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 ( not the one that dies, the one that does the killing ) ♚ cassey

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Message Sujet: ( not the one that dies, the one that does the killing ) ♚ cassey   ( not the one that dies, the one that does the killing ) ♚ cassey Empty Dim 30 Aoû - 12:25


( you make a choice, you live with the consequences )
« “Ever since I could remember, everything inside of me just wanted to fit in. I was never one for pretenders, everything I tried to be, just wouldn't settle in.  If I told you what I am, would you turn your back on me? And if I seem dangerous, would you be scared? Everything I touch is dark, i’ve turned into a monster and it keeps getting stronger. » song Août 2020 ft. @cassey warren



L'âme perfide et cruelle de la bête enragée, elle se satisfait des gouttes sanglantes qui marquent le visage du malheureux mécréant. Odeur cuivrée qui parfume ses narines. Le roi satanique, il s’en délecte de cette peur asphyxiante qu’il perçoit dans le regard de la victime. Proie du prédateur sans pitié. Dans sa cruauté sauvage, le loup carnassier, il n’est pas prêt à montrer une parcelle de compassion. Pitié impossible. Dans la noirceur des ténèbres meurtrières, les éclats de lumière sont des artéfacts. Des étoiles perdues qu’il entraîne à l’agonie, lui, Fenrir, l’assassin diabolique. Il ne tente pas de la répandre cette clarté aveuglante dans la galaxie. Lui, le monstre destructeur, il se complaît des ravages qu’il engendre. Météorite qui transforme en cendres des corps inanimés. Entre ses doigts, c’est son pouvoir avide qui s’étend. Et c’est sa violence infinie qui grandit à chaque tempête stellaire qu’il provoque. Il le protège dans toutes les guerres son empire de la nuit. Lui, le loup maléfique il l’agrandit son royaume maintenant qu’il détient le pouvoir suprême. Le louveteau prisonnier il n’existe plus, il a disparu quand Vitaly, il l’a combattu le titan, l’hydre difforme. Le patriarche Yakov, démon de ses cauchemars enfantins. Il l’a percuté cet astre gigantesque et dans la collision, le fils infâme, il l’a détrôné le tyran. Si longtemps il a navigué dans les routes obscures de la galaxie, perdu dans une douleur lancinante qui animait son âme meurtrie, les années ont fait disparaître les remords encombrants. Emotions éteintes, c’est la bête enragée qui a pris le contrôle. C’est le meurtrier dangereux qui trouble les destins ordinaires des impuissants qui tentent d’accéder à son pouvoir. Le corps fier et massif, il la protège la puissance de son antre bénie. Bourreau des innocents, apôtre de Satan, il l’observe de ses yeux flamboyants de sa fureur glaciale. Le visage sévère du maître des enfers se rapproche de la peau marquée de rouge de la brebis qu’il rêve de dévorer. Existence qui s’achève. « Tu comptes vraiment garder le silence et ne pas me dire qui a la personne qui a parlé ? C’est beau tant de loyauté mais totalement inutile. Tu devrais offrir ta loyauté à ceux qui détiennent les cartes de la vie et de la mort » . Le carnassier, il a la voix plate et effrayante de l’astre que les ouragans ne troublent pas. Dans sa froideur qui rappelle les étendues du groenland, il la violente la comète qui attend son explosion programmée. « Coupez lui un troisième doigt, peut-être qu’entre quelques cris, il se décidera à devenir bavard notre petit oiseau. » . Le maître des ténèbres, il s’en éloigne de celui qu’il offre à ses colosses affamés. Terrible Vitaly, il l’amène sur le champ de bataille pour le condamner au mal agonisant. Blessure lancinante d’un corps qui se consume dans les flammes. Il les entend les supplications bruyantes. Mélodie délicieuse pour ses oreilles. Lui, il ne s’arrête pas. Il le marque pour l’éternité l’humain qui se dresse devant la grandeur des monstres. « Cassey Warren ! C’est elle qui a parlé de vous. S’il vous plaît laissez-moi partir maintenant. ». Le chef Yakov, il le scrute le naïf qui pense pouvoir s’enfuir. Rire sarcastique qui se répand dans l’air qui les entoure. Il ne mérite pas une place près des étoiles filantes, ni la vie ce mouton bavard.  De ses mains, il est l’étincelle qui les allume les incendies. Lui, Vitaly, il les embrase les terres menacées.  Alors, il ne va pas le sauver cet inconscient crédule. « Occupez-vous de lui. Vous jetez son corps dans l’Hudson après. » . Le ton autoritaire d’un chef de guerre, il le donne cet ordre à ses soldats sataniques. Lui, il a une bataille à lancer. Dans la nuit noire de la grande ville, il ne met pas longtemps à les obtenir toutes les informations dont il a besoin. Et, le loup solitaire, il y arrive chez la future victime de sa cruauté. Comète scintillante à percuter violemment. Fenrir, il est rapide pour pénétrer en territoire inconnu. Il le lit le nom inscrit sur la porte. Cassey Warren. Créature indésirable et lumineuse. Le poing heurte le pan de bois pour manifester sa présence désagréable. Les lumières blafardes du bâtiment et le cliquetis incessant du néon la font disparaître sa patience inexistante. Le temps s’écoule à chaque mouvement régulier de l’aiguille de sa montre. Dans sa tête, elle s’agace la bête ravageuse. Il les entend les pas de la fille d’Eden et elle finit par apparaître la silhouette qu’il domine de sa carrure de colosse stellaire. Elle, elle a le regard craintif qui illumine ses iris. Vitaly, il lui lance son sourire carnassier pour que son esprit se fracasse davantage contre la grandeur de la lune.   « Mademoiselle Warren. Comme il est agréable de vous revoir. Après notre dernière entrevue, je me suis dit qu’il était temps de venir vous rendre visite. Vous ne croyez pas ? » à ses mots cyniques, il le sait qu’elle la comprend sa présence. Lui, le meurtrier diabolique, il vient les animer les braises.  De quelques pas en avant, il s’approche, il l’enferme dans son antre satanique. Il la rend impossible la fuite à travers la galaxie. Démoniaque Vitaly, il s’amuse le roi prédateur qui veut la rendre fébrile. « Vous savez même si j’admire le travail quotidien des forces de l’ordre, je déteste quand ils viennent me déranger à cause de propos fantaisistes qu’une inconnue ait venu leur rapporter…. » . Le visage sévère du maître des enfers, c’est l’assassin qui s’éveille. Sa voix plate s’élève pour la troubler cette pauvre âme. Il la contemple la fille du paradis et le prédateur affamé, il le sait, il peut la détruire en un battement de cœur.
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Message Sujet: Re: ( not the one that dies, the one that does the killing ) ♚ cassey   ( not the one that dies, the one that does the killing ) ♚ cassey Empty Dim 13 Sep - 20:40


☆ ☆ ☆
{ not the one that dies
the one that does the killing }
crédit/ tumblr ☆ w/@Vitaly Yakov
Le minois angélique, la belle endormie est sagement couchée au fond de son lit. Le visage paisible éclipse le goût prononcé pour les fêtes à n’en plus finir ; l’attrait indescriptible, aussi, pour le risque. Plongée dans un sommeil pas si profond, comme chaque fois que sa fille ne dort pas à la maison, elle soulève les paupières au premier poing contre sa porte. Les océans tentent de s’y retrouver dans l’obscurité alors que la jeune femme est déjà redressée. L’esprit encore mal réveillé, elle se demande si c’est Arya qui a décidé inopinément de rentrer. Mais Arya est suffisamment responsable pour ne pas oublier ses clés. Reste la possibilité d’un frère tourmenté, un ami esseulé, ou peut-être celui qu’elle n’est pas encore prête à retrouver.

Elle pense à tout le monde, Cassey, tout le monde sauf Lui.

Les pas légers foulent le plancher jusqu’à la porte d’entrée. Vêtue d’un simple débardeur et d’un short qui porte excessivement bien son nom, la princesse ne se préoccupe pas de la tenue qu’elle peut afficher, du corps qu’elle peut dévoiler. Elle a été tirée des bras de Morphée au beau milieu de la nuit sûrement pour une bonne raison. Tous ses proches, ils ne savent que trop bien comme elle tient à son sommeil pour qu’il en soit autrement. Mais, quand enfin, elle ouvre la porte de bois, l’astre solaire est confrontée à des ténèbres qu’elle n’avait pas envisagés. Lueur céleste pour éclairer les traits pas si familiers, elle l’observe en plissant les yeux comme pour tenter de le situer.

L’oiseau candide est si loin de se douter,
que c’est le diable en personne qui a frappé.


Elle s’apprête déjà à lui demander son identité, qui il est pour venir chez elle la réveiller. Mais le loup affiche un sourire, un sourire particulier, un sourire qui l’empêche de parler, elle qui ne sait pas souvent se taire quand il le faudrait. Elle a l’impression désagréable d’être la proie qu’il vient de trouver. Quand, subitement, il se met à parler, les images reviennent la submerger, comme un flash impudemment oublié. – Qu’est-ce que vous faites là ? elle lance, en guise de réponse, sans rebondir aux propos intimidants. Elle n’a pas peur, Cassey, pas encore. C’est quand il commence à avancer, l’obligeant à reculer, qu’elle sent le piège se refermer. Il est grand, imposant, alors qu’elle est frêle, la poupée. Aucun moyen de se protéger, elle n’a jamais su se battre. C’est dans la parole qu’elle règle ses combats. Parole impertinente, souvent trop insolente, c’est autant ce qui fait son charme que ce qui peut la rendre irrépressiblement agaçante. À cet instant, pourtant, elle ne dit rien. Plongée dans un mutisme qui ne lui ressemble guère, la jolie blonde est paralysée, entre la voix assurée, froide et implacable de l’étranger, et les souvenirs qu’il vient lui rappeler. Cette nuit-là, elle avait assisté à une scène violente, si violente que l’intrépide n’a pas pu s’empêcher de réagir. Tous ces hommes qui s’en prenaient à une pauvre victime, le violentaient à plusieurs sans qu’il ne puisse se défendre. Et celui-là, qui détonnait dans la masse ; le maître des autres, le maître des ombres, immédiatement reconnaissable.

Celui qui se retrouve en ce moment même,
ici, dans sa demeure,
ici, face à elle.


Silencieuse, Cassey, elle essaie de calmer les battements erratiques de son cœur. Comme une tentative de son corps pour lui rappeler qu’elle doit avoir peur. – Mes propos n’avaient rien de fantaisiste. elle lance, spontanément, incapable de se taire. Incapable de taire une vérité qu’elle ne devrait peut-être pas si aisément assumer. Mais l’inconsciente n’a jamais su se mesurer face au danger. Même les plus imminents, elle ne sait pas les contourner. Il y a peut-être même une partie d’elle qui aime beaucoup trop le frisson éprouvé,
le palpitant qui se met à accélérer,
la vie qui se met à s’intensifier.
La nymphe observe son prédateur, droit dans les yeux, les opales qui se suspendent dans un choc harmonieux.   – Vous alliez tuer cet homme. elle continue, l’imprudente, elle s’enfonce dans les ronces qu’elle a elle-même plantés. Elle ne regrette pas d’être intervenue, ni d’avoir parlé.
Le cœur idéaliste,
l’âme hardie,
elle tient à ses principes,
peut-être plus encore qu’à la vie.

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