black mambo

save the queens ---- / Louison Duprée

25 ans ---- / DIAMONDS ---- / adélaïde kane

identité complète - Parce qu’il semblerait que tes parents ne voulaient pas faire comme tout le monde. Toujours à vouloir faire parler d’eux dans les bonnes comme les mauvaises raisons. Trop fille pour Louis et pas assez pour Louise. (Louison) ou ce foutu prénom que tu te traînes depuis ta naissance et dieu sait qu’il a fait parler. C’était comme ça chez vous, il n’y a ni bonne, ni mauvaise publicité. Les (Duprée) ou les cibles des commérages faut croire que ton départ aux effluves de fugue a dû sacrément faire parler les voisins. Finalement tes parents peuvent te remercier de quelque chose. lieu de naissance et origines - La ville lumière, la splendide ou celle qui fait rêvé, parler. Où siège la dame de fer en son centre. (Paris) où celle que tu as fuie dans l’espoir de tout recommencer de zéro. De devenir qui tu voulais être et pas ce qu’on voulait que tu sois. Ne plus avoir à supporter ce putain de dysfonctionnement familiale. Tu ne renie pas tes origines tout au contraire tu t’en servirais même un peu trop de ce foutu charme à la (française). études ou métier - Les mains baladeuses dans un sourire pour faire diversion. Le regard esquisse de toutes les idées que tu as derrière la tête. L’actrice du mal ou celle après qui vous en redemanderais même après avoir tout perdue. T’es la magicienne qui passe toujours au travers des mailles du filet L’(arnaqueuse) qui provoque sa chance. L’escroc des plus riches ou le robin des bois des temps moderne. orientation sexuelle - Tu les aimes élégants et bien garnies. Les portefeuilles bien évidement car, il n’y a que cela qui compte. Les hommes sont du genre à se servir sans se soucier. Tu t’es bien trop souvent fait jeter comme un mouchoir pour avoir enfin décidé de prendre le pouvoir. Alors, (les hommes) tu les aimes en fonction de la taille de leurs comptes en banque. statut civil - Amante d’une nuit ou de toute vie. La maîtresse ou la belle-fille parfaite. Tu seras tout ce qu’il faut que tu sois pour parvenir à tes fins. T’es la (volage), le papillon qui se dit s’en attaches. T’es la vipère qui s’immisces jusqu’à piqué ou la pieuvre qui enserre ces proies jusqu’à ce qu’il suffoque. pi, scénario ou prélien - pi.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star

traits de caractère / (Débrouillarde) lâchée seule dans la nature d’une société décadente il n’y a pas d’autre choix que de s’en sortir à coup de système D. Certes tu as choisie toute seule d’être livré à toi-même mais ça enlèves en rien ton mérites à tes yeux. (Rêveuse) tu as toujours voulu plus que ce que ton droit de naissance t’avait offert ou imposé. Toujours eu cette folie des grandeurs ou cette idée que rien n’est jamais assez trop beau pour toi. (Menteuse) ou l’art de manipuler la vérité à ton avantage. Le mensonge c’est ce qui permet de gagner ta vie alors avec les années de pratique tu as appris à t’en sortir comme si la vérité sortait de ta bouche. (Charmeuse) un sourire, un petit regard en coin et on te donnerait le bon dieu sans confession. Oui, tu joues de tes charmes. Oui, tu aimes plaire et c’est probablement ce qui te perdra un jour. (Capricieuse) ou un brin diva. Tu n’acceptes pas qu’on te dise non. (Battante) tu n’as pas le temps pour baisser les bras. Pas les moyens non plus même si les arnaques et le chantage ça rapporte gros. (Naïve) il fut un temps et encore aujourd’hui il suffirait de pas grand-chose pour te faire flancher. (Impulsive) tu as du genre à agir sur l’instant. Par instinct. L’action avant la réflexion. (Rancunière) un coup bas et c’est fini. Il n’y a pas d’excuse possible. Pas de retour en arrière non plus. (Possessive) quand c’est à toi tu n’es pas du genre à aimer partagée. (Matérialiste) au moins les objets ça ne blesses pas. Ne trompe pas.

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share

Mr. Et Mme de Laulanier Sainte croix
1 Avenue Elisée Reclus
Paris – 7ème

***

Elle est belle la vue de ta jeunesse, celle de l’avenir devant toi ou de celui qui se meurt.
Elle est belle cette cage dorée ou ce moule dans lequel on te force à te complaire.
Tu l’aimes la richesse, tu la chérie. L’adule même.
Telle mère, telle fille finalement.
A bonne école que tu as été alors que tu enchaînes les beaux-pères aussi vite qu’il leur faut pour se rendre compte que leur compte en banque c’est leur seul atout charme.
Elle est comme ça ta mère. Elle veut, elle prend.
Elle te donne, tu te sers.
Tu t’en as contenté de cette vie jusqu’à lui,
Monsieur au nom aussi long que le nombre de zéro de son assurance vie.
Tout d’un coup la mère amoureuse et la fille de trop.
Tu t’es effacer de toute manière quel autre choix tu avais ?! Emprunter le même chemin que ta mère ?!
Triste réalité que de savoir que des années après c’est le cas.
Ta putain de mère ta empoisonnée, à croire que c’est dans les gêne.

Mr. Mrs Parker-White
910 Park Avenue
Upper East Side - New York

***

Des rêves plein la tête. Le rêve américain que l’on vous vend pour atterrir inévitablement les pieds sur terre.
Violente la chute ou la stupidité d’une jeunesse trop naïve.
On ne rêve jamais assez. Finalement. Toi. Tu as trop rêvé.
Monsieur et charmant, un peu trop.
Madame, elle, n’est pas dupe dans les yeux de la gamine que tu étais. Prendre soins de ces enfants pour finalement faire plus attention à son marie.
Elle était là, la connerie d’avoir trop rêvé. Stupidité de la gamine de dix-sept ans qui n’avait rien été d’autre que l’assouvissement d’une crise de l’âge.
La rage au ventre d’être aussi jetable qu’un mouchoir et pourtant c’est ça.
La porte qui se claque. Valise en main. Retour à la case départ.
De la fille au pair à la gamine perdue…
Tu comprenais finalement les leçons de cette mère qui t’avais enfanté. Tu comprenais qu’il valait mieux se servir des hommes que d’attendre après eux.
Tu compris trop tard. Ou presque…
Finalement valait peut-être mieux se ramasser pour ouvrir les yeux.
Toi, il n’a pas fallu longtemps pour qu’ils soient grand ouvert.

Miss Duprée
164-17 104th Road
Jamaica
Queens - New York

***

Taire l’histoire avant qu’elle ne fasse du bruit.
T’étais la punaise dont il fallait se débarrasser à tout prix.
Rien. Il ne valait rien le prix du silence d’une gamine à peine majeur.
Pas plus qu’un loyer dans un placard à balais. Au moins, tu n’étais pas à la rue.
Pas pour le moment.
A en regretter presque les amants de ta mère et leur appartement luxueux. T’étais devenue la putain de cendrillon dans le grenier de la belle-mère.
Ta vie contenue dans deux valises et 50 dollar en poche. Même pas de quoi retourner pleurer chez ta mère. Encore faudrait-il que tu en es eu envie.
La merde. C’était ça.
Les petits boulots payés au black et les mecs pas nets qui te veulent pour faire le trottoir à ton compte.
Il était loin le putain de rêve américain. Une piaule pourrie, des toilettes qui fuit.
Mais, toujours une blonde sur qui compter. Finalement t’étais peut-être riche d’autre chose.
Foutue ironie alors qu’ils n’y en a jamais eu une pour rattraper l’autre.
Des soirées à refaire le monde et des journées à faire les poches des plus idiots.
Elle était douée la blonde. Boule Crystal et carte de tarot. T’aurais presque pu te faire avoir si tu n’avais pas été aussi fauché qu’elle.
Bonnie & Clyde.
C’était la diversion et toi la vipère. De poche en poche. Un jour après l’autre.
Puis la fichue lumière. L’idée du siècle au travers de la télévision pourri que tu avais réussi à te dégoter.
Monsieur riche candidat au parlement et toi, la punaise à pourrir dans un taudis.
T’étais oublié. Tu ne le supportais pas.
Vous étiez des rats de la société la blonde et toi. Vous méritiez tellement mieux.
Une promesse, un pacte…. Celle d’aller se servir.
De toute manière tu n’avais plus rien à perdre.

(Victime n°1) : Mr. Parker-White
910 Park Avenue
Upper East Side - New York

***

Grande est la fascination de voir à quel point il est facile de faire plier un homme qui a tout à perdre.
Puissante et la sensation de se rendre compte que rien avoir est finalement là, le plus grand des pouvoirs.
Rien à perdre. Tout à gagner.
Pas grand-chose que tu demandais toi. Vous. La blonde et la brune.
Un peu d’argent à coup d’un chantage un peu bancal.
Le premier. Le premier d’une longue liste qui allait suivre.
Un bébé, le mot magique qui se transforme en terreur. Les casseroles que l’on menace de sortir du placard.
Il est beau le mensonge qui se solde d’un chèque.
Elle était encore plus belle la terreur et le désespoir dans ces yeux. Bien plus gratifiante que les quelques sous augmentant enfin le solde de ton compte en banque.
Puis, pour la première fois de ta vie. Tu avais le contrôle.
Promesse à toi-même de le garder alors que ce que tu avais pris rapporterez plus que ton silence acheter.
Dingue ce qu’un carnet d’adresse tomber dans les bonnes mains peu faire.

(Victime n°4) : Mr. Williams
77th Street
Upper West Side - New York

***

Finalement tu avais peut-être quelque chose à perdre toi aussi.
Ta liberté ou ton visa.
Aussi pourri que ta vie soit ici-bas. Tu l’aimais. Tu l’avais construite.
Puis, tu n’étais plus seule. Plus aussi seule qu’avant. Il y avait la blonde. Ta blonde à toi.
Amie, sœur, complice…
Elle n’était pas plus nette que toi mais, l’une avec l’autre vous vous releviez. Vous preniez ce que vous méritiez et que la vie ne semblait pas vouloir vous offrir.
T’es droit sur ta vie arriver à expiration mais, ta blonde était là. Toujours.
Une mine d’or ce carnet d’adresse. Votre carnet de route.
Ton nouveau départ. La clé de votre nouvelle vie.
Il avait suffi de tourner la bonne page. De sonner à la bonne porte.
Un peu de charme. Encore du chantage et des papiers. Tes papiers.
La promesse qu’on ne viendrait pas pour te ramener d’où tu venais.
L’homme n’avait pas était compliqué à convaincre. Tristesse pour lui qui venait de perdre sa femme.
Finalement t’étais peut-être pire que ta mère à te servir du malheur des gens pour parvenir à tes fins.
L’élève dépasse le maître.

(victime 12…30... 41)

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On en perdrait presque les comptes. On s’y perdrait presque dans le mensonge.
C’était devenu un art. Un métier même à défaut d’avoir fait de grande école. Tu avais fait la meilleure. Celle de la survie.
Vous étiez douée avec la blonde. Un beau système que vous aviez monté là au gré d’un putain de carnet d’adresse volé il y a quelques années en arrière à la bonne personne.
Peut-être bien que vous vous feriez attraper un jour ?! Peut-être bien que vous vous feriez manger à votre propre jeu aussi ?!
En attendant c’était à qui serais la prochaine cible ?!
C’était à prendre plus de plaisir à en faire baver ceux qui avaient tout pour ceux qui n’avaient rien.
Complexe de supériorité ou pas tu te voyais comme une putain de justicière !
Puis, vous méritiez bien mieux que votre taudis pourri.
A grand besoin, grand moyen…

save the queens ---- / BEHIND THE MASK

sharethemoment (caro) ---- / 26 ans ---- / rpgiste

ville - Paris. études ou métier - coordinatrice congrès chez Marriott. avis général sur le forum - black mambo 697000959

. le détail qui t'a fait craquer - vouus black mambo 3476085353

. fréquence de connexion - tout les jours. crédits des icons - dandelion. le mot de la fin - love you mes ptits chats black mambo 2781936883