Eros Kidd;
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layson @old money (bb ana) skadden, strauss et knollys 342 754 29
| Sujet: Re: / DIVERS. Jeu 6 Sep - 0:28 |
| save the queens ---- / LES PRÉLIENS
sexe / f. tranche d'âge / 18 à 22 ans. infos importantes / j’n’ai pas d’préférences concernant son passé, ni son background. l’seul truc important à connaître, c’est leur rencontre qu’est décrite dans ma fiche. j’vous met l’extrait ci-dessous. - Spoiler:
Tu t’réveilles en sursaut, alerté par des cris stridents qui proviennent d’l’extérieur. Ta putain de f’nêtre qu’t’as encore laissé ouverte. Tu domptes pas. Y a trop d’mouvement dans l’queens. T’es juste surpris qu’ça puisse t’sortir d’ta léthargie alors qu’t’habites dans une chiotte délabré au fond d’une ruelle abandonné. À part des hobbos, t’croises rarement des gens normaux ici, il osent pas trop s’aventurer dans c’recoin perdu. Pourtant, tu bronches qu’au hurlement suivant. Parce que, putain, il est vachement proche. Tu tends l’oreille sans distinguer l’dialogue. T’sais qu’a un homme et une nana. Fuck ça! T’fourres ta tête sous l’oreiller, espérant étouffer l’vacarme. Rien à faire et ça commence grave à t’énerver. Tu t’lèves en proférant un tas d’jurons et t’enfiles ton jean qu’t’as laissé traîner à même le sol. Pas d’t-shirt. Pas l’temps pour c’genre d’connerie. C’est donc torse nu qu’tu claques la porte d’ton appart’ derrière toi, dévalant ensuite les escaliers à une vitesse fulgurante. T’aurais pu lui gueuler d’se la fermer par la f’nêtre d’ta chambre, ça t’aurait évité c’te trouble inutile, mais tu préfères t’rendre toi-même sur place pour leur en coller une s’ils arrêtent pas d’beugler comme des bêtes sauvages.
Pourtant, la scène qui s’dresse sous tes yeux t’fait déglutir. T’as même ralentis la cadence d’tes pas, incertain à l’idée d’les confronter ou d’faire d’mi tour. Y a un homme, trentaine d’années, tu dirais, percher au d’ssus d’une gosse pas plus vieille qu’toi. Sa jupe rel’vé au d’ssus d’ses cuisses, elle tente d’se débattre pour cacher sa féminité dégueulassement exposé. Tu pivotes même l’menton tellement t’es inconfortable face à sa nudité imposé. Les grosses paluches du mec qui la p’lotent comme si elle était rien d’autre qu’un steak bien saignant. Y a tes phalanges qui s’crispent machinalement lorsqu’il commence à descendre sa braguette. Et ta voix s’élève enfin dans la ruelle désertée. — Hey! Lache la! Il tourne à peine la tête, effrayé à l’idée qu’sa proie glisse entre ses doigts crasseux, t’imagines. Y a qu’son r’gard affolé à elle qui s’ancre dans l’tien. Trop sombre pour distinguer son visage, tout c’que tu r’marques c’sont ses prunelles qui s’accrochent à ta silhouette. T’es p’t’être bien sa seule chance qu’elle s’sorte indemne des griffes d’son agresseur. T’espères qu’elle court vite parce qu’il fait deux fois ton poids et tu s’ras bousillé en trente s’condes s’il décide d’s’occuper d’ton cas. — Va-t’en, ducon! Et mêle toi d’tes putains d’affaires! — J’l’entend gueuler d’puis la f’nêtre d’ma chambre alors ça d’vient mes affaires… d u c o n . Tu rétorques aussitôt, répétant son insulte à deux balles en détachant chaque lettre. Il est pas tombé sur l’bon mioche, faut dire. C’est qu’t’as une tête forte, mélangé avec une bonne grosse dose d’insolence et un soupçon d’impulsivité. Un bâton d’dynamite sur deux pattes. Pourtant, lui, ça lui fait pas tellement peur. Après, t’es casi à poil. Aucun bout d’tissu pour camoufler ta maigre carcasse, pour lui donner l’illusion qu’tu fais d’la gym toutes les s’maines. Il s’retourne enfin vers toi en maint’nant sa victime contre l’mur d’brique derrière elle. — Dernière chance, l’môme! Tu dé-ga-ges… — Sinon quoi? T’vas m’tuer? Tu r’tiens même pas un rire qui s’échappe d’entre tes lèvres. Tu l’provoques dans l’seul et unique but d’gober toute son attention. Et t’es surpris d’voir qu’c’est aussi rapide. Il libère la jeune fille qu’en profite pour r’baisser son vêtement et s’échapper sous vos yeux. Ses iris sont maint’nant braqués sur toi et y a les batt’ments d’ton cœur qui s’accélèrent dans ta cage thoracique. T’espères juste qu’il soit pas également attiré par les hommes. T’es pas prêt pour ça… d’jouer la femme. Mais l’sort qui t’réserve est légèrement plus explicite. Et t’lèves automatiquement les mains dans les airs lorsqu’il extirpe un putain d’gun d’son dos pour l’brandir sous ton nez. — On est pas très loin d’ça, semblerait. Tu r’cules nerveusement d’un pas, les sourcils haussés. Putain, mais il rigole pas, c’te bâtard! — Wô! On s’détend! Tout c’que j’veux, moi, c’est d’dormir. — Ba r’tournes chez toi et fais pas chier! Tes pensées d’bousculent dans ton crâne, y a une voix qui t’dit d’en rester là, d’rentrer chez toi et d’te pieuter. Et, d’l’autre côté, t’as c’te foutu envie incompréhensible d’le pousser à bout. Pour t’amuser. Comme si t’as rayé la notion du danger d’ton cerveau, tout à coup. Tes mains qui tombent le long d’ton corps, t’empruntes c’sourire arrogant en désignant l’arme du r’gard. — J’sur qu’il est même pas chargé ton putain d’gun, t’façon. L’est fait en quoi? En plastoche? — Oh, t’veux vraiment voir en quoi il est fait? Menace. Rien qu’des menaces. Persuadé qu’il s’agit d’un faux et, vu l’obscurité, c’logique qu’t’as du mal à discerner s’il est vrai ou pas. T’façon, c’bien la première fois que quelqu’un pointe une arme à feu sur toi alors comment t’peux l’savoir, toi? T’arrives pas tellement à l’expliquer, mais t’as c’t’espèce d’adrénaline qui t’coule dans les veines, t’donnant un courage éphémère et qui t’rends davantage con. Ou inconscient, plutôt. Comme si t’y crois pas ou qu’t’es aveuglé par ton envie d’faire mumuse. — Ouais, vas-y, tires? Vas-y! Alors, sont passés ou tes couilles, hein? Ta voix qui résonne dans la ruelle, r’bondissant contre les murs qui vous entourent et qui vous percute d’nouveau. Il reste muet, l’canon d’l’arme rivé vers toi alors qu’tu l’détailles d’la tête au pied, une expression dégoûtée qui maquille ton visage. — Tss. Pédale… Tu craches avant d’effectuer un cent quatre-vingt degré. Prêt à partir, à gagner ton appart’. Et, pourtant, tu fais volte-face sans vraiment t’y en attendre. Comme un genre d’pulsion incontrôlable. Un peu comme quand qu’t’as un semi-croquant en matant deux gonzesses s’rouler des pelles. — T’es tellement désespéré qu’tu dois violer une môme pour t’vider les burnes? T’sais qu’a des putes qu’existent pour ça, qu’en ont rien à chier qu’tu sois moche. Et tu devrais arrêter ça là. T’aurais dû mettre un terme à ça y a bien longtemps d’jà. Aussitôt qu’la nana se soit dégagé, en fait. Mais non. T’es toujours là, d’bout d’vant lui, vomissant un dégueulis verbale qu’t’arrives pas à ravaler. T’as envie d’l’ach’ver avec des mots, d’le blesser autant qu’il la fait c’soir avec c’te pauvre fille. — T’veux j’te dise c’quoi qu’est pire qu’payer pour s’faire pomper l’manche? C’est d’terminer ses jours en prison pour viole. T’as pas idées l’nombre de queues qu’tu vas d’voir insérer dans ton joli p’tit c- Bruit sourd qui t’coupe dans ton élan. Écho violent, agressif. Tes oreilles qui bourdonnent, ta vue qui s’embrouille. La douleur, tu la r’ssens pas de suite. Y a juste ton épaule qui r’cule d’quelques centimètres suivi d’ta carcasse au complet. Tu mets du temps à comprendre. À t’rendre compte qu’on vient tout juste d’te tirer d’ssus. Paume d’ta main qui vient instinctivement s’poser au d’ssus d’la clavicule. Liquide chaud qui t’coule entre les doigts. T’oses pas r’garder. Tu restes figé sur place, tes iris braqués droit d’vant toi. Mais t’vois rien, en fait. Tu perçois qu’des ombrages. Y a du mouvement. Puis y a c’te douleur… putain! Insupportable. Maint’nant tu la r’ssens. Difficile d’y faire abstraction. Ça t’paralyse tellement c’est intense, tes g’noux qui lâchent pour v’nir s’buter contre le bitume. Tu tentes d’rester dans c’te position, ton cul posé contre tes talons. Et, c’est p’t’être à cause d’ce mal invivable qu’ton cerveau décide d’se mettre en mode veille. Ou p’t’être pour faire croire à ton ravisseur qu’t’es mort. Quoi qu’il en soit, tu t’affales au sol, impossible d’garder les paupières ouvertes, t’abandonnes. C’pas l’genre d’chose qu’un gosse est censé vivre. Et pourtant…
T’as r’pris conscience quelques heures plus tard, à l’hôpital. Selon les infirmières, c’t’une gosse qu’a appelé les s’cours. Elle était dans un état lamentable à votre arrivé, un peu comme toi. T’imagines qu’c’était celle qu’t’as tenté d’sauver. Au final, c’plutôt l’inverse qui s’est produit. À c’qui parait, elle est resté une bonne partie d’la nuit à ton ch’vet. Voir comment t’allais. T’as été chanceux, la balle a traversé ton épaule. Y a pas eu trop d’dégâts. Enfin, rien d’majeur, c’est d’jà ça. Puis, finalement, elle s’est barrée, la gonzesse. Sans un mot. Rien. T’connais même pas son nom et, son visage, faut dire qu’t’as pas vraiment pris l’temps d’la mater. Du coup, tu la r’verras p’t’être jamais. New york, c’grand.
pour c’qui est d’leur retrouvailles, j’préfère qu’on voit tout ça par mp ! description du lien / en c’qui concerne le lien en soit et l’évolution, je m’suis pas encore penché sur la question. encore une fois, j’préfère en discuter par mp pour qu’on s’mette d’accord et rien imposer. du coup, ce sera à définir ! autre(s) possibilité(s) de lien(s) / taguer ici (facultatif). style d'avatar / libre. j’peux vous faire une p’tite liste si vous avez pas d’idées ! |
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| Sujet: / DIVERS. Lun 15 Avr - 16:48 |
| save the queens ---- / LES PRÉLIENS
libre ---- / give my heart a break sexe / masculin. tranche d'âge / pas moins de vingt-six ans.
infos importantes / du lest, de la poésie ou peu importe, toutes les informations de l'homme sont a écrire. rien de précis concernant sa vie passée, juste qu'il est le genre de gars qu'on préfère avoir de son côté. celui qui impose un peu trop ses convictions malgré une vie plus que bordélique. il vit seul -enfin presque-, plonge littéralement dans l'illégalité (au choix également) et ne vit que pour l'adrénaline que cela lui procure. rien ne lui échappe, manipulateur hors pair, il aime se croire invincible et généreux en se rendant indispensable; chantage affectif maladif, il se plaint souvent de maux divers pour qu'on s'occupe de lui -généralement les femmes lui accordent beaucoup de leur temps précieux- malgré une apparence massive (muscles ou tatouage, un vrai loubard tu l'auras compris).
description du lien / tu l'as sorti d'un cercle perpétuel, trou noir dans lequel plongeait cette jeune femme en devenir. un élan de générosité, un plan peut-être partagé. elle a d'abord refusé, parce que t'es un homme, ou sûrement parce que tu n'inspire pas la confiance, mais t'as insisté après l'avoir croisé plusieurs fois errante dans la rue à la recherche d'un rien pour se réchauffer. une histoire de rien pour devenir tout. elle est venu chez toi une nuit, pour repartir dès le lendemain. tu ne lui avais pourtant rien demandé, pas cette fois du moins, et puis ça a recommencé plusieurs fois. pas de colocation, rien qui ne la fasse rester plus de deux nuits d'affilés. et au bout d'un moment, t'as fini par poser ta main dans ses cheveux pour préciser tes tendances à la surprotection. elle n'a rien dit, pas partie pour autant, car elle savait cat, au fond, que tu ne lui voulais que du bien. rien de sérieux, qu'une tendresse passagère que tu lui as proposé à plusieurs reprises. aujourd'hui, t'es devenu un phare pour elle dans la nuit, avant qu'elle ne prenne son envol et trouve un job à sa convenance. elle crèche encore chez toi parfois, ne s'éloigne jamais très loin de tes bras. mais si tu savais...
autre(s) possibilité(s) de lien(s) / pas pour le moment, peut-être est-il videur au club où danse cat ? possibilités diverses. style d'avatar / un barbu, un tatoué, un mauvais gars quoi. |
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