save the queens ---- / JUDAH AINSWORTH
32 ans ---- / ACE OF SPADES ---- / Ben Barnes
identité complète - Judah - un prénom étrange, un prénom qui dérange parfois, mais surtout un prénom qui a été choisi par sa défunte mère. Prénom détesté qu'il a appris à aimer. Ainsworth - nom de famille connu à New York. Celui de son enfoiré de géniteur. Mais il aurait préféré porter celui de sa mère. Un nom qu'il affectionne bien plus. lieu de naissance et origines - New York - là où vit sa famille depuis des générations - le 12 juin 1987 études ou métier - Judah est le fils héritier de la richissime famille Blackstones dont sa mère était elle-même l'unique héritière. Elle était à la tête de l'empire Blacksrones qui compte plusieurs hôtels de luxe disséminés dans le monde entier. Judah marche donc dans les traces de sa mère et est voué à reprendre le flambeau. Aujourd'hui, bien qu'il soit l'héritier il est le bras droit de Papa Ainsworth dans l'entreprise familiale, qui avait repris les rennes lorsque sa femme est décédée, attendant que Judah soit prêt. orientation sexuelle - Hétérosexuel. Il n'a d'yeux que pour les courbes féminines. Une brune, une rousse ou une blonde à son bras chaque soir. Elles l'attrapent entre leurs filets dès qu'elles battent des cils dans sa direction. On dit de lui que c'est l'un des célibataires les plus en vue de la ville et Judah en joue. statut civil - Célibataire endurci à qui on vient de passer les menottes. Un mariage arrangé entre deux familles, ça existe encore de nos jours. Aileen MacMillan est donc sa future femme, à regrets (mais peut-être plus pour longtemps). pi, scénario ou prélien - PI.
traits de caractère / Judah. Un personnage complexe qui se cache derrière un prénom que l’on associe souvent au traitre. Pourtant, il n’y a pas de personne aussi franche que lui. Il ne s’embarrasse pas, ne prend pas de gants pour dire ce qu’il pense. Si les personnes qui lui font face ne sont pas contentes, alors c’est qu’elles n’ont rien à faire dans sa vie. Et c’est encore pire avec les personnes qu’il ne connait pas. Il n’a pas sa langue dans sa poche, c’est évident. Judah c’est même l’arrogance personnifiée. Il tient surement ça de son père qui a toujours été suffisant et s’est toujours cru au dessus des autres. On dit que c’est l’argent qui rend les hommes de la famille Ainsworth comme ça, mais Judah n’est pas d’accord avec ça. Sa mère, Irène, était riche et pourtant n’a jamais été prétentieuse ni même infecte avec qui que ce soit. Contrairement à son mari, pourri jusqu’à la moelle. C’est surement d’elle que Judah tient cette partie de lui que très peu de personnes connaissent. Cette partie douce, aimante et sensible, ensevelie sous des tonnes de merde. Mais tout ce que voient les gens autour de lui, c’est ce petit fils à papa, impétueux, sur de lui, cet adulescent qui préfère boire et faire la fête jusqu’au bout de la nuit, accompagné de plusieurs personnes qu’il ne connait à peine, plutôt que de gérer l’entreprise familiale. Pourtant Judah est investit dans l’entreprise, dans ce que sa mère lui a légué. Il y tient comme à la prunelle de ses yeux, mais personne n’en a vraiment conscience. Judah c’est aussi un tombeur invétéré qui doit à présent se calmer puisqu’on vient de lui passer la corde au cou. Bagarreur à ses heures perdues - et surtout durant son adolescence turbulente - c’est un jeune homme assez sanguin qui ne supporte pas qu’on l’insulte gratuitement, ni que l’on s’en prenne aux personnes qui lui sont chères. D’ailleurs, ces dernières, bien que rares, sont les seules à connaitre le Judah rieur, blagueur et quelque peu resté bloqué à l’adolescence. Un gars insouciant à qui ont a mis une cravate et serré jusqu’à ce qu’il ne puisse quasiment plus respiré.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
01/ Control freak › Depuis tout petit Judah a appris à bien se tenir, à être le petit garçon idéal, l’enfant poli et serviable. Ses parents lui ont appris à jouer du piano, à savoir se comporter de la bonne manière en société, il a même appris les putains de danses de salon. Ca le faisait profondément chier, Judah, mais il ne disait rien, parce que sa mère lui demandait d’être irréprochable, parce que le monde dans lequel ils vivaient était pourri jusqu’à la moelle et que tous les vautours qui gravitaient autour d’eux n’hésiteraient pas à bouffer sa chaire à la moindre entaille. Alors il a grandi comme ça, en ayant peur de perdre le contrôle, en ayant peur que tout dérape. Il a toujours fait en sorte que rien ne dépasse, que tous ses actes soient assumés - même lorsqu’il ne contrôlait en réalité plus rien. Il a peur de dérapé Judah, peur qu’on s'aperçoive de ses failures, qu’on joue avec, et qu’il souffre. Mais les entailles de son âme sont encore profondes, suintantes, il ne peut pas se permettre de laisser ses faiblesses être à la vue de tous.
02/ l’enfant qui aimait trop › C’était un gamin qui aimait de tout son coeur Judah. Il était doux, adorable même. Étrange d’utiliser ces adjectifs pour parler d’un homme qui, aujourd’hui, est vu comme l’un des plus gros enfoirés que le Queens puisse compter. Pourtant, Judah, l’amour suintait par tous ses pores. Il aurait pu passer son temps à serrer sa mère dans ses bras, à l’embrasser et à l’aimer de tout son coeur, comme personne ne l’aurait jamais aimé d’ailleurs. C’était loin d’être pareil avec son père. Celui-ci a toujours été froid et distant, que ce soit avec Judah comme Irène. Cet homme n’a jamais ressenti quoi que ce soit en réalité. Pas une once de sentiments positifs et encore moins d’amour envers qui que ce soit si ce n’est lui-même. Mais Judah lui, il aimait pour deux, pour dix même. Il aimait tellement sa mère qu’il voulait la protéger de ce monde horrible dans lequel ils vivaient, lorsqu’il voyait que sa mère en souffrait. Il aimait tellement Judah, qu’il aurait tout fait pour la rendre heureuse, qu’elle continue de lui sourire si chaleureusement, qu’il voit encore les étoiles du bonheur briller dans le ciel de son regard. Mais il aimait tellement Judah, que la chute a été violente, sanglante. Il ne s’est pas relevé. Il a laissé celui qui aimait sur le bitume pour se draper de la froideur caractéristique de son père. L’amour et le bonheur, c’est pour les autres.
03/ le traumatisme d’une vie › Des pieds nus, des ongles qui effleurent le sol, une robe qui le balaie, laissant un parquet propre, presque lustré. C’est ce dont il se souvient Judah, lorsqu’il a passé le pas de la porte de la grande maison dans laquelle ils vivaient, en famille. Il se souvient encore du parfum de sa mère qui flottait dans la pièce. Ce parfum qu’il aimait tant. Sa madeleine de proust. Une odeur à nulle autre comparable. Il les voit encore, ses ombres qui dansent dans la lumière déclinante. Il y avait ce magnifique coucher de soleil qui baignait le salon d’une lumière rouge orangée, tamisée, magnifique. Il avait le sourire aux lèvres, Judah, lorsqu’il est arrivé. Parce qu’il retrouvait sa mère après plusieurs jours passés loin d’elle. Elle était la lumière dans sa nuit. La femme de sa vie. Il n’était encore qu’un adolescent à ce moment-là Judah, il entamait la puberté. Pourtant, en un claquement de doigts, il est devenu un homme, dur et sévère, à l’image de son père. Le jeune homme aimant et doux est resté sur bloqué sur le parquet du salon de cette gigantesque maison, les yeux rivés sur le cadavre de sa mère se balançant de gauche à droite. Il a essayé de la décrocher, mais elle était si lourde, si froide et il avait si peu de forces. Il n’a pas pleuré Judah, il n’en était plus capable. Il s’est juste contenté d’hurler à s’en déchirer les cordes vocales. Sa mère venait de le quitter et avait emporté avec elle toute la lumière de son âme.
04/ l’enfant qui ne rêvait plus › Judah a oublié de rêver lorsque sa mère a quitté sa vie. ça a été un véritable traumatisme pour lui et c’est comme s’il avait toujours marché sur l'arête d’une montagne. De chaque côté, le vide, et face à lui, sa mère, cette femme rayonnante, qui lui avait toujours permis de marcher droit devant lui, sans se soucier de la peur de tomber. Il pouvait être ce petit garçon rêveur et insouciant qui ne se rendait pas compte de la noirceur du monde. Alors, lorsqu’elle est partie, Judah s’est retrouvé sans guide, sans filet et sans oeillères. Et il a compris. Il a vu dans quel monde il vivait. Que toutes les paillettes, les rires, les soirées mondaines, tout ceci n’était qu’une mascarade. Que derrière tout ça se cachaient de vrais démons. Des êtres vils peuplant un monde dirigé par l’argent et le pouvoir. A partir de ce moment Judah a ouvert les yeux. Les filtres ont disparus et il a dû s’adapter à vivre dans un monde qui ne possédait plus de lumière. Il a donc laissé les rêves aux autres, à ceux dont les oeillères étaient encore maintenues par un entourage aimant.
05/ La musique adoucit les moeurs › Judah a toujours aimé la musique, depuis aussi loin qu’il s’en souvienne. La mort de sa mère cependant l’a plongé dans un terrible silence. Non seulement écouter de la musique le faisait souffrir autant psychologiquement que physiquement, mais en plus de ça, il a pendant de nombreuses années cessé d’en écouter mais également d’en jouer. Jusqu’à ce que les quelques amis qu’il avait à l’époque le fasse sortir et que l’alcool, les soirées, les filles, l’aident à se replonger dans un monde dans lequel la musique résonne grâce à de gros amplis. Aujourd’hui, Judah a toujours autant de mal à jouer du piano - notamment - mais il écoute beaucoup de musique et principalement dans les clubs branchés de la ville, qu’il côtoie très régulièrement. Fêtard invétéré, il noie son chagrin dans l’alcool et les nombreuses filles qu’il croise sur sa route l’aide à lui faire oublier les cauchemars qui peuplent ses nuits.
06/ L’enfant qui était à la tête d’une entreprise › Irène était à la tête d’un groupe hôtelier de luxe qu’elle avait elle-même hérité de ses parents. A sa mort, elle a légué tout son patrimoine à son unique fils. N’ayant jamais voulu que son mari investisse dans son business, elle était la seule à en être propriétaire. De ce fait, en l’espace de quelques jours, Judah s’est retrouvé propulsé à la tête de l’entreprise familiale et d’un patrimoine colossal. N’étant pas encore apte à gérer, il a laissé son père prendre les rênes, tout en étant le seul décisionnaire. Aujourd’hui, Judah est totalement au sommet et a repris en main le travail de sa mère, son père étant toujours son bras droit. La concurrence dans le milieu a toujours été rude. Et aujourd’hui, les Emirats Arabes débarquent en force, s’imposant dans le Queens. A deux doigts de se faire écraser comme des mouches, les deux hommes ont donc trouvé la solution : s’allier au concurrent principal pour dominer de nouveau le marché face à la puissante concurrence. Et quel meilleur moyen de conclure une alliance que le mariage entre deux héritiers ?
07/ Une de perdue, dix de retrouvées › Judah était devenu hermétique à l’amour et tout sentiment aussi puissant que celui-ci. Il ne voulait plus jamais tomber si bas et se fracasser la gueule avec tant de violence. Il avait construit un mur presque infranchissable. Sauf pour elle. Elena. Judah avait à peine franchis le cap de la vingtaine lorsqu’elle est entrée comme un tourbillon dans sa vie. Elle était tout le contraire de sa mère, Elena. Elle était blonde comme les blés, élancées, un corps svelte, presque sans reliefs dirait-il maintenant. Elle était belle Elena, mais qu’est-ce-qu’elle était sombre et froide en réalité. Tout le contraire de sa mère, si solaire. Mais elle était là Elena, elle était vivante et forte. Si forte qu’elle a réussi à percer les défenses de Judah. Ce devait surement être la femme de sa vie. Elle était là, avec ses sourires, ses yeux verts émeraude, sa voix suave et ses grands gestes qui occupaient l’espace. Qui remplissaient le vide. Elle a comblé le trou béant dans la poitrine de Judah. ll est même tombé éperdument amoureux d’elle, Judah. Il n’y avait plus que cette femme à ses yeux en réalité. Il en a presque oublié sa mère et à quel point son amour avait été salvateur. Celui d’Elena ne l’était pas lui, au contraire, il était destructeur. Il ne s’en est pas rendu compte. Elle lui avait mis des oeillères elle aussi, mais ce n’était pas dans le but de le protéger. Elle l’a éloigné de tout. De ses amis, de sa famille maternelle… jusqu’à ce qu’elle ait une emprise absolue sur lui. Le père de Judah était ravi de cette situation. Et le jeune homme ne voyait pas la face cachée de cette femme. Alors il l’a même demandé en mariage. Elle a accepté, évidemment. Comment aurait-elle pu refuser ? Puis, du jour au lendemain, tout s’est pété la gueule, sous les yeux ébahis de Judah. Il a suffit d’une porte entre-baillée, d’une lampe de bureau allumée, d’une ambiance tamisée, de soupires moites et d’une “mais tu ne devais pas rentrer si tôt”. Et il a compris Judah. Sa fiancée se tapait son père, tout ceci n’était qu’une manigance pour maintenir son fils dans les rails.
La chute a été douloureuse. Il creusait sa tombe comme un grand Judah. Sa mère avait dû se retourner dans sa tombe. Si elle avait été vivante, tout ceci ne serait jamais arrivé. Mais il s’était fait avoir par le regard charmeur et la douceur que cette fille apportait dans sa vie. De la poudre aux yeux. Une supercherie… Il n’a plus de coeur Judah. Il l’a jeté dans une décharge, parmi les détritus. Il n’en a plus besoin, si c’est pour qu’on le piétine encore et encore. Car au fond Judah, il est faible et fragile. La perte de sa mère l’a mis au sol et il n’arrive pas à se relever. Alors il a tout verrouillé. Il a construit une forteresse impénétrable autour de lui. Les filles ne sont bonnes que pour une nuit. Si Irène l’entendait, il aurait le droit à une bonne mandale dans la tête, mais elle n’est plus là, car elle l’a abandonné. Lâchement. voilà l’histoire.
08/ L’enfant qui cohabitait avec son père › A la mort d’Irène, Isaac, le père de Judah s’est complètement révélé. C’est comme s’il avait été soulagé soudainement. Comme si le poids - mais lequel ? - qu’exerçait sa femme sur ses épaules avait été si important, qu’enfin il respirait à nouveau. Mais Judah a compris ce qu’il s’était passé dans la tête de son père à ce moment-là. Il avait cru ! Il avait cru qu’il récupérerait l’entreprise. Qu’il serait à la tête de l’empire. Mais c’était sans compter la prévoyance de sa femme et le fait qu’elle ne voulait pas que cet homme touche à son héritage. En comprenant qu’il n’en connaîtrait jamais la saveur, Isaac s’était totalement transformé. Rejetant son fils. Le traitant comme un moins que rien, comme un parvenu, comme celui qui lui avait piqué tout ce pour quoi il avait toujours travaillé. Isaac s’est alors transformé en un être cruel et sans pitié pour son rejeton. Distant, froid, un étranger avec qui Judah cohabitait. Il n’éprouvait plus une once d’amour pour la femme qu’il avait épousée et avec qui il avait eu un enfant. Pendant plusieurs années ils ont vécu sous le même sans se cotoyer réellement, mise à part lorsque l’image de la société en avait besoin. Les familles riches du Queens sont toujours amenées à se cotoyer lors des soirées mondaines. Il aurait été mal vu qu’Isaac et Judah ne s’adressent pas la parole. Les apparences. Aujourd’hui Isaac s’est remarié avec une femme que le jeune homme trouve atroce, dans tous les sens du terme. Cette femme est clairement le contraire de ce que sa mère était. Et Judah ne peut pas comprendre comment son père peut être attaché à une femme aussi vile qu’elle. Qu’a-t-elle donc à lui offrir qu’il convoite tant ?
09/ l’union infernale › Les MacMillan. La famille concurrente. Les vies des deux familles rivales n’ont été rythmées que par les coups bas et les tirs dans les pattes. Evidemment, les deux familles ont toujours été amenées à se côtoyer, à se tirer la bourre comme on dit. Alors évidemment, Judah connaît Aileen, cette fille coincée, sauvage, réservée, gracieuse… bien sûr qu’il est au courant de son existence. Comment ne pas savoir qu’elle existe quand son regard est irrémédiablement attiré par elle ? Comment ne pas savoir où elle se trouve quand son rire cristallin résonne dans une pièce ? Mais le problème de cette fille, c’est qu’elle ne sait pas. Elle a encore les oeillères. Elle ne se rend pas compte de ce qui l’entoure. Elle sourit, parfois. Et ses yeux vous transpercent, vous plaquent contre un mur, vous fait suffoquer. Elle est là, face à vous, avec toute sa délicatesse, son besoin de vous montrer qu’elle vaut mieux que les autres, qu’elle a décidé de faire un gros doigt à son héritage, parce qu’elle a eu le choix, elle. Elle vous montre, d’un seul regard, que vous n'êtes rien pour elle. La reine des glaces. Et elle est là, avec ses grands yeux pâles, ses longs cheveux d’ébène qui cascadent dans son dos, son corps svelte aux courbes féminines… Cette fille me sort par les yeux. Mais depuis peu, une bombe concernant la famille MacMillan a été lâchée auprès de la famille Ainsworth. Quelque chose de juteux. De parfait pour les faire tomber. Judah et son père étaient prêts à jouer avec cette information, mais c’était sans compter l’arrivée de la nouvelle chaîne hôtelière qui met les deux familles à genoux. Il a fallu trouver un arrangement et rapidement. Les deux familles ont toujours été les deux seuls gros concurrents, il est tout bonnement impossible qu’un nouveau fasse son entrée et ruine tout sur passage. Judah a les pieds et mains liés. Soit il dit bye bye au business adoré que sa mère lui a légué, soit il trouve une solution… et la seule qui puisse lui être envisageable est une union. Aileen, cette femme aux antipodes de Judah, deviendra donc son épouse, pour le bien des deux familles mais surtout des deux groupes hoteliers. Mais comment pourra-t-il tenir face à cette femme qu’il ne supporte pas et qui semble le haïr au plus haut point ? Cette femme avec qui il n’a aucuns points communs, mais surtout cette femme dont les traits lui rappellent tant sa défunte mère ! Judah, marche déjà en Enfer, mais pas sûr qu’il veuille y entraîner avec lui la douce et secrète Aileen, qui ne semble pas bien connaître le monde dans lequel elle vient de plonger.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
b'choux - Anaïs ---- / 25 ans ---- / rpgiste
ville - Entre Lyon et Grenoble études ou métier - Traffic Manager avis général sur le forum - je l'A-DORE. Très beau design, les membres ont l'air vraiment géniaux, le contexte me plait de ouf. le détail qui t'a fait craquer - Je saurais pas dire. C'est un tout je crois. L'ambiance peut-être. fréquence de connexion - Tous les jours normalement :) crédits des icons - c'était sur tumblr, billyrusscs je crois le mot de la fin - Adopt'me (a)