SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

Partagez

 

 Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Mar 8 Sep - 19:02

Ou ça mène quand on s'aime.
Isabella Kingston


L’amour, c’est quelque chose de si vaste. De belles paroles qui ce transforme en lames capable de transpercer n’importe quelle surface. Et que dire de la douleur, c’est certainement comparable aux pires choses possible, une véritable torture. Rien n’est pire que la maladie d’amour. Ça vous prend au tripes, c’est violent, ça donne l’impression de suffoquer, perdre tout souffle de vie alors que pourtant … votre corps lui continue à être fonctionnel. Une âme prise au piège dans un corps meurtri, mort, zombifié. On ne pense plus à rien, rien d’autre que la douleur, ce vide laissé par la personne chère. Il y a tant de façon de vivre ce mal être. La colère, c’est sans doute l’une des étapes d’un deuil, parce que perdre l’amour de sa vie c’est sans doute comparable à la mort d’un être cher, à la différence que l’amour d’une vie continue à vivre sans que vous ne puissiez y avoir accès. C’est sans doute pire que la mort elle même, parce qu’il ne prend jamais véritablement fin. Alors il y a le deuil, la douleur, pour certain, il préfère souffrir en silence alors que les autres préfère exprimer leur colère. La rage mais au fond ça ne reflète toujours que cette même putain de souffrance. Trouver un but, une raison de continuer, de s’accrocher. C’est sans doute ça le pire … s’accrocher alors qu’on vient de tous perdre.

Après son départ, Nick c'était lancé à sa recherche, il avait essayé de la retrouver en vain ... Ça faisait des heures qu’il était assis à cette terrasse de bar, les yeux dans le vagues, noyés des quelques larmes qui n’avaient pas pu s’échapper de ses yeux rougi à force d’avoir trop pleurer ou à force d’avoir trop résisté. Il était assis là, comme une âme en peine, une véritable loque alors qu’il n’avait fait qu’enchaîner les verres dans l’espoir d’atténuer la douleur mais même l’alcool n’avait pas réussi à effacer. Ni la musique, ce guitariste grattant ses cordes sur un air de blues. Il n’avait pas envie d’oublier, il ne voulait pas, il ne pouvait pas. La séparation avec Isabella remontait à quelques heures seulement et depuis, il n’avait pas eu de nouvelle d’elle. Il ignorait totalement ou elle ce trouvait. Elle avait franchi la porte de leur chambre et il ne savait pas encore si ça signait leur séparation totale ou bien … qu’est ce que ça pouvait signifier d’autre ? Il lui avait clairement posé un ultimatum et elle avait opté pour la séparation. Un choix qu’il l’avait poussée à prendre. Avalant un nouveau verre de tequila, Nick ce demande surtout comment ils avaient fait pour en arriver là tous les deux alors qu’ils savent tous les deux qu’ils s’aiment. Tous ça pourquoi ? Pour une stupide crise de jalousie, à cause de lui une fois encore. Ça avait déjà causé leur perte mais à croire que ça ne lui avait pas servis de leçon ! A croire qu’il ne pouvait pas comprendre ! Qu’en agissant ainsi, il ne faisait que prendre le risque de la perdre d’avantage. Trop borné, il ne c’était pas rendu compte de son erreur. Il s’en veut, il ce sent coupable … terriblement coupable et c’est sans doute ce qui fait le plus mal ! Posant son verre vide sur la table, il s’appuie légèrement dessus pour ce redresser sur sa chaise. Il n’était pas ivre, mais légèrement troublé par l’alcool. Il ne voulait pas s’enivrer, ce n’était pas une solution ou sans doute celle de la facilitée. Glissant un billet sur la table, Nick quitte finalement la terrasse pour s’aventurer dans les rues, il était très tard ou très tôt il n’avait pas la moindre idée de l’heure qu’il était mais ça lui était égal.

Les mains dans les poches, il marche doucement, titubant légèrement alors qu’il essuie de temps à autre les larmes qui s’échappe sous ses yeux. Isabella … elle ne le quitte jamais, il songe trop à elle, il l’aime et pourtant il lui fait mal ! Elle lui fait mal ! Alors qu’ils pourraient juste ce contenter de s’aimer et rien de plus ! Il ne veut pas réaliser ce qui vient de ce passer entre eux, il peine à imaginer, il refuse d’imaginer le restant de ses jours sans elle, imaginer une vie sans elle est tout simplement impossible alors qu’il a tous construit en rêvant d’être auprès d’elle. Comment tirer un trait sur une si belle histoire ? Il n’en n’avait pas envie ! Il ne voulait pas la perdre, s’éloigner. Rien que d’y penser, ça lui serre le coeur, ça le brise … déjà qu’il est fracassé, fendue, il patiente avant de recevoir ce coup de grâce qui finira de le briser en mille morceau. Il songe, il réfléchis, parce qu’il ne peut accepter cette sentence qu’il a lui même imposée. Les yeux levés vers le ciel, il rejoint finalement ce bout de plage, pas loin de l’hôtel. Les étoiles sont plus claires ici, elle ce perde dans ce voiles sombre. Le même ciel que le jour de leur arrivés, le même qui brille au dessus de leur amour qui renait de ses cendres … et le même au dessus de leur amour consumé, parti en flamme, perdu à jamais. Il s’arrête pour admirer le ciel, sentir le vent léger comme pour essayer de ce reprendre. Il allait mal, il avait envie d’hurler, crier au désespoir mais il était tellement … mal qu’il n’arrivait plus à rien, rien d’autre que de pleurer, souffrir. Un vide, ce trou béant dans la poitrine. Il ce laisse tomber sur le sable à genoux, face à l’immensité devant lui. Comme si il déposait les armes face à cet adversaire redoutable qu’il ne pouvait pas vaincre. Soldat désemparé, détruit, brisé qui accepte simplement la sentence de mourir au combat. Passant ses mains sur son visage, ses doigts dans ses cheveux, il ferme les yeux un bref instant, cette expression de douleur sur le visage alors qu’il ce laisse tomber en arrière sur le sable. Dos au sol, il avait l’impression de suffoquer mais allongé là … il sentait presque ce sentiment de sécurité l’envelopper. Il avait envie d’y rester, encore quelques temps, juste le temps de ce calmer et respirer.

Le temps s'écoule alors qu'il reste allongé là sur cette plage. Les yeux clos, il essaie de retrouver les idées claires alors que machinalement il ce redresse pour prendre la direction de l'hôtel à quelques pas. Il ne pense à rien, l'esprit brouillé, ailleurs. Machinalement, il ne sait même pas pourquoi il retourne à l'hôtel, sachant pertinemment qu'elle n'y est pas, ou est elle ? Peut être qu'il devrait la chercher ! Mais souhaite elle seulement qu'il la retrouve ? Il fait quand même le tour le l'hôtel, dans l'espoir ... de quoi au final ? De la retrouver ? Et après ? Il ne ce rendait même pas compte depuis combien de temps il avait quitté l'hôtel. L'âme en pleine tente de la retrouver mais c'est finalement en franchissant la porte de leur chambre, qu'ils ce retrouve l'un face à l'autre. Surprit mais surtout troublé de la voir, elle ne semblait pas dans un meilleur état que le sien. Il s'arrête alors qu'il la regarde, fermant la porte derrière lui ... elle, l'amour de sa vie, son âme soeur à portée de main mais pourtant intouchable. Les yeux encore brillant de larmes, il la contemple avant de détourner les yeux pour avancer doucement dans la pièce sans réellement savoir quoi lui dire.



(c) DΛNDELION
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Mer 9 Sep - 20:05


♛ ♛ ♛
{ étoiles vagabondes }
crédit/ tumblr ♛  w/ @Nikolaï Warren

Quand deux étoiles sont trop proches et que l'une d'elles explose en supernova,
il arrive qu'elle condamne l'autre étoile à errer sans trajectoire dans l'univers.
On les appelle les étoiles vagabondes.


Elle n’est pas où elle devrait être, Isabella.
Elle est posée ici, sur ce banc, perdue dans ses songes trop sombres.
Elle est posée ici, loin de lui, alors qu’il est seul dans leur chambre.
Elle n’est pas où elle devrait être,
elle est toujours prise au piège,
de ses propres ténèbres,
prisonnière.


Tout son esprit torturé focalisé sur Nikolaï, elle se tourmente chaque seconde davantage à ressasser toute leur conversation mille fois. À se demander comment,
comment ils ont pu en arriver là,
comment ils ont pu se faire autant de mal.
Nikolaï, elle donnerait sa vie pour la sienne. Sans hésiter, sans regretter, sans même y songer, elle lui offrirait jusqu’à sa propre existence, uniquement pour sauver l'homme qu’elle aime. Car elle l'aime, elle l’aime jusqu’à la démesure, elle l’aime jusqu’à la déchirure. Elle l’aime jusqu’à se briser encore et encore en le retrouvant plutôt qu’en consentant à se dire qu’elle l’a perdu. Elle se remémore les mots qu’il a prononcés il y a encore quelques minutes. Peut-être avait-il raison, peut-être qu’un fragment d’elle, même minime, voudrait avoir le courage de lui faire ses adieux.

Peut-être que ce même fragment d’elle serait soulagée,
si lui, le faisait,
s’ils y arrivaient, enfin, à se séparer.


Mais il y a cette autre partie, plus grande, bien plus imposante. Celle qui la ronge autant qu’il la hante. Amour venimeux qui coule dans ses veines, il lui procure autant de mal qu’il lui fait du bien. Comme un poison dont elle est imprégnée, depuis trop longtemps déjà, bien avant de connaître Nikolaï. L’amour, il lui a toute sa vie fait du mal. C’est seulement que c’est la première fois qu’elle ne parvient pas à y réchapper. Cœur tourbillon dont elle est incapable de se libérer, elle tente de survivre aux rafales qui ne cessent de les attaquer.
Peut-être qu’il disait vrai, peut-être qu’elle essaie de s’en libérer.

Pas de lui, mais de l’amour et son agonie,
pas de lui, mais de l’amour et ses dérives,
pas de lui, mais c’est lui,
pourtant, qu’elle rejette constamment de sa vie.


Les perles salées envahissent son minois précautionneusement maquillé. Elle se remémore, le début de la soirée. Lui qui la charmait, elle qui le taquinait ; eux qui s’amusaient ; eux qui jouaient ; eux qui s’aimaient. Elle s’est sentie, chaque jour davantage depuis qu’ils sont arrivés au Mexique, se rapprocher de lui. Elle s’est sentie, même, retomber amoureuse de lui. (si seulement elle avait un jour cessé.) Peut-être que l’issue de ce séjour aurait pu être totalement opposée. Peut-être qu’ils auraient pu, seulement, essayer. Mais les vices accumulés, les dérives de leurs esprits tourmentés, tout n’a jamais arrêté de les consumer. Le monde non plus n’a pas cessé de tourner. Ils se sont seulement isolés, tous les deux, dans cette bulle qui n’appartenait qu’à eux. Si seulement elle pouvait y retourner, Isabella, juste un peu. Juste assez pour retrouver de l’air,
respirer enfin.

Nikolaï, il est son oxygène,
celui qui s’engouffre dans la cage de verre qui emprisonne son cœur,
il est celui qui lui redonne vie, à elle,
à son existence tout entière,
À cette vie qui a si souvent manqué d'air.


Elle ferme les paupières pour tenter d’apaiser les sanglots accumulés. Elle ferme les paupières pour tenter de calmer son cœur bousillé, autant que son âme ravagée. Elle ferme les paupières pour ne plus avoir la sensation meurtrière de suffoquer à chaque fois qu’elle essaie de respirer. Elle ferme les paupières, juste, pour oublier, combien il peut lui manquer. Mais, quand elle les rouvre, c’est pour se relever ; pour rentrer. Et, plus que tout, pour le retrouver. Ils ne peuvent pas rester piégés dans cet enfer. Elle ne peut pas… rester loin de lui alors que le vide qu’il laisse dans son cœur la met à terre. Larmes séchées, souffle retrouvé, l’âme en perdition retrouve le chemin de leur hôtel. Elle n’a pas la moindre idée de ce qu’elle lui dira une fois face à lui. Seulement elle ne peut pas se résoudre à partir. Devant la porte de la chambre, elle prend une profonde inspiration avant d’entrer, lentement, parce qu’il est peut-être déjà en train de dormir. Pourtant, une fois à l’intérieur, la belle torturée elle remarque rapidement que la pièce est vide… et lui, parti. Le cœur noué se tord encore davantage devant un tel constat. Elle pose ses affaires pour se rendre dans la salle de bains. Machinalement, elle efface les dépôts charbonnés sur sa peau dorée. Elle passe un long moment sous la douche à se forcer à ne penser à rien, mais sans parvenir à ne pas penser à lui. C’est seule, une fois vêtue d’une nuisette éthérée au blanc angélique, qu’elle entre dans ce lit, celui qu’ils auraient dû partager. Elle n’essaie pas de s’endormir, Isabella, elle l’attend. Elle l’attend parce qu’elle a parfaitement conscience que, tant qu’il ne sera pas auprès d’elle, il lui sera impossible pour elle de se reposer; le corps autant que l’esprit. Mais les heures défilent ; lui n’est toujours pas entré. Elle commence à somnoler, une fois, deux fois, trois fois. Seulement elle finit par se réveiller à chaque fois. En sursaut, l’esprit sur le qui-vive, parce que le cœur continue de l’appeler dans la nuit. Une fois encore, l’écorchée vive revient à elle, mais peut-être bien car elle entend la porte s’ouvrir enfin. Et Nikolaï apparaître. Toujours couchée dans les draps délicats du lit, la rose abîmée se redresse immédiatement pour croiser ses prunelles. Il est là, entré, après des heures entières passées dehors. Il est là, enfin, mais ne lui offre pas un seul mot. – Où… où étais-tu ? elle demande, la voix mal assurée. Elle sent à nouveau le souffle lui échapper, l’air lui manquer. Elle peut aussi reconnaître les effluves alcoolisées qu’il reste de sa soirée. Mais elle ne dit rien, Isabella, elle se contente de le contempler. Ses lunes noires scintillent dans les océans ensanglantés de toute la douleur déversée.

Et elle se contente, Isabella,
de contempler,
tout ce qu’elle a brisé.

Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Mer 9 Sep - 20:45

Ou ça mène quand on s'aime.
Isabella Kingston


Le coeur meurtri, il ce repasse en boucle le début de leur séjour dans son esprit alors qu'il traine les pieds jusqu'à l'hôtel. Il avait passé une bonne partie de la nuit dehors, si ce n'est pas toute la nuit. Il l'ignore en réalité et puis il n'y songe même pas, bien trop accaparé par la douleur. Il avait cessé de pleurer mais il revoyait en boucle leur amour, leurs moments de joie et de bonheur et dieux qu'ils sont nombreux ... bien plus nombreux que les mauvais moments. Oui, aimer une femme comme Isabella ce n'est pas forcément facile mais c'est justement ce qu'il aime chez elle ! Elle n'est pas comme les autres et c'est ce qui lui plait, c'est ce qui a attiré son regard sur elle, l'envie de la connaitre d'avantage. Plus il s'approche, plus il en apprend et plus il aime ce qu'il voit malgré les complications, malgré les coups qu'il reçois. Il avait beau chercher toutes les solutions possible l'assure restait toujours la même. Il ne pouvait pas envisager sa vie sans elle. Trop amoureux, trop attaché, trop lié à elle pour y renoncer même si ça fait mal, il revient toujours auprès d'elle parce que c'est avec elle qu'il veut être et peu importe les conditions. Tous était sur beau au début de leur séjour, doucement ils c'étaient rapproché, retrouvé, retombé amoureux même si ils n'ont jamais cessé de l'être. Ensemble, ils avait vécu tellement de bon moment ici, au Mexique. Des soirées, des nuits, sans jamais ce quitter. Tous était si parfait ... mais leur amour est fort, puissant mais à la fois fragile, la moindre étincelle peu ravager tous en une seule seconde sans pour autant taire ce désir d'être ensemble.

Il ne peut s'y résoudre, il a besoin d'elle ! Amoureux, il l'aime ... oh oui il l'aime au delà de tous, plus que sa propre sa vie, plus que n'importe quoi d'autre au monde. Il n'est plus entier sans elle, il n'est plus rien. Les mains dans les poches, Nick revient doucement en direction de l'hôtel, malgré l'alcool il ne ce sentait pas vraiment transporté ni même léger. C'était comme si, plus rien n'avait d'emprise sur lui, plus rien depuis qu'elle n'était plus auprès de lui. En réalité, il avait surtout besoin de la retrouver et il l'avait cherché ... pendant une partie de la nuit en vain. Il ignorait si elle avait finit par rentrer à l'hôtel ou si elle avait décidé de s'en aller. Seulement, ils ne pouvaient pas vraiment rester dans une telle situation, l'entre deux. Enfin, il arrive à l'hôtel, toujours aussi perdu dans ses songes, le coeur meurtri, les yeux rougis par les larmes. La fatigue prenait également le dessus, à force d'avoir pleuré, d'avoir erré au hasard dans l'espoir de la revoir. Il ne savait plus ou il en était, l'esprit confus mais tellement mal de l'avoir perdue. C'est le coeur lourd qu'il arrive devant la porte de cette chambre loin de ce douter qu'elle était là, à l'attendre ... inquiète de ne pas savoir ou il était. Poussant la porte de la chambre, il remarque tout de suite sa présence malgré la faible obscurité de la pièce. Les yeux posés sur elle, aucun sourire sur les lèvres, il ignore même si il est en train de rêver ou si elle est bien là. Incapable de dire le moindre mot, la gorge bien trop nouée, il ce contente de la fixer alors qu'elle ose briser le silence. Doucement, en titubant légèrement, il avance de quelques pas vers le lit ou elle ce trouve. - Je ... je te cherchais ... Il articule difficilement, la voix légèrement tremblante alors qu'il s'approche un peu plus. - Mais ... je t'ai pas trouvé alors j'ai trainé dans les rues, puis ... je sais pas ... Perdu, mal, il finit par s'asseoir sur le lit, il ce rapproche d'elle meurtri. Sans rien ajouter de plus, il vient ce blottir contre elle, ses bras enlaçant son corps si frêle comparé au sien. Il la serre contre lui, ses yeux le brule légèrement lorsqu'il ose enfin les fermer. - Mais tu es là... Souffle t'il doucement, alors qu'il sent de nouveau les larmes lui revenir, cette émotion qui s'empare de lui alors qu'il la serre contre lui. - Ne t'en va pas ! Je t'en pris ... j'ai tellement besoin de toi. Souffle t'il alors que sa voix tremble un peu plus à chaque fois qu'il ose parler. - Je m'en fou du reste, je m'en fou des complications, je veux être avec toi, je me fous du reste Isa, je veux pas partir. Je veux être avec toi.

(c) DΛNDELION
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Dim 13 Sep - 20:47


♛ ♛ ♛
{ étoiles vagabondes }
crédit/ tumblr ♛  w/ @Nikolaï Warren
Ils sont, comme deux étoiles qui n’auraient pas dû se rencontrer ; qui ne viennent pas des mêmes constellations, qui sont à l’opposé l’une de l’autre. Ils sont, comme deux étoiles qui n’auraient pas dû se rencontrer ; mais ils se sont entrechoqués. Violemment.
Fatalement.
Il aurait sûrement été plus facile, pour lui, d’être avec une femme au même état d’esprit. Plus légère, plus simple, plus… saine. Isabella, elle n’a rien d’une personne saine. Elle en dévoile l’apparence, aussi maîtrisée qu’elle paraît parfaite ; trop belle pour être réelle. Mais il suffit de gratter délicatement la surface pour découvrir tous les fragments éparpillés de son âme, tous les morceaux brisés qu’elle n’a jamais su réparer, tous les sévices dont elle n’est pas ressortie indemne. Plus que tout ce qu’on pourrait dire sur elle, Isabella, elle est une survivante qui n’a pas appris, pas comme les autres, la vie. La douleur comme point de repère dans une vie en constant déséquilibre, l’âme torturée est gouvernée par les voix bien trop fortes qui ont pris possession de son esprit. Les démons qui sont les siens mais qui, peu à peu, deviennent les leurs. Car Nikolaï, il en a pris une partie quand il a capturé son cœur. Cadeau empoisonné dont il ne soupçonnait pas toutes les affres tumultueuses, il se retrouve désarmé devant l’affrontement anarchique qui se passe chez sa moitié. Un combat auquel il n’aurait pas dû prendre part ; parce qu’il n’est pas le sien, seulement celui d’Isabella. Mais il est entraîné dans les torrents désastreux d’une tempête dont il ne saurait se défaire, emprisonné par les chaînes sentimentales qui le retiennent.

Cet amour qui le consume autant qu’elle,
qui l’appelle à l’abandon,
puis qui le ramène à elle.

Il est si fort, si puissant, irrésistible.

Invincible, tant ils sont incapables d’en finir,

mais, à la fois,

si fragile qu’il ne tient qu’à un fil.


Leur amour, leur relation, leur union tout entière, peu importe comment ils l’appellent, il n’est qu’un reflet du chaos qui règne chez l’âme écorchée. Forte et fragile à la fois, Isabella, capable d’aimer plus que sa propre vie, incapable pourtant de le laisser en faire partie. Peut-être qu’elle devrait, alors, le libérer. Peut-être qu’elle devrait le pousser à s’échapper. Quand elle le découvre, cet homme imposant et robuste, ce colosse dont elle se révèle le talon d’Achille, elle sent son cœur se serrer, un peu plus se briser. Les prunelles abîmées des larmes versées, le corps vacillant de l’alcool absorbé, l’homme entier ravagé de l’avoir trop aimée. Assise sur le lit, la nymphe ténébreuse garde les opales rivées sur lui, sans pouvoir bouger, alors qu’il ose s’avancer. S’asseoir à ses côtés. Elle ne dit pas un mot, Isa, elle se contente d’observer douloureusement tout le mal qu’elle a engendré. Tout ce mal qu’elle continue de lui infliger. Elle ne s’attend pas à sentir les bras de Nikolaï venir l’enlacer. Il l’encercle de ses bras immenses, son corps vigoureux qui pourrait broyer le sien si fin, si facilement. Comme elle ne cesse, elle, d’étouffer son cœur sans ménagement. Elle est la plus vulnérable des deux, Isabella, mais quand il vient se blottir ainsi dans ses bras, elle a la sensation que c’est elle qui pourrait le casser. Les onyx perlent des larmes qu’elle n’a plus la force de verser alors qu’elle l’enlace à son tour sans réellement hésiter. – Je suis là, Nikolaï… elle répète pour le rassurer, pour le calmer. Alors qu’elle n’est pas sûre que ce soit ce dont il a besoin en réalité. Sirène des ombres, elle a la sensation douloureuse de l’entraîner dans les abîmes diluviens, toujours plus loin, jusqu’au jour où les profondeurs seront trop abyssales. Jusqu’au jour où la noyade sera inévitable. Elle se déteste, Isabella, mais lui, elle l’aime. Elle l’aime tellement qu’elle ne saurait s’en défaire. Moins encore quand il lui supplie de rester auprès de lui. Elle a besoin de lui autant que le contraire. Alors elle le serre, toujours plus fort, elle le garde contre elle. Il lui paraît si fragile à cet instant. Perdu, le corps chancelant autant que l’âme, l’éthanol qui ne comble en rien tout son mal. Si fragile, Nikolaï, qu’elle voudrait le protéger du monde entier, alors qu’elle est celle qui pourrait le tuer. – Je suis tellement désolée… de te mettre dans cet état ; de te faire tout ce mal. Sa main délicate vient tendrement caresser le dos de l’être aimé alors qu’elle le serre toujours un peu plus fort contre elle. – Tu as besoin… de te reposer. Tout le reste attendra… d’accord ? Elle est là, Isabella. Elle ne bouge pas.
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Dim 13 Sep - 22:11

Ou ça mène quand on s'aime.
Isabella Kingston


Ce colosse qui n'en est plus un, cet homme qui sait rester de marbre en temp normal n'est plus qu'un homme à terre suppliant de mettre fin à sa douleur. Il supplie mais pourtant il continue à s'accrocher à la vie. La douleur n'est comparable a aucunes souffrances physique qu'il a pu subir avant. Ce n'est pas le corps qui est atteint mais bel et bien le coeur, l'âme. La noirceur s'empare de lui, voilant le peu de lumière qu'il lui reste . Cet amour violent mais si additif. Plus elle le frappe, plus il ce relève pour en redemander encore. Accro à la douleur qu'elle lui procure, en manque d'elle, il revient toujours, il arrive toujours à la retrouver parce qu'il est incapable de ce relever sans elle. Il ce dresse devant elle, plus brisé qu'il ne l'a jamais été. Les yeux rouges à causes des larmes versés, le visage fatigué au bout de toutes les forces qu'il lui reste. Il ne c'était jamais senti aussi vulnérable, aussi mal. Il peine à lui répondre mais trouve la force d'avancer jusqu'à ce lit pour s'y asseoir et la prendre dans ses bras parce que c'est tout ce dont il avait besoin à cet instant. Isabella n'était pas seulement son talon d'Achille non ... elle était également son ambroisie.

Ce corp lourd qui vient chercher le réconfort auprès du sien, ses bras massif qui l'enveloppe elle, l'être si fragile. Il la serre contre comme si c'était devenu un besoin vital. Comme si il en avait besoin plus que besoin d'air pour respirer. Son visage humide de larmes s'échoue dans le cou parfumé de sa belle alors que les mots sortent tous droit de son coeur brisé. Il ne veut pas la voir partir, il ne veut pas la quitter non plus. Il sait ce qu'il lui a dit quelques heures avant qu'ils ne ce séparent mais il ne peut pas s'y résoudre. Même si elle lui ordonne de s'en aller il n'était pas certain d'y parvenir. - Je veux pas ... Souffle t'il en retenant autant que possible ses sanglots. - Ce que je t'ai dis ... je peux pas Isa ! Je veux pas te perdre ! Il sent qu'elle répond à son étreinte et elle n'imagine pas combien c'est elle ... qui à le pouvoir le briser. Fragile, désespéré, Nick ce raccroche à elle comme si il ce raccrochait à la vie. Il reste pendant de longues secondes contre elle alors qu'il l'entend murmurer combien elle est désolé. Il secoue légèrement la tête sans pour autant reculer. - Non ... Souffle t'il doucement alors qu'il sent sa main glisser contre son dos. Un geste réconfortant, il parvient doucement à calmer ses sanglots alors qu'il prend une grande inspiration avant de reculer légèrement pour pouvoir croiser ses deux onyx perçant. - Ça peut pas attendre. Je veux que tu sache que j'ai besoin de toi ! Je sais que je t'ai dis qu'on devrais peut être arrêter d'y croire ... mais c'est faux ! Je veux pas y renoncer ! je veux pas renoncer à nous, à toi ! Glissant sa main contre la joue de sa belle il la contemple avec tendresse, avec angoisse. - Je sais qu'on peut y arriver ! Je veux croire en nous parce que je sais qu'on peu ! Je veux me battre à tes côtés Isa ! Peu importe les conséquences ou les conditions. Je m'en fou ! Parce que c'est toi et que tu vaux la peine. Ses doigts glissent contre sa nuque alors qu'il la fixe toujours, désespérément. - Je refuse d'abandonner, parce que je ne suis plus rien sans toi ! Tu comprend ? J'ai besoin de toi ! Plus que n'importe quoi d'autre ! Il sent de nouveau les larmes, cette angoisse lui monter aux yeux alors qu'il serre la mâchoire pour ne pas céder. - Ne m'abandonne pas ! Parvient t'il à articuler avant de craquer légèrement. Par fierté, il tente d'essuyer ses larmes tout de suite, il tente de détourner les yeux, de reculer. Parce qu'il ce sent si vulnérable qu'un seul mot pourrait finit de l'abattre. Finit de le briser et lui porter le coup fatal. - je t'aime tellement ... Souffle t'il alors qu'il fixe le vide en essayant de calmer les battements irrégulier de son coeur.

(c) DΛNDELION
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Mer 16 Sep - 20:17


♛ ♛ ♛
{ étoiles vagabondes }
crédit/ tumblr ♛  w/ @Nikolaï Warren
La rose était belle,
douce mais épineuse,
la rose était belle,
jusqu’à ce qu’elle se révèle venimeuse.


Isabella, elle a la sensation d’agir comme un poison. Un putain d’arsenic qui le ronge, le détruit à petits feux, pour mieux le garder auprès d’elle. Comme une drogue aux effets ravageurs, elle a distillé en lui son venin, pour créer le manque et ce goût irrésistible de reviens-y.

Reviens, Nikolaï,
souviens-toi comme vous étiez heureux,
souviens-toi comme vous êtes capables de vous aimer tous les deux,

Reviens, Nikolaï,
tu souffriras peut-être avec elle,
inévitablement sans elle.


Enchanteresse des ténèbres, elle l’entraîne avec elle dans la douleur. L’obscurité la plus profonde ne paraît pas lui faire peur. Comme s’il préférait se laisser couler, avec elle, dans les abîmes, plutôt que risquer de la voir sortir de sa vie.
Elle n’a jamais voulu être cette femme, Isabella.
Celle qui ôte la liberté d’un homme, celle qui l’enchaîne à des liens dont il ne saurait se défaire. Celle qui le rend si amoureux qu’il en perd toute sa force et sa lumière. Elle est en train de le briser, Nikolaï, mais il ne s’en rend même pas compte. Elle, elle le voit, les lunes noires, la culpabilité en étendard. Elle le pousse au bord du précipice mais c’est à elle qu’il s’accroche plus encore qu’à la vie. À son corps frêle qu’il se remet comme si elle pouvait, elle, l’empêcher de tomber. Le sauver. Incapable de bouger, l’écorchée vive se contente de le serrer, dans ses bras délicats, elle le garde précieusement. Elle essaie d’apaiser ses tourments, lui faire oublier son abattement. Mais il a besoin d’en parler, besoin d’elle à ses côtés. La gorge nouée, la beauté ténébreuse est incapable de prononcer un mot, elle se contente de lui offrir des caresses pour calmer sa douleur. Et le conserver, inconsciemment, contre son cœur. Elle peut sentir son visage humide contre sa peau nue, elle peut sentir combien il est perdu. Bouleversé à l’idée de la perdre alors que c’est la seule chose qui lui ferait du bien, peut-être. – Tu ne me perds pas… elle souffle dans un murmure tortueux. La souffrance lancinante n’est pas seulement dans son cœur, elle atteint tout son être sans qu’elle ne puisse l’empêcher. Il paraît si désemparé, presque… désespéré. Et elle s’en veut, Isabella, d’être celle qui le met dans un tel état. Elle lui procure des souffrances incommensurables mais il est toujours là.

Il est toujours là,
à te dire combien  il a besoin de toi.


Les excuses balbutiées, l’âme tourmentée refuse de le torturer, lui aussi. Pas cette nuit. Pas alors qu’il est sous l’effet de l’alcool autant que sous le sien, elle, irrésistible venin. Elle voudrait qu’il retrouve toute sa clarté, qu’il dorme quelques heures. Mais il décide tout de suite de lui confier tout ce qu’il a sur le cœur. Ce cœur qu’il lui tend sans aucune crainte alors qu’il devrait, sans doute, avoir peur. C’est quand elle se retrouve soudain face à ses deux océans sans fin qu’elle perd pied, incapable de parler. Parce qu’il sait l’envoûter, Nikolaï, autant que le contraire. Plongée dans le silence, elle est contrainte d’écouter ses mots, ceux qui font autant de bien que de mal. Ceux qui rendent leur histoire si fatale. Mais il sème le trouble en elle quand il vient la frôler, de ce pouvoir magnétique qu’il peut posséder. De sa joue jusqu’à sa nuque, il la chamboule chaque seconde un peu plus. La rose abîmée déglutit difficilement alors qu’elle se noie dans ses iris azurés ; et bientôt, dans ses perles salées. - Moi aussi… moi aussi, j’ai besoin de toi. elle lui confie, la voix endolorie, de toutes ces peines qu’elle n’arrive plus à verser. -  Ça me détruit de te voir comme ça,  Nikolaï… Elle l’aime. Elle l’aime mais quand on aime quelqu’un, on est censé lui faire du bien. Isabella, elle en est, comme, incapable. Ses phalanges délicates glissent contre le visage de cet amour cendré qu’elle ne sait plus comment retrouver. Elle essuie les lames diluviennes avec tendresse alors que ses prunelles ne quittent pas les siennes. - Moi aussi je t’aime… mais je ne supporte pas de te mettre dans cet état… elle confie avec difficulté. Elle prend une profonde inspiration comme pour tenter de garder le contrôle avant d’ajouter. - Je ne veux pas t’abandonner… et crois-moi, je n’ai jamais eu envie de te pousser à fuir non plus… mais tu ne crois pas que tu souffrirais moins, si ce n’était pas moi…? Parce qu’elle ne supporterait pas d’être celle qui l’entraîne dans les ténèbres. Elle ne supporterait pas de lui faire perdre, définitivement, sa lumière.
Elle ne supporterait pas, Isabella, d’être celle qui le met à terre.
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Mer 16 Sep - 21:30

Ou ça mène quand on s'aime.
Isabella Kingston


L'amour est un poison divin. Violent. Mais Isabella est bien plus que ça, l'aimer ce n'est pas juste tomber amoureux et être heureux jusqu'à ce que la mort les séparent. Ça n'a rien d'un compte de fée, leur relation était plutôt en train de virer au cauchemars en ce moment. Il souffre, l'impression que son coeur n'est plus, bien trop amoché il est comme incapable de battre ou alors chaque battement lui procure une douleur qu'il ne peut décrire. Mais pourtant il est là ! Brisé, à deux doigts de sombrer, le genoux à terre mais toujours là à revenir auprès d'elle comme si il n'en n'avait jamais assez d'avoir mal. Comme incapable de résister, il finit toujours par revenir auprès d'elle, quoi qu'il arrive, quoi qu'il fasse, il ne peut s'empêcher de revenir.

Elle l'appel à elle, dans un souffle, un murmure. Envouté par le chant de la sirène Nikolaï y retourne ce moquant éperdument qu'elle puisse avoir le pouvoir de le briser à n'importe quel instant. Il l'aime ... et par amour Nikolaï est prêt à n'importe quoi. Pour l'instant, l'inspecteur semble surtout perdu, brisé, désespéré et il ne demande qu'à être auprès d'elle. Il ce rapproche, il la serre dans ses bras parce qu'il à besoin de ce contact. Il s'effondre dans les bras de son amour perdu alors qu'il lutte contre les larmes. Le sexe faible face à cette divinité. Sans elle, il n'est plus rien parce qu'il avait finit par devenir accro, mordu de cette femme. Il ne savait pas comment faire sans elle et au fond il était surtout persuadé qu'ils ne pouvaient pas en finir de cette façon tous les deux. Cette sensation qu'il la perd, qu'elle lui glisse entre les doigts sans qu'il ne puisse y faire quoi que ce soit, alors que c'était lui même qui l'avait poussé à s'en aller, lui même qui lui avait confié la lourde tâche de lui rendre sa "pseudo" liberté. Mais il n'en voulait pas ! - Mais bien sur que si ! Et c'est ma faute ! Tente t'il d'articuler toujours contre elle. Les choses pourraient être tellement plus simple si ils ne cherchaient pas toujours à compliquer les choses. Leur relation de base était déjà compliquée, simples amants qui finissent par ce bruler les ailes. Ils ce sont bêtement fait avoir par les sentiments. Puis il y a eu l'attachement et désormais la souffrance.

Mais il revient auprès d'elle parce qu'il est incapable de faire autrement, incapable parce qu'il l'aime ! Parce qu'il le souhaite et peu importe si il vient à sombrer avec elle. Ça n'a plus la moindre importance. Elle aimerait qu'il dorme, pour qu'il puisse avoir les idées claires, pour ce reposer et essayer de trouver la paix après autant de larme. Mais il s'y refuse, incapable de trouver le repos tant qu'il ne lui aura pas expliqué ce qu'il a sur le coeur. L'alcool délie plus facilement la langue mais il est pourtant très sincère. Tout ce qu'il lui dit lui vient droit du coeur et même si ça parait flou, difficile à comprendre, il lui expose simplement combien il l'aime et combien il est prêt à tous pour elle. Son regard accrochant le sien, ses doigts glissant contre sa joue pour s'échouer contre sa nuque, il la contemple douloureusement alors que quelques larmes s'échappe une fois encore de son regard si pur. Les mots qui s'échappe d'entre les lèvres de la belle lui réchauffe le coeur, pourtant il sent déjà les complications venir. Elle a besoin de lui ... "mais" parce qu'il y a toujours un mais. - Isa ... j'ai juste besoin d'être avec toi. Et rien de plus ! Dit comme ça c'était tellement facile, tellement simple. Mais quand on gratte le vernis, la surface, c'est tellement plus compliqué que ça. Le contact de ses doigts si fins contre sa joue lui font l'effet d'un électrochoc. Il ferme brièvement les paupière essayant de ce rendre un peu plus en inspirant profondément alors qu'il ce sent déjà un peu plus apaisé. Ouvrant de nouveau les yeux pour croiser de nouveau les deux pierres sombres qui le fixent, il l'écoute. Un faible sourire ce forme sur le coin de ses lèvres, un bref sourire avant qu'il ne retrouve cet air abattu. - Mais je veux que ce soit toi ! Juste toi Isa ! C'est justement parce que c'est toi que je veux continuer d'y croire. Mais comment lui prouver qu'il dit vrais ? -Je suis pas ivre ! Je suis vraiment sincère Isa ! Alors peut être que tu me prend pour un dingue, tu pense que c'est de la folie ! Que ça n'a pas de sens ! Commence t'il sans la quitter une seule seconde du regard. - Je veux être là, avec toi. Je t'ai jamais abandonné et c'est pas maintenant que ça va arriver. J'ai pas peur de me battre pour toi, avec toi. Il lui avait déjà donné tous ce qu'il pouvait avoir mais il était prêt à aller encore plus loin. - Tu ne sera plus jamais seule ! Posant sa main contre la sienne, il entrelace ses doigts aux siens. -C'est quand tu es loin de moi que je souffre. Après notre dispute j'ai ... j'ai pas arrêté d'y penser et j'arrête pas de m'en vouloir. Mais je sais que c'est avec toi que j'ai envie d'être, toi et pas une autre. Sans crainte même si il sait pertinemment qu'il finira par avoir mal de nouveau mais peu importe, parce que l'amour c'est aussi ça, aimer jusqu'à la déchirure sans jamais ce lasser. - La question c'est ... est ce que toi, tu y crois encore ?
(c) DΛNDELION
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Dim 20 Sep - 18:25


♛ ♛ ♛
{ étoiles vagabondes }
crédit/ tumblr ♛  w/ @Nikolaï Warren

Elle crie en silence, Isabella,
elle hurle toute cette souffrance.
Pas la sienne. La sienne est habituelle, elle est devenue naturelle. Comme s’il était normal d’avoir aussi mal. Comme si survivre, plutôt que vivre, ce n’était que son quotidien triste et banal.
Ce n’est pas sa souffrance qu’elle voudrait crier de tout son corps, c’est celle de Nikolaï. Cet homme qu’elle a rencontré, il y a plus de deux ans maintenant, cet homme qui paraissait lumineux, avant.

Deux ans.
Il a fallu deux ans avec elle pour qu’elle le change complètement.


Blotti dans ses bras trop frêles, son corps imposant qu’elle essaie d’apaiser de ses caresses, il lui semble plus vulnérable qu’elle ne l’a jamais connu. Lui qui voudrait tant retrouver cet amour perdu. L’abîmée entend ses paroles, elle s’imprègne de chacun de ses mots. Elle voudrait parvenir à avoir la même foi inébranlable, en lui, en l’amour, en la vie. Elle voudrait qu’ils fassent autant sens auprès d’elle que pour lui.

Mais il y a longtemps,
qu’elle ne sait plus naviguer qu’à contre-sens.


Égarée dans les affres sentimentales, elle tente de lutter, elle tente de retrouver la terre ferme. Mais elle reste prise au piège des ténèbres. Les vagues de tourments l’assaillent, les désillusions deviennent abyssales. Elle se retrouve privée d’oxygène, suffoque, à la recherche d’air. Nikolaï, toujours, prêt à explorer les enfers diluviens pour l’empêcher de couler. Nikolaï, prêt à tout, pour l’aimer. Mais elle ne sait plus comment s’y raccrocher. Elle ne sait plus comment retenir sa main sans le pousser, lui aussi, à se noyer. Elle redoute qu’il sombre avec elle juste en voulant trop fort la sauver. Lui, pourtant, continue de l’agripper. Il la pousse à rester ancrée à lui, à suspendre ses iris chamboulés dans ses océans infinis. À lui succomber, à lui, plutôt qu’à ces flots qui affolent sa vie. – Non, je… je ne pense pas que ce soit de la folie. Il est amoureux d’elle ; il veut être avec elle. Même s’il prend le risque de la suivre dans ses ténèbres. Ce n’est pas de la folie, c’est de l’amour. Un amour inconscient, ravageur, un amour beaucoup trop destructeur. Ses opales s’abaissent vers leurs mains entrelacées alors que la silencieuse ne sait plus ce qu’elle est censée dire ou penser. Elle ne sait même plus ce qu’elle peut éprouver. La rose, elle est paumée. Elle relève son minois tourmenté vers son amour cendré, prêt à se raviver, si seulement elle est capable elle aussi d’y arriver.

Et la question lui est posée.

La voix est empreinte de tendresse. Sans aucune violence, il la berce de sa délicatesse. Patience à toute épreuve, même quand elle lui lacère le cœur. L’âme en perdition prend une profonde inspiration ; tente de canaliser toutes ses émotions. Les sentiments fébriles, elle est à fleur de peau. Dans son esprit, c’est le chaos. – J’ai… envie d’y croire. elle confie dans un murmure, ses prunelles assombries toujours rivées dans ses pupilles. Ses phalanges glissent dans sa chevelure ébène, encore bouleversée, malmenée par toutes les angoisses qui la submergent. – J’ai eu envie d’y croire pour venir avec toi, ici, loin de tout pour te retrouver. Plus qu’échapper à la réalité, elle avait besoin de se reconnecter. Reconnecter à lui, l’amour avorté, pourtant toujours désiré. – J’ai seulement peur… peur de ne jamais être capable d’avoir une relation… stable. J’ai peur de te faire du mal, Nikolaï. Car il aura beau prétendre souffrir plus encore sans elle ; ce ne sera pas éternel. Ses doigts toujours liés aux siens, elle les porte à ses lèvres, elle les embrasse avec douceur. – Je voudrais retrouver ce qu’on avait au début. Je voudrais que… ce soit toi qui m’éclaires et pas… pas moi qui t’enfonce dans la noirceur. elle voudrait l’aimer, l’aimer dans la lumière.
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Dim 20 Sep - 21:13

Ou ça mène quand on s'aime.
Isabella Kingston


Il pourrait abandonner, il pourrait fait le choix de tirer un trait sur leur relation et avancer de son côté en gardant l'espoir que l'amour existe toujours, elle n'était peut être pas le sien mais ailleurs, il aurait la possibilité d'aimer à nouveau. Seulement, ça ne lui traverse même pas l'esprit, parce qu'il est tant persuadé qu'elle est l'amour de sa vie qu'il préfère ce raccrocher à elle, lui il veut croire aux comptes de fée ! Lui il veut croire en leur amour même si c'est terriblement compliqué de continuer à y croire. Il était tombé sous le charme au premier regard, c'était arrivé comme ça ! A l'époque il était loin d'imaginer combien elle allait bouleverser sa vie. Il était entré dans ce bureau dans le seul et unique but de faire son travail qu'enquêteur. Il était venu trouver son mari mais il était tombé sur elle et personne n'aurait pu croire à cet instant qu'il allait tomber sous le charme, lui même n'y croyait pas. Mais il l'avait revue après ça ! Il avait passé sa soirée, sa nuit avec elle et là ... c'était arrivé ! Ça c'était produit sans qu'il ne comprenne pourquoi, ni comment ! Et c'est justement ce coup de foudre inexplicable qui le pousse à ce raccrocher autant à cet amour. Ce n'est pas arrivé par hasard ! Ils devaient ce croiser, ils devaient s'aimer !

Ils avaient traversé beaucoup trop de choses pour en finir maintenant, Nikolaï voulait juste croire qu'il s'agissait d'une mauvaise passe et que d'ici quelques semaines, jour, ça allait passer. Il voulait croire qu'ils étaient capable de régler ça ensemble. On ne ce sépare pas lorsque ça devient compliqué ! Bien au contraire, on continue de ce battre ! Lui, il était prêt plus que jamais à plonger avec elle. L'enfer ne lui fait pas peur, pas si il ce trouve à ses côtés. Il sait que c'est difficile, il sait que c'est violent mais c'est pour une cause juste et surtout c'est ce qu'il voulait ! C'est tous ce qu'il essaie de lui faire comprendre alors que son regard s'accroche au sien, ses doigts liés à ceux beaucoup plus fins. Une fois encore, l'inspecteur était prêt à ce relever pour replonger auprès d'elle et l'extirper de ses ténèbres. Une guerre qu'il refuse de perdre. Mais c'est avec tendresse, douceur, qu'il lui demande si elle aussi elle souhaite prolonger cette aventure. Si elle souhaite saisir cette main qu'il lui tend. Il ne souhaite en rien la forcer. Mais il ne pouvait pas choisir de rester si elle préférait le voir s'en aller. Fort heureusement ça ne semble pas être le cas. Elle veux y croire et rien que d'entendre les mots s'échapper d'entre ses lèvres, un bref soupir de soulagement s''échappe d'être les lèvres du brun. Seulement cette angoisse de lui faire du mal est toujours là, elle craignait de le voir souffrir avec cause d'elle alors que si elle savait combien ce serait pire si elle n'était plus là. Il secoue doucement la tête, toujours pour la contre dire. - On a finit par ce retrouver ! On étaient bien avant ce dérapage de ce soir ! Ont étaient bien parce qu'on ne pensait à rien d'autre qu'à nous. Ont avaient une relation stable tous les deux. Ont a habités ensemble, ont étaient bien ! C'est possible tous ça ! Ont a fait des erreurs mais justement ... ont a appris à pas refaire les même ! Ou presque ... ce soir, c'était une erreur du passé qui avait ressurgi. Sa jalousie maladive les avaient conduit au point de rupture. Elle embrasse sa main avec douceur alors qu'il la contemple. - Ferme les yeux ... laisse moi faire. La sortir des ténèbres. Lui faire oublier ... très doucement, il vient glisser sa main libre contre sa nuque alors qu'il ce rapproche pour venir déposer ses lèvres contre les siennes. Un baiser qu'elle avait initié quelques heures avant mais qu'il n'avait pas prolonger. Un simple baiser avant de reculer légèrement puis s'allonger avec elle sur ce lit qu'ils partagent depuis leur arrivé dans cet hôtel. Il la garde précieusement dans ses bras, il laisse ses doigts glisser dans ses cheveux, puis le long de son bras nue. - Tu sais ... je pourrais le restant de ma vie comme ça. Juste avec toi dans mes bras, à te regarder. J'ai pas besoin de plus. Murmure t'il toujours en la contemplant d'un regard tendre tout en continuant ses douces caresses. - On va y arriver Isa.
(c) DΛNDELION
Revenir en haut Aller en bas
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty Mar 22 Sep - 22:16


♛ ♛ ♛
{ étoiles vagabondes }
crédit/ tumblr ♛  w/ @Nikolaï Warren
Ils sont si opposés, tous les deux.
Leurs différences ont fait leur force durant les premiers mois, les premiers émois. Elle avait la sensation d’apprendre constamment auprès de lui. Apprendre une vision du monde et de ce qui l’entoure à l’encontre de tout ce qu’elle a toujours connu, tout ce qu’elle a toujours su. Ils n’étaient pas souvent d’accord, ils ne l’étaient même jamais longtemps. Il lui parlait d’âme sœur quand elle a du mal à imaginer être la sienne. Elle, fille des ténèbres. Elle a davantage le sentiment d’être sa part d’obscurité quand il est, lui, une source de lumière infinie.

Ils sont si opposés, tous les deux.
Mais leur amour est plus fort que les tempêtes qui font rage ; plus fort que les cataclysmes et leurs ravages. Nikolaï, il est plus fort ; plus tenace. Il continue de s’accrocher alors qu’il y a longtemps qu’il aurait dû lâcher. Comme d’autres, avant lui, ont pu faire en la laissant filer. L’âme abîmée ignore s’ils sont heureux désormais, elle sait juste que lui, ne l’est pas en ce moment à ses côtés. Elle ignore où il trouve encore la capacité de résister, lutter alors que tout lui indique d’abandonner. Mais, peu à peu, il parvient à l’atteindre. La main qu’il agrippe, au milieu du naufrage, il parvient à la retenir alors qu’elle est déjà prête à couler. Et, lentement, il arrive à la ramener à la surface ; à lui faire dire tout ce qu’elle refusait de voir.

Tout ce à quoi elle n’osait plus croire.

Elle est bien là, l’envie. L’amour, aussi. Aucune hésitation sur l’intensité de ses sentiments, ils dépassent l’entendement. Mais c’est la peur de ne pas être à la hauteur qui revient, encore, inlassablement. La peur de ne pas être capable de lui donner tout l’amour auquel il aspire. Trop sombre, trop tourmentée, trop écorchée, l’âme est bousillée par les années passées. Les éclats éparpillés, et lui qui essaie de les recoller. Lui, qui essaie de la réparer. Elle prend une brève inspiration en entendant les mots emplis d’espoir de cet homme beaucoup trop bon. Il a certainement raison quand il dit qu’ils s’étaient retrouvés ; ils étaient réellement en train de renouer. Revivre ce qu’autrefois ils partageaient. Tout bonnement, ils s’aimaient. Éperdument, inexorablement. Seulement la véracité de cet amour n’exclue en rien le fait qu’elle soit incapable de garder une relation sur la durée. Qu’elle finit toujours par tout gâcher. Trop déséquilibrée elle-même, Isabella, pour entretenir une relation stable avec celui qu’elle aime. – Mais tu ne comprends pas, c’est ce qui se passe à chaque fois… je tiens un an, peut-être deux, et puis… puis je finis toujours par tout gâcher… non, elle n’apprend pas de ses erreurs. Il y a toujours un moment où elle finit par briser son propre cœur. Et le sien, simultanément, qu’elle a déjà trop malmené.

Tout son corps en proie à la tension, elle est plongée dans l’angoisse,
dans les affres abyssales,
ses dérives sentimentales.


Comme une intuition qu’il aurait, Nikolaï semble deviner. Il l’incite à clore les yeux mais elle continue de le contempler de ses grandes prunelles tourmentées. Elle n’a pas le temps de réagir quand il vient lui voler ce baiser. C’est à ce moment-là que ses paupières se ferment alors qu’il s’empare de ses lèvres. L’ange déchue répond lentement à son baiser jusqu’à se laisser attirer au fond du lit. Elle se retrouve dans les bras de son ex petit-ami ; sans bouger, sans protester. Elle se contente de relever ses iris assombris vers lui quand il commence à caresser sa peau dorée. Électrisée, comme à chaque fois qu’il se risque à la toucher, Isabella ne dit plus un mot. Elle se noie dans ses océans infinis alors qu’il continue de parler ; et continue de l’apaiser. Il n’y a que sa main délicate qui approche du visage de Nikolaï pour le toucher elle aussi. – J’aimerais bien… moi aussi, rester comme ça pour l’éternité. elle confie dans un murmure avant de s’engouffrer un peu plus dans ses bras. Tout enveloppée de lui, elle se sent protégée, à l’abri du danger. – Alors… oublions cette soirée. Nous étions bien partis jusqu’à présent… La poupée part nicher son minois dans le cou de l’être aimé. Elle respire son parfum comme une drogue qui lui a trop manqué. – Je crois qu’on ferait mieux de dormir quelques heures… elle laisse échapper, son souffle toujours contre son derme. D’un dernier baiser, elle embrase sa peau d’ébène.
Elle ne sait pas où ils en seront demain,
mais elle sait qu’elle va mieux quand ils ne font qu’un.

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty
Message Sujet: Re: Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston   Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Est-ce que seule la mort nous sépare à jamais - Warston
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Avant que la vie nous sépare, avant que la vie vacille. Je veux succomber sans égard et valser au bord du vide. ♥ Warston
» C'est pas fini nous deux, c'est que le début nous deux - Warston
» La vie est comme une boite de chocolat, on ne sait jamais sur quoi nous allons tomber
» quand nous nous réveillerons d'entre les morts
» Seule une femme (Iskandar)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: versions #19 et #20 :: rps
-
Sauter vers: