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| alcohol tastes better than tears (jolene) | |
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| Sujet: alcohol tastes better than tears (jolene) Dim 26 Sep - 16:52 |
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Ce sont les gouttes sur le toit qui ont raison du peu de concentration qu’il te reste. Tu lèves ton pif de tes papiers, ravi d’avoir une excuse pour te distraire un peu, pour quitter ton petit bureau et t’aventurer dans la grande salle du bar.
Qui dit pluie, dit clients qui se réfugient au sec. Et ça, c’est grave bon pour le business.
Tu fermes la porte derrière toi, la clope déjà au bord des lèvres. C’est pas la pluie qui va t’arrêter quand t’as envie de nicotine, toi. T’es un bon accro aux cigarettes et t’as pas spécialement l’envie d’apprendre à vivre sans. Tu traverses le bar d’un pas décidé jusqu’à passer la porte et t’appuyer contre le mur, à l'abri sous la devanture du bâtiment. Certains clients sont déjà en train de se précipiter à l’intérieur pour éviter la flotte et t’es pas du genre à les blâmer. Ta place à peine trouvée, t’allumes ta clope sans hésiter. Et tu profites.
Jusqu’à ce qu’une petite meuf attire ton regard. Elle s’avance vers le bar d’un pas décidé. Enfin. Aussi décidé qu’elle le peut vu son état d'ébriété avancé. Sourcil arqué, légèrement amusé, tu la regardes franchir les derniers pas qui la sépare de l’entrée. Tu vas devoir garder un œil sur elle. T’es pas du genre à pourrir le fun des gens, mais ya un truc qui te dit qu’elle se bourre pas la gueule juste pour s’amuser et t’as pas spécialement envie de devoir appeler les pompiers. No thanks.
T’écrases ton mégot dans le cendrier avant d’entrer à nouveau dans la grande pièce. T’es déjà en train de chercher la nana du regard quand tu croises celui de Mad. Lui aussi l’a remarqué - il commence décidément à bien se faire au boulot, ton pote.
Un simple hochement de tête et tu lui fais comprendre que tu t’en occupes. Tu viens poser ton cul d’une manière terriblement gracieuse sur la chaise de bar juste à côté de celui de la jeune femme. « Loin de moi l’idée de t’empêcher de consommer dans mon propre bar mais ça va, tu gères ? » La franchise au bout des lèvres, tu lui adresses un véritable sourire sincère tandis que tu t’appuies sur le comptoir sur ton bras gauche. |
| | | Jolene Weisz;
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charleen weiss. soeurdelune (av), siren charms (sn) vocivus (ic); amos (d. pienaar); thelma (c.keegan). 462 2042 25 organe désséché, peinturluré de rouge pour donner l'impression qu'il bat encore. faire des lignes, et des lignes, encore des lignes, et se les mettre dans le nez. la môme vagabonde entre l'hostilité des rues, se retrouve toujours dans des appartements inconnus à imprunter un lit.
| Sujet: Re: alcohol tastes better than tears (jolene) Dim 26 Sep - 19:07 |
| le cœur enfouit dans les flots, arraché à son point d'encrage, c'est la chimère qui se noie sous des larmes trop pâles et salées. (mort funeste qui suit jo dans son sillage) c'est le sang invisible qui s'écoule des plaies qui ne guérissent pas; l'acrimonie des sourires laissés pour éteints. fantomatique jo, l'errance à son paroxysme et le visage aussi terne qu'une revenante qu'on aurait arraché à un repos choisi. son être tout entier ne tient plus qu'au fil de ses songes, qu'au fil des décisions des érinyes qui la surveille de près. elle déambule jo, elle déambule dans les ruelles étroites, dans les rues plus grandes, dans celles qui ne peuvent que lui rappeler des souvenirs, déchirant sa chair, méprisant ses efforts, d'une violence qui soudainement, appuie furieusement sur le myocarde et l'embrase. (les sentiments brûlent et jolene, tu t'enflammes) alors, la liqueur s'est faite pansement, amie d'une nuit insomnie, de quoi calmer le deuil qui ne fait que l'abîmer un peu plus et dont jolene ne sait se défaire. elle avance la gamine, s'est perdue dans cette vaste nuit, nuit onyx couverte de nuages qui eux aussi, semblent errer sans but. les gouttes de pluie tombent, synchronisées avec l'eau salée qui dévale les joues et ronge la peau laiteuse. (foutue pluie) la chaleur réconfortante de l'alcool dans la trachée, l'insatiable soif d'illusoire et de mirages envoûtants qui s'est logée dans le crâne, elle marche toujours jo, les cheveux dégoulinants d'eau et le noir du mascara, lui, s'est logé sous les yeux, trahissant la peine qui dévore jo, encore plus ce soir. comme tous les soirs. mélodie incessante qui ne cesse d'égratigner les derniers espoirs, c'est pourtant, la vie qui renaît sous forme d'interdits. (phœnix mourant) la porte d'un bar est vite passée, elle ne contrôle plus r i e n, la gamine. elle s'est noyée, ce soir. rapidement. et les pas se font de moins en moins droits et de plus en plus dangereux. l'odeur de l'alcool qui colle à la peau, comme le diable l'avait prédit. assise sur une chaise, c'est les rétines qui divaguent, elle manque de s'abîmer la face contre celle du bar. pourtant, coincée dans cette lenteur qui lui est propre, c'est cet homme, qu'elle n'avait pourtant pas remarqué, qui vient à sa rencontre. je gère. la cigarette vite portée au lèvres, attendant un feu vert quelconque. je crois du moins. on peut fumer ici? il pleut trop dehors. le sourire se fait gêné, presque suppliant, mais discret. les effets embaumants de la liqueur se font trop ressentir. j'vais vous prendre un truc fort. peut importe le quel. elle se noircit jo, et ça se voit.
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| Sujet: Re: alcohol tastes better than tears (jolene) Lun 27 Sep - 16:20 |
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T’as pas connu ces chagrins là, toi. T’étais trop môme quand ta mère vous a quittés, trop môme pour véritablement comprendre ce qu’il venait de se passer. Depuis, tu t’es plus trop attaché. T’as jamais eu à boire pour oublier, à te noyer pour ne pas avoir à penser. Pourtant t’es assez observateur pour voir que c’est ce qu’elle cherche à faire, que l’alcool panse ses plaies - ou que du moins elle cherche ces effets. Ça te fait presque mal de devoir lui refuser de fumer, t’as envie de pouvoir lui dire oui, de lui offrir un petit truc sympa pour égayer un peu sa soirée. Mais t’as pas spécialement envie de finir avec une amende. « Nah, désolé. » Tu grimaces un peu, tout désolé. Comme si c’était ta faute que la loi soit ainsi. « J’aimerais bien fumer à l’intérieur aussi. » que t’ajoutes. Parce que t’aimerais bien, ouais. Mais tu le ferais pas - même si c’était pas un truc hors la loi. Tu penserais bien trop aux poumons des gens, de tes clients. « J’t’accompagne, s’tu veux. J’ferais le parapluie. » Tu lâches un p’tit rire - p’tit con qui s’amuse tout seul de sa propre connerie. « T’as l’air d’avoir besoin de compagnie. »
Ya les oreilles de Mad qui sont carrément tendues vers vous. Il fait mine d’essuyer des verres mais tu le connais assez pour savoir qu’il est attentif. « Hunter, le bisounours. » qu’il lâche et tu lui adresses un magnifique doigt d’honneur comme toute réponse. « T’as un problème, du con ? » que tu lui lâches, le sourire aux lèvres - une conversation qui laisse transparaître votre amitié, alors que Mad se met à rire, amusé.
« Allez viens, on va fumer pendant que Mad nous prépare un whisky. Chacun. » Tu jettes un oeil vers le barman pour t’assurer qu’il a pigé et quand il hoche enfin la tête, tu le lèves, tendant ton bras vers la jeune femme histoire de l’aider à se lever… et à marcher. « Au fait, t’as du piger mais j’suis Hunter, propriétaire de cet humble établissement. » Tu peux pas t’empêcher de faire une légère révérence, parce qu’être sérieux 5 minutes, c’est un petit peu trop de demander. |
| | | Jolene Weisz;
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| Sujet: Re: alcohol tastes better than tears (jolene) Mer 29 Sep - 11:20 |
| c'est une vague de mélancolie qui s’abat entre les poumons de jo, qui lui coupe le souffle, furieusement. le vide oppresse sa cage thoracique, se délecte de ses yeux déjà trop vides. jo, c'est l'ombre amorphe entre ces rues, jo, et sa culpabilité qui s'enfonce son sous plexus. (brûlante) le vide l’oppresse encore un peu plus à chaque instant, mais gamine tempête reste là, à braver les dernières onces de ses souvenirs trop flous. c'est trop vide, et ça ne peut que déchirer son palpitant, l'émietter encore, comme si il ne l'était pas déjà assez. chaque jour passé semble la meurtrir un peu plus, comme une valse lente aux ondulations trompeuses, comme un poison qui cherche une dernière once de vie. le doute l'assaillit, encore, elle cède de nouveau à ses chimères, se contente de les satisfaire lorsqu'elles deviennent trop pressantes, se laisse bercer dans leurs bras épineux, s'arrache l'âme à chaque dose. (t'en auras bientôt plus) la liqueur s'est vite propagée dans les veines, silencieuse, tumultueuse, s'est dépêchée d'anesthésier le corps tout entier avant de couper court aux pensées noueuses qui s'entremêlent dans l'crâne. jo, elle sait déjà qu'en rentrant elle ira piocher au hasard quelque chose pour négliger tout ce qui s'agglutine dans sa tête, tout ce qu'elle refoule depuis des années, couches de peines en décomposition, peines qui s'infiltrent dans chaque partie de ses ressentiments, qui moisissent son corps, tout son être entier, comme de l'humidité meurtrière. elle s'étouffe la môme. crève à petit feu. alors, elle sort. (croit s'aérer entre l'air pollué, bouffe du béton, y'a que ça) les nuages qui eux aussi s'mettent à pleurer, à cracher leur tristesse, à verser les pauvres émotions qui leur sont propre. (au moins, ils sont deux) les rétines ne suivent plus, à l'agonie, embaumée par l'alcool trop vite bu, les ombres se tordent et se déforment, spectacle lancinant entre les gouttes de pluie et les larmes. alors jo, elle entre dans un bar, en espérant y cacher son malheur, le détruire, même si elle sait qu'il reviendra. il revient toujours, comme une métastase, comme une violence qu'elle même se crée. dommage qu'on puisse pas le faire. la clope est vite remise dans le paquet, et à cet instant, jo, elle s'sent comme un enfant à qui on aurait dit non, comme un enfant dont on vient de surprendre en pleine bêtise. allons-y. elle le suit, cet inconnu, cette aura brillante, solaire qui la réchauffe un peu. c'est pourtant la lenteur de ses pas qui se remarque, alors il l'aide. ils s'connaissent même pas. alors, ils y vont, s'approche de la porte, mais jo, elle capte rien, trop amorphe, déjà morte de l'intérieur. hunter, c'est sympa comme prénom. il est sympa votre bar. jo. alors, pour répondre à sa révérence, elle lui tend la main, pour se présenter. dehors, les rues sont désertes, new york a triste mine sous la pluie et sous les malheurs. la cigarettes est portée aux lèvres, (cette fois on peut). vous en voulez une? qu'elle demande. pour le remercier de ne pas l'avoir jetée à la porte.
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| Sujet: Re: alcohol tastes better than tears (jolene) Mer 29 Sep - 20:32 |
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Le pire, c’est que c’est pas la première fois que tu te la joues super-héros, comme dirait Mad. c’est plus fort que toi. T’as ce besoin presque vital de remonter le moral des troupes, de partager ta bonne humeur et ton énergie habituelle. C’est thérapeuthique, un peu - autant pour toi que pour eux.
T’as pas envie d’être le vilain patron de bar, celui qui fout les gens dehors à coup de pieds au derrière ou pire, à coup de fil aux flics du quartier. L’empathie est un peu trop présente quand tu la vois tituber, quand tu sens sa détresse et que t’es incapable de lui dire d’aller traîner sa douleur ailleurs.
Pourtant, tu ne vas pas la laisser s’envoyer à l’hôpital. Pas si tu peux l’en empêcher.
Alors tu l’emmènes dehors pour fumer un peu, le temps de décuver ne serait-ce qu’un tout petit peu. Tu sais déjà d’avance que ce verre de whisky, ce sera son dernier - du moins, du Rainbow. Tu vas peut-être pas la foutre à la porte, mais tu ne comptes pas non plus être accessoire à sa destruction.
Tu l’aides jusqu’à l’avant, à prendre abri sous la devanture, quand elle complimente ton prénom - et ton bar au passage. Un sourire se dessine que tu ne peux, veux retenir. « Double merci. » que tu déclares. « On pourrait même dire que c’est un endroit très… gai. » T’es fier de ta blague. Un peu trop, même. T’es même pas certain qu’elle est en état de la comprendre, en plus. Alors tu finis par arrêter de rire doucement à ta propre blague. « Enchanté, Jo. » C’est sympa de pouvoir mettre un nom sur son visage, histoire de ne plus avoir à l’appeler “la dame” dans ton crâne, comme s’il s’agissait d’une meuf de quarante ans à qui tu devais un terrible respect sous peine de passer pour un jeune ingrat.
Elle t’offre une clope. Qui serais-tu pour refuser ?
T’as un peu l’impression que c’est important que t’acceptes, que c’est un remerciement silencieux alors t’hésites pas et tu hoches positivement la tête. « J’veux bien, ouais. » Tu viens à peine t’en finir une mais t’es pas à ça prêt. T’es un peu trop accro à cette tentatrice qu’est la nicotine, à la sensation de fumée qui vient défoncer tes poumons de l’intérieur. Va savoir pourquoi.
Tu t’attends pas à ce qu’elle parle, à ce qu’elle se confie. À vrai dire, t’es là pour écouter si elle veut en parler, mais t’es aussi là pour rester en silence à ses côtés, juste pour lui tenir compagnie. Chaque personne à des besoins différents et tu l’as bien compris depuis le temps. Alors tu la pousses pas, tu la forces pas - tu te contentes d’être là.
Et t’allumes la clope qu’elle te file finalement. |
| | | Jolene Weisz;
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| Sujet: Re: alcohol tastes better than tears (jolene) Jeu 7 Oct - 18:35 |
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le vague à l'âme s'est échoué, comme de l'écume à la douce torpeur, s'est abîmé de quelques souvenirs pour se nourrir, et mourir des délicatesses qui n'en sont plus totalement. le goût amer de la liqueur s'est frayé un chemin dans le creux de l'estomac, s'est fait brûlant d'un lendemain absent, d'une vie aux méandres tumultueux, de ces absences qui sonneraient comme une délivrance miraculeuse. la môme est de sortie, chimère aux mille facettes, aux visages délirants qui se construisent et se déconstruisent en quelques instants, imprimés d'un deuil, qui sans doute, ne s'en ira jamais. comme imprégnée dans la peau, une pensée meurtrie pour ceux qui se sont envolés, pour ceux dont le myocarde s'efforçait à battre un peu plus. ces fragments d'espoir ne sont plus qu'amas de poussière, que des illusions terribles pour les gamins qui se noircissent de leurs contradictions. jolene est l'un d'entre eux, funeste comme l'ennui qui parcourt son épiderme à chaque instant. vivante mais si morte. le temps ne fait plus que la narguer, d'un regard paranoïaque, d'une haine sans pareille, de celle qu'on crache sur le bitume à chaque passage. c'est le carmin qu'elle porte sur les lèvres, à demi effacé qui la trahit, montre les failles qu'elle s'impose, trop tranchantes. les pas se sont fait désynchronisés, chancelants de l'alcool qui s'est introduit dans le sang, des promesses qui restent dans l'encéphale et résonnent un peu plus fort ce soir. entourée d'inconnus, entourée d'autres âmes, peut-être aussi endeuillée qu'elle, de la perte qui l'abrite. qui s'en ira. un jour. le bar se fait l'abri de sa douleur lancinante, une aura solaire qu'elle aurait trop cherché pendant ces derniers mois, créateur de chaleur qu'elle consomme. pourtant, jo, elle rit à la blague de cet homme qu'elle ne connaît pas, propose une cigarette pour consumer son mal-être permanent. je bois pas souvent, vous savez. qu'elle ose dire, finalement, honteuse d'être dans l'état d'un macchabée aux yeux rougis. d'habitude, je prends de la poudre, je me noie sous les injections. qu'elle aimerait dire, téméraire, embaumée par les effets d'une discussion à cœur ouvert, de ces discussions qui ouvrent l'esprit et le libère d'un certain poids. le silence s'est installé, quelques minutes, pourtant, l'enfant veut parler, se livrer, se délivrer, s'oublier. mon fiancé est mort. de ma faute. et ça m'tue. elle l'ajoute, la mort aux bouts des doigts, la fumée qui s'échappe par les lippes. comme c'est risible. le silence. encore. la phrase est ponctuée d'un léger rire, l'ivresse de confier sa vie à un inconnu, de lui livrer quelques bouts de son crâne. c'est la vie comme on dit, non? prisonnière de son propre microcosme, jo n'est plus qu'une fleur fanée au sourire faussé.
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| Sujet: Re: alcohol tastes better than tears (jolene) |
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