SAVE THE QUEENS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

Partagez

 

 louise and thelma. ft. hazel

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Max Fyres;

-- pandemonium --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Max Fyres



jodie
bambi eyes (ava) ; siren charms (sign) ; vocivus (icons)
oksana ; blake
3154
814
31
t'aimes pas vraiment qualifier les choses. tu aimes les laisser en suspend, au bord des lèvres, à quelques centimètres du gouffre. tu joues, tu virevoltes au gré de tes intérêts, de tes envies.
l'arnaque. l'tissu de mensonges qui s'écrase sur tes lippes. pour en avoir toujours plus. avarice insatiable.
près de ceux au compte en banque pillé. ces hautes sphères que les doigts ne font qu'effleurer. les happy few qu'ils diraient.
((moodboard))
brandy - amour (2) - coban (2) - lali - tad - nejma

louise and thelma. ft. hazel  Empty
Message Sujet: louise and thelma. ft. hazel    louise and thelma. ft. hazel  Empty Jeu 9 Juil - 11:50

louise and thelma - ft @Hazel Fletcher  louise and thelma. ft. hazel  3794924939

Longtemps oublié. Ce rythme effréné des vibrations qui résonnent dans les os. Ce polychrome lumineux qui illumine les traits du visage suintant. Ces corps habités par une musique qui les fait bouger de manière désarticulée. Plaisir coupable des contacts inopinés. Les bras qui s'effleurent dans la foule étroite. Les mèches de cheveux viennent se coller sur les joues, se caler dans les commissures des lèvres. La gorge est un peu sèche. Réclamant encore un gin tonic en plus des deux ou trois que tu t'étais déjà enfilés. L'alcool qui brûle lentement les entrailles. Et tout le monde s'y abandonne. A ces plaisirs euphoriques. Ceux qui font oublier combien de verres on a accumulé. Le trou noir qui en éclipserait même les prénoms surfaits. La tête est un peu lourde. Les yeux presque clos. Pour mieux apprécier la musique grisante qui emballe le myocarde. Et t'observes les chairs animées qui se balancent de gauche à droite sur le son électrique. Tu vois les rires délirants exacerbés par les pilules qui glissent sous les langues. Les âmes sont en effervescence. Les sens, dans tous les sens. Les regards se croisent dans une curiosité silencieuse avant de se détourner. Mais y'a cette silhouette qui attire tes opales. L'étoile qui brille plus que les autres parmi la masse exaltée. Les cheveux en cascade qui valsent le long de sa cambrure. L'allure féline en transe qui ne se soucie pas de tes yeux intrusifs. Les corps indiscrets qui se meuvent autour d'elle. Seulement, elle reste inaccessible au milieu des vermines aux mains indiscrètes. L'attention déportée des êtres parasitaires. Parce qu'elle embrasse la musique avec fougue. T'es attirée, Max. Par la beauté séraphique de celle qui ne semble pas en avoir conscience ce soir.
Tu t'approches d'elle, écartant les formes qui cherchent à t'accoster, à t'attraper le bras pour t'entraîner dans leurs délires. Ça t'intéresse pas, ce soir. Le cerveau obnubilé par la lubie dans sa tour d'ivoire. Les épaules se percutent. Assez pour réveiller la princesse de sa frénésie. Attitude désinvolte quand tu croises son regard. Sourire esquissé sur le coin des lèvres. Puis tu la laisses pantoise quand tu te dérobes rapidement. Fuyant méduse avant qu'elle ne te pétrifie sur place. Parce que dans ses opales d'ébènes ne brillent que des flammes. Passion dévorante. Addiction contagieuse. Tu sors en trombe à l'extérieur pour te poser dans le coin fumeur. Prétexte pour échapper à la chaleur qui émane de l'intérieur. Aux frissons qui parcourent l'épiderme suite au contact des prunelles de feu. T'as envie de jouer avec le feu ce soir. Persuadée que les atomes crochus sont partagés par la sirène aux pouvoirs envoûtants. Et t'es pas bien surprise quand tu l'aperçois, quelques minutes après toi, investir le fumoir quelques instants. T'allumes une cigarette calmement. Profitant de la brise fraîche rafraichissant les ardeurs. Les rythmes de la musique ne sont plus que des bruits sourds qui s'écrasent contre la porte fermée. Le vacarme se meurt, s'évaporant dans l'air en même temps que la fumée qui s'échappe de tes poumons. Tes yeux ne quittent plus sylphide alcoolisée en proie aux miasmes masculins. Odeur pestilentielle qui irrite les canaux. Tu te presses vers elle, défiant les mâles un peu trop affamé.
"J'crois qu'elle est pas intéressée"
Tu t'immisces entre elle et les autres. La chasse est gardée. Sourcils haussés. Iris plissées. Invitation à s'éloigner. Loin d'elle. T'as perdu. J'ai gagné. Soupir d'agacement prononcé quand ils se rendent compte que le combat est inutile. Tu te retournes vers elle, canines dévoilées dans un sourire charmeur.
"Tous les mêmes, pas vrai ?"
Les coudes se posent tranquillement sur la rambarde. Cigarette toujours en bouche. L'embout se teinte du rouge à lèvres carmin. T'ouvres ton paquet dans sa direction. La question ne se formule pas. Parce que les palabres ne viennent pas. Esprit trop occupé à se focaliser sur ses traits délicats. Poupée que tu veux faire tienne ce soir. La pulpe de ses lèvres qui meure d'envie qu'on s'empare d'elle. Les idées se bousculent dans ta tête, max. Souffle presque coupé par sa délicieuse beauté.  

_________________
.
- - comme un souffle,
un garnement,
tout autour y'a la violence. 
Revenir en haut Aller en bas
https://savethequeens.forumactif.com/t7988-smell-ya-later-max-fyres https://savethequeens.forumactif.com/t8032-max-vai-tu-sei-libero#289598
Invité;

Invité
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


avatar




louise and thelma. ft. hazel  Empty
Message Sujet: Re: louise and thelma. ft. hazel    louise and thelma. ft. hazel  Empty Mar 18 Aoû - 17:52

le verre que tu effleures, du bout des doigts. les jambes fuselées, entrelacées. là, assise sur ce tabouret. le regard surligné délicatement du noir habituel. l’éthanol qui brouille les sens et évapore les pensées les plus pures. le bras désormais libéré, plus rien ne semble t’arrêter. la bombe à retardement, hazel. l’électron qui gravite, tend furieusement vers la collision. cette soirée est l’occasion rêvée pour fêter ton anniversaire. tes trente ans, quand même. peu importe. tout prétexte, ces derniers temps, est bon pour te défiler. t’éloigner de la sombre vérité. tu as bu, hazel, au point de te masquer d’illusions. lui et son regard ténébreux. ton corps en porte la marque indélébile. tu n’arrives plus à oublier. tu te détestes. les dents serrées, cette dernière gorgée à des allures de poison. brûle l'œsophage, serpente sournoisement pour enflammer ton esprit au bord du précipice. tu relèves le regard. la piste est bondée devant tes yeux mais il te faut une distraction urgemment. dernière rasade d’ivresse édulcorée avant que tu te diriges vers la piste.

parmi les ombres, tu te frayes un chemin. ondule entre les silhouettes endiablées. pratiquement au centre du groupe, tu laisses le rythme envahi ton petit corps. laisses transpirer tout ce qui te hante. laisses le tissu cette robe peut-être trop courte, ondoyer sur tes cuisses. déhanché lascif. crinière brune qui s’agite doucement. au milieu de cette foule, précieuses secondes de volupté. tu n’es plus la croupière. tu n’es plus celle au cancer. une simple âme qui s’éprend d’un morceau. épouse chaque de ses notes, jusqu’à s’oublier elle-même. les basses qui cognent contre ta poitrine. la bretelle de ta robe qui tombe le long de ton bras. pas un instant, tu te dis que tu peux être observée. déconnectée, tu ne vibres que pour les sonorités. soudain, la sensation fugace qu’on effleure tes hanches. l’intellect qui s'enflamme, flash de son visage devant tes paupières. le myocarde qui déraille, te sort de cette transe. « bon sang, hazel. » supplique qui te tire définitivement d’un songe que tu voulais étreindre à tout jamais. « je te cherchais partout. viens, on va dehors cinq minutes. tout le monde y est. » presque trois minutes d’une douce folie et voilà que cette idiote t’y arraches. tu te retiens de l’envoyer bouler, tu te contentes d’un hochement de tête minimaliste. histoire de ne pas paraître froide. elle te tire loin de l’onirique chimère que tu venais de te construire. là, il pouvait être à toi.

l’air frais du soir te caresse les joues. tu te frictionnes doucement les avant-bras alors que tu lances un petit sourire à ton groupe, qui te remarque à peine. tu jettes quelques regard autour de toi. cette soirée. elle n’est définitivement pas celle que tu avais imaginé. à mesure que le temps passe, tu te détaches du groupe. t’adosses contre le mur. il n’en a pas fallu plus pour qu’un groupe d’hommes viennent t’accoster. trois, exactement. tu n’as forcément envie d’être gentille. panthère qui tente de griffer avant de dissuader. « ça va aller, merci. » sèche, cassante alors qu’un d’entre eux te proposer une cigarette. « allez, poupée. je suis certaine qu’on peut bien s’entendre tous les quatres. » humour graveleux qui fait rire ses deux acolytes. fureur que l’on peut lire dans tes yeux. encore à jouer les plus fortes alors que tu commences à te demander jusqu’où ils seraient capable d’aller. tu allais attaquer lorsqu’une silhouette arrive à tes côtés, prend ta défense. tu arques un sourcil mais garde le silence. tu as l’oeil posé sur la lionne qui vient de faire son entrée. une blonde, un peu plus grande que toi, distinguée. elle défend le territoire comme une chasse gardée. tu n’es qu’une spectatrice, tu observes attentivement ce qu’il se passe autour de toi. elle finit par prendre la parole et les faire voir ailleurs. qui est cette femme ? à cet instant, encore une énigme. elle se tourne vers toi, ce sourire qui étire ses lèvres. tous les mêmes. « peut-être bien. peut-être pas. » provocante. piquante. tu avances vers elle, les hanches qui roulent, et les coudes qu’elle a posé sur la rambarde. tu tournes le dos à ce qu’il y a au-delà de cette rambarde, les fesses contre le fer forgé. l’inconnue te propose une cigarette, le paquet ouvert vers toi. tu pousses doucement une mèche de tes cheveux bruns derrière ton oreille, bien décidée à te laisser aller. pour que cette soirée ressemble enfin à ce qu’elle aurait dû être. les iris azurs qui se posent sur ses lèvres, où est logée cette cigarette entamée. tes doigts fins qui viennent délicatement attraper le tube avant le porter à tes propres lèvres. les paupières plissées, lueur de défi qui envahit ton regard. « merci. » que tu lances, toujours empreinte de sédition. « alors ? » pause que tu te donnes pour souffler la fumée droit devant toi. « ça t’arrive souvent de sauver des jouvencelles en détresse ? » le ton moqueur à peine dissimulé. tu vas te brûler, hazel. pourquoi le danger t’attire toujours alors que tu es incapable de te défendre ? après tout, tu ne connais pas cette fille. ni ces intentions. en revanche, toi, tu t’es enfin trouvé une distraction.



Revenir en haut Aller en bas
Max Fyres;

-- pandemonium --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Max Fyres



jodie
bambi eyes (ava) ; siren charms (sign) ; vocivus (icons)
oksana ; blake
3154
814
31
t'aimes pas vraiment qualifier les choses. tu aimes les laisser en suspend, au bord des lèvres, à quelques centimètres du gouffre. tu joues, tu virevoltes au gré de tes intérêts, de tes envies.
l'arnaque. l'tissu de mensonges qui s'écrase sur tes lippes. pour en avoir toujours plus. avarice insatiable.
près de ceux au compte en banque pillé. ces hautes sphères que les doigts ne font qu'effleurer. les happy few qu'ils diraient.
((moodboard))
brandy - amour (2) - coban (2) - lali - tad - nejma

louise and thelma. ft. hazel  Empty
Message Sujet: Re: louise and thelma. ft. hazel    louise and thelma. ft. hazel  Empty Dim 30 Aoû - 0:02

louise and thelma - ft @Hazel Fletcher  louise and thelma. ft. hazel  3794924939
Ce serait se méprendre que de tomber dans les précipices des iris de la biche. Ce sont plutôt les prunelles d’une louve, tapie dans la sauvagerie des bois, qui se posent délicieusement sur toi. Ardentes elles le sont, brûlantes et sulfureuses, elles rendent grâce à leur reine qui ne s’attendrit pas des piètres révérences de ceux qui cherchent à capturer sa clémence. La tête, elle est bien haute, refuse les avances, souvent gênantes, de la gente opposée. Dans l’obscurité de la nuit, spectatrice des tourments qu’elle afflige face aux propos insistants, tu observes la nymphe. A des années lumières d’être princesse en détresse, ses griffes sont acérées, assez aiguisées pour taillader les intrusifs. La poupée n’est pas de plastique, elle n’est pas aussi malléable que les aveugles le pensent. Les passions se déchainent sous les gorges brûlées par les boissons euphorisantes, mais jamais ne s’abandonnent aux plaisirs libidineux dont elle n’accorde point d’importance. Alors elle décline poliment avant que ta voix ne s’élève au-dessus du vacarme assourdissant. Menaçante est la tempête qui gronde autour d’eux. Comme des chiens apeurés par les éclairs qui déchirent le ciel gris, ils courbent l’échine, rentrent la queue, penauds, et retrouvent le rythme endiablé de la piste de danse à l’intérieur. Et c’est une fois débarrassée des parasites que la danse commence, Max. Loin de la masse en liesse qui s’alanguit des promesses d’un panaché de couleurs extatiques offert par la poudre livide, tu t’enivres des fragrances goudronnées. De ce poison qui brûle les poumons, les neurones suffisamment amorphes par les émulsions fluides.
« Pourtant ceux-là sont bien d’la pire espèce.  »
Les mots sont des pinceaux acides, chargés du dégoût masculin qui s’écrase sur la toile invisible. Les babines se retroussent de mépris. Contre cette vermine que tu aimerais écraser sous tes semelles rigides, de la pointe du talon, viser la carotide qui les éclaboussera de son sang. Mais les rapaces ne valent pas autant cette peine, Max. Brandissant l’indifférence comme arme redoutable, dans ton univers, il n’y a bien que les séraphines qui imprègnent la prose du blason ancré sur l’étendard.
Les iris lorgnent la silhouette, scrutent les courbes qui épousent le fer rouillé de la rambarde contre laquelle elle s’appuie. Quand la fumée s’échappe dans l’air froid qui frappe le visage, les pulpeuses s’animent tandis que les sourcils s’arquent devant l’insolence de l’inconnue. D’un voile nébuleux, la sirène s’enveloppe et ses proies avec elle. Celles qu’elle attire par ses chants envoûtants. Elle a l’art mystique, l’âme magnétique. Inexorablement, elle t’attire, Max. Alors tu ne dis rien quand ses doigts, d’un geste furtif, effleurent la pulpe des lippes qui capture, un court instant, son regard.
« Tout le plaisir est pour moi. »
La défiance est mimée, soutenue sans broncher. Tu dégaines une autre cigarette, pour toi, avant que le paquet ne disparaisse dans la poche arrière de ton short. La flamme du briquet brille dans les orbes qui oscillent entre le vert et le bleu. Tu tires dessus avec avidité, écoutant d’une oreille distraite les moqueries de la brune. Du haut de son promontoire, elle te nargue, Max, se pense d’être de celles qui sont inaccessibles. Pourtant, tu es certaine qu’elle ne l’est pas, énième mirage dont tu t'éprends le temps d'une nuit. Mais tout cela te suffit. La luxure au-dessus de l'avarice, elle ondule dans l'encéphale exaltée par l'alcool, vivifie les désirs frénétiques. Max, de ces deux vices tu es la prisionnière, sans que les chaînes ne démangent tes poignets. Tu acceptes cette sentence qui comble d'une frivole ivresse l'insipidité de l'esprit.
« Seulement quand le jeu en vaut la chandelle. »
La langue, fugace, mouille les lèvres asséchées par les exhalaisons cendrées. La tête se détourne de la brunette, se pose sur la rue déserte où seuls les chauffeurs, normalement sobres, s'aventurent. Quelques corps vacillent de droite à gauche, tentent de trouver le chemin d'une maison dont ils ne connaissent plus l'adresse. Sous les opales amusées, ils trébuchent et s'écrasent sur le bitume amorçant la fin brutale d'une soirée bien arrosée.
« C'est pas commun de croiser des jouvencelles solitaires. T'es toute seule ce soir ? »
C'est lancé comme une constatation, appuyant sur les mots qu'elle a elle-même utilisés. Elle ne sait pas sur qui elle pourrait tomber. Sous la frénésie et la fougue escarpée, les intentions sont peu louables. Et l'appât est bien trop gros pour qu'elle ne te dupe si facilement. Tu regardes aux alentours, faisant mine de chercher l'esquisse d'un homme de sa trempe alors que tu te doutes bien que c'est l'absence de se dernier qui motive les sorties de la demoiselle.
« Y'a pas ton mec qui t'attend ? »
Intrusif et incisif. L'attention se porte de nouveau sur elle. D'un air faussement détaché, le soupir est lâché, comme si t'étais déjà lassée de la fallacieuse, espérant seulement tourmenter l'esprit aguicheur, provoquer les mouvements enjôleurs.     

_________________
.
- - comme un souffle,
un garnement,
tout autour y'a la violence. 
Revenir en haut Aller en bas
https://savethequeens.forumactif.com/t7988-smell-ya-later-max-fyres https://savethequeens.forumactif.com/t8032-max-vai-tu-sei-libero#289598
Contenu sponsorisé;

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -






louise and thelma. ft. hazel  Empty
Message Sujet: Re: louise and thelma. ft. hazel    louise and thelma. ft. hazel  Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
louise and thelma. ft. hazel
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SAVE THE QUEENS :: 
 :: boulevard of broken dreams :: versions #19 et #20 :: rps
-
Sauter vers: