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 |  Sujet: (WP #01) / owen swaguer.  Dim 12 Juil - 15:03 |
| - intrigue:
- Master of Playing Cards a écrit:
save the queens ---- / WRITING PROMPT #01
some beautiful words ---- / to go to another world contexte / sur le meuble le plus proche, tu trouves ta propre lettre de suicide. c'est indéniable, il s'agit bel et bien de ton écriture. la lettre en question est datée d'il y a trois jours.
questions-guides et directions à prendre (facultatif) /
• décris ce que tu ressens au moment où tu comprends que tu es mort(e).
• décris ce que tu ressens maintenant que tu es mort(e).
• parle des raisons qui t'ont poussées à un tel acte.
• imagine que tu regrettes et parle des raisons qui auraient dû/pu t'empêcher d'aller jusque là.
• rédige ladite lettre de suicide.
• compare ce que tu ressentais il y a trois jours à ce que tu ressens aujourd'hui. qu'est-ce qui a changé ? aurais-tu quand même mis fin à ta vie si tu avais attendu trois jours de plus ?
Une douce est agréable sensation de légèreté s'inflige en toi. La sensation que ta vie a toujours été un long fleuve tranquille, laissant derrière toi les calvaires de ta vie. La sensation de flotté sur un nuage paisible. Un doux rêve éveillé, posant devant l'objectif de ton âme sœur, celle qui a toujours était ton pilier dans la vie, ta petite sœur Mia. Des fous rires éclates, appréciant la douce chaleur de ses bras. Tu sens son odeur de parfum vanillé Retrouvant l'équilibre qui te manquait, celle de ta sœur adoré. Un rêve parfait! Faisant le pitre, tu trébuches, laissant ton corps lourd tombé à même le sol. T'appuyant contre le meuble pour te relever, tes opales bleutés son attiré par cette enveloppe, écrite de ta propre main: A ma famille bien aimé. Intrigué, tu l'ouvres, curieux. Le ciel te tombe sur la tête, regardant Mia. La fierté de la retrouvé n'est rien d'autre qu'un réel cauchemard. Elle lit en toi comme dans un livre ouvert. - Owen, ta dernière frustration a été celle de trop. Tu n'as pas su remonter la pente, tu as préféré de te noyer dans l'ivresse de cet alcool brun, tu as préféré laisser les démons t'emporter. Cela fait maintenant trois jours que nous jouons comme lorsque nous étions enfant. Trois jours que tu me parles de ma fille, trois jours que tu me dis à quel point Arya me ressemble, à quel point tu es fier d'être son père. Ce n'est pas possible… Est-ce une joie? Ou le début d'un nouvel enfer?! Tu ries, anxieux. Tu essaies de te souvenir, de comprendre son énigme. Ton regard en dis long, des réponses tu auras. Posant sa main sur ton épaule, elle te transporte dans un autre monde, bien réaliste. Un attroupement de gens autour de ta dépouille. Tu peux voire tes camarades, attristé, se sentant coupable de ne pas avoir vu le coups arrivé.Toi l'homme aux sentiments cachés, toi qui a préféré les renfermés dans une boite à double tour, enfouillais bien profond dans l'océan. Tu ries, demandant où se trouve la caméra caché. Ils font la sourde oreille… Tu t'approches de Cassey, cette femme qui t'a volé ton cœur il y a vingt ans. Essayant de la prendre dans tes bras, pour penser cette douleur. Tu veux la rassurer, lui dire que tu es tout prêt, mais tu ne peux rien faire. Tu t'approches auprès de ta fille. Tu commençais seulement à tisser un semblable de lien, tu auras encore était une fois lâche. Tu cris, tu hurles essayant d'attirer leur attention, mais tu reste un fantôme à leurs yeux. Non, tu ne veux pas abandonner tes proches, toi qui te mets en quatre afin d'avoir une nouvelle place dans leur cœur, même infime tu serais heureux. Toi qui as fait la promesse de t'occuper de Gabriella comme si c'était ta propre fille, tu l'auras abandonné à son tour. Tu n'es plus rien Swaguer, tu blesseras toujours toute les personnes qui t'entourent. Sa main sur ton épaule, tu te retrouves trois jours plus tôt. Tu sembles être mal au point, la bouteille de whisky en main. Tu n'arrives pas à croire à la perte de ton amie. Cette perte te fais réalisé que tu n'as jamais supporté l'absence de Mia, tu n'as jamais supporté d'avoir perdue ton seule et unique amour. Tu n'as jamais supporter d'être un étranger aux yeux de ta fille… Tu as fais des mauvais choix, qui t'ont éteind la flammes brillant en toi il y a vingt ans. Attrapant le premier stylos, tu écris ces quelques mots: Je n'ai jamais été un mari ou un père exemplaire. Mais l'amour porter, malgrés toute ses années ont toujours été présent. J'aurais du me battre, j'aurais du tenir tête à ton père ce jour-là. J'aurais du être l'homme digne que tu méritais. Ma fille, ma chérie… Tu es ma plus belle fierté, mon plus beau cadeau. Je vous laisse en paix, Je ne serais plus présent pour vous tourmenter. garder un œil sur Gabriella, ma nièce adoré, elle mérite d'être entouré de personnes sain. Je vous aimais, je vous aime et je vous aimerez malgré les années lumières qui nous sépare. Ta bouteille de Whisky à la bouche, tu prends une longue gorgée, t'avançant jusqu'à la cuisine pour allumé le gaz. Assis, tu laisses les perles salés roulé sur ton visage, essayant de te libérer de tout ton mal être transporté depuis tans d'année. Tu finis par t'endormir, commençant ce voyage sans fin. Un bruit sourd te fais sursautté, en sueur tu es, dans le noir de cette chambre. -Tonton, je peux dormir avec toi, j'ai fais un cauchemard. Il te faudra quelques longues secondes avant de réalisé que toute cette mascarade n'était qu'un horrible rêve. Tu acceuilles ta nièce dans ton lit, serrant doucement son corps d'enfant, la rassurant qu'elle n'est plus seule dorénavant. Tu te battras coute que coute pour reprendre un semblant de place qui t'a toujours été dédié, celui d'un père. Celle d'un homme toujours aussi amoureux d'une femme certainement perdu à tout jamais.
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