Sujet: (entre deux feux.) ft ambre Dim 8 Déc - 17:05
Succube digne d’un bulldozer, elle a détruit le peu de tissu qu’il restait à ton myocarde. A terre, il s’envolera plus dans ta poitrine cet organe détérioré par sa beauté et cette façon de te détruire. Insuffler le froid et le chaud. Tout ça n’était peut qu’onirique, tu as laissé ton esprit d’artiste s’envoler dans un monde de charlatan. Petit chihuahua tu as été pour elle, tu lui as tout donné, avant de couper le filament qui vous reliez, décidant de tout stopper dans un espace de bon sens qui se faisait encore rare en toi. tes songes qui s’envolaient comme les étoiles dans l’aube, tu devais te raccrocher à ce que tu étais et ne plus souffrir pour elle. Tu n’es pas un homme à femme et pourtant tu t’es accroché d’une façon enivrante à Ambre. L’erreur que tu avais fait t’éclatait en pleine tête jour après jours, ton cœur qui partage le néant des pantins des femmes. T’étais perdu, c’est la belle qui a tué la bête. Fallait que le karma te frappe, qu’il te rappel que tu n’étais qu’un homme, tes erreurs passés c’était elle, ambre. La vengeance venant sonner les cloches de ton myocarde pour te rappeler à l’ordre, oublier le démon déguisé en ange pour ne plus te transformer en brasier. Alors, tu essayes de te retrouver dans ton monde d’apocalypse, le chaos frappant à ta porte à chaque seconde pour briser cette route que tu tentes de continuer à suivre. L’art. toujours ce gouffre t’emmenant dans un monde de couleur quand tu cesses de te cambrer pour penser à elle. Démon de tes nuits. Tu marches, essayant de capturer des instants de vie sur ce marché de noël, parmi les yeux joueurs des enfants qui ne savent plus où se poser avec les jouets, présent. Des petits lutins qui donnent envie de leur offrir tout l’or du monde avec leurs opales qui s’illumine comme les illuminations déjà présente. Tout y était pour faire les photos parfaites, les flocons de neige composant avec le froid, le chemin presque glacé qui mené jusqu’à la patinoire du marché, ce gout de miel en bouche, tu soupires de bonheur, puis tes opales qui vagabondent. Ton cœur qui s’arrête dans une colère noire. La sublime sous tes iris, ton vœu de ne plus la voir s’était meurtrie dans les étoiles. Le stigmate de votre passé qui s’insurge dans ta tête, ne pas l’affronter, mes opales contre opales, vous voilà à ne pas fuir, pas fuir celle t’ayant détruit dans cette tempête de froid, chaud. T’avais déposé les armes devant sa porte, luttant avec tes envies de pourtant déposer tes iris sur elle, sur sa cambrure. Quelle erreur de vous revoir. « Salut. » Un simple mot qui arrache à nouveau un lambeau de ton cœur, saignant, laissant le liquide mystique s’imposer sur ta toile de fond. Tu avais déjà donné ce qu’elle voulait de toi, ton démon t’avait usé à la naissance du mal, pour obtenir le saint graal, les tableaux sauvent ses fesses, il n’en manquait qu’un et tu le savais. Comme si tu avais tenu à avoir quelques choses pour la revoir, pour la briser à ton tour ? « Bonne journée. » T’espères que ça suffira, qu’elle ne te parlera pas de ton cœur que tu avais laissé dans ton portrait.
Sujet: Re: (entre deux feux.) ft ambre Mar 17 Déc - 13:40
Les jours passent mais ne se ressemblent pas, Ambre, elle perd complètement pied dans cet océan bien trop grand pour elle. Elle sait pas ce qui l'attend, elle sait pas ce qu'elle vaux, mais chaque instant est délicat. Elle se noie, sans fin absolue. Mais ça lui apporte peu parce que quoi qu'il arrive, elle gardera la face. C'est parfois plus difficile à faire qu'à dire, mais elle pas le choix. Après tout elle a des principes à suivre et elle ne peut pas tout lâcher comme ça, encore moins pour un garçon. Alors, Ambre, elle va bien. C'est ce qu'elle clame haut et fort parce que c'est ce qu'elle a l'impression de ressentir. Elle ne tiendra jamais en compte ce qu'elle ressent au plus profond d'elle-même et qui lui noue les entrailles. Elle fera jamais attention à ce bruit assourdissant qui lui dit qu'elle fait une terrible erreur à être ce qu'elle est avec lui. Alors qu'Ambre, ce n'est pas tout ça, elle vaux mieux que ça. Mais ça n'a plus la moindre importance aujourd'hui, parce que rien ne sera jamais comme elle le souhaite. Comme elle l'attend au plus profond de son âme. Les choses sont ainsi faites après tout, et c'est pour une bonne raison. La brise hivernale lui frappe les joues déjà bien rosies avec le froid. Ses mains sont profondément enfoncés dans la veste boutonnées jusqu'aux oreilles. Elle se sent si lourde dans cet emballage sous vide qu'est son corps. Ambre, elle sait pas ce qu'elle fou là, à suivre l'odeur du vin chaud et à laisser son regard se poser sur les stands de noël. Elle comprend pas pourquoi ses pieds l'ont trainés là alors qu'elle rêvait d'autres choses, mais il était évident que ce n'est pas pour rien. Et quand elle pensait avoir tout vu, elle le découvre enfin. Lui. Celui qu'elle essaie tant bien que mal de sortir de sa tête, qui malgré ce que l'on pourrait croire fait battre son coeur bien trop vite, bien plus que la normale. Frôlant l'arrêt à chaque mot. Ambre, elle sait pas quoi faire, elle panique, prête à prendre les jambes à son cou pour fuir cette vie. Cet homme surtout. Elle comprend pas comment elle se retrouve à ses côtés, à attendre un mot, un geste qui ne viendra sûrement jamais. Elle s'apprête à baisser les yeux, à faire demi-tour quand enfin les mots sortent pour repartir aussi vite. Putain. C'était douloureusement acide. Un sourcil se haussa sur son front alors qu'elle admirait le visage de Mahe. Il était toujours d'un beauté irradiante, d'une beauté qu'elle ne saurait décrire même sur une toile. Alors que l'art ça la connait plus ou moins, avec lui, elle arrive pas à mettre de mot. Pourtant, elle en a envie. « Mahe. » Un souffle. Un appel. Rien de plus. Comme s'il n'était qu'illusion. Il est pourtant bien devant elle, attendant comme elle que le vent cesse de battre dans leur dos. Pourtant, le brun il ne laisse pas le temps au temps. Un dernier souffle avant qu'il ne feigne de partir. Ambre, elle serre les poings dans cette veste trop grande pour sa silhouette, essayant de comprendre. « Pourquoi tout ça pour rien ? » Elle attend pas de réponse, parce que rien ne sera jamais suffisant pour elle. Il y'a déjà eu trop de non-dits, trop d'absences et de dévouements ratés.
Accueil
Sujet: (entre deux feux.) ft ambre 
Dim 8 Déc - 17:05
Succube digne d’un bulldozer, elle a détruit le peu de tissu qu’il restait à ton myocarde. A terre, il s’envolera plus dans ta poitrine cet organe détérioré par sa beauté et cette façon de te détruire. Insuffler le froid et le chaud. Tout ça n’était peut qu’onirique, tu as laissé ton esprit d’artiste s’envoler dans un monde de charlatan. Petit chihuahua tu as été pour elle, tu lui as tout donné, avant de couper le filament qui vous reliez, décidant de tout stopper dans un espace de bon sens qui se faisait encore rare en toi. tes songes qui s’envolaient comme les étoiles dans l’aube, tu devais te raccrocher à ce que tu étais et ne plus souffrir pour elle. Tu n’es pas un homme à femme et pourtant tu t’es accroché d’une façon enivrante à Ambre. L’erreur que tu avais fait t’éclatait en pleine tête jour après jours, ton cœur qui partage le néant des pantins des femmes. T’étais perdu, c’est la belle qui a tué la bête. Fallait que le karma te frappe, qu’il te rappel que tu n’étais qu’un homme, tes erreurs passés c’était elle, ambre. La vengeance venant sonner les cloches de ton myocarde pour te rappeler à l’ordre, oublier le démon déguisé en ange pour ne plus te transformer en brasier. Alors, tu essayes de te retrouver dans ton monde d’apocalypse, le chaos frappant à ta porte à chaque seconde pour briser cette route que tu tentes de continuer à suivre. L’art. toujours ce gouffre t’emmenant dans un monde de couleur quand tu cesses de te cambrer pour penser à elle. Démon de tes nuits. Tu marches, essayant de capturer des instants de vie sur ce marché de noël, parmi les yeux joueurs des enfants qui ne savent plus où se poser avec les jouets, présent. Des petits lutins qui donnent envie de leur offrir tout l’or du monde avec leurs opales qui s’illumine comme les illuminations déjà présente. Tout y était pour faire les photos parfaites, les flocons de neige composant avec le froid, le chemin presque glacé qui mené jusqu’à la patinoire du marché, ce gout de miel en bouche, tu soupires de bonheur, puis tes opales qui vagabondent. Ton cœur qui s’arrête dans une colère noire. La sublime sous tes iris, ton vœu de ne plus la voir s’était meurtrie dans les étoiles. Le stigmate de votre passé qui s’insurge dans ta tête, ne pas l’affronter, mes opales contre opales, vous voilà à ne pas fuir, pas fuir celle t’ayant détruit dans cette tempête de froid, chaud. T’avais déposé les armes devant sa porte, luttant avec tes envies de pourtant déposer tes iris sur elle, sur sa cambrure. Quelle erreur de vous revoir. « Salut. » Un simple mot qui arrache à nouveau un lambeau de ton cœur, saignant, laissant le liquide mystique s’imposer sur ta toile de fond. Tu avais déjà donné ce qu’elle voulait de toi, ton démon t’avait usé à la naissance du mal, pour obtenir le saint graal, les tableaux sauvent ses fesses, il n’en manquait qu’un et tu le savais. Comme si tu avais tenu à avoir quelques choses pour la revoir, pour la briser à ton tour ? « Bonne journée. » T’espères que ça suffira, qu’elle ne te parlera pas de ton cœur que tu avais laissé dans ton portrait. 
