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 I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy

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Ivy Wade



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Ré-illusionnée la petite fille au coeur brisé a enfin cédé à la tentation et se laisse tomber dans les bras de ce garçon qui pourrais bien être son sauveur
Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
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Message Sujet: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Lun 15 Fév - 17:02




I tried to pick my battles 'til the battle picked me




Au départ le week-end s’annonçait calme pour Ivy. Hormis le travail, elle n’avait rien de prévu. Comme tous les week-end en fait. La blonde ne sortait que très rarement pour ne pas dire qu’elle ne sortait pas du tout. Ivy était plutôt casanière parce qu’elle avait bien trop peur du monde extérieur pour sortir vadrouiller à l’extérieur des jours durant. Une ou deux heures lui suffisait largement lorsqu’elle sortait. Ses nerfs étaient déjà bien assez mis à rude épreuve. Elle avait également peur d’elle-même et c’était une peur difficile à contrôler, insidieuse et terrifiante. Depuis sa sortie de clinique elle n’était plus vraiment capable de prévoir ses réactions face aux autres et aux évènements imprévus. Et cela la tétanisait. Seulement dans la fin de la semaine elle avait reçu un sms de Thomas, lui demandant si elle voulait passer chez lui pour ce qu’il appelait une anti Saint Valentin, un concept assez marrant et parfaitement adapté pour un coeur meurtri comme celui de la jeune femme. Elle avait accepté, ce serait l’occasion, en plus de voir Thomas, qu’il lui face visiter son appartement, qu’elle vérifie l’état de la plante qu’elle lui avait offert quelques semaines plus tôt et qu’elle lui fasse gouter les recettes qu’elle avait préparée et présélectionner pour la soirée organisée au musée à laquelle Thomas avait réussi à faire embaucher Jo’ et son employer afin de fournir le buffet sucré qui accompagnerait les convives lors de l’inauguration. Elle avait accepté la proposition mais aussitôt après, elle avait regretté, morte de peur. Elle commençait à connaître Thomas, il était gentil, attentionné, bienveillant. Elle avait le sentiment, l’intime conviction, qu’elle pouvait lui faire confiance même si elle ne le connaissait pas depuis une éternité. Il avait toujours montré qu’il était digne de confiance, jamais une parole de travers, jamais un geste déplacé. Il était tactile, oui, elle s’y habituait chacun étant comme il était, mais il ne lui avait jamais manqué de respect, il n’avait jamais essayé de la contraindre à quoi que ce soit. Aller chez lui était une étape de plus dans leur relation, relation qu’elle ne savait d’ailleurs pas vraiment définir. C’était un ami certainement. C’était en tout cas ce qu’Ivy voulait croire, que c’était là une amitié en voie de construction. Mais était il normale d’être aussi perturbée par un simple ami ? Même pour elle ? Elle l’ignorait et elle préférait chasser ces interrogations de son esprit parce qu’elles lui tordaient l’estomac, apeurée par ce que ça pouvait être, si ça n’était pas de l’amitié. Le grand soir était arrivé. Elle ne pouvait plus reculer. Elle se sentait mal à l’aise, son ventre était serré, sa gorge nouée. Elle avait mis un certain temps avant de choisir sa tenue. Pour une raison qui lui était inconnue, elle voulait être jolie, à son avantage en tout cas mais elle ne voulait pas en faire trop. Ça n’était pas un rendez-vous galant après tout et Thomas ne devait, sous aucun prétexte penser que c’était ainsi qu’elle avait perçu cette invitation. Une fois la tenue soigneusement choisie, elle s’était remaquillée rapidement, sa journée de travail ayant estompé un peu son maquillage. Elle avait pris avec elle, dans une petite glacière les entremets qu’elle avait préparé la veille en guise de test, pour les faire gouter à Thomas. Jo’ avait accepté de l’aider mais cette activité n’étant pas dans ses projets initiaux il avait demandé à sa serveuse de choisir elle même la carte de ce qui allait être proposé aux prestigieux invités. C’était une grosse pression pour la fragile Ivy mais elle ne voulait décevoir ni son patron, ni son ami alors elle mettait du coeur à l’ouvrage, rentabilisant ses nuits sans sommeil en cuisinant sans cesse, testant différents assortiments, différentes textures. C’était une soirée de gala, elle ne se permettait donc pas trop de fantaisie que ce soit au niveau de la couleur ou des gouts mais tout ce qu’elle allait faire devait être absolument parfait. Thomas serait son cobaye, elle avait confiance en ses gouts et elle était aussi impatiente, qu’apeurée de connaitre son avis. Thomas habitait assez proche d’elle, ce qui était pratique et rassurant pour la jeune femme. Elle avait rapidement traversé les rues qui la séparait de chez Thomas, ses écouteurs sur les oreilles mais le son à un volume très faible pour lui permettre de rester vigilante à son environnement. Elle arriva enfin devant le bâtiment du jeune homme et sonna à l’interphone pour qu’on lui ouvre la porte puis elle monta les étages pour arriver devant la porte du jeune homme qui ne tarda pas à s’ouvrir. Pendant les quelques secondes d’attente tout un tas de questions lui traversèrent l’esprit, elle se demanda même si elle ne se jetait pas dans la gueule du loup en allant, d’elle même chez le jeune homme et puis, toutes ses peurs s’évanouirent lorsque le sourire du brun l’accueilli sur le pas de porte, elles reviendraient certainement dans la soirée mais pour le moment elles lui laissaient quelques instants de répits pour savourer les retrouvailles avec Thomas. Un large sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu’il ouvrit la porte. « Me voilà ! Je ne suis pas venue les mains vides ! Je voulais en profiter pour te faire gouter mes premiers essaies pour la soirée du musée… ». Elle avait sourit en désignant la petite glacière qu’elle portait à la main.

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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Mar 16 Fév - 10:32



i tried to pick my battles 'til the battle picked me.
Nom féminin.
Action ou attaque inopinée.


Le week-end s'annonce calme pour toi. Du plus loin que tu t'en souviennes, tu n'as jamais fait parti de ces personnes qui avaient des week-ends à mille à l'heure de prévu. Non, toi, tu as toujours été un garçon calme et discret. Tu n'étais jamais celui que l'on invitait aux soirées. Non, toi, t'étais celui qui restait seul, dans sa chambre d'adolescent à regarder pour la centième fois le même film ou relire, encore et encore, ce livre que tu adore par-dessus tout. T'as jamais été à l'aise parmi la foule. Ce n'est que depuis l'année dernière que les choses semblaient aller pour le mieux pour toi. Jusqu'à il y a encore deux mois, tu passais la plupart de tes soirées en compagnie de Ella. Mais suite à ton emménagement, te revoilà à la case départ. Seul, chez toi et, contre toute attente, tu apprécie ce petit moment de solitude et de calme. Il faut dire qu'au musée, il y a un brouhaha permanent et parfois, tu as bien du mal à le supporter. Lorsque tu sens que t'es sur le point de péter un plomb, c'est vers Ella que tu tourne ou, plus récemment, vers Ivy. T'ignore comment elle s'y prend mais à chaque fois, elle arrive à trouver les bons mots pour te calmer, te rassurer.

Dans quelques jours, c'est la saint Valentin. La fête des amoureux. Tu as eu une idée assez folle de proposer une soirée anti saint Valentin à Ivy. Il n'y a personne d'autre avec qui tu as envie de passer cette soirée. Ella sera certainement bien occupée avec Ambroise. Tu as réellement envie de passer cette soirée en compagnie de la petite tête blonde. Cela fait maintenant six mois que vous vous connaissez. Ou que vous apprenez à vous connaître. Tu l’apprécies vraiment, et de plus en plus chaque jour. Elle est douce, gentille, bienveillante envers tout le monde. D'après les dires de ta mère, lorsque tu lui en a fait mention, tu es en train de tomber sous le charme de la demoiselle. Ça ne te fais pas peur, au contraire, tu apprécie ces nouveaux sentiments qui s'emparent de toi. Tu n'es pas effrayé, tu te sens bien et heureux. Ça fait des années, au moins quinze ou vingt ans, que tu ne t'ai pas senti aussi bien.
Après une longue et éprouvante journée, tu franchis enfin le seuil de ton appartement. Les clés dans le petit vide poche à l'entrée, ta veste roulé en boule le buffet, tes chaussures dans l'entrée. Tu viens t'asseoir lourdement sur le canapé et faire un petit tour sur ton téléphone puis, tu sens que tes yeux se ferment doucement. T'as encore passé des heures entières à travailler sur cette fresque de mosaïques. La fatigue oculaire s'empare de toi et t'envoie le temps de quelques minutes dans les bras de Morphée. Jusqu'à la sonnette de ta porte d'entrée retentisse et te fasse sursauter de surprise. Qui est-ce ? Tu n'attends personne pourtant. Ella, peut-être. Tu lui avais dit qu'elle pourrait passer chez toi quand elle le voudrait. Tu viens donc ouvrir la porte et là, la surprise est telle que tu n'y crois pas.
Ça y est, ça te revient. La soirée anti saint Valentin. La pâte à crêpes est prête, il n'y a plus qu'à les faire. Lies pizzas seront prochainement commandées. Tu viens déposer un léger baiser sur la joue de Ivy et laisse entrer chez toi. C'est la première fois qu'elle pénètre chez toi, tu te sens légèrement euphorique de cette situation. « Entre ! Fais comme chez toi ! Tu as bien fait, je sens qu'on va se régaler ! » Tu viens t'emparer de ton pc portable. « Tu préfère quelle pizza ? J'préférais t'attendre avant de commander ! » Tu l'observe attentivement. Sa tenue lui va à ravir, elle est magnifique. « Tu devrais mettre des jupes plus souvent, ça te va très bien et puis, tu as des jambes juste parfaite ! » Tu dis cela, en espérant ne pas mettre la demoiselle mal à l'aise.


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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Mar 16 Fév - 12:35




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Hormis les évènements spéciaux organisés chez Joseph, pendant lesquels le café était ouvert à des horaires plus tardifs que d’habitude, depuis son retour à New-York, Ivy ne trainait jamais dehors après le travail. La blonde peinait déjà à aller faire ses courses à la supérette du coin, trop apeurée, intimidée par son environnement pour se mêler trop longtemps à la foule même lorsqu’elle était peu danse. Et dire qu’autrefois, dans son adolescence elle avait fait partie, bien malgré elle ceci dit, du groupe des filles populaires de son lycée, et de son université. Ce n’était pas à elle qu’elle devait cette popularité car elle avait toujours été discrète, facilement intimidée par les autres. Cette popularité qu’elle devait surtout à Marjorie, sa meilleure amie aujourd’hui disparue d’avoir été trop adulée, trop épiée dans ses moindres faits et gestes jusqu’à la pousser à commettre un geste irréparable, n’avait pas eu que des effets positifs sur elle non plus. Elle était souvent tombée sur des personnes mal intentionnées, elle qui n’était dotée d’aucun mauvais esprit, et sa naïveté l’avait souvent conduit sur des pentes plus que glissantes. Elle n’avait pas vraiment changé aujourd’hui sauf qu’elle n’avait plus vraiment d’amis. Disparaitre pendant plusieurs moi lui avait permis de se faire oublier de ses mauvaises fréquentations, de ceux qui ne lui voulaient que du mal, se faisant elle avait aussi effacer de sa vie des gens honnêtes et gentils, trop apeurée de venir frapper à la porte de ceux qui avaient été ses amis et qu’elle avait lâchement abandonnée, sans un mot, sans une nouvelle, pendant plusieurs mois, n’ayant pas le courage d’affronter les questions qui se poseraient sans aucun doute, incapable de raconter son histoire, ce qui lui était arrivé. Trop honteuse d’avoir été si faible. Aujourd’hui, vivre seule, presque recluse, représentait une sécurité pour elle étant donné qu’elle était incapable de se protéger réellement et durablement. Ce soir, avec Thomas, elle appréhendait un peu le fait de se retrouver seule à seule avec lui, chez lui. Parce que si ses émotions la débordaient comme un ras de marée incontrôlable, elle n’aurait aucune échappatoire, presque aucune façon de détourner l’attention comme elle avait pu le faire, habilement au cinéma, au café ou à la jardinerie. C’était une autre étape, difficile et effrayante pour Ivy. Mais elle ne pouvait pas se dégonfler, elle ne pouvait pas décevoir Thomas qui avait l’air si heureux lorsqu’elle avait accepté du bout des lèvres l’invitation. Et puis durant les derniers mois passés à faire, doucement, la connaissance du jeune homme, il avait appris à l’apprivoiser, doucement mais surement, sans jamais la brusquer, ou jamais trop car elle avait pu se sentir mal à l’aise, ses défenses mise à mal par sa façon d’être, tactile mais jamais trop entreprenant. Petit à petit il avait commencés confiance. Certes elle était fragile et pouvait se briser si facilement mais elle était précieuse et Ivy avait envie de croire que Thomas était un homme sans vice, qu’il ne pouvait lui vouloir aucun mal. Ce qui la perturbait le plus, c’était les sentiments contradictoire qui naissaient en elle, les sentiments qu’elle préférait refouler mais qui devenait difficile à contenir à chaque fois qu’elle le voyait, qu’il se rapprochait d’elle et qu’il l’effleurait. Il n’en était certainement pas conscient, ou peut être que si et qu’il en jouait allègrement, mais tous les sens d’Ivy étaient en alerte lorsqu’il était là, qu’il s’approchait, le sourire aux lèvres pour lui effleurer la main ou la joue avec une innocence candide, loin de laissé Ivy indifférente alors qu’elle aurait voulu que cela ne lui fasse rien. Elle avait peur et… elle avait mal aussi parce qu’elle avait l’impression que quelque chose en elle se réveillait, quelque chose qu’elle avait cru mort, qu’elle avait voulu oublier pour ne pas souffrir ou pour souffrir moins, pour tenter de guérir en tout cas. Au pieds de l’immeuble du jeune homme son coeur s’était emballé, son esprit s’était mêlé de tout ça, les voix dans sa tête lui hurlaient de faire demi-tour, qu’elle prenait de gros risque en venant là. C’était tremblante qu’elle avait monté les escaliers et qu’elle avait sonné à la porte du jeune homme. Et puis, quand il avait ouvert, qu’il lui avait sourit, la peur s’était envolée. Ce baiser, pourtant anodin qu’il vient déposer avec délicatesse sur sa joue, sans hésitation alors qu’il connait ses réticences face au contact physique, la fait frissonner. Un sourire idiot s’afficha sur les lèvres de la blonde tandis que dans tête elle s’efforçait de faire taire ce qui se jouait. Elle n’était pas en train de tomber sous le charme du brun. C’était impossible parce qu’elle n’était plus capable de connaitre ce genre de sentiments. Elle avait déjà eu sa chance, elle l’avait raté, l’homme de sa vie était partie, même lui n’avait pas été capable de la supporter plus longtemps et il avait eu raison. Et pour le bien de Thomas, ce dernier devait aussi faire attention. Elle lui dirait un jour certainement car arriverait bien un jour ou elle lui devrait des explications. Elle pouvait être son amie, elle voulait le croire, mais elle ne devait pas le laisser trop s’accrocher à elle pour ne pas le mettre en danger. Elle était maudite et un jour Thomas devrait le savoir. « Entre ! Fais comme chez toi ! Tu as bien fait, je sens qu'on va se régaler !» Un peu hésitante malgré tout, Ivy était entrée, suivant les indications de Thomas qui l’avait rapidement débarrassée de son manteau et elle l’avait suivi jusque dans le salon chaleureux. « Tu préfère quelle pizza ? J'préférais t'attendre avant de commander ! ».  Ivy avait suivi Thomas, s’installant près de lui pour regarder l’écran de l’ordinateur que Thomas avait tourné vers elle. Elle n’eut pas à réfléchir longtemps puisque, lorsqu’elle commandait des pizzas, elle choisissait toujours la même. « Quatre fromage… enfin si ça te conviens aussi…» Elle avait sourit avec délicatesse comme toujours en osant, pour une fois, garder les yeux posées sur le jeune homme. Il avait l’air heureux, calme et serein. Et cela l’apaisait, elle qui ne trouvait jamais la paix dans son esprit. Thomas avait ensuite repris la parole. « Tu devrais mettre des jupes plus souvent, ça te va très bien et puis, tu as des jambes juste parfaite ! ». Instantanément Ivy avait piqué un fard et baissé les yeux. Elle ne pouvait pas dire qu’un compliment ne lui faisait pas plaisir. Elle avait mis des heures à choisir sa tenue et elle ne pouvait pas nier, malgré ce qu’elle voulait croire, que c’était pour plaire à Thomas. Ce soir, elle avait eu envie de paraitre jolie à ses yeux puisqu’elle n’allait voir que lui ce soir. Malgré tout, elle avait du mal à accepter un compliment, surtout lorsque celui-ci la touchait autant. Il n’y avait pourtant pas vraiment de raison. Thomas était juste un jeune homme gentil, galant et attentionné. C’était même étonnant, avec cette façon d’être, un véritable gentleman, qu’il ne passe pas cette soirée accompagnée et pas pour une soirée Anti Saint Valentin… Trop mal à l’aise, elle avait éprouvé le besoin de changer, brusquement, de sujet.  «  Je… Ton appartement est super sympa… encore plus que sur les photos même ! » Maladroitement, elle avait tourné le visage vers Thomas pour lui sourire et elle avait perçu un léger désarroi chez lui. Prenant son courage à deux mains alors elle avait repris la parole. « Thomas… merci pour tes gentils mots. J’adore les jupes mais… je n’ai pas tout le temps l’occasion d’en mettre et quand je dois traverser le Queens toute seule le soir, je ne suis pas très rassurée parfois alors je préfère éviter même si je me fait peut être des films pour rien. ». Elle avait timidement relevé les yeux vers le brun, un sourire léger au coin des lèvres. Elle n’avait pas forcément à se justifier face à ce compliment mais c’était Ivy, il fallait qu’elle le fasse pour arriver à l’accepter ou du moins à faire semblant. Les mots de Thomas, même s’il n’avait rien d’exceptionnels pour le commun des mortels, la touchait profondément pour une raison qu’elle ignorait.

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une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Mer 17 Fév - 10:32



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Ça, tu ne t'y attendais pas. Enfin si, tu avais envoyé un message texte à Ivy pour lui proposer de passer la soirée de la saint Valentin ensemble. Sauf que, à l'exception de tout les autres, tu n'avais nullement l'intention de passer une soirée romantique en la compagnie de la blonde. Non pas que tu n'en ai pas envie. Mais Ivy et toi, vous n'êtes pas un couple. Et puis, le romantisme tu ne sais pas ce que c'est. Tu n'as aucune idée de ce qu'il faut faire ou non. Alors, à la place du soirée classique de la saint Valentin, tu as proposé une soirée anti saint Valentin. Au programme : série ou film, pizza, crêpes. Quelques bières si elle le souhaite, du soda ou de l'eau. Ivy a proposé d'emmener, avec elle, quelques unes des pâtisseries qu'elle a pu réaliser. Tu as hâte de les goûter, toi l'éternel glouton. Tu en as déjà l'eau à la bouche. Peut-être que si tu n'avais pas une journée si épuisante, aussi bien physiquement que mentalement, tu n'aurais probablement pas oublié de préparer ton appartement un peu mieux à l'arrivée de Ivy. Heureusement, hier tu as passé un coup d'aspirateur et de chiffon à poussière. La vaisselle est faite, le linge a été pendu et ramassé. Il ne reste qu'à le plier et le ranger avec soin dans ton armoire. Tu n'es ni maniaque, ni désordonné. Tu aime que ton appartement soit rangé, impeccable, propre avec un minimum d'ordre. Outre le foutoir dans ton entrée. Tu dois encore recevoir un meuble pour pouvoir accrocher tes vestes et ranger tes chaussures. L'appartement est bien, il a une excellente luminosité. En revanche, il manque cruellement de placard. Tu dois trouver différents moyens pour pouvoir ranger tes affaires.

Tu t'es assoupi sur le sofa. C'est la sonnette de la porte d'entrée qui te réveille, tu sursaute et viens ouvrir. Les cheveux légèrement décoiffés, le regard heureux de voir la jeune femme enfin devant la porte de ton appartement. Tu la laisse passer, puis vient refermer la porte à clés. Un automatisme que tu as pris à l'époque où tu vivais avec Ella déjà. Vous êtes dans le Queens, l'un des quartiers pas très recommandables de la ville. Et puis, il y a des malades mentaux partout. Parfois, quand tu lis un journal ou les nouvelles sur internet, toutes les horreurs qui se passent aux quatre coins du monde te font froid dans le dos.
Voir Ivy chez toi ne te laisse pas de marbre. À l'intérieur, tu es comme un enfant qui s'apprête à ouvrir ses cadeaux d'anniversaire. Ivy a eu l'exclusivité de l'aménagement de ton appartement grâce à l'option photo de ton smartphone. Aujourd'hui, enfin, après deux mois, elle est enfin là, chez toi. « T'as vu ? Elle pousse bien ta plante je trouve ! » Tu l'a placé juste à côté de ton canapé, sur une petite table en rond. La fenêtre donne sur la plante qui profite de la lumière du matin au soir.
Sur le canapé, tu t'installe à côté de Ivy et lui montre la page d'accueil du site de livraison des pizzas. « Ok. Quatre fromages pour toi et chorizo pour moi ! » Tu t'exclame et t'empresse de passer la commande. T'as toujours adoré les aliments un peu piquants. Ça a toujours été fait partis de tes préférés. Certains te prennent pour un fou mais toi, t'adore ça. Tous les goûts sont dans la nature.

Tu viens complimenter la demoiselle sur sa tenue, elle est ravissante en jupe mais elle a raison, ce n'est pas prudent pour une demoiselle de se promener la nuit seule et vêtue de la sorte. C'est bien dommage. Tu ne comprendras jamais pour quelle absurde raison un homme ose s'en prendre à une jeune femme innocente. Les femmes devraient pouvoir s'habiller comme elles le souhaitent et non pas comme les hommes voudraient qu'elles s'habillent. Ivy, comme à son habitude, se met à rougir. Une main sous son menton, tu lui relève la tête et soutient son regard. « Même si ça n'arrive que rarement, tu es ravissante dans cette tenue. Ça me plaît beaucoup ! » Tu les sens, dans ta poitrine, les battements de ton cœur qui tambourinent fortement. « Si jamais tu veux que je te raccompagne chez toi un soir, t'auras qu'à me le dire. » Tu dis, sur un ton très sérieux. T'angoisse un peu de la laisser rentrer seule chez elle, surtout la nuit. On ne sait pas sur qui on peut tomber. Tout comme tu angoisse de savoir Ella toute seule, bien qu'Ambroise soit là pour prendre soin d'elle. Ivy, elle a personne. Sauf toi. Tu t'es mis en tête de la protéger quoi qu'il arrive. « Je te fais visiter ? » Tu demande, soutenant toujours le regard de la demoiselle.



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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Mer 17 Fév - 15:36




I tried to pick my battles 'til the battle picked me




Ivy devait s’efforcer d’arrêter de penser au passé. Mais ce n’était pas une chose facile. Elle essayait d’aller de l’avant, tant bien que mal, plus parce qu’elle n’avait pas vraiment le choix puisqu’elle respirait encore. Certains jours étaient plus difficiles que d’autres à affronter soit parce que la date était symbolique aux yeux d’Ivy, soit, tout simplement, parce que son humeur n’était pas au beau fixe, que le coeur n’y était pas. Les fêtes de fin d’années avaient été une période compliquée pour elle pour tout ce qu’elles représentaient et parce que c’était la première fois qu’elle les passaient hors de la clinique depuis sa descente aux enfers. Son psychiatre avait augmenté les doses de son traitement afin de la stabiliser un peu et il avait hésité à la faire hospitaliser à nouveau, ne serait ce que quelques jours, pour lui permettre de souffler un peu et d’être sous surveillance. Juste au cas où. La saint Valentin n’était pas non plus une date facile pour Ivy. Voir ces coeurs et ces symboles d’amours à tous les coins de rue était difficile pour elle, même si cela pouvait sembler bête ou niais. Cela ne faisait que lui rappeler qu’elle était seule, que même lui l’avait quitté. La proposition de Thomas, une soirée anti Saint Valentin était une chance pour Ivy de ne pas passer sa soirée seule. Elle aimait la solitude mais la solitude, bien souvent, faisait remonter en elle des choses qu’elle s’efforçait d’enfouir et de cacher pour ne pas se laisser envahir en publique. Seulement, elle était bien obligé de les laisser prendre le dessus parfois… Elle angoissait d’aller chez Thomas mais elle lui faisait confiance, déjà. Sa bienveillance constante, sa délicatesse, elle était convaincue qu’il ne lui ferait jamais le moindre mal. Thomas était quelqu’un de bien et c’était ce qu’elle s’efforçait de croire, de se convaincre en se le répétant sans cesse.  Pas rassurée, elle avait sonné chez lui et les angoisses s’étaient envolées, pour le moment, lorsqu’il lui avait ouvert sa porte. « T'as vu ? Elle pousse bien ta plante je trouve !». Thomas ne lui laissa pas vraiment de répit, pas le temps de faire demi-tour ou de réfléchir, il engagea tout de suite la conversation en dirigeant Ivy vers le salon. Il commençait visiblement à bien la connaitre et il devait avoir compris maintenant que, si elle avait besoin d’espace et de temps pour réfléchir à ce qu’elle allait dire ou faire, il ne fallait pas la laisser se renfermer au risque qu’ensuite elle ne parvienne plus à aligner trois mots. La situation impressionnait la jeune femme, elle était apeurée et pas franchement à l’aise de se retrouver là, entre quatre murs, seule avec Thomas même si elle avait confiance en lui et qu’elle faisait du mieux qu’elle pouvait pour ne pas se faire de films inutiles. Les angoisses se dissipant en se retrouvant face à la petite rose du désert qu’elle avait offert à Thomas en guise de cadeau de Noel et d’emménagement. Une large sourire s’afficha sur le visage de la blonde, ravie de voir que la petite plante se portait au mieux.  « Oh oui, c’est super, elle a l’air de bien se plaire ici ! Finalement tu n’as même pas besoin de mes cours de jardinage on dirait ! » Oubliant petit à petit sa gêne de se trouver là, la jeune femme laissa échapper un léger rire d’entre ses lèvres. Thomas s’était toujours revendiqué mauvais jardinier mais Ivy était certaine qu’il était parfaitement capable de s’en sortir. Il n’y avait pas besoin d’avoir un diplôme d’études supérieures pour entretenir une plante, juste un peu d’envie de d’attention et visiblement le jeune homme se débrouillait et l’environnement semblait bien convenir à la petite plante qui ne tarderait certainement pas à fleurir. «  Ok. Quatre fromages pour toi et chorizo pour moi !  ». Le choix avait été rapide pour l’un comme pour l’autre, Thomas semblait savoir ce qu’il voulait et Ivy aussi, de toute façon quand il s’agissait de pizzas, la blonde n’hésitait jamais bien longtemps, la quatre fromages était sa favorite et de loin. Elle laissa Thomas passer la commande lui même tout en observant autour d’elle, reconnaissant un peu l’appartement qu’elle avait pu voir en photo. Thomas ne tarda pas à lui adresser un compliment. Ca n’était pas une chose rare de la part du jeune homme qui était loin d’en être avare mais Ivy avait toujours autant de mal à les accepter. Quel que soit le compliment que celui ci soit destiné à sa tenue, à sa recette ou à ce à quoi elle ressemblait, sa réaction était toujours la même. Elle rougissait et ne pouvait s’empêcher de baisser les yeux, presque honteuse. En réalité, elle pensait toujours, au fond d’elle, qu’elle ne méritait pas les mots gentils qu’on pouvait lui adresser et c’était certainement pour cela qu’elle avait autant de mal à les accepter. Cependant, et c’était tout à son honneur, Thomas ne se décourageait pas de lui en faire. Comme à chaque fois elle avait baissé les yeux sans parvenir à lutter contre cette attitude qui ressemblait à un réflexe chez elle. «   Même si ça n'arrive que rarement, tu es ravissante dans cette tenue. Ça me plaît beaucoup !». Elle ne résista pas lorsqu’il vint lui relever le menton. C’était difficile pour elle de le regarder ainsi dans les yeux. Elle était incroyablement touché par ce qu’il disait, beaucoup plus que de raison certainement. Cela lui faisait une drôle de sensation d’entendre Thomas lui dire que la façon dont elle était vêtue lui plaisait beaucoup. Elle aurait pu ou même peut être dû n’en avoir rien à faire car elle s’habillait avant tout pour elle et pourtant, de tels compliments sortant de la bouche du brun la faisait se sentir parcourue par une sensation étrange et, malgré son malaise, loin d’être désagréable. «  Merci… Je ne savais pas quoi mettre j’ai mis un moment à me décider… je suis contente que ça te plaise… » Le rouge ne quittait pas ses joues et elle avait tenté de sourire légèrement. C’était un aveu à demi-mot, une façon de dire qu’elle avait fait attention à sa tenue avant de venir le voir et que, si elle avait choisit cette tenue finalement c’était juste pour lui puisqu’elle n’allait voir personne d’autre ce soir. Elle était ravie de lui plaire même si cette idée la mettait atrocement mal à l’aise. Ivy était une jeune femme coquette, elle aimait s’habiller avec des beaux vêtements, elle prenait plaisir à assortir ses tenues, elle adorait les sacs à mains et les chaussures mais aussi le maquillage. Cependant, son manque de confiance en elle et son vécu faisait que souvent, elle avait peur de se montrer telle qu’elle était vraiment et elle avait du mal à accepter de se mettre vraiment en valeur au quotidien ayant toujours peur d’être prise pour ce qu’elle n’était pas. « Si jamais tu veux que je te raccompagne chez toi un soir, t'auras qu'à me le dire.» Ivy avait sourit poliment. Elle comprenait l’inquiétude de Thomas, surtout après les propos qu’elle avait tenu mais, en réalité, il n’y avait aucune raison de s’inquiéter. Le trajet entre chez elle et son lieu de travail était court et elle ne passait pas par des rues trop mal famées, on trouvait bien pire dans le Queens et même ailleurs. « C’est gentil de ta part mais ne t’en fait pas. Le trajet est court et les rues sont sures, je ne croise presque personne en général et quand ça arrive, personne ne me regarde jamais ! Et les jours ou j’ai peur… je prend le taxi. ». La blonde avait sourit, se voulant rassurante envers le jeune homme. En réalité, elle était morte de peur quand elle devait faire le trajet seul chaque jour mais elle avait peur tout le temps, dès qu’elle devait sortir. Il n’était jamais rien arrivé sur son trajet et elle était, généralement, comme invisible aux yeux des autres, persuadée que personne ne la voyait ce qui, pour Ivy, représentait un avantage. Tandis que Thomas la fixait, la jeune femme, elle, avait plusieurs fois détourné le regard, incapable de soutenir plus les beaux yeux du jeune homme et gênée de les sentir se promener sur elle mais parcourue malgré elle d’une sensation agréable qui la tiraillait dans son for intérieur.« Je te fais visiter ?». Rapidement la blonde avait hoché la tête dans un signe positif plein d’enthousiasme. « Oh oui avec plaisir ! J’ai déjà tout vu en photo mais en vrai ça n’est pas pareille ! » Imitant Thomas, la jeune femme avait sauté sur ses pieds, prête pour la visite qui lui permettrait peut être de reprendre un peu la contenance qu’elle avait perdue suite aux compliments de Thomas.


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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Dim 21 Fév - 11:19



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Il ne faut plus au passé. Ce que ton beau-père t'as fait vivre était horrible, personne ne devrait vivre cela. Il t'as détruit, anéanti. Jamais, tu ne pensais t'en remettre un jour et puis, finalement, tu as fait la connaissance de Ella. Au début, elle était une simple cliente. Tu l'as aidé à se droguer, tu l'as entraîner dans ce monde sombre et froid. De fil en aiguille, vous êtes devenus très proches. Au final, Ella est devenue ta meilleure amie, ta confidente. Tu tiens beaucoup à elle. Quitter son appartement, voler de tes propres ailes n'a pas été facile. Aujourd'hui encore, il ne se passe pas un jour sans que tu ai peur de sombrer, de dévaler la pente. C'est difficile mais, Ella sera toujours présente pour toi. Ivy aussi. Tu tiens à elle, beaucoup trop même. Ça te fait peur et pourtant, quand la demoiselle n'est pas à tes côtés, ou dans la même pièce que toi, elle te manque terriblement. Sa chevelure qui virevolte à travers les airs. Sa manière de rougir facilement. La façon qu'elle a de se tenir, d'agir avec maladresse. Tu n'es pas plus adroit de tes dix doigts. Bien souvent, au moins une fois par semaine, tu casse l'un de tes verres ou l'un de te bols. Ce n'est pas faute de faire attention.

Ivy vient d'entrer chez toi, cet appartement pour lequel tu as un véritable coup de cœur lors de la première visite. Aussi étrange que cela puisse paraître, tu n'as pas peur. Papillons dans le bas ventre. Cœur qui bat la chamade. Mains moites. Sentiment de bien-être, sensation d'apaisement. C'est Ivy qui te fait ressentir tout cela. Tu n'as pas peur. Tu te sens bien et heureux. Toutefois, tu avoie ne pas être le meilleur dans l'art de faire la conversation. Tu ne veux pas qu'un silence parfois gênant puisse s'installer entre vous deux. Alors tu t'empresse de lancer une conversation. N'importe laquelle, ça n'a pas vraiment d'importance. Ton regard se pose sur la plante que la ravissante petite serveuse t'as acheté quelques jours plus tôt. Elle a un peu poussée, il faut dire que tu lui a trouvé une place de choix pour lui permettre de grandir dans les meilleures conditions : tout près de ton canapé et juste en face de l'immense baie vitrée de ton appartement, le soleil donne dessus tout au long de la journée. Une aubaine pour toi et ta plante. « J'avoue que je suis assez satisfait de moi, pour le moment. On verra si j'arrive à la garder en vie ! » La commande de pizzas est lancée. Tu viens soudainement te lever avant de disparaître un court instant. Dans l'armoire de ta chambre, tu viens attraper le paquet cadeau destiné à la petite serveuse. Tu n'es pas le roi des emballages cadeaux, on dirait un enfant de trois ans qui l'a fait. Bon, de toute façon, le plus important c'est ce qu'il contient. Dans le salon, tu reprends place à côté de Ivy et vient lui tendre le paquet. « Tiens au fait ! Il serait temps de t'offrir ton cadeau de Noël, tu ne crois pas ?! » Tu dis, un grand sourire plaqué sur tes lippes. Tu as hâte de la voir déballer le paquet et de voir, surtout, si ça lui plaît ou non. Le cœur qui palpite, la patience n'a jamais été ton fort. Tu prends sur toi et attend sagement sa réaction, même si à l'intérieur de toi, tu bouillonne d'impatience.

Tu as soudainement peur pour elle. Ivy est une jeune femme douce, réservée. Les mauvais personnes courent les rues et s'en prennent à de pauvres âmes innocentes, comme elle. Certaines de ses personnes s'en sont pris à toi et t'ont envoyés à l'hôpital. Plus de peur que de mal, heureusement. Tu es surpris quand elle avoue que personne ne la regarde. Toi, tu te retourne volontiers chaque fois que tu la vois. Elle essaie, certes, de se fondre dans la masse, de passer inaperçu. Mais toi, tu l'as remarqué et depuis, tu es bien incapable de te passer d'elle. « d'accord. Je te fais confiance. » Tu souris, ta main qui se pose délicatement sur celle de Ivy. « Au pire, si un jour un homme te suit un peu trop, appelle moi ! J'espère que ça le dissuadera. » Tu soupire et te souvient qu'en t'installant à New-York tu as emmené avec toi un spray de poivre. Tu l'as acheté à l'époque où ton beau-père te faisait peur. Tu ne sais pas où il peut être. Si un jour tu remet la main dessus, tu l'offriras sans doute à Ivy.
Doucement, tu attrape sa main et lui fait la visite des pièces une à une. L'entrée, la pièce à vivre avec la cuisine attenante. La chambre où tu passe toutes tes nuits, la salle de bain qui possède, et ça c'est assez rare pour le quartier, une baignoire d'angle. Ton rêve s'est enfin réalisé. Rapidement, tu passe sur les petits coins et le petit débarras au fond de l'appartement, où tu y cache l'aspirateur, le balai pour passer un coup de serpillière et deux ou trois choses que tu ne sais pas où ranger encore. « Il y a encore des cartons non déballés mais j'attends de recevoir mes bibliothèques pour pouvoir tout installer. C'est très chiant, j'ai pleins de livres à lire mais j'peux pas tant qu'ils sont encore dans le carton ! » Tu dis en revenant prendre ta place initiale sur le canapé. Les pizzas arrivent enfin. Livraison plutôt rapide, t'es presque jamais déçu quand tu passe par chez eux pour te faire livrer. Tu règle le coursier et reviens au salon. « Soda ? Vin ? De l'eau ?  Qu'est-ce que tu préfère avec la pizza ? »



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Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Dim 21 Fév - 22:21




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Se retrouver là, chez Thomas, était une chose bien étrange pour la jeune femme. Il n’était, pour elle, qu’une connaissance pour le moment. Certes Ivy avait cette envie en elle qu’il devienne plus, qu’il devienne un ami parce qu’elle n’osait pas se laisser aller à penser à autre chose, l’amitié était le seule sentiment auquel la jeune femme se sentait accessible pour le moment, ayant fait une croix sur tout le reste depuis sa séparation. Quoi qu’il en soit, elle ne le connaissait pas depuis si longtemps que cela. Hormis le fait qu’il n’était pas New York depuis très longtemps et qu’il avait, avant cela, vécu à San Francisco, elle ne savait rien de lui. c’était peut être mieux comme ça, ou pas. Elle était partagée entre la méfiance que lui soufflait les voix dans sa tête et l’envie de lui faire confiance, presque sans limite parce qu’Ivy était dotée d’une naïveté dont plus d’un avait profité et qu’elle voulait croire que tout le monde pouvait être bon, que personne n’était foncièrement mauvais et qu’à chaque fois que quelque chose de mal, de douloureux lui arrivait c’était qu’elle l’avait mérité, dans cette vie ou dans une autre. Rien n’arrivait sans rien, Ivy en était convaincue, quel que soit le sujet d’ailleurs. Malgré des heures de réflexion, se demandant si elle avait bien ou mal fait d’accepter l’invitation de Thomas, Ivy n’avait pas trouvé le courage d’annuler et elle était bien là partagée entre la joie de passer un moment avec le jeune homme, d’apprendre à la connaitre d’avantage encore et de découvrir son lieu de vie autrement qu’à travers des photos et sa peur viscérale, qui lui collait au corps et la prenait aux tripes, lui serrant l’estomac et faisait légèrement trembler ses membres. Aussitôt entré dans l’appartement du jeune homme, l’accueille chaleureux qu’il lui avait réservé la rassura, dissipant un peu les angoisses qui lui pesaient sur les épaules. Pas totalement, elle pouvait encore le sentir et elle savait qu’elle ne devait pas trop réfléchir sous peine de se retrouver aux prises avec ses peurs irrationnelles qui l’habitaient. Tout de suite Thomas avait engagé la conversation et c’était la meilleure des solutions à adopter face aux angoisses d’Ivy afin d’éviter qu’elle ne se renferme sur elle même bien malgré elle d’ailleurs. « J'avoue que je suis assez satisfait de moi, pour le moment. On verra si j'arrive à la garder en vie ! ».  Parler de la petite rose du désert qu’Ivy avait offert à Thomas il y a quelques semaines de cela, en guise de cadeau de Noël et pour fêter son emménagement dans ce nouvel appartement qu’il semblait beaucoup apprécier, donna instantanément le sourire à la jeune femme surtout lorsqu’elle constata que la plante semblait beaucoup se plaire là ou elle était. Dire que Thomas se prétendait un mauvais jardinier !« Il n’y a pas de raison pour que ça ne continue par sur cette lancée ! Je vais finir par croire qu’en fait tu as la main bien plus verte que ce que tu as voulu me faire croire ! » Tandis qu’Ivy continuait à observer la plante avec satisfaction, Thomas avait commandé les pizzas sans attendre. Il avait raison, le soir dans le Queens cela pouvait être long d’attendre l’arrivée d’une commande de nourriture, les coursiers avaient généralement beaucoup de travail. Puis il disparu quelques instants sans dire un mot. Ivy resta là, silencieuse, se demandant ce qu’elle avait bien pu faire de travers pour que Thomas fuit ainsi. Elle ne trouva pas la réponse mais après tout ça ne serait pas la première fois ou elle ne se rendait pas compte que son attitude avait pu déranger, énerver ou mettre mal à l’aise quelqu’un. Même quelqu’un qu’elle connaissait déjà un peu. Le jeune homme ne tarda pas à réapparaître, un paquet cadeau dans les mains. Ivy piqua inévitablement un fard en se souvenant, il le lui avait dit la dernière fois qu’il avait un cadeau pour elle. Elle n’aurai pas dû avoir l’air si surprise probablement mais c’était ainsi, elle l’était et elle ne pouvait pas faire autrement. «  Tiens au fait ! Il serait temps de t'offrir ton cadeau de Noël, tu ne crois pas ?! ». D’un geste timide et mal assuré, la blonde pris la paquet que lui tendait son hôte. «  Oui, c’est vrai… merci encore Thomas. » Elle le remerciait avant même d’avoir ouvert le paquet, peu importe ce que pouvait bien être ce cadeau qui avait piqué la curiosité d’Ivy lorsqu’il lui en avait parlé au café la dernière fois, c’était l’intention qui comptait et Ivy était très touchée. Elle n’avait pas eu beaucoup de cadeau cette année. En réalité, seul Jo’ avait pensé à elle et cela n’avait rien d’anormal elle n’avait plus d’amis ici, ni de famille. Jamais elle n’aurais pensé que Thomas, qu’elle connaissait finalement depuis peu, ferait partie des personnes qui auraient une pensée pour elle. Délicatement et avec soin elle ouvrit le paquet cadeau pour découvrir une magnifique dessin. Elle hésita mais le profil représenté sur cette toile lui ressemblait beaucoup, est ce que c’était vraiment elle ? Quoi qu’il en soit elle était très touchée qu’il ai pris le temps de lui faire quelque chose de ses mains, cela avait encore plus de valeurs aux yeux d’Ivy qu’un cadeau acheté dans un magasin, quelle qu’en soit la valeur pécuniaire. Elle peinait à trouver ses mots, plus encore que d’habitude. «  Je… Ca me représente ? C’est magnifique en tout cas… Tu es très doué… vraiment merci Thomas ça me touche beaucoup… Tu peux être certain que je vais l’afficher à une place de choix chez moi… »  C’était un beau symbole de leur amitié débutante et Ivy en manquerait pas de l’accrocher sur un des murs de son appartement.  La gêne était palpable, elle sentait le regard de Thomas sur elle et elle avait du mal à relever les yeux vers lui, profondément touchée par cette délicate attention, elle se sentait à fleur de peau mais elle ne voulait pas pleurer. Au contraire, l’occasion devait prêter à sourire plutôt. Thomas semblait s’inquiéter de son sort et Ivy le trouvait très gentil de se proposer pour la raccompagner mais elle ne pouvait décemment pas lui demander un tel service quotidien. Elle avait peur quand elle marchait dans la rue mais ça n’était pas lié au fait qu’elle soit une femme ou que les rues soient mal fréquentées. Ivy avait toujours été craintive face au monde, aux autres et à leur simple regard. Depuis sa sortie de clinique elle devait réapprendre la vie en société et c’était très compliqué pour elle. Elle avait du mal à tenir une conversation, passait souvent pour une folle aux yeux des autres à cause de ses réactions injustifiées ou disproportionnées et inévitablement elle avait peur des autres, de l’inconnu, de l’extérieur. Elle avait beaucoup de mal à gérer le flot constant de pensées qui l’assaillaient et les émotions qui la submergeaient bien souvent alors tout était un danger à ses yeux et elle préférait passer inaperçue ce qui lui évitait de se retrouver dans des situations de stress délicates à gérer pour elle et susceptibles de lui faire perdre le contrôle. « d'accord. Je te fais confiance. ». Ivy avait sourit, il n’avait pas à s’inquiéter de la sorte pour elle. Elle avait peur mais, en général il ne lui arrivait rien, elle filait telle une ombre, sans s’arrêter, sans se retourner, ses écouteurs dans les oreilles pour garder l’esprit occupé, le volume assez faible pour tout de même garder un peu d’attention sur son environnement. Personne ne l’arrêtait, il faut dire qu’il fallait être fou pour avoir envie de lui parler ou quoi que ce soit de ce genre. « Au pire, si un jour un homme te suit un peu trop, appelle moi ! J'espère que ça le dissuadera.» Lorsque la main de Thomas se posa sur la sienne dans un geste rassurant, Ivy ne changea pas d’attitude, relevant même doucement les yeux vers son interlocuteur, un fin sourire dessiné sur les lèvres, presque complice. Thomas avait promis, dès leur première rencontre de l’aidé à réapprendre à vivre normalement et il ne savait pas à quel point il l’avait déjà aidé, elle avait déjà fait des choses dont elle ne se pensait plus capable comme aller au cinéma ou sortir comme ce soir aller chez quelqu’un. Elle progressait encore, acceptant petit à petit plus facilement le côté tactile du jeune homme. «  C’est gentil de te part, j’y penserais promis… même si j’espère ne jamais avoir besoin de faire appel à toi pour ce genre de chose ! » Ivy était toujours contente de discuter avec Thomas au téléphone mais elle se passerait bien de ce genre de situation pour avoir une conversation avec le jeune homme. Ensuite le duo s’était relevé, d’un même mouvement du sofa et avait quitté le salon pour commencer la visite de l’appartement. Thomas entrainant la jeune femme derrière lui pour lui faire découvrir chaque pièce. Ivy n’était certes pas très à l’aise lorsqu’elle devait aller, pour la première fois chez quelqu’un, mais elle adorait découvrir l’intérieur et la décoration de chacun. Thomas semblait avec plutôt bon gout, la décoration était très simple et assez épurée mais il avouait lui même ne pas avoir encore complètement achevé son installation. « Il y a encore des cartons non déballés mais j'attends de recevoir mes bibliothèques pour pouvoir tout installer. C'est très chiant, j'ai pleins de livres à lire mais j'peux pas tant qu'ils sont encore dans le carton !» Les déménagements. C’était une source de stress pour Ivy. Lorsqu’elle avait quitté New York, brutalement pour partir tenter de commencer une reconstruction à Los Angeles, elle n’avait pas eu le temps d’achever les cartons qu’elle avait commencé sans conviction lorsque son ex-fiancé l’avait enjoint de quitter les lieux rapidement. A son retour, elle n’avait eu qu’à trouver l’endroit ou elle poserait ses bagages, aidé par le service social de la clinique et les déménageurs avaient fait le reste. C’était des souvenirs plutôt douloureux, dont elle n’arrivait pas encore à voir le positif qui lui revenait en tête et son sourire avait brièvement disparu avant de revenir à la fin de la visite alors qu’elle reprenait la parole en douceur. « Ah les cartons… on ne s’en sort jamais j’ai l’impression. C’est un super appart’ que tu as en tout cas, j’adore ! J’espère que tes bibliothèques arriveront bientôt ! Tu lis quoi en ce moment ? ». La lecture semblait passionner Thomas alors c’était un bon moyen de relancer la conversation, d’autant qu’Ivy aussi était une lectrice assidue. Autrefois elle avait été une fan de roman à l’eau de rose, maintenant elle ne pouvait plus les lire sans pleurer toutes les larmes de son corps alors elle avait abonné préférant se consacrer aux grandes oeuvres de la littérature américaine ou à des ouvrages de développement personnelle qui, parfois l’aidait à prendre la vie autrement. De même elle s’intéressait beaucoup au domaine de la spiritualité depuis sa sortie de clinique ce qui certains pouvait trouvé un peu dérangé. Les pizzas n’avaient pas tardé à être livrée et la jeune femme avait repris sa place initiale sur le canapé dans le salon tandis que Thomas s’affairait. « Soda ? Vin ? De l'eau ?  Qu'est-ce que tu préfère avec la pizza ?». Pour une fois, elle n’avait pas besoin d’hésiter mille ans avant de répondre à la question alors elle rebondit rapidement pour ne pas faire attendre inutilement le brun. « De l’eau ou du jus de fruit si tu as. Je ne suis pas très soda et… je ne bois pas d’alcool… » Elle avait hésité sur la fin de sa phrase, les mots ayant dépassés sa pensée et ayant franchit la barrière de ses lèvres alors qu’elle aurait préféré les retenir. C’était étrange de dire cela sans plus d’explication. Quelqu’un qui ne bois pas une goutte d’alcool attire souvent l’attention, ce qu’elle voulait à tout prix éviter. Maintenant Thomas allait se demander si elle était enceinte ou bien une ancienne alcoolique. Ivy était visiblement perturbée et, ne voulant pas passer pour une folle ou pour une sainte nitouche que se refuse à toute boisson alcoolisée, elle ne put s’empêcher d’ajouter presque honteuse, sans se rendre compte qu’en disant cela elle risquait d’inquiéter Thomas alors qu’il n’y avait pas lieu. « Je ne suis pas une ancienne alcoolique hein… c’est juste que je prend un traitement et mes médicaments sont incompatibles avec l’alcool, je préfère éviter de jouer avec ça… » Comme d’habitude, elle avait ce besoin viscéral de se justifier et en faisant cela elle en avait dit bien plus qu’elle ne le voulait mais tant pis, c’était trop tard pour elle, elle n’avait plus qu’a espérer que Thomas ne serait pas trop curieux car c’était un sujet qu’elle n’était pas encore prête à aborder, ni avec lui, ni avec personne d’autre parce qu’elle se voilait encore la face à ce propos.

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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Lun 22 Fév - 11:43



i tried to pick my battles 'til the battle picked me.
Pour le moment, seuls Ambroise et Ella sont venus te rendre visite dans ton nouvel appartement. La présence d'Ivy chez toi devrait te faire bien plus peur que cela mais non, au contraire, tu ressens une étrange sensation d'apaisement de la voir ici, chez toi. Il y a six mois en arrière, Ivy et toi vous connaissiez à peine. Tu te souviens à débarquer soudainement dans la pâtisserie où la jolie petite tête blonde travaille encore à l'heure actuelle. Ton regard s'est tout de suite posé sur cette serveuse au teint pâle, à la chevelure dorée, au ravissant visage de poupée. Tu n'étais pas certain de savoir, et comprendre, ce que tu ressentais envers la jeune femme. Elle t'as tout de suite plu. Six mois ont passés. Votre relation a légèrement évoluée, elle s'est renforcée également. Aujourd'hui, tu as bien conscience que tu ne pourrais pas vivre sans elle. Une journée sans vos échanges de messages, sans votre appel quotidien le soir afin de se raconter votre journée. Une journée sans la voir est une journée de perdue. Son absence t'es insupportable. Le cœur qui se serre, le cœur qui se brise. Tu as envie et, surtout, besoin de la voir. De venir la toucher, lui prendre la main. De plonger tes yeux dans les siens. Tu as besoin de lui dire que tout ira bien, que la vie n'est pas si moche qu'elle y paraît. Pendant longtemps, tu as cru que le bonheur ne s'inviterait jamais dans ta vie et puis, finalement, en une année, le bonheur semble avoir décidé de poser ses valises dans ta vie. Deux mille vingt t'as ouvert les bras, pour ton plus grand plaisir. Un appartement, un travail. L'amour, peut-être. Deux mille vingt et un te donnera certainement raison quant à cette vérité.

Tu es très fier de présenter à Ivy la plante qu'elle t'as offerte. Elle semble bien s'épanouir à la place où tu as décidé de la mettre. Il faut dire que cet appartement fut une parfaite aubaine. Grand, lumineux. Un loyer pas excessivement cher pour le quartier. L'appartement est parfaitement exposé, si bien que le soleil, lorsqu'il y en a, donne toute la journée sur ton salon. « Espérons que ça dure ! Et que je ne la fasse pas tomber ! » Pierre Richard, c'est toi. Même en mettant tout en œuvre pour réussir à ne rien casser, chez toi ou ailleurs, il se passe toujours un moment où tu casses quelque chose. Un verre, une tasse, un pot de fleurs. La malchance est en toi, et ce depuis toujours. « Tu sais, j'ai pas fait grand chose. Je lui ai juste trouve la meilleure place dans l'appartement. Et puis, elle n'a qu'une semaine de vie ! » Tu hausse les épaules en hochant la tête sur le côté. Les personnes qui te connaissent un minimum savent à quel point tu as un manque cruel de confiance en toi. Tu ne t'ai jamais senti à l'aise parmi les autres. La foule te fait peut, t'effraie. Certes, a va mieux depuis que Ella est entrée dans ta vie mais ça n'a pas toujours été le cas. L'élément qui a déclenché ta guérison était là, sous ton nez, depuis tout ce temps. Il suffisait simplement que tu avoue toute la vérité à ta mère, tout ce que tu lui a caché depuis tes seize ans. Seul, tu n'y serais jamais arrivé. C'est grâce à Ella que tu as pu te libérer de ce fardeau que tu portais sur tes frêles épaules depuis tout ce temps. Ivy peut s'en sortir, elle peut aller mieux. T'en es certain. Tu viens lui offrir son cadeau de Noël fait par tes petites mains. « De rien ! Bon, fais pas gaffe au paquet, j'suis pas le plus doué dans ce domaine ! » Tu dis, te passant une main dans tes cheveux. Tu l'observe alors qu'elle est en train de déballer le paquet. Plus les morceaux de papier cadeau se déchirent et plus le stress t'envahis. T'espère vraiment que ça va lui plaire. « Oui, c'est toi … ça te plaît ? » Tu demande d'une toute petite voix. « Merci ! Je te fais confiance pour lui trouver une place de choix chez toi ! » Tu souris à la demoiselle. L'angoisse s'empare de toi lorsqu'elle avoue qu'elle rentre seule chez elle le soir. Le Queens n'est pas le quartier le plus sûr de New-York, on ne sait jamais sur qui on peut tomber. Tu ne lui racontera pas cette fois où tu es tombé sur deux homes bien plus fort et agile que toi, ils t'ont envoyés à l'hôpital. Heureusement, plus de peur que de mal. Tu as tout de même dû te déplacer avec une béquille pendant une semaine tellement ta jambe te faisait souffrir. Inutile d'inquiéter Ivy en lui parlant de ce malheureux chapitre de ta vie. « Je l'espère aussi... » Tu dis, tes doigts qui caressent tout doucement le bras de la jeune femme.

Puis, tu viens lui faire faire le tour du propriétaire. Toutes les peintures ont été avant que tu vienne poser tes meubles et tes affaires. L'électricité et l'isolation ont été également refaites à neuf. Globalement, ton appartement te convient parfaitement ainsi. Il manque simplement une ou deux bibliothèques pour que tu puisses y ranger tes livres. « J'ai eu beaucoup de chances sur ce coup-là quand j'ai découvert l'annonce. Le prix est top pour le quartier, l'emplacement et l'exposition idéal. Il a été refait à neuf même si je pense modifier deux ou trois petites choses dans l'avenir ! » Tu es tellement indécis que tu as déjà changé la disposition de tes meubles une fois déjà. Un brin maniaque, tu adore que tes affaires soient soigneusement rangés. Chaque chose à sa place. « ça manque probablement de déco sur les murs. J'ai pas de cadre photo à accrocher en fait... J’ai beaucoup « ne tirez pas sur l’oiseau moqueur. » c’est mon livre préféré ! » Lorsque tu as fuis San Francisco, tu n'as pas pensé à prendre quelques clichés de ta mère ou quelques uns de ta mère et toi, quand tu n'étais qu'un enfant.
Les pizzas arrivent enfin. Tu règle la commande et les installe sur la table basse du salon. C'est un choix de ne pas mettre de table à manger, tu n'en vois pas l'utilité. Pour le moment, rares sont les personnes qui viennent te rendre visite et reste pour dîner. À la cuisine, tu ramène deux verres, une carafe d'eau et une brique de jus de pomme. Tu ne peux t'empêcher de sourire quand elle précise qu'elle n'est pas une ancienne alcoolique. Ça, tu t'en serais douter. « Si ça peut te rassurer, je ne bois qu'à de très rares occasions. » Tes lèvres sont entrés en contact avec de l'alcool qu'une ou deux fois depuis que tu es en âge d'en boire. Tu attrape sa main et caresse le dessus lentement. « Hey calme toi Ivy ! T'as pas besoin de te justifier tu sais. Même si t'étais une ancienne alcoolique, je ne t'aurais pas jugé pour ça tu sais. » Mais ce qu'elle vient de t'avouer t'interpelle. Tu te demande bien pour quelle raison la demoiselle doit prendre un traitement. « C'est pour quoi ce traitement ? » tu demande en commençant à découper les pizzas en parts égales.



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Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Mar 23 Fév - 17:24




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Comme d’habitude, Thomas était accueillant, chaleureux. Il cherchait à la mettre à l’aise. Il n’y était pour rien si Ivy était souvent mal à l’aise, si elle ne savait jamais où se mettre, quoi dire, quoi faire, si elle avait si souvent envie de disparaitre. Certes, parfois sa façon d’agir, lorsqu’il était proche d’elle, trop proche par rapport à ce qu’Ivy acceptait de supporter, lorsqu’il devenait tactile, la jeune femme pouvait se sentir perturbée, ses mots aussi pouvaient la mettre mal à l’aise mais il n’était pas responsable de cela. Il n’y était pour rien dans les réactions qu’il pouvait éveiller chez elle. Il n’était jamais irrespectueux, son comportement était toujours adapté par rapport à elle et il n’insistait pas lorsqu’il sentait qu’elle atteignait la limite. Mais Ivy était sensible, beaucoup trop et un rien pouvait la perturber, mettre son esprit sans dessus dessous et provoquer un ras de marée d’émotions diverses et variées en elle. Sa sensibilité l’handicapait, la paralysant souvent et l’empêchant de vivre pleinement, la jeune femme préférant s’isoler pour être sure de ne pas se laisser déborder. Elle était mal à l’aise, angoissée, dès qu’il s’agissait de parler à un quelqu’un. Même avec les personnes qu’elle connaissait, elle n’était jamais vraiment à l’aise et détendue et elle savait qu’elle pouvait passer pour une folle aux yeux de ceux qui ne la connaissait pas. Dans les yeux de Thomas elle avait déjà vu l’incompréhension mais jusqu’à maintenant elle n’avait jamais vu ce regard qu’elle connaissait si bien mélangeant la pitié et presque du dégout. Il y avait quelque chose chez le brun qui attirait irrémédiablement Ivy malgré ses efforts pour ne pas céder trop facilement à la tentation de faire tomber ses barrières. Elle était sans cesse partagée entre l’envie de lui faire une confiance aveugle et son instinct de méfiance qui ne la lâchait pas, elle qui n’était pas encore prête à s’ouvrir à autrui et à dévoiler les blessures qui lui balafraient le coeur et continuaient de suinter malgré le passage des années. La douceur de Thomas lui faisait du bien dans ce monde bien trop brutal pour elle et, en sa présence, malgré ses moments de malaise, tout semblait plus simple. Avec lui, elle arrivait à discuter, échanger, rire, plus facilement qu’avec n’importe qui d’autre, elle pour qui les relations sociales étaient si difficiles depuis sa descente aux enfers. A ces côtés elle avait l’impression de progresser, même si elle le faisait doucement et c’était une sensation aussi étrange qu’agréable et presque grisante pour une âme perdue comme Ivy.  « Espérons que ça dure ! Et que je ne la fasse pas tomber !  ».  Ivy avait doucement rit en entendant Thomas parlé de sa maladresse. Il devait être réellement maladroit car ce n’était pas la première fois qu’il évoquait ce trait de sa personnalité, pourtant la jeune femme n’avait jamais réellement constaté de maladresse chez lui. « Ah non hein, il faut y faire attention ! Enfin… au pire si tu l’a fait tomber, elle survivra, il faudra juste changer le pot s’il est cassé et lui remettre de la terre ! » Si Ivy n’était que rarement optimiste lorsqu’elle était concernée, lorsqu’il s’agissait de parler des autres, elle l’était beaucoup plus et cette fois ne faisait pas exception. A chaque problème sa solution et elle mettait toujours beaucoup de coeur à aider les autres avec leurs problèmes quels qu’ils soient, gros ou petits. C’était une façon plus ou moins habile de détourner les yeux de ses propres problèmes et d’empêcher les autres de voir ce qu’elle cachait. «  Tu sais, j'ai pas fait grand chose. Je lui ai juste trouve la meilleure place dans l'appartement. Et puis, elle n'a qu'une semaine de vie ! ». La blonde avait secoué la tête dans un signe négatif. Certes, il n’avait pas la plante depuis très longtemps mais déjà il lui avait trouvé une bonne place, sinon en à peine quelques jours elle aurait dépérit ce qui n’était absolument pas le cas, Thomas était bien trop modeste quant à son rôle dans l’épanouissement de la plante.  «  Ne soit pas si modeste ! C’est déjà énorme pour une plante d’être mise dans un endroit où elle peut s’épanouir ! Et tu as trouvé de toi même, tu aurais pu la laisser dans un coin sans plus t’en préoccuper mais non tu n’as pas fait ça ! Alors moi, je suis très contente de voir cette plante que je t’ai offert qui a l’air si bien ici ! » Pour une fois, elle avait parlé d’un ton assez ferme, qui n’était pas dans les habitudes d’Ivy. Cependant, lorsqu’elle était convaincue de quelque chose elle pouvait se montrer sur d’elle et là, c’était le cas et elle voulait que Thomas entende qu’elle était fière de lui et de la façon dont il prenait soin de cette plante jusque là, même si ça ne faisait finalement que peu de temps qu’il l’avait. Ensuite, après avoir disparu quelques instants, le brun fit à nouveau son apparition dans la pièce, un paquet cadeau dans les mains qu’il offrit sans attendre à Ivy. «  De rien ! Bon, fais pas gaffe au paquet, j'suis pas le plus doué dans ce domaine !» Thomas semble confus à l’évocation du papier cadeau. Il se passe une main dans les cheveux traduisant son malaise, Ivy l’observa avant de lui adresser un sourire délicat. Puis elle baissa les yeux après s’être surprise à penser que le jeune homme était quand même doté d’un minois qui devait, selon elle en tout cas, en faire craquer plus d’une même s’il prétendait le contraire. Elle secoua la tête pour se sortir de ses pensées qui n’avaient pas lieu d’être et qu’elle préférait garder loin de son cerveau. «  Ne t’en fais pas ce n’est pas le paquet qui compte ! »  A nouveau elle avait sourire, fuyant un peu le regard de Thomas puisqu’elle ne parvenait pas à le soutenir. Elle n’avait même pas remarqué que le paquet était si mal fait que le jeune homme le prétendait. Il se dévalorisait encore sur ce coup là. « Oui, c'est toi … ça te plaît ?». La blonde garda un moment les yeux rivés sur la toile qu’elle tenait entre ses mains tremblantes. C’était magnifique et l’intention la touchait réellement, au plus profond d’elle. Ce cadeau lui faisait extrêmement plaisir et elle sentait les larmes lui monter aux yeux, pas de tristesse mais d’émotion, la forçant à rester silencieuse quelques secondes.«  Bien sûr que ça me plait, c’est vraiment magnifique. Tu es tellement doué ! D’ailleurs je pense que tu m’as représentée bien plus jolie que je ne lui suis vraiment ! » Elle avait légèrement rit pour dissiper le malaise mais elle était sincère dans ce qu’elle disait. Le dessin de Thomas était vraiment magnifique, il avait beaucoup de talent et elle était ravie de découvrir cela aujourd’hui. Le dessin était superbe, très réaliste à l’exception prêt qu’elle se trouvait beaucoup plus jolie sous les traits de crayons du jeune homme que quand elle se regardait dans son miroir « Merci ! Je te fais confiance pour lui trouver une place de choix chez toi !» La blonde avait un signe de tête affirmatif, acceptant la mission qui était la sienne. Elle avait déjà une petite idée de l’endroit où elle allait l’afficher mais elle hésitait encore entre son entrée et sa chambre, elle devrait faire des essais pour trouver l’endroit qui conviendrait le mieux. Le jeune homme semblait réellement inquiet de savoir qu’elle rentrait seul le soir alors qu’aux yeux d’Ivy il n’y avait pas lieu de s’inquiéter pour elle. Certes, elle avait peur lorsqu’elle marchait dans la rue mais que ce soit le jour ou la nuit, dans le Queens ou à Manhattan dans l’Upper East Side, cette peur ne la quittait jamais. Elle avait donc tenter de le rassurer comme elle le pouvait et le jeune homme semblait convaincu par ses explications. La sensation délicate du bout des doigts de Thomas caressant doucement son bras, par dessus le tissus de son chemisier lui arracha un frisson, un frisson agréable qui la faisait se sentir toute bizarre pour une raison qu’elle ne pouvait pas expliquer. Thomas l’emmena ensuite à sa suite pour lui faire visiter les lieux. L’appartement était vraiment très sympathique. « J'ai eu beaucoup de chances sur ce coup-là quand j'ai découvert l'annonce. Le prix est top pour le quartier, l'emplacement et l'exposition idéal. Il a été refait à neuf même si je pense modifier deux ou trois petites choses dans l'avenir !» Ivy n’était pas jalouse car elle adorait son appartement à elle qui, en un an maintenant était devenu un petit cocon douillet et confortable dans lequel elle parvenait à trouver un peu de repos mais Thomas avait bien choisi son lieu de vie, c’était agréable et on s’y sentait rapidement bien. A moins que ce soit simplement la présence du jeune homme dans les lieux qui provoquait cette sensation chez la blonde. «  J’ai l’impression que tu as trouvé une perle rare ! Si en plus tes voisins ne sont pas trop bruyant c’est vraiment le top ! » Parfois la vie fait bien les choses et en l’occurence cela avait l’air d’être le cas pour Thomas et son nouvel appartement. Il venait de s’y installer depuis peu de temps et il s’y sentait déjà visiblement très bien et Ivy était heureuse pour lui. « ça manque probablement de déco sur les murs. J'ai pas de cadre photo à accrocher en fait... J’ai beaucoup « ne tirez pas sur l’oiseau moqueur. » c’est mon livre préféré !» Certes, la décoration restait sommaire mais déjà il y avait des meubles et, lors d’un emménagement cela restait le plus important, il aurait bien le temps de décorer ensuite selon ses gouts pour l’instant le logement était agréable, propre et bien ordonné ce qui était déjà un bon début. « La décoration ça viendra après, tu as emménager depuis peu, laisse toi le temps ! Tu es un accro aux romans policiers alors ? ». Ivy se laissait à aller à un peu de curiosité concernant Thomas. D’ordinaire c’était plutôt l’inverse et le jeune homme posait plus souvent les questions que l’inverse mais le sujet de la lecture était un sujet sur lequel Ivy ne se sentait pas en difficulté et elle était plutôt à l’aise pour en parler ce qui était évident. Les pizzas étaient arrivés et en hôte parfait, Thomas avait installé ces dernière sur la table basse avant de partir chercher à boire. Le sujet n’avait pas à être délicat mais pour Ivy il l’était, elle se sentait toujours un peu étrange lorsqu’elle demandait du jus de fruit et elle avait l’impression qu’on la regardait de travers comme si elle avait dit une énormité. De ce fait, elle se sentait toujours obligé de s justifier, ne voulant pas être prise pour ce qu’elle n’était pas mais ne voulant pas non plus que les autres sachent réellement ce qui n’allait pas chez elle. « Si ça peut te rassurer, je ne bois qu'à de très rares occasions.». Thomas se voulait rassurant et Ivy lui adressa un sourire timide pour le remercier des précautions qu’il prenait toujours avec elle, pour ne pas qu’elle se sente trop mal à l’aise. Ayant bien perçu le changement d’attitude et la perturbation qui était née chez elle, le jeune homme n’avait pas hésiter à lui prendre la main avec douceur. ce contact qu’elle fuyait au départ, la rassurait maintenant parce qu’elle savait que Thomas ne pensait pas à mal lorsqu’il agissait ainsi, bien au contraire d’ailleurs et sentir sa chaleur par ce simple contact lui faisait malgré tout du bien, autant que cela mettait ses émotions sans dessus dessous.« Hey calme toi Ivy ! T'as pas besoin de te justifier tu sais. Même si t'étais une ancienne alcoolique, je ne t'aurais pas jugé pour ça tu sais.» Les mots qu’il disait lui faisait du bien. Elle sentait dans le ton de sa voix qu’il était honnête et qu’il n’était pas en train de lui mentir pour la rassurer. Elle avait sourit légèrement avant de reprendre la parole, la voix tremblante sous le coup de l’angoisse qui s’était emparée d’elle à l’idée de ce sujet si douloureux pour elle. « Je.. Je sait que je ne devrais pas me justifier mais… c’est plus fort que moi…. En tout cas c’est gentil de ta part. » Elle avait sourit doucement, les yeux baissés, honteuse d’avouer cette vérité selon laquelle elle se sentait obligée, sans cesse de se justifier et il n’y avait pas que pour ce sujet malheureusement. Ivy était sans cesse dans l’explication, la justification de ce qu’elle faisait comme si elle s’excusait finalement de vivre à chaque seconde qui passait. Thomas avait ensuite commencé à découper les parts de pizzas, détournant un peu l’attention d’Ivy de leur sujet de conversation mais visiblement elle avait piqué sa curiosité et il l’interrogea. «C'est pour quoi ce traitement ? ». Immédiatement la jeune femme baisse les yeux, ne sachant plus où se mettre. Elle ne pouvait pas en vouloir à Thomas, c’était elle qui en avait trop dit et la question qui allait suivre ses propos était assez évidente. d’ailleurs elle s’en était même doutée elle même en espérant très fort pouvoir y échapper. Après quelques secondes de silence elle réussi à articuler une phrase avec suffisamment de sens à ses yeux.« Je… c’est rien. Enfin… ce n’est pas grave. Je n’ai pas un cancer ou quoi que ce soit de ce genre… C’est juste pour m’aider un peu mais rien de terrible… » Elle bottait en touche, elle n’avait pas vraiment répondu à la question qui lui avait été posée, préférant éviter. C’était un sujet duquel elle n’était pas encore prête à parler et, pour elle, rassurer Thomas en lui indiquant qu’elle ne souffrait pas d’une maladie grave pourrait faire l’affaire. Ce n’était pas une maladie grave à proprement parlé, d’ailleurs la blonde avait du mal à se considérer comme malade et elle avait honte de ce statut. Pourtant c’était ce qu’elle était, son esprit était malade, tourmenté, torturé et, sans ses précieux calmants, tout ses médicaments qui lui permettait de stabiliser un peu ses humeurs, de dissiper quelques instants ses angoisses, son état serait encore pire qu’il ne l’était déjà. Elle avait peiné à relever les yeux vers le brun, n’osant plus bouger ou dire quoi que ce soit de peur d’aggraver encore son cas alors qu’il devait déjà suffisamment la prendre pour une illuminée.

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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
thomivy #7

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Message Sujet: Re: I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy   I tried to pick my battles 'til the battle picked me - Thomivy Empty Mar 2 Mar - 10:57



i tried to pick my battles 'til the battle picked me.
Deux jours en arrière.

« Qu'attendez-vous d'elle ? » La voix de ton psychologue te sors de ta rêverie. Parler à Ella ne te suffisait pas, tu as dû prendre rendez-vous auprès d'un des psychologues de New-York pour arriver à te sortir de cette état de peur permanente et devenir enfin quelqu'un de bien, quelqu'un de bon. C'est ta rencontre avec Ivy qui t'as fait prendre conscience de tout cela. Tu ne peux pas aider la jeune femme si, toi-même, tu ne vas pas bien. « Qu'attendez-vous de cette jeune femme ? » Reformule le psy. Tu le dévisage, cherchant désespérément les bons mots à mettre sur ce que tu ressens. Difficilement, tu avale ta salive. « Qu'elle me vois. » Trois petits mots prononcés, c'est tout. Juste trois petits mots. Tes doigts s'entremêlent, s'écrasant les uns sur les autres. « Vous vous êtes rendus invisible aux yeux des autres. Peut-être qu'elle ne nous vous voit mais c'est à vous de tout faire pour qu'elle puisse vous voir enfin comme l'homme que vous êtes vraiment ! » Le psy ne t'apprend rien de nouveau. Tu as toujours eu cette capacité à t'effacer, à être invisible aux yeux des autres. Tu te fonds parmi la foule, dans le décor. Il y a tout un tas de choses que tu aurais aimé faire et que jamais tu n'as fait par peur d'être jugé et crains par tes pairs. « Oublié le passé. Vous avez souffert, certes, je le comprends tout à fait. Aujourd'hui, il est temps de clore ce chapitre et de vous consacrer à votre vie. D'être égoïste et de cesser de vous en faire pour autrui. De quoi avez-vous envie en cet instant ? » Tu ne sais pas quoi répondre. D'un gros hamburger bien gras avec des frites grasses et trop salées elles aussi. Mais tu as surtout envie d'être avec elle, de passer le plus de temps possible avec elle. La nuit, tu ne vois que son visage. La journée aussi. Il t'arrive bien trop souvent de papillonner, ici et là, à ton travail pour la simple raison que ton esprit est en train de penser à Ivy. Elle t'obsède complètement cette fille. Tu n'as jamais été autant attiré par une fille avant de la rencontrer. Et pourtant, tu n'arrive plus à faire comme si ces sentiments n'existaient pas. Ils sont bels et bien là, ils sont bien réels. L'heure de ta consultation est terminée. Tu règle le psy et t'en va, mains dans les poches, marchant dans les rues animées du Queens. Tu ne cesse de repenser à cette dernière qu'il t'as posé et la réponse est toujours la même. Toujours elle. Toujours Ivy. Tu veux qu'elle te remarque, qu'elle te fasse confiance. Tu veux devenir son ami et, peut-être bien, un peu plus que son ami. Le temps. Il n'y a que le temps qui puisse t'aider. Lui laisser du temps, c'est tout ce que tu dois faire. Il faut bien être honnête, tu n'as que ça à faire de toute façon.

Aujourd'hui.

Depuis déjà plusieurs minutes, la jeune et jolie Ivy est arrivée chez toi. Tu la laisse prendre place sur le canapé, à côté de toi et admirer avec quel soin tu as su emménager ton intérieur. C'est chaleureux, cosy, douillet. Tout ce que tu affectionne. Avoir la demoiselle qui fait battre ton palpitant n'est pas si facile que tu l'aurais imaginé. Tu as envie de la prendre dans tes bras, de la serrer contre ton être et, surtout, de venir l'embrasser. Mais tu te retiens. Il ne faut pas. Tu as promis à Ella d'être sage et surtout, tu as cette petite voix dans ta tête. Celle qui ne cesse de te hurler que tu dois laisser faire le temps. Tourner la page de ton passé et tout faire pour devenir un homme bien, un homme bon. Tu n'as que ça à faire de toute façon : laisser le temps faire les choses. Tu te sens un peu ridicule de mettre ton avenir dans les mains de Ivy. Ta vie sentimentale repose entièrement dans les mains de la jeune femme. Ton destin lui appartient. Tu sais que Ivy le mérite, tu sais que tout tes efforts ne sont pas vain. Aujourd'hui, tu es sûr de toi et de tes sentiments. Tu es amoureux de Ivy. Ça te fait peur. Oh que oui ! Tu as peur de tout cela. T'attacher autant à quelqu'un, vivre pour l'être aimé. C'est nouveau pour toi et en tant que catastrophe ambulante, tu fais très attention à ne pas mettre les pieds dans le plat. Cette plante, celle t'as offert pour fêter ta nouvelle vie, tu y tiens comme à la prunelle de tes yeux. Tu lui as trouvé une place de choix, celle près de ton canapé, juste en face de la baie vitrée. « Ne t'en fais pas ! J'en prendrais grand soin ! » Et c'est vrai. Tu te surprends même à la bichonner chaque jour qui passe. « Tu sais, j'ai lu quelques articles sur internet qui disait qu'il fallait parler aux plantes comme on parlerait à un être humain ou un animal. C'est vrai tu crois ?! » Du plus loin que tu te souvienne, tu as toujours été ainsi. Tu as toujours cette soif d'apprendre encore et encore, sans cesse. D'approfondir en permanence tes connaissances, de combler tes lacunes. Avoir le soutien de Ivy est très important pour toi, tu as encore besoin de sentir que des gens te soutiennent et si la présence de Ella se fait plus rare aujourd'hui, celle de Ivy est plus que nécessaire. Tu n'ose pas lui avouer que rares ont été les personnes qui t'ont fait des cadeaux. Ta mère, bien évidemment. Même à Noël, elle t'en as fait un. Ne serait-ce que par sa venue à New-York. Ella t'as également fait un cadeau inestimable à tes yeux : sa confiance et son hébergement chez elle alors qu'à cette époque, tu n'étais qu'un simple étranger pour elle. Ivy n'était qu'une étrangère à tes yeux mais, aujourd'hui, elle est bien plus que ça. Une journée sans la voir ou lui parler est une journée de perdue pour toi. « Arrête, tu vas me faire rougir ! » Si ce n'est pas déjà fait, bien sûr. Tu souris à la demoiselle et viens commander votre dîner. En attendant que ce dernier arrive enfin, tu viens lui offrir le petit paquet qui lui est destiné et qui attend d'être ouvert depuis la fin d'année deux mille vingt. Ça te fait mal lorsque la demoiselle se dévalorise de la sorte. Elle est très belle. Elle a un charme de fou et tu aimerais qu'elle en prenne conscience. Tant pis si les autres ne le voient pas. Toi, tu le vois et tu assume ces nouveaux sentiments à son égard. Tu les sens les battements de ton cœur qui tambourinent fortement à l'intérieur de ta cage thoracique. Ça te fait peur mais cette sensation de bien-être te fait du bien. Tu respire enfin. Comme si ta bonne étoile avait enfin pris ses quartiers dans ta vie et veiller sur ta personne. « J'en ai d'autres des dessins. Tu veux les voir ? » Tu connais déjà la réponse de la jeune femme. Tu veux entendre les mots sortir de sa bouche joliment peinte d'un rouge à lèvre rouge. Le rouge représente la passion, il paraît. Main dans la sienne, tu lui fait faire le tour de ton appartement. Tu lui montre chaque pièce. Il y a encore un peu de travail à faire pour que tout soit parfaitement à ton goût, chaque chose en son temps. Un appartement coûte de l'argent et l'argent ne tombe pas du ciel. Tu es bien placé pour dire que l'argent est très précieux, c'est pour ça que tu ne fais pas n'importe quoi avec. « J'ai pas trop à me plaindre des voisins. Mis à part cette petite mamie qui passe l'aspirateur à six heures du matin. » Tu dis en rigolant. « J'aurais certainement voulu un balcon mais bon, on est à New-York. C'est déjà une chance de pouvoir se loger ! » Tu reviens sur le canapé avant que la sonnette ne retentisse. À regret, tu te relève et viens récupérer votre repas. « J'y connais pas grand chose en déco. J'aime bien quand les espaces sont claires et épurés. J'ai horreur des intérieurs chargés. » Tu fouine, tu cherche partout autour de bonnes idées de décorations. Dans l'entrée, sur le buffet, tu as déjà soigneusement installé le cadre photo avec celle de Ella et toi, la dernière prise dans son appartement. Quand Ivy commence à se justifier par rapport au fait qu'elle ne boive aucune boisson alcoolisée, tu ne peux t'empêcher de prendre sa main dans la tienne et de tenter de l'apaiser. Il existe encore beaucoup trop de secrets entre Ivy et toi. Tu as envie de t'ouvrir à elle et que la demoiselle aussi puisse venir s'ouvrir à toi, sans craindre d'être jugé. « Tu sais, je sais garder un secret. Tu peux tout me dire. Je le répéterais à personne! » Tu dis, en caressant sa joue du bout des doigts. « J'ai quelque chose à t'avouer … ça fait à peu près deux mois que je vois un psy une fois par semaine. Je ne suis pas cinglé. Il s'est simplement passé des choses dans mon passé qui m'ont profondément marqué. Je suis prêt à tourner la page, à laisser le passé derrière moi. J'ai pas toujours été ce garçon bienveillant, gentil, attentionné. Je me suis longtemps effacé aux yeux des gens. » Tu lui dis tout ça, ta main serrant encore un peu plus fort la sienne, ton regard plongé dans ses prunelles. « J'veux pas que tu t'efface face au monde Ivy. T'es quelqu'un de bien. Tu peux te sortir de... ça. De ce qui t'es arrivé. J'ai confiance en toi ! » Tu dis, sur un ton calme et serein, un baiser déposé sur sa joue.


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