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(02.06.2023) STQ FÊTE SES 5 ANS HAPPY BDAY !

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 take you. (kàra)

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Message Sujet: take you. (kàra)    take you. (kàra)  Empty Sam 9 Mar - 21:35

Les Hamptons.
Petit voyage non loin de New-York, pas de plaisir, du travail toujours. Un endroit où l’on donne de l’argent, où on laisse paraître à merveille l’entreprise. Yara et toi main dans la main, t’avais juste pas prévu que ton père serait aussi de la partie. Alors tu le juges du regard avec une pointe de dédain, il en fait de même en ne cessant de fusiller Yara du regard. Ça a le don de te mettre en rage. T’aimes pas penser qu’il pourrait à nouveau lui faire du mal, elle est celle qui a ramassé ton corps à la cuillère quand tu as continué de te saccager comme tu le fais encore sur les quais de Brooklyn. Le besoin de ramasser les coups, de les récolter pour te sentir bien, de laisser cette rage te consumer un peu plus, jusqu’à imploser tout bonnement. Tout ça dans l’illégalité, mais c’est là où tu découvres souvent tes pépites qui aide à tes contrats, à récolter les infos qu’il te faut pour faire avancer le business. Tu es devenu un professionnel dans l’art de manipuler et de le faire sans vraiment te mouiller. T’as toujours la même idée en tête, descendre ton père, le faire payer pour tout le mal qu’il a fait à tes proches, le besoin venger la mémoire de ta mère, t’aime pas que tout le monde pense qu’elle est juste morte, putain tu le sais toi, faut un courage dingue et une pointe d’égoïsme pour réussir à mettre fin à ses jours. Tu le sais, car tu as déjà songé un temps quand tu n’étais qu’un putain d’agneau trop faible pour combattre, mais avec le temps tu es devenu bien plus redoutable, prêt à tout détruire sur ton chemin pour en finir avec toutes ces merdes, réunir ta famille et le problème sera toujours le même : le paternel. Ta main toujours jointe à celle de ta compagne que tu finis par laisser partir rejoindre des connaissances à cette soirée de gala donné en l’honneur d’enfant et surtout des dons que toi comme d’autres ont pu faire. Ça t’a toujours paru ridicule que d’avoir une faite pour fêter le faites de donner, mais tu t’es vites fait à l’idée quand c’était pour faire avancer la société dont tu possèdes la moitié des parts avec  Yara. T’as les prunelles qui se promène, qui dénude la petite foule présente. Des personnes avec de l’importance, tu pourrais aller parler au maire du Queens où tu as déjà un nouveau projet de construction, mais il sera compliqué de le faire plier, tu lui as pourtant envoyé un joli lot qui devra s’occuper de lui, qui devra tout autant lui faire du bien que découvrir quelques infos, les hommes ont tendances à déblatérer des choses au pieu, t’en sais pour le coup, et tu l’as bien comprit, alors tu as tendance à garder les affaires hors des parties de jambes en l’air, il est rare que tu parles avec d’autres femmes que ta compagne. Elle t’apporte tout ce qu’il faut pour remplir sa tâche, celle d’être une femme brillante pour ne pas te laisser faiblir, à ces envies qui t’ensevelit parfois. Les lippes qui s’accolent alors que ton attention s’est déposée sur des courbes qui chantent comme les sirènes appelant ton âme a sans doute aller se briser comme les coques de bateau sur les rochers. Tu l’as connais, tu l’as vu, tes opales n’ont pu que parcourir son corps à travers quelques photos de papier glacé demandé à ton homme de main, autant dire que t’avais songé à elle, plus que tu n’aurais voulu l’avouer. Un homme d’affaire, redoutable, mais t’es qu’un putain d’homme, heureusement que Yara est là. Elle et toujours elle. Ça sera toujours ta beauté sans amour qui aura le dernier mot, mais qu’en sais-tu à vrai dire ? Tes pas t’ont déjà guidé  à la jolie poupée, ses lèvres qui attirent de sa couleur choisi pour les peinturer, tu choppes de coupes de champagne au vol. Un clin d’œil au serveur, alors que tu déposes tes yeux sur elle à nouveau, maintenant que vous êtes en face à face. «  Pour vous ! »  Voix charmante, tu sais qui elle est, elle est l’inconnue de ton équation, la pierre dans ta jolie chaussure, faut s’en débarrasser, mais si tu jouais, rien qu’un peu avec elle, tel le chat joue avec sa proie avant de la dévorer ? Let’s go.

@KÁRA SAAB  take you. (kàra)  1967697819
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Message Sujet: Re: take you. (kàra)    take you. (kàra)  Empty Mer 13 Mar - 12:18

soirée mondaine, une nouvelle, une parmi tant d’autres dans ce monde très à part des requins du monde, tu serres certaines mains, embrasses doucement et faux-semblants des joues de femmes qui t’insupportent, qui te regardent encore comme un objet curieux. les chuchotements sur ton passage, tu les entends encore. elles ne sont pas discrètes, les hyènes de la soirée, ne tiennent pas à l’être. un an et demi après ton enlèvement au moyen-orient et la mort de ton mari, tu restes l’un des sujets préférés de ces commères quand tu te présentes à un événement. il y a ces paris pour savoir si tu vas venir alors qu’elles savent bien que tu as reçu un carton d’invitation. il y a ces discussions au sujet de ta vie amoureuse, se demandant si tu ne vas pas finir seule pour le reste de ta vie.
comprenez, pauvre kara, elle a perdu l’amour de sa vie dans une situation horrible.
si elle avait arrêté de faire ce travail dangereux aussi… ils seraient en vie, tous les deux.
et t’en passes, les plus cruelles, les plus insupportables. certes, tu aurais pu envoyé un chèque, comme tu le fais pour chaque événements qui te tiennent à coeur. mais c’est ton frère qui t’a poussé à te rendre à celle-ci. parce qu’il faut que tu vives kara !, à nouveau, il faut que tu respires, que tu souris, que tu aimes à nouveau. t’aurais pu l’envoyer balader. tu comptais le faire, renvoyer la magnifique robe qu’il a dessiné pour toi, jusqu’à ce que tu lises la liste des invités. jusqu’à ce qu’il apparaisse sous tes yeux, ce nom, ton sésame, ta proie.
deux raisons donc, de pourquoi tu es ici ce soir. l’une par passion d’aider ce qui te tient à coeur, l’autre par intérêt. deux raisons qui ne te font pas détourner le regard quand, vos regards s’accrochent. enfin, depuis le temps que tu l’as vu arriver à la soirée, main dans la main avec sa femme. deux putains de raisons qui ne te font pas de détourner et le laisser approcher, lcoeur palpitant. il est beau ce connard mais y a pas que ça, il est enfin là le connard qui te refuse une interview depuis des mois et qui trempe dans des choses pas claires. voix charmeuse, tu n’en attendais pas moins. monsieur blackwell. tu souris d’un sourire de ceux qui dévoilent tes dents, celui du requin, celui qui s’intéresse. heureuse, ta soirée vient de prendre un tournant très intéressant. je vous remercie. que tu lâches, en prenant doucement la coupe qu’il te tend, les yeux dans les siens, les yeux qui s’accrochent. vous êtes un homme difficile à approcher. ton verre que tu lèves pour faire mine de trinquer, tu es connue pour ne pas passer par quatre chemins quand tu souhaites quelque chose. sa société a reçu bon nombre de tes appels pour quelques questions. toujours rejetées. tu le sais qu’il en eu l’information. il ne serait pas là devant toi ce soir si ce n’était pas le cas, à moins qu’il souhaite discuter robes et froufrous de la marque de ta famille... surtout sous les yeux de sa chère et tendre plus loin, qui, déjà, vous observe par regards en coin, discutant avec ses amies ou connaissances, tu ne saurais. tu n’as pas l’habitude de ce genre de soirée. tu n’en n’as plus l’habitude depuis un an et demi. les galas, les rassemblements d’hommes et de femmes tous hypocrites, tous dans le même panier, tu les as évité, pour qu’on arrête de te parler de ce que tu as vécu. pour qu’on arrête de te souhaiter les condoléances prescrites et fausses, un an et demi après la mort de callum.
toi, t'es juste là pour lui. colm blackwell, qui tu penses ne s'offre pas, aussi facilement, sur un plateau d'argent. il y a autre chose et t'es prête à cet autre chose.
@colm blackwell take you. (kàra)  3227196488
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Message Sujet: Re: take you. (kàra)    take you. (kàra)  Empty Mer 20 Mar - 18:41

Les Hamptons.
Tu le caches, mais t’es qu’un gamin en réalité, le gamin piégé dans un recoin noir de sa vie. T’as du mal à pardonner le père, du mal à avancer avec le mal qu’il a fait. T’aurais pu choisir dix milles solutions pour lui faire un pied de nez, mais non. T’es là à combattre comme un coq avec lui. Un combat qui se règle sur la longueur, qui détonne avec le beau monde dans lequel vous êtes tous deux. Pour les prunelles des autres vous êtes un régale monsieur et madame blackwell, un nouveau tournant dans leur monde, elle ne se plie pas à ta volonté la jolie Yara, elle t’étrangle, te dérange, elle est maitre de toi, tu es maitre d’elle. Une belle rengaine, une belle volonté d’écraser l’autre pour encore mieux le pousser à réussir. Pas de femme au foyer, elle a toujours eu sa place, comme bien d’autre femme dans le monde des affaires, à défaut de certains hommes qui sont encore bien trop ancré dans les vielles coutumes de ton père. Là pour éduquer, pour faire le trophée. Mais toi t’attends plus d’une femme. Elle serait parfaite Yara si elle te donnait ce qui te manquait, l’amour. Tu le sais ce que c’est, mais tu n’as pas les mêmes papillons que dans ta jeunesse, ce besoin de nourrir une toute nouvelle passion pour un nouveau corps à chaque instant. Le besoin de recouler dans d’autre bras. Peut-être qu’un jour tout ça sera fini, que vous serez coincée l’un et l’autre, mais tu sais déjà que vous ne vous détruirez pas. Une bonne chose. Ça te tient à cœur d’être là, pour les affaires, pour la cause peut être bien dans le fond, mais les affaires doivent primer. Elles doivent être la priorité numéro un, une solution pur détruire encore et encore le père. Tout est fait à ça. Tout est bon pour briser ce monde guerre qu’il a instauré, pour ça t’as perdu la famille, t’as perdu cette famille dysfonctionnelle qui était tienne, t’as vu le monde vous soutenir, vous dire que c’était une putain de chose qui arrivait le décès de ta mère. Toi il est hors de question que tu oublies ces derniers mots, que tu oublies ce geste qui fût un soulagement pour elle, mais aussi une putain de porte ouverte pour vous détruire, pour vous laisser plonger dans vos abimes les plus désastreuses.
Puis tu plonges dans une nouvelle guerre, une guerre qui va te donner des forces tout autant que te prendre un bout de ton âme. Sirène pulpeuse et délicieuse, tes yeux qui virevoltent sur ses divines courbes qui te ferons peut être succombé le second cerveau, le plaisir de gouter avec convoitise cette peau délicieusement bronzé. Mais ce n’est pas le myocarde qui va craquer, t’en doutes pas. T’as juste ces envies d’hommes des cavernes de glisser tes mains sur sa peau, de sentir sa chaleur se mélanger à la sienne, la détruire, la choyer un bon mélange qui se dit détonnant. Tu ne perdras pas le nord, tu seras toujours retenu par les bras de Yara, le fameux élastique qui t’évite de t’abimer la face quand tu sautes bêtement à la recherche de nouveauté. Les yeux qui se glissent dans les siens, le monde autour qui se dissipe peu à peu, la victime c’est elle, t’en es persuadé, tout autant que tu es persuadé que la jolie a quelques idées pour te voler quelques réponses tant désirés. Tu vas comme toujours maitrisé la proie, la dévorer, te laisser aller à la séduire, pourquoi pas ? T’as un tas d’idée assez contradictoire envers la jolie Saab. Nom qui sonne presque trop bien dans sa bouche, tu laisses tes prunelles flirter avec les siennes, alors que tu bois une gorgée de ta coupe après avoir trinqué rapidement avec elle. Pas trop de charme ici, y a du monde et tu dois sauver les apparences, toujours. Tu le sais, tu le sens déjà que ta belle, celle qui est tienne doit déjà avoir toute la scène dans le viseur. « Non, je suis seulement un homme occupé. » Tu lui offres un sourire, elle sait très bien que si tu le voulais tu serais libre pour la recevoir, elle va obtenir ce qu’elle veut d’ici peu, pas les réponses, tu comptes bien qu’elle se jette dans la bouche du loup, laissant peut-être même à ce loup de la goûter, de la dévorer. « Et si on programmé un rendez-vous pour assouvir vos désirs de journaliste ? » t’es lancé dans la danse et tu ne sais qui se verra dévorer dans l’histoire, toi tu feras tout pour ne pas perdre pied, t’as ton ancre, alors tu risques pas de boire la tasse.

@KÁRA SAAB  take you. (kàra)  1967697819
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Message Sujet: Re: take you. (kàra)    take you. (kàra)  Empty Lun 25 Mar - 14:49

tes yeux dans ceux du félin qui approche, t’observes, analyses jusqu’à ce que tes yeux descendent. sur la silhouette, la carrure de l’homme attirant qui s’approche, habillé d’un smocking élégant. la démarche assurée, t’as fini par relever les yeux, il s’arrête en face de toi. la coupe tendue, offerte dans une voix charmeuse avant que les premiers mots soient échangés. non, je suis seulement un homme occupé. qu’il ment comme le bon héritier, futur chef d’entreprise, né pour ce milieu, élevé pour devenir cet homme négociateur, charmeur, implacable. les affaires, oui, je comprends... que tu rétorques faussement, tes lèvres pleine contre le verre de la coupe en cristal. t’es pas stupide, kára. il le sait aussi bien que tu as compris. dans ce jeu des faux semblants, des faux discours et des faux sourires, que les apparences sont trompeuses, les comportements à ne pas prendre au premier degré. il a toujours des mensonges. toujours une grande mascarade qui se joue partout, par tout le monde. c’est celle que tu détestes. c’est le monde que tu détestes. parce que tu détestes te plier aux règles. tu détestes faire semblant alors que tu rêves de crever les yeux de ces femmes qui parlent sur ton dos. tu rêves de cracher à la gueule de ces mecs qui t’observent, comme ils observent les autres femmes célibataires de la soirée, comme une marchandise. tu rêves d’attraper dans le blanc des yeux, colm blackwell, sa cravate soyeuse que t’attraperais entre tes doigts pour le tirer vers toi et de lui dire d’aller à l’essentiel, droit au but. kára, la patience n’est pas ton fort. kára, les jeux tu les aimes mais seulement quand tu les contrôles, quand tu aimes le maître du jeu. et là, face à l’homme en costume, le séduisant, tu sais déjà que la tâche ne sera pas simple. pour dire, c’est la première fois que t’arrives à poser officiellement les yeux sur lui, c’est la première qu’il t’adresse réellement la parole, sans conseillers autour de vous, sans aucun intermédiaire entre vous. faut dire que tu la détestes sa salope d’assistante que t’as pu rencontré plusieurs fois. tu soupçonnes le coup de coeur pour son boss qu’elle défend comme une chatte en chaleur. à moins qu’il ne la saute. es-tu de ce genre colm blackwell ? l’interrogation intérieure, t’en viens à reposer tes yeux quelques secondes sur sa femme, celle qui vous surveille peut-être pour cette option. tu ne sais pas, tu ne connais pas sa vie, leur vie mais t’en connais assez de ce genre.  et si on programmé un rendez-vous pour assouvir vos désirs de journaliste ? alors, tu te mets à sourire, te reconcentrant sur ton interlocuteur lorsqu’il ouvre de nouveau la bouche. te surprenant mais appuyant là où il faut pour garder ton intérêt. vous savez parler à une journaliste vous. les mots glissent entre tes lèvres, sous-entendu ou non, pourtant assumé dans le fond de tes yeux. à prendre comme il veut. tu ne sais pas encore réellement à quel jeu tu joues, dans quelle partie vous êtes en train de vous lancer et encore moins quelle stratégie adoptée. sérieuse ? professionnelle ? plus que ça. jouer sur la sensualité pour obtenir ce que tu souhaites ? tu n’en sais encore trop rien. quand voulez-vous programmer cela ? tu demandes, un petit four que tu attrapes au passage. pour lui, pour obtenir ce que tu souhaites, tu seras libre quand il veut. ou peut-être pas.
@colm blackwell take you. (kàra)  3227196488
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