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 unexpected rescue | Noam

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Message Sujet: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Dim 16 Déc - 18:49


Noam & Boyd.
Unexpected rescue

« C’est quoi cette connerie ? » Jura-t-il comme un charretier avant de foncer dans l’immeuble après qu’on lui ait expliqué la situation. Etant pas très loin de l’appel d’urgence, le central lui a demandé de gérer un homme voulant se jeter du toit d’un immeuble en attendant que les secours viennent prendre le relai. Boyd a suivi plusieurs formations dont celle de la prise en charge de personne tentant de mettre fin à leur vie. Boyd espère réellement que cette formation lui sera utile aujourd’hui car il ne compte perdre personne aujourd’hui. Seulement, là, il n’y a pas qu’une vie en jeu puisque l’homme se tenant sur le toit n’est plus seul d’après ce qu’un agent de sécurité a pu lui dire. La jeune journaliste que son patron veut lui foutre dans les pattes sans qu’il ne sache pas encore pourquoi et auprès de qui il se rendait à cette heure-ci pour qu’ils se rencontrent a foncé vers la situation. Boyd a tout du gentil enquêteur qui n’a rien contre les civils, qui fait tout pour qu’il n’y ait pas de barrière entre la police et les personnes lambdas déteste tout de même quand des civils foncent dans le danger, quelle que soit les raisons qui peuvent parfois être très bonne, car ça n’arrange pas les choses, au contraire ça met encore plus de monde en danger, plus de monde que lui, il doit gérer. Il prend souvent les choses peu au sérieux mais pas quand il s’agit de son job, pas quand des vies sont en jeu. Fonçant alors vers le toit, il ne prend pas la peine d’attendre l’ascenseur, il fonce à toute allure vers le toit qu’il, heureusement, atteint rapidement. Une fois sur les lieux, il suit les conseils qu’on lui a donnés en cas de ce genre de situation. Même si chaque situation est unique, il y a quand même des protocoles à suivre à chaque fois. Il est très vite suivi par d’autres agents de polices car il ne doit jamais se trouver seul dans ce genre de situation, pour pouvoir gérer un homme qui veut en finir, qui peut être sous l’emprise de la drogue, de la folie ou même désespéré au point d’être armé. Il ne faut pas prendre la situation à la légère, pour sa vie, la leur ou bien la journaliste qui est avec lui. Boyd avance doucement, il ne veut surprendre personne. Pourtant, il a l’impression que la scène se déroule à vive allure : l’homme qui a failli tomber mais qui est repoussé en arrière, la journaliste qui manque de tomber en s’approchant du bord et Boyd qui se précipite pour la rattraper in extremis. Tandis que ses collègues prennent l’homme suicidaire en charge, Boyd soulève la jeune femme avec la difficulté pour la mettre en sécurité et surtout, la sortir de là. Il n’est pas très costaud mais heureusement le pouvoir de l’adrénaline est formidable. Il arrive à la soulever et la remonter jusqu’en haut. A peine sont-ils tous les deux sur la terre ferme, debout face à l’autre qu’il lui hurle dessus « Mais ça va pas ? Qu’est-ce qui vous a pris ? » Pas de demande si son état, pas de remerciement d’avoir sauvé l’autre homme, juste un Boyd hors de lui qui lui cri dessus car elle aurait pu y passer. Qu’est-ce qui prend aux gens d’agir de façon aussi irraisonné ? « Il y a des protocoles, vous auriez pu y passer ! » Continu-t-il de lui faire la morale alors que son pouls est loin d’être calme face à cette jeune femme qui lui parait totalement inconnue.

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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Mer 19 Déc - 18:47


Noam & Boyd.
Unexpected rescue

Une journée qui aurait dû être pourrie, tu t’attendais à tomber sur le spécimen d’homme que tu as déjà rencontré mainte et mainte fois, en allant au bureau de ton père. Le visage fermé, le manque de civilité, de politesse parfois. Ton père qui te chantait que c’était normal, c’était ainsi qui devait gérer les choses horribles du boulot. Un boulot sale, parfois aimé, parfois haïs, tu en as conscience, tu le sais que certains sont profondément bon et d’autre, mériterait de finir en prison, pour bien des choses. Tu n’es pas fermé, ce qui fait que parfois avec ton père, ça éclate, car lui les choses sont normales, mais pas pour toi. Ce qui ne t’empêche pas d’avoir un profond respect pour ces hommes et femmes. Tu te retrouves coincée dans une voiture de flic, du moins ce n’est pas encore le cas, car tu as été en retard pour le rendez-vous avec l’homme en question, que quelques minutes. Rien de bien grave, tu cherchais surtout à expliquer le qui tu étais par rapport à l’écrivaine, car tu ne voulais pas être connu pour ces livres, aucune honte, mais fallait pas que ça finisse dans les chers oreilles de tes parents. Ils allaient t’étriper un coup sûr. Ta sœur le savais, car elle sait tout, enfin presque. Juste une chose reste méconnue de Kahina : ta grossesse et l’adoption de la petite Maheen. Tu allais au lieu de rendez-vous, quand tu l’as vu l’homme, la plus part des gens un téléphone en main, pour avoir des likes, se réjouissant du malheur de l’homme en question. Cette banalité de ce genre, tu en vois souvent sous tes yeux en tant que reporter, mais bien sûre, tu ne peux que rien dire, tu ne le veux pas, mais un jour tu écriras sur ce manque de cœur qu’ont les humains quand ça ne les touches pas. Peut-être que c’est ainsi, tant que l’être humain n’est pas blessé lui-même physiquement ou mentalement rien ne fait, tout est bon pour avoir une seconde de gloire à voir son poste relayé par les plus grands noms. Les journalistes jouant cupidement le jeu des réseaux sociaux ça te déçoit, car tu n’as pas fait ce job pour ça. Enfin. Tu n’as pas réfléchi, voyant bien que certains avaient fait autre chose de leur téléphone, pour prendre soin d’appeler les autorités en charge, policier ou encore pompier, surtout eux. Qui devrait clairement installé un matelas gonflable si jamais une chose horrible finissait par réellement se produire. Une fois les escaliers montés à une vitesse folle, le cœur à l’amende, quémandant une pause pour reprendre son propre rythme avant de te laisser sur les rotules, tu ne prends pas une seconde pour frémir ou même réfléchir. Depuis quand ta jolie caboche de fouine se pose pour penser, songer à ce qui pourrait se produire ? Jamais. Puis le dialogue se fait, le contact de tes opales avec les siennes, suppliant que tu ne t’approches pas. Tu le berces de mot, tu essayes, tu n’es pas sûr de faire les bonnes choses, mais pas la première fois que tu es confronté à des personnes si mal, tu en vois dans ton boulot, quand tu enquêtes loin du journal pour lequel tu bosses. À force de parler, tu peux approcher, mais tu le sens tellement prêt à s’engouffrer dans le vide, que tu as comme l’impression que tu vas finir par tomber ses abîmes à force. Tu l’entends, tu sais qu’il vient de perdre sa femme, il ne se sent pas à la hauteur pour élever l’enfant qu’il vient d’avoir avec cette femme à présent morte. Tu y penses, tu songes à cet enfant que tu as eu, à ce choix crucial et horrible que tu as du faire. L’horreur. Tu le comprends, tu ouvres ton cœur, voyant petit à petit des personnes finir par arriver pour aider, mais ce monde, fait qu’il ne veut plus dialoguer, il ne veut qu’une chose la rejoindre. Tu te jettes sans savoir pourquoi sur sa main, l’effet bascule se fait, tu es suspendu au vide, tu sers tes mains au muret censé t’empêcher d’être suspendu au vide, mais non, fallait que tu agisses et que tu finisses dans de sale drap, encore. Puis des mains qui t’agrippent te remontant à la surface, toi qui te voyais déjà t’écraser au sol, sans même savoir s’ils avaient installé un matelas qui permettait d’amortir la chut, sans pour autant être sûr que la personne suicidaire ou en danger ne tombe juste là où ils l’auraient cru. Puis tu es encore sous le coup de l’adrénaline, ne comprenant pas bien ce qui venait vraiment de se passer que l’autre te braille dessus, il est qui lui ? « Y a des protocoles pour vous pas pour moi ! » Que tu finis par rallier, non mais tu ne comprends pas, tu as fait ce qui était juste. « La prochaine fois je fais comme tout le monde je prends mon phone et j’attends qu’il tombe à mes pieds espérant avoir une bonne vidéo pour faire le buzz ! » Tu râles, tu ne tentes pas de te foutre à sa place. Puis, l’homme est appelé, Lieutenant Sanders. Tu captes de suite qui il est. « Je suis Noam Stylinson ! » Tu tends ta main. « Enchantée … monsieur le brailleur ! » Aucun respect, vilaine.

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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Mar 8 Jan - 16:26


Noam & Boyd.
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Boyd est quelqu’un de relativement sympathique en règle générale. Tout au long de sa carrière, ses collègues quel que soit le lieu où il a exercé ont tous été d’accord sur une chose : sa bonne humeur même lors d’enquêtes relativement calmes. C’est facile de voir la vie du bon côté lorsqu’on enquête sur un crime puisqu’on cache ses maux tout au long de la journée. Lorsque les sourires sont des faux semblants à travers le temps pour cacher qu’au fond, il y avait des choses compliquées dans sa vie auxquelles il ne pouvait se confier sur rien du tout. Les gens ne cherchent pas vraiment à connaitre votre vie lorsque vous leur donnez l’impression que tout est rose pour vous. C’est exactement pour cette raison que ses collègues le pensent sympa, le voit tout le temps de bonne humeur. Pourtant aujourd’hui, c’est loin d’être le cas. Depuis qu’il sait qu’il va devoir se coltiner une journaliste auprès de lui, ça le saoul au plus haut point. Dans son travail il doit rester discret et Boyd se fait une fausse idée du métier de journaliste puisqu’il s’imagine qu’à force de vouloir le dernier scoop, la journaliste en question va empiéter sur son travail au point de faire capoter des choses. Il en est persuadé et ne remet pas en question son point de vue. C’est pourtant logique, si son supérieur a accepté qu’elle aille avec lui, c’est qu’il se doit se douter que ça ne va pas l’empêcher de le faire. Le jeune enquêteur a pourtant l’impression d’être puni, comme s’il avait fait quelque chose de mal pour qu’on lui donne cette corvée-là. Autant dire que lorsqu’il est arrivé sur les lieux où un homme tente de s’ôter la vie et qu’une femme est montée à son secours, allant à l’encontre des protocoles dans ce genre de situation, ça ne fait qu’augmenter sa frustration de ce début de journée. Il a l’impression que cette journée va être horriblement longue. Et pourtant, les choses se sont passés tellement vite qu’il a du mal à réaliser alors que quelques minutes après être monté sur le toit, il se trouve là, à aider la jeune femme qui a sauvé la vie du pauvre homme voulant mettre fin à ses jours, à regagner la terre ferme en un unique morceau. Une fois en sécurité, il lui gueule tout simplement dessus. Même s’il ne le montre pas par son caractère décidément de feu aujourd’hui : il a eu peur. Sans qu’il ne s’explique plus au vu de la situation, il a été terrifié au moment de la voir basculer vers le vide. Au lieu de savoir si elle va bien, il préfère lui faire passer toute la frustration ressentie avec cette peur dessus. Logique. Manque de peau, il n’est pas tombé sur une femme qui va fermer sa bouche parce qu’un agent de police la réprimande, en même temps il fallait une grande force de caractère pour faire ce qu’elle a fait mais ça, il ne risque aucunement de l’avouer à qui que ce soit. Ce n’est pas qu’une question de protocole, elle aurait pu y passer, la preuve puisqu’heureusement il était là au bon endroit et surtout, au bon moment. « La prochaine fois vous aidez à garantir l’accès au lieu pour aider les secours. Vous ne vous prenez pas pour un héros des temps modernes ! Pourtant, il devrait la remercier car même si ça aurait pu être catastrophique, elle lui a sauvé la vie en mettant la sienne en péril. Ça mérite un remerciement, au minimum quand même. Au lieu de cela il rit jaune « Je vois ! Stylinson, ce nom lui dit bien quelque chose puisqu’il avait précisément rendez-vous avec elle ici. On lui avait dit que quelqu’un qui l’attendait était monté à toute allure mais il n’avait pas voulu le croire. Celle qu’il devait voir sans la moindre envie et celle qui a pu tout gâcher ne pouvait pas être la même personne. Et bien il faut croire que si finalement. Les bras croisés, il finit par regarder la main qu’elle lui tend, pas vraiment d’humeur d’en faire de même. Mais bon, il est quelqu’un de civiliser et ses parents l’ont élevé comme il fallait malgré sa vie quel que peut compliquée. Il finit par lui serrer la main brièvement avant de croiser ses bras une nouvelle fois. « Donc c’est vous qu’on m’envoie ! Dans le genre tendre on a déjà fait mieux, tout comme son attitude envers lui. « Vu votre capacité à suivre les protocoles je pense que ça va être compliqué ! C’est bien pour lui, ça lui donne la meilleure excuse du monde pour refuser de l’avoir sur le dos s’il appelle son supérieur. Boyd n’est pour autant pas une balance – si on oublie ce qu’il a balancé à la police quand il était petit mais c’était une question de vie ou de mort donc ça reste différent – il va donc se débrouiller seul avec elle. Pour le moment en tout cas. « Je me demande si je peux vous faire confiance ! Déjà l’entente commence très mal et il ne met pas sa fierté de côté puisqu’il l’engueule pour un acte qu’une personne normale aurait applaudi et qualifié d’un grand courage. Chacun sa vision des choses après tout.
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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Jeu 31 Jan - 19:27


Noam & Boyd.
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Tu ne penses pas, parfois ton cerveau te sert à rien, même pas à songer au pire. À quoi bon ? Alors, tu te retrouvais sur ce toit, à tenter de parler avec cet homme, tentant de l’aider, lui redonner l’envie d’affronter sa vie sans doute horrible pour qu’il veuille en finir. Mais comme pour beaucoup de chose, ça dépend surtout d’un tas de chose. Tu ne pouvais pas être de ceux ayant sorti les téléphones portables pour ne pas succomber à cette bêtise humaine qui est apparu en même temps que les réseaux sociaux ou encore depuis que les gens aiment les sensations fortes, encore plus quand c’est quelqu’un d’autre qui le vis. Enfin, tu ne t’attendais pas à te retrouver les pieds dans les airs, prête à tomber d’une hauteur que tu ne voulais clairement pas calculer, car tu le sais, tu risquais encore plus d’avoir envie de t’étaler au sol. En priant qu’en fin de compte y avait un matelas installé sous tes fesses pour que tu puisses t’en tirer. Mais par chance on vint à ton secours. Un petit gars, qui une fois tes pieds retrouvant la terre des vaches, finis par t’aboyer dessus. Chose qui te déplait au plus haut point. T’aimes pas ça, c’est quoi le but ? Qu’on fasse arrêter ce type de geste qui aide à sauver des gens ? Et alors, t’es qu’une journaliste, mais tu pourrais être prof ou sdf que peu importe toi t’auras aidé, flic ou pas, ce n’est pas qu’eux ou les pompiers qui peuvent aider, mais parfois y en a ils ont le syndrome du sauveur, l’envie de sauver et compagnie. Tu le regardes et pendant que sa bouche déverse des mots, tu le toise, autant dire qu’il ne peut pas louper ton regard noir s’abattre sur lui. « Mais c’est une blague ? » Que tu lui lances, sans même sourciller. Tu n’es clairement pas d’accord avec sa façon de voir les choses. « Quoi vous étiez au moyen âge pour savoir comment ça se passait là-bas ? À part le fait que les femmes devaient avoir une place bien définie dans la société je ne vois pas, hein ! » Pourquoi user du mot moderne ? C’est stupide. « Donc si je résume votre pensé erroné si vous voyez un mec s’étouffer, vous ne faites aucune manœuvre vous attendez, même si les secours sont coincé, puis vous priez pour savoir s’il va survivre, même chose pour un gars qui fait un arrêt cardiaque ? » Que tu demandes, t’es bien décidé à lui faire admettre qu’il a tort, mais tu te doutes que le mec va pas lâcher non plus l’affaire comme ça. Quand tu te présentes, en vrai tu t’imagines pas que c’est lui le flic que tu es censée suivre, même si dans le fond ça n’aurait pas changé d’un iota ta réaction, plutôt mourir. T’as pas la langue dans la poche, tu ne contrôles pas tes mots, faut que ça sorte, que tout soit dit pour que tu sois sereine. « Ouai on dirait bien que je suis votre boulet ! » Que tu souris alors que tu glisses ta main dans tes cheveux couleur ébène. « Me faire confiance ? » Tu ris. « Non, je suis une tueuse, au moindre moment d’inattention, vous allez finir dans une tombe ! » Puis tu te mets à crier d’un coup, pour le faire sursauter. « Moi je peux dire qu’on m’a collé à un abruti incapable de comprendre le fait qu’on est pas tous passive et qu’il faut parfois qu’on bouge ses fesses comme moi ! » Offrant un petit clin d’œil à ce dernier, autant dire que tu en as rien à faire qu’il soit là pour faire respecter la loi, tu la connais cette dernière. « Au fait, je connais les protocoles peut être bien mieux que vous ! » Et ouai, pas de chance pour lui, tu as vécu avec le directeur du fbi alors forcément le protocole c’est loin d’être une chose qui t’est inconnue. « Bon on peut commencer la journée ? » que tu demandes un petit sourire espiègle sur le visage.

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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Jeu 31 Jan - 21:46


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Concrètement, la jeune femme a raison et il le sait parfaitement. Elle a agi comme tout être humain devrait le faire, la preuve étant donné que les personnes qui ne font rien peuvent avoir des soucis avec la justice pour non-assistance à personne en danger. Ce qui le rend furieux et lui permet de parler de la sorte c’était le fait qu’elle ait failli y perdre la vie en sauvant la vie de quelqu’un d’autre. C’est très honorable et très dangereux. Et comme souvent, quand Boyd stresse, il préfère gueuler, montrer sa colère que sa peur. Montrer ses forces plutôt que ses faiblesses, c’est ce qu’il a appris à l’armée. Sa force serait de reconnaitre ses torts, mais Boyd n’a pas cette force-là. Question d’égo sans aucun doute, il ne veut pas lui donner raison. Son égo ferait qu’il ré-enchérisse mais au lieu de cela, même s’il ne s’excuse pas, il essaye de temporiser la discussion. « Vouloir sauver les gens c’est bien beau, c’est même honorable mais ça ne devrait pas aller à l’encontre de votre propre vie. Je serais arrivé deux minutes plus tard je vous aurais vu vous écraser sur le bitume. C’est ça que vous vouliez ? » Il tire vraiment le côté héroïque de l’action à lui ? Elle a fait tout le travail avec le pauvre homme voulant en finir pour des raisons obscures. Lui ? Il s’est juste trouvé au bon endroit au bon moment et surtout, on peut dire merci à ses réflexes qui lui en fait bondir pour sauver cette inconnue. « Pour cette fois on est d’accord, un boulet ! » On l’a franchement connu beaucoup plus aimable le Boyd. Il le sait, il va finir par s’excuser quand il se sera calmer car il n’aime pas se comporter avec les gens de cette manière, surtout que quand on s’y penche on voit bien que la jeune femme n’est pas la fautive dans cette histoire. C’est son pouls qui bat à toute allure, c’est sa colère que parle pour lui. Rien d’autre ! Quand il se sera calmer, il verra à quel point il a sur réagit pour le coup. Il croise les bras en la toisant du regard. « Si je vous dis de rester dans la voiture, vous y resterez ou vous allez fouiner comme vous tous les journalistes ? » C’est mal de faire des catégorisations. Il en a pourtant conscience mais il ne peut s’empêcher de le faire. Il faut qu’il soit certain que ça ne va pas être une vraie complication lorsqu’ils seront envoyé en mission. « Ah ouais, laissez-moi rire, parce que vous avez fait des recherches sur wikipédia vous savez ce que sont les protocoles ? » Ironise-t-il le métier d’investigateur. Autant dire qu’ils ne partent pas vraiment sur la meilleure des bases. Il n’imagine pas une seule seconde qu’effectivement, elle connait les protocoles, elle a grandi avec ceux-ci. S’il savait qui était son père, il s’écraserait surement à l’instant. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il se permet de lui parler sur ce ton-là. Parce qu’il ne connait pas la vérité. Boyd ne s’écrase pas devant ses supérieurs mais un directeur du fbi, c’est un tout autre niveau quand même. Boyd se met à souffler. Il ne sait pas quoi faire, il a vraiment envie de refuser de continuer cette collaboration qui n’a même pas encore commencé mais il doit voir ça comme un challenge. « Ok, mais qu’on soit d’accord, on suit mes règles ! » Dit-il en s’auto pointant du pouce. C’est non négociable. Pour que les choses se passent bien, il faut quelqu’un pour donner les directives. Il n’y a rien de pire que deux personnes qui donnent les ordres et finissent par se prendre la tête au lieu d’agir. « Descendons ! » Dit-il finalement après avoir bien vérifié que les choses soient bien prises en charge. Tout comme il est venu, il prit les escaliers. « Pourquoi vous êtes là au fait ? Pourquoi vous devez suivre les flics ? » Demande-t-il parce que finalement, il ne le sait pas, il n’a pas eu le temps de le demander puisqu’on lui a imposé sa présence, il n’avait pas son mot à dire.

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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Jeu 31 Jan - 22:21


Noam & Boyd.
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L’homme face à toi te fatigue, son discourt est stérile à ton goût, alors autant dire que c’est limite si tu l’écoutes totalement. Tu secoues la tête tout en ayant les opales posées sur autre chose que lui. On dirait une gosse avec l’un de ses parents, complétement pompée des remontrances des parents. « Ouai, donc faut arrêter votre boulot, celui des pompiers … ah de l’armée aussi … quoi que ça serait pas plus mal pour eux ! » Ce que tu veux dire c’est que toutes personnes risque sa vie, les professions comme pompier et policier le font eux aussi chaque jour perdant la vie pour sauver ou défendre, mais l’homme à l’air de l’avoir oublié, peut être que lui n’est pas dans le même délire que tous les autres, il ne risquerait pas sa vie pour les autres alors. Enfin, tu t’en fiches, car ça servirait à quoi d’épiloguer sur tout cela dans le fond ? À rien. « Puis après tout si j’aurais dû mourir en ce jour, bin c’est que c’était mon heure, vous ou un autre ça serait la même chose ! » Tu lui offres un sourire un peu mesquin, avant de n’attendre qu’une chose que vous bougiez, car t’as pas envie de crouler ici pour le coup. « Connard ! » Autant dire que le petit mot il est parti sans même que tu puisses le retenir, tu devrais dire pardon, mais bon. « Je devrais sans doute m’excuser, mais rêvez pas, façon vous n’avez pas le choix de me coltiner, courage ! » Un clin d’œil, il l’a cherché, il se prend pour qui ? T’en sais rien, mais tu plains vraiment tous les proches de ce mec. Quand tu entends que tu devras dire amen, tu n’as qu’une chose en tête, lui foutre ton point dans la tronche. « Désolée je ne suis pas une bonne chienne dressée, donc je ne vais pas rester dans votre voiture, mais vous suivre comme un parfait boulet ! » Il ne sait pas sur qui il est tombé, il est tombé sur la pire pour le coup, toi tu en as conscience, alors autant dire que tu t’en fiches clairement du fait qu’il est là pour que tu lui obéisses, y a des limites à tout. La princesse a toujours eu un mal fou à écouter l’autorité, sauf ses parents, même quand c’était extrêmement douloureux. Tu rigoles, mais autant dire que là, le point dans sa face il va finir par l’avoir, pinçant tes lèvres. « Bin ouai, ce n’est pas là que vous avez appris l’amabilité ? » Un clin d’œil à son égard, tu finis par essayer de te calmer, mais le gars est juste impossible, t’as qu’une envie le tuer, ouai ça serait pas mal ça. « Je connais les lois et non pas sur Wikipédia, mais je n’ai pas une obligation de vous raconter ma vie ! » Un énième clin d’œil alors que tu ne cesses d’avoir envie de l’envoyer bouler, en tout cas heureusement que ton héros n’est pas comme cet abruti, sinon personne n’achèterait ton livre, il est dur, mais pas aussi con. Lui ça en devient à vouloir le tuer sur place, alors que mon personnage est plutôt sexy … une grosse différence du coup. « Punaise à part radoter vous faites quoi ? » Que tu lui lances sur le ton le plus désagréable possible. « Vous traitez tout le monde comme ça ou bien c’est juste pour moi ? » Que tu finis par demander, non car là, ce n’est clairement pas possible d’être aussi con que ça. « Par les escaliers ou par les airs ? » Tu te fous de sa gueule quand il te dit de descendre. « On sait jamais quand on fait les règles, faut être précis, je suis censée suivre, fermer ma gueule et ne pas faire autre chose que vous regardez … dommage ce n’est pas la beauté qui vous étouffe ! » Tu le regardes, tu vas lui faire vivre un enfer, en faisant ton boulot, sympa comme optique. Après il n’est pas moche, mais t’as qu’une envie le piquer et tu vas ne faire que ça, jusqu’à ce qu’il redescende et se calme. « On vous l’a pas dit, c’est que vous devez pas le savoir ! » Une petite grimace toujours autant mesquine. « Alors, chef on descend ou pas ? » Que tu demandes appuyant bien sur le mot chef.

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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Lun 4 Mar - 16:09


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Il faut croire que le petit Boyd a le syndrome du sauveur, il aime être celui qui sauve les autres et ne laisse pas la place aux autres pour le faire. Ce n’est pourtant pas son habitude de le faire, pourtant, là, il est encore sous le choc de voir la jeune inconnue, les jambes dans le vide alors que s’il n’avait pas eu le réflexe d’aller l’aider elle serait surement écrasée sur le trottoir d’en bas. S’il arrive à garder son sang-froid d’ordinaire et il vaut mieux vu tout ce dont il a été témoin depuis qu’il est gosse, là il n’arrive pas et c’est peut-être pour ça qu’il dit des phrases aussi stupide face à une jeune femme qui ne se laisse pas faire. « Nous sommes entrainé pour ça, nous ! » Il appuie bien sur le ‘nous’ pourtant à l’heure actuelle il ne sait rien d’elle. Si ça se trouve elle est plus entrainée que lui. Autant dire qu’il aurait encore plus appuyé sur le fait que ce n’est pas l’école de journaliste qui allait l’entrainer à quoi que ce soit si ce n’est à sortir de grosses conneries parfois dans la presse. Vaut mieux qu’il se calme et ne dise pas toute le fond de sa pensée car ça ne va qu’empirer la situation, les paroles parfois blessantes qu’ils s’échangent alors qu’ils ne se connaissent même pas. Il lève les yeux au ciel en la laissant parler. Heureusement que ce n’est pas les insultes qui le font monter au créneau sinon ils seraient encore en train de blablater sur un sujet qui ne fera rien avancer à la situation. « On a tous le choix, à voir ce que je dirais à mon supérieur » dit-il simplement, d’un ton sec. Là il n’est pas dans l’optique de la renvoyer chez elle mais c’est pas l’envie qui lui manque. Mais bon, c’est comme un défis personnel, réussir à la supporter. « Au moins je suis au courant qu’il faut que je fasse mon testament car on va courir à notre perte. Ce n’est pas parce que vous les journalistes vous avez besoin des derniers scoops qu’il faut pas rester à votre place ! » Le voilà le Boyd qui n’est pas un grand fan des journalistes qui parfois ne vont pas dans le bon sens et mettent des vies en danger même si c’est surtout les journalistes télévisés qui font parfois des choses dangereuses sous prétextes qu’ils veulent leurs scoops en direct. On dirait un peu des gosses qui se chamaillent, pourtant ils sont adultes et ce n’est pas pour embêté l’autre mais bien parce qu’ils ont des reproches à faire. Que voulez-vous, on ne peut pas vraiment s’entendre avec tout le monde. Boyd verra peut-être par la suite qu’il s’est trompé sur elle mais autant dire qu’il n’a pas une très bonne première impression. « Mince alors, moi qui avait hâte qu’on se retrouve autour d’un café et qu’on se raconte nos vies, je suis déçu » dit-il ironiquement. Non, il se fiche de sa vie, tout comme il ne lui raconterait pas sa vie dont peu de monde est au courant de tout ce qu’il a traversé et dont il a caché à tout le monde, comme son prénom par exemple. « Je traite les gens comme ils méritent d’être traité. » Dit-il, toujours sur les nerfs. Peut-être qu’il finira par s’excuser au fil de la journée, peut-être pas, à voir comment les choses vont se passer. « J’aurais peut-être dû vous laisser descendre par les ailes ! » Là c’est de l’humour noir car il ne le dit pas véritablement, c’est juste une pique mais parce que la situation le gave, il n’arrive même pas à réfléchir. Calmes toi Boyd, ça va aller. « Oui c’est exactement ça, observer et c’est tout ! » Il ne sait même pas ce qu’elle fout là et Boyd déteste être dans l’incompréhension. Il aime avoir toutes les informations sur la table. Levant une nouvelle fois les yeux au ciel il finit par dire « C’est bien, vous apprenez vite, maintenant on retourne à ma voiture ! » La descente se fait dans un silence, ça lui permet ainsi de reprendre de ses pensées car ce n’est pas choses aisées. Une fois arrivés à sa voiture, il entre à sa place et enlève le bordel du siège passager. Rien de sale, juste des dossiers et autres choses moins importantes. « On du coup c’est quoi l’enjeu ? Vous voulez voir quoi ? Comme ça si je le sais on le fait directement et on peut mener notre vie chacun de notre côté ! » Il ne sait pas s’il va devoir se la coltiner quelques heures, quelques jours ou plus. Il aurait dû demander plus d’info mais la situation l’avait tellement saoulé dès le départ qu’il ne l’a pas fait malheureusement. « Comment ça se fait que vous avez réussi à venir jusqu’ici ? Ce n’est pas comme si mes chefs aimaient les journalistes ! » Il oublie une chose importante… il s’en fiche de sa vie. Mais bon, avec son métier il est très curieux alors il ne peut s’empêcher de lui demander.

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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Jeu 21 Mar - 12:18


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Il est drôle, vraiment. Tu te dis qu’ils sont bien gentils les bureaucrates, mais ils auraient pu te foutre avec un autre gars, ça doit pas être le seul qui est libre pour prendre quelqu’un ? Non, car lui te donne déjà bien des envies de lui donner quelques claques dans la face. Je, je et je. Tout ça cacher sous des nous, les nous on est entraînés. Mais c’est du blabla inutile, gâcher ta salive pour un rien. « Ouai, donc j’en reviens à dire ce que je disais, on doit laisser les gens crever tant que vous êtes pas là … ouah ! » Il n’aura pas raison avec moi, c’est comme impossible. « Allez la prochaine fois je prendrais mon téléphone comme l’un des autres bien sagement à faire chier mon monde en laissant crever les gens gentiment, promis ! » Un petit clin d’œil. Lui il est déjà clair que tu ne vas pas le supporter très longtemps, impossible autrement. Non, il veut aller se plaindre à son supérieur, dois-tu avoir peur ou rire ? Bien sûr, tu dois rire. « Mais vous êtes entré comment dans la police en prenant une pochette surprise ? » Que tu demandes. Forcément tu t’interroges, le gars il veut déjà se plaindre de toi, alors qu’il doit largement subir bien pire tous les jours ? Ou alors les flics n’ont plus la même trempe qu’avant. « Vous voulez je vous tienne la main pour parler à votre supérieur ? » Que tu demandes en proposant déjà ta main, si jamais il a besoin d’aide ou autre. « Notre place, mais vous croyez vraiment parler à un chien, non car ce n’est pas le cas, je peux vous le faire regretter ! » que tu lâches. Il est fou, il va te rendre fou, il est même déjà en train de faire le job, te rendre complétement taré pour le coup. T’as jamais rencontré pareil individu aussi chiant qui te donne des envies de meurtre après quelques secondes d’échange. Franchement autant dire que non, tu ne comprends pas, tu ne peux pas comprendre comment un tel homme, une personne puisse te donne déjà des envies de meurtre. T’es plutôt souple comme fille, du style à passer sur plein de chose, mais lui t’as beau lui dire des choses qu’il est complétement borné pour le coup, clairement con même. « On peut toujours se retrouver ailleurs, style un ring, je crois que j’ai bien envie de démolir votre portrait. » autant dire que là, y a limite de la rage qui commence à venir s’imposer. T’as une envie c’est de ne plus l’entendre, de ne plus entendre cette voix qui te donne des envies de le baffer, alors autant dire que sa voix est une horreur, mais alors imaginez que ses mots donnent mille fois plus envie de le frapper et de lui faire avaler son sourire de merde. Te voilà bien énervé, t’as plus trop envie de te détendre ou autre connerie. « Ça se passe comment entre vous et le miroir ? » Ouai, car lui aussi doit avoir envie de se foutre des tartes dans la gueule, autant dire qu’une autre solution serait clairement impossible. Tu ris ironiquement à sa réplique, autant dire que t’as encore plein de venin à cracher s’il a envie, alors il pourrait se calmer, clairement. Autant dire que tu n’as qu’une envie lui faire taire sa bouche. « Personne vous a demandé de faire flic donc de sauver les gens … une obligation pour vous, pas une envie comme moi ! » autant dire qu’entre vous les tensions seront clairement féroce, le fait d’être enfermé dans une voiture à deux, ça va être grinçant. T’imagine déjà tout ce que tu pourras dire à ta sœur sur cet abruti. « Non, j’observerais mais j’agirais si besoin, et je n’attendais pas votre bénédiction, ce soir en rentrant on ira ensemble comme promis main dans la main pour dire que vous et moi c’est impossible, un gars incapable de gérer autrui … faut vraiment revoir votre métier, je crois ! » Un petit clin d’œil qui suit tes mots, car t’as pas très envie d’être diplomate, la diplomatie dont tu peux faire preuve d’habitude est clairement parti aux chiottes pour le coup. « Bien ! » ses mots te donnent toujours envie de l’étriper tout comme son ton, mais tu vas faire abstraction pour le coup, et tu es descendu dans un silence lourd. Lui devant et toi, derrière à suivre, comme un bon toutou. Tu as limite espéré qu’il chute dans les escaliers et tu serais passé au-dessus de son corps sans même dire un mot, bin quoi ce n’est pas ton job de secourir, tu dois rester passive. « Je dois rester cinq mois avec vous, pas le choix, je dois observer, ce qui doit être ou non fait ça ne vous regarde pas. » autant dire que s’il te casse vraiment trop les couilles, tu iras voir ailleurs, car tu ne vas clairement pas voir ton flic via lui, ce mec est un gros connard et loin d’être sexy. Peut-être bien que tu te mens à toi-même car t’es encore trop énervé, mais peu importe. « Vous êtes flics vous avez qu’à le découvrir par vous-même ! » Tu ris un peu, car tu ne vas pas lui répondre c’est secret le pourquoi tu es là. « Je vous ai dit j’étais journaliste ? Et vous me croyez comme ça … punaise les criminels ont de beaux jours encore dehors grâce à vous ! » Tu te moques de lui délibérément, car franchement c’est limite trop simple. Puis une voix annonce dans sa radio un : 10-32. Tu prends la radio et tu annonces que vous y allez, ouai t’es sans gêne puis il va peut-être capté que tu connais aussi bien que lui son job ! Peut être juste pas leur vie exactement, car ton père est différent. « Alors, vous roulez où quoi ? »
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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Dim 23 Juin - 17:47


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Déjà que Boyd n’était pas de bonne humeur à l’idée d’aller commencer une collaboration avec une fichue journaliste mais alors l’épisode du toit a mis ses nerfs à rude épreuves. La vérité c’est que la peur de voir cette inconnue tomber du toit lors de son passage héroïque se transforme en rage et en passage de donneur de leçon. Ce n’est pas son style à Boyd, lui qui utilise l’humour même lors des moments les plus critiques. C’est son rire qui l’empêche de sombrer lorsque son métier est dur psychologiquement par toutes les atrocités dont il est témoin. Là pourtant, il passe par un flic aigri et insupportable.  « La prochaine fois vous éviterez de nous rajouter du boulot en devant sauver vos petites fesses aussi ! » Un dialogue sans fin, chacun a ses raisons de les dires et ils ne seront jamais sur la même longueur d’onde, ça c’est claire et net. Boyd aurait dû imaginer que les deux passages de sa journée qui l’énerve n’était en fait que lié : la jeune femme avec qui il se prend la tête est en fait la journaliste qu’il va devoir se coltiner. Mais là, il a juste l’impression à une grosse blague. Boyd se demande vraiment qu’est-ce qu’on a bien pu lui mettre dans les pattes. Il espère presque que c’est une farce, un vieux gag qu’on fait aux nouveaux pour les tester car là, le temps qu’elle va passer avec lui, ça risque d’être long, tellement long. Ça pour une mauvaise impression, c’en est une mauvaise mais ça doit surement être des deux côtés. Au moins les choses sont quittes. « Il est clairement plus facile de faire affaire avec les criminelles que face aux journalistes qui pensent toujours avoir raison ! » Pour le coup, c’est l’hôpital qui se fout de la charité car Boyd campe sur ses positions depuis tout à l’heure et ne va pas changer d’avis, même si on lui met les preuves sous les yeux. Est-ce parce qu’il est trop buté ? Non, sans doute est-ce parce que c’est une question d’égo de ne pas s’écraser face à la jeune femme. « Après vous avoir supporté tout ce temps, je vais surement avoir droit à une promotion » dit-il en soufflant. Oui parce que là, ça s’annonce compliqué pour le coup. « Chacun à sa place, c’est tout, moi j’viens pas me mêler de vos articles. D’ailleurs c’est quoi vos rubriques, modes ? » Il le sait que ce n’est pas ça, sinon elle n’irait pas en mission avec lui si ce n’est si elle veut consacrer le prochain numéro aux uniformes, mais bon, c’est une manière pour lui de la chercher. Un vrai gosse. Il ne se reconnait pas, il est d’humeur massacrante mais sans doute est-ce que la jeune femme a un pouvoir sur lui. S’il doit se comporter ainsi pendant des mois il va s’auto fatiguer. Mais bon, Boyd met ça sur le coup de la fatigue ou bien qu’il s’est levé du mauvais pied. Après une longue nuit de sommeil il lui présentera peut-être ses excuses mais là tout de suite il en est hors de question. « C’est dans vos habitudes la violence car j’dois le savoir de suite si c’est le cas hein ! » Il décide de plus trop renchérir, pourtant c’est ce qu’il continu de faire. Plus fort que lui. « Ça se passe très bien, moi au moins je ne me dis pas en me regardant quelle personne je vais aller faire chier ce matin ! » Est-ce qu’il a vraiment besoin de répéter que les journalistes ce n’est pas sa tasse de thé ? Car là si elle ne l’a pas compris, c’est qu’elle ne sait pas bien enquêter pour les articles qu’elle doit rendre en temps et en heure. Boyd souffle, il aurait bien besoin d’une boisson pour se changer les idées et pour se calmer car là, il n’est pas vraiment d’humeur à travailler. Mais il n’a pas le choix, il est payé pour ça. Il serait son propre patron s’il voulait travailler uniquement quand il en avait l’envie. « J’fais très bien mon métier quand il n’y a personne pour venir me les briser » insultant en plus d’humeur massacrante, ça commence bien leur petite collaboration à ce qu’on voit. Boyd continu « Tant que vous ne me faites pas rater mes missions et que je ne passe pas mon temps à sauver vos petites fesses, moi ça me va ! » Qu’est-ce qu’il avec ses petites fesses ? Il n’a même pas pris le temps de les regarder, même quand il aidait à ce qu’elle ne tombe pas dans le vide. Rentrant dans la voiture, il souffle. 5 longs mois. Qu’est-ce qu’il a fait de mal pour mériter ça ? « Ptain cinq mois quoi ! » Dit-il plus à lui-même qu’autre chose. Ça va être très long. Mais il se demande bien ce qu’elle doit observer justement. Ce n’était pas comme s’il était dans une grosse affaire de tueur en série en ce moment. « Sinon vous aussi vous êtes puni pour être sur je ne sais quel article ? » Oui car pour lui c’est clairement une punition alors si lui l’est, ça doit être aussi de son côté car elle n’a pas l’air ravie d’être là. A moins que ce soit sa propre humeur massacrante qui influence la sienne. « Vous les journalistes vous êtes tous les mêmes donc je n’ai pas de doute ! » Dit-il en renchérissant sur les journalistes. Bon la vérité c’est que puisqu’il avait rendez-vous avec une journaliste pour une raison précise, personne n’aurait pu le deviner. A moins de choper les messages entre temps mais c’est une autre histoire. « Comment vous savez c’est un 10-32 ? » dit-il en fronçant les sourcils. « Vous êtes une flic sous couverture ou quoi ? » Dit-il en démarrant enfin la voiture et aller jusqu’au lieu signalé pour un homme très probablement armé. Sur le chemin, il prend le temps de lui dire « J’imagine que vous allez en faire qu’à votre tête et que vous allez sortir de la voiture ? » Pourtant, c’est typiquement la recommandation qu’il aurait fait. Mais faut croire qu’en quelques minutes il commence à capter qui elle est. « Mettez au moins le gilet par balle qui est en dans la boite à gants » s’il ne peut pas l’empêcher de sortir, il peut au moins s’assurer une légère protection. Sans attendre sa réponse il sort, son arme dans la main tout en observant l’endroit et la situation.
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Message Sujet: Re: unexpected rescue | Noam   unexpected rescue | Noam Empty Dim 22 Sep - 15:05


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Dialogue de sourd. Il veut avoir raison, mais toi il est hors de question que tu laisses passer ses mots. T’es pas capable de te taire, tu n’as jamais été capable de le faire, sauf face à ton père, Dillon. « La prochaine fois je recommencerais. » Qu’il soit clair pour lui que tu ne vas pas l’écouter, il pensait pouvoir te parler comme il le voulait ? Impossible. T’as trop de caractère et pourtant le chef de la police le savait, mais peut être que tu n’avais pas le choix de te retrouver avec lui. Alors, tu vas subir, mais pas en t’écrasant. Et ton rire éclate d’un coup sous ses mots, humoriste le flic non ? Surtout qu’il a pas du tout l’impression d’abuser, alors qu’il se retrouve face à une minorité avec toi. « Désolée si les journalistes eux font leur boulot de la bonne manière, poser les questions sans tuer les autres ! » Un clin d’œil. Autant dire qu’avec le climat actuel des choses il devrait peser les mots, mais t’as pas l’impression que c’est le style de cet inspecteur. T’aurais pas compris si t’étais tombé sur un policier de bonne humeur, tu te demandes si cela existe à vrai dire. Il est incapable de s’adapter à ta présence, tu le sens et dans le fond t’as bien l’intention d’en jouer, et de lui faire chier par tous les moyens. Tu peux bien prendre des infos tout en faisant chier au jeune homme ? « Ou alors le droit d’aller mettre des contraventions vu votre comportement ! » Un ping pong incessant, voilà ce que ça va être entre lui et toi. Du répondant des deux côtés même si pour toi les arguments du jeune homme sont complétement inexistant ou alors limité. « Ouah les criminelles doivent avoir plus de cerveau que vous … vu votre question à la con. Donc une femme qui écrirait sur la mode, serait venu observer un abruti , non je ne pense pas. » T’as envie de lui dire de fermer sa bouche, en tout cas tu ne vas pas te taire, tout au contraire. Ce soir tu auras besoin de te détendre, t’en doute même pas vu comment cet abruti te tape sur le système alors que cela ne fait que deux heures que tu le côtoies. « Vous le serez mon degré de violence quand ma main aura atterri dans votre face. » Autant dire qu’aucun des deux n’ira lâcher un quelconque morceau, non t’as tellement envie de le pulvériser, où il a vu qu’on ne devait pas aider autrui s’il est en danger. Raison ou pas. Tu t’en fiches, c’est l’art et la manière de dire et faire les choses. T’es déjà à bout de souffle. « Dites plutôt personne pour vous surveiller, faire son travail correctement, on sait le faire même avec la fille la plus chieuse au monde, ce que je ne suis pas ! » Un clin d’œil qui accompagne tes mots, vous vous disputez comme des gosses, autant dire qu’aucun des deux n’est vraiment très bon aujourd’hui dans son rôle. Que ce soit lui ou toi. Enfant turbulent alors que ce sont des corps d’adulte qui s’entrechoque. « Sinon c’est quand vous voulez pour arrêter de faire une fixette sur mes fesses, car le harcèlement sexuel peut vous couter cher ! » Tu ne vas rien lui accorder à lui, c’est mort. « Oh mais pour moi c’est un plaisir d’être avec vous, j’en raffole d’avance … » autant souligner que l’ironie est plus que présente. La voiture démarre et tu le regardes en souriant. Si seulement il savait pourquoi tu étais là, pas pour un article, mais bel et bien pour ton roman que tu es encore en train de rédiger. « Non la punition c’est vous . » Que tu réponds. Tu écoutes la radio sachant parfaitement ce qu’est le 10-32. Tu en sais des choses avec ton père, même des choses que tu ne voudrais pas savoir parfois. « Ouai un flic qui vous surveille vous … » Tu ne vas rien lui donner comme renseignement, pourquoi tu ferais ça en lui contant ta vie, il n’est pas assez bien pour en savoir plus. « Vous imaginez bien, vous êtes plus intelligent que je l’imaginais ! » Que tu dis en lui lançant un petit sourire. « Je ne suis pas là pour rester dans la voiture, mais bel et bien pour observer et pourquoi pas agir ? » autant dire que le agir c’est surtout pour le gonfler et tu le sais déjà qu’il va réagir. T’as déjà percé l’homme face à toi, parvenant à savoir comment il pourrait réagir, t’espère ne pas te tromper. « Un gilet par balle dans la boite à gant, soit vous me prenez pour une conne soit, vous perdez vos mots face à mon charme » Jamais un gilet par balle rentrerait dans une boite à gant. Tu sortais de la voiture le coffre s’ouvrit et tu pris ton gilet, comme prévu il était dans le coffre. « Vous allez m’enfermez dedans ? » Que tu demandes quand tu vois qu’il est juste derrière toi, alors que tu es face au coffre. Puis il t’aide à le mettre, mais tu te méfies, il pourrait bien t’attacher avec ses menottes pour se débarrasser de toi. Mais tu as pas mal de tour dans ton sac. T’attendais la suite, sagement. Pour une fois.

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