(warrior) ~

traits de caractère /  (Ambitieux) ; t’as l’envie de réussir ou cette envie de grandir. De monter au plus haut pas forcément pour toi mais, pour obtenir la foutu approbation de ton père. Celle après laquelle du court depuis tout gamin. Pas pour toi mais, pour devenir la meilleur version de toi-même pour ce qui font partie de ta vie. A la quête d’une perfection que tu sais pourtant inaccessible. Ton ambition est surement ce qui finira par te perdre. Par te tuer. (entêté) ; il contrôle ta vie ton père, sans le faire vraiment. Il contrôle ton besoin constant de réussir et ces fichus idéologie sont irrévocable. Alors, il te l’a transmis ce foutu  de défaut. L’esprit aussi fermé qu’une huître sur ces opinions qui ne sont pas tiennes. La tête trop dure pour te rendre compte que tu as tort. Quand tu le fait, il est souvent trop tard. (jaloux) ; non, tu n’es pas envieux de ce que les autres ont mais, tu as peur de ce qu’il pourrait te prendre. Jalousie qui se frôle à la possessivité. Ce qui est ta toi, doit rester à toi. T’es paralysé par cette peur de perdre ce qui te rend plus fort. De la perdre elle. (Droit) ; tu as une ligne de conduite et tu l’as suis. La justice n’as pas de prix. Des valeurs, une éducation. Peut-être un peu trop strict ?! Peut-être que tu attentes trop des gens parfois ?! Mais la droiture il n’y a pas de meilleure valeur pour jauger si quelqu’un en vaux vraiment la peine. (Réservé) ; ou pudique du pareil au même. On ne t’a pas habitué au grande effluve sentimentale. Cacher ce que l’on ressent fait un bon soldat. Protégé son cœur. Tu n’es pas du genre à te livrer comme un livre ouvert aux premières venues. Tu n’es pas du genre à t’exclamer dans de grande déclaration. Tu mets du temps à t’ouvrir et parfois, les gens en ont marre d’attendre. Parfois tu en perds de belles occasions. Tu l’as perdue elle. (Passionné) ; tu te laisses parfois les choses sortir de ton contrôle. Tu laisses ce foutu organe dans ta poitrine te guidé. C’est la passion qui agite tes veines quand tu aimes. Tu ne fais jamais les choses à moitié quitte à te jeter corps est âme dans une cause perdue. C’est de ces passions qui te consument, qui te brûle. Passion destructrice et pourtant la seule qui te fait te sentir vraiment en vie. Elle. Toujours elle qui dicte cette putain de passion. (Patient) ; le calme à l’état pure et la patiente d’attendre le bon moment. L’opportun. Qualité d’un bon sniper. La patience et d’or mais, dieu que tu sais qu’elle détruit aussi. Détruit d’attendre le bon moment quitte à le laisser passer. La laisser passer. Tu as trop attendue. Trop souvent tu t’es laissé submerger pendant trop longtemps pour finir par exploser. Au final tu n’es qu’une putain de bombe à retardement. (Intègre) ; t’es de ceux sur qui on peut compter. T’es de ceux qui ne se cachent pas derrière des faux semblants. Pas de retournement de veste. Pas de mensonge. Tu es ce que tu annonces. Tu es ceux pour qui tu te bas. Loyal, l’honneur qui coule dans les veines. (Sombre) ; t’es l’imparfait, t’es l’homme qui manque de soleil parfois. T’es l’homme qui laisse rarement transparaître la clarté de ton âme. T’en as vue des choses moches et parfois elles te rongent. Elles te détruisent. Tu l’as cherche la lumière mais, quand il s’agit de la gardé t’es qu’un foutu con maladroit. (Obstiné) ; tu t’attaches à tes idées avec force. Tu te bas pour elle et pour ce que tu aimes jusqu’à tout y laisser. Ton âme. Ton cœur. Tu ne baisse pas les bras aux premiers obstacles. Tu ne t’avoue pas vaincue à la première galère. Quand tu te bas c’est jusqu’au bout. T’es un forcené. Un persévérant. Rien ne s’obtient sans effort. Sans un peu de détermination. Toi, tu en as à revendre.  (Aimant) ; tu ne le montre surement pas assez. Tu n’en dis souvent que trop peu mais, pourtant ceux qui te connaisses vraiment savent que t’es quelqu’un qui aimes. Qui aimes les gens, la vie. Quelqu’un qui c’est autant donnée que recevoir. Pourtant t’es ton putain de propre ennemi. Tu te braque tout seul alors que tu as en toi cet amour à revendre mais, cette peur de te dévoiler qui te bloque malgré toi. (Fière) ; t’es un un vrai coq qui préfère s’engueuler pendant des heures plutôt que d’avouer avoir tort. Tu préfères te débrouiller seul que de devoir te résoudre à demander de l’aide. T’es irrécupérable.

J'ai fait un rêve...
J'ai fait un rêve et je me suis réveillé,
Je me suis réveillé en me rendant compte que ma vie c'était le rêve,
Le rêve d'une vie que j'ai laissé s'envoler!

***

Le trouble qui s’abat sur toi. Un regard. Un regard et c’est tout ce qu’il t’aura fallu pour sombrer. Piquer en plein cœur, cueilli de ton âme. C’est l’une de ces marques invisible qui scelle votre destin.
Incontrôlable passion.
L’amour sauvage. Indélébile.
A vivre dans le regard de ton père. A grandir pour le rendre fière. Puis, tout change. Il suffit d’une fois.
Alors, oui, il y a le temps qui prend ces aises.
Qui s’éternises.
Le destin qui se moque un instant avant de vous laisser cette possibilité d’ouvrir les yeux.
C’était elle, personne d’autre.
Tu l’as su à la minute où elle t’a laissé sur le carreau. Combat jusqu’à la ligne d’arrivée. Deux chemins qui n’avaient pas l’air de vraiment vouloir se croiser.
C’était elle mais, c’était trop tôt.
Trop beau.
Peut-être qu’ils vous a fallut ça, du temps.
Aujourd’hui tu t’en voudrais presque d’avoir attendue.
D’en avoir perdue.
Pourtant, têtu que tu es, les erreurs, tu les auraient refaites. Les mêmes.
Proximités des âmes séparée par des chemins de vie similaire et pourtant si contraire.
Pas eu le choix. Jamais vraiment on l’as.
On croit se construire. Oublier. Pourtant, il y a cette idée qui continue de persister.
Le fameux, et si… Celui qui s’immisce. Celui qui se fait une place dans votre esprit jusqu’à en éluder tout le reste.
On dit être passé à autre chose mais, les mensonges que l’on se sert à sois même sont des pires.
Tu t’es construit avec illusion. L’illusion que tu avais tout alors que tu n’avais rien. Belle était la fleur mais, elle n’était pas elle. Elle n’était pas cette rose qui n’avait cessé d’hanter tes pensées.
La beauté hivernale qui avait déglacé ton cœur.
Les évidences finissent toujours par se retrouver. Par se prendre. Par s’avoir.
Vous vous êtes eu, violemment. Passionnément.
Tu n’avais qu’elle, elle n’avait que toi. Toujours. A jamais, que tu pensais.
Idiot. Abruti.
La vie qui reprend ces droit car, rien n’est jamais vraiment parfait.