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 never crush a woman |Atlas ♥

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Message Sujet: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Ven 28 Sep - 18:02


Atlas & Jihane.
never crush a woman.

Tu ne pensais pas pouvoir être si énervée après Atlas, l’homme en question était plutôt sympa acceptant plutôt bien le fait que tu sois une femme et tu le considérais comme un grand frère. Mais en recevant ce mail ce matin, tu avais la boule au ventre. La nausée. Dégoutée et tu ne savais pas trop comment faire. Car, d’un côté, malgré cette folle envie de lui sauter dessus, non pas pour le cajoler, tu avais envie de l’étrangler, mais tu savais aussi que récemment il avait vécu une chose difficile, y a quelques mois, il avait perdu sa femme et son enfant. La femme tu l’as connaissait rapidement, belle, gentille et amoureuse. Tu ne savais pas trop sur quel pied danser. Tu voyais juste rouge, on venait de te couper les ailes, sans prévenir et aucune raison. Alors, peut être bien qu’il faut que tu te poses, que tu demandes avant d’agresser. Mais tu t’es trop battue pour avoir une place convenable dans ce monde trop fait pour les hommes. T’as les lèvres serrées, impossible d’entrevoir tes belles dents. Non le sourire il est parti à la chasse pour un meilleur endroit. Quand tu arrives sur les lieux, tu claques la porte avec force  ce qui peut carrément témoigner de ton état d’esprit. Personne ne devrait aussi mal,  tu en as mal à la tête à force de réfléchir à pourquoi il avait fait ça ? Quelle raison ? Tu n’avais rien fait. Aucune mauvaise action pour être brimer de la sorte. Tu te tortures l’esprit, cherchant de quoi avoir une telle punition, surtout pour éviter de l’affronter le  Atlas. Il n’est pas d’humeur superbement agréable et toi aussi tu sais être dure et exécrable à la fois. Mais t’as pas envie, t’as envie de le laisser en paix, mais t’as pas le choix, vu que tu as déjà épuisé tes cartouches en hurlant sur celui qui t’avait envoyé l’email. Il t’avait carrément dit que c’était un ordre direct de monsieur Atlas. Alors, tu déambules dans les couloirs de l’écurie, entendant quelques moteurs rugir, tu ne sais pas où tu vas le trouver. Alors, tu demandes à quelques personnes. Mauvaise idée, un qui l’a vu dans son bureau, l’autre aux toilettes. Tu peux sans nul doute retracer son parcours. Pas le choix tu regards partout, puis tu le voie. Il est devant l’une des pistes d’entraînement. Sans doute celle où tu aurais pu t’entraîner s’il ne t’avait pas viré si malhonnêtement.   «   Atlas !  »  Déjà pas très calme le ton, tu t’approches de lui, le sourire qui a totalement disparu de tes lippes. Aucune envie de sourire, surtout pas quand tu es prise d’injustice comme ce soir. «   Y a une erreur sur le planning et mon inscription à  la prochaine course pas vrai ?  »  Tu déposes tes opales dans les siennes, tu essayes vraiment d’être calme, t’y arrive à moitié, on sent la pression dans ta voix, mais faut dire qu’on ne  peut pas te priver de la sorte de ton rêve, pas après toute les batailles que tu as mené et surtout sans explication. Alors, croissant les bras tu attends tout ça, toutes les réponses possible à cette maudite situation.

 
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Dim 30 Sep - 15:53


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crédit/ tumblr ✰ w/@jihane al masrí

Non, la colère ne te guidais pas et pas même cette culpabilité qui te ronger de l’intérieur depuis ce fameux jour où ta vie avait basculé de la fine ligne entre rêve et cauchemar. Tu étais menais par le bout du nez par la peur. Une peur constante et incontrôlable. Panique qui te gagnais de plus en plus menait par cette peur qui ne s’amenuiser pas malgré les semaines et les mois qui passais. Le temps de guérissais rien du tout alors que tu restais piégé dans ce qu’il c’était passer six mois en arrière. Un piège qui se refermer sur toi et à cause du quel ton entourage manger la poussière. A trop garder à l’intérieur il n’en ressortait tout simplement rien de bon et certain en payer les frais plus que d’autre. Paralyser par la peur de perdre encore plus tu agissais aux grés de ton instinct biaisé par ce qu’il t’était arrivé. Tu n’étais plus que boule de nerf et l’homme à l’humeur massacrante. Tu n’étais plus toi-même. L’égoïste qui se cacher derrière des actes de lâcheté et qui refusait pour autant tout contact, tout explication. En conflit avec toi-même et perdu dans ce cercle vicieux dans lequel tu te laissais étouffé. Tu n’étais pas seul et pourtant tu étais bien trop en souffrance pour le remarquer ou admettre que des gens tenaient encore à toi. Au lieu de ça, tu préférais te déchargé sur eux, prendre les décisions à leurs place. Personne n’osais rien te dire tous bien trop soucieux de te blesser encore un peu plus ou dire les mots de trop. Celui qui te ferait exploser. Laisser faire passivement et tu t’en contentais alors que la voix au fond de toi savait que rien de bon n’en découlerais. Peut-être cherchais-tu malgré toi la personne qui aurait assez de cran pour te dire stop. Celle qui te secouerais un bon coup pour te sommé de te réveiller. C’est comme si tu te regardais faire de l’extérieur incapable d’agir autrement que sur des coups de tête. Comme celui-là, celui qui t’avais poussé à changer les plannings pour protéger quelqu’un qui n’avais pas besoin de ta protection. Jihane qui faisait les frais de ton égoïsme et de ta lâcheté. Prix fort pour la jeune femme qui avait un belle avenir dans ce milieu d’homme. Loin d’être myosine tu venais de faire preuve de tout le contraire sans vraiment être certains de savoir pourquoi. Surement cette peur qui te crier que tu ne voulais pas la voir finir prématurément sa vie. Tu ne voulais pas la perdre elle aussi. Voilà, que tu jouais de ton pouvoir pour la privé de son rêve pour te rassurais, toi. Aucun droit que tu n’avais et pourtant tu le prenais. T’avais beau savoir qu’elle était le meilleur espoir de l’écurie, toi qui refusais de retoucher à un volant tu voulais lui imposé d’arrêter de vivre de sa passion par peur. Ta peur. Idée arrêté, tu n’avais même pas eu le cran de lui annoncer toi-même. Surement que tu savais la réaction en chaine qui s’en suivrais. Tu l’avais cherché peut-être un peu malgré toi. T’avais peut-être besoin qu’on arrête de te caresser dans le sens du poil et qu’on te gueule dessus. Marre de la pitié et de la bienveillance, tu voulais qu’on t’égueule et que l’on te dise que c’était de ta faute. Que tu avais cherché. Tu ne voulais plus de compassion, tu voulais mettre des stupides mots sur cette souffrance qui te consumer à petit feu. T’avais besoin de l’explosion de la bombe à retardement que tu étais et Jihane semblait être le parfait détonateur. Pourtant, tu sens qu’elle se retient alors qu’elle s’approche de toi. Tu te tiens près de l’une des pistes d’entrainement alors que tu n’oses même pas lui porter un regard par peur de voir dans ces yeux la colère dont tu avais tant besoin pour te réveiller. Car, dans le fond, tu n’étais pas certain d’être prêt à la faire. Prêt à te réveiller mais le serais-tu réellement un jour. « bonjour jihane» lui coupe –tu l’herbe sous les pieds innocemment, comme si de rien étais « non, aucune erreur… c’est le planning définitif ! Pourquoi, il y a un souci ?! » Lances-tu sur la même note. Mains dans les poches et regard plongé vers l’horizon et les voitures de courses qui tournaient en rond sur la piste d’entrainement.  
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Dim 7 Oct - 19:11


Atlas & Jihane.
never crush a woman.

Tu n’arrives pas à décolérer, t’as pas envie d’être aussi folle pour une course. Mais ce n’est pas n’importe quelle course, elle est nationale et elle t’aiderait à te positionner dans les meilleurs de la nation. Alors, tu as eu beau trifouiller ton esprit pour avoir ce qui se passait et tout. Tu n’as pas réussi à trouver ce que tu avais bien pu faire pour mériter cela. Alors, tu n’avais qu’une idée en tête. En découdre. Malheureusement tu dois le faire avec Atlas, celui qui a changé le planning et viré ton blase. Ça t’énerve, car tu vas voir de la peine, ne pas avoir envie de l’engueuler pour cela, surtout que tu ne voudras pas le brusquer. Mais allait, tu es capable de ça Jihane, tu es capable princesse. Capable de tout. Puis, tu commences à le chercher, aucune idée d’où il pourrait être, l’endroit est grand. Vraiment grand alors, forcément tu pourrais le louper de peu. Demander à des personnes fût ta première erreur. Ouai, car tout le monde l’a vu, mais jamais au même endroit. Cela ne va pas t’aider dans tes recherches. Quand tu le retrouves, il est là à regarder les autres s’entrainer, pendant que toi tu étais en train de devenir folle. Tu commençais à ronger ton frein, et rester calme allait être dur, voire impossible. T’as le sang chaud, tu l’as depuis que tu sais que toi petite midinette tu ne seras jamais vraiment respecter, sauf si tu déposais tes ovaires sur la table (punaise Carla sors de là). Pas de sourire, juste des questions posés à Monsieur. Tes opales plongées dans les siennes, tu ne laisses rien transparaître sauf ta colère, tu oublies presque la peine que tu as pour lui. Tu sais que ce qu’il vit n’est pas simple, mais là te faut penser à toi. Et tu le feras. Tu attends. Il me dit bonjour. «   Ouai c’est ça bonjour ! » T’oublies la politesse, c’est le patron, mais faut des explications à ses actes, il ne peut pas te priver de course en un claquement de doigt sans aucune raison. Ouai, tu pourrais poser une requête, mais tu le sais c’est gaspiller du temps pour tous, tu veux juste qu’on impose à nouveau ton putain de nom sur cette course, que tu puisses laminer la concurrence, même l’écurie de ton père. Ouai, tu t’en fiches, tu veux tout bonnement démontrer que tu es plus qu’une princesse bien roulée, beaucoup plus. Puis là tu ris, tu croises les bras sous ta poitrine, le regard qui devient un peu plus noir aux dires d’Atlas. Il veut que tu exploses ? Il provoque la petite qui pourrait vite devenir un cauchemar, surtout qu’il a intérêt à donner plus qu’un : c’est le planning définitive. La blague. «   Tu te fous de moi là, sérieux ? » Peut-être qu’il est comme un frère, mais là il est le patron que tu as envie de trucider sur le champ. «   Un problème … c’est comme demander à une vache si elle est grosse ! Alors, oui y a un problème si tu veux l’entendre de vive voix. » Tu perds patience, car tu vois ton futur s’évaporer sans aucune raison, le futur qui te nargue et toi tu ne peux rien dire, ni faire. Mais ça ils se trompent tous, car tu ne lâcheras pas le morceau, jamais. « Pourquoi, juste pourquoi t’as fait ça ? » Que tu demandes, alors que tu les sens les regards des techniciens qui sont censés bosser. «   Quoi vous voulez l’appareil photo ? » Que tu demandes alors que tu lâches à peine Atlas du regard. «   Je vais courir et tu le sais, alors fait le ! » Tu laisses pas le choix, mais dans le vrai, le gars il a vraiment ton avenir entre ses doigts, et tu ne piges pas trop, il était ton meilleur soutient après ta famille et ça te saoule. «   Il est passé où le : on forme une équipe, une famille, hein ? » Que tu demandes, tu es sans doute rouge de rage, mais pas grave, tu ne veux qu’une chose que ne te brise pas tes ailes pas sans raison.


 
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Mar 16 Oct - 22:38


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crédit/ tumblr ✰ w/@jihane al masrí

Tu n’as pas d’excuse ou alors tu t’en invente une. Une fabriqué de toute pièce sous un prétexte purement égoïste. L’égoïsme ou la peur de perdre quelqu’un d’autre. Trop faible pour avouer à qui que ce soit ta détresse ou ce sentiment effrayant qui te paralysé. T’empêché d’avancer, d’aller de l’avant. De guérir. Tu jouais la carte de la lâcheté. Celle qu’on ne te pardonnera pas. Car oui, il n’y avait aucune excuse, aucun fondement à tes actes. Juste ton prétendu bien être. Tu avais beau dire, beau te convaincre que c’était pour elle que tu faisais cela. Mensonge.  Mensonge sur toute la ligne. Elle n’avait pas besoin de protection et tu ne leurrer que toi-même en te disant qu’elle n’était pas prête. T’étais là, à te dire que si tu pouvais avoir un accident tout le monde pouvait en avoir un. T’étais là, à te convaincre que c’était dangereux et qu’il ne fallait pas défier la mort comme ça par risque de la trouver. Là, allant à l’encontre de ce qui te maintenait en vie, ta passion. Car sans l’amour de ta vie il ne te restait plus que ça. Pourtant, tu n’avais même plus le courage de monter au volant d’une simple voiture. Tu te punissais et les autres au passage. Jihane en récolté les frais et borné que tu étais tu jouer la carte du patron. De la normalité. Tu lui servirais des excuses bidon sans lui laisser une chance de te faire entendre raison. Ton idée était faite. Faite car tu ne supporterais pas d’avoir une autre mort sur la conscience. Pas la sienne. Pas sa petite tête blonde qui te taper sur les nerfs mais que tu avais pris sous ton aile dès son arrivé chez McLaren. Tu t’étais préparé à prendre une tornade de plein fouet. Tu pouvais même dire que tu l’avais cherché, toi, qui ne récolté que sourire niais et compassion ces derniers temps. Voilà, peut-être pourquoi tu t’en étais lâchement prise à elle. Tu savais qu’elle ne prendrait pas de pincette. Qu’elle se battrait pour ce qui lui revenait de droit. T’avais plus que tout besoin de ça, besoin de prendre une soufflante. Alors, t’en avais rajouté à son arriver en trombe. Ton air innocent à jouer la carte de l’ignorance. Pire, de la normalité. T’étais devenue le masochiste qui chercher à s’en prendre une. Qui cherchais désespérément à ressentir quelque chose d’autre que souffrance et culpabilité. Sourire faussement innocent calqué sur tes lèvres et ton air arrogants à en irrité plus d’un. Tu cherches et tu trouves. Tu la trouves sa colère, bien qu’elle se contienne. Tu le sens qu’elle s’en voudrait presque de te parler ainsi. Tu ne veux pas qu’elle se retienne toi, stupide que tu es. Alors, tu gardes ton calme, ce calme olympien. L’apparence en contrôle et l’intérieur en ébullition. Tu veux te prendre des coups juste pour te sentir vivant ne serait-ce qu’un court instant. « Non… les choses sont telles qu’elles sont Jihane ! » Lances-tu alors que oui, tu te fou d’elle. Tu te fou d’elle juste pour une réaction. Juste pour te faire secouer. Égoïste jusqu’au bout. Tu te perdrais presque en chemin avec ces comparaison. Un léger rire qui s’échappe avant de retrouver ton sérieux et les prunelles en furie de la jeune femme à tes côtés. « Il n’y a aucune raison de t’énervé cela ne changeras rien. » bien-sûr qu’elle a toutes les raisons du monde alors que tu ferais pareil à sa place. « Bien sûr que tu vas courir… mais pas sur cette course. » Ajoutes-tu le regard franc toujours plonger dans le siens ne te souciant pas des équipes stopper net dans leurs travails. Un mot de la belle et tout le monde se faisaient petit. Qu’ils s’y fassent ou il t’entendrait et cela ne serait pas beau à voir. Pas alors qu’il t’aurait coupé dans ton étrange mission. Mission de te faire envoyer baladé par une employée. Tu devenais fou, pour sûr. « Tu n’es pas prête, il n’y a qu’à voir tes derniers chrono. Ma décision est prise !! »  T’es mauvais, vicieux alors que tu te base sur un semblant de perfection. Elle est douée, elle est prête et tu n’embrouille que toi-même. « José à de meilleure chance que toi… tu n’as qu’à comparer vos derniers résultats ! » Tu en rajoutes une couches comme pour tendre la joue au coup de poing qui aller suivre. « Justement parce qu’on est une équipe et une famille que je fais ça. Un père n’est-il pas censé prendre les meilleures des décisions pour ces enfants ?! » … ou pour lui penses-tu au fond de toi, car c’était pour toi que tu lui servais toute cette comédie. Tout ce cinéma. Pour ta putain de peur irrationnelle qui t’assaillait de toute part.  
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Dim 2 Déc - 15:19


Atlas & Jihane.
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Tu te sens trahis automatiquement en sachant que c’est Atlas qui a fait ça. Qui t’as retiré de cette course. Tu en as mal au cœur et tu ne sais pas trop ce qui a pris à ce dernier. Il est sans doute l’un des seuls hommes à t’avoir soutenu sans être de ta famille. Tu es plutôt proche de lui, comme tu l’étais de sa femme, elle avait été une voix forte à tes côtés, capable de te donner confiance dans les pires moments. Ça arrive à tout le monde les pires moments. Tu le sais que lui doit être encore dans une mauvaise passe avec la perte de sa femme qui remonte à un peu moins de six mois. Tu ne devrais pas l’égorger à tes premiers mots, mais c’est bien plus simple à dire qu’à faire à vrai dire. Tu t’en veux d’être aussi brute avec elle, tu aimerais vraiment ne pas avoir à l’égorger, car tu es verte de rage, tu as du mal à comprendre ce choix, tu as vraiment besoin de comprendre. C’est pas une course merdique, tout au contraire, c’est une course attendu par tous les coureurs, tu es l’une des meilleures, pour ne pas dire la meilleure, alors forcément que tu vois mal ce changement, surtout sans avoir eu droit à un message d’explication pour calmer directement tes humeurs. Et encore, autant dire que tu es plutôt calme, faut pas t’imaginer en période d’indien. Te retrouver face à lui, tu tentes de planter tes opales dans les siens, pour comprendre, pour trouver une quelconque explication à ce changement. Mais non, alors des mots, tu veux des mots pour expliquer le maux qui vient de se créer en toi, tu as parfaitement besoin de ça. La patience qui s’effile entre tes doigts comme le font les grains de sable dans un sablier. « Non elles ne sont pas telles qu’elles doivent être putain ! » Tu en perds ton langage, le calme olympien d’Atlas te end encore plus chèvre, des envies de meurtre, tu peux le tuer, oui tu le peux. Pas de suite, tu veux une réponse, maintenant. Tu demandes pas la lune, car tu le sais ce n’est pas possible, juste des explications et ça c’est clairement faisable, vu qu’il a pris une décision et on a toujours des raisons de le faire. Alors, tu attends. Prête à mordre tous les autres qui ont décidé que pour le coup vous serez le petit coup de théâtre de leur journée. Comme si d’un regard entre eux, ils prenaient un pari sur qui aura le dernier mot. Ils le savent bien que la furie blonde peut être mignonne à souhait, mais qu’elle est aussi dingue qu’un bouledogue enragé. Et encore le bouledogue est plus patient. « Tu es sûr de vouloir dire qu’il n’y aucune raison pour s’énerver, t’en vois même pas une ? » Tu le dis calmement, mais avec un ton si piquant que tu réveillerais clairement un mort en ce moment précis. « Oh Atlas, tu as pris des médocs ? Tu n’es plus capable de t’occuper de l’écurie, je peux toujours le dire à ton père, il le fera bien mieux …. Mais tu n’as pas envie de ça, crois-moi ! » Ouai, car en vrai là, t’es vraiment prête à tout, il te faudrait juste une putain de raison à ce changement, mais non, c’est du vent qu’on te donne, il ne te dit rien qui ne peux calmer le feu qui brûle actuellement en toi, un brasier que lui-même à allumer. Finalement tu as une explication. « De mauvais chrono … » Tu ris, même si la tu ris plus jaune qu’autre chose, forcément, car tu as les meilleurs chronos possible, alors tu ne comprends pas. José de meilleur temps que toi ? Possible et là c’est toi qui prend un coup, tu reste silencieuse, c’est comme une confiance qui se casse en toi, mais putain réagit Jiji. Princesse on se réveille t’es la reine de la piste. Tu les vois tous ricaner, et tu devrais te laisser abattre ? Non. Pourtant il te fout un coup et tu ris à ton tour. « Tu seras jamais un père pour moi, un père ça croit en ses gosses … tu ne mérites pas d’avoir de gosse. » tu l’as oublié là qu’il était sans doute mal, tu t’en tapes, il t’a blessé, il t’aura, mais tu l’auras aussi. Coup pour coup. Tu prends une décision, là de suite. Prenant aucune précaution, peu importe. Tu vas trop vite, bien trop vite pour que ça réagisse, prenant une voiture et les clefs. Puis sans protection. Mais tu vois si rouge, que rien ne pourrait te calmer. « Tu vas voir je vais être la meilleure ! » Tu fais chanter le moteur très vite, puis tu ne fais rien attendant un signe d’Atlas, mais tu as bien peur que tu n’auras pas ce que tu désires et ça te tue.
 
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Mer 12 Déc - 21:12


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Peut-être que dans le fond de toi-même c’est ta raison qui a vraiment parlé. Pas celle aveuglé par la peur et la douleur. Non, celle qui se cache de tous ces ténèbres, celle qui pense que tu peux t’en sortir si encore tu t’en donnais un peu la peine. Peut-être bien que c’est elle qui t’as poussais à faire une telle connerie. Car ce n’était là que ça, pas d’autre mots pour qualifier ce que tu venais de faire à l’un des meilleurs éléments de l’écurie. A celle que tu considérais presque comme une petite sœur, une fille même. Ta fille de cœur. Pourtant quel père ferait une telle saloperie à son enfant. Toi. Le toi blessé, le toi effrayé de perdre quelqu’un d’autre. Le toi qui avais tout simplement besoin d’être réveillé, secoué. Alors, peut-être que tu n’avais agi là que par le bais d’un instant inconscient qui tentais de prendre le dessus sur toi-même. Sur ta putain de connerie qui semblait avoir prit possession de ton corps. De ton foutu cerveau grillé par la douleur. Tu te sentais aussi coupable que soulagé de faire ça. L’envie de la protégé que tu ne pouvais réprimer mais ce sentiment certain qu’elle ne te le perdrait pas ne tardas pas à reprendre le dessus sur tout le reste. La tornade blonde qui avait déboulé pour demander son reste comme tu aurais pu le pensé, le croire… Elle balaya d’un revers de la main à coup de réplique cinglante que tu avais bien mérité et que tu prenais sur toi comme si cela ne t’atteignait pas. Comme si les mots sortant de la bouche de la jeune femme ne te faisais pas office d’un bon coup de poing au ceux de l’estomac. Tu tentais de garder la face dans ta connerie. Dans ces airs de patron sans aucune considération qui ne te ressemblerais pas. Tu enfilais presque les chaussures de ton frère et tu te détestais un peu plus pour ça. Pourtant, tu étais capable d’endure un peu plus d’haine de ta part et de la sienne si cela l’éviter de risquer sa vie plus que nécessaire. La garder en vie semblait être le seul but que tu t’étais trouver à poursuivre ces derniers temps. Tu en devenais ridicule. Fou tu pourrais dire même. Tu lui servais des arguments tirer par les cheveux tendant de justifier l’injustifiable et comme tu aurais pu le prévoir elle n’achetait rien de ce que tu lui servais. Elle piqué la belle à s’en foutre du spectacle qu’elle offrait aux autres employés présent sur le bas du circuit. Stoïque que tu restes alors que tu en prend pour ton grade alors que ta non réaction ne semble que nourrir un peu plus la colère noire de Jihane. Se serait pourtant simple de revenir au programme d’origine et pourtant tu préfères jouer l’autruche à t’es risqué péril. Jouer l’autruche que tu allais perdre. Que tu avais perdue d’avance car, tout simplement, ta décision n’avait aucun fondement. Tu l’as regardé les bras croisé sur ta poitrine sans en placé une. La tête qui se ose et secoue à intervalle régulier et tu l’as laisse partir dans son monologue assassin. Son monologue qui finit par t’achever. Littéralement. Paroles incontrôlé et voilà que tu récolte ce que tu as semé. Douleurs qui te prend en plein cœur et te l’arraches alors que la colère finit par monter en toi. La rage de la souffrance qu’elle vient de t’infliger et tout cela, par ta faute. Encore et toujours ta faute. Non, dans tout cela ce n’est même pas le chantage qu’elle te fait sur le dos de ton père, non, c’est cette dernière remarque qui termine de faire vaciller le monde déjà que trop fragile dans lequel tu tentais de te cacher depuis des mois maintenant. Le regard noir, fou, qui se poser vers tout ce monde qui vous observe comme s’il n’avait rien d’autre à foutre « DEGAGEZ !!! TOUS… DEGAGEZ !! » Que tu lance d’une voix forte, menaçante, de celle dont on ne conteste pas les ordres. Ton regard qui se pose sur une Jihane qui c’est vicieusement échappé vers la voiture prête sur le circuit prêt à te prouver ce qu’elle n’as pas à faire. Deux enjambé pour t’approcher paralysé par la peur de la voir s’élancer dans l’état dans lequel elle est. De se tuer par ta faute. Toujours et encore de ta faute. « Tu fou quoi Jihane ?! Descend de là tu n’as rien à prouver à personne putain !! Descend, m’oblige pas à t’en sortir de force !!! » que tu lance perdant ton sang-froid alors qu’elle fait chanter le moteur et que sa décision semble être prise, tu le lie dans son regard qui a pris un coup à sa fierté. Tu l’as blessé et sa réaction tu n’as qu’à t’en prendre qu’à toi-même. Elle avait raison tu ne méritais pas d’avoir de gosse, pas avec comment tu réagissais avec elle. « Balance ce que tu veux  mon père si ça te chante j’en ai plus rien à foutre mai, descend de cette putain de voiture. Merde Jihane !! » Vulgarité qui s’emporte dans ta colère alors que définitivement, tu ne te reconnais plus !!   
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Sam 29 Déc - 17:23


Atlas & Jihane.
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Tu ne pensais pouvoir être aussi remontée après Atlas. C’est comme un frère pour toi, voire un père, pas assez vieux certes, mais bref. Tu pensais pas non plus qu’il serait capable de couper tes ailes ainsi, qu’il serait capable de te laisser de côté d’une telle façon, tu ne parvenais pas du tout à comprendre comment tu devais agir. Il était dur et sur dans ses mots, comme si rien que tu pourrais dire ou faire ne le ferait plier. Comme-ci ta vie n’était pas d’une grande valeur sauf s’il avait décidé. Tu ne comprenais pas. Et quand tu t’énerves, les nerfs craquent au fur et à mesure, tu ne parviens pas à retenir tes mots, tes actes, oubliant que la personne face à toi, tu l’aimes, tu l’apprécies grandement. Tu ne laisses plus ton cœur penser, tu as tellement été bafouée dans ce monde, qu’il est hors de question que tu laisses encore faire. Que la jolie petite blonde que tu es laisse les choses se faire, laissant ton âme prendre des coups par dizaine tout en finissant par tendre l’autre joue. La rage qui prend à la gorge, qui te pousse dans des retranchements que tu ne pensais pas ressentir à cause de lui. Mais c’est le cas. Te faudrait, une bonne paire de claque pour te calmer, t’adoucir. C’est pas les hormones féminines qui te font virevolter toi, mais les injustices, ce monde de gars qui ne cesse de te rendre mal à l’aise, tu essayes pourtant de t’accrocher, de ne pas perdre la foi en ce monde. Mais c’est sans doute déjà le cas. Bien trop de chose dans ta pauvre petite tête blonde, tu es à mal et tu ne sais pas trop comment agir face à tout cela, tu as besoin de laisser tout ça couler, tu le fais. Peut-être que ça se mélange avec la peur des résultats, la peur de savoir qu’une fin est proche, t’aimerais mieux mourir en faisant ce que tu aimes que comme ta mère. Mal, si mal qu’elle peinait à sourire, à trouver la force de faire un petit rictus. Tout se mélange en toi, puis t’es dans cette voiture, après les cris de Atlas, après qu’il ait demandé à ces abrutis pensant être mieux que toi de partir, tu ne sais plus trop si tu as su faire confiance à la mauvaise personne ou bien s’il a raison, pour toi il a tort, tu es douée, beaucoup trop pour qu’on te mette dans une cave dans l’écurie, tu dois avoir ta place sur la piste, tu te fiches de la richesse, tu te fiches du reste, tu ne veux qu’une chose te sentir en vie et c’est les chevaux des voitures qui te donnent cette impression de ne pas être morte en même temps que ta mère. Personne ne sait tout ça, car toi tu confies, rien, tu restes muette, prenant les coups, pliant l’échine avant de reprendre le pouvoir par tous les moyens possible. Les larmes qui se mélangent à cette haine que tu ressens, qui se mélange avec l’amour que tu pouvais ou peux porter à cet homme qui t’inspirait la confiance et la droiture. Mais tout venait de lui échapper apparemment. « Tu crois vraiment que t’as droit de me toucher ? » Des menaces, la haine qui ne fait que s’agrandir, laissant ton cœur et ton âme succomber à la douleur de cette sensation, tu ne peux plus lutter, tu ne cherches plus à être raisonnable, c’est trop tard. Ton pied qui joue avec la pédale, le moteur qui chante, alors que tu ne cesses de voir de plus en plus rouge, la rage ne faisant plus qu’un avec ton être. Tu n’es plus capable d’être calme, tu as promis de ne plus jamais te laisser faire par un homme, comme tu as pu laisser Gabriel s’en tirer, et tu t’en veux à la fois de penser à lui comme exemple. Tu glisses dans l’obscurité de ton âme, alors qu’il s’écrit que tu peux tout dire à son père, tu commences à comprendre que toi aussi tu n’as plus qu’une personne à convaincre lui. Tu te fiches de son père, tu veux qu’Atlas te laisse piloter, comme prévu. Alors, tu joues toujours avec le moteur faisant rugir tel une bête furieuse le moteur. « Non, je ne sortirais pas de là ! » Les opales qui le confrontent une dernière fois avant de laisser la pédale de frein sans contrôle, laissant juste ton pied sur l’accélérateur, très vite tu es lancée à deux cents kilomètre heure, tu continues d’augmenter la puissance, manquant parfois de prendre des risques plus que nécessaire... Deux tours effectués à une vitesse folle tu freines, sentant la puissance te malmener, sentant ta tête frôler le parebrise, la ceinture serrant ta cage thoracique, tu ne veux plus voir le danger , car c’est ce que tu veux, combattre les aprioris et comment le faire s’il on ne te laisse pas faire ? « Tu as pris le temps ? » Que tu lances le’ souffle encore coupé la douleur plus persistante que jamais. Puis le moteur rugissant encore.

 
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Mar 8 Jan - 0:19


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Tu as joué le connard égoïste par simple peur de perdre une personne à qui tu tenais. Tu jouer le gars détaché, celui qui limité les contacts avec sa propre famille par peur de souffrir, par peur de les perdre eux aussi. Voilà, que t’imposer dans la vie de Jihane que tu considérais comme quelqu’un de ta famille, comme une petite sœur. Voilà que tu t’imposé sans aucune légitimité comme un putain de con. Tout ça pour toi. Tout ça car tu ne supportais pas une autre once de culpabilité jeté sur ton être déjà bien trop meurtri par la douleur. Tu n’avais pas tapé sur la bonne personne pour dire amen à ton autorité. Jihane était bien celle qui pouvait tout envoyer valsé d’un revers de la main, car elle l’avait décidé. Tu n’avais aucune excuse, aucun droit. Aucun argument non plus alors que tu clamer le contraire. Tu l’avais juste fait pour toi. Pour la protéger alors qu’elle n’en avait pas besoin de ta protection. Elle n’en voulait pas non plus. Tu venais de perdre tout le respect qu’elle pouvait avoir pour toi et elle te le faisait sentir de ces mots qui claquèrent ton être. Un genou à terre ces paroles ou le reflet de la réalité. Elle t’avait déchiré le reste de ton cœur et tu l’avais cherché. On ne récole que ce que l’on sème il n’y avait rien de plus vraie en cette instant. Tes coup de gueule n’y changerais rien tu l’avais compris à la minute où elle avait débarqué telle une furie pour tout détruire sur son passage. Elle, elle avait tous les droits de le faire. Tu avais été idiot de croire qu’elle s’en arrêterait là, qu’elle t’écouterait. Stupide de pensé qu’elle ne voudrait pas te faire entendre raison. Tu l’avais sous-estimé là où tu l’as connais pourtant par cœur. Là où tu savais combien elle avait sacrifié pour en arriver ou elle en était aujourd’hui. Tu te rendais compte de ce que tu lui avais retiré juste en changeant le planning de la prochaine course. C’était ça qu’elle te faisait regretter et pourtant, la tête aussi dure que la sienne tu ne pouvais changer d’avis. Tu ne pouvais risquer sa vie. Pas elle. Pas la sienne. On t’avait déjà bien trop pris. Tu aurais dû anticiper, savoir qu’elle te provoquait de la sorte. Savoir que pour toi, c’était perdu d’avance. Tu tentes en vain de la retenir alors que ces mots toujours ce même regard te fait baisser les armes et tu laisses tout. Tout sur la piste alors que tu l’as voie impuissant se lancer sans sécurité et à vive allure sur le circuit. « PUTAIN FAIT CHIER JIHANE !!! » que tu hurles plus pour toi que pour elle qui étais déjà bien loin. L’espace d’un instant tu aurais été prêt à la suivre, la stopper puis l’image du foutu accident qui t’as tout prit qui te reviens. Qui te frappes. Qui te prend aux tripes à t’en faire vomir. Coup de pieds violent et tu envoies valsé une caisse à outils laissé là, la rage au ventre. Contre toi. Contre elle. La seule pensé qui te viens c’est qu’elle va se tuer et par ta faute. Toujours de ta faute. Putain de semeur de mort. T’es un foutu poison. Les poings qui se serres tu es prêt à rappeler l’un des pilotes pour qu’il ailes l’arrêter, prêt au pire pour qu’elle comprenne mais, tu as trop peur qu’elle se foute en l’air. Paralyser quand elle finit sa courses folles de deux tour qui t’on parut duré une éternité mais qui non duré pas plus d’une minutes trente. Elle était douée l’imprudente et c’était ça qu’elle voulait t’entendre dire mais, ça, tu ne l’avais jamais niais. Tua vais juste bafouer son droit de courir pour te rassurer. Tu l’as regard la colère jusqu’au bord des yeux « Putain Jihane, tu es inconscientes ou quoi !! Sort de cette voiture !!! Tu veux que je te vire c’est ça… qu’es ce que tu veux putain !!! Tu veux te tuer c’est ça !!! » Ton cœur qui parles. Ce n’est pas le patron qui parle non, c’est l’homme attaché à une gamine qui l’a pris sous son aile. C’est l’homme brisé. Tu t’approches de la voiture dont le moteur chauffe toujours pour t’approcher, pour plonger ton regard noir d’inquiétude dans le siens. « Jihane ne me le fait pas répété, sors de là… s’il te plaît ! » que tu ajoutes bien trop impliqué. Dieu que tu tenais à cette gamine et elle ne semblait pas comprendre que tu faisais ça aussi pour elle. De la pire des manières mais, tu pensais la protéger toi. T’étais trop aveuglé par la souffrance pour te rendre compte que ce que tu faisais n’avais rien de bon. Que la jeune femme n’en démordrait pas et que tu avais perdue d’avance.  
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Lun 4 Fév - 17:36


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Tu ne parvenais pas à te calmer, comme ci le respect que tu pouvais avoir pour Atlas venait d’être brisé par ses mots, bêtement. Tout ça n’aurait jamais du arriver et tu n’en doutes pas. Tu n’as pas envie de te prendre la tête, mais tu n’as pas non plus envie de lâcher l’affaire, lâcher cette maudite course, qui est bien plus pour toi, c’est encore une raison pour toi de haïr les hommes de ce maudit endroit. De maudire tous ceux qui se permettent de te lancer des remarques sexistes, comme là tu les imagines déjà se dire que tu avais tes règles, choses qui te révoltent, alors que personne n’a rien dit sauf lui : atlas. Celui auquel tu ne pensais jamais à avoir lancé ce genre de pierre. Pourquoi tu faisais –t-il cela ? Tu ne parviens pas du tout à comprendre et dans le fond tu as beau écouter ses mots, ça ne t’aide pas à comprendre. Alors, t’as lâché le mode furie, t’es lancée à vive allure sur le circuit. Tu veux prouver que putain tu es douée, depuis quand il doute de cela ? Tu te le demande bien pour le coup, alors tu essayes de ne pas perdre le contrôle, même si dans le fond, tu l’as un peu fait. La vitesse est ton adrénaline, ta drogue, le besoin qu’on reconnaisse ton talent est une chose qui te tien au cœur, engourdissant l’organe si précieux à ta vie. L’envie de tout foutre en l’air, quand on coupe tes fines ailes, t’as jamais rien fait de mal, mais le sort, ce putain de destin qui ne cesse de te foutre de la merde dans ta vie, la maladie, puis ces hommes qui ne cessent de vouloir te stopper. T’attacher, peut être bien pour ne pas à avoir peur pour toi, mais toi tu ne veux pas de protection, qu’on vibre de peur pur toi, sauf si la personne le fait pour tout le monde. Tu ne veux pas de différence, tu veux être l’égal des hommes, mais cela à l’air si complexe à comprendre pour ces derniers. Alors, tu vas te battre même si pour cela te faut te mettre dans un état pas possible, te foutre en danger encore et encore, car tu le feras. Ton pied qui écrase le frein, tu te stoppes juste devant Atlas, le sourire arrogant accroché à ton joli minois, tu ne veux pas le laisser de marbre toi aussi tu veux lui rendre la monnaie de son putain de choix. Tu vois le feu dans ses opales et tu ne frémis pas, pourtant tu le sens ton abruti de cœur vibrer commençant à songer à sa femme, à lui qu’il a perdu. Mais non. Tu ne peux pas t’apitoyer sur lui, pas avec un tel affront. « Mais je t’en prie vire moi ! Romps mon contrat et j’irais courir ailleurs, mais au moins je pourrais courir ! » Tu râles et t’es pas prête à laisser Atlas avoir le dernier mot, tu ne veux qu’une chose qu’on te rende ton droit de courir, ce droit que tu as durement gagné. « Pas temps que j’aurais une réponse favorable ou bien une putain d’explication à ce choix de merde que tu as fait ! » T’as le regard qui se glisse dans ses opales, la voix qui n’a aucune pitié, le pied qui joue avec la pédale d’accélération qui fait rugir le moteur. « Tu le sais je n’ai pas été aussi vite que je le pouvais, mais je le ferais pour te prouver que j’ai autant ma place que les gars ! » T’as tout ton être qui tremble. « Ne brise pas mon rêve ! » Tu serais presque en train de le supplier, tu ne veux pas qu’il t’empêche de t’envoler, tu ne veux qu’une chose la liberté, voilà tout. « COMMENT TU PEUX FAIRE ÇA PUTAIN ! » Tu ne cesses de chercher à comprendre en hurlant, laissant cette peine envelopper un peu plus ton cœur. Pourquoi brisait-il ton être, tes rêves. « Tu sais ce que cela représente pour moi … » Tu le regardes, il est silencieux, alors que toi tu ne vas pas abandonner. « À dans deux tours ! » sur tes mots tu t’envoles à nouveau, le cœur de prouver ce que tu dis, te mettant en danger, mais tu t’en fiches, tellement. Tu n’as pas la combinaison, pas le casque qu’il faut quand on court, car tu ne veux que prouver que t’es la meilleure et que tu n’as pas réfléchi, pour le coup, tu le laisses réfléchir sur le bas-côté de la piste, qu’il te redonne ta place !

 
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Message Sujet: Re: never crush a woman |Atlas ♥    never crush a woman |Atlas ♥  Empty Mer 20 Fév - 13:41


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Tu étais pris par cette sensation bien plus forte que toi. C’était comme une voix dans ta tête qui te poussait à agir comme un connard finit juste pour servir tes propres intérêts au final. Tu ne cessais pas de te donner des excuses mais, la vérité c’était que tu étais paralysé par une putain de peur. La peur de détruire quelqu’un d’autre. La peur de perdre quelqu’un d’autre. C’était qu’un fichu poison que de s’attacher aux gens. Que de laisser entrer du monde dans votre cœur. Il fallait dire qu’elle y était bien ancrée la petite Jihane. Tu l’avais prise sous ton aile dès ses tous premiers jours chez les McLaren. Toucher en plein cœur par sa rage de réussir et sa détermination. Elle vait su venir te chercher du haut de son sal caractère et il fallait dire que du talent elle en avait. A revendre. Tu te sentais lâche de lui ôter ce qui lui revenait de droit de la sorte mais, tu ne pouvais pas t’y résoudre autrement. Tu t’étais trop attacher. La seule image qui guider chacune de tes décisions était pourrie par le propre drame de ta vie.  Comme si tu venais tout juste de te réveiller en te rendant compte que ce que tu as fait toute ta vie était dangereux. Comme si tu avais oublié ce pour quoi tu respirais avant tout ça. Tu te laissais mourir à petit feu sous prétexte que la mort attendait au bout. T’étais qu’un putain d’égoïste et ça, la blonde ne l’acceptait pas. Elle n’était pas comme tous les autres qui se résignaient sous prétexte que tu étais le boss. Tu l’as retrouvais là, la Jihane mais, vous vous étiez enfermer dans un fichue dialogue de sourd. Tu ne pouvais pas te résoudre. Pas revenir en arrière. Tu ne voulais pas risquais de la perdre elle aussi. Tu ne voulais pas être rongé d’autant plus par la culpabilité. T’étais même prêt à ce qu’elle te haïsse si cela signifiait la sauver en retour. Un vrai con. Tu ne te reconnaissais même pas mais, tu continues de camper sur tes positions inconscientes que tu es. Tu te laisses happer par la tornade Jihane qui noyer sous la rage prend le volent. Tu l’as mets encore plus en danger avec tes conneries mais, lui donner raison reviendrais à te mettre à nu. Ca tu n’étais pas prêt à le faire. « …et repartir de zéro dans une nouvelle écurie !! Refaire des marques !! » Que tu lances comme si tu n’avais pas assez jeté d’huile sur le feu. Comme si elle n’y arriverait pas. T’étais horrible avec elle et tu t’en voulais. Tu t’en voulais vraiment mais, tu ne semblais pas pouvoir revenir en arrière. Le mal était fait de toute manière. « Mon choix de merde comme tu dis-je le fait pour toi !! » mensonge que tu lui sors. Tu le faisais pour toi, pas pour elle. Tu ne le faisais même pas pour l’écurie alors que tu savais qu’aligner Jihane sur la ligne de départ c’était assurer un classement mais, t’en avais plus rien à faire toi. Tu voulais la préservé. La protéger alors qu’elle n’en avait même pas besoin. « Ne me fait pas dire ce que je n’ai pas dit Jihane !! Tu as autant ta place qu’eux, t’es juste pas prête pour cette course !! C’est tout !! » Qu’es ce que tu n’as pas dit. Tu l’as voie sa colère dans qui brule dans ces yeux. Elle pourrait te tuer de sa rage. Tu l’as prend la violence de ces mots et de tout le reste de toute manière tu n’as que ça à faire. Bien sûr qu’elle est prête, c’est toi qui ne l’étais pas. Elle hurle et dieu sait qu’elle en a le droit. Dieu sais que tu l’as cherché la déception de toi que tu lies dans son regard. Il te fait mal son regard mais, tu restes inerte. Impuissant presque alors que c’est toi qui a toutes les cartes en mains mais, putain, pourquoi tu ne peux pas te résoudre à lui donner ce qu’elle veut ?!... Tu sais qu’elle chercherait à l’obtenir, tu sais que c’est toi qui plieras le premier sous la pression de la peur qui s’agite en toi. La même qui reprend ces droit quand tu la regardes de nouveau s’élancer à vive allure et sans protection sur le circuit. Toi, t’es comme un con sur le côté prêt à lui dire amen. Tu pries pour qu’elle arrive en un morceau mais, tu les voies les risques qu’elle prend. Tu le voies son virage un peu trop serré et son dérapage pas assez contrôlé. Le pilote que tu es l’as voie arriver la catastrophe et tu t’en demande même si ce n’est pas ça qu’elle recherche. Si tout n’es pas calculé dans sa tête. Toi, tu es au bord de la crise de nerf. De panique. Le souffle coupé accroché au chrono elle a gagné de toute manière tu rends les armes.
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