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 russian roulette, houna

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Message Sujet: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Sam 24 Aoû - 21:12

Une violente envie de descente l'avait pris au tripes après cet accrochage avec le frère, passer ainsi pour un dégonflé lui avait fait voir flou. Narek semblait oublier que c'est ainsi que le monde est fait et constitué, quoi qu'il fasse, peu importe l'âge qu'il aurait, les gens trouveraient toujours le moyen de colporter des rumeurs et auraient envie de se mêler de sa vie. Ce qui le mettait particulièrement en pétard, c'était l'idée que des gens aient pu parler à Ezéchiel de choses dont il n'était pas au courant avant que lui ne prenne les devant. Certes il s'était déjà écoulé presque une décennie depuis le début de cette drôle d'aventure qu'était Houna, il devait reconnaître la vérité toute nue, il n'avait pas eut le courage d'en toucher un mot à son pote pour la simple et bonne raison qu'il savait que la nouvelle ne serait pas bien accueillie. Seulement voilà, il ne se trouvait incapable de mettre des mots sur ce qu'ils partageaient tous les deux. Non, c'était irrégulier et imprévu. La soviétique avait ce petit quelque chose qui plaisait néanmoins au mécanicien, quel était ce détail qui l'avait empêché de lui dire "non" ne serait-ce qu'une fois ? Là était toute la question. Pour autant, il devait passer ses nerfs sur quelqu'un et elle allait l'entendre gueuler.
Combien de joints s'était t-il enfilé depuis qu'il s'était levé, combien de clopes avait-il allumées en se rendant chez la rouquine, il n'en n'avait pas la moindre idée, toujours était-il qu'il s'y rendait d'un pas ferme. Le portier le laissa entrer, question d'habitude, Narek n'était pas un inconnu et les portes de ce sublime immeubles n'avaient jamais été close pour sa personne. J'vais la niquer. fulminait le brun en attendant que la cabine cesse son ascension pour le lâcher à l'étage. Arsen ne prend pas la peine de frapper, non il pénètre chez la russe sans s'annoncer, n'écoutant que sa rage. Il ne lui faut pas plus de 10 seconde pour repérer la chevelure flamboyante de sa maîtresse, installée bien confortablement dans un immense canapé. Il n'aimait pas son penthouse, trouvait tout cela beaucoup trop chargé, le minimalisme c'était ça son truc, il faisait partie de ces anciens pauvres qui préféraient ne pas se noyer dans le luxe en s'offrant des villas, des fauteuils de massages et tout un tas d'autres conneries de mégalomanes qui ne sait plus quoi faire de sa thune. Rek s'est légèrement penché au dessus du serpent, glissant ses doigts dans sa masse capillaire afin de l'agripper et ainsi, d'obliger l'intéressée à le regarder. Ils restent la un moment, dans cette position qu'il imagine inconfortable pour elle, que Tri puisse observer son visage, qu'elle voit la colère qui s'y dessine puis il la relâche. "On s'est fait grillés par les bikers d'Ezéchiel." sous entendu : c'est de ta faute.
 
@HOUNA TCHERNYCHEV  russian roulette, houna 2625458459
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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Dim 25 Aoû - 0:30



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Narek - Houna

«La route de la vertu n'est pas toujours la plus sûre, et il y a des circonstances dans le monde où la complicité d'un crime est préférable à la délation.» marquis de sade
 T'sais pas vraiment quelle heure il peut-être lorsqu'une de tes pétasses s'en vient à t'réveiller. Vous n'êtes qu'un tas de corps entremêlés, encore une fois t'as noyé ta hargne dans les courbes féminines comme tu l'fais si bien. Tu t'remets doucement d'ta dernière castagne, pourtant quand la coke vient frapper ton crâne ça t'empêche pas d'redevenir Tri l'animale. Ton petit tête à tête avec les irlandais d'y a deux jours reste encore pertinemment marqué sur ta gueule. Parce que ta pommette à morfler, tout comme tes côtes dont l'une s'est brisée teintant ta carcasse d'un noir violacé sur les bords. T'es un vrai canevas à ecchymoses, traînant ta carcasse avec un peu plus de peine l'temps d'te remettre d'aplomb. Tu t'laisseras aller aux bras d'Anya, elle au moins saura prendre un peu soin d'toi avec toute sa douceur. Y'a bien qu'elle, qui pense intense soit peu à ta gueule de camée. T'l'appelleras p'têtre, t'iras p'têtre bien même la chercher à la sortie d'son taf pour qu'elle vienne à nouveau passer la nuit avec toi, vos souffles r'tapissant chacun des murs de ton appartement.

L'une des poulettes grogne lorsque tu viens chasser son corps du tiens, t'réveillant difficilement tu viens les faire rouler au sol sans ménagement. "Cassez vous d'là" que tu siffles entre tes lippes serrées, éternelle teigne de bon matin. T'balances les fringues qui traînent à leurs gueule sans faire attention. T'espères bien qu'elles se s'ront barrées quand t'reviendras d'ta douche parce que t'es clairement pas dans l'humeur d'te répeter. Ton regard mauvais s'pose sur les nanas filant à toute allure avant même que t'ai eu l'temps d'gagner le couloir menant à ta salle de bain, claquant de façon sonore la porte derrière elles. Ton crâne t'fait encore un mal de chien, c'est qu'ils t'ont pas loupés ces putains d'irlandais avec leurs batte de baseball de merde là. M'enfin, huit cadavres sur dix, t'es pas peu fière de l'issue d'votre combat mortel. Parce que combien certains ont réussit à s'enfuir de peu, le message est bien passé. Personne ne pourra rivaliser avec tes poisons, ni même les irlandais, ni ézéchiel ou le reste de la populace. Parce que t'pourrais faire cramer l'monde entier si l'envie t'en chantait Houna.

Ta carcasse endolorie trouve l'eau tombant en cascade sur ta gueule dans la cabine de douche. Ta chevelure épaisse vient se tremper se fonçant légèrement d'un teinte plus sombre. Tu grognes, ton corps se réveillant de façon bien trop sobre à ton goût. Tes membres sont encore raidit par les coups reçus et ceux que t'as asséner sans compter pour pouvoir t'relever. Bordel t'es plus aussi réactive qu'il y a dix ans Houna. Parce qu'à l'aube de tes vingt ans, t'étais plus dangereuse que jamais ton aura meurtrière suffisant aux gens à rester bien éloigner de toi. Tu t'rappelles que trop bien d'la jeune adulte révoltée que t'étais, incapable de se socialiser, bien trop habituée à laisser parler les poisons à ta place. Enfant battue, traumatisée, ravagée. Jeune femme enragée, impitoyable, monstrueuse. Adulte puissante, traumatisante, suffisante. T'en as fais du ch'min pour en arriver jusque là. Une bonne dizaine de minutes plus tard, ta silhouette élancée quitte la cabine de douche pour se retrouvée nouée d'une large serviette blanche couvrant tes attributs féminins pendant que tes pas légers regagnent le salon

Tu t'vautres dans ton canapé, ta serviette encore nouée autour de toi lorsque la porte de l'entrée de ton appartement s'ouvre à la volée. T'clignes des yeux, histoire d'être bien sûre de c'que tu vois. Jamais t'as mis autant l'arménien en colère, et faudrait-il encore que tu saches c'que t'as bien pu faire pour mériter ses foudres s'abattant avec violence sur toi. En une dizaine de seconde, l'homme vient mêler ses phalanges à tes boucles flamboyantes pour ramener son visage à lui, brûlant d'un éclat ressemblant à un orage d'été. Vous restez plusieurs secondes comme ça, à entremêler vos souffles l'un avec l'autre vous regardant en chiens de faïence. Tu peux voir la colère déformant ces traits, encore faudrait-il que tu ai fais quoi que ce soit méritant un tel traitement. Agacée, tu retrousses tes babines laissant apparaître tes canines en signe de défense.

Tu l'as jamais cogné, c'est pas pour autant que ça n'arrivera pas. C'pas parce que tu l'laisses venir s'échouer entre tes cuisses qu'il peut s'permettre de t'traiter comme la dernière des merdes. Sa langue claque, et c'est un rire mauvais qui vient secouer ton corps recouvert d'ecchymoses. S'il savait, Narek que t'en as strictement rien à carrer d'ce bouffon tatoué. Ta langue vient quitter ta bouche pour venir caresser les lèvres pincées de l'arménien emplit de colère. Toujours fermement accrochée à sa poigne, tes lèvres à quelques centimètres tu viens lui susurrer. "Et je peux savoir en quoi tu viens déverser ta colère sur ma gueule?" t'arraches tes cheveux d'sa poigne non sans mal tout en t'relevant menaçante. Tu ne t'es comportée que de très rares fois comme ça avec lui, comportement ne vous ressemblant pas. "Et comme le bon chien que tu es tu viens aboyer à ma porte? J'peux savoir à quoi ça t'sers? T'vois pas que j'suis en convalescence putain?" tes pas te mènent vers l'frigo de ta cuisine non loin pour tirer une bouteille de vodka du freezer que tu portes rapidement à tes lèvres. Toujours drapée de ta serviette, tu viens poser un bout d'fesse contre le marbre de l'ilôt. Il devrait être bien placé pour savoir qu't'en as rien à foutre d'Ezéchiel et sa gueule de chien galeux incapable de faire preuve de loyauté. Parce que t'hésiterai pas à l'buter Houna, si t'en avais la possibilité.

(c) DΛNDELION


@Narek Arsen russian roulette, houna 3476085353
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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Lun 26 Aoû - 22:07

Pourquoi venir s'en prendre à elle, quelle excellente idée, chose à laquelle Narek n'avait pas réfléchit. peut-être était-ce plus simple de débarquer chez elle pour casser des trucs et claquer des portes plutôt que de réaliser que le fautif de cette histoire, c'était bel et bien lui. Houna n'en n'avait jamais rien eut à branler et assumait pleinement ce qu'ils vivaient tous les deux, pourquoi l'arménien avait eut besoin d'en faire un secret de polichinelle ? Il posait sur la rouquine un regard furieux, le sang affluait jusque ses tempes et son palpitant semblait sur le point de bondir hors de sa cage thoracique, ses phalanges étaient si pressées dans ses paumes que le sang n'y affluait plus et leur couleur avait viré de teinte. Il réalise l'ampleur de son excès, l'excès de sa rage finalement. Ils étaient deux et Ezéchiel ne resterait pas fâché longtemps. "Parle bien." gronde t-il sa mise en garde, les sourcils froncés au dessus de ses prunelles noires qui fixent sa silhouette s'éloigner. L'avantage chez Tri, c'était l'absence de murs et une cuisine ouverte. A l'annonce d'une convalescence, le garagiste se décrispe légèrement, étire même les muscles de son cou jusqu'à en faire craquer ses os. Il l'observe, silencieusement. Elle est abîmée Houna, ces tâches jaunâtres qui tiraient sur le marrons juraient avec la carnation de sa peau, trop pâle peut-être trop fine, mais également avec la couleur de ses cheveux. Stupide, pourtant, maintenant qu'elle en parlait, il remarquait plus aisément les ecchymoses qui marquaient son corps de part en part. "J'ai bien conscience que t'en as rien a foutre du mec que tu sers..." ses mâchoires se crispent alors qu'il s'élance, l'arménien, vers la soviet lentement à la manière d'un prédateur. "D'ailleurs faudra que tu m'explique le principe d'être sous les ordres d'un type qu'tu peux pas blairer." il ajoute ça rapidement en arquant un sourcil il passe même son pouce sur sa lèvre inférieure, reprend de plus belle : "J'm'en bats les couilles de tes désaccords avec Ezéchiel, c'est vous que ça regarde, le truc c'est que j'voulais pas qu'il sache c'qui se passe entre toi et moi." pas de nous, trop officiel, peut-être même un terme un peu fort pour être employé, pour sortir de sa bouche. Étranges règles que ce débile s'impose parmi tant d'autres règles qu'il s'amuse à fouler au pied. "Ca l'regarde pas." entre autre, mais s'il avait gardé cette information pour lui depuis près d'une décennie c'était également par peur de décevoir celui qu'il considérait comme un membre de sa famille, une part de lui. Un type pour qui il serait capable de prendre une balle. C'était ça qu'il craignait Narek, perdre la considération et la confiance que lui accordait Ezéchiel.
 
@HOUNA TCHERNYCHEV  russian roulette, houna 2625458459
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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Mar 27 Aoû - 0:39



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Narek - Houna

«La route de la vertu n'est pas toujours la plus sûre, et il y a des circonstances dans le monde où la complicité d'un crime est préférable à la délation.» marquis de sade
T'es presque sur l'cul lorsque tu vois Narek débarquer chez toi comme un diable. T'pensais à une des poulettes que t'as chassé il y a peu, une de ces connasses qui prétend avoir oublié quelque chose pour gratter toujours plus de temps. T'pourrais lui balancer d'faire comme chez lui mais il t'laisses clairement pas le temps d'en placer une. Rapide, il enjambe les quelques mètres le séparant de l'entrée dont il fait claquer de façon bruyante la porte pour venir saisir ta tignasse avec force. Tu l'laisses parler, puisque apparemment t'as l'air de mériter c'qui te tombe sur le coin de la gueule. Alors tu l'laisses grogner, c'bien trop plaisant que d'voir ses pupilles brûler d'colère à ton égard sans que tu aies eu le besoin de bouger ne serait-ce qu'un orteil. Ta langue s'échappe de tes lippes pour venir caresser les siennes déformées par la rage. Puis tu r'deviens finalement aussi sauvage que ce veut l'habitude, lorsqu'il vient tirer sur ton cuir chevelu encore douloureux des coups de batte qu'il s'est mangé l'autre soir pour détacher l'étreinte de tes mèches de cheveux enroulées autour des phalanges de l'arménien.

Ton excitation monte d'un cran, lorsque tu te dérobes de son corps pour l'outrepasser et filer vers ton frigo. Il commet cependant une erreur, lorsqu'il te demande de parler meilleur. Avant d'ouvrir le freezer, tu viens l'percer de tes pupilles noircies par la colère subitement provoquée par son affront. "Apprends à rester à ta place, oublies pas qu't'es chez moi ici." Ça siffle, et percute en faisant mouche. Pas d'traitement d'faveur, encore moins dans l'heure suivant ton réveil. Il pourrait bien finir par avoir l'crâne enfoncé dans l'une de tes baies vitrées sa gueule louchant sur le vide dans l'quel tu le laisserait tomber comme tout les autres. Tu t'laisses tenter par la bouteille de vodka présente dans l'freezer que tu portes à tes lèvres sans réfléchir sous le regard de Narek observant ton corps tâché d'une multitudes d'ecchymoses. Noir, bleu, violet, verdâtre ou même doré, ton corps est parsemé de part en parts de ces traces douloureuses que tu portes néanmoins fièrement. Il s'rapproche de toi, teinte ses pas d'une lenteur aussi féline que la tienne alors qu'il gagne finalement tes côtés, pendant qu'tu reposes ton cul douloureux sur le marbre de ton îlot. Il enchaîne, l'enfoiré. Bien coincé dans son petit monologue du parfait petit chien bien dressé. Tu ricanes, ta main libre de tout alcool venant retenir tes côtes. "Après ces longues années, ta dévotion à cet enfoiré m'fera toujours autant rire." Et t'es putain d'sincère. Nar', l'ombre parfaite de c'connard de tatoué suffisant.

Tu r'poses la bouteille de vodka, logeant tes opales noircies par le dégoût dans celles assombries par la rage de l'arménien. Tes babines se retroussent, ta langue passant sur la pointe de l'une de tes canines. "J'ai passé vingt-quatre ans d'ma vie comme machine à tuer à la botte d'enculés encore pire que ton frère." Parce que c'est la loi du plus fort, marche ou crève. T'as croisé des monstres bien pires que le biker, plus dangereux, ivres de violence. Et de tout ces monstres, celui dont tu redoutes le plus restera Adin. Pas ce bouffon de mécanicien, chirurgien à ses heures. "Pourquoi tu penses que j'ai plié le genoux lorsqu'il a prit les rennes après Saraï? Qu'est-ce que tes entrailles te hurlent? Que j'allais me contenter d'agir comme une chienne à son pied?" Tu ris à présent si fort que cela te fait clairement mal. T'auras ta vengeance, tu sauras frapper au moment opportun pour l'envoyer hors champs. Peu importe si tu dois en laisser tes plumes Houna, tu laisseras pas la fin du règne Barger impunie, et c'pas seulement à la brune à qui tu l'dois mais à son père, origine de ton serment dévoué aux bikers. Parce que t'aurais été quoi, sans River Barger dans ta vie Houna?

Il enchaîne, en arrivant finalement à tes côtés. Tu t'relèves de ton comptoir pour venir trouver la carcasse du brun de la tienne tuméfiée. Tes lèvres viennent trouver l'un de ses lobes d'oreille pour que tu viennes lui glisser de nouveau quelques mots. "La réciproque est vraie, je m'en bats les reins d'votre amitié." Venimeuse, au ton traînant tu finis finalement par te détacher de lui tes pas menant vers ta chambre. T'sais bien qu'il a pas fini d't'en foutre plein la gueule, sinon il aurait pas fait tout c'chemin juste pour s'contenter d't'empoigner la crinière et d'aboyer. T'envoie voler la porte de ta chambre d'un coup d'pied avant de laisser la serviette blanche nouée autour de ton corps tomber à tes pieds. "Si t'as honte de ta queue qu'tu peux pas t'nir, c'pas à moi qui faut t'en prendre. T'étais consentant tout c'temps quand tu m'demandais d'continuer..." que tu lances tout haut à l'attention de l'arménien. T'finis pas ta phrase Houna, t'sais que ça suffira comme ça pour l'faire brûler un peu plus. Parce que c'est l'but recherché, d'le foutre en rogne autant qu'il a réussit à l'faire avec toi.
 
(c) DΛNDELION


@Narek Arsen russian roulette, houna 2746359131
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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Ven 30 Aoû - 23:06

Ses remontrance,s à vrai dire il n'en a que faire l'étranger, cela le déride peut-être un peu autant que ça lui tend les muscles du visage. La dévotion. Avait-elle seulement conscience que ce qu'Ezéchiel représentait à ses yeux, savait-elle que pour lui l'arménien donnerait sa vie et son âme. Narek lui était dévoué parce que les deux hommes étaient liés par un serment inviolable et un lien indéfectible qu'eux même se trouvaient dans l'incapacité d'expliquer. Houna n'avait pas conscience de tout cela, sans doute n'avait-elle pas la chance d'avoir, elle-même, une relation pareille dans sa vie. Le beau brun avait beau porter une affection toute particulière à la rouquine survoltée, il savait pertinemment qu'un jour il serait amené à se séparer d'elle, s'interdire de la garder dans sa vie. Ce qui lui laissait un goût amer dans la bouche c'était de se dire qu'il ne partagerait plus avec cette dernière toutes ces choses, aussi têtue, mauvaise, rustre et dure pouvait-elle être, Tri n'en n'était pas moins, pour le garagiste, qu'une âme torturée à laquelle il s'était attaché. Le reconnaître ? Il ne le ferait jamais de vive voix, parce que ce genre de choses, la rouquine et le brune n'en parlent pas, trop niais, trop doux pour eux. Il redoutait et craignait presque que ce moment n'arrive, parce qu'il éprouvait une peine immense à la simple idée de devoir à son tour s'en prendre à elle. Attaquer Ezéchiel reviendrait à s'en prendre à lui. Indissociables je vous dis.

Une machine à tuer dénuée de sentiments, voilà ce que la vie avait fait de cette pauvre gamine. C'est sans doute ce qui avait touché Rek, l'avait même encouragé à s'attacher à elle. Houna est unique, merveilleuse et magnifique comme un matin d'apocalypse. Effrayante et agaçante, mais humaine. Conditionnée par des enfoirés avides de pouvoir. Ezéchiel n'en fait pas partie, mais il ne la contredit pas, hoche le menton lentement sans se défaire de son regard sombre et orageux. Pourquoi ne pas être une meneuse Tri ? qu'il se demande. T'as tout d'une patronne, pourquoi tu t'emmerdes à suivre un troupeau en gardant l'illusion que tu n'es pas l'une de leur, que tu es libre ? Narek déglutis, sans mot dire. Il n'en pense pas moins pourtant. Maman disait la parole est d'argent, le silence est d'or. Sa langue chaude et humide s'en vient jouer avec le lobe de son oreille alors qu'il cesse de respirer, incapable de déterminer si ce contact l'horripile ou s'il fait naître en lui l'envie de se la faire sur ce plan de travail. Non, le garagiste n'est pas venu dans ce but et chasse immédiatement ces pensées parasites de son esprit déjà mis à mal par d'autres problématiques toutes aussi compliquées à résoudre. Elle s'éloigne en lui arrachant un soupire d'agacement. C'était à se demander ce qui trouvait grace aux yeux de la soviet, tout semblait lui passer ua dessus de la tête, ce qui dirigeait réellement sa vie n'était autre que la vengeance. Pauvre âme en perdition, prisonnière de sa haine.  

Après seulement une poignée de secondes, Narek s'avance en direction de la chambre de l'intéressée et enjambe la serviette humide qui gît sur le sol. Serait-ce de la provocation ? Il rit à demi, tirailler entre l'envie de tout retourner dans la chambre et celle de se comporter en être civilisé. "C'est tout c'que t'as trouvé Houna, t'en prendre à ma queue, c'est ça alors ton moyen de défense. Ouais, J'ai été con d'te baiser, c'est clair." reconnait-il en croisant les bras contre son torse en scrutant le sol de la pièce comme s'il cherchait de la poussière d'or ou dieu seul sait quoi d'ailleurs. "Et en fait, j'me demande pourquoi c'est TOI que je suis venu trouver..." il marque une pause avant de redresser le menton dans la direction de la rouquine. "Ha, mais, ouais, putain t'es concernée aussi par l'information." dédaigneux à souhait, mauvais jusqu'à la pointe des cheveux, les bras et les jambes parcourus par de léger tremblements de rage. "C'qui m'fous le plus en l'air, égoïstement, c'est qu'Ez va m'en vouloir et que c'est d'ta faute et qu't'en a rien a branler !" s'indigne presque le grand brun qui finit par glisser une main dans ses cheveux jusqu'à caresser sa nuque. Lui sauter dessus pour la cogner ne le mènerait nulle part et il en avait conscience, il commençait presque à s'en vouloir de l'avoir empoignée comme il l'avait fait après avoir passé la porte; Le mal était fait. Gérer sa colère et la diriger contre quelqu'un d'autre que Tri était la meilleure solution, certes ils avaient été deux, mais celui à qui le chef de l'affreuse tenait le plus c'était bien lui. "J'm'attends pas à ce que tu m'prenne dans tes bras en m'caressant les cheveux, nan..." un rire sarcastique lui échappe. "T'en es incapable Houna." un regard méprisant lui est alors adressé, de haut en bas avant qu'il ne ramasse la serviette de la russe pour la poser sur un mur à proximité. La déception de constater qu'il s'était imaginé qu'entre eux se trouvait bien plus que des rapports musclés et distrayant, mais au moins de l'amitié ; il s'était trompé sur toute la ligne. "Tu fonces droit dans l'mur, avec ta vengeance, tes employeurs et ta vie, faut qu'tu l'réalise avant qu'il ne soit trop tard." seulement après ces mots Rek s'est avancé lentement dans sa direction, sans la lâcher du regard, ses prunelles sombres fixées sur la peau trop blanche de la tigresse.
 
@HOUNA TCHERNYCHEV  russian roulette, houna 1386125702  
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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Mar 3 Sep - 3:35



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Narek - Houna

«La route de la vertu n'est pas toujours la plus sûre, et il y a des circonstances dans le monde où la complicité d'un crime est préférable à la délation.» marquis de sade
T'pas du genre à cacher tes intentions, Tri. Pendant trop longtemps, t'es restée enchaînée à l'armée laissant la muselière tomber pour te laisser fondre sur leurs ennemis d'une façon impitoyable. T'as été dressée pour devenir une bête enragée, conditionnée pour être une machine à tuer, façonnée à l'image d'un monstre de cruauté. T'es aussi glaciale que le le désert sibérien, redoutable comme la Morana la divinité de la mort et de l'hiver. T'as tué de nombreux hommes, quelques femmes également. Tu fais pas vraiment de différence lorsqu'on a l'argent pour se payer tes services. Ta réputation te précède après tout, si bien que le continent eurasien t'es interdit d'accès. Moscou parle encore bien trop de toi, s'est subitement lié d'amitié avec Paris afin de réussir à t'intercepter. Tu t'contentes de multiplier les pieds de nez, cachée dans l'ombre tout en récupérant des alliés par ici ou là. Tu rajoutes les pièces maîtresse à ta main, petit à petit tu formeras ton équipe pour désoler le monde à tes côtés. Ce n'est qu'une question de patience.

T'as lancé ta bouteille à la mer, celle étant sensé rappeler la personne la plus cher à tes yeux à tes côtés. Siém. Ton frère, le seul et l'unique. Adin et Chiést peuvent aller mourir, et ça aussi, cela s'fera de ta main. T'auras le monde à ton pied Houna, t'y comptes bien. Lorsque la septième des faux viendra gagner l'horizon, c'bien le monde que tu mettras à feu et à sang. Car lorsque la maîtresse des poisons et le maître des armes blanches se retrouvent, alors plus rien ne les arrêtent. T'as été trop impulsive, lors de ta dernière visite en Russie. Trop brouillonne, et s'il est resté là bas, c'est pour protéger ton cul Tri. Parce que personne n'irait le soupçonner, et votre aîné à bien comprit que la petite faux avait bien grandie. Parce que le brun à longtemps été chétif, en proie des moqueries du reste de vos frères. C'est bien pour ça que tu as assassiné l'un des vôtres lorsque tu étais enfant d'un accès de colère. Car t'as pas supporté qu'on s'en prenne encore une fois à Sept. Tu pouvais pas t'résoudre à l'laisser subir ces mauvais traitements. Alors t'essuyais les coups à sa place, toi, la seule représentante de la gente féminine dans vos rangs. Tu ris grassement, lorsqu'on te balance que la dévotion tu sais pas c'que c'est. Tu dois bien être la chienne la plus dévouée d'ce bas monde.

La serviette glisse à tes pieds et te voilà seulement habillée de tes ecchymoses. Bientôt, le retour de bâton se fera sentir. T'as ton chien fou, ton assassine fidèle, ton frère d'armes en chemin, ton agent joker qui te réserve encore bien des surprises. Tout ça mit bout à bout, t'viendras frapper au plus fort possible. T'as un sourire malsain qui vient s'étirer à nouveau sur ton visage. Tu sens Narek rejoindre tes côtés, se tapir dans ta chambre rageusement. T'aimes bien trop ça, d'le voir vriller à la vue d'ta simple gueule. Son rire vient lécher ton dos nu, il s'amuse de quoi c't'enfoiré encore? Tu le laisses gueuler contre toi, tu t'contentes de regarder à travers l'une des baies vitrées de ta chambre, ton corps nu tendu fièrement. "C'est bon t'as fini?" Qu'tu t'risques à demander. Mais non, il continue alors tu fermes ta gueule et tu t'délectes du poison qu'il t'envoie au visage. Il le sait, seulement que tu en es la maîtresse? Tu manges ses remarques, encore et toujours en lui tournant l'dos. Ca n'a de cesse que d'augmenter ta hargne, te faire vriller toujours plus. Qu'il continue, ta carcasse a déjà bien mangé et t'es plus vraiment à ça prêt. Et on sait tous qu'un animal en convalescence reste des plus dangereux.

Tu te retournes finalement vers lui, toujours aussi nue qu'il se peut. T'pas gênée d'ton corps tuméfié. Tu le portes fièrement, comme une armure. "Tu m'as baisée pendant dix ans parce que j'me suis pas laissée amadouer par ta gueule de beau gosse Nar." Qu'tu réponds finalement en le regardant de la tête au pieds. "J'y peux quoi si t'arrives pas à assumer qu'tu déçois Ezéchiel hein? Parce que tu trempes ta queue en moi et que ça l'fait vriller? Bordel c'que j'donnerai pas pour voir sa gueule." Tu t'esclaffes finalement. Tu ne peux qu'apprécier ce regard sur ton épiderme, ces pupilles noircies par la colère et l'envie accolées à ta peau. Tu t'colles à lui, comme à votre habitude. T'pas pudique avec Narek, ni avec personne d'ailleurs. T'cherches pas longtemps, avant d'céder à tes instincts et de le faire décoller du sol pour l'envoyer tout droit contre le mur le plus proche. Tu viens d'te réveiller, t'as pas encore assez bu pour être aimable alors t'faire parler d'la sorte chez toi ça a l'don d'te faire voir noir. Y'a bien ta main qui vient saisir sa jugulaire, tes ongles s'enfonçant contre sa peau fine contre sa carotide. "J'm'en bats les reins, Narek. Des Outlaws, d'Ezéchiel, et du reste de ces fils de putes. D'accord? T'imprimes dans ta caboche?" T'as envie d'le crever sur l'champs. T'peux pas t'empêcher d'imaginer tes phalanges venir maltraiter son cuir à l'arménien. Tu lâches, finalement. Parce Narek, c'juste un abruti s'étant fait avoir par l'autre connard de tatoué.

"Si t'es v'nu juste pour passer ta colère, j'te laisse t'faire la malle." T'viens finalement à quitter son corps contre lequel tu t'es collée juste pour l'intimider. T'aurais pas d'mal à faire craquer ses cervicales pour les briser, il le sait. C'est c'qu'il aime chez toi non? L'fait que tu pourrais l'éteindre à chaque instant. Parce qu'il connait ta réputation, il le sait Nar', qu'tu butes sans ciller. T'viens gagner l'un des pans du mur où se trouve ton armoire à fringues. T'fais voler tes sous-vêtements sur le matelas, accompagné d'un jean sombre et d'un débardeur blanc. T'as bien quinze fois la même tenue dans ton dressing Tri. T'fais vraiment pas dans l’originalité lorsqu'il s'agit d'te fringuer. Tu t'en bats l'bassin, y'a que ton cuir que t'es fière de porter. L'héritage des Barger, celui dont t'es un des derniers piliers. "Après, s'tu veux passer ta rage sur ma couenne j't'en prie. Tu sais à quel point j'aime danser avec toi." Y'a tes prunelles qui viennent saisir les siennes avec violence. T'le laisseras pas s'débiner Tri. Pas Narek, pas après tout c'temps. Et t'es pas à quelques ecchymoses près.

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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Sam 7 Sep - 20:22

C'est ça qui lui plaisait non ? Le danger que représentait la rouquine russe tout droit sortie d'un film de Tarantino, cette aura malsaine qu'elle dégageait et ce qui pouvait bien se dissimuler en dessous de tout ça. Oui Narek prenait la belle pour un défi, un casse tête qu'il s'était promit de déchiffrer sans jamais réellement y parvenir, se persuadant que le temps finirait par apporter des réponses à ses questions sans qu'il n'ait jamais à se creuse le crâne, mais ce ne fut pas le cas. Elle était sauvage et féline, dangereuse comme une lionne qu'on a affamé avant de la relâcher. Des femmes comme Tri, Narek n'avait jamais été amené a en croisé. Unique et particulière, même spéciale, c'était cela qui l'avait attiré, puis finalement comme une buse il s'était fait prendre. Les serres de la soviet s'étaient refermées sur lui comme un rapace capture sa proie et ce sentiment désagréable d'attachement le rendait fou de rage, parce que s'il était venu gueuler et se plaindre à elle, c'était pour qu'elle lui montre l'attachement qu'elle avait pour lui en un sens. Il s'attendait, naïvement, qu'elle le plaigne, qu'elle s'excuse. Qu'Houna réagisse finalement, ce qui ne fut pas le cas et alors, il comprit que le puzzle qu'elle représentait, qu'il tentait de reconstituer et comprendre depuis 10 ans n'avait aucun sens et aucune valeur. Puis sa manière de faire fi de tout, rien ne comptait, ça le rendait malade de colère. Mais il ne dit rien, il se tait quand elle s'approche, menaçante et qu'elle le chope à la gorge. Ce connard d'arménien se contente de l'observer de la même façon, la raison ou peu importe ce que cela pouvait être, l'empêchait de lever la main sur la mercenaire qui le tenait en respect et déblatérait sans qu'il ne prête attention à ses dires qu'il entend plus qu'il ne les écoute. Narek redescend, parce qu'avec les années il a évolué et changé, il a gagné en maturité sur certaines choses alors qu'il est devenu plus obtus et bien plus cons sur d'autres. Son regard vagabonde tout de même sur la chair qu'elle expose librement sous son nez, il serait mal venu qu'il lui saute dessus et la possède sur le moment pour la simple et bonne raison que s'il se trouve dans cette pièce à ce moment bien précis, c'est à cause de leurs écarts. Une part de lui se dit qu'il devrait envoyer Ezy se faire foutre et continuer de fourrer sa queue où bon lui semble, parce qu'après tout, Lachance est au courant de leur petit manège maintenant, mais une autre part le somme de ne pas sourciller, ne pas se laisser dicter sa conduite par sa queue comme il a pu le faire durant des années. Le dilemme. "T'attends que ça Tri, que j'te défonce sur ton plumard..." et bordel c'est tentant, en mémoire lui remontent de nombreux flashes de leurs ébats passés, passionnés, violents. Le sadisme à son paroxysme et le plaisir de deux âmes vagabondes prêtes à se perdre dans les abysses, se noyer dans les ténèbres et s'oublier le temps d'un instant pour ne faire de leurs deux corps une masse informe et gémissante. "Connasse soviétique de merde que t'es là, égoïste." ce dernier mot il le crache parce qu'il le pense. Ne l'ont ils pas tous deux été, après tout, il fermait bien sa gueule tant que la situation l'arrangeait, tirer son coup ; que ce sot de manière rapprochée ou une fois par six mois donnés, oui Narek était bien content quand tous deux se montraient égoïste en se laissant emporter par leurs pulsions. Comment peut-il imaginer que son discours peut avoir du crédit auprès de cette femme. Puis il pèse ses mots, par crainte de ne sembler peut-être trop sentimental ou plutôt : faible. C'est ça, il se sent faible et ca le fait vriller. "Bien sur qu'j'viens gueuler chez toi, t'es la première concernée par c'délire." Arsen pensait qu'elle serait, en quelques sortes, heureuse d'apprendre que l'homme qu'elle sert à contre cœur dans le but un jour de le renverser, est au courant de ce détail à son sujet. Il plisse les yeux, se dit qu'il a sans doute dû dramatiser. Son côté excessif finira par avoir sa peau, c'est certain. "Naïvement j'ai cru qu'd'une certaine manière tu m'soutiendrai, j'crois." il se racle la gorge, parce qu'il finit par avouer le fond de sa pensée qui lui semble bien utopique et effectivement candide. "Ca m'fout tell'ment en l'air de constater qu't'en a rien à foutre, c'est ouf." qu'il souffle en se massant machinalement le cou, là où quelques minutes plus tard la tigresse avait enfoncé ses griffes qui, pour sur, lui marqueront la peau pour les jours à venir. Arménien à la peau tendre, qui, en plus d'avoir une queue se découvre un cœur ; quel connard.
 
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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Dim 8 Sep - 23:40



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«La route de la vertu n'est pas toujours la plus sûre, et il y a des circonstances dans le monde où la complicité d'un crime est préférable à la délation.» marquis de sade
T'sais pas c'qui te retiens d'lui éclater le visage à l'arménien. Juste pour l'fait qu'il t'ait mit d'mauvais poil au réveil en v'nant t'secouer de la sorte. Quitte à t'faire secouer, t'préfères largement quand se sont vos corps qui s'mettent à vibrer par seulement ton crâne fermement maintenu par la poigne de Nar'. Tu t'laisses faire lui laisse cracher son venin qu'tu n'lui connaissais pas. T'y peux rien toi, si vous avez baisés au mauvais endroit au mauvais moment. Après tout, il avait qu'à t'faire bouffer un truc s'il voulait pas qu'tu gueules ton plaisir. C'pas comme si il n'était pas au courant d'tes antécédents. Il s'attendait à quoi l'brun? A c'que tu l'accueilles la bouche en cœur comme n'importe quelle des salopes qu'il s'envoie à tour de bras? T'en as rien à carrer Tri. S'il voulait une chienne docile, qu'il retourne voir sa blonde qui au final, n'veut de lui que quand ça lui chante à la pétasse. Ça t'fous en rogne quand il t'parle de la blondasse. T'lui as dis d'passer à autre chose, qu'les filles d'bonnes familles c'pas fait pour des gens comme vous. S'il veut vraiment d'la compassion, il est foutrement pas v'nu dégommer la bonne porte d'entrée. Ça t'fous en rogne, mais t'es rapidement plus excitée par l'idée du boss et d'ses traits déformés par la colère.

Tu t'marres un peu, d'la réaction démesurée de l'arménien. Si c'est à toi qu'Ez avait passé un savon, t'serais pas aller foutre son garage à feu et à sang. Tu t'serais contentée d'lui lâcher au gré d'une conversation. Parce que clairement, tu t'en branles. T'as jamais caché tes histoires de cul à qui qu'ce soit. La seule que tu protèges de tout ça, c'est Anya. Car t'pourrais pas supporter qu'ils s'en prennent à elle. Alors tu la gardes jalousement, tu r'doubles de mystère avec la rouquine pour qu'elle n'ait pas de trop gros doutes sur tes activités. Et pourtant, t'es prête à tous les buter ces sales bâtards qu'elle sert derrière son bar poisseux, trop dégueulasse pour ta belle. T'supportes pas l'idée qu'ils puissent n'serait-ce que poser leurs iris dégueulasses sur ta jolie gazelle. Ça t'donnes des envies d'meurtres en masse, comme à la bonne époque où t'laissais ta colère dicter des actions. Où tu fonçais tête baissée pour mieux frapper. Bon, t'fonces toujours avec autant d'aplomb faut dire. Mais à l'époque, tu t'serais pas laissée avoir par ses beaux yeux. T'serais pas en train d'te demander si dans l'fond t'as pas un peu d'humanité bien cachée. Parce que c'pas possible, c'pas les substances qui t'font ressentir ce genre de chose. Y'a qu'Anya pour faire ça. Elle est sa peau de porcelaine aux nombreux motifs tatoués, celle pour qui tu peux bien buter chaque mec de new-york si elle t'le demandait. Dingue, elle t'rend dingue. Et t'es capable d'faire preuve d'patience avec elle, uniquement elle.

Alors qu'ils continuent, d'croire à ce monstre sans pitié qu't'es. Qu'ils te prennent pour quelqu'un de dégueulasse, qui déchaîne les enfers pour une simple colère passagère. Tu finis par relâcher la jugulaire de Narek, rien de c'qu'il pourra dire t'feras changer d'avis. Votre relation et le reste, c'deux choses différentes. A lui d'savoir à pas les mélanger. "J'y peux rien, j'suis amatrice de bonne choses." Qu'tu lui réponds lorsqu'il te balance que t'attends qu'ça, qu'il te culbute à nouveau. T'pas agressive, t'es clairement blasée par sa réaction. T'as pas l'temps de t'inquiéter si monsieur Arsen culpabilise, ou t'en sais quoi d'autres. C'est comme ça, vous vous êtes fait grillés. Et? Ca change quoi? Ca fait dix ans maintenant qu'il t'culbute, fallait p'têtre réfléchir avant aux conséquences. Tu l'savais toi, que si les soupçons venaient à grandir chez Ez et qu'il te questionnait à ce propos, tu ne lui mentirais pas. Car t'pas une menteuse Tri, t'es bien trop franche et ton poison imprègne bien trop tes mots pour le cas contraire. Puis vient les insultes crachées à ton visage ravivant la flamme malsaine dans tes yeux. Tu lui avais pas dis, d'te parler meilleur? "Et toi t'es un p'tit bâtard d'arménien qui pleurniche plutôt qu'd'assumer les nanas qu'il fourre d'puis une décennie. Tes couilles étaient plus grosses que ça dans mes souvenirs." Tu feules, ton regard appuyé sur son entre-jambe pour illustrer tes dires. T'as pas envie d'te battre avec lui, t'as bien d'autres moyens d'le mettre en état d'pièces détachées qui vous sont fortement plus agréables.

"Dix piges, que j'traîne dans vos pattes. Et t'attendais quoi, qu'subitement j'fasse preuve de sensibleries? Que j'commence à t'donner des p'tits surnoms dégueulasses et que j't'harcèle pour savoir c'que tu fais?" Tu t'amuses, pour éviter de t'enfoncer un peu plus dans ta colère. Et ça, tu l'fais uniquement pour Nar. Pour éviter d'lui refaire le portrait de tes poings juste pour t'venger du fait qu'il ait pu mal t'parler. T'finis par le laisser parler, d'toute façon il continuera à t'couper la parole. Alors t'es là assise dans ta tenue d'eve contre les draps blancs recouvrant ton matelas. T'laisses l'ouragan Narek s'indigner, furibonde. T'comprends pas pourquoi il prend subitement les choses à cœur, pourquoi il t'remet subitement en question alors que t'as rien d'mandé. C'toi qui as le plus à perdre, si Ez venait à t'chasser. C'est trop tôt pour l'instant, tu dois tenir encore un peu. Il s'racle la gorge, vient masser l'endroit où tes griffes se sont enfoncées sans retenue. T'as déjà bien trop marqué sa peau dans bien des conditions pour t'en refuser subitement le droit. "T'as fini?" Qu'tu lances lorsque sa voix cesse enfin d'cogner dans ta tête. T'lui laisses le temps presque de façon trop aimable venant d'toi d'calmer la vilaine veine palpitant rageusement sur son front. Tes yeux roulent dans leurs orbites pendant qu'tu pousses un souffle agacé. Il va vraiment t'forcer à prendre sur toi cette tête de con en plus de ça.

"Tu veux quoi Narek? Parce que là j'te comprends pas. J'en ai rien à battre que ces connards parlent sur nos gueules, ou même qu'Ezéchiel soit au courant. Parce que j'assume c'que j'fais moi. J'assume le fait qu'tu partages certaines de mes nuits, ou pas d'ailleurs. T'es pas capable d'en faire autant? C'est qui, Nar, qui d'vrait péter à la gueule de l'autre comme une bombe?" C'est à ton tour d't'exprimer, d'montrer qu'toi aussi tu peux hausser l'ton. T'sais très bien, que si un parti doit être prit c'est vers l'tatoué qu'il se retournera. Et t'as toujours été en paix avec ça. T'lui as jamais demandé d'changer d'allégeance ou d'trahir les siens. T'sais aussi que lorsque tu viendras à les quitter, tu devras faire une croix sur l'arménien. Qu'vos opinions divergeront finalement pour se séparer totalement. Ça t'emmerdes, parce que tu t'es habituée à lui. A sa gueule de con et ses vannes de merde. Dix ans dans ton paysage, c'pas rien. Mais vous êtes comme ça, et tu n'te referas pas combien même il a essayé à travers les années. D'te rendre meilleure. T'es une cause perdue, il serait temps qu'il t'accepte comme t'es. Pour votre bien à tous les deux. "Donc j'répète, t'vas faire quoi? Tu veux m'cogner? Foutre mon appartement en bordel? Mais t'attends pas à des excuses, parce que j'te signale que pour une fois, j'ai rien fais." Tes prunelles dans les siennes comme un défi. T'brûles de cette envie d'le secouer juste pour lui faire payer ne serait-ce qu'un peu sa lâcheté. Parce que c'bien trop facile, que d'te faire porter constamment le chapeau pour tout et n'importe quoi. T'as des torts, t'les acceptes. Mais c'pas parce que t'as l'dos large qu'il faut en rajouter.


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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Sam 14 Sep - 22:50

Assumer, il n'a jamais eu de mal à le faire. Narek, ça faiait partie de lui, pour se sentir droit dans ses bottes, avoir le slip propre histoire qu'on ne puisse rien lui mettre dans la gueule et qu'ils ache quoi répondre. Reste à savoir si c'est parce que l'arménien est un homme honnête ou s'il se veut d'assumer ses actes pour ceux qui l'entourent le croit franc et loyal. Il l'écoute ouvrir sa grande bouche, sale vipère qu'elle est. Il a beau être remonter comme une horloge suisse, le gamin sait au plus profond de lui qu'il est incapable de se défaire d'elle. Parce qu'elle est addictive, parce qu'après une décennie de culbute s'est créer quelque chose entre eux, ne parlons pas de sentiments amoureux, ce serait aller trop loin et ce serait trop fort, non, mais c'est qu'il avait bien plus que du respect envers elle, même si Tri n'avait de cesse de répéter qu'au moment opportun elle n'hésiterait pas une seconde à faire la peau à son frère d'âme. Mais là c'était une toute autre histoire. Cette particularité, ce détail, Narek se plaisait à le laisser volontairement de côté, à la manière d'un vilain secret que l'on sait véridique, mais que l'on préfère enfermer dans un placard afin de ne pas le regarder en face. C'est ce qu'elle avait été Houna, le vilain secret de Narek. Ces remontrances acerbes elles le touchent, bâtard d'arménien, elle avait bien résumé la vie de l'intéressé. Sa langue se glisse sur ses lèvres alors qu'il soupire avant d'esquisser un sourire amer. Connasse, qu'il pense. Connasse dont t'es incapable de te débarrasser parce que t'en pas pas la moindre envie en fait, parce que t'as besoin de cette sauvage dans ta vie, t'as appris à faire avec, même si tu passes ton temps à avoir envie d'la cogner. Tu l'admires tellement, certainement autant que tu la plains d'avoir eu a mener sa vie. Ouais, t'as fini. Houna le met hors de lui, il vrille, mais intériorise. A la manière d'un enfant en pleine crise à laquelle son parent ne réagit pas, le gamin qui prend conscience de la démesure de sa réaction. Il pourrait se rouler par terre et crier qu'elle resterait froide, là, face à lui parée d'un calme qui effraye le garagiste presque autant qu'il l'excite. "On s'est frittés, j'ai pas envie qu'on s'en prenne à toi." qu'il répond du tac au tac au monologue de la russe, il l'a soupiré. S'il était remonté contre elle, c'était aussi parce que d'agir de la sorte à la vue de tous pourrait leur apporter de grosses emmerdes. Arsen se sait peu apprécier par les bikers de Lachance, mais il n'a pas a les fréquenter plus que ça, puis il est le frère de leur dirigeant, Tri elle, en plus de n'être que peu appréciée, est amenée à travailler avec eux régulièrement. C'est le bordel dans sa tête, sa colère ne sait plus contre quoi se diriger : est-il remonté contre son comportement pitoyable, contre celui de tri ou bien est-ce de l'inquiétude mal retransmise ? 'Font pas dans la dentelle, l'ont jamais fait et le feront jamais, alors gérer une potentielle inquiétude ne fait pas partie de leur mode de fonctionnement. "Mais nan." qu'il râle, bien évidemment que non il ne va pas lever la main sur elle, alors qu'un quart d'heure plus tôt, si la question avait été posée, la réponse aurait pu être positive. Il soupire, il râle en levant la main, les sourcils froncés. "T'étais concernée, j'suis v'nu me plaindre..." sa voix se casse à la fin de sa phrase, comme s'il réalisait l'ampleur de l'excès de sa réaction. Connard. "'Puis tais-toi là... J'me sens con maintenant..." qu'il lâche avec impatience en passant ses mains sur son visage, comme-ci ça l'aiderait à mettre au clair ses idées. "Habille-toi, tu m'fait d'la peine avec tes ecchymoses là." qu'il lui ordonne presque en posant son regard brun sur elle, Tri. Si son corps athlétique n'avait pas été recouvert de marques, seulement sa chevelure rousse se serait détachée du tableau qu'il avait sous les yeux. Surprenant d'ailleurs de constater qu'une brute épaisse comme Houna pouvait posséder du linge de maison d'un blanc aussi éclatant.
 
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Message Sujet: Re: russian roulette, houna   russian roulette, houna Empty Lun 16 Sep - 20:35



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«La route de la vertu n'est pas toujours la plus sûre, et il y a des circonstances dans le monde où la complicité d'un crime est préférable à la délation.» marquis de sade
 Tu comprends pas bien, en quoi l'fait qu'Ezéchiel soit au courant peut changer quoi que ce soit. S'il t'envoie ses gars pour t'régler ton compte tu t'contenteras de les achever jusqu'au dernier. S'il compte te mettre sur la gueule pour te punir, tu sauras lui rendre les coups jusqu'au dernier. T'assumes tes actions Houna, tu l'as toujours fait. Comme la fois où t'as énucléer Tchétirié pour défendre Siém. Tu t'es contentée d'plonger tes ongles dans ses globes oculaires pour en retirer ses yeux encore chauds et sanglants. T'as pas peur, ni des hells, ni du tatoué. Tu les prendras tous jusqu'au dernier s'il le faut, tu t'es battue contre bien des monstres, pour bien des monstres. T'en es devenue une, de ces machines à tuer dénuées de sentiments qui tue homme et femmes sans arrières pensées. Tu fais pas dans le sentimentalisme, tu l'as jamais fais. Dix ans, que tu fréquentes le queens. Dix ans, que tu traînes dans les pattes des bikers et de leurs affiliés. Affiliés comme Narek et son petit business, son garage qui te dépanne bien.

T'arques un sourcil lorsqu'il ajoute qu'il s'est fritté avec celui qu'il aime tant. Ah, il aurait fini par porter ses couilles? Où la discussion s'en est-allée sur d'autres sujets sensibles? Comme la fille d'la haute qui s'amuse à le faire baver comme un chien pour mieux le rappeler à la niche. Même toi, t'as plus de décence envers l'arménien que cette nana qui s'joue volontairement de lui. Toi t'as pas changé en dix ans, et t'changeras pas maintenant. Tu t'redresses un peu, histoire d'voir si son épiderme est couvert d'ecchymoses tout comme ta carcasse. "Ah ouais? Tu lui as fais du mal? Tu pourrais m'exciter Arsen si tu continuais..." Que tu lui lances en passant la pointe de ta langue sur tes lèvres tes lèvres. T'aimerais bien pouvoir appuyer un petit peu sur ses bleus pour le faire grogner d'insatisfaction. Marquer ses chaires pour te venger de son comportement. T'as un peu d'mal à piger la fin d'sa phrase lorsqu'il ajoute qu'il veut pas qu'on s'en prenne à toi. Tu t'mets à rire à nouveau de façon incontrolable. Le seul pouvant à la rigueur t'emmener six pieds sous terres, c'est Lachance. Les autres ne pourraient même pas ne serait-ce qu'espérer pouvoir t'assommer. T'es bien trop rapide, perverse, affamée. Tu les connais par coeur, t'as participé à leurs entraînements, tu les as poussés à devenir meilleurs. Ils ne peuvent rien contre toi, si ce n'est déclarer une guerre ouverte qui viendrait tirailler deux camps. Ceux, se rangeant du côté du brun. Ou ceux qui te rejoindraient pour perpétuer l'héritage laissé par les barger en faisant résonner leurs vengeance dans les rues du queens.

Tu l'vois qu'il est mal à l'aise, l'arménien. Qu'il se sent con presque d'avoir débarqué chez toi pour t'menacer. Ouais, t'es concernée. Mais tu t'en bats les reins que ça se sache ou pas. "Tu penses vraiment, qu'ils arriveraient à s'en prendre à une faux? Ca s'rait plutôt à moi de devoir m'assurer de la protection de ton cul." Parce qu'il vous connait, Narek. Bien mieux que ces abrutis de Biker. Parce qu'il vient de tes contrées, qu'il a déjà entendu parler des démons russes. Que toi même tu es venue lui conter votre histoire des plus déplaisantes, qu'il sait à quel point vous êtes puissants. Tu sais aussi, qu'il est pas vraiment apprécié par les Biker, parce qu'il fait pas partie des votre. Qu'aux yeux de beaucoup il est bien trop proche de votre président et de sa vice. Et qu'à présent, ils sont au courant pour vos sauteries. "Si tu veux que je casse des dents pour toi, tu sais que t'as juste à demander. J'te ferais même pas payer." ou alors en nature, parce que faut pas déconner t'es pas une amatrice. T'aimerais pas qu'il lui arrive quelque chose, ça t'ferais chier que ça vienne pas de toi surtout. Il se sent con finalement, bah ouais y'a d'quoi hein. Ca valait l'coup d'se ramener chez toi sans même apporter l'petit déjeuner.

Les yeux du brun viennent s'poser contre ta carcasse bien marquée de ton petit combat avec les irlandais. Eux ont su te donner du fil à retordre au moins. Pas comme ces abrutis d'bikers qui pourraient te tomber dessus. "Comment ça t'aimes pas la vue d'mon corps quand il est bleuté?" Tu t'étends de tout ton long jouant d'tes courbes un instant. T'as une côte de brisée, un tibia d'fissuré. Une petite commotion cérébrale qui t'as bien sonnée le temps d'une journée. Autant dire que t'en as chié, et si Joe n'était pas venu t'sauver la peau t'aurais pu très mal finir. Faut dire qu'une dizaine de mecs sur ta couenne, ça commence à faire. Tu roules des yeux, c'est qu'il est rabat joie en plus d'être casse couille aujourd'hui Narek. Tu laisses finalement tes doigts parcourir les sous vêtements que t'as balancé sur les draps blancs contre lesquels tu te reposes. Tu l'cherches pas forcément des yeux, mais c'bien trop tentant que de ne pas quitter ses opales pendant que tu pares ton corps des pièces de dentelles sombres. "Et sinon, on fait quoi maintenant mh? T'comptes réussir à te passer d'moi?" d'un geste de menton, tu désignes ton corps encore offert à sa vue pour encore quelques maigres instants. Tant pis pour lui après tout, s'il tient tant qu'ça à ficher l'camp sans en profiter. Juste pour t'punir un peu. Qu'il fasse à sa guise, t'as pas le temps pour ces conneries. Pour l'instant, ta bouteille de vodka t'attends.

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