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 ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben

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Message Sujet: ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben    ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  Empty Jeu 7 Nov - 15:54

Quand ton cœur doit rencontrer celui qui t’a sauvé, tendant sa main, glissant l’anneau à ton doigt pour te retenir, toi une inconnue. Tu es en stresse, tu te demandes comment ça va se passer, si les pieds seront mis dans le plat. Tu angoisses à l’idée que ça se passe mal, à l’idée qu’Ana ne l’aime pas. Toi tu l’apprécies, sans plus, c’est devenu un ami et pourtant tu as tellement lutté contre lui, dans les ténèbres, prête à perdre la partie, prête à renoncer à ta vie. A cette vie que la abuela désirait pour toi, les opales qui observent à droite et à gauche, dans l’espoir que tout soit parfait. Mais tu t’en fiches, d’où tu reçois ta belle, celle qui est comme la continuité de ton propre cœur. Elevée ensemble, des vies semblables et des femmes ambitieuses, mais pas prête à tout. Puis t’as la question qui glisse dans ton esprit, propageant le virus du doute en toi. L’âme blessée. Le manque de celle qui t’avait aidé à grandir, à devenir la personne que tu étais, essayant de ne pas briser cette amour que tu portais à la loi, à rendre justice aux autres. Comme une criminelle, tu te sens toujours mal quand t’y songe, quand tu songes que tout pourrait t’éclabousser, mais lui aussi. Tu as continué pour lui, plus que pour toi, même si une pointe d’égoïsme avait eu lieu dans tes choix. Celui de rester, de ne pas tout abandonner, tout ce que tu avais fait pour arriver à faire tes études, te tuer à la tâche, bosser jusqu’à pas d’heure, aider ta famille. Comme bon nombre d’étudiant, tu le sais bien, la richesse ne sera jamais la même à plusieurs endroits et n’aura pas la même valeur à chaque opale se déposant dessus. Sans doute que ta richesse toi tu l’as toujours vu dans ta famille, tes amis, cette seconde famille te donnant l’amour qui te faisait virevolter dans tes songes à chaque fois qu’ils te disaient croire en toi. les doigts frêle qui tremblent, tu es seule, il devait être là pour t’aider, mais un empêchement de dernière minute. La maison que tu avais décoré toute la journée, car c’est le jour d’halloween, tu continuais de rajouter quelques vampires et toiles d’araignée. Tu portais ton petit déguisement de diable, avec du sang glissant dans ton cou . Le jour de la distribution de bonbon n’était pas forcément la meilleure de solution pour inviter Ana, mais ça pourrait aussi apaiser les choses. Tu n’es pas sûr toi de comment tu réagirais à sa place, alors tu divagues dans l’inconnu. Dans l’appréhension de tes proches, sans savoir comment ils réagiront, tu te doutes que Ruben doit être à mal, ce n’est pas simple, mais pas besoin de mentir ce soir, de jouer la comédie comme vous le faites comme des zombies dénués de sentiment. L’émois de ses proches pour se mariage, peu de monde aurait cru à ton histoire de mariage toi. Malohé, Ana ou encore Jill. Elles te connaissent et il est complexe de changer la personne que tu étais avant. L’amour qui avait toute son importance à tes yeux, l’avait toujours. Mais tu étais prisonnière d’une prison instable dont tu ne pouvais pas te libérer sous peine d’être expulser. Prison devenue plus douce qu’avant, car tu avais fait des efforts. La sonnette qui sonne, la mélodie de ton cœur qui se précipite en toi, tu stresses et tu le sais que c’est inutile, car c’est Ana. Tu devrais avoir confiance. Le sourire qui condamne tes lippes de s’étirer. «   Ma belle !   » Prenant automatiquement la belle dans tes bras, c’est délicieux, laissant sa douceur te réconforter sans même le savoir.   «   Entre.   » Le déballage de décoration d’halloween saute automatiquement aux yeux, tu avais fait des folies, sachant que Ruben adorait cette fête.
@ana constantino ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  857285543
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Message Sujet: Re: ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben    ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  Empty Mar 12 Nov - 11:12


( les hasard de notre vie nous ressemblent )
Ana n’aimait pas trop Halloween, où en tout cas, elle n’aimait pas cette fête commerciale. Sonner de porte en porte pour avoir des bonbons, se déguiser pour être le plus effrayant, déambuler dans les rues pour faire peur aux passants. Oui, Ana n’appréciait vraiment pas cette fête, elle était devenue purement commerciale, perdant la vraie tradition et la valeur de Samhain ou encore plus communément la fête des morts dans sa propre culture. Cette fête est censée être là pour se rappeler des défunts, des ancêtres de sa propre famille, c’est le seul jour de l’année ou le voile entre le monde des mortels et des vivants se lèvent, laissant les défunts revenir une nuit voir leurs proches laissés derrière eux.

Jon n’était pas là, comme à chaque Toussaint. Il partait pour le week-end pour le fêter avec sa famille. Ana n’était pas à l’aise pendant cette période, elle avait sa propre façon de fêter la fête des morts, c’était un moment de partage et de festivité. Elle préférait donc rester à l’appartement pour faire ce qu’elle faisait depuis toujours. Allumer des bougies, mettre en place sur une petite table un autel avec diverses photos des membres de sa famille décédées, mettre des gâteaux à côtés, mettre de la musique et fêter ça dans la bonne humeur. Mais ce soir, elle ne resterait pas seule dans son appartement à faire comme chaque année. Nika avait réussi à la persuader de fêter Halloween chez elle, au début elle avait été un peu résistante à l’idée, mais son amie avait su trouver les mots pour la convaincre. Ana voulait rentrer Ruben, cet homme marié à son amie, ce même homme qu’elle ne connaissait pas, et qu’elle n’avait jamais entendu parler. La Cubaine s'inquiétait forcément pour son amie, et elle ne comprenait pas pourquoi. Et Ana voulait simplement comprendre, pour pouvoir aider au mieux son amie d’enfance.

Alors contre toute attente, l’hispanique était devant cette porte, sonnant à cette dernière. Elle arborait un grand sourire, anxieuse tout de même. Même si Halloween n’était pas sa fête préférée, Ana aimait tout de même se déguiser, elle portait donc une robe noire lui arrivant jusqu’en bas des chevilles, légèrement fendu sur le côté pour pouvoir être à l’aise en marchant et elle arborait un maquillage de calavera avec des roses noirs et rouge dans les cheveux. Son regard se tourna vers la porte qui s’ouvrait sur Nika, et qui déjà l'interpella d’un surnom.

- Ma belle ! Entre.

Ana se mit à lui sourire à son tour. Elle lui rendit son étreinte en prenant soin de lui embrassait la joue par la suite et en lui frottant légèrement le dos comme elle avait l’habitude de faire avec ses amis les plus proches.

- Merci Nika, dit simplement la brunette.

Elle observa attentivement la décoration de l’appartement, tout en lui demandant comment ça allait. Voulant savoir un peu les derniers potins dans sa vie, voulant détendre un peu l’atmosphère, car Ana ressentait le stress de son amie, ce qui la faisait stresser forcément en retour.


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Message Sujet: Re: ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben    ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  Empty Sam 14 Déc - 19:25

L’Amérique et ton vrai pays encore inconnu, tu ne pensais qu’en avoir des origines, mais tu as laissé tes premiers cris créer un chaos au Mexique, sans le savoir ? tu connais la culture grâce à la abuela, mais tu as pris les coutumes du pays où tu as grandi. Tu le savais que comme toutes les fêtes, c’était devenue commerciale, mais ça t’aillait, pleinement, même maintenant où te fallait découvrir un peu plus les traditions de ton pays, d’origine. T’avais tellement de chose à découvrir plus que ce que la abuela t’avais dit, tellement. T’aimerais pouvoir la revoir, mais ton cœur se brisé à cette idée, car tu savais pertinemment qu’y allait n’était pas simple, fallait l’argent , mais te fallait aussi être sûre de pouvoir rester dans les parages.
Ce moment entre ana et toi, puis Ruben qui devrait arriver était fait pour les présenter, ana savait particulièrement la vraie relation vous liant, forcément elle fût surprise, comme bon nombre, de ton mariage, oubliant parfois de dire la vérité, moins de monde le sachant ça serait plus bénéfique pour la situation. Toi qui n’as jamais voulu briser les lois, toujours droite, parfois trop, toujours à débattre sur les choix parfois peu reluisants de tes compagnons de route, à en être chiante, te voilà coincé avec tes remords, ton obligation à être mariée, pour ne pas succomber à la peur d’être renvoyé dans l’inconnu. Inconnu que tu ne serais conjugué, tu dépérirais comme si tu étais en prison. Tu avais été élevé dans ce pays, pas dans celui de tes parents, ou la mort s’était déchainé sur eux. Tu ne te souviens de rien, bien trop petit pour le faire.
« Mais de rien. » Tu ris un peu à sa réponse, ana venant d’arriver, découvrir le nouveau monde dans lequel tu vis, ou survis, cela restait parfois à déterminer. Tu ne savais pas trop comment ton cœur faisait pour survivre, tu ne savais pas faire dans le monde du jeune homme, tu pensais que jamais tu serais l’apprécier, mais c’était faux. Tu commençais à le connaître, à passer du temps avec lui, à laisser les esprits des autres croire en votre aventure, croire en vous. Une amitié qui naissait petit à petit, sans nul doute. Il savait démontrer que toi, petite brunette, tu avais bien trop de faux préjugé sur tous les riches, ils n’étaient pas tous ainsi, mais la plupart sans nul doute. Tu appréhendes cette rencontre ,surtout que les deux savent la vérité, alors tu ne sais comment gérer tout ça, tu te doutes que ça ne finira pas forcément en bonheur.
« Alors, comment tu te sens pour ce repas ? » Que tu lui demandes, en la laissant se dévêtir de la couche de vêtement qu’elle avait enfilé pour se protéger du froid faisant rage dehors. « Viens on va dans le salon, c’est grand je sais .. » Que tu lui dis, tu le sais qu’elle va forcément le penser, mais tu le sais déjà, tu t’y perds pas faut pas abuser, ce n’est pas assez grand, mais tu te fais le ménage ,quand il te laisse renvoyer le personnel chez eux, ce soir personne, tu ne veux pas que ana dépose ses opales sur les personnes qu’il engage, elle est comme toi.

@ana constantino ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  857285543
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Message Sujet: Re: ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben    ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  Empty Jeu 20 Fév - 17:59


( les hasard de notre vie nous ressemblent )
Depuis toute petite, la Cubaine avait eu la chance d’en apprendre beaucoup sur ses origines mais surtout de pouvoir discuter des fêtes qui se faisaient dans sa famille et de pouvoir les pratiquer librement. Même si Ana était athée, certaines choses qui avaient bercé son enfance restaient gravé. Elle croyait en la réincarnation, à un autre monde après la mort alors quoi de mieux que de fêter ses ancêtres, pour garder cette connexion entre sa famille et elle . Et puis, pendant une année entière, elle avait eu la chance de vivre chez ses grands-parents, et sa grand-mère avait mis un point d’honneur à lui transmettre les valeurs familiales mais aussi lui faire découvrir sa culture, celle de ses origines mais surtout celle de sa famille.

Ana rentra dans l’appartement, observant ce qui l’entourait. Nika était son amie depuis aussi longtemps qu’elle s’en souvienne. Et jamais elle ne pourrait la juger, on avait tous des raisons de faire ce qu’on faisait, même si parfois ce n’était pas la meilleure. Ana sourit à son amie, puis passa son bras en dessous du sien.

- Allez détend toi un peu, la soirée va bien se passer mi bella.  

La brunette fit une légère pression sur le bras de son amie, lui montrant son soutien pour permettre ainsi de la détendre un peu. Qui sait? De ses iris chocolatés, la jeune femme continuait d’observer et d'analyser ce qui l’entourait. Ana n’avait pas encore eu la chance de pouvoir visiter l’appartement du compagnon de Nika, maintenant c’était chose faite. Et elle était assez surprise, mais au moins, son amie ne manquait de rien. Enfin... Elle l’espérait. Si elle apprenait que son amie était en réalité malheureuse, elle se connaissait, elle rentrerait dans Ruben. Même s'ils s’étaient marié, pas pour les bonnes raisons, elle espérait du fond du coeur, que tout se passe bien pour Nika. En pensant à cela, une musique lui vient en tête, qu’elle se mit instinctivement à fredonner tout en continuant son observation. My boy's an ugly crier but he's such a pretty liar and by that I mean he said he'd change. Bien que son regard était rivé vers d’autres choses, la brunette répondait à son amie calmement, sourire aux lèvres.

- Alors, comment tu te sens pour ce repas?
- Je me sens bien, par contre je ne peux pas en dire autant pour toi, n’est ce pas?

Elle lui jeta un regard, amusé avant de lâcher le bras de son amie pour pouvoir enlever sa veste qu’elle avait posée sur ses épaules. Nous étions quand même au mois d’octobre, l’automne avait bien fait son chemin et le temps était assez frisquet. Ana suivit Nika dans le salon, effectivement, devant les paroles de son amie, Ana eut un temps d'arrêt. Whaou… En effet, le salon était assez spacieux.

- Viens on va dans le salon, c’est grand je sais …
- La sala es más grande que la mía, se mit à rire Ana.

Cela lui arrivait souvent de parler en espagnol, elle ne le faisait pas exprès, pourtant elle avait grandi ici dans le Queen, mais ses parents parlaient souvent dans sa langue maternelle et de temps en temps, elle parlait ainsi. Ana avait eu beaucoup de chance en rencontrant Jon, elle vivait dans un appartement assez spacieux et maintenant que sa boîte marchait plutôt bien, elle pouvait se permettre de s’offrir certaines choses, mais certaines habitudes avaient du mal à partir. Elle avait encore des manies de son ancienne vie, comme calculer toutes les dépenses, regarder chaque promotion au supermarché pour faire des économies, réparer ses vêtements, acheter les trucs les moins chers. Cela faisait rire Jon quand ils faisaient les commissions ensemble, mais Ana, elle était embarrassée.  Elle se demandait encore, à l’heure actuelle, comment Jon avait pu tomber amoureux d’elle, une fille banale comme elle, ils étaient tellement différent l’un de l’autre.  


( Pando )
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Message Sujet: Re: ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben    ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  Empty Dim 5 Avr - 16:50

S’il y a bien une fête dont affectionne Ruben c’est bien la période d’Halloween. Que ce soit le soir même où les fêtes déguisées sont à la mode ou bien les semaines qui les précèdent où les décorations sont bien nombreuses partout dans les rues New-Yorkaises. Avec son travail, Ruben a la chance de voyager beaucoup et c’est surtout aux Etats-Unis qu’il retrouve ce qu’il apprécie. Pratiquement tout le monde joue le jeu, et pas seulement les familles avec des enfants. Alors autant dire que chez lui ça ne fait pas exception à la règle : les décorations sont nombreuses et il n’a pas fait semblant en passant commande. Le jour j, il devait rentrer tôt, il était prévu qu’il décore l’appartement en compagnie de Nika. Aujourd’hui il est censé rencontrer la meilleure amie de cette dernière. Malgré leurs mariages officiels, ils ne connaissent pas énormément de monde dans l’entourage de l’autre est pour cause : le fait qu’ils ne soient pas vraiment ensembles ne les a pas menés à vouloir intégrer l’autre dans la vie de leur entourage. Entre le fait que le mensonge fasse parti de leur quotidien n’aide en rien. Il faut mentir à leurs plus proches amis et la famille du coté de Ruben. Alors, autant dire que moins ils voient leurs proches en tant que couples, et plus facile sont les choses. Là, c’est différent. Il n’est pas question de mentir. Il est question d’être honnête et surtout, d’être soi-même. Nika lui a dit que sa meilleure amie en question était au courant de tout. Alors, cette rencontre ne procure pas de stress au jeune sportif. Et ça ne va encore moins gâcher son euphorie de la journée d’halloween. Ce qui pourrait en revanche altérer son humeur c’est le rendez-vous de dernière minute qu’on lui a mise dans les pattes. Il avait envie de rentrer mais il n’avait pas le choix que de discuter encore quelques heures pour mettre en place certaines choses pour les mois à venir. S’il laisse faire son agent pour ce genre de chose, il n’a pas le choix à un certain moment de voir certains points avec l’équipe et avec ses sponsors. Après avoir parlé de négociations et tout autre informations utiles pour sa carrière, Ruben regagna le parking où l’attendait son chauffeur. La route fut assez rapide, Ruben en profita pour lui demander ce qu’il avait prévu de faire avec ses enfants le soir-même. Une fois arrivée il ne mit pas longtemps avant de monter chez lui, chez Nika depuis plus d’un an maintenant. Un sourire s’afficha en voyant les décorations à peine une pied mis chez lui. Il avait enfilé un déguisement rapide en sortant des vestiaires après l’entrainement, mais il devait encore se changer car ce n’était qu’un déguisement banal de bucheron sanguinaire pour le moment « Salut ! » Dit-il assez fort pour annoncer son arrivée, sans trop savoir où trouver Nika, ni même si elle est accompagnée. « Je suis rentré » Comme si c’était une information capitale. « Bonjour » dit-il en adressant un sourire à l’inconnue qui devait donc être la Ana en question. « Tu dois être Ana, Nika m’a beaucoup parlé de toi ! » Vrai. Ruben adressa un sourire à Nika. Pour une fois, ils n’ont pas à jouer au couple, ils peuvent être eux.

@Nika Jenkins @Ana Constantino
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Message Sujet: Re: ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben    ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  Empty Mer 1 Juil - 17:59



ton cœur pourrait sortir en une seconde de ta poitrine, tellement que tu es anxieuse à l’idée de cette rencontre. Ce que tu ressens dans ton cœur est inexplicable, car tu frémis à l’idée que rien n’aille. Alors, choisir cette fête commerciale dans ce pays était une bonne chose, puis aussi une façon de toujours donner un hommage à ta culture mexicaine, ta abuela qui donnait tout pour cette fête, déposant les photos de vos proches morts pour leur permettre de revenir sur terre. Des multitudes de chose te donnait envie de t’accrocher, d’apprendre un peu plus que tu ne savais déjà sur cette culture si agréable dans le fond. Toutes ces choses que ta abuela t’avait apprise t’étaient importante, et encore plus maintenant qu’elle n’était plus avec vous. Elle vivait une autre vie qui te donnait le vertige, imaginant souvent le pire pour elle, Ruben ou même ana le savait et ils tentaient chacun à leur manière de te rassurer. Ruben était un parfait inconnu quand il était entré sans crier garde dans ta vie, tu ne pourras pas dire si tu apprécies un peu plus la situation. T’es stressée, t’as peur que rien n’aille, avec le fait qu’ana sache la vérité, que Ruben aussi, tu ne sais pas comment ces deux mondes se rencontrant allez pouvoir coexister, t’avais vraiment un mal fou à te dire que ça pourrait aller. Comment tu pourrais te bercer de telle chose, des idées différentes, des façons de vivre aussi. Alors, t’as le cœur qui baigne dans l’angoisse, dans cette appréhension. Un paradis bien sombre dans lequel tu vis, dans lequel tu n’as jamais eu l’habitude de vivre. Tu souris à Ana, elle essaye de te rassurer, ce qui laisse un peu de chance à ce que tu ne t’écroules pas dans la seconde. « J’y arrive pas … » un petit rictus timide sur ton visage, tu perds pied en réalité princesse. T’as jamais aimé ce monde dans lequel tu convoles avec ruben, mais maintenant tu es dedans, loin de ton petit appartement partagé avec ta sœur et ta abuela, mais c’était peut-être mieux que les favelas de ton Mexique natal. « J’ai peur … je sais pas pourquoi c’est si important que tout se passe bien, surtout quand on sait que ruben et moi c’est … » tout est faux. Que tout n’est qu’un mirage pour les opales du monde, pour survivre dans ce pays qui est tien, pour ne pas devoir lui dire adieu à elle, ana. T’aurais jamais pu supporter de quitter cette vie, ta vie qui est à présent entourée d’or, toi qui avais plutôt l’habitude des choses simples. « Lo sé, a veces necesito encerrarme en el baño para sentirme como en casa. » l’accent qui dénoté clairement avec la langue usée, t’avais pas un grain de latine en toi, à en croire le grain de ta voix à la sortie de ces mots latinos. Le sourire aux lèvres tu rajoutes une chose qui te tenait à cœur. « pero me salvó ... lo más importante. » Sans lui tu ne sais pas trop où tu serais, clairement loin de tes rêves. Alors même si la vie de Ruben dénoté avec la tienne, tu t’y habituais, changeant les habitudes du jeune homme parfois, sans même qu’il ne t’en veuille. « Salut , ça va ? » que tu demandes quand tu entends Ruben qui venait de rentrer. Il est au courant que Ana était là, alors tu le laisses se présenter, observant les deux personnes devenues importante dans ta vie à des manières différentes ainsi qu’à des instants complétement différents. Ton sourire s’étend sur ton visage, quand tu vois ruben être à l’aise, car il n’y a pas à jouer, pas à faire semblant, deux amis, lui et toi. Pas de couple pour ce soir. « ça vous dit un apéro ? » que tu lâches, afin de peut-être décompresser avec un petit verre.
@ana constantino @Ruben Jenkins ((les hasard de notre vie nous ressemblent)) ft ana/ruben  857285543
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