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 je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8

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Thomas Farrel;

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Thomas Farrel



Daniel Sharman.
{ava : Dublin.}
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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
thomivy #7

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Message Sujet: Re: je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8   je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Empty Lun 14 Juin - 11:09

je veux voir ce que tu vois. // @Ivy Wade ※※※  Le temps s'arrête. Le temps est en suspend, juste durant une soirée. Central Park, début de soirée. Ivy et toi, seuls au monde. Vous venez de pénétrer dans votre bulle, celle que vous êtes créés il y a presque un an déjà. Celle bulle où personne, absolument personne, ne peut pénétrer et vous importunez. Non. Ce soir, il n'y a que Ivy et toi. Tu es si heureux de la retrouver. Toute la journée, dès le réveil, tu as hâte que la journée avance pour pouvoir arriver plus vite au soir et retrouver ta petite-amie. Tu n'as jamais eu cette sensation de compter pour qui que ce soit. Et pourtant, depuis que la relation est officielle entre vous deux, tu as cette impression. Celle de compter pour elle, d'être important pour elle. En tout cas, pour ta personne, Ivy est très importante. Elle représente tant de choses. L'espoir, en premier lieu. Elle représente l'espoir d'une nouvelle vie, d'un nouveau tournant. Toi, le garçon bousillé par la vie. Toi, le garçon qu'aucun autre être humain ne peut aimer, apprécier. Voilà que tu as su charmer, captiver la petite vendeuse de chez Jo. Jamais tu n'aurais su que tu avais autant de pouvoir. Et pourtant, tu as réussis à faire tomber amoureuse Ivy. Même si les mots ne sont pas sortis de sa bouche, tu le lis à travers ses prunelles. Pas besoin de mots entre vous. Un simple regard suffit à vous comprendre. Depuis des années, tu as vécu bien des choses, bien des péripéties. Pas toujours très réjouissantes. Mais et si ça avait été le prix à payer pour être aujourd’hui, si heureux ? Tu as énormément changé depuis le jour où tu as emménagé à New-York. D'un homme peureux, méfiant de tout et de tout le monde, tu es passé à un homme sûr de lui, un homme qui a su trouver l'amour. Ton âme-sœur se trouvait ici, à New-York elle aussi. Chaque fois que ton regard se pose sur elle, chaque fois que tu passes ne serait-ce qu'une petite heure près d'elle, ton cœur bat la chamade et une sensation de bien-être s'empare de toi. Ivy te rend meilleur, ça ne fait aucun doute. Tout ne sera pas toujours rose entre Ivy et toi. Rien n'est jamais tout rose. Il y aura des hauts, des bas. Mais, ensemble, tu sais déjà que vous serez plus fort. En un an, Ivy a fait d'énormes progrès déjà. Tu es si fier d'elle, si fier de faire parti de sa vie. Se quitter le soir, juste devant son immeuble, devient de plus en plus difficile. Ton cœur se serre à chaque fois. Mais tu gardes espoir parce que tous les soires, avant de se coucher, Ivy et toi échangez encore des dizaines de messages. Le matin, au réveil, c'est à elle que tu penses. C'est elle qui te donne la force pour te lever, et aussi le fait que tu as un emploi que tu apprécies. Tous les matins, en passant devant la pâtisserie, tu t'arrêtes et viens observer ta petite-amie en train de s'activer à satisfaire ses clients. Tu es, sans aucun doute, le garçon le plus patient de la terre. Tu sais que Ivy a besoin de plus de temps que cela pour te laisser entrer entièrement dans sa vie. Tu ne lui en veux pas. Au contraire, tu lui donnes tout le temps nécessaire. Un grand sourire, malicieux, s'affiche sur ton visage. « Ah oui ? Ça ne me déplairait pas et puis, j'suis sûr que Jo ne t'en voudra même pas ! » Jo, son patron, est l'homme le plus gentil et serviable que tu ai jamais connu. A ne te déplairait pas de profiter de ta petite-amie avant de commencer ta journée de boulot. Échanger un petit baiser pour te donner encore plus de force pour passer la journée loin d'elle. L'éloignement crée le manque bien que, dans ton cas, tu n'es pas nécessairement besoin de ça pour qu'elle te manque. Tu as hâte de la revoir au musée et d'effacer ce mauvais souvenir dans ta tête, même si tu ne souhaites pas vraiment l'effacer. C'est là-bas que vous vous êtes embrassés la toute première fois. Ce jour, même s'il s'en est suivis d'un triste départ, restera à jamais gravés dans ta mémoire. Tu es si fier d'elle. Si fier qu'elle accepte de prendre le métro seule, d'affronter la foule pour toi. Juste pour toi, pour te retrouver. Tu es fier d'elle et tu ne manqueras pas de lui faire comprendre. Hâte de lui montrer l'oeuvre sur laquelle tu travailles depuis déjà plusieurs semaines. Un travail fastidieux mais un travail que tu adores faire. Et puis, en ayant pris connaissance de son histoire, de son passé, tu es encore plus pressé de terminer la restauration. L'oeuvre sera exposé à la vue de tous les visiteurs du musée dans les prochaines semaines. « C'est pas grand chose tu sais... J'sais pas comment il faut agir quand on est amoureux de quelqu'un. J'fais juste les choses comme je le sens.. » Tu dis, laissant tes doigts courir sur le bras de ta bien-aimée. Tu ne peux t'empêcher de la toucher, de la caresser. Tu as sans cesse envie de l'embrasser, de la prendre dans tes bras. Ivy a réussie son coup, tu ne peux plus te passer d'elle. C'est trop tard ! Elle t'as eu ! Tu apprécie cette dépendance que tu ressens envers Ivy. Vous êtes co-dépendant l'un de l'autre. Ça ne te fait pas peur. Au contraire, près d'elle tu sais que rien ne peut t'arriver et rien ne peut lui arriver non plus. « Eh bien, tu as réussie ton coup ! Je n'imagine plus passer une seule journée sans toi désormais ! » Tu dis, sortant les plats un à un du panier de pique-nique. Sans elle, jamais tu n'aurais eu l'idée de présenter tes dessins à Jo, ou à qui que ce soit d'autre, afin de les exposer à la vue du commun des mortels. Au début, tu as eu peur des critiques mais, finalement, d'après les dires de la jeune femme, les clients semblent apprécier tes dessins. La première étape vers la gloire, le succès ? Probablement. Nous verrons bien où cela te mènera. Tout comme tu crois en ses pâtisseries, Ivy croit en toi et en tes dessins. Ses mots sont encourageants et te touchent en plein cœur. Tous les soirs, après le travail et après avoir dit au revoir à ta petite-amie, tu te dépêches de rentrer chez toi. Là-bas, tu commences ta petite routine du soir. Toujours la même depuis que tu as emménagé. Dans ton lit, juste avant de sombrer dans un sommeil profond, tu viens lire quelques ouvrages sur les différents courants de peinture. En ce moment, c'est sur l'impressionnisme. Celui que Ivy préfère. Tu viens informer la demoiselle que ton patron t'as fait confiance et t'as donné l'autorisation de faire quelques visites guidées dans le mois afin de présenter les différents tableaux aux visiteurs. Ça ne te fera pas plus d'heures de travail, tu as toujours les mêmes horaires. Tu vas simplement devoir t'organiser autrement pour être encore plus productif à la rénovation des œuvres que tu as en charge. Et, autant dire que l'organisation ce n'est pas ton fort. « Je m'arrangerais avec mon collègue pour que tu sois dans mon groupe. Il ne me refusera pas ça ! » Tu dis, un sourire rempli de malice sur les lèvres. Tes collègues ont, bien évidement, entendu parler de Ivy. Ils savent qui elle est et que tu es complètement et totalement amoureux d'elle. « Sinon, je te réserve des visites guidées privatives. Juste toi et moi ! » Tu dis, laissant toujours courir le bout de tes doigts sur sa peau si douce. Tes lèvres se posent dans son cou que tu embrasses délicatement. Et puis, pour poursuivre la conversation, tu décides de parler franchement à Ivy. De lui parler de choses un peu plus intimes ce qui n'a pas pour effet de te mettre à l'aise. Au contraire, le malaise se lit sur ton visage. Les mots sortent difficilement de ta bouche. Tu as peur qu'elle ne te juge mais, tu la connais. Jamais elle ne fera une telle chose. Pas elle, pas Ivy. Elle n'est pas du tout ainsi. Les mots de la jeune femme te font du bien, ils apaisent ton rythme cardiaque qui s'est soudainement emballé. Tu prends soudainement conscience que tes paroles l'ont profondément mises mal à l'aise. Ta main s'empare de la sienne et la lui caresse doucement. « hey … doucement Ivy. Je te demande pas qu'on le fasse ce soir, je veux juste pas qu'il puisse y avoir le moindre secret entre nous.. » Tu dis, en essayant de porter des mots bienveillants envers elle. Tu ne veux aucunement lui mettre la pression, ce n'est absolument pas ton but. Tu n'as jamais su parler avec les gens en toute honnêteté. « Ne te mets pas la pression pour ça. Je peux très bien attendre encore. Je ne suis pas avec toi pour ça mais parce que je suis bien avec toi, et que .. je t'aime Ivy ! » Tu dis, ta main posée sur sa joue. Tu lui souris et continue de picorer dans les différentes collations réalisées par son patron. Tu ne veux pas que cette soirée se finisse trop rapidement. Tu n'as pas envie de quitter Ivy si vite. Et pourtant, devant vous, le jour décline doucement. Le soleil se meurt pour laisser place, enfin, à la nuit. La lune commence à apparaître. Les étoiles ne devraient pas suivre.

(a) blue moon
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Ivy Wade;

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Ivy Wade



Taylor Swift
Bazzart
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je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Pusheen-flowers-icegif
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Ré-illusionnée la petite fille au coeur brisé a enfin cédé à la tentation et se laisse tomber dans les bras de ce garçon qui pourrais bien être son sauveur
Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
I don't like that falling feels like flying 'til the bone crush
je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Crackship2
Thomivy ★

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Message Sujet: Re: je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8   je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Empty Sam 19 Juin - 9:59




To kiss in cars and downtown bars was all we needed




Même s’il y avait encore des choses difficiles pour elle, des choses dont elle ne pouvait pas encore parler, des choses qu’elle avait encore besoin de garder pour elle, enfouie tout au fond de son être pour continuer à se reconstruire, pour ne pas s’écrouler en si bon chemin. Un jour, quand elle aurait avancer, encore un peu, sur le chemin de la résilience, elle serait peut être parler de tout ce qu’elle gardait encore, elle était folle amoureuse de Thomas. Après la déconvenue qu’elle avait vécue et qui lui avait brisé le coeur, elle avait peur bien sur mais Thomas avait accepté d’aller à son rythme à elle, de ne pas la brusquer et pour ça, elle ne pourrait jamais assez le remercier suffisamment. Alors, elle faisait de son mieux. De son mieux pour être la femme dont Thomas avait besoin, pour être là pour lui, autant que possible, jour après jour. Depuis qu’elle l’avait rencontré, sa vie avait pris un nouveau souffle, comme si soudainement elle avait retrouvé un sens. En la présence de Thomas, elle arrivait à se sentir mieux, comme soudainement apaisée. Elle n’était pas guérie mais le simple fait d’avoir quelqu’un avec qui partager ses journées, ses joies, ses peines dans la limite de ce qu’elle était capable de dire, lui faisait du bien. Elle reprenait gouts à certaines choses dont elle avait oublié jusqu’à l’existence. Elle reprenait espoir en la vie en même temps qu’elle reprenait gout à l’amour et qu’elle le laissait à nouveau emplir son coeur et son être tout entier. Un amour déjà profond et inconditionnel.
« ah oui ? ça ne me déplairait pas et puis, j'suis sûr que jo ne t'en voudra même pas !» Un sourire joyeux et complice avec le jeune homme s’était affiché sur le visage de la blonde. Cette idée était tentante mais elle était irréalisable. Pour Ivy, même si la perspective de voir Thomas avant le travail lui plaisait beaucoup, elle ne se voyait pas arriver en retard surtout au vue de la charge de travail considérable le matin à la pâtisserie. « Alors là je n’en serais pas si sûre. Il t’aime bien mais le matin, crois moi, nous ne sommes trop de deux pour satisfaire tous les clients… Si tu prenais un peu de temps pour passer le matin avant d’aller travailler, je me ferais un plaisir de t’offrir un caramel macchiato pour te donner du courage. » Elle avait doucement rit. De toute façon, elle était convaincue que ça n’était qu’une question de temps maintenant avant qu’elle ne voit Thomas le soir lorsqu’il s’endormait et le matin au réveil, avant que l’un et l’autre ne parte travailler. Il lui fallait encore un peu de temps pour laisser Thomas entièrement entrer dans son intimité, dans son quotidien mais il était patient, il ne la pressait pas et ne voulait pas la brusquer et elle savait que tôt ou tard elle pourrait enfin passer ce cap, crucial, pour la vie de leur couple. « c'est pas grand chose tu sais... j'sais pas comment il faut agir quand on est amoureux de quelqu'un. j'fais juste les choses comme je le sens.. ». Thomas avait beau dire que ça n’était pas grand chose, pour Ivy c’était déjà beaucoup. Toutes les petites attentions qu’il lui réservait à longueur de journée, ce pinic surprise mais également tout le reste, ses petits messages, ses mots doux et tout le reste. Ivy avait souvent l’impression de ne pas mériter tout ce qu’il lui offrait et pourtant, elle prenait plaisir à partager tout ces moments avec lui. Elle comprenait par là qu’il n’avait jamais été réellement amoureux. Peut être qu’il n’avait jamais été en couple, ils n’avaient pas parlé de cela parce que ça n’avait pas d’importance. Mais il était si doux, attentionné, délicat, qu’Ivy pouvait douter de ce qu’il lui disait. Il ne savait pas comment s’y prendre mais il s’y prenait exactement comme il le fallait avec elle. « Ne dit pas ça… ce n’est pas rien… pas pour moi en tout cas. Tu veux que je te dises quelque chose ? Tu t’y prend exactement comme il faut. » A nouveau elle avait souris, totalement conquise, sous le charme du jeune homme. Elle ne parvenait pas à détacher son regard de lui et elle l’observait sortir les préparations de Jo’ du panier avec attention, un léger sourire au coin des lèvres. « eh bien, tu as réussie ton coup ! je n'imagine plus passer une seule journée sans toi désormais ! » Le sourire de la blonde s’était élargie. Elle savait que la dépendance affective ou qu’importe n’était jamais une bonne chose, ne pas pouvoir se passer de quelque chose ou de quelqu’un était une situation dangereux qui mettait la personne qui en souffrait dans un état de grande vulnérabilité. Elle savait à quel point il était facile de détruire une personne dépendante. Elle l’avait déjà été. Et pourtant, cet attachement qu’elle ressentait envers le brun, elle avait eu beau faire pour ne pas tomber à nouveau dans cet excès, elle n’avait pas réussi, incapable d’aimer autrement, incapable de se préserver et de ne pas se donner toute entière à l’être aimé. La dépendance était dangereuse mais le sentiment qu’elle avait pour Thomas et qui les liaient si fortement était si doux qu’elle n’avait aucune envie de s’en défaire, quitte à en souffrir un jour ou l’autre. « Moi non plus je ne l’imagine pas vraiment… » La jeune femme était vraiment heureuse de voir Thomas aussi épanouie dans on travail. Elle l’avait connu quelques mois avant qu’il ne trouve ce job et, elle devait bien avouer que depuis qu’il avait été embauché au musée elle le trouvait changé. Plus à l’aise, plus vivant peut être aussi. Elle n’avait aucun doute quant au fait qu’il exerçait un métier qui lui plaisait réellement et qui lui convenait parfaitement. Plus les mois passait plus son patron semblait lui faire confiance et Ivy était vraiment ravi pour lui, parce qu’il le méritait vraiment. « je m'arrangerais avec mon collègue pour que tu sois dans mon groupe. il ne me refusera pas ça ! » Ivy aimait les musées, en apprendre toujours plus mais, il était bien évident que si elle avait l’occasion de faire la visite dans un groupe guidé par Thomas, elle ne se priverait pas, quitte à passer son tour, à forcer un peu le hasard, jusqu’à se retrouver dans le groupe de son petit ami. Malicieuse elle avait repris la parole en riant. « Je refuserais de faire la visite tant que ça ne sera pas toi mon guide ! » Elle était heureuse d’avoir rencontré Thomas et de pouvoir partager cette passion pour l’art, les musées et l’histoire en générale avec lui. Depuis petit elle aimait cela, elle ne se lassait pas de parcourir les couloirs des musées New yorkais. A côté de Thomas, elle n’y connaissait rien mais c’était un réel plaisir pour elle de partager de tels moments avec lui et un privilège de pouvoir profiter de toutes ses connaissances. « sinon, je te réserve des visites guidées privatives. juste toi et moi !» Cette idée était de loin la meilleure dans l’esprit d’Ivy. Etre en tête à tête avec lui dans les couloirs du musée était évidement une idée qui la rendait joyeuse. Les caresses de Thomas, ses petits baisers ça et là et finalement ses lèvres qui étaient venu se perdre dans son cou avec délicatesse. Tous les sens de la blonde était en alerte, une fois de plus il venait raviver les braises dans son bas ventre, faire naitre chez elle une sensation qu’elle avait oublié. Petit à petit il lui faisait perdre la tête. Elle n’était pas encore prête à se donner complètement, elle avait encore bien trop de peurs et de complexes pour parvenir à cela et pourtant parfois elle se sentait à la limite de lui céder. « Faire la visite guidée dans ton groupe me semble une bonne idée mais j’avoue que les visites privatives sont encore plus tentantes…». Elle avait déposé un baiser furtif et chaste sur les lèvres du brun puis le ton de la conversation devenant soudain bien plus sérieux avait effacé le sourire des lèvres d’Ivy dont le visage affichait soudainement un air soucieux alors qu’elle écoutait ce que Thomas avait à lui dire. Elle avait répondu aux révélations de Thomas avec beaucoup de maladresse, vraiment mal à l’aise avec le sujet. Rapidement Thomas lui avait pris la main avec fermeté comme pour la rassurer.
«  hey … doucement ivy. je te demande pas qu'on le fasse ce soir, je veux juste pas qu'il puisse y avoir le moindre secret entre nous.. » Elle avait sourit timidement en tentant de le regarder à nouveau dans les yeux, les joues légèrement rougies sous l’effet de la gêne qui s’était immiscée en elle à la simple évocation de ce sujet intime. Elle savait que Thomas ne la brusquerait pas, jamais, qu’il serait patient mais elle ne pouvait pas s’empêcher de s’en vouloir de ne pas être capable de passer plus vite à l’étape supérieure. « Je sais Thomas… C’est pour ça que je te dit ça… Je ne veux pas que tu puisse penser que c’est toi le problème. Je sais que je ne suis plus une adolescente, qu’à notre âge normalement les choses vont plus vite mais… pour le moment c’est trop tôt pour moi mais je vais essayer de faire de mon mieux pour… avancer là dessus aussi. » Et pourtant ce n’était pas l’envie qui lui manquait. Elle avait envie de Thomas, envie de redécouvrir ses plaisirs avec lui, d’apprendre à la connaitre un peu plus, mémoriser chaque détail de son corps. Elle le sentait au fond d’elle qu’elle en avait envie, quand il l’embrassait avec passion c’était un brasier qui prenait naissance au creux de ses reins. Mais le blocage était psychologique et la simple idée de passer à l’étape supérieure lui glaçait encore le sang parce qu’elle avait peur de ne pas être à la hauteur, une peur viscérale et paralysante qui l’empêchait, pour le moment, de s’offrir entièrement à Thomas. « ne te mets pas la pression pour ça. je peux très bien attendre encore. je ne suis pas avec toi pour ça mais parce que je suis bien avec toi, et que .. je t'aime ivy ! » Les mots de Thomas la touchait en plein coeur et les larmes lui étaient rapidement montées aux yeux. Pas des larmes de tristesse non, plutôt d’émotion. Bien malgré elle elle se mettais la pression mais les mots du jeune homme l’apaisait, au moins pour ce soir. Thomas et elle c’était bien plus que cela, bien au delà d’une simple relation physique parce qu’ils étaient liés psychiquement et ce lien là, lui, n’avait pas de prix. Portée par l’émotion, elle n’avait pas pu s’empêcher de se rapprocher de lui et de l’embrasser à nouveau avec toute la douceur dont elle était capable. Elle était folle de lui et elle voulait que cela dure le plus longtemps possible. « Moi aussi je suis bien avec toi Thomas.. » Elle s’était ensuite légèrement reculée, observant soudain le ciel dans lequel la lune faisait son apparition. Les lueurs du coucher de soleil étaient magnifiques et Ivy se sentait bien à cet instant.  « Le ciel est magnifique ce soir… j’ai toujours aimé les couchers de soleil et regarder les étoiles. » Oui, elle aimait les lueurs du coucher du soleil comme celle de son lever. Elle aimait observer les étoiles pendant des heures. Mais, paradoxalement, c’était la nuit, quand le soleil avait disparu derrière l’horizon que ses angoisses se faisaient les plus présentes, ses démons les plus pressants. Pour le moment, Thomas à ses côtés, elle se sentait bien malgré l’obscurité qui s’installait petit à petit sur la ville.


panic!attack


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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
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Message Sujet: Re: je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8   je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Empty Dim 20 Juin - 11:35

je veux voir ce que tu vois. // @Ivy Wade ※※※  Petit à petit, les choses se passent, les événements avancent. Ivy et toi, vous commencez à vous apprivoiser. Vous apprenez à vous connaître et à vivre l'un avec l'autre. Ce n'est pas difficile. On dirait qu'Ivy et toi êtes complémentaire. Entre vous, c'est comme une évidence. C'est comme si, au fond de toi, tu l'avais toujours attendu. Et aujourd'hui, tu ressens cette sensation de bien-être tout au fond de ton organisme. Ivy tu l'aimes. Ça te bouffe de l'intérieur, bien que la sensation ne soit absolument pas désagréable. Une relation basée sur la sincérité, une relation vraie et passionnel. Doucement, tu la sens s'ouvrir à toi. Elle se confie sur certains événements marquants faisant partis de son passé. Il y a encore des zones d'ombres dans sa vie, des événements que tu ignores sur elle. Ça viendra. Tu les découvriras le moment venu. Pour le moment, tu comptes bien profiter de cet instant, de cette soirée, en compagnie de ta petite-amie. Le soir, la quitter est trop difficile. Tu ressens comme un manque en toi, comme s'il te manquait une partie de toi. La nuit, tu rêves d'elle. Le matin, lorsque tu ouvres les yeux, c'est à elle que tu penses. Tu l'imagines déjà réveillé et prête à attaquer sa journée de travail. Tous les matins, tu t'arrêtes devant la pâtisserie et observes ta bien-aimée à travers l'immense baie vitrée. Elle est là, derrière le comptoir en train de servir les nombreux clients. Jo est là lui aussi, parfois il te vois et te fais un signe de la tête. Il est gentil Jo. Il agit un peu comme le grand-père que tout le monde rêve d'avoir. Toi, qui n'a jamais eu de modèle masculin pour évoluer, te construire, tu aurais tant aimé pouvoir te calquer sur lui pour te façonner. Avec Ivy, Jo est parfait. Doux, calme. Tu sais que quand tu n'es pas là, le vieil homme prend soin de celle qui fait battre ton cœur. 'Hum... Je pense que ça peut se tenter. Je peux essayer de partir plus tôt de chez moi pour avoir le temps de boire un petit café en ta compagnie ! » Tu souris, caressant sa main du bout des doigts. Ton regard se perd sur elle. C'est le regard d'un homme amoureux de sa bien-aimée. Tu as tellement hâte à chaque fois de passer du temps en sa compagnie. Tu es encore plus pressé de présenter Ivy à ta mère mais pas maintenant, c'est trop tôt. Ivy n'est sûrement pas encore prête et toi non plus. Tu te sens si bien dans cette petite bulle en compagnie de Ivy. Cette bulle qui ne contient que vos deux êtres, vos deux âmes. Quand vous êtes ensemble c'est comme si le monde autour de vous avait totalement disparu. Comme si vous étiez les derniers survivants de la planète Terre. « Et puis, si ça te donne du courage pour la journée, alors je le ferais aussi souvent que tu le désires ! » Ton envie de la prendre dans tes bras, de poser à nouveau tes lèvres sur les siennes est plus fort que tout. Tu ne résistes pas, tu ne le fais d'ailleurs jamais. Cela te semblait être un excellent compromis en attendant de pouvoir t'endormir et te réveiller à ses côtés. Toi, tu es prêt pour franchir cette nouvelle étape mais pas elle. Alors tu attends. Tu patientes sagement en attendant que ta belle soit totalement prête à franchir ce cap. Tu ne souhaites pas lui faire peur ou la forcer à faire quoi que ce soit qu'elle ne souhaiterais pas faire. Tu respectes énormément les femmes, toutes les femmes. Mais encore plus ta mère et Ivy. Être en couple est nouveau pour toi. Tu ne sais pas ce qu'il faut faire ou non. Tu avances doucement, à tâtons. Tu avances et tentes de faire les choses comme tu le sens. Les mots prononcés par ta petite-amie te rassurent énormément. Tu souris, heureux de constater que la jeune femme est heureuse avec toi. C'est exactement l'effet que tu recherchais. Tu sors les plats les uns après les autres du panier. Jo a été, encore une fois, généreux avec vous et vous a mijotés une multitude de plats qui semblent être tous aussi succulents les uns que les autres. Vous allez vous régaler. T'en as déjà l'eau à la bouche. Il t'es désormais impossible de passer une seule journée sans elle. Tu l'aimes, tu as envie de passer tout ton temps libre près d'elle. Tu sais à quel point ça fait mal de se sentir abandonné, de se détacher d'une personne que l'on estimait énormément. Tu n'as pas peur que toute cette relation s'arrête avec Ivy. Tu as confiance en elle. Jamais elle ne t'abandonneras. Tu as confiance en elle. Tu souris à ces mots. Son sourire est, sans aucun doute, pour toi la plus belle chose qui t'ai donné de voir. Le sourire d'Ivy pourrait te redonner l'envie de vivre si jamais tu apprenais une très mauvaise nouvelle. « ça tombe bien, je n'ai pas envie de te lâcher ! » Tu dis, en caressant sa main doucement. La conversation continue. Grâce à ton investissement au sein du musée, tu as réussi à te voir attribué quelques visites ici et là. Tu vas donc devoir t'exprimer devant des inconnus. Parler des œuvres qui seront devant leurs yeux. Partager ta passion avec des gens qui auront choisis d'être ici. Cette passion de l'art, Ivy la partage également. Tous les jours, elle t'écoute attentivement en train de lui narrer l'historique des différentes dont tu t'occupes ou qui arrivent au musée. « Ce n'est pas sûr que j'arrive à garder mon sérieux si tu es dans les parages ! » Tu dis, passant ta tête contre sa nuque et déposant des baisers dessus. Tu noues tes doigts aux siens. Le temps de quelques secondes le temps qui passe s'arrête brusquement. Te laissant ainsi profiter de cet instant de plénitude en compagnie de ta dulcinée. « Alors je te réserve les visites guidées privées. Viens quand tu veux ! » Tu as hâte de la voir, débarquer au musée et de partager ce moment avec elle. Un peu surpris par le baiser furtif de ta bien-aimée, tu souris avant de venir redéposer tes lèvres contre les siennes. Cette fois, tu l'embrasses un peu plus longuement. Tant pis pour les gens qui passeront près de vous et qui pourront vous voir. Tu assumes parfaitement d'être amoureux. Tu sais que pour la jeune femme ça doit être difficile de se dévoiler de cette manière en publique. Le premier qui se moquera d'elle ou qui s'en prendra à elle n'est pas encore né. Auquel cas, tu ne te gêneras pas pour défendre ta petite-amie. Personne, de n'importe quel sexe, ne s'en prendra verbalement ou non à Ivy. Pas tant que tu seras dans le coin. Et vu que tu ne comptes pas partir de toute manière. Et puis, sans trop savoir pourquoi, tu te mets à lui parler de ta, très faible, expérience sexuelle. Tu n'as couché qu'une seule fois avec une femme, une prostituée même. Tu n'as donc aucune expérience. Le faire avec Ivy, ça sera comme si tu le faisais pour la première fois. Tu as si peur. Peur de mal faire ou, aussi, peur de ne pas savoir comment faire. « Il n'y a pas d'âge pour le faire. On est tous différents et s'il te faut plus de temps, tant pis. C'est pas grave. » Tu serres tes doigts aux siens, le regard toujours perdus dans les prunelles de ta dulcinée. « De toute façon, je ne compte pas partir de si tôt. Même jamais. » Tu dis, un léger rictus sur tes lippes. « Prends ton temps Ivy. On a tout le temps qu'il faut ! » Tu dis, tes doigts qui caressent la paume de sa main. Tu sens ton corps qui réclame Ivy. Qui réclame de ne faire qu'un avec elle. Tu as envie de découvrir ces plaisirs-ci avec elle, de ne faire qu'un avec elle. À chaque baiser, à chaque caresse. À chaque fois que tu passes du temps avec elle, près d'elle, c'est un combat mental qui se passe dans ta tête. Tu ne veux pas paraître comme un animal. Non, tu es capable de te maîtriser face à ton envie de faire l'amour avec Ivy. Et puis, tu as envie que votre première fois soit parfaite. Tu as envie de t'en souvenir jusqu'à ton dernier souffle. Tu vois les larmes au bord des yeux de la jeune femme. Tu les essuie à l'aide de ton pouce puis, tes deux mains se placent autour de son visage. Tu l'embrasses avec passion. Le baiser se rompt et, cette fois, c'est elle qui t'embrasse. Tu prolonges le baiser le plus longtemps possible. L'instant passe, blottis l'un contre l'autre, tu viens admirer le ciel tout en dégustant quelques amuses bouches réalisés avec passion et amour par Joseph. « Oui, c'est magnifique. » Tu proclames, tout en posant ton regard sur le coucher de soleil en face de toi. Tu la sers contre toi, ta tête posée sur la sienne. « Dommage que je n'ai rien pour le dessiner. » Petit à petit, tu apprends à découvrir ta dulcinée. « J'adore observer les étoiles moi aussi. J'ai toujours été un fanatique d'astronomie, j'ai pleins de livres qui en parlent chez moi !! » Encore une passion commune entre vous. Tu continues de manger tout en profitant de cette soirée passer en compagnie d'Ivy. Tu espères qu'il y en aura d'autres comme celle-ci. Ça te plaît déjà énormément.

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Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
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Message Sujet: Re: je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8   je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Empty Ven 25 Juin - 15:27




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Sa confiance en Thomas était déjà énorme et elle ne faisait aucun doute. Ivy lui faisait une confiance aveugle, elle aurait pu, sans hésitation, lui confier sa vie dans un situation de grand danger qui la menacerait, s’en remettre totalement à lui et à sa protection. C’était peut être trop, c’était peut être excessif et inconscient. Surtout après ce qu’elle avait vécu. Elle connaissait la souffrance entrainée par une confiance trahie après avoir été donnée en excès, sans aucune retenue. Elle savait que de voir son coeur brisé par une personne à qui l’on avait accordé trop de confiance. Et pas seulement le coeur. L’âme aussi, la confiance en soi ce qui était encore un cran au dessus. Parce que s’il y avait une chose qu’elle avait appris de tout ses années de souffrance extrême, c’était que le coeur pouvait se réparer, se recoller, qu’il était incroyablement fort et résistant, bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé. Elle avait survécu à tout ce qu’elle avait enduré parce que son coeur avait continué de battre, elle avait vacillé,  elle était tombée certes mais physiquement elle était encore là et elle était toujours capable d’aimer. Le mental, la confiance en soi piétinés, brisés, cassé en mille petits morceaux. Voilà qui était beaucoup plus difficile à réparer. Si elle avait été hospitalisée ça n’était pas pour sa santé physique. Non, c’était bien pour sa santé mentale, elle était si malade, si intoxiquée par ses problèmes que cela avait fini par se répercuter sur son corps mais c’était bel et bien sa tête qui n’allait pas. Et, elle, malgré le chemin qu’elle avait déjà fait, n’était pas encore guérie. Et à se jeter ainsi, corps et âme, sans retenue, autre que ces éléments de son passé dont elle n’arrivait encore à parler, , elle se mettait en grand danger, elle mettait en péril la fragile reconstruction psychique qu’elle avait débuté et qui avançait extrêmement lentement tant les blessures étaient profondes. Le problème c’est qu’Ivy ne pouvait pas faire autrement, elle ne savait pas comment faire. Elle croyait en la beauté de l’univers et en la bienveillance inée des autres, elle était convaincue que personne ne pouvait être naturellement mauvais et que le bien était partout. Elle n’avait jamais pris à se protéger et restait très vulnérable, comme si elle n’avait rien tirée des leçons que la vie lui avait donnée. Et elle se jetait toute entière dans cette relation avec Thomas, lui laissait la possibilité, quand bon lui semblerait de l’anéantir. Mais elle avait confiance, il ne le ferait jamais parce que lui aussi avait été brisé. Pas de la même manière, pas du tout. Mais il avait été brisé aussi. La peur persistait, Ivy en ressentait encore régulièrement l’emprise, le souffle dans son cou pour lui rappeler qu’elle ne devait pas aller trop vite et, de ce fait, elle se retrouvait partager entre son envie de tout faire tout de suite avec Thomas et la paralysie qui la gagnait lorsqu’elle ne faisait que penser, simplement, à passer certaines étapes : passer une nuit ensemble, s’unir de manière charnelle, vivre ensemble. Tout cela était des grandes étapes, toute aussi importantes les unes que les autres pour la blondinette et, pour le moment, même si elle pouvait parfois en ressentir l’ardente envie, elle n’était pas prête. Pas encore. Quand le serait elle ? Elle l’ignorait complètement ce qui avait le don de l’angoisser même si elle savait qu’elle devait laisser le temps au temps et essayer, dans la mesure du possible, de ne pas se poser de question. Si Thomas était réellement fait pour elle, l’homme qui lui était destiné dans ce bas monde, alors il l’attendrait, voilà ce qu’elle essayait de se dire, ce dont elle essayait de se convaincre pour tenter d’amoindrir la culpabilité qui la gagnait quand elle pensait à tout cela et aux efforts que Thomas devait faire pour elle.« hum... je pense que ça peut se tenter. je peux essayer de partir plus tôt de chez moi pour avoir le temps de boire un petit café en ta compagnie ! » Un sourire presque niais sur les lèvres, le regard d’Ivy s’était perdu, d’abord sur la main de Thomas qui caressait la sienne avec douceur et donc le contact la faisait légèrement frissonner, encore et toujours, à chaque fois qu’il l’effleurait, qu’ils mettaient délicatement leurs corps en contact. Puis sur le visage du jeune homme dont elle ne lassait pas d’admirer les traits, la clareté de ses yeux et son sourire si communicatif. Elle se sentait bien là, à cet instant. Il n’y avait pas d’autre endroit où elle aurait aimé être et elle oubliait ce qui les entourait. Il n’y avait plus qu’eux, plus que Thomas qui comptait à ses yeux. « C’est vrai tu crois que tu pourrais faire ça ? Si ce n’est pas tous les jours ça n’est pas grave mais de temps en temps, c’est vrai que ça me ferait plaisir… » La jeune femme avait terminé sa phrase presque dans un murmure. Elle avait du mal à verbaliser ses envies et encore plus ses besoins. Souvent, elle restait silencieuse, elle laissait les autres décider de tout, même en ce qui la concernait. Elle faisait en sorte d’être toujours en accord avec ce qu’on lui demandait de faire pour surtout ne jamais froisser qui que ce soit alors ça n’était pas si facile pour elle de dire ce dont elle avait vraiment envie. Cependant les mots étaient sortis de sa bouche sans vraiment qu’elle ne s’en rende compte avant de les avoir prononcé. Ils venaient du coeur, elle en avait vraiment envie. Même si ça ne devenait pas aussi quotidien que les visites du soir, s’il passait de temps en temps à la pâtisserie le matin, avant de partir travailler, elle n’en serait que plus heureuse. Cependant, elle ne voulait pas non plus trop lui en demander et le forcer à venir la voir. « et puis, si ça te donne du courage pour la journée, alors je le ferais aussi souvent que tu le désires ! ». Le sourire d’Ivy s’était fait plus large, plus rayonnant encore. Thomas semblait prendre vraiment au sérieux cette idée et ça n’était pas pour déplaire à Ivy. Elle était déjà reconnaissante de pouvoir le voir, profiter de quelques minutes avec lui chaque soir mais si elle avait l’occasion, de temps à autre de le voir aussi le matin, elle ne pourrait pas demander mieux pour bien commencer sa journée. A la pâtisserie, elle aimait son travail, les journées, même lorsqu’elles étaient longues n’étaient jamais pénibles pour la jeune femme, cependant pouvoir vois un peu plus Thomas au milieu de tout ça ajouterais un peu de baume au coeur à la serveuse. « J’aime mon travail avec Jo’ mais il est vrai que si tu passes le matin, même de temps en temps, je l’aimerai certainement encore plus. ». Amusée, presque mutine, la jeune femme avait sourit en posant son regard dans celui du jeune homme. Pour une fois, même si elle était un peu gênée ce que le rose sur ses joues traduisait sans mal, elle parlait à coeur ouvert, essayant de voiler ses sentiments le moins possibles. Thomas méritait de pouvoir savoir ce qu’elle avait sur le coeur. Le jeune homme avait beau dire le contraire et s’en défendre mais pour elle, il avai tout du prince charmant, de celui dont beaucoup de petites filles rêvaient à l’entrée dans l’adolescence. Gentil, patient, doux et attentionné, avec lui Ivy se sentait aimée, choyée bien plus qu’elle ne le méritait d’ailleurs. Elle se sentait bien, pas complètement apaisée des traumatismes qu’elle avait vécu mais beaucoup plus sereine qu’elle n’avait pu l’être jusqu’à sa rencontre avec lui. Il avait un effet incroyablement positif sur la vie et le cours de l’existence de la demoiselle. Un peu comme si la vie lui laissait une ultime chance. Elle ne comptait pas la gâcher, elle ferait tout pour préserver cette relation et faire de Thomas le plus heureux des hommes. Malgré ses peurs et ses doutes incessants, elle était prête à cela puisqu’il acceptait d’avancer à son rythme à elle, sans jamais la brusquer.« ça tombe bien, je n'ai pas envie de te lâcher !» Large sourire sur les lèvres d’Ivy. Les mots de Thomas la touchait profondément, réchauffait son coeur si souvent meurtri mais qui aujourd’hui et grâce à lui, commençait à guérir, à se réparer. Elle se sentait si chanceuse d’être tombé sur Thomas, comme ami ou comme petit ami, elle n’aurait jamais pu rêver mieux que lui. Il était parfait. Pour elle en tout cas. Et elle ne doutait pas qu’il aurait û être parfait pour un grand nombre de charmantes jeunes femmes en mal d’amour. Seulement c’était elle qui avait eu la chance de le rencontrer. C’était incroyable en y réfléchissant bien mais c’était pourtant la réalité.  « Dès fois je me dit que j’ai de la chance… et je me demande comment il est possible qu’aucune fille ne t’ai kidnappée avant que je te rencontre. » Il avait beau dire le contraire, qu’il n’était qu’un garçon lambda, sans intérêt, Ivy n’en croyait pas un mot. Il n’était pas du tout tel qu’il se décrivait, tel qu’il se voyait. Et elle était persuadée que d’autres jeunes femmes avant elle avait dû le voir. Elle s’étonnait donc souvent d’avoir eu la chance de le rencontrer, qu’il ai été célibataire et surtout qu’il soit tombé sous son charme à elle qui n’avait pourtant rien fait pour cela. Voilà la conversation qui repartait de plus belle en évoquant le travail du jeune homme. Travail qu’il aimait et qui passionnait Ivy qui ne se lassait pas de l’écouter en parler.  « ce n'est pas sûr que j'arrive à garder mon sérieux si tu es dans les parages ! » La serveuse avait rit avant de rougir légèrement. Si elle avait la chance de se retrouver dans un groupe de visite guidé du musée mené par Thomas aucun doute qu’elle serait absorbée par ses explications, elle l’était toujours. Mais elle ne pourrait certainement pas s’empêcher de l’admirer, de détailler chacun de ses traits pour le graver dans sa mémoire à jamais. « Dans ce cas, c’est peut être mieux que je ne sois pas dans ton groupe… je ne voudrais pas te distraire et surtout je voudrais que les autres visiteurs puissent profiter de tes connaissances ! » Oui. Elle voulait que tout le monde, tout ceux qui viendrait visiter le musée et qui se retrouveraient dans le groupe de Thomas puissent entendre ce qu’il avait à dire, profiter de son savoir et de ses connaissances qu’Ivy trouvaient si passionnants. Elle voulait que d’autres puisse se rendre compte de ce qu’elle savait, du passionné qu’était le brun lorsqu’il s’agissait de parler d’art. Elle avait fermé les yeux quelques secondes en sentant Thomas plus près d’elle pour mieux savourer ce contact. Son souffle dans sa nuque, ses baisers qui lui brûlaient la peau l’avait électrisée. Elle se sentait étrange, une émotion pas désagréable mais inhabituelles c’était emparé d’elle. Emotion qui devenait de plus en plus fréquente lorsque Thomas était près d’elle et que lui seul savait faire naitre en elle. « alors je te réserve les visites guidées privées. viens quand tu veux ! » A nouveau un immense sourire avait pris place sur les lèvres d’Ivy. Elle avait hâte de retourner au musée et de faire cette visite avec Thomas. La dernière visite c’était conclu de manière étrange et elle avait à coeur de lui faire oublier ça, le comportement qu’elle avait eu ce soir là. Maintenant qu’elle était au clair avec ses sentiments pour lui, elle pourrait profiter pleinement de la visite et surtout de lui. Portée par ses sentiments, elle était venu déposer furtivement ses lèvres sur celles de son petit ami. Elle avait bien remarqué la surprise dans le regard de celui ci cependant il ne semblait pas avoir détesté cette soudaine spontanéité puisque rapidement il était venu s’emparer de ses lèvres, de manière bien plus passionnée qu’elle ne l’avait fait juste avant. Oubliant presque l’endroit ou ils étaient, qu’ils étaient à la merci des regards de n’importe quel passant, elle s’était laissée aller à accepter ce nouveau baiser. A nouveau elle avait savouré ce contact si particulier, frissonnant légèrement alors qu’il avait mis fin au baiser pour abonner un sujet bien plus sérieux et délicat.«  il n'y a pas d'âge pour le faire. on est tous différents et s'il te faut plus de temps, tant pis. c'est pas grave. » Elle avait confiance en lui et elle le pensait incapable de lui mentir, surtout pas sur un sujet aussi sérieux et pourtant, son esprit ne pouvait s’empêcher de se questionner à ce sujet. Peut être qu’il disait cela pour le moment mais qu’il finirait par se lasser de l’attendre. d’autant qu’elle ne pouvait pas lui dire quand elle serait prête, lui donner un ordre d’idée, elle n’en savait rien. Pour le moment elle avait l’impression d’en être encore loin, pas prête à franchir cette nouvelle étape, encore trop apeurée de se dévoiler entièrement devant lui. Pourtant elle sentait bien tout ce qu’il réveillait en elle, elle avait bien sentit se brasier s’allumer en elle, cette douce sensation qu’elle avait oublié et son désir qui grandissait un peu plus à chaque fois qu’il l’effleurait. Elle était attirée, physiquement par Thomas, elle avait envie de gouter à cela avec lui mais la peur la rattrapait, une peur viscérale et inexplicable. « Tu es sûre que ça n’est pas grave ? Je sais que c’est important dans un couple mais… j’ai tellement peur de bruler une étape… » Le jeune homme ne lui demandait absolument pas de se justifier mais elle ne pouvait pas s’en empêcher, quand bien même son explication n’était pas claire et qu’elle apportait aucune réelle solution, aucune réponse. «de toute façon, je ne compte pas partir de si tôt. même jamais. prends ton temps ivy. on a tout le temps qu'il faut ! » Comme toujours. Thomas était doux et bienveillant envers elle, prenant en compte ses peurs et ses envies. Le sujet était délicat pour Ivy et les larmes lui étaient rapidement monté aux yeux. Elle se sentait ridicule et elle avait l’impression qu’elle n’était pas à la hauteur de Thomas, qu’elle lui demandait une fois de plus de sacrifier un peu de sa vie pour elle. Pour le moment il semblait le faire avec plaisir mais elle ne pouvait s’empêcher de craindre qu’un jour le vent tourne et qu’il ne lui en veule pour tout cela. « On a tout notre temps oui… mais… je ne veux pas que tu puisses te sentir frustrée ou que tu ai l’impression que je te rejette ou je ne sais pas… Je veux pouvoir te rendre aussi heureux que toi tu ne me rend heureuse…. » Elle n’avait pas pu terminer sa phrase, sa gorge serrée par sa soudaine émotion. Elle se sentait ridicule. Ridicule d’être si sensible et ridicule d’avoir peur de passer à l’étape supérieure, une étape importante pour sceller leur couple. Pour Ivy le sexe n’était pas si important mais elle savait bien que ça l’était, que c’était un indispensable pour qu’un couple soit durable. Elle ne voulait pas perdre Thomas et elle était prise entre deux feux pour le moment. Cependant elle ne voulait pas regretter sa première fois avec lui. Finalement, elle avait détourné son attention sur le ciel et les étoiles qui apparaissaient une à une dans le ciel New Yorkais. C’était d’une beauté à couper le souffle et Ivy aimait se perdre en contemplation de la voute céleste lors de ses nuits sans sommeil. «oui, c'est magnifique. » Il l’avait un peu plus serrée contre lui alors qu’ils observaient tout les deux le soleil se coucher et les larmes avaient reculé, laissant un peu de répit à Ivy. Elle se sentait bien contre lui face à ce superbe soleil couchant. Tout était calme et elle profitait de ce moment, silencieuse quelques instants.  « dommage que je n'ai rien pour le dessiner.» Cette remarque de Thomas avait fait sourire la jeune femme. Elle n’était pas étonnée de ce qu’il venait de dire, elle commençait à la connaitre. « Peut être que si tu graves cette scène dans ta mémoire tu pourras la retranscrire quand tu seras chez toi… Mais si tu veux je peux prendre une photo ça t’aidera peut être !  » Aussitôt dit, aussitôt fait la blonde avait sortit son smartphone pour prendre une photo du magnifique couché de soleil. La photo ne lui rendait pas justice, loin de là mais cela lui ferait un souvenir et peut être un support pour une future peinture de son petit ami.« j'adore observer les étoiles moi aussi. j'ai toujours été un fanatique d'astronomie, j'ai pleins de livres qui en parlent chez moi !!  » Une nouvelle fois Thomas l’étonnait dans le sens positif du terme. Ils avaient un nouveau point commun et encore une fois il prouvait qu’il était un garçon extrêmement cultivé. Ivy avait sourit en reprenant la parole. « c’est vrai ? Moi je ne suis pas vraiment calée sur le sujet mais j’aime regarder le ciel et m’imaginer des histoires fantastiques, me poser des questions en les regardant quand je ne dors pas.  » A nouveau elle avait posé le regard sur Thomas, contemplant son visage avant de se laisser aller et de venir déposer un tendre baiser sur sa joue tout en sa calant encore un peu plus contre lui, heureuse de partager ce moment avec lui.

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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
thomivy #7

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Message Sujet: Re: je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8   je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Empty Mar 29 Juin - 11:10

je veux voir ce que tu vois. // @Ivy Wade ※※※  Les êtres humains t'ont toujours fait peur. Tu ne supportes que très mal leur présence et pourtant, depuis ton installation à New-York, tu as réussis à nouer des liens avec certaines personnes. La plupart sont partis, te laissant seul, à errer dans la ville. La personne la plus importante à tes yeux est, quant à elle, restée près de toi. Ivy. Trois lettres pour une demoiselle dont tu es tombé éperdument amoureux. Son sourire, sa façon d'être et d'agir avec toi. Sa simple présence suffit à te rendre heureux. Les moments passés en sa compagnie sont, eux, tous gravés dans ta mémoire. Tu n'arrives pas à expliquer votre lien. Il est indéfinissable et pourtant, tu sais déjà que tu es bien trop attaché à elle pour la laisser tranquille. Ses câlins, ses baisers. Tu en es devenu complètement accro désormais. Tu as énormément confiance en elle. Tu ne veux aucun mal à Ivy. Au contraire, tu ne veux que son bonheur. Sans crainte, sans peur, tu lui confierais ta vie entre ses mains. Être amoureux est nouveau pour toi. Tu ne sais pas comment ça fonctionne. Tu ne sais pas que si, du jour au lendemain, tout s'arrête aussi brusquement, la chute n'en sera que plus dure. Tu ne veux pas que cette relation avec Ivy cesse un jour. Tu la veux, à tes côtés, pour le restant de tes jours. Ta main dans la sienne. Ton regard plongé dans le sien. Ta bouche qui vient s'emparer de la sienne et qui vient l'embrasser avec passion. Ton bras autour de sa taille, la tenant ainsi tout proche de toi avec le moins d'espace entre vous. Tu aimes déjà tant partagés de tels moments avec ta petite-amie. Arrêter cette relation est impensable. La quitter le soir, lorsque tu la déposes au pied de son immeuble, est difficile. Tu aimerais tant passer la nuit à ses côtés, te poser sur le canapé près d'elle, l'enlacer lorsque vous allez vous coucher. Te réveiller à ses côtés le lendemain matin. Tous les matins, avant d'aller emprunter le métro pour rejoindre le cœur de New-York et ton travail, tu fais toujours une halte devant la pâtisserie de Jo. Là-bas, derrière le comptoir, Jo est là. Ivy aussi. Ils servent les nombreux clients matinaux. L'envie d'entrer pour l'embrasser avant de commencer ta journée de travail t'as déjà traversé l'esprit. Tu n'es pas sûr que ce soit une bonne idée. Se quitter sera encore plus difficile après ce bref moment de câlins. Le sourire de ta bien-aimée est la huitième merveille du monde à tes yeux. Tu ne te lasseras jamais de la regarder, de l'admirer. Ta main est en train de caresser la sienne, incapable de détacher le contact d'elle. Tu penches la tête vers elle, déposant un rapide baiser contre sa nuque. « Alors je viendrais dans ce cas ! » Tu dis, un petit sourire sincère et malicieux plaqué sur tes lèvres. Tu ne lui diras, cependant, pas le jour de ta visite. Ça lui fera une petite surprise dans sa journée de travail. Tu pourras passer des heures et des heures à admirer le sourire de la demoiselle sur ses lèvres. Elle est tellement belle. Parfois, tu as du mal à croire qu'Ivy et toi êtes un couple. Et pourtant, ce n'est que la vérité. Ivy est ta petite-amie. La première et, probablement, la dernière. Tu n'en veux pas une autre. C'est elle. Uniquement elle que ton cœur désire. Tu as hâte de pouvoir présenter Ivy à ta mère. C'est trop tôt encore, ta dulcinée ne semble pas prête encore et puis, au fond de toi, tu as envie de la garder pour toi. Rien que pour toi. De rester dans cette bulle que vous vous êtes construite Ivy et toi. Tu te contentes de sourire aux mots de la jeune femme. Tu déposes un baiser sur sa joue, ta main qui la lui caresse en douceur ensuite. Tu n'as pas envie de la lâcher. Jamais. « Je n'ai jamais intéressé les filles, tu sais... » Tu dis, baissant la tête un peu plus bas, en direction de l'herbe. « Ou du moins peut-être que si mais je ne voulais pas les voir... » Qui aurait pu aimer un garçon comme toi ? Trop souvent blessé, meurtri, abattu. Quant à toi, tu es bien content qu'elle ne soit plus avec son ex petit ami. Autrement, jamais tu n'aurais pu être avec elle et connaître tout ça. L'amour, l'attachement à quelqu'un. Les câlins, les baisers. Même si Ivy sera dans ton groupe de visite, tu es certain d'être en mesure de rester professionnel et de continuer à transmettre tes connaissances acquises sur les différents tableaux. « Oh ne t'en fais pas ! Je suis certain de pouvoir continuer à leur narrer l'histoire des œuvres et de leur propriétaire. Tu viens la serrer d'avantage contre toi, ton bras autour de sa taille. « Et puis dans tous les cas, nous aurons toujours les visites privées ! » Tes lèvres se perdent contre la nuque de la demoiselle. Ivy ne cessera jamais de te surprendre. Elle vient t'embrasser avec douceur. Toi, tu viens prolonger le baiser, cette fois de manière plus passionnée. Oubliant totalement l'endroit où vous vous trouviez, et que les passants puissent vous voir. Tu n'as pas à avoir honte de ça, de cette relation. La discussion devient soudainement plus sérieuse entre vous. « Important dans un couple banal certainement. Mais moi, je m'en fiche de le faire avec toi dans la minute qui suit ou six mois plus tard. J'suis bien avec toi tu sais, Ivy. » Tu avais dit ces mots prononcés dans un souffle, ton front posé contre celui de la jeune femme. Faire l'amour avec Ivy n'est pas dans tes priorités. Bien sûr, ton corps commence à la réclamer, ne désirant faire qu'un avec elle. Tes mains s'emparent des joues de la jeune femme. Ton regard se plonge dans celui de la jeune femme. « Je ne veux pas que tu te prennes la tête avec ça Ivy, d'accord ? On a le temps pour le faire, et puis je ne suis pas avec toi uniquement pour le sexe. J'aime bien être avec toi. Tu me rends déjà heureux, juste ta présence. » Tu dis, soupirant lentement, ta tête contre celle de ta bien-aimée. Le spectacle se déroulant devant vos yeux est tout simplement magnifique. Dommage que tu n'aie rien pour le dessiner. Ta mémoire essaie de le capter chaque moment, chaque couleur pour pouvoir être capable de le retranscrire sur une feuille de canson blanche plus tard dans la soirée. Ton bras passe autour des épaules de la jeune femme. Tu la serres contre toi, tout en observant le ciel en face de vous. La lune commence à apparaître et le soleil commence à décliner, se cachant derrière les immeubles. La nuit commence à prendre place dans les rues de la ville. Il va bientôt être l'heure de rentrer et de quitter ta bien-aimée pour la soirée. « Tu veux que je te ramène chez toi … ? » Tu demande un peu à contre cœur, ne voulant pas quitter ta petite-amie si tôt. Le temps passe trop vite. Pourtant, tu sais bien que tu vas vite la retrouver et que vous allez encore vous échanger des messages tout au long de la soirée et de la journée du lendemain. Tu commences à rassembler les plats tous vides ou presque et les remet avec soin dans le panier. « Terminer une journée de travail de cette manière était vraiment grandiose. » Tu dis, venant voler un baiser à ta dulcinée.

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Message Sujet: Re: je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8   je veux voir ce que tu vois. | thomivy #8 - Page 2 Empty Sam 3 Juil - 15:59




To kiss in cars and downtown bars was all we needed



Ami, meilleur ami, petit ami, confident aussi. Thomas était tout cela pour la jeune femme. Et il l’était devenu en peu de temps finalement. Il lui avait fallu à peine une année pour prendre autant de place dans la vie de la blonde. Successivement, il avait rempli tout ses rôles. Elle n’était pas encore capable de lui raconter tout ce qu’elle avait vécu, de lui dire tout ce qu’elle avait sur le coeur et les heures sombres qu’elle avait traversé et qui parfois, resurgissaient encore un peu dans son quotidien mais avec le temps elle était persuadée que cela viendrait. Pour le moment, elle essayait de profiter de ce début de relation avec Thomas autant que possible. Elle en profitait d’autant plus qu’elle savait combien les choses pouvaient changer très vite, à quel point du jour au lendemain tout pouvait être différent. Une tragédie était si vite arrivée. Si elle devait perdre Thomas, que ce soit dans un avenir proche ou lointain, elle voulait avoir profité de lui autant que possible, profité de leur relation et de la personne qu’elle était lorsqu’il était prêt d’elle, elle voulait avoir le moins de regrets possibles. Elle savait que si un jour tout venait à s’arrêter, aussi rapidement que leur histoire avait débuté, elle aurait des regrets quoi qu’elle fasse. Elle savait aussi qu’elle ne s’en relèverait pas alors elle voulait profiter, autant que possible, de cette nouvelle chance que lui offrait la vie en essayant, autant que possible de faire taire ses peurs qui resurgissait sans cesse, de plus en plus prenantes et envahissantes au fil de moments passés avec Thomas. Elle savourait chaque instant passé avec lui et appréciait chaque petite attention, chaque contact même involontaire entre leurs deux êtres, chaque câlin et chaque baiser de Thomas. Avec lui elle redécouvrait la grandeur de l’amour et la douceur, la beauté que ce sentiment était capable d’apporter dans une existence même aussi sombre que la sienne. « alors je viendrais dans ce cas ! » Un immense sourire s’était affiché sur les lèvres de la blonde. Elle avait l’impression d’en demander trop à Thomas, elle avait l’impression qu’il se mettait sans cesse en quatre pour elle et cela la gênait car elle avait aussi l’impression de ne pas en faire assez, de ne pas le mériter mais elle ne pouvait pas s’empêcher de se sentir heureuse lorsqu’elle entendait des mots comme ceux qu’il venait de prononcer. Elle ne pouvait pas cacher sa joie à cette annonce. « On t’as déjà dit que tu étais parfait ?! » Et ce n’était pas des paroles en l’air. Pas du tout. Elle pensait réellement les mots qu’elle venait de prononcer. Thomas était parfait, en tout cas pour elle et il aurait pu l’être pour bien d’autres jeunes femmes. Ivy n’était pas vraiment différentes des autres après tout, elle ne demandait que de l’attention et de l’amour, comme beaucoup de demoiselles d’ailleurs. Alors si elle trouvait Thomas parfait, beaucoup d’autres auraient certainement le même avis qu’elle si elles le rencontraient. Seulement, pour le moment, c’était avec elle que Thomas était et elle n’avait guère envie de le partager. Elle n’était pas égoïste mais elle voulait le garder pour elle en espérant que ce sentiment serait toujours réciproque. « je n'ai jamais intéressé les filles, tu sais... ou du moins peut-être que si mais je ne voulais pas les voir...  ». En entendant le début de sa phrase, Ivy avait froncé les sourcils. Elle n’en croyait pas un mot. Elle allait rétorqué mais Thomas avait pris la parole à nouveau. Et les mots qu’il avait ajouté semblait, pour Ivy, être plus proches de la réalité. Elle ne pouvait pas croire que Thomas n’avait jamais intéressé les filles alors qu’il avait tout pour plaire. Il était gentil, serviable, aimable, il avait toutes les qualités pour plaire au filles. Et, même sans le connaitre, physiquement il était plutôt au gout de bon nombre de demoiselles, Ivy en avait la certitude. Thomas n’avait certainement jamais ouvert les yeux la dessus, bien trop persuadé qu’il était inintéressant. Cette idée faisait de la peine à Ivy et, en même temps, elle se disait qu’elle avait sans doute de la chance car sans cela, elle n’aurait certainement pas eu cette chance incroyable de devenir sa petite amie et de pouvoir partager son quotidien. « Ca m’étonnerais, c’est en effet plus parce que tu n’as jamais voulu le voir que tu dit ça… si tu veux mon avis tu es, et tu étais surement déjà quand tu étais lycéen, au gout de bien des filles, crois moi… ». Elle avait sourit avec douceur tout en serrant un peu plus la main du jeune homme dans la sienne tandis que la conversation dérivait désormais sur le travail de ce dernier.
« oh ne t'en fais pas ! je suis certain de pouvoir continuer à leur narrer l'histoire des œuvres et de leur propriétaire. et puis dans tous les cas, nous aurons toujours les visites privées ! » Ivy ne doutait ni des connaissances de Thomas, ni de sa capacité à rester professionnel même si elle se trouvait dans son groupe au moment de la visite guidée. Quoi qu’il en soit elle était impatiente de le voir à l’oeuvre que ce soit lors d’une visite guidée en groupe ou d’avoir la chance de l’écouter, en tête à tête avec lui, au milieu des oeuvres exposées sur son lieu de travail. « Je suis chanceuse ! Merci Thomas, vraiment ! » Son sourire ne mentait pas, Ivy était vraiment ravie de cette perspective de pouvoir profiter des visites avec Thomas, que ce soit dans un groupe ou seule avec lui et elle était également plus qu’heureuse pour lui, qu’il ai cette opportunité de montrer ses connaissances au plus grand nombre et surtout d’avoir la reconnaissance de son patron. La blonde était extrêmement fière de lui. La sensation des lèvres de Thomas dans sa nuque l’avait fait frissonné des pieds à la tête. Il avait ce don de lui faire ressentir des sensations qu’elle n’avait jamais connue encore ou qu’elle avait oublié, de la transporter ailleurs en un clin d’oeil. Sous le coup de l’émotion, oubliant l’endroit ou elle se trouvait, elle n’avait pas pu résister à son envie soudaine de l’embrasser, de retrouver le contact si doux de ses lèvres sur les siennes.
La conversation était ensuite devenue bien sérieuse en prenant un tournant auquel Ivy ne s’était pas attendue, elle qui n’était absolument pas à l’aise avec ce sujet. « important dans un couple banal certainement. mais moi, je m'en fiche de le faire avec toi dans la minute qui suit ou six mois plus tard. j'suis bien avec toi tu sais, ivy. » Ivy avait du mal à regarder Thomas dans les yeux. Ces mots étaient rassurants mais elle se sentait honteuse. Elle n’avait jamais été très à l’aise avec le sujet, plutôt pudique et manquant clairement de confiance en elle, mais c’était devenu pire après ce qu’elle avait vécu et après sa rupture. La simple idée de se retrouver nue devant Thomas la mettait encore mal à l’aise même si elle ne pouvait pas nier qu’il réveillait petit à petit ses désirs les plus profonds. Peut être qu’elle réfléchissait trop mais elle avait du mal à faire autrement et à faire taire ses angoisses. « Moi aussi je suis bien avec toi Thomas… Je ne veux pas que tu penses que c’est de ta faute… » Non, elle ne voulait surtout pas, sous aucun prétexte, que Thomas puisse pensé que c’était sa faute s’ils n’étaient toujours pas passé à l’acte. Elle était la seule fautive la dedans, trop angoissée pour réussir à passer cette étape malgré la confiance qu’elle avait en Thomas. Le jeune homme avait doucement attrapé son visage entre ses mains, la forçant à la regarder alors qu’il reprenait la parole avec beaucoup de délicatesse.«  je ne veux pas que tu te prennes la tête avec ça ivy, d'accord ? on a le temps pour le faire, et puis je ne suis pas avec toi uniquement pour le sexe. j'aime bien être avec toi. tu me rends déjà heureux, juste ta présence. » Un léger sourire était réapparu sur les lèvres de la blonde dont les yeux était toujours humides de tant d’émotions qui l’avaient traversées. Thomas avait toujours les mots pour la rassurer, lui redonner le sourire lorsqu’elle se sentait mal ou débordée pas ses émotions. Elle n’avait pas su quoi répondre, ne trouvant pas de mots à la hauteur de ce qu’il venait de lui dire alors elle s’était contentée de sourire tout en caressant le dos de la main du jeune homme avec douceur. Le coucher de soleil, superbe, qui s’offrait à eux leur avait donné une bonne raison de changer de sujet et revenir à un peu plus de sérénité. Elle avait laissé Thomas la serrer un peu plus fort, appréciant cette proximité chaleureuse dont elle avait maintenant beaucoup de mal à se passer. « tu veux que je te ramène chez toi … ? » Ivy avait affiché une légère moue, pas vraiment ravie de devoir rentrer chez elle mais sachant très bien qu’elle ne pourrait pas éviter ce moment, simplement le retarder. Le temps ne s’était pas arrêter de filer malheureusement. « Je n’ai pas envie de bouger… mais si c’est obligatoire alors oui je veux qu’on fasse le chemin du retour ensemble. » Hors de question de se séparer de Thomas maintenant alors que tout deux habitaient dans le même quartier et que, par conséquent, ils allaient repartir dans la même direction tous les deux. Le trajet du retour permettrait à Ivy de profiter encore un peu du brun avant de retrouver son appartement et Socrate qui devait l’attendre de pieds ferme. « terminer une journée de travail de cette manière était vraiment grandiose.» Elle avait accepté ce nouveau baiser avec plaisir, ne se lassant pas du contact des lèvres de Thomas sur les siennes, bien au contraire, elle en était bien rapidement devenu accro comme de tout ses petits gestes tendres et si doux qu’il avait sans cesse à son encontre. « Je suis bien d’accord avec toi…. Merci pour cette surprise ! » A nouveau elle était venu déposer un baiser sur la joue du jeune homme ne guise de remerciement avant de l’enlacer doucement, se serrant contre lui tout en continuant à observer le soleil qui terminait de se coucher lentement.

panic!attack


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