join me, i took you | Azela

Sms envoyé, chambre réservé, tout est pile ou face. Ce n’est pas dans ses habitudes de demander à être remplacé, encore moins pour ce genre de raisons. Mais là, c’était plus fort que lui, envie de la voir après les sms échangés, envie de la voir après toutes les photos aperçus sur son réseau social. Les sms étaient pourtant houleux, il n’a pas la moindre certitude qu’elle va venir, il y a même plus de chance que ce soit l’inverse. Mais il ne perd pas espoir. Présent dans cette chambre d’hôtel de luxe, il n’a pas grand-chose à faire, à part regarder la tv. Il pourrait faire des tas de choses en réalité mais pas en étant dans l’attente, pas alors que la jeune femme qui est souvent sa maitresse dominatrice peut arriver à tout moment. Enfin, si un miracle arrive. Après les quelques heures passées à la caserne, les sms envoyés, la demande de remplacement sans donner de véritables raisons, il est parti se changer. Il aurait surtout dû prendre une bonne grosse douche froide pour calmer les quelques idées qu’il a en tête. Doit se calmer, et les idées qui lui reviennent alors qu’il est toujours en train d’attendre ne l’aide pas franchement. S’il n’a reçu que des messages qui auraient pu le couper dans ses ardeurs, les pensées envers elle se multiplie à la place. Et Izoën ne sait même pas si c’est pas bien ou non. Deux trois coups frappent à la porte, il se fige quelques secondes. Pitié que ce ne soit pas le service d’hôtel. Il se lève, puis va ouvrir et comme d’hab, il garde son côté je m’en foutiste en la découvrant, tout en gardant certaines phrases de beauf. « Bien plus intéressant que le service d’hôtel » Puis il la laisse entrer, alors que dans sa tête c’est l’apocalypse qu’elle soit là, il ne faudrait pas qu’ils s’affichent dans ce couloir.

@Azela Morales

Tu pourrais être aux anges, d’avoir eu un tel sms avec une chambre d’hôtel si belle et si cher. T’aimerais l’avoir ce loisir d’être si riche, il le peut lui, offrant des cadeaux, mais confondant bien trop de chose. Alors, t’as longuement hésité à le rejoindre , à avoir ce moment de partage avec lui, lui donner de mauvaises idées. Si tu y vas, c’est bel et bien pour tout remettre à plat, ou tout arrêter. Homme marié qui titille ton âme, ton être tout entier à vrai dire. Tu ne peux pas mentir, le beau brun, te rend malade, laissant des envies inavouées dans tes entrailles. Mais ce n’est pas possible il est marié, tu ne cesse de te le dire, puis il est insupportable, puis étrange en réalité. T’as beau accepté de faire ce job, qui paye très bien pour malmener un peu les hommes, tu ne comprends pas forcément, tu te doutes que Iz’ est assez perturbé, pourtant il a l’air si différent à la caserne. Pourtant l’échange d’sms prouvait aussi beaucoup. Les habits les moins sexy, tu enfilais un vieux jean noir et une chemise blanche, rien de cuire, même tes chaussures, ce n’était que des baskets, un look assez simple et clairement pas attirant, mais ça pourrait toujours en attirer d’autre. Tu y allais réellement pour mettre les choses à plats. Qu’il comprenne les limites qu’il ne pouvait pas te siffler ou te sonner comme bon lui semblait. Ce n’était pas ton rôle, t’étais pas sa maitresse, mais sa maitresse dominatrice, c’était toi qui devais imposer les règles et encore là, il serait capable de décoder que tu joues la demoiselle qui domine. Il est perplexe l’homme brun, beaucoup trop, ce qui t’attire presque jusqu’à revoir l’anneau à son doigt. Il fait monter tant de pression dans ton bas ventre, mais cet anneau fait de la magie, en faisant tout redescendre en deux secondes quand tes iris se posent dessus. Tu te retrouves, dans l’hôtel où bosse Lali, ce qui fait que tu stresses pas mal de la voir, elle est curieuse ta sœur, c’est ta sœur, te protéger sans doute, comme toi, comme vous la fratrie Morales. Ne pouvant compter sur des parents qui avaient toujours agis comme des bulldozers, détruisant les cacophonies de votre myocarde. Trois coups donnés à sa porte de chambre, tu stresses qu’on te voit, qu’on te reconnaisse, qu’on en parle à ta sœur. Tu t’en fiches qu’elle te voit, mais les explications ne sont clairement pas aux normes dans ta tête. Tu replaces ta tresse sur le côté attendant qu’il ouvre, ce qu’il fait si rapidement, un bonheur qui se lit bien trop dans ses opales. Il s’imagine déjà ce que tu peux lui offrir, alors que tu n’as que des mots en tête, qui crée une apocalypse dans ta cervelle, à t’en donner un mal de tête pour sûr. Tu rentres bien vite, pour éviter d’être vue, toujours. « Tu vas vite regretter que ce ne soit pas le service d’hôtel ! » Un ton froid, tu comptes bien le remettre à sa place. « Je ne suis pas là pour ton plaisir, mais bien pour tout remettre en ordre avant d’aller bosser. » Tu te veux claire et forte, vas-tu tenir ? tu l’espère, tu ne veux pas que ça se reproduise.

@IZOËN FIELDS join me, i took you | Azela 2746359131

Assit dans cette suite de luxe, il est impatient, tel un enfant attendant ses cadeaux devant le sapin un matin de noël. On est peut-être en décembre, mais ce n’est pas encore noël. Par contre, si effectivement, Azela vient : ça sera son noël à lui. D’un côté il se dit que c’est peu probable, de l’autre il espère ne pas avoir fait tout ça pour rien. Si ce n’est pas un problème d’argent qui parle, c’est plus le fait qu’en général il ne fait pas tout ça pour une femme. Au début de son mariage pour sa femme à la rigueur mais ça fait bien longtemps maintenant. Mais là pour Azela il a fait l’effort, il ne pense qu’à ses photos Instagram, à ses jolies courbes et cette obsession qu’elle est devenue pour lui. Autant dire qu’en journée au travail, c’est bizarre maintenant de se dire qu’elle n’est pas très loin mais qu’il ne peut rien faire. Autant dire qu’il a des tas de choses en tête, s’il ne prend pas une douche froide avec un bon gros râteau. De toute façon, ce n’est pas vraiment ça qui va lui faire peur, il n’a pas peur du froid, ni des râteaux. Izoen se fait sans doute des films, avec la bouteille de champagne au frais. Quand elle toque, il la laisse déjà rentrer. Il est aux anges qu’elle soit là, même s’il essaye de le cacher, de reste l’homme dur et sec qu’il a au travail. Pourtant c’est cet homme sec qu’il essaye d’oublier lorsqu’il vient la voir en tant que sa maitresse dominatrice. La plupart du temps, il n’arrive pas à se laisser aller et ne pas reprendre le dessus, mais il essaye de le faire, et c’est déjà bien venant de l’homme qui contrôle tout dans la vie de tous les jours. Il n’a pas l’habitude de la voir vêtue de cette façon, mais bon il ne fera aucun commentaire. Se mordant l’intérieur de la joue, ayant pas mal de choses en tête, il se contente de répondre « J’ai hâte de regretter tout ça ! » Comme si son vœu, c’est de recevoir un coup de fouet, là maintenant, à peine la jeune femme arrivée. « Donc tu viens souvent voir un homme dans une suite d’hôtel juste pour parler, tu aurais pu contenter d’appeler si ce n’était que ça » il sourit au coin, il est certain qu’il y a anguille sous roche. Pendant un instant il ne dit rien, il se contente de la regarder dans les yeux. « Du coup qu’est-ce que tu voulais me… dire » le ‘dire’ était bien en suspens. Il est joueur pour le coup. Ça ne ressemble tellement pas au Izoen de tous les jours, là il veut juste profiter de la jeune femme, de celle qui est comme un sachet de cocaïne pour lui. Cette suite est tellement sublime, que la situation en devient bizarre : elle lui, qui ne disent rien, ne font rien, lui qui a des tas de choses en tête avec la jeune femme dans chacune de ses pensées alors qu’il a encore son alliance incrustée en pleins milieu de son index. Là, à cet instant, il vit le présent, rien d’autre. Il se rend pas compte qu’il est seul à se faire des scénarios dans sa tête.

@Azela Morales

Affronter le froid de Décembre, n’est pas une chose simple, t’as jamais vraiment aimé le froid, tu as toujours succombé à la chaleur des étés de la grosse pomme. Mais tu raffoles des fêtes de noël, des effluves d’odeur de sapin attisant ton bonheur de te retrouver dans un moment de partage avec la fratrie Morales. Mais à présent, tu ne dois faire qu’une chose, affronter Iz’, qui devient de plus en plus insistant. Il ne comprend pas que tu n’es pas là pour assouvir ses besoins, tu aurais du tout arrêter dés l’instant où tes opales s’étaient déposés sur lui à la caserne. Tout arrêter juste avec lui, continuer d’offrir tes services aux autres hommes. Ils ne sont plus que trois. Iz et deux autres, plus vieux que lui, des daddys. T’aimerais d’autant plus éviter lali, tu n’as pas envie de devoir t’expliquer avec elle. Tu aurais dû éviter de venir, mais par écrit il ne captait pas grand-chose, ce serait mentir de dire que tu ne te mentais pas un minimum à toi-même. La cambrure de l’homme, cette façon d’être laissait parfois le désir t’envahir. Il faisait des ravages dans ton cœur, sans même le savoir, un bulldozer lancé à vive allure dans la forêt. C’étai un cadeau que tu lui offrais de venir lui annoncer tout cela ainsi. Il le fallait, qu’il reste à sa place, ne pouvant tout mélanger, tu ne pouvais pas laisser le risque que ta carrière même pas encore lancée ne se détruise pour ce que tu étais obligée de faire pour obtenir de l’argent. Toi t’avais pas une cuillère d’or dans la bouche, tu avais des bûches de bois comme jouet et encore. L’alcool coulait à flot dans l’appartement, même pas dans ton gossier, que celui de ta mère. Il te fallait penser à tes besoins, pas aux siens. Une fois dans la chambre d’hôtel, la chambre est si luxueuse, le champagne sorti. Il avait des attentes bien trop différente des tiennes et tu ne pouvais que le constater de tes iris. Et pourtant ça laissait quelques picotements dans ton bas ventre. Tu ne pouvais pourtant pas oublier l’engagement qui liait l’homme à sa femme, de part cet anneau. Tu n’en sortiras pas sans stigmate de cette aventure dans cette chambre, tu le sais que trop bien, tes opales jonchant les siennes, tu essayes d’être dur, mais ce n’est sans doute pas aussi simple à faire. « ce n’est pas un jeu izoën » faut bien que tu le préviennes ce lutin, que tout ça ne te faisait pas rire, même si ton esprit se laisserait bien emprisonner par tes désirs, traitre. Comme ce myocarde, car le goût du risque glisse sur ta langue, laissant l’envie de tester tes propres limites. Toi qui aimes le jeu. « Et toi tu offres souvent des chambres d’hôtel à des femmes qui ne sont pas ta femme ? » tu entres dans la valse, dans le jeu, idiote. Mais tu te reprends. « C’est fini tout ça, tous les deux, toi entrant dans mon antre … » tu étais sérieuse hier soir dans tes messages, il faut qu’il le sache. « Tu as comprit puis tu attendais quoi de nous deux dans cette chambre finalement Iz ? » tu demandes, voir s’il sera capable de tout dire, jouant aussi, malheureusement.

@IZOËN FIELDS join me, i took you | Azela 4113627247

Elle est là, elle Azela, dans cette chambre d’hôtel, elle s’est décidé à venir après tous les messages échangés, alors qu’il n’avait plus de nouvelle car elle n’y répondait plus. Il n’a pas arrêté de penser à elle et maintenant il est toute chose de la voir là, mais il reste de marbre, il ne le montre pas. « C’est dommage parce que j’adore jouer » et je vais continuer de le faire se dit-il intérieurement. Si elle ne voulait pas jouer, elle ne serait pas là, elle ne répondrait pas à ses sms et ça, il en est persuadé. Tout comme il est persuadé qu’elle le cherche en postant certaines photos sur Instagram. Alors qu’au final, il est le seul à dépasser les bornes en ne restant pas professionnel. Sans doute est-ce parce qu’il a une envie folle que tout ça devienne personnel. Il hausse les épaules, même à sa femme il ne prend pas de suite ici, que durant les voyages et encore, ça fait bien longtemps tout ça. Depuis qu’ils sont tombés dans une routine, un mariage qui ne fonctionne plus mais qui durera dans le temps. Pour les faux semblants, et pour faire plaisir à sa mère. Mais ça, il ne l’avouera sans doute pas. » Non je fais une exception ce soir, parce que je ne pouvais pas rester au boulot tout en pensant à toi, j’avais besoin de te voir » il lui avait dit par message et si la suite de la conversation avait été houleuse, ce n’est pas ce qui l’avait stoppé. Bien au contraire. Elle lui dit que c’est fini pour la maitresse dominatrice, mais ce n’est pas pour autant qu’il va accepter sans rien dire, sans rien faire. Il veut la persuader de continuer, il a besoin de ses ordres, il a besoin qu’elle le domine pour avancer et pour se sentir mieux. Bien sûr, il y a d’autres femmes qu’il pourrait aller voir, mais ce sont ses ordres à la jeune felle qu’il veut recevoir, pas d’autre. « Non ce n’est pas terminé, toi me dominant, moi à ta merci ! » Il s’approche d’elle, doucement, alors qu’il pose délicatement l’une de ses mains sur sa hanche, tandis que l’autre vient se poser dans sa nuque « je veux que tu continues de me crier dessus ! » Même si dans sa tête il souhaite qu’elle crie pour d’autres choses. « Je pense qu’on sait très bien ce que j’avais en tête dans cette chambre Aze’, délicieuse Aze’ » Il n’est jamais comme ça avec les femmes Izoen, pas même avec la sienne, mais elle est différente Azela, elle a ce regard qui le fait fondre, et ce pouvoir de le rendre totalement accroc dont elle ne soupçonne peut-être même pas. « Je ne suis pas dans ton antre aujourd’hui Azela, ici on peut être tout autre chose ! » Il caresse son cou, sa mâchoire, sa joue, il est délicat, alors que dans sa tête il ne désire qu’une chose, la jeter sur le lit avant de la rejoindre. Il veut voir s’il ne profite pas de la situation, alors qu’elle est jeune Azela, trop jeune, pour lui, pour ça, pour un semblant d’eux. Pourtant au fond, il sent qu’elle aussi en a envie. Ou alors c’est ce que lui, il se persuade.

@Azela Morales

Il va te rendre complétement cloche, ce con. Le pire c’est que tu pourrais laisser prendre dans son putain de jeu, rire à ses mots, se laisser aller. Mais quelle idée. Les opales qui le fusillent pour ne pas succomber à la profondeur des iris azur. Ce serait plus simple de ce noyer dans ses yeux que de lutter contre lui, ou même de lui faire comprendre l’importance des règles. « Moi aussi , mais pas avec toi … » Un sourire qui hésite entre la taquinerie et la méchanceté. Autant dire que tu ne sais pas sur quel pied danser Ela, tu n’as qu’une envie te casser de là, mais être venu pour rien serait encore plus ridicule. Un simple fil si fin, qui te retient loin de ce jeu qui t’ouvre les bras, comme les cadeaux de décembre déposé par le père noël sous le sapin, tu ne peux juste pas succomber à l’envie de jouer avec le jouet. Lui. Il est trop ... tu ne sais pas expliquer, il est juste trop. Idiote. Les opales qui ne cessent de tout foutre en l’air, tu ne cesse de succomber à sa personne, alors que tout ton corps ne cesse de le rejeter. « Besoin, comme si t’allais en crever de pas me voir … » Tu lèves les yeux au ciel et pourtant t’as ce putain de rictus qui se fout sur ton visage angélique, ange déchu, voilà ce que tu es. Tu es tenté par le jeu, par lui et tout autant par le fait de tout arrêter avant que cela ne t’explose en pleine tronche. Tes ambitions, tes rêves tout dépendent du secret de ce job payant les études et remboursant les prêts que tu as , laissant ton échine en miette. Le poids des dettes et son argent, leur argent il aident, il paye tes cours de médecine. Son touché sur ta hanche qui réveille mille et une sensation, ta lèvre se coinçant entre tes dents, succube qui va tomber dans les pièges de l’homme. Te reprendre, un souffle, une respiration, retrouver les esprits. Du froid pour vous calmer tous les deux, le son de sa voix qui traîne dans tes entrailles, tiraillant encore ce qui peut être titiller par sa personne. Ta main rejoignant la sienne, hésitant que tu es poupée, la garder sa main ou la rejeter. Adieu ou encore. Les questions qui mordent ton esprit à t’en faire succomber. Prise au piège, car t’es pas une dominatrice dans la vie, t’es juste une poupée qui fléchis. Cœur qui cogne. Taciturne à le dévorer de tes iris qui devraient sans doute cesser de détailler chacune de ses réactions. Tu trembles comme une feuille, d’envie, la peur n’a jamais été au rendez vous avec lui, même quand il se révoltait contre toi, lui voulant maitriser, alors qu’il te demandait de prendre possession de lui. Agis. Tes mains contre ses joues, sentant la chaleur de sa peau contre la tienne, se conjuguant dans un souffle. « STOP, c’est moi qui décide et j’ai dit qu’on ARRÊTAIT. » Ton cœur qui bat trop fort à en imploser dans ta poitrine. Ton visage trop prêt du sien, ne répondant plus à rien, le cockpit qui ne répond plus, tes opales dans les siennes, demandant à être sauvé par le pompier. Tu te noies en lui, l’erreur fatale, sans doute. T’es en train de perdre, gourde.

@IZOËN FIELDS join me, i took you | Azela 4113627247

Izoen ne se rend pas compte à quel point il abuse. A la rigueur, la seule chose qu’il pourrait se reprocher c’est ce comportement vis-à-vis de sa femme mais même ça il ne culpabilise pas. Il ne se rend pas compte qu’il abuse vis-à-vis de la jeune femme, que ça n’entre plus dans le jeu de la maitresse dominatrice qu’il paye pour le dominer, là c’est différent. En plus, ils travaillent tous les deux au même endroit donc ça ne pourrait ajouter que des complications. Non, lui, il ne pense que ce que ça pourrait lui apporter à lui. Assouvir ses fantasmes, s’amuser, s’oublier le temps de quelques instants sans qu’elle n’ait besoin de hausser le ton pour qu’il se mette à genoux. C’est tout ce qu’il désir. Elle est cassante dans ses paroles et lui ça ne l’atteint pas, ça l’excite même. Oui il va en créver sans du plaisir avec elle, oui il a besoin de sa drogue, elle, sans quoi il est en manque sans même avoir déjà gouté le bonheur au creux de ses reins. « J’ai juste… très envie de te voir dans cette chambre, c’est tout » Mais bon, il ne va pas se rabaisser au point de la reconnaitre, ses dernières paroles étaient assez suppliantes comme ça. Il n’est pas en position de lui supplier des choses, il n’est pas en mode soumis à cet instant. Il veut juste la dominer, et se laisser dominer d’une autre façon. Dans sa tête c’est vraiment le bordel, il a des tas d’envies, sans qu’une seule de ses pensées lui remettent les idées en place et lui fasse voir les choses en face. Et plus et ça va, et plus il l’attire vers lui, à tel point que son parfum se mélange au sien, au point que ça risque d’être compliqué de cacher encore longtemps à quel point il la désire. Il a beau entendre ses mots, entendre sa négation et ses mots voulant dire qu’elle ne veut pas, il ne les écoute pas. il ne les croit pas ; il se fait tellement d’illusion qu’entre ce qu’elle dit et ce qu’elle veut, il y a deux opposés, et lui il décide de ne pas écouter ses mots. « On sait tous les deux que t’en en meurs d’envie ! » Essaye-t-il de dire qu’elle se laisse aller. Pour le moment elle résiste mais ce n’est pas ça qui va le faire déguerpir. Ca n’aide pas, les femmes qui résistent, qui instaurent de la difficulté, c’est son truc. Si sa femme n’avait pas fui au début de leur relation il n’est pas certain qu’il y aurait eu quelque chose. Là, ce côté détachée qu’Azela a, c’est une partie des choses qui l’attire. Sans même attendre le moindre consentement il vient plonger sa tête dans son cou, délicatement il vient la chercher, la titiller avec certains baisers chauds au creux de son cou, avant de revenir vers son oreille et lui murmurer avec une voix suave « Juste cette fois, personne n’en saura rien ! » Juste une fois… que des paroles en l’air pour lui, car s’il commence, il ne pourra pas s’arrêter, s’il commence c’est comme s’il replongeait dans sa drogue, difficile de s’arrêter et l’envie de le faire ne sera pas présent. Lui tout ce qu’il veut, c’est trouver les paroles pour qu’elle craque, tout comme son corps qui lui donne des tas d’indices.

@Azela Morales

Continue de mentir, de laisser croire que tu as aucune envie de glisser sur la pente, pour te laisser aller, une fois avec lui. Tu ne le peux pas. Laissez le faire, rompre toutes les bases de votre accord, tout accord qui te lie avec tes clients. Des clients qui ne sont même plus dans ta vie, sauf lui. Tu te mènes à ta propre défaite. Poupée rien n’est en accord en toi, ton cerveau en pleine guerre avec ton cœur, avec sa main qui glisse sur ta peau. Il aura ta peau le diable, il maîtrisera le faux démon que tu es en deux secondes si tu cessais de résister. « Tu pourrais y voir ta femme, tu sais. » T’essayes de couper court à tout ça, mais l’idée que ça s’arrête te dérange malgré tout. Les mots qui fusent dans ta tête, toi tentant de faire taire le myocarde qui frappe dans ta poitrine, de remettre de l’ordre avec ces mots qui vont avoir ta peau avant lui. Son corps près du tien, sa chaleur faisant caresser ton âme. T’aimerais avoir un bouton pause poupée, pour retrouver l’air qui manque à tes poumons, pour le remettre à sa place, une dernière fois. Mais t’as plus la force, petit à petit l’ange que tu es glisses dans ses envies, sans même trouver la foi de résister à nouveau . t’étais trop faible pour ça, trop propre pour ces merdes, ça te plait, beaucoup trop, mais tu ne peux pas éviter les balles maintenant. Piégé, contre lui, c’est si plaisant, que tu ressens des papillons d’envie venir se charger de toi. Ta propre carcasse qui te trahit, tu ne pourras pas faire face encore bien longtemps. « Cesse de prendre tes rêves pour une réalité … » Tu n’as plus de force dans la moindre parcelle de ton être. Plus de recours que de flancher ? Résister, résister, encore. Merde. Ses lèvres chaudes dans ton cou, tes opales qui plongent dans la pénombre douce et chaude de tes paupières, tu lâches ta tête en arrière, laissant l’envie de fauter jaillir. Tu ne peux pas, tu ne peux pas. Mais ce n’est que des petites voix dans ta tête qui ne savent pas autant hurler que les autres voix que ton cœur, de ta tête, de ton corps, qui ne demande que lui. Qui ne demande que son dû, le petit jeu qui t’explose en pleine face. Des mots qui te charmes, tes mains qui s’impose sur son torse, t’agrippant à sa chemise. Tes opales dans les siennes, et si tu craquais ? une main glissant sur sa joue, tes lèvres qui se rapprochent horriblement des siennes si enivrante … fuis. Casse-toi. Une voix qui résiste dans tes méandres. Tes lèvres qui effleurent les siennes, mais surtout ta main claquant contre sa joue. « Je le saurais, tu le sauras … » On le saura. Tu résistes, mais tu n’as plus de force, t’as bien trop de mal à ne pas succomber, à ne pas lui sauter dessus, t’as jamais été une personne chaste, sauf avec tes clients, putain de client. Lui, celui qui bosse avec toi, t’aurais jamais dû continuer avec lui ce petit jeu, mais t’en es amoureuse de ce merdier qui te met dans tous tes états. « Continue et j’arrête tout ! t’es rien que le larbin de mes envies, pas l’inverse. » T’essayes de te reprendre en main, et pourtant ta main est toujours collé à sa poitrine, sentant que son cœur claquait fort contre cette dernière, comme pour avouer la même envie que la tienne, lui et toi, une fois.

@IZOËN FIELDS join me, i took you | Azela 4113627247

L’excitation du moment, l’envie de l’interdit. Il y a des tas de choses qui se bousculent dans sa boite crânienne mais tout rejoint une seule idée : une envie, elle. Les messages échangés étaient excitants, les idées qu’il se fait d’elle en sa possession l’excite tout autant si ce n’est plus. Là dans cette chambre, ils sont sur un terrain neutre, ni là où ils se voient quand il la paie, ni à la caserne. Il n’y a que deux et aucune règle qui s’impose. « Elle ne fait pas partie de l’équation là ! » Il ne veut pas se dire infidèle, pourtant il l’est. Il n’a pas un mariage heureux, juste une routine, une image à faire passer. De toute façon, même s’il ne se laisse pas guider par ses pulsions, ses pensées en elles-mêmes sont une sorte d’infidélité non ? Il ne pense pas à sa femme à cet instant précis, juste à celle qui se présente sous ses yeux. Elle l’obsède. Il ne veut pas qu’elle le possède aujourd’hui, il ne veut pas qu’elle le domine, il veut juste gouter à sa chaire, gouter à ce fantasme qui s’offre à lui. Cette idée était bien trop tentante depuis un moment pour qu’il ne tente pas sa chance. C’est d’autant mieux de le faire ici, qu’une pulsion qu’il aurait pu avoir sur leur lieu de travail. Là, ils ne sont que deux, entre adultes consentantes, mais l’est-elle vraiment ? « Dis-moi clairement que tu ne veux pas alors ! » Dit-il en la regardant dans les yeux. Sans doute est-ce seulement dans sa tête mais il a l’impression qu’elle est sur le point de craquer, alors que lui ce n’est plus une question, il s’exécute, tant qu’elle ne le repoussera pas clairement il se laissera aller au rythme de ses envies. Il commence doucement, dans le seul but de la faire craquer, ne pas commencer sauvage pour lui laisser le temps d’écouter ses pulsions. Il a très envie d’elle, de son corps, mais aussi de ses lèvres alors que ces dernières ne font que s’effleurer. La main de la jeune femme vient claquer sa joue mais ce n’est pas ça qui va le calmer, il veut la dominer mais ce geste lui rappelle les séances dans son antre. « Ça sera notre petit secret » Et ça le restera. Il n’est pas du genre à se confier à Izoen, alors il veut que ça soit leur jardin secret à eux, personne d’autre. Il prend plus d’assurance car il ne la voit pas fuir, juste tenter de résister. Il a des tas d’idées en tête et il compte bien les assouvir. Posant ses mains sur ses hanches, il lui dit : « Tes petits ordres tu peux les continuer au lit mais nous ne sommes pas dans ton antre » dit-il à la seconde même où il prend les choses en main, la plaquant contre le mur se situant juste à côté. La chaleur vient de monter d’un cran. Alors qu’il se sent déjà à l’étroit dans son pantalon il ne réfléchit plus, il agit alors qu’il vient l’embrasser avec une certaine fougue. Ses mains encore sur ses hanches commencent à se faire un chemin sous son t-shirt, touchant sa peau douce du bout des doigts, assouvant d’autant plus l’addiction à tout cela.

@Azela Morales

Sa chaleur contre ton épiderme, tu perds le contrôle, peinant à te raccrocher à la réalité, à ce qui est impossible de briser, les règles. Ces règles que tu aurais dû ne jamais dépasser en venant ici, mais tu voulais lui faire entendre raison que tu te laisses miroiter, car en vrai, cette excitation naissante en toi, finira par tout envoyer valser, corps contre corps, tu le sens qui te brisera en première. Mais pas sans peine, pas sans le briser aussi. Comme une guerre qui éclatera entre vous, à celui qui aura la peau de l’autre en premier. « c’est moi qui ne devrais pas en faire partie ! » ça devrait te ramener à la réalité, te ramener à la raison, mais tu ne sais pas ce qui te force réellement à rester, tu devrais tout bonnement t’enfuir, partir et ne surtout pas rester dans cet endroit. T’as beau espéré que tu t’en sortiras, c’est déjà perdu d’avance, ces opales croissant les tiennes, ta raison chavirant du mauvais côté des envies et tout pouvait être fini. Te raccrocher était comme impossible. Quelques mots pour te sauver ? dire stop, partir. Ton corps n’a envie de rien que de sentir l’homme contre toi, de tout laisser t’échapper, le cœur et la tête en pleine bataille, ne laissant aucun répit à ton être. La chute est mortelle et plaisante. Lèvre qui s’enivrerait bien des siennes, mais ne faisant qu’effleurer, comme si quelque chose empêcher le dérapage final qui finira par te couter cher à un moment donné. Les iris caressant les siennes, ta main frappant avec le peu de force qu’il te restait dans ta carcasse. Comme inutile cette caresse que tu venais de lui donner. Tu l’entends dans sa voix, il ne lâchera pas l’affaire pour te faire succomber à tout prix. Ses mains, son corps contre le tien, bloquée contre le mur, tu ne sais plus quoi faire, les mots manquent, car t’as plus envie de te battre, de garder la tête en dehors de l’eau, juste envie de plonger, tout bonnement. Tes lèvres qui répondent sans plus aucune retenue, tu t’en voudras après. Perdante, tu venais de perdre cette bataille, dans ta tête tu commençais à te dire qu’une seule fois et plus jamais tout ce jeu ne reviendra que ce soit dans un antre ou ailleurs, un adieu à ce client qui avait toujours happé tes envies que tu maitrisais en le faisant devenir ton esclave. Tu le repousses le laissant tomber sur le lit, glissant au-dessus de lui à cheval, glissant ta langue le long de son torse pour remonter à ses lèvres. « une unique fois ! » que tu donnes comme un ordre, c’était un adieu.

@IZOËN FIELDS join me, i took you | Azela 4113627247