i'm not in danger, i'm the danger.

traits de caractère / arme de guerre, qu'on ne manipule pas comme on le veut. tu n'as pas le caractère le plus souple. tu ne te laisses pas approcher facilement.  véritable bombe enclenché qui ne demande qu'à exploser. le vocabulaire aiguisé et rare. t'es bien plus développé dans les mouvements  et les réactions rapide, que dans les mots. la parole est taciturne, clairement tu ne gaspilles ta salive que pour les personnes qui en valent la peine,ils sortent les mots, mais jamais de manière diplomate. la diplomatie n'étant pas ton fort, sans doute du à ton passé . guerrière. tu es excessives et colériques, le sang-froid comme un serpent, la capacité à se terrer dans un monde qui n'est pas le sien, ce pouvoir de caméléon. se fondre dans une masse sans qu'on ne la voit. pourtant, tu sais parfaitement être solaire, tu l'es, mais tu te camoufles, car c'est ainsi qu'on t'a faite.  courageuse petite chose, tu ne recule pas devant l'effort ou le combat.  mémoire auditive développée et aiguisée. ta curiosité est toujours en éveil, une intelligence analytique, tu te perds souvent dans des détails, qui ne compte pas. dévoué à la cause que tu choisiras, égoïste forcené, tu ne penses qu'aux tiens et à toi. affectueuse, tu as besoin de te retrouver dans tes ébats, de laisser glisser de l'amour sur toi, l'amour n'a pas bordé ta vie, sauf quelques personnes et tu ne le vois pas, mais tu en manques, cruellement. possessive et orgueilleuse, tu restes pleine de charme.

écrire l'histoire ici /  (demande d'avortement) tu n'aurais pas du naître. ton père biologique, monsieur mcgrath, chef d'une des plus grosses mafia ne voulait pas de toi. ta mère forte avait décidé de partir, pas le choix, pour ne pas qu'il la prenne à mentir, l'enfant dans le ventre alors qu'il aurait du finir dans les songes. pourquoi autant en vouloir à toi, un simple bébé qui n'avait pas enchanté le monde de sa voix ? Sans doute ,car ta mère est la soeur de la femme de monsieur ton père et que forcément cela n'allait pas être parfait. alors, elle est partie. loin de ton père, de ta tante alors que ta propre mère était aussi la tante des enfants de sa soeur. cousin et demi frère. tout ça tu ne le sais pas, tu es censée être morte, une ancienne histoire déjà réglé.  (enfance brisée) t'as à peine six ans quand tu assistes à la mort de ton beau père : alessio delenikas et de ta mère. tu es en pleure couverte de sang quand tu es trouvé par un homme, cet homme tu es loin de savoir qu'il est le tueur de tes parents.. mafia grec qui ne supporta pas de voir l'un de ses hommes finir avec une ex de la mafia colombienne, la fille du supposé dirigeant. alors, ton destin aurait du être tracé, mais pas vraiment.  tu ne l'as pas vu et lui se fait passer pour un homme gentil. alors qu'il est celui qui a causé ton désarroi. main dans la main vous quitté la maison où tu vivais, le sang encore sur toi. vous finissez dans une chambre d’hôtel, des bruits émanant de part et d'autre des murs qui la cloisonne cette chambre. une douche, où tu pleureras, laissant glisser le sang contre toi. des images qui sont encore gravé dans ta mémoire. (tueuse ) tu avais commencé rapidement l'entrainement.  ton premier mort fut par empoissonnement, qui se méfierait d'une jolie gueule d'ange d'à peine dix pommes dans les rues de kaboul ? personne. alors, tu as commencé ainsi, empoissonnant, une substance versé dans un verre, alors que tu volais par la même occasion son portefeuille, un homme propre sur lui, qui t'avait surpris mais ça faisait partie du plan. te faire prendre. tu étais préparée. pleurer, l’apitoyer sur ton sort. la faim qui devait tirailler ton être, alors que non.  une excuse, pour être si proche de lui, pour remuer son monde et le voir agoniser au loin caché sur un toit, l'homme devenu comme un père à tes côtés fier de toi, fier, le temps d'un instant.  (guerrière) les années ont passé et toi tu es devenue jeune femme, à défier les hommes, à leur régler leur compte, car tu sais te battre, tu sais leur faire entendre raison par bien des moyens. jeune femme à l'allure parfaite, qui sait parfaitement ce qu'elle doit faire. alors, tu agis, tu gis dans l'attente d'une nouvelle victime, un tableau de chasse qui fait pâlir certains hommes de main. tu n'as jamais hésité, tu as tué, sans chercher à comprendre. mais il faut toujours que les choses partent en cacahuète quand il ne le faut pas. c'est le cas, récemment tu as faillit. ( l'enfant) une famille à abattre. quatre personnes, une habitude. t'allais faire les choses bien. tu le pensais, mais tu n'as pas su tuer l'enfant de cinq ans qui était endormi dans son lit quand tu tua son père, sa mère et son grand frère de dix ans. mais lui, tu n'as pas pu. tu t'es revue et le blocage s'est fait. tu as arpenté la chambre, le couloir, pensant, te disant qu'il fallait le faire, qu'il fallait que tu le tue. que c'était ainsi, que c'était un de plus, rien d'autre. mais tu ne l'as pas fait. tu l'as pris avec toi, tu as disparu pendant quelques mois avant de revenir là où est ta place, dans ta famille.