse de la jardinerie et Thomas avait récupéré la plante, sa plante désormais. Ils avaient quitté le magasin et Ivy n’avait toujours pas repris le peu de contenance qu’elle avait gagné durant ce moment passé avec Thomas. Difficilement elle se mit à bégayer.  « Je… heu… oui. Si tu veux…» Silencieusement, elle s’était mise en marche, espérant que marcher lui permettrait de s’aérer un peu la tête et de reprendre de la contenance, de retrouver la parole pour ne pas que Thomas ne puisse s’imaginer des choses fausses en interprétant la réaction qu’elle avait eu face à un geste anodin.

panic!attack


@Thomas Farrel Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 4199206909

_________________
« Ré-illusionnée »
I'm laughing with my lover, making forts under covers, trust him like a brother, yeah, you know I did one thing right. Starry eyes sparkin' up my darkest night. My baby's fit like a daydream, walking with his head down. I'm the one he's walking to. So call it what you want
©️crackintime
Revenir en haut Aller en bas
https://savethequeens.forumactif.com/t8224-rescue-me-from-the-demons-in-my-mind-ivy
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty
Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) - Page 2 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
 Sujets similaires
-
» Elle frappe comme un homme
» elle danse comme une étoile qui chercherait la nuit. (erel)
» Comme si elle n'avait jamais douté de la beauté du monde (Asteria)
» Elle est mon acier et mon feu, elle est mon salut. Elle est mon tout / Nika
»  elle est pas méchante, mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante -> maddie

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: version #23 et #24 :: rps
-
Sauter vers: