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 Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)

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Thomas Farrel;

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Thomas Farrel



Daniel Sharman.
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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
thomivy #7

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Message Sujet: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Dim 10 Jan - 13:45



elle m'attire comme un aimant.
« Fais bien attention à toi, mon chéri ! » La surprise se lit dans ton regard. Tu ne t'attendais pas à voir ta mère débarquer à New-York en cette fin d'année deux mille vingt et pourtant, elle est venue. Seule. Sans lui. Tant mieux, tu n'aurais pas voulu passer ce Noël et cette nouvelle année en la compagnie de l'homme qui t'as détruit depuis tes seize ans. En réalité, tu souhaitais passer les fêtes de fin d'année avec Ivy, mais ce ne fut pas le cas malheureusement. La petite serveuse de chez Jo te manque incroyablement. Tu ne pensais pas que ça serait à ce point, mais il faut se rendre à l'évidence que ton attirance envers la jeune femme est palpable. Durant une semaine, tu as accueillis ta mère chez toi. Tu lui as fait découvrir ton nouveau lieu de vie. Cette dernière fut d'ailleurs étonné de voir qu'Ella n'était pas avec toi. Tu fut contraint et forcé de tout lui révéler, à savoir que Ella et toi n'avaient jamais été en couple. Ta mère en fut un peu navré mais, force est de constater que malgré tout tu semble heureux dans ta nouvelle vie. Surtout depuis que tu as emménagé dans cet appartement et que tu as commencé ce job au musée. Durant la semaine, ta mère t'as concocté tout un tas de mets tous plus délicieux les uns que les autres. Ça allait des entrées aux desserts. Ce fut le premier Noël que tu as pu fêter à New-York, et avec ta mère en plus de cela. Tu espère que pour les fêtes de fin d'année deux mille vingt et un, Ivy sera de la partie. Qu'elle viendrait les fêter avec toi.
Une semaine déjà que ta mère est partie. Une semaine que tu tente de reprendre le court de ta vie en trouvant un certain équilibre entre ton travail, tes amis tout en gérant le quotidien. S'occuper d'un appartement n'a rien de reposant. Les tâches administratives sont les plus fastidieuses, heureusement que ta mère t'as filé un coup de main quand elle est venue. Cette année est tienne. C'est l'année de ton renouveau, l'année où tu vas, enfin, te relever pour de bon et prouver au monde entier que tu es là, que tu existe bel et bien. Il t'as fallu un certain temps pour t'en rendre compte mais, ça y est, enfin, ton esprit l'as assimilé. Tu n'es pas un déchet de l'humanité. Tu es tombé sur la plus mauvaise personne que la Terre ait pu porter. Tu n'as pas eu de chances. Tant pis. La vie a décidée de ne pas t'épargner, tu l'as laissé agir sauf qu'à partir de maintenant, c'est toi qui décidera du chemin à prendre. Tu veux vivre, faire ce dont tu as envie, quand tu en as envie. Tu ne veux plus être un simple spectateur de ton existence.

Allez Thomas ! Encore un petit effort !
Tu peux le faire. Tu peux y arriver !
Ce n'est qu'une question de volonté, de courage.
Tu peux le faire. Tu peux y arriver.


Ta journée au musée s'est terminée il y a une heure à peu près. Tes pas t'ont conduit juste devant la devanture de la pâtisserie de Jo. À l'intérieur, il y a un peu de monde. Des enfants venus avec leurs mères, leurs pères ou les deux parfois afin de prendre un goûter après l'école. Jo est là, s'activant à satisfaire ses clients. À ses côtés, pas très loin, ton regard est attiré par Ivy. Elle est encore plus belle que dans tes souvenirs. Tu pourrais rentrer, la saluer et passer commande. Mais non, tu décide de rester, juste devant l'entrée de la boutique. Tu l'observe, un sourire plaqué sur tes lippes.
Ton cœur s'emballe. Il bat la chamade. Durant la semaine avec ta mère, tu n'as pas cessé de regarde ton cellulaire. Tu attendais des nouvelles de la petite tête blonde. Ivy s'est montrée discrète durant les fêtes. Le manque de nouvelles fut pénible pour toi, bien que tu aurais pu toi aussi lui en envoyer. Mais non, tu ne l'as pas fait. Ta mère a bien vu ton air triste et déçu, tu lui a donc parlé de Ivy. C'est elle qui t'as poussé à venir la trouver aujourd'hui.
Les mains dans les poches, le regard toujours posé sur elle, suivant le moindre de ses allers et venus. Tu attends qu'elle termine son service, quitte à attendre deux ou trois heures, dans le froid mordant de New-York.
Les lampadaires commencent à s'allumer, tandis que le jour décline, laissant place à la nuit. Tu n'as pas peur, t'es même plutôt serein. Dans tes mains, tu tiens un présent destiné à Ivy. Ton cœur s'emballe, ton cœur palpite à mesure que les minutes, les heures défilent et que la pâtisserie se vide.


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Ivy Wade



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Ré-illusionnée la petite fille au coeur brisé a enfin cédé à la tentation et se laisse tomber dans les bras de ce garçon qui pourrais bien être son sauveur
Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
I don't like that falling feels like flying 'til the bone crush
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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Dim 10 Jan - 17:33




And it's hard to be at a party when I feel like an open wound




Les fêtes de fin d’année, période de joie et d’effervescence à New York, les lumières colorées sont de sortie et l’on peut entendre des chants de Noël à chaque coin de rue que l’on soit à Manhattan ou dans le Queens. C’était une période enchantée et tout le monde s’activait dans les boutiques à la recherche du cadeau idéal, réfléchissant au meilleur repas possible pour ravir les papilles de ses proches autour de cette soirée qui faisait rêver petits et grands. Pour Ivy c’était une période difficile. Elle avait toujours les yeux émerveillés d’une jeune enfant lorsqu’elle se promenait en ville et qu’elle découvrait les vitrines des magasins parées pour l’occasion mais pour elle, les fêtes de fin d’année avaient perdues de leur saveur depuis longtemps. Depuis l’année de ses quinze ans après le décès de son père et puis ensuite, tout était allé de mal en pis. Pourtant, elle avait toujours fait en sorte de garder le sourire et d’essayer de combler ses proches lors de cette époque de l’année qui sonnait le temps des retrouvailles chaleureuses, elle en avait toujours fait beaucoup pour que tout soit parfait, trop certainement. Un peu comme pour combler le vide qui s’était immiscer en elle et n’avait cessé de grandir. Cette année, c’était la première fois qu’elle avait passé les fêtes de fin d’année à New York depuis que sa vie avait complètement déraillé. Les deux dernières années, en clinique, les choses avaient été bien différentes et, en réalité, elle n’avait pas eu le temps d’y réfléchir. Là, elle s’était surprise, au retour d’une rue à s’attarder devant la vitrine d’un magasin à la recherche du cadeau parfait. Mais pour qui ? Elle n’avait plus personne Ivy, plus personne avec qui partager ces fêtes, ces moments de communion si précieux. Alors, elle avait acheté un petit cadeau à Joseph, après tout il était son sauveur ici bas et un cadeau à son gentil petit Socrate. C’était tout ce qu’il lui restait. Coup dure pour la blonde de se rendre compte, une fois de plus, qu’il ne restait plus rien de son ancienne vie et c’était difficile même si elle n’avait pas le souvenir d’avoir réellement été heureuse dans cette vie là non plus. En réalité, aujourd’hui encore, elle pouvait ressentir de la joie mais c’était bref, rapide, comme pour lui rappelé cette sensation et ça ne durait pas, bien vite la légèreté s’évanouissait et la douleur revenait à la charge, insidieuse, aiguë, elle la prenait dans ses bras à lui en broyer les os. La période avait été difficile pour Ivy, Joseph voyant bien que son employée n’avait pas la tête à faire la fête et la prenant certainement en pitié l’avait invité à passer le nouvel an dans sa famille et Ivy, même si cela avait été dur pour elle de faire bonne figure une soirée durant, ne pouvait qu’être reconnaissante pour ça. L’après fête n’était guère plus simple pour la pâtissière. Elle gambergeait beaucoup, se posant plus de question encore que d’habitude. Elle s’était faite oubliée pour ne pas avoir de compte à rendre à qui que ce soit mais en même temps elle n’avait pas vraiment d’amis, elle ne voyait personne en dehors du travail. Sauf Thomas. Thomas ce jeune homme qu’elle avait rencontré par un beau jour de fin d’été à la pâtisserie. Thomas, ce jeune homme si bienveillant et dont le sourire la faisait se sentir plus légère le temps de quelques secondes. En trois rencontres, il l’avait aidé plus que d’autres personnes, il essayait de la tirer vers le haut et, même si elle n’y mettait pas du siens, elle faisait de son mieux pour ne pas le décevoir. D’ailleurs Thomas, il n’avait jamais l’air déçu, il n’avait jamais l’air de lui en vouloir malgré toutes ses maladresses. Il n’avait pas donné beaucoup de nouvelles pendant les fêtes, les dizaines de messages qu’ils s’échangeaient par jour les dernières semaines lorsqu’il avait obtenu son nouvel appartement s’étaient peu à peu tarit pour arriver à plus rien. Ivy avait eu un léger pincement au coeur mais elle savait que c’était la vie, les gens passaient et s’en allaient et elle, elle restait là, au bord de la route. Thomas était quelqu’un de bien et elle ne lui souhaitait que le meilleur, il le méritait et elle n’avait pas besoin de le connaitre plus pour en être certaine. C’était certainement mieux ainsi, il n’avait pas besoin de voir l’état dans lequel elle était en cette période difficile, il se serait posé des questions auxquelles elle n’aurait pas eu de réponse et puis finalement c’était aussi un soulagement pour elle qu’il se soit éloigné de lui même parce qu’elle savait à quel point elle était nocive pour les autres, à quel point elle semait le mal autour d’elle et qu’il arrivait toujours malheur à ceux qui lui était proche. Elle était triste de le voir disparaitre aussi rapidement de sa vie mais elle en tirait le positif et elle ne lui souhaitait que le meilleur pour la suite. Heureusement l’ambiance chaleureuse et l’activité fourmillante de la pâtisserie aidait la jeune femme à penser à autre chose et à garder son esprit occupée. Après ce passage difficile des fêtes pendant lequel elle avait très sérieusement songé et demander à son psychiatre de le faire interner à nouveau à Los Angeles tant elle avait eu peur des pensées qui l’envahissaient, de plus en plus pressantes, c’était ce dont elle avait besoin et ce malgré la fatigue que cette mauvaise passe avait créée chez elle. L’après-midi se déroulait sans accroche, avec la sortie de l’école l’activité était intense et Ivy servait, grand sourire aux lèvres, les petits et les grands qui venaient chercher leur commande. Petit à petit la pâtisserie se vidait de ses clients. En ce mois de janvier Joseph fermait le magasin un peu plus tôt, il faisait nuit tôt et il faisait froid, la neige tombait régulièrement sur la ville et les clients n’étaient plus aux rendez vous après dix sept heure trente. Certains soirs de la semaine le patron et son employée en profitait pour préparer les pâtisseries et boissons spéciales pour la Saint Valentin qui approchait à grand pas. Ce n’était pas la fête préférée d’Ivy, évidement mais elle prenait beaucoup de plaisir à organiser tout cela avec Joseph, les évènements et nouveautés sur la carte étaient toujours source de satisfaction et d’excitation pour la jeune femme. Ce soir en revanche, après avoir rangé la salle, chacun allait regagné son chez soi. Après s’être changée, Ivy s’était faite couler une boisson chaude pour l’accompagner sur le trajet du retour chez elle et elle avait salué Joseph pour quitter la pâtisserie. A peine sur le pas de la porte, elle s’était stoppée, le regard effaré par ce qu’elle voyait. Thomas, là, en face d’elle, bel et bien vivant. Elle était si surprise qu’elle avait manqué d’en faire tomber son mocha blanc. Rapidement, la gêne la rattrapa. Qu’allait elle bien pouvoir lui dire ? Comment allait elle justifier son silence soudain ? Elle ne lui avait même pas souhaité bonne année ou même joyeux Noel ou du moins elle ne s’en souvenait pas. « Thomas ?! Qu’est ce que tu fais là ?  » Elle était restée bloquée sur le pas de la porte ne sachant vraiment pas comment se comporter. Elle finit par ajouter, confuse mais réalisant que le jeune homme n’était peut être venu jusque là que pour prendre une boisson chaude, réconfortante par ce temps. Peut être qu’il était simplement arrivé en retard. Elle jeta un oeil à l’intérieur où Joseph terminait de ranger les chaises dans la salle, préparant déjà pour l’ouverture du lendemain matin. « Tu veux une boisson ? Avec ce froid ça fait du bien… Je te l’offre si tu veux. ». Elle avait baissé les yeux. C’était bien la moindre des choses pour se faire pardonner de son silence des dernières semaines.


panic!attack


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« Ré-illusionnée »
I'm laughing with my lover, making forts under covers, trust him like a brother, yeah, you know I did one thing right. Starry eyes sparkin' up my darkest night. My baby's fit like a daydream, walking with his head down. I'm the one he's walking to. So call it what you want
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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Mer 13 Jan - 14:35



elle m'attire comme un aimant.
Du plus loin que tu te souviennes, tu n'as jamais trop aimé les fêtes de fin d'année. La course aux cadeaux, la préparation d'un repas digne de Gargantua. Retrouver sa famille. Mais, en revanche, tu admet bien volontiers que les illuminations de Noël dans les rues des villes, sur la devanture des maisons ou à travers les vitrines des grands magasins t'ont toujours beaucoup fascinés. Déjà, à San Francisco, tu adorais arpenter les rues non loin de l'immeuble où tu vivais avec ta mère et lui et tu étais, à chaque fois, émerveillé par ce que tu avais sous les yeux. Dans les rues de New-York, c'est encore plus beau, pus magnifique. On ne parlera de l'immense sapin de Noël placé au cœur de la ville. Tu étais comme un enfant devant ses cadeaux, les yeux remplient d'étoiles.
Cette année, la fin de l'année deux mille vingt a sonné ton renouveau. Ta mère est venu afin de passer une petite semaine avec toi. Tu n'avais pas de vacances. Ce n'est pas grave, elle a pu te concocter des petits plats tous plus succulents les uns que les autre, comme elle le faisait à l'époque. C'était chouette de passer du temps avec ta mère. Tu as pu lui f aire visiter quelques uns des endroits que tu affectionnes tout particulièrement. Elle fut déçue de ne pas voir Ella, une prochaine peut-être. En tout cas, ta génitrice a prévue de revenir. Bientôt, tu l'espère. Elle te l'as promis. Tu crois qu'elle commence à te croire, elle arrivera sans doute à se détacher et à quitter cet homme qui a détruit, brisé, humilié son fils unique.

Journée de travail terminée. Tu te retrouve, mains dans les poches, devant la devanture de la pâtisserie de Jo. À l'intérieur, il y a un peu de monde. Des famille surtout, venues afin de prendre un petit goûter après la sortie de l'école ou de la garderie plutôt vu l'heure avancée dans la soirée.
Là-bas, derrière le comptoir, aux côtés de Jo, Ivy est là. Elle s'active à servir et satisfaire les clients. Cette petite semaine loin d'elle a été difficile, bien que les messages entre vous deux n'ont pas cessés. Ils se sont fait rares certes, mais jamais tu ne l'as oublié. Tu as même concocté un petit présent pour elle, tu ne l'as pas avec toi malheureusement. Il est soigneusement rangé, chez toi, dans le placard de l'entrée. Attendant d'être offert et déballé par la jeune femme.
Ivy est là, à quelques mètres de toi. Ton regard se pose sur elle. Ton cœur se met à battre étrangement vite, ton pouls s'accélère. Tes mains deviennent moites. Tu ne comprends pas ce qu'il se passe. Une crise de panique ? D'angoisse ? Serais-tu heureux de retrouver la petite serveuse ? C'est vrai que depuis plusieurs mois, la jeune Ivy a débarquée dans ta vie et semble prend de plus en plus de place, de plus en plus d'importance. Tu ne pensais pas ressentir cela un jour. Comme te l'as dit Ella lors de votre dernière soirée, en tant que colocataire, il est inutile de vouloir mettre des mots sur ce que tu ressens envers Ivy. Ou du moins pas tout de suite. Il te suffit de te laisser porter par toutes ces nouvelles sensations, ces nouveaux sentiments. Ça ne te fait pas peur, au contraire, tu semble même heureux de connaître cela. Tu es déjà très attaché à la jeune femme.

La nuit est tombée sur la ville. Chaque habitant de la ville regagne son domicile, se pressant plus ou moins. Tout le monde sauf toi. Ton regard est toujours posé sur la pâtisserie, vide désormais. Les lumières se baissent. Il n'y a plus âme qui vivent dans la boutique. Puis, soudain, une petite tête blonde sort enfin de l'intérieur de la bâtisse. Un immense sourire se positionne sur ton visage. Ivy est là, devant toi et semble surprise de te voir.
« Bonsoir ! » Tu dis, dans un premier temps pour la saluer. Tu voudrais bien lui faire un bisou sur la joue mais t'es pas certain que ça soit la meilleure chose à faire. Ivy est encore un peu fragile, si tu peux te permettre de dire ça. « J'avais envie de te voir, en fait. Tu vas bien ? » Tu t'approche d'elle, de son être, bien emmitouflé dans ta doudoune. Un des cadeaux de Noël offert par ta mère. « T'as passé un bon noël et un bon réveillon de nouvelle année ? » Ivy n'est pas le genre de fille à faire la fête, à participer de grandes soirées. Soit elle a passé ces moments supposés être joyeux seule, dans son appartement, soit elle les a fêté en petit comité. Très petit comité.
« Ah je ne dis pas non ! Je n'ai rien avalé depuis deux bonnes heures ! » Avant, t'aurais certainement décliné sa proposition mais là, cette fois, tu accepte volontiers qu'elle t'offre une boisson. Tu es heureux de la voir, de passer du temps avec elle. Ce sourire n'est pas prêt de se retirer de ta figure, t'es même capable de t'endormir, pas tout de suite, en souriant bêtement.


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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Sam 16 Jan - 12:11




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Avec les fêtes de Noël c’était l’année qui touchait bientôt à sa fin. Dans quelques jours cela ferait une année qu’Ivy était revenue à New York, un retour qui n’avait rien eu de facile ni de gagné d’avance. Après quatorze mois loin de cette ville qui l’avait vu naître, quatorze mois sur la côte est des Etats-Unis, sous le soleil de Los Angeles mais enfermée entre les murs immaculés d’une clinique psychiatrique qui renfermait nombre d’âmes très tourmentées. Si elle regardait en arrière, Ivy n’aurait jamais cru être capable de tenir aussi longtemps. Lorsque les médecins lui avait annoncé que si elle trouvait un travail rapidement et qu’elle promettait de suivre régulièrement une thérapie auprès d’un médecin recommandé par ceux qui l’avaient suivi à la clinique alors elle pourrait rentrer chez elle, elle avait été heureuse mais bien vite elle avait eu peur, elle était effrayée de revenir dans les quartiers qu’elle connaissait bien, effrayée parce qu’elle n’avait plus vraiment de chez elle et parce que, même si elle continuait encore à le nier, elle savait que rien ne serait comme avant, sa vie d’avant avait disparue et elle devait en faire son deuil ce qui serait, sans doute plus difficile une fois de retour sur les routes qui l’avaient vu grandir. Et elle ne s’était pas trompée, cette année avait été difficile, beaucoup de fois elle avait fini la journée en larmes, beaucoup de fois elle avait eu peur de sortir de chez elle mais il y avait eu aussi des points positifs cette année, l’arrivée de son petit chat, Socrate, dans sa vie, trouvé abandonné dans un parc de la ville, et puis le poste qu’elle avait trouvé chez Jo’. Cet emploi était certainement sa plus belle réussite de l’année, cela ferait bientôt un an qu’elle était arrivée timide et apeurée chez Joseph. Timide elle l’était toujours mais apeurée ce n’était plus le cas, désormais elle était bien plus à l’aise même face aux clients. La pâtisserie était bien évidement l’activité qui lui plaisait le plus et avoir la confiance de son patron était le plus beau des cadeau pour Ivy. Les fêtes avaient été particulières pour la blonde, heureusement le travail intensif à la pâtisserie lui avait permis de se changer les idées et le soutien sans faille de Joseph avait été indispensable. Il ne le savait pas parce qu’Ivy ne lui disait jamais, ayant trop peur de ne pas poser les mots justes sur ce qu’elle avait sur le coeur, mais Joseph était un peu le sauveur de la serveuse. S’il n’avait pas été là cette année, pour la faire travailler mais aussi pour prendre soins d’elle, s’inquiéter pour elle en lui envoyant un petit message le jour de Noël en sachant qu’elle était seule et veiller sur elle, la jeune femme aurait sans doute fait un nouveau séjour en clinique parce qu’elle s’était souvent sentie rattrapée par ses démons qui n’étaient jamais partis bien loin, submergée par des idées trop noires, trop funestes qui lui faisait peur parce qu’elle n’était pas certaine de pouvoir y résister longtemps. La période des fêtes étaient désormais derrière et seul l’hiver persistait, bientôt les lumières de fêtes qu’avait revêtue la grosse pomme disparaitraient, jusqu’à l’année prochaine. La journée a été chargée à la pâtisserie, comme souvent en ce moment, mais Ivy avait appris à ne plus avoir peur de ses journées où les clients étaient nombreux. Elle connaissait maintenant très bien les clients les plus réguliers de la boutique et c’était agréable pour elle, beaucoup plus rassurant en tout cas. La journée touchait à sa fin et, alors qu’elle allait quitter son lieu de travail pour retourner en direction de son appartement, s’arrêtant certainement pour faire quelques courses sur le trajet, sur le pas de la porte elle aperçoit Thomas. Ce jeune homme rencontré il y a quelques mois maintenant. Elle ne savait pas vraiment ce qu’ils étaient, des amis ou pas encore, seulement des connaissances peut être ? Quoi qu’il en soit, malgré son air étonné un sourire s’afficha sur son visage, elle était heureuse de le voir. Ivy avait du mal à se lier avec les autres. Elle réalité, elle se méfiait des autres parce qu’elle savait qu’elle était naïve et que, dès le moment où elle commençait à parler avec quelqu’un, qu’elle ouvrait un peu la porte de sa vie, elle se laissait avoir bien trop facilement. C’était aussi une façon de se protéger même si elle n’était pas très efficace étant donné qu’Ivy avait tôt fait d’abandonner ses principes pour voler au secours de la moindre personne qui lui paraissait dans le besoin quitte à se faire royalement rouler dans la farine par la suite. Avec Thomas, elle avait rapidement été en confiance même si leur première rencontre avait été un peu atypique. Il n’était qu’un client comme un autre de la boutique, un nouveau venu mais il lui avait proposer de partager une part de cheesecake. Jamais un client, surtout lors d’une première visite, ne lui avait proposé cela et malgré sa peur, incapable de dire non, la blonde avait accepté. C’était comme sa que l’histoire avait commencé et elle ne semblait pas sur le point de prendre fin malgré une temps de pause en cette semaine de fêtes. Ivy n’en voulait pas à Thomas, elle avait pris les choses comme elles venaient et elle était bien trop perdue dans ses tourments pour penser à lui envoyer ne serait ce qu’un sms pour lui souhaiter un joyeux Noël. « Bonsoir !» Ivy avait sourit timidement, tenant bien fort son gobelet entre ses mains, elle avait l’impression qu’il existait une légère gêne dans la conversation mais c’était peut être à cause des mille questions qu’elle pouvait se poser et de son immense sentiment de culpabilité. « J'avais envie de te voir, en fait. Tu vas bien ? ». Elle avait sentit le rouge lui monter aux joues, heureusement Thomas était encore assez loin d’elle et dans la pénombre il n’avait pas dû le voir même si, il commençait à la connaitre et il savait certainement plus que bien qu’elle n’était pas à l’aise avec ce genre de propos flatteurs et presque élogieux. Après quelques brèves secondes de silence durant lesquelles ses yeux étaient restés rivés sur le trottoir sous ses pieds, incapable de relever la tête et de regarder Thomas sans perdre le peu de contenance qui lui restait, elle finit par prendre son courage à deux mains pour simplement relever la tête pour répondre sans paraitre trop fuyante.  « Oh… C’est gentil… Je… Oui ça va. Et toi comment vas tu ? » la blonde avait réussi à laisser un léger sourire se dessiner sur ses lèvres en terminant sa phrase. Comme toujours elle était intimidée face à un autre individu et ce même si maintenant elle commençait à connaitre Thomas, elle ne pouvait pas s’en empêcher elle avait beau faire, son manque de confiance en elle restait flagrant et la rendait par ailleurs si vulnérables aux personnes avec des mauvaises intentions. Thomas avait fait quelques pas en avant, doucement pour ne pas l’effrayer. Il savait maintenant qu’elle était un peu comme un animal sauvage et que le moindre geste brusque, le moindre mot plus haut que l’autre pouvait la faire fuir. Elle n’avait pas reculé alors qu’il reprenait la parole. « T'as passé un bon noël et un bon réveillon de nouvelle année ?». Elle avait déglutit péniblement, avalant la gorgée de boisson qu’elle venait de prendre comme pour se donner du courage. Parler des fêtes de fin d’année était compliqué pour elle. Elle ne pouvait pas lui dire réellement comment elle s’était sentie pendant cette période de fêtes car c’était déjà difficile pour elle de le reconnaitre, de se l’avouer à elle même. C’était du passé maintenant et elle n’avait pas réellement envie d’en parler même si elle devrait certainement à nouvel aborder cette épisode sombre avec son thérapeute dans les semaines à venir afin d’essayer de s’apaiser un peu et de retrouver des pensées plus sereines. Si Thomas était venu la voir en revanche ce n’était certainement pas pour entendre ses lamentations et essayer ses larmes, d’ailleurs elle n’avait aucune envie de pleurer devant lui. Mais mentir n’était pas facile non plus pour elle et elle ne pouvait pas non plus faire semblant qu’elle avait passé des fêtes excellentes et pleines de joie. Elle se contenta juste d’une réponse assez laconique. « Oui, oui ça a été. J’ai passé le réveillon du jour de l’an avec Jo’ c’était sympa… et toi ? ». Sympa mais tellement difficile pour elle. Et elle avait volontairement complètement oublier de parler du vingt quatre et du vingt cinq décembre qu’elle avait passée seule, enfermée dans ses pensées sombres, prises dans des crises de larmes incontrôlables. Elle était encore là, elle avait réussi à passer au dessus de cela mais cela lui avait énormément couté et elle avait pris un coup au moral en se retrouvant ainsi face à ses démons qui ne semblaient pas encore décidés à la laisser en paix malgré tout le travail, tous les efforts qu’elle essayait de faire chaque jour que la vie faisait. Pour détourner un peu l’attention de Thomas, elle lui avait alors proposer une boisson, une façon aussi de s’excuser de son silence des derniers jours. «  Ah je ne dis pas non ! Je n'ai rien avalé depuis deux bonnes heures ! ». Elle avait sourit et fait volte face pour rentrer à nouveau dans la boutique. Joseph avait presque terminé de ranger la salle mais Ivy lui avait indiqué qu’il pouvait s’en aller, qu’elle rangerais et nettoyait tout ce qu’il restait après avoir fait sa boisson à Thomas et avant de quitter les lieux. Elle avait les clés depuis bien longtemps et ce ne serait pas la première fois que Jo’ lui laissait la responsabilité de fermer le magasin après son départ. Joseph approuva d’un signe de tête après avoir salué Thomas. Bientôt il quitta la boutique et le jeune homme et la serveuse se retrouvèrent seul dans le magasin. Après des journées mouvementées, Ivy appréciait toujours de retrouver le calme du magasin lorsqu’il n’y avait plus personne, c’était juste étrange d’être là avec Thomas cette fois. « Tu veux quoi ? Je peux te faire ce que tu veux ? Chocolat ? Moccha ? Caramel macchiato ? Spécialité des fêtes ? » D’un geste de la main elle lui indiqua la petite carte posée sur le comptoir comme elle pouvait le faire avec tout ses clients. Elle était active ce qui la rendait bien plus à l’aise face au jeune homme malgré le fait qu’elle se retrouve seule, ici, avec lui. Elle resta face à Thomas, de l’autre côté du comptoir, attendant sa réponse avec un sourire sur les lèvres en commençant à sortir une tasse et à préparer les ingrédients dont elle aurait besoin pendant que la machine chauffait et se remettait en marche.


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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Dim 24 Jan - 11:16



elle m'attire comme un aimant.
Ça y est, tu as réussi. Tu as passé, avec brio, l'année deux mille vingt et tu n'es pas peu fier de toi. Tu ne pensais pas y parvenir lorsqu'elle a débuté et puis, finalement, avec un peu de persévérance, beaucoup de patience et l'aide de tes rares amis, tu as su traverser cette année. L'homme que tu as été en janvier deux mille vingt et l'homme que tu es en ce moment-même n'ont clairement plus rien à voir l'un avec l'autre. D'apparence tu es toujours le même, bien que tu ne sois plus recroquevillé sur ta personne. À l'intérieur, tu as changé. Plus sûr de toi, tu oses faire de nouvelles choses. Nouveau travail, nouvel appartement. Tu es en train de te reconstruire, de tirer un trait sur le passé et, tu ne peux pas nier que ça fait un bien fou. Tu n'en pouvais plus d'être cet homme, invisible aux yeux des autres. D'être celui n'ose jamais rien faire de peur de déranger autrui ou bien, par peur du jugement. Cette partie de toi n'est pas morte, loin de là. Seulement, elle est partie se cacher tout au fond de ton être. Tu dois beaucoup, énormément, à Ella. Durant toute l'année dernière, elle a été présente pour toi. Elle t'as aidée, allant même jusqu'à t'accompagner dans ton ancienne ville pour parler et revoir ta mère. Ça t'as fait un bien fou. À ta mère aussi, si bien que cette dernière a décidée de venir passer une semaine avec toi, dans ton nouvel environnement, afin de passer les fêtes de fin d'année en famille. Juste elle et toi. Sans lui. Le bonheur.
Ta mère repartie, tu te sens regonflé à bloc. Ton nouvel emploi se déroule parfaitement bien. Ton appartement te plaît de plus en plus, tu l'aménage petit à petit. En cette fin de journée, tu as envie d'aller voir Ivy. Te voilà en face de la pâtisserie, dehors, dans le froid. Elle est là, derrière le comptoir, se dépêchant de servir et satisfaire la foule de client. Toi, tu attends sagement. La jeune femme n'a pas dû voir que tu te trouvais là, que tu l'attendais. Un espèce de sourire idiot s'affiche sur ton visage lorsqu'elle tourne sa tête en faisant voler ses cheveux blonds au passage. Ivy reste ta plus belle rencontre de cette année passée. Tu es curieux de voir ce que l'avenir vous réserve.

La fin de la journée arrive. Les clients quittent, les uns après les autres, la pâtisserie. Les locaux sont déserts à présent, les lumières s'éteignent. C'est à cet instant que Ivy arrive à son tour, surprise de te voir ici, devant elle. Tu la salue, toujours ce sourire incroyablement niais sur le visage. Tu ne t'attends pas à ce que la jeune femme te saute dans les bras, ni même un petit bisou sur la joue. Tu te contente de lui sourire, heureux de la revoir après cette semaine sans se voir. D'ordinaire, tu ne fêtes pas vraiment Noël et le nouvel an, cette année ça a changé puisque ta mère a décidée de venir une semaine chez toi. Le bonheur, tu ne t'y attendais pas. « oui ça va bien merci. » Tu réponds, faisant face à la demoiselle. « Tu m'as quand même un peu manqué. » Tu dis, ta main venant effleurer celle de la blonde doucement, lentement. Échanger des messages textes tous les jours c'est bien, mais tu avais envie de voir son visage. De la voir avec son petit air timide, ses joues qui rosissent presque à chaque fois que vous passez du temps ensemble. Elle n'a sans doute aucune idée de l'effet qu'elle peut avoir sur toi.
Vous commencez à parler de vos différents réveillons. Tu es rassuré lorsqu'elle te dit qu'elle l'a passé en compagnie de Jo. Tu n'aurais pas aimé la savoir seule, surtout pas un soir comme celui-ci. « ça a été tranquillement aussi. Ma maman est venue passer une semaine chez toi, enfin tu le sais vu que je t'en ai parlé par messages. Enfin je crois ! » Et ça y est, tu recommence. Tu triture nerveusement tes doigts, tu bégaie légèrement et parle toujours trop vite quand le stress s'empare de toi. « on s'est fait un petit repas à la bonne franquette devant un film ! » Tu te souviens parfaitement de cette soirée, l'une des plus belles soirées que tu as passé durant ces dernières années. Tu te rappelle même avoir été te coucher à une heure trente du matin. Il y a des mois de cela, tu ne dormais quasiment pas ou pas avant trois ou quatre heures du matin. Les temps ont bien changés.

Ivy te propose de te servir une boisson. Tu la suis, toujours en arborant un petit sourire en coin de tes lèvres. La pâtisserie est déserte, il n'y a que vous deux. C'est étrange et pourtant, une sensation de bien-être t'envahis. Tu ne sais pas quoi choisir. Il y a tellement de choix de toute façon et puis, il faut dire aussi que tout te fait envie. « T'as qu'à me faire une de vos spécialités de fêtes. » C'est le moment ou jamais, après, il sera trop tard pour en goûter. Tu attrape un tabouret et le tire pour venir t'asseoir. Toujours souriant, le regard plongé sur elle, tu es heureux de passer cette soirée avec elle. « Au fait, j'ai un petit cadeau pour toi. Mais je ne l'ai pas là, il est chez moi .. » Tu dis, redoutant un peu qu'elle ne prenne soudainement peur quant au fait de venir dans ton appartement. « Enfin c'est pas urgent. Tu viendras le chercher quand tu le souhaitera. J'voulais juste te le dire ! »


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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Ven 29 Jan - 17:22




And it's hard to be at a party when I feel like an open wound




Pour l’instant, Ivy, elle tenait le coup. Cela faisait presque une année qu’elle était de retour à New-York, pour autant elle ne pouvait pas vraiment dire qu’elle avait repris le cours de sa vie, qu’elle avait repris là où elle s’était arrêtée. Son ancienne vie avait disparue et, elle avait beau s’efforcer de croire, comme elle le lisait dans de nombreux livre de développement personnel dont elle était devenue une lectrice assidue, et comme le lui répétait inlassablement son thérapeute , que c’était une bonne chose, que c’était un mal pour un bien et qu’un beau jour elle arriverait à sortir le positif de ce virage si brutal qu’elle avait subit, pour le moment elle ne parvenait pas à tourner réellement la page. Elle ne parvenait pas à faire le deuil de cette ancienne vie. Pas encore. Ou peut être qu’elle n’y arriverait jamais. Quoi qu’il en soit pour le moment chaque seconde de chaque jour était encore difficile pour Ivy, parfois le simple fait de respirer devenait un supplice, parfois elle avait encore l’impression que son coeur était entouré d’aiguilles aux pointes acérées et que s’il s’arrêtait de battre alors elle aurait moins mal et elle connaitrait, peut être, la paix. La période de Noël avait, sans surprise, été très compliquée à vivre pour la jeune serveuse. C’était une période de retrouvailles familiales qui ne faisait que rappeler à Ivy, qu’elle, elle n’avait plus de famille. Elle avait réussit à traverser cette période troublée cette année, qu’en serait il l’année prochaine ? Chaque chose en son temps mais la blonde était consciente qu’il était illusoire de croire que les choses s’arrangeraient avec le temps. Dans tout ce marasme, heureusement qu’elle avait ce travail et qu’elle avait Jo’. C’était certainement la meilleure chose qui lui soit arrivée durant l’année qui touchait maintenant à sa fin. La collaboration entre Jo’ et Ivy, elle, heureusement, ne faisait que commencer, elle l’espérait du plomb profond de son son coeur et, pour une fois la petite voie dans sa tête lui soufflait des mots positifs. Au travail, elle se sentait bien. Son esprit était occupé parce qu’elle se consacrait à cent pour cent à ses clients, aux pâtisseries qu’elle préparait comme aux boissons quelles qu’elles soient. Elle était consciente que malgré tout le malheur qu’elle avait pu connaitre, c’était une vraie chance d’aimer son travail. Contrairement à beaucoup, Ivy, c’était quand la journée de travail touchait à sa fin qu’elle se sentait mal, qu’elle sentait l’impression de vide reprendre toute sa place au creux de son ventre et que le chagrin revenait la couvrir de son manteau trop lourd pour les épaules de la blonde.  Alors qu’elle s’apprêtait à quitter la pâtisserie, le coeur lourd comme chaque soir, elle fut surprise de trouver là, sur le pas de la porte Thomas qui semblait l’attendre. Elle devait se tromper. Pourquoi serait il venu l’attendre là ? Après tout elle travaillait dans l’une des meilleure pâtisserie du Queens, il était certainement juste là parce qu’il voulait se réchauffer avec une des délicieuses boissons disponible chez Jo’ et il devait être arrivé en retard. Tout simplement. Légèrement mal à l’aise de cette rencontre qu’elle n’avait pas prévue, Ivy était consciente qu’elle affichait certainement une mine gênée alors elle s’efforça de sourire le plus largement possible alors qu’elle saluait le jeune homme. « oui ça va bien merci.» Il avait réellement l’air d’aller bien, malgré le froid il avait bonne mine et son sourire ne venait pas contrarié ce qu’il était en train de dire. Ivy ne connaissait pas encore suffisamment Thomas pour savoir tout de sa vie mais, depuis leur première rencontre, elle avait sentit qu’il avait vécu des choses difficiles par le passé, elle ne pouvait pas l’expliquer mais son intuition sur la question était si forte qu’elle en avait fait une certitude, et le voir sourire comme ça, être si lumineux était quelque chose que la serveuse admirait chez lui quand elle, face à ses problèmes qui devaient être bien futiles par rapport à ceux que vivaient d’autres âme à travers le monde, n’était capable que de mélancolie et de tristesse. C’était peut être ça. La fêlure qu’elle détectait chez le jeune homme sans en connaitre les raisons mais cette lumière qui, malgré tout, se dégageaient de son être qui attirait Ivy à ce point, elle qui avait besoin de guérir les autres, de les aider pour se sentir bien, avec Thomas elle n’avait pas l’impression d’être dans ce rapport là ou en tout cas pas encore. C’était étrange pour elle et elle ne parvenait pas vraiment à qualifier leur relation dans son esprit.
« Tu m'as quand même un peu manqué.». Thomas s’était rapproché, gommant la distance qu’elle s’était efforcée de maintenir entre eux comme un périmètre de sécurité qui lui permettait, selon elle, d’arriver plus facilement à masquer les émotions qui la débordaient trop souvent et qu’elle aurait voulu que le jeune homme ne voit pas. Les mots de Thomas couplés à la douceur de son geste, sa main froide venant effleurer la peau encore chaude de la jeune femme qui tenait sa boisson fumante avec force entre ses deux paumes, firent instantanément rougir la jeune femme. Coincée entre le brun et la porte de la boutique elle ne pouvait pas reculer, elle se retrouvait comme prise au piège mais dans un piège si doux, si délicat qu’elle n’était pas certaine d’avoir envie d’en fuir même si cette proximité avec Thomas créait chez elle une vague de ressentis aussi divers que paradoxaux dont elle ne savait pas quoi déduire. « C’est vrai ? Je suis contente de te voir moi aussi… » Elle avait terminé sa phrase dans un murmure à peine audible. C’était difficile pour Ivy de faire face à de tels sentiments, de tels émotions. Elle s’était tellement efforcée de laisser son coeur anesthésier parce qu’elle avait trop peur de souffrir encore plus, trop peur d’affronter ses démons, l’attachement que les autres pouvaient développer pour elle était l’un de ses pires démons. Pourtant elle était honnête, débordante d’une sincérité dont il était difficile de douter tant les mots avaient du mal à franchir la barrière de ses lèvres. « ça a été tranquillement aussi. Ma maman est venue passer une semaine chez toi, enfin tu le sais vu que je t'en ai parlé par messages. Enfin je crois ! on s'est fait un petit repas à la bonne franquette devant un film !». Oui, elle savait que la mère de Thomas était venu lui rendre visite pour les fêtes de fin d’année et elle avait été heureuse de l’apprendre tant cela avait eu l’air de faire plaisir à Thomas. Elle était malheureuse mais le bonheur des autres, leur joie, même si elle n’y participait pas lui faisait du bien, lui mettait du baume au coeur quelques instants parce qu’elle avait besoin de croire que malgré le monde plein de ténèbres dans lequel elle vivait depuis trop longtemps, il existait de la lumière, de l’espoir partout autour d’elle. C’était peut être la seule façon pour elle de croire encore un peu à la possibilité d’une vie plus douce.« Oui oui tu me l’avais dit, je suis contente pour toi.  ». Elle avait sourit, sincèrement et un peu plus détendue maintenant que la conversation s’était tournée plus vers Thomas que vers elle. C’est ensuite que, pour dissiper pleinement le malaise qu’elle pouvait encore sentir planer autour d’elle et de cette discussion, elle proposa à Thomas une boisson. La boutique était fermée, Jo et elle avait déjà tout rangé et tout nettoyé mais pour Thomas elle pouvait bien faire ça. Et elle savait que Joseph ne s’y opposerait bien sachant très bien que son employée nettoierait et rangerait le matériel par la suite «  T'as qu'à me faire une de vos spécialités de fêtes ». Ivy avait hoché la tête dans un signe positif. Elle n’avait même plus besoin de regarder la recette de la préparation pour la faire, elle l’avait tellement faite durant les dernières semaines. La recette avait remporté un franc succès et le patron comme la serveuse était ravi de constater qu’ils n’avaient pas travailler pour rien et que la clientèle avait été au rendez vous. Ils avaient d’ailleurs eu beaucoup de compliments autour de ce breuvage dont ils avaient élaboré la recette à deux. Ivy était en tout cas très fière d’avoir participer à ce projet et très reconnaissante avec Jo’ qui lui avait laissé cette possibilité. « Très bon choix, elle a eu un franc succès et on arrête de la faire à la fin du mois de janvier. » Elle avait sourit tout en ce mettant au travail, sortant les ingrédients dont elle aurait besoin pour sa réalisation. « Je n’en ai pas pour longtemps, il faut juste que la machine se remette à température. Fait comme chez toi. » A nouveau elle avait sourit, un peu moins gênée maintenant qu’elle était active et occupée, concentrée sur sa préparation, elle l’avait fait une bonne centaine de fois, même plus, mais elle ne voulait sous aucun prétexte rater celle de Thomas aujourd’hui. « Au fait, j'ai un petit cadeau pour toi. Mais je ne l'ai pas là, il est chez moi .. » En entendant ses mots elle arrêta son geste quelques secondes. Heureusement, elle faisait face à la machine pour préparer les boissons chaudes, Thomas ne devait pas voir le rouge qui lui montait aux joues. Elle se sentait à nouveau terriblement gênée n’ayant pas du tout anticipé le fait que Thomas allait lui faire un cadeau, elle n’avait rien prévu pour lui et c’était une situation très gênante. Elle en avait eu l’idée mais y avait renoncer en se disant qu’elle n’était pas assez proche de lui pour se permettre ce genre d’attention.« Enfin c'est pas urgent. Tu viendras le chercher quand tu le souhaitera. J'voulais juste te le dire !» Ce n’est que lorsqu’il prononça ces mots qu’elle se rendit compte qu’elle devrait trouver le courage d’aller chez Thomas un jour prochain pour récupérer ce cadeau. Elle n’était pas intéressé uniquement par ce cadeau et ce n’est pas que sans ça elle n’aurait jamais été chez Thomas mais elle avait peur tout simplement. Aller chez quelqu’un ce n’était peut être rien pour la majorité des gens, pour Ivy c’était déjà quelque chose. C’était une intrusion dans l’intimité de l’autre et elle avait encore beaucoup de mal avec cela. Elle inspira profondément tournant brièvement les yeux vers Thomas, se détourant de la boisson qu’elle préparait avec soin. « Un cadeau ? Pour moi ? Il ne fallait pas…». Replongeant soudain dans le silence après avoir brutalement interrompu sa phrase, les mots lui manquants pour dire quelque chose d’un temps soit peu intelligent, elle termina la boisson de Thomas. « Et voilà, c’est prêt. Tu veux un supplément de crème fouetté ? » Elle avait sourit, retourner la conversation du tout au tout lui permettait d’être à nouveau un peu plus à l’aise alors qu’elle attendait la réponse de Thomas pour ajouter un peu de chantilly s’il en voulait. Faite maison, elle était délicieuse. « Je….  ». A nouveau elle changeait de sujet pour revenir vers ce cadeau dont la simple idée la mettait si mal à l’aise. Mais elle ne voulait pas que Thomas puisse penser quoi que ce soit de mal ou lui prêter de mauvaise intention, même si elle était mal à l’aise avec le sujet, elle devait mettre les choses aux clairs, certainement plus pour elle que pour lui d’ailleurs. « Je n’ai pas osé t’acheter un cadeau et je suis terriblement gênée… Tu veux bien qu’on aille faire les magasins pour que tu choisisses une plante que je pourrais t’offrir… c’est l’occasion ou jamais… » Elle avait tenté de sourire malgré sa gène et cela devait plus ressembler à une grimace qu’à autre chose. C’était difficile pour elle de parler de cela, de l’idée qu’elle avait eu de faire un cadeau à Thomas et de lui avouer sa gêne par rapport à la situation comme ça de but en blanc. La dernière fois elle avait promis de lui acheter une plante, c’était l’occasion rêvé et ce serait encore mieux si le jeune homme la choisissait lui même. Ivy croyait au coup de foudre malgré ce que la vie lui avait fait subir et elle y croyait même entre les humains et les plantes, elle était peut être folle mais c’était une pensée qui la faisait sourire.

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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Mar 2 Fév - 16:23



elle m'attire comme un aimant.
Ce n'était pas ainsi que tu aurais dû terminer l'année. Une année c'est long, très long parfois. Il y a le temps de se passer mille et unes choses en une année. Pour toi, cette année deux mille vingt aura été un ascenseur émotionnel et ce dans tous les sens du terme. Le Thomas dépressif et mal en point du début de l'année n'existe plus. Enfin si, mais il semble être parti loin. Très loin, tout au fond de ton être. Aujourd'hui, le bonheur semble te sourire enfin. Nouvel emploi, un appartement, des amis fidèles sur qui compter à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit et puis, il ne faut pas oublier Ivy. Cette petite demoiselle à la chevelure semblable à la couleur du soleil, cette fille tout aussi détruite et méfiante envers autrui que toi il n'y a pas si longtemps que cela. Tu as souvent entendu dire que l'amour frappe lorsqu'on ne s'y attend pas. Tu ne sais pas ce que ça veut dire. Tu ne sais même pas si ce que tu ressens envers Ivy c'est de l'amour ou non. En tout cas, tu ne peux pas nier le fait que tu sois attaché à elle. Même ta mère l'a sentie lorsqu'elle était chez toi. Cette petite semaine sans voir Ivy fut longue. Elle t'as manquée, tellement fort. Si fort que te voilà, devant la bâtisse de la pâtisserie de Jo, observant la jolie petite serveuse s'empresser de satisfaire le plus rapidement possible les différents clients. Rien que la vue du visage de Ivy te rend heureux.
Mis à part Ella, tu ne t'es jamais vraiment attaché à qui que ce soit d'autre. Ivy est différente. Tu tiens déjà énormément à elle. Tu ne sais pas tout ce qu'elle a pu vivre pour qu'elle soit comme elle est devenue, mais, néanmoins, tu lui a promis de toujours être là pour elle. Pour la protéger, l'aider en lui tendant une main réconfortante quand elle en a besoin.

Ivy semble surprise de te voir là, alors que vous n'aviez pas rendez-vous. L'envie de la voir était plus forte que tout. Lorsque t'es avec Ivy, t'as l'impression que tout est simple. Tu peux parler de tout en sa compagnie. Tout chez elle te fait craquer. Son petit air timide, sa manière d'être, d'agir. La façon qu'elle a de rougir en te regardant droit dans les yeux ou au moindre compliment que tu lui fera. Tout chez elle te plaît et te fait craquer. Même là, alors qu'elle semble gênée de te voir, tu fonds littéralement. Du plus loin que tu te souvienne, tu as toujours été empathique. Tu ressens tout ce que Ivy ressens. « J'veux pas te mettre mal à l'aise, ni que tu pense que je te suis. J'avais juste envie de te voir ! » Tu dis, sourire sur tes lèvres. Tu hésite à venir lui caresser la joue. Peut-être va-t-elle prendre peur mais après tout, elle te connaît. Elle sait que jamais tu ne lui ferais du mal. Ni à elle, ni à une autre femme. Ni même à quelqu'un d'autre. Et ça, même si la personne est la plus mauvaise que tu ai jamais rencontré.
Ta main se pose sur la joue de la demoiselle, tu la lui caresse du bout des doigts. « Bien sûr que c'est vrai. J'aime bien qu'on passe du temps tous les deux. Les sms ou les appels c'est cool, mais, j'suis sûrement un peu vieux jeu mais j'aime bien passer du temps avec mes amis en chair et en os. » Oui, Ivy est ton amie. Tu tiens à elle presque autant que tu peux tenir à Ella. Tu tiens sans doute un peu plus à Ivy, un peu plus que si elle était une simple amie. Non, Ivy est beaucoup plus que cela pour toi.
« Elle m'a dit qu'elle reviendrait de temps en temps. Peut-être que je te la présenterais un jour! » Ta mère c'est tout pour toi et pouvoir lui présenter les personnes qui te rendent heureux et qui comptent pour toi est très important.

Silencieusement, tu la suis jusqu'à l'intérieur de la pâtisserie. Tout est calme, silencieux. La salle est plongé dans la pénombre. Une sensation de bien-être s'empare de toi. Tu te sens si bien en ce moment avec elle. Ivy de l'autre côté du comptoir et toi, assis sur l'un des tabourets qui la regarde préparer vos boissons. « Jt'aiderais à nettoyer et ranger si tu veux ! » Tu t'en voudrais que la jeune femme se fasse engueuler par son patron le lendemain à cause de toi. Même si, d'après les dires de Ivy, Jo reste quelqu'un d'extrêmement gentil. Tu l'as vu, à différentes reprises, mais jamais tu ne lui a parlé.
« au fait, on a une soirée d'inauguration pour l'expo d'un peintre local. Tu veux que je parle de toi au responsable du musée pour que tu nous confectionne un buffet bien garni ? » Tu ne veux pas lui mettre la pression. En aucun cas. Tu veux simplement qu'elle prenne confiance en elle. Qu'elle vienne croire en elle et en son talent.
Ivy ne cesse de te sourire. Elle ne s'en doute probablement pas mais ce simple geste, anodin pour certains, te rend complètement fébrile. Tu lui souris en retour, observant toujours la demoiselle terminé de préparer sa boisson.

« Rassure toi ! Je n'ai rien dépensé ! C'est un petit cadeau fait maison ! » Ce sont ceux qui comptent le plus pour toi. Certains diront certainement que c'est un cadeau de faignant ou de radin mais, pour toi, offrir un cadeau que l'on a confectionné nous même est encore plus beau, plus touchant. Là, il s'agit juste d'un portrait d'elle réalisé en pastel. T'espère vraiment que ce cadeau lui plaira.
« oh que oui ! J'adore ça ! » Tu dis, un peu trop enjoué à ton goût quant au sujet de la crème fouetté.
La gêne de la demoiselle revient à nouveau. Tu souris, la trouvant toujours aussi mignonne avec ces petits joues légèrement rosies. « Tu sais, t'es pas forcé de m'acheter un cadeau ! » Et puis, tu te souviens qu'elle t'as promis une plante pour ton emménagement. En effet, c'est l'occasion. « Les cours pour s'occuper d'une plante sont toujours au programme, j'espère ?! » Tu demande, un léger rictus en coin des lèvres. Tu n'as jamais été doué pour t'occuper des plantes. Tu te souviens avoir faire mourir l'une des plantes préférées de ta mère à l'époque où tu vivais encore chez elle. C'est pas faute d'essayer d'être un pro du jardinage pourtant. « Tu veux qu'on y aille maintenant ? » La nuit commence à tomber sur la ville, les magasins sont encore ouverts. Et puis toutes les occasions sont bonnes pour passer du temps avec elle.
« En tout cas, cette boisson est un régal. Mes compliments à Jo et puis à toi aussi ! » Tu dis, laissant ta main se poser lentement sur celle de Ivy. Un frisson te parcourra l'échine.


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Ré-illusionnée la petite fille au coeur brisé a enfin cédé à la tentation et se laisse tomber dans les bras de ce garçon qui pourrais bien être son sauveur
Ancienne analyste financière pour un grand groupe devenue serveuse et patissière dans un café convivial et branché du Queens
Queens effervecsent, un petit appartement cozy et dans une rue plutôt calme
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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Sam 6 Fév - 12:52




And it's hard to be at a party when I feel like an open wound




C’était, en résumé, une bien étrange année qui s’achevait pour Ivy. Cette année avait commencé par quelque chose qu’elle n’aurait pas pensé possible quelques mois avant, son retour à New York, non loin de Brooklyn où elle avait grandit et de Manhattan où elle avait vécu. Pendant des mois quand elle avait été hospitalisée, elle avait fondu en larmes à la simple évocation de sa ville natale et elle s’était toujours crue, pour cette raison incapable d’y retourner et pourtant… elle était là. Elle évitait encore certaines rues, certains endroits qui lui rappelaient bien trop intensément les moments qu’elle avait pu y passer, il y avait encore des images qui lui revenaient et auxquelles elle n’arrivait pas à faire face, pas encore et peut être jamais. Mais elle n’aurait jamais pu croire pouvoir revenir aussi près de ces endroits qui avaient vu naitre ses tourments. Cette année elle avait connu plus de moments de détresse, de peine, de peur que de joie et pourtant, que ce soit le positif ou le négatif elle ressentait tout si intensément, beaucoup trop même. Que lui réserverait l’année à venir ? Morose, Ivy n’avait pas encore trop osé y penser parce que, si elle se laissait aller à imaginer ce qui pouvait arriver il y avait fort à parier qu’elle n’oserait plus sortir de chez elle pendant plusieurs jours, jusqu’à enfin se faire une raison qu’elle n’avait guère d’autre choix que de continuer à vivre malgré tout et à porter le fardeau de sa vie comme elle le pouvait, à poursuivre ce qui, pour elle, ressemblait plus à un chemin de croix qu’à autre chose. Voir Thomas sur le trottoir devant chez Jo’ était quelque chose d’inattendue et la blonde avait un peu de mal à savoir quoi en penser. Pourquoi était il la ? Quoi qu’il en soit malgré sa stupeur elle sentait une douce chaleur s’installer au creux de son ventre et rapidement au niveau de ses joues qu’elle pouvait déjà sentir légèrement rosies. « J'veux pas te mettre mal à l'aise, ni que tu pense que je te suis. J'avais juste envie de te voir !» Elle avait failli rétorquer qu’elle n’était pas mal à l’aise mais elle se ravisa. C’était inutile. Même si elle était à bonne distance de Thomas, sa gêne était palpable et elle ne pouvait pas la cacher, elle ne savait pas le faire. Elle se haïssait souvent d’être aussi émotive, si facilement mal à l’aise. Elle n’était pas très douée pour cacher ce qu’elle ressentait aux autres, il était bien trop facile de lire les émotions qui la traversait. Certes, elles étaient certainement difficiles à comprendre tant elles pouvaient être contradictoires, tiraillant sans cesse la pauvre Ivy d’un extrême à l’autre mais elles étaient faciles à lire et la blonde savait à quel point cela la rendait vulnérable aux autres et à leurs intentions pas forcément louables. Elle avait beau lutter, essayer tant bien que mal, faire des efforts, elle ne parvenait pas à s’améliorer. Heureusement, jusque là Thomas n’avait montré que des intentions positives à son égard et, il ne semblait pas vouloir tenter de profiter de la vulnérabilité de la jeune femme ce qui était une chance pour elle. « Oh non, je ne pense pas du tout que tu me suit ou quoi que ce soit de ce genre ne t’en fais pas c’est juste que je ne m’attendais pas à te voir c’est tout… » En disant cela pour tenter de justifier son malaise si palpable, elle se sentait ridicule et elle l’était certainement. Être surpris de voir quelqu’un n’avait pas de quoi mettre qui que ce soit dans cet état. Ivy n’y pouvait rien, c’était plus fort qu’elle, elle avait du mal avec les surprises quelles qu’elles soient parce que, lorsqu’elle ne pouvait pas se préparer à quelque chose, c’était encore plus difficile pour elle de maîtriser les sentiments qui traversait son être. Déjà que lorsqu’elle était prévenue et qu’elle pouvait se préparer ce n’était pas facile… c’était pour cela d’ailleurs que la blonde faisait toujours en sorte que tout soit organisé dans sa vie, de ne rien laisser au hasard pour essayer d’être, le moins possible, soumise à ce genre de situations angoissantes pour elle parce qu’elle ne savait pas comment elle allait réagir. Alors elle vivait ainsi, commun funambule, marchant sans cesse sur un fil trop fin, soumise aux vents contraires, menaçant sans cesse de choir. Et elle composait difficilement avec tout cela. Thomas ne le savait pas, il n’avait pas de mauvaises intentions, Ivy en était certaine. Elle n’avait aucune raison de lui en vouloir et même, au fond d’elle même si son cerveau semblait vouloir enterrer profondément ce sentiment, elle était heureuse de le voir. Le contact de la main froide du jeune homme sur sa peau encore tiède puisqu’elle venait de sortir fit naître un frisson qui la parcourir des pieds à la tête en lui laissant une sensation bien étrange qui la laissa muette quelques secondes comme prise entre deux feux. « Bien sûr que c'est vrai. J'aime bien qu'on passe du temps tous les deux. Les sms ou les appels c'est cool, mais, j'suis sûrement un peu vieux jeu mais j'aime bien passer du temps avec mes amis en chair et en os. ». La blonde avait courageusement relevé les yeux vers son interlocuteur tentant tant bien que mal d’avoir l’air aussi ‘normale’ que possible. Sans surprise elle avait rapidement baissé les yeux, ne parvenant pas à soutenir longtemps le regard de Thomas. Elle était fébrile, fragile, facilement déstabilisée malgré tout les efforts qu’elle faisait et, avec Thomas, c’était encore pire. Contrairement à beaucoup, elle n’avait pas peur de lui, c’était un autre sentiment qui l’envahissait, difficile à contrôler lui aussi. Il y avait quelque chose chez le jeune homme qui la touchait plus que de raison et faisait naître chez elle des sentiments qu’elle ne parvenait pas à définir. Ou peut être qu’elle refusait tout simplement de les définir tant elle avait voulu oublier ce genre de ressentit, doux, effrayant, brulant. Ivy avait peur du vide et ce qu’elle avait l’impression de ressentir en présence du brun lui donnait un vertige qui la tétanisait.  Et puis comment ressentir ce genre de chose en présence d’une personne que l’on connait finalement si peu ? Non. Elle préférait se voiler la face et se dire qu’elle ignorait pourquoi Thomas, de part sa simple présence, la mettait dans cet état, créé se malaise chez elle encore plus facilement que n’importe qui d’autre et enfouir bien au fond de son être la douce chaleur qu’elle sentait au creux de son ventre lorsqu’il était là, en face d’elle, qu’il lui souriait et qu’il n’avait de cesse de lui dire des mots gentils et bienveillants. « Oui, tu as raison c’est mieux la réalité. » Elle avait sourit timidement. Si elle avait été réellement honnête, elle n’aurait certainement pas dit cela parce qu’elle était bien plus à l’aise derrière la barrière de son téléphone. Sans dire qu’elle se sentait confiante dans ces cas là, elle avait moins de mal à trouver ses mots et surtout elle se sentait bien moins vulnérables. Cependant le jeune homme avait raison, rien ne remplaçait les moments passés à deux et rien ne rapprochaient plus les gens que cela. Si elle voulait réellement pouvoir devenir amie avec Thomas, le voir régulièrement était certainement la meilleure solution. Ensuite elle avait acquiescé à ce qu’il avait dit concernant sa mère. Evidement, elle était effrayée à l’idée de rencontrer un jour la maman de Thomas. Parce que c’était une grande étape dans une relation quelle qu’en soit la nature, on ne présente pas n’importe qui à sa famille en prince et puis parce que la simple idée de famille était un concept devenu si douloureux pour Ivy. Tout en continuant à échanger dans le calme, Ivy invita le jeune homme à la suivre à l’intérieur de la boutique, Jo’ les quitta rapidement pour rentrer chez lui, faisant pleinement confiance à son employée pour remettre le magasin en état pour le lendemain matin et Ivy se retrouva finalement seule avec Thomas. D’aussi loin qu’elle s’en souvienne c’était la première fois que cela arrivait les autres fois il y avait toujours eu des personnes autour d’eux que ce soit ici ou dans la rue parce qu’on est jamais vraiment seul lorsque l’on marche dans les rues de la ville. Etrangement, la blonde, dans cet environnement qu’elle connaissait maintenant très bien, ne se sentait pas en danger ou quoi que ce soit d’autre et s’occuper les mains était un bon moyen pour elle de ne pas trop réfléchir. « Jt'aiderais à nettoyer et ranger si tu veux !». Ivy avait sourit un peu plus franchement, plus détendue qu’auparavant avant de répondre sur un ton presque enjoué. « Hors de question, tu es mon invité ici ce soir et je ne fait pas faire le ménage à mon invité ! ». Elle avait rit légèrement. Evidement il était réellement hors de question que Thomas l’aide à ranger et à nettoyer, Ivy se débrouillerait d’autant qu’elle n’en aurait pas pour bien longtemps, elle avait l’habitude et ce n’était pas compliqué. «  au fait, on a une soirée d'inauguration pour l'expo d'un peintre local. Tu veux que je parle de toi au responsable du musée pour que tu nous confectionne un buffet bien garni ? ». Cette proposition la surpris. Il lui avait déjà parlé de cette idée mais jamais elle n’aurais pensé que ça serait venu si vite. C’était une idée aussi excitante qu’effrayante parce qu’elle n’était pas un grand traiteur ni un chef cuisinier, simplement une employée dans un petit café du Queens, certes un café Assez réputé pour ses délicieuses pâtisseries mais quand même. Et puis faire ça seule ? Elle avait peur que ce soit un peu présomptueux de sa part de se lancer la dedans.  « Tu crois que j’en serais capable ? Il y aura du monde j’imagine et je n’ai jamais rien préparé en si grande quantité… En plus je ne sais même pas ce qu’il faut préparer pour ce genre d’évènement… Tu crois que je pourrais en parler à Jo’ ? » Evidement rien que l’idée faisait peur à Ivy et, elle se disait qu’avec l’aide de Jo’, elle y arriverait peut être. Son patron était assez connu dans le coin, il ne participait pas à ce genre d’évènement parce qu’il préférait se dédier à cent pour cent à sa boutique mais peut être que l’idée l’intéresserait. « Tu crois que je pourrais quand même venir même si je ne suis pas en charge du buffet ? Je n’ai jamais participé à une inauguration dans un musée, j’aimerai bien voir à quoi ça ressemble… » Oui, Ivy était curieuse et de temps à autre elle s’autorisait à laisser ce trait de son caractère s’exprimer, c’était le cas à ce moment précis. Elle adressa un sourire amusé au jeune homme ne face d’elle, attendant sa réponse avec une certaine impatience. « Rassure toi ! Je n'ai rien dépensé ! C'est un petit cadeau fait maison !» Après les propos de Thomas, certaines, matérialistes certainement, auraient pu être un peu vexées mais pas Ivy. Au contraire, elle était encore plus touchée, presque émue du geste de Thomas même si elle ignorait encore de quoi il pouvait s’agir. « Je… ca me touche encore plus que tu ai pris de ton temps pour faire quelque chose pour moi…» A nouveau ses joues avaient rosies et sa voix était légèrement tremblotante mais un sourire plus que sincère s’affichait sur ses lèvres alors qu’elle terminait de préparer la boisson commander par Thomas en ajoutant un supplément de crème fouettée qu’elle venait de préparer en quelques coups de fouets. Elle acheva de préparer la boisson en recouvrant le gobelet d’un capuchon plus pratique pour le transport et elle le fit glisser sur le comptoir en direction du jeune homme un sourire satisfait sur les lèvres. « Tu sais, t'es pas forcé de m'acheter un cadeau ! » Elle hocha la tête. Non elle n’était pas obligée mais cela lui faisait plaisir et c’était une bonne occasion pour lui offrir la fameuse plante verte dont elle lui avait parlé la dernière fois puis plusieurs fois par messages.  « Evidement, c’est compris dans le lot, je te l’ai déjà dit je ne laisserai jamais une plante mourir comme ça alors c’est de ma responsabilité de t’apprendre à t’en occuper comme il se doit !». La jeune femme avait rit, elle prenait son rôle très au sérieux et elle s’occuperait de cette plante qu’elle allait offrir à Thomas autant que nécessaire et comme si c’était l’une des siennes. « Tu veux qu'on y aille maintenant ?». Ivy avait approuvé d’un signe de tête. Ce soir elle s’en sentait le courage alors c’était une occasion à saisir, elle le savait, d’un jour à l’autre tout pouvait changer et il ne fallait jamais repousser ce genre de chose.
« Oui avec plaisir. Je nettoie et on y va ! » Aussitôt dit, aussitôt elle s’était mise à la tâche pour ne pas perdre de temps. Cela ne lui pris pas très longtemps et elle fut rapidement de retour près de Thomas après avoir remis sa boisson à elle à chauffer un peu car elle avait eu le temps de refroidir durant les minutes qui s’étaient écoulées. « En tout cas, cette boisson est un régal. Mes compliments à Jo et puis à toi aussi !» Les mots du brun lui firent chaud au coeur et un immense sourire se dessina sur les lèvres de la blonde qui tentait d’ignorer la chaleur qui montait en elle au contact de la main du brun sur la sienne. « Merci… je ferait passer le message à Jo’.» L’ambiance était propice à un rapprochement et c’était sans doute cela qui mettait Ivy dans cet état étrange de fébrilité qu’elle n’avait pas ressentit depuis longtemps, elle avait l’impression que ça faisait des siècles. Cel lui faisait du bien pour le moment mais dans quelques heures, en y repensant, elle savait que cela la ferait souffrir alors elle ne devait pas céder à la tentation. Elle voulait que Thomas soit son ami et elle ne pouvait pas ruiner leur début de relation naissante pour un moment de faiblesse. Elle se racla la gorge pour se ressaisir, elle avait déjà trop souffert pour se laisser aller à ce genre d’échange, et elle repris la parole, essayant de masquer la gêne qui revenait soudainement après avoir croisé le regard du jeune homme qui la fixait. « On peut y aller je suis prête ! ».


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« Ré-illusionnée »
I'm laughing with my lover, making forts under covers, trust him like a brother, yeah, you know I did one thing right. Starry eyes sparkin' up my darkest night. My baby's fit like a daydream, walking with his head down. I'm the one he's walking to. So call it what you want
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plonge à corps et coeur perdu dans cette relation. une jolie petite tête au visage de petite fille est venue illuminer sa vie. Ivy, trois lettres d'or gravés dans ton coeur.
nouvellement embauché dans l'un des plus beau musée de New-York, il restaure certaines oeuvres qui en ont besoin.
une page qui se tourne. un nouvel appartement rien qu'à toi dans une rue calme du Queens.
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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Dim 7 Fév - 12:43



elle m'attire comme un aimant.
Tu es complètement euphorique, néanmoins tu essaie de ne pas trop exposer ta joie de revoir Ivy. C'est un immense sourire que tu arbore face à elle. Son visage de poupée, ses cheveux blonds. La manière qu'elle a de rougir dès que tu lui fais un tout petit compliment. En aucun cas, tu ne pourrais soupçonner que ta destinée était sur le point de changer, d'être bouleverser, renverser. Et pourtant, t'es bien loin de te douter qu'en fin de compte Ivy est cette personne dont tu as besoin de ta vie. Elle est la personne qu'il te faut. Ensemble, vous vous entraidez l'un et l'autre. Vous tentez de remonter désespérément la pente sur laquelle vous avez dévalés il y a des mois, voire des années, de cela.

Te voici arrivé devant la pâtisserie. Le jour commence à décliner lentement. La pâtisserie se vide petit à petit jusqu'à en être entièrement déserte. Ivy arrive en face de toi, te remarquant enfin. Non, tu ne la suis pas. Tu avais simplement envie de la voir. Cette semaine sans pouvoir passer du temps avec elle a été extrêmement longue. Les appels et sms ne sont pas pareils. Toi, tu as besoin de voir tes proches, de passer du temps en leurs compagnies. Mais, parfois, la vie réelle ne nous permet de pouvoir voir nos proches. « J'avais très envie de te voir ! » Tu dis, tes doigts qui effleurent lentement ceux de la jeune femme. Tu souris, encore. Tu ne cesse de sourire idiotement lorsque ton être se trouve en présence de la petite serveuse.
Tu n'es pas une mauvaise personne. Non, toi, on te compare souvent à un agneau. Ce n'est pas toi la mauvaise personne. Tu ne ferais pas de mal à une mouche. Les autres, certains, t'ont fait du mal. Quelques uns t'ont détruits. Ivy, elle ne cherche pas à te faire du mal. Au contraire, c'est quand tu es loin d'elle que tu ne te sens pas bien. Comme s'il te manquait un poumon pour pouvoir respirer convenablement.
Tu es ravi de voir que Ivy et toi êtes sur la même longueur d'onde. Ton cellulaire ne te sert qu'à envoyer des messages ou appeler tes proches. Tu ne possède pas tous les réseaux sociaux, et d'ailleurs il y a certaines semaines où tu ne vas dessus que quelques heures. Tu te passes aisément de ton cellulaire. Préférant parler de vive voix avec tes proches ou rester paisiblement chez toi, avec un livre ou quelques toiles de dessin vierge. C'est une grande nouveauté pour toi. Ton appartement, ta tranquillité, ta solitude. D'ordinaire, la solitude te pèse sur le moral. Sauf que cette fois, tu apprends à l'apprécier. « Tout à fait ! » De nouveau, tu souris bêtement avant de la suivre jusqu'à pénétrer à l'intérieur de la boutique. Tout est calme, tranquille. C'est appréciable.

Malgré sa manière de rougir à chacune de tes phrases, Ivy ne se laisse pas faire. Elle refuse que tu l'aide à ranger le bazar que vous allez mettre en venant boire une boisson chaude. « T'es sûre que je dérange pas ? T'avais peut-être des choses de prévue après ta journée de travail ! » Même en ayant pris un peu plus de confiance en toi, tu ne peux t'empêcher de penser que tu la dérange, contrariant ses projets pour sa soirée.
Puis, tu viens lui parler de cette soirée qui devrait avoir lieu dans quelques semaines. Tu as tout de suite penser à elle, et à vrai dire, tu en as déjà touché un mot à ton patron. Il semble emballer à l'idée de confier cette tâche à une petite entreprise plutôt qu'à son traiteur habituel. « Je suis sûr que t'en es capable. Ça sera un sacré défi mais j'ai confiance en toi, t'es capable de le relever. J'veux bien faire ton assistant mais faudra me dire ce que je dois faire ! » Tu dis dans un premier temps. « Bien sûr que tu en parlé à Jo. Je pense que mon patron appellera le tien dans un ou deux jours, il est possible que je lui en ai déjà touché un mot. Il semble super emballé à cette idée ! » Tu dis, craignant un peu de tétaniser la demoiselle. Tu ne veux pas lui faire peur, tu souhaite simplement qu'elle prenne conscience de son talent. « Si tu ne joue pas les livreuses de nourriture, tu veux bien être ma cavalière pour cette soirée ? » Tu demande, les joues d'un rouge semblable à la couleur du sang qui circule dans tes veines. Il va être très compliqué pour toi de troquer ton pull, jeans, baskets contre un costume. T'es même pas certain d'en posséder un dans ta penderie. « J'ai hâte de te voir dans une jolie robe de bal ! » Tu dis, doucement, à voix basse. Elle est toujours jolie. Si elle porte une robe de bal, elle ressemblera à une princesse. Ça ne fait aucun doute.
« Oh tu sais, ça m'a pas pris le temps et puis j'adore m'occuper comme je peux. Il y a encore des choses que tu ignore à mon sujet. » Tu dis, toujours armé de cette voix basse et douce. Il y a des choses que tu ne sais pas si tu lui raconteras. Un jour, peut-être. Pour le moment, t'en incapable. Il n'y a que Ella qui le sache dans toute la ville.
Tu ne peux t'empêcher de rire à sa petite blague. Tu compte énormément sur elle et sa bienveillance pour t'apprendre à prendre soin de cette plante. Surtout que c'est un cadeau de Ivy et tu tiens à le conserver le plus longtemps possible. « J'espère réussis à m'en occuper. Ça m'embêterait qu'elle meurt trop tôt ! » Tu dis, les épaules haussées.

Alors que la jeune femme s'empresse de nettoyer et ranger ce qui traîne sur le plan de travail, ton regard se perd dans le vide. Ton esprit se met à divaguer. Tu te vois dans ton lit. Tu es en train de te réveiller doucement, ton visage se tourne sur le côté. Ivy est là, endormie à tes côtés. Elle est tout aussi belle que lorsqu'elle est éveillée. Vos deux corps qui se sont unis charnellement et passionnément la nuit précédente. Soudain, tout ton être est en alerte. Tu n'as encore jamais ressenti de telles sensations. Tu as peur, tu es effrayé. Tu ne le montre pas à la jeune femme. Tu refuse de lui transmettre ta peur.
« Parfait ! » Tu dis, ta main qui se glisse dans celle de la jeune femme. Un geste anodin pour certains mais pour toi, ça veut dire beaucoup. Vous traversez la rue jusqu'à atteindre un petit fleuriste encore ouvert à cette heure tardive. Vous vous arrêtez devant le stand des plantes vertes. « Je te laisse choisir. Je n'y connais pas grand chose ! » Ta main toujours dans celle de la demoiselle.


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Message Sujet: Re: Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4)   Elle m'attire comme un aimant. (thomivy #4) Empty Dim 7 Fév - 16:31




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Sa gêne face à Thomas l’empêchait de le montrer mais Ivy était heureuse de le voir. Durant les dernières semaines, les derniers mois elle avait appris à connaître Thomas, un peu plus à chaque fois qu’elle le voyait où qu’ils échangeaient par téléphone. Elle commençait à beaucoup l’apprécier mais elle avait tendance, malgré sa peur d’aller vers l’autre, à s’attacher vite. Elle faisait souvent preuve de naïveté dans ses relations aux autres. Avec Thomas quelque chose était différent, elle était peut être crédule de croire cela mais elle en avait la profonde intuition. Lui, il n’avait l’air de rien attendre d’elle, il n’avait pas l’air de vouloir se servir d’elle pour accomplir un but quelconque. Non, il avait simplement l’air heureux de la voir, de passer du temps avec elle et, même si elle avait encore du mal à croire qu’il soit possible de s’intéresser à elle, parce qu’elle se considérait comme une personne sans quelconque intérêt, lui, il avait l’air heureux du simple fait d’apprendre à la connaître. Et elle aussi, elle était heureuse, le terme était peut être un peu fort mais elle appréciait les moments passés avec lui, réellement ainsi que toute la simplicité que les accompagnait à chaque fois. Tout semblait tellement naturel avec Thomas et il ne se formalisait jamais quand elle avait l’air profondément perturbée, quand elle était à deux doigts de fondre en larme, qu’elle était mal à l’aise. Il ne faisait jamais de remarque désagréable et il ne semblait pas avoir envie de la fuir comme c’était le cas de beaucoup d’autre qui la trouvait un peu trop bizarre sans doute. « J'avais très envie de te voir ! » Elle avait du mal à croire que l’on puisse avoir envie de la voir et pourtant Thomas venait de lui assurer plusieurs fois que c’était la raison pour laquelle il était là. Il avait l’air tellement sincère qu’à aucun moment elle n’était tentée de remettre en question ce qu’il était en train de lui dire. Il avait toujours sur le visage celé sourire, ce sourire dans lequel elle se perdait parfois le temps de quelques secondes en se demandant quelle vie elle aurait pu avoir si elle l’avait connue plus tôt, beaucoup plus tôt. Ce sourire qui la réconfortait et la rassurait, faisait taire toutes les voix qui hurlaient dans sa tête, toutes les sirènes d’alarmes qui retentissait lorsqu’elle pensai à lui certains soirs de solitudes. Non, il ne savait certainement pas l’effet qu’il pouvait avoir sur elle, les émotions contraires qu’il provoquait en elle. Il ne devait en avoir absolument aucune idée et c’était bien mieux ainsi. Ivy préférait taire cela et le garder pour elle tant elle se sentait en danger si quelqu’un l’apprenait. Mais elle était bête de penser que ça ne se voyait pas pour un oeil extérieur avisé. Elle appréciait Thomas, en tant qu’ami en tout cas, et elle ne pouvait pas le cacher. Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait plus eu d’amis. Dans les couloirs d’une clinique psychiatrique nonne se fait pas d’amis parmi les âmes plus tourmentées et malades les unes que les autres qui arpentent les longs corridors à la blancheur immaculée. Bien vite, pour dissiper le malaise qui prend naissance et ne semble pas vouloir quitter les lieux, la blonde invite le jeune homme à entrer dans le café pour lui offrir un boisson. L’heure de fermeture était dépassée mais Jo’ n’en voudrait certainement pas à son employée d’offrir une boisson à un ami, il aurait certainement fait de même. D’ailleurs, totalement confiant, il quitta rapidement les lieux en saluant les deux jeunes gens, les laissant seuls dans sa boutique. Avec Ivy l’échoppe était de toute façon sous bonne garde et Joseph le savait, il pouvait dormir sur ses deux oreilles, demain matin il retrouverait son magasin comme il l’avait laissé. « T'es sûre que je dérange pas ? T'avais peut-être des choses de prévue après ta journée de travail !» Rapidement Ivy hocha la tête dans un sine négatif. Non, elle n’avait rien de prévu sauf de rentrer chez elle pour se morfondre et se réconforter avec son joli petit Socrate sous les genoux qui écouterait en ronronnant gentiment tous les tourments de sa maitresse. Mais cela pourrait attendre quelques minutes ou quelques heures de plus.  « Non, non ne t’inquiète pas, j’allais rentrer chez moi et m’y enfermer jusqu’à demain, ça peut bien être repoussé de quelques heures. Socrate ne m’en voudra pas. » Elle avait légèrement rit avant de reprendre la parole pour expliquer la fin de son propos.  « Socrate c’est mon chat, je ne sais plus si je te l’avais dit déjà…» Devant Thomas elle n’était pas capable de prétexter qu’elle avait autre chose de mieux à faire. Et puis elle devait reconnaître que cette perspective de passer encore un peu de temps avec lui, même si elle ne l’avait absolument pas prévu quand elle s’était levée ce matin, lui mettait un peu de baume au coeur alors elle ne comptait pas laisser filer cette opportunités même si elle regretterait peut être de se laisser un peu trop aller à s’attacher à Thomas et à le laisser s’attacher à elle quand elle serait seule avec ses démons, vicieux et effrayants, qui lui rappellerait sans aucun doute à quel point elle était dangereuse pour autrui. Qui lui rappellerait tous les gens qui étaient décédés dans son entourage et ceux qui avaient fait le meilleur choix possible, la quitter avant que l’histoire ne tourne mal pour eux. Egoïstement, elle voulait profiter un peu des quelques instants que Thomas venait lui offrir en se présentant à la pâtisserie ce soir. La conversation se poursuivait jusqu’à ce que Thomas aborde un sujet encore plus inattendu pour Ivy. Il avait parlé de cela la dernière fois, avant les fêtes, mais jamais elle n’aurait pensée qu’il pouvait être sérieux et l’idée, aussi excitante qu’elle pouvait être, tétanisait la petite serveuse à la timidité maladive. « Je suis sûr que t'en es capable. Ça sera un sacré défi mais j'ai confiance en toi, t'es capable de le relever. J'veux bien faire ton assistant mais faudra me dire ce que je dois faire !». Comme d’habitude le jeune homme était d’une gentillesse et d’un délicatesse extrême lorsqu’il s’adressait à elle, elle avait encore de le croire mais elle ne se sentait pas capable de tout cela. Du moins pas toute seule.  « Bien sûr que tu en parlé à Jo. Je pense que mon patron appellera le tien dans un ou deux jours, il est possible que je lui en ai déjà touché un mot. Il semble super emballé à cette idée !» Mais avec Joseph alors pourquoi pas. Elle lui en toucherais un mot dès le lendemain pour le prévenir de l’appel à venir du patron du musée d’art moderne de New York, ça n’était pas rien tout de même ! « Oh… Thomas… c’est très gentil de ta part vraiment… J’en parlerais à Jo’ demain, je te tiendrais au courant de ce qu’il dira… si je ne le préviens pas il va croire que c’est un canular téléphone ! Ce n’est pas tout les jours que le patron d’un musée renommé téléphone à une petite pâtisserie sans prétention comme la notre ! Avec Jo’, je veux bien essayer s’il est d’accord… » Seule, elle ne s’en serait pas sentit capable mais en compagnie de son patron, son protecteur, son mentor alors pourquoi pas. Thomas avait l’air tellement enthousiaste qu’elle ne voulait pas le décevoir.Et puis ce serait une occasion de le voir dans son lieu de travail, dans un milieu qu’il aime. Ce serait autre chose en quelque sorte. Elle était tellement curieuse d’en apprendre plus sur les oeuvres d’art et sur le job du brun. « Si tu ne joue pas les livreuses de nourriture, tu veux bien être ma cavalière pour cette soirée ?». Sans surprise, Ivy avait à nouveau piqué un fard et baissé les yeux. Elle n’avait pas remarqué que Thomas n’était pas en meilleure posture qu’elle c’était peut être un mal pour un bien finalement. « Tu es sûr ? Tu n’as pas peur que je te mette la honte devant ton patron ? Ca fait longtemps que je n’ai pas été à une soirée…. Mais si tu es sûr de toi je veux bien faire un effort alors… Ca fait longtemps que je n’ai pas été au musée d’art moderne en plus… Je rêve de revoir la Nuit étoilée de Van Gogh en plus…  » Et voir ce magnifique tableau qu’Ivy affectionnait tant dans un autre contexte que celui d’une visite classique devait avoir un charme particulier. Et puis qui sait, Thomas n’était pas guide mais il s’y connaissait visiblement en peinture, il pourrait peut être lui apprendre des choses qu’elle ne savait pas sur cette peinture sublime. Ou peut être qu’il ne pourrait pas l’emmener voir ce tableau car il l’invitait à une inauguration et se balader dans les couloirs du musée serait certainement interdit. Elle avait malgré tout réussi à relever les yeux vers lui en souriant délicatement.  « J'ai hâte de te voir dans une jolie robe de bal !». Il avait beau avoir parlé à voix basse, ils étaient seuls et tout était calme, elle avait entendu ce qu’il avait dit. Elle n’avait pas pu empêcher ses joues de rosir à nouveau. Elle était toujours coquette mais elle n’avait plus enfilé de robe de gala depuis un bon moment, elle devrait certainement aller faire les boutiques avant cette soirée mondaine qui se profilait. Timidement elle avait réussi à articuler quelques mots, sans même oser pensé à ce à quoi Thomas pouvait ressembler lorsqu’il se mettait sur son trente et un. « J’essairai de ne pas te décevoir… mais je crois que je vais devoir faire un peu de shopping… ». Avec douceur elle avait sourit, l’ambiance dans le café était douce et calme et malgré cette proximité relative avec le jeune homme, Ivy se sentait bien et en sécurité ici. Le sujet du cadeau par contre la mis à nouveau dans tous ses états bien malgré elle. «  Oh tu sais, ça m'a pas pris le temps et puis j'adore m'occuper comme je peux. Il y a encore des choses que tu ignore à mon sujet. ». Elle était très touché de son geste, elle n’avait même pas besoin de savoir quel était ce cadeau dont il lui parlait, le simple fait qu’il ai pris du temps pour lui faire quelque chose la touchait en plein coeur et cela se voyait dans son attitude.  « Je… vraiment, ça me touche beaucoup que tu ai pris du temps pour moi… » Elle n’avait pas répondu à la fin de sa phrase. Evidement elle ignorait encore beaucoup de chose sur le jeune homme et, une partie d’elle préférait que cela reste comme ça, garder une certaine distance était une bonne mesure de sécurité pour elle et surtout pour lui qui ignorait ce qu’il risquait à trop se rapprocher d’elle. L’autre partie de la jeune femme, elle, mourrait d’envie d’apprendre ce qu’elle ne savait pas encore sur lui et, bien malgré elle, Ivy ne pouvait pas contrôler cette partie d’elle qui lui mettait d’étrange pensée en tête et qui la rendait si fébrile au contact du jeune homme dont chaque caresse, même du bout des doigts, lui arrachait un frisson. Elle préféra rester silencieuse là dessus, incapable d’assumer sa pensée qu’elle aurait aimé faire disparaitre de sa tête. J'espère réussis à m'en occuper. « J'espère réussis à m'en occuper. Ça m'embêterait qu'elle meurt trop tôt ! » Ivy avait rit avant de reprendre, sur un ton convaincu de ce qu’elle disait et prête à se battre pour que la petite plante qu’elle offrirait à Thomas puisse vivre. « J’en fait un objectif personnel pour les années à venir, cette plante vivra longtemps, je m’en assurerais moi même s’il faut mais j’ai bon espoir de faire de toi un jardinier d’élite !» La jeune femme avait rit à nouveau. Cette image l’amusait. Jardiner n’était pas compliqué, il fallait simplement y mettre tout son coeur et être attentif aux besoins des végétaux. Comme avec les humains Ivy était attentive et bienveillante, elle faisait toujours de son mieux pour que les autres se sentent bien ey c’était peut être pour ça qu’elle avait la main aussi verte. Peu de temps après les voilà, Thomas et Ivy, quittant la boutique de Jo’, bien emmitouflés pour affronter l’hiver et la nuit New-yorkaise. Ivy ne s’y était pas attendue mais Thomas lui pris la main. Au départ elle se contracta, son coeur se raidit puis elle inspira profondément, Thomas était comme ça, il était tactile et, si elle voulait être son amie elle devait l’accepter comme il était et puis après tout, il ne lui faisait rien de mal, au contraire c’était un geste qui se voulait certainement rassurant. Rapidement le duo se retrouva devant un petit fleuriste sympathique. Ivy le connaissait, elle était déjà venu ici à plusieurs reprises choisir des plantes pour son appartement, elle qui adorait les végétaux, son appartement en était évidement bien pourvu et elle prenait plaisir à s’en occuper même si parfois elle y passait des heures. « Je te laisse choisir. Je n'y connais pas grand chose ! ». Ivy avait observé les plantes disponibles, elle avait bien quelques idées mais avant cela elle voulait savoir vers quel genre de plante le jeune homme se sentait le plus attiré. Avec les plantes la première impression est souvent la bonne. Sérieuse elle se tourna vers Thomas après l’avoir entrainé derrière elle dans les rayons du magasin. « Ca va te paraitre bête mais… j’ai besoin de savoir si tu te sent plus attirée par une plante ou une autre… ou par un type de plante en tout cas. » Elle se sentait idiote avec cette question mais pourtant elle espérait que le brun lui répondrais sans la prendre pour une folle.


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