take a breath, enjoy your new life ☆ ft.bonnie

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{ take a breath, enjoy your new life }
crédit/ tumblr ✰ w/@bonnie weaver

Tu es cette fleur au cœur fanée. Elle est belle la fleur, elle est pimpante et donne envie comme les première couleurs du printemps. Mais elle n’est qu’illusion la fleur. Un mirage pour cacher les maux des pétales qui tombe pour heurter violemment le sol. Elle se meurt la fleur. Tu l’accepte cette condition, tu l’embrase à bras le corps même. Tu prends cette douleur au creux de tes bras et tu l’écrase. Tu l’étouffes. Tu ne fais qu’un avec elle alors que tu ne fais que retardé le jour où elle t’implosera en plein visage. L’hiver approche et les fleurs se meurent. Toi, en attendant, tu souries. Ah oui, tu souries à pleine dent. Tu rigoles aussi avec ces nouveaux amis que tu t’es fait. Ami bien grand mot.  Tu n’en as que trop peu, alors que tu as passé le plus claire de ton temps à bouger de port en port pour agrandir un business au seins duquel on ne veut même pas de toi. Tu te contentes de ce sentiment d’importance qu’ils t’offrent. Tu as toujours eu cette facilité à te mouvoir en société, à te faire une place en partant de rien. Ce don naturel de te faire apprécier, aimé. L’arrivé il y a quelques mois dans une nouvelle fac n’avait pas changé les choses. Aussi vite arrivé, aussi vite accueilli comme si tu étais là depuis toujours. Devenue le centre de gravité de beaucoup dans le petit groupe d’étudiant en médecine. Tu restais toi, la nana naturelle qui vie l’instant. Tu gardais ce masque et cette carapace forgé aux grés des années. Tu l’aimais ce masque, tu l’avais apprivoisé et les gens n’y voyais que tu feu. Alors, tu t’enfonces dans ton propre mensonge. Un peu plus chaque jour. Ton seul exutoire où l’importance que te donne les gens. Tu te nourries de ces moments comme un vampire se nourrirait de sang. Là posé sur votre banc, votre petit coin d’herbe où l’endroit des troisièmes années après les cours. Endroit pour décompresser de l’ennuie des amphis. Sa fument, sa bois… sa oublient ces problèmes qui n’en sont pas. Sa flirtent aussi. Tu aimes ça plaire, charmer… en apparence tu aimes ça. Une joyeuse bande d’étudiant qui a besoin de relâcher la pression d’études qui demande beaucoup. Joyeuse bande d’une quinzaine d’étudiants qui partages tout est rien le temps d’un instant. Enfin quatorze te dis-tu ne voyant pas le jolie petit minois de l’autre métisse de ton groupe. Trois mois que tu es là et trois mois que tu ne l’as voie qu’au court. « Elle ne se mélanges pas… trop peur qu’on contamine ces bonnes notes ! » Avait lancé l’un des abrutis du lot pourtant tu avais ri. Les rats de bibliothèque tu ne les comprenais pas, tu ne les fréquentais pas non plus. On a qu’une vie et ils passent leur temps à tout faire sauf vivre. Qui sais peut-être qu’elle se réveillerait un jour puis après tout qu’es ce que ça pourrais te faire…

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Tu aimais l’atmosphère léger qui t’entourer comme une brise légère d’une matinée estivale. Tu aimais les sourire que l’on te portait et les regards approbateurs que l’on chercher à avoir en te regardant. Tu aimais cette sensation d’importance que l’on t’offrait sans que tu n’aies rien à faire. Etre toi ou la seule chose que tu faisais. Etre le toi que tu servais au gens. Le toi souriant, solaire, charmeur. C’était facile ou tout du moins en apparence. L’ombre de tes maux n’était jamais loin. Ton cœur souvent bien trop proche de la noyade tu finissais toujours par te raccrocher à un rien. Un doux compliment, une invitation maladroite à un rencard ou même aux regards jaloux que certaines pouvaient te lancer. Tu te nourrissais de ce sentiment d’importance. C’était mauvais, c’était malsain mais le seul moyen que tu avais trouvé de te raccroché à la beauté de la vie. Comme te raccroché à cette soirée que vous étiez en train de prévoir pour le vendredi soir à venir. Voilà ce qu’il te fallait. Faire la fête, oublier, vivre. Tu ne tardes pas à dire que tu es partante mais te voilà couper par un hey timide. Les regards ne tarde pas à se tourner vers la source de la voix peux assurer. Surprise générale de découvrir les beaux yeux de la métisses dont certains se moquer il y a encore quelque minute de cela. Ton regard se tourne aussi. Il se pose dans les yeux de la jeune femme peu rassuré qui tente une approche qui t’arraches malgré toi un rire. La pauvre viens-tu à penser. Tu oses un sourcil en jouant le regard du tennis entre tes tennis blanc et la métisse. « Euh… merci ! » Lances-tu ne sachant pas trop que dire de plus. Tu ne dis pas grand-chose mais certains ne se gêne pas à y aller de leur réplique désobligeante. Léger regard mauvais de ta part, tu as passé l’âge de ce genre de réplique mauvaise même si à une époque tu y prenais part. Puis quelques choses t’intriguée chez la jeune femme qui te faisait face. Double surprise quand elle osa prendre son courage à demain pour te demander. Tu te lanças un quoi intérieur alors que tous les regards se braquèrent d’elle a toi en une fraction de seconde. Ce n’était pas un secret que tu fournissais certains trucs comme elle disait, mais à tes amis en soirée et si ça se savaient pas ton frère tu finirais en exil.  « Ton frère ?!... Des trucs ?! » Oui tu faisais celles qui comprenait pas tout en te levant du banc et en attrapant ton sac « Je dois y aller, on se voit demain ! » Lances-tu au groupe en te tournant vers Bonnie « Viens avec moi !! » Dis-tu en lui souriant chaleureusement pour la détendre. Tu de doutais qu’elle avait besoin d’autre chose que de se donner en spectacle devant toute une bande qui passait son temps à se moquer d’elle. T’éloignant un peu, marchant pendant quelques dans un silence pesant tu finis par te tournée vers la belle avec un air faussement sérieux. « Qui t’as dit que j’avais des trucs ?! Tu entends quoi par trucs d’ailleurs ?! » Ajoutes-tu car après tout trucs c’était vague.

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Tu l’as trouvé amusante à sa manière  sous son joli minois peu assuré. Pas d’une manière mesquine et moqueuse comme les autres s’évertué à montrer du doigt mais plutôt d’une façon presque admirative. Tu décelais un peu de toi dans le fin fond de ces prunelles chocolat. Tu admirais son courage aussi d’une certaine manière si tu avais été à sa place, jamais tu ne te serais exposé de la sorte. Tu voyais bien que cela lui demandais beaucoup, la pauvre au bord de la crise de panique si elle aurait pu s’enfoncer dans le sol pour s’y cacher elle l’aurait probablement fait sans aucune hésitation. Surement qu’une petite voix en elle l’a poussé à rester sur ces deux pieds et lui donner la force d’aligner les quelques mots qu’elle osé sortir. Elle parla de son frère et les autres se mirent à rigoler comme si ils l’a prenaient encore moins au sérieux. Sur ces paroles que tu décidas de lever le camp. La jolie métisse avait étais assez humiliée comme ça. L’invitant à venir, vous vous éloignèrent en silence du petit groupe autant pour elle que pour toi. Minutes d’un silence un peu pesant, tu n’aimais pas le silence. C’était lourd, froid et tellement impersonnel… pour toi qui te nourrissais de chaleur c’était presque intenable. Alors, tu le brisas… tournée vers Bonnie lui demandant gentiment des comptes. Tu te voulais chaleureuse loin de toi l’idée de l’effrayer de la faire fuir. Tu te protégeais toi si cela commençait à se savoir que tu fournissais des petits extra aux soirées étudiantes, ton frère aller finir par te tomber dessus et c’était bien la dernière chose que tu souhaitais. Tu ne dis rien et tu l’écoutes ton regard rivé dans les yeux de ton homonymes. Tu retiens ton rire quand elle se lance dans son explication et son envie. Sa maladresse en est presque attachante. Elle n’y connaît rien ça se voit si ce n’est ce qu’elle a pu trouver dans des bouquins ou à dans des séries Netflix. Encore une fana de Narcos. Quand elle a fini tu l’as regardé un instante sans rien dire avant de lâcher un sourire. « C’est mignon comme t’y connais rien ! » Lances-tu en relâchant tes bras et en montrant une attitude bien plus ouverte qu’il y a deux minutes de cela « Je ne moque pas ne t’inquiètes pas c’est juste que les amis de ton frère ne sont pas bien averti… enfin je veux dire par là qui donne des conseils de fournisseurs à quelqu’un qui n’a jamais toucher à la drogue !! » Une main que tu passes dans ta crinière avant de glisser ton bras sous le siens et de reprendre le petit sentier en marchant « Déjà oublie les trucs qui se pique c’est pour les détraqué et ce qui n’ont rien à se mettre sous la dent qui plus es t’as pas envie de griller tes neurones ! T’es intelligentes ! » Tu lui tape délicatement le haut du front en souriant « Ensuite les pilules c’est bien quand t’es en soirée et que tu es dans l’ambiance sinon ça sert à rien et puis pour la fumette... ouais ta raison si tu ne veux pas que ça se saches car niveau odeur sa s’incruste ! » Tu rigoles pour essayer de détendre un peu la belle à ton bras « Mais si tu veux te détendre hein ?!... Je rigole t’en fait pas ma belle, mais dis-moi… ce n’est pas ton genre enfin du peu que j’ai vue ça ne te ressemble pas ! » Arrivés près d’un banc tu vas t’asseoir et invite Bonnie à te rejoindre « Puis entre nous si tu veux un conseil il y a mieux que la drogue pour s’amuser !! » Petit clin d’œil charmeur, tu te demandes ce que la belle peu bien avoir derrière la tête.

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Tu parlais, peut-être un peu trop mais tu étais toi. C’était ta personnalité, comblé les blanc. C’était toi d’en dire toujours trop. C’était toi la souriante, la solaire… Tu ne savais pas trop comment Bonnie qui semblait si calme et réservé aller accueillir la boule d’énergie que tu étais. Tu t’étais déjà laisser surprendre par sa requête qui ne lui ressemblait pas mais après tout tu ne l’as connaissais pas. Peut-être avait –elle ces soirées à côté bien que tu en doutais fortement. Tu voyais bien qu’elle se battait contre elle-même pour te demandais de quoi ambiancé sa vie. Toi, tu ne t’imaginais mettre entre ces mains des sentences que tu ne consommer même pas. Les fournies était une chose mais le reste… bah disons que tu tenais à ta vie et à ta santé et ton frère t’aurais tué ou enfermer. On peut dire que tu te laissas doublement surprendre par le ton agressif emprunté par la jeune femme qui te faisait face. Elle avait du répondant mais ce n’est pas comme ça qu’elle t’aurait dans la poche. Pourtant tu ne montas pas sur tes grands chevaux comme tu aurais pu le faire en temps normal. Allez savoir pourquoi ! Surement que tu voyais bien que se n’étais pas son intention, que cela lui demandais beaucoup de venir te parler et d’un sujet qui se voulait sensible pour qui plus est. « Hey détend toi… je te fais pas la morale, ce n’est pas mon but juste pour te dire que ce n’est pas à prendre à la légère… je sais de quoi je parle… puis je n’ai pas envie que tu te retrouves à l’hôpital à cause de ma marchandise ! » Lui-dis-tu toujours aussi détendue. Tu voulais la calmer la détendre mais elle n’avait pas l’air de l’être. Rien qu’à observer sa posture statique devant toi que ça te mettrait presque mal à l’aise. Toi d’un naturelle toujours détendue. Voilà qu’elle continue dans sa lancer entre excuse et proposition elle était vraiment prête à tout et tu en rigolas légèrement. « Vraiment détend toi Bonnie… je t’assure y a pas de quoi stresser ! En plus ton frère si ce n’est que de vue je le connais même pas, je m’en fiche en plus je ne voie pas pourquoi j’aurais peur sérieusement ! » Dis-tu en relevant tes jambes en tailleurs sur le banc « Puis j’ai encore moins besoin de toi pour les cours ou quoi que ce soit je m’en sort très bien toute seule !! Je ne suis pas les autres Bonnie ! » Tu te sens obligé de lui dire comme si tu avais cette impression qu’elle te prenait pour une personne que tu n’étais pas. « Tu attends quelqu’un que tu regardes comme ça partout… on est au calme ici t’en fait pas et je ne me trimbale pas avec des sachets sur moi comme ça ! » Tu veux la rassurer mais tu sors les rame pour le faire tant tu sens la panique en elle. « Non sérieux calme toi, tu me stresse vraiment… je ne vais pas de donner de l’exta comme ça si tu continues à gigoter sur place comme ça !! » Tu souries à demi en te levant du banc « Tu fais quoi vendredi soir ?! » Tu tentes une approche différente espérant qu’elle serait à même d’attraper la perche que tu lui tendais.

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Tu lui laisser à peine le temps dans placé une et tu espérais tout simplement la dissuader avec tes long monologue. Tu ne l’as connaissais pas mais comme un attachement étrange à elle te donner envie de ne pas l’enterrer sur ce chemin. Si elle voulait s’amuser, aucun problème, mais il y avait d’autre façon de le faire que se déchirer la gueule à coup de drogue. Petit non de la tête quand tu l’entendis très bien murmurer quelle ne finirais pas à l’hôpital. Beaucoup disais ça et beaucoup finissais à l’hosto avec un lavage d’estomac en prime. Tu ne voulais de ça pour elle. Elle avait l’air appréciable et semblait avoir beaucoup à offrir elle ne savait tout simplement pas sortir de sa propre tête. Il lui fallait un élan de confiance et tu voulais bien lui donner. Encore faudrait-il qu’elle attrape la perche que tu lui tendais. Encore aurait-il qu’elle comprenne et qu’elle arrête de s’enfoncer dans son rôle de nana qui voulait paraître ce qu’elle n’était pas. Tu voyais claire dans son jeu, pas compliqué derrière son regard peu assurer elle avait l’air tétanisé. « Ah oui ?!... et tu fais ça où ?! Je suis curieuse… » Lances-tu en penchant ton jolie minois sur le côté. Tu ne voulais pas la mettre mal à l’aise seulement lui faire comprendre qu’elle n’avait pas besoin de jouer un rôle avec toi. Pas besoin de tenter de ressembler à un idéal qui n’a rien de beau ou de gratifiant. Elle se suffisait à elle-même fallait juste qu’elle prenne confiance voilà tout. Vous échangez vos places alors que tu lui demande ce qu’elle fait en fin de semaine. Toi de bout, elle assises et son regard qui se porte sur toi. Tu souries alors que tu l’as voie réfléchir et finir par décliné à demi ton invitation. Mine déçue mais après tout si elle avait mieux à faire comme elle disait. « Ah… dommage ça aurait été sympa que tu viennes avec nous. J’ai réservé un coin VIP au Night-Club de mes parents… mais après tout si tu as mieux à faire !! Une prochaine fois peut-être !! » Dis-tu toujours se sourire ancré sur tes lèvres. « En ce qui concerne le restes c’est 23 dollar par pillule et si je t’en fournie hors de question que tu cries à tout le monde où tu te l’es procurer… je ne veux pas de problème ! » Ajoutes-tu, tu n’avais peur de personne, ni de la police, c’était de ton frère que tu craignais les conséquences. Le monde était petit et tout pouvait lui remonter aux oreilles très rapidement. « Puis je t’assures qu’il y a mieux que la drogue !! Commence par les alcools fort et les mecs ou les meufs si t’es gay, je ne sais pas… c’est tout aussi bien et ça attaques moins le cerveau !! » Tu rigoles légèrement  avant de te rasseoir à côté d’elle en soufflant lascivement plongeant ton regard dans l’immensité du ciel.