save the queens ---- / ANDREAS STEVENSON
27 ans ---- / ace of spades ---- / ZAYN MALIK
identité complète - andreas, un prénom qui signifie fort et viril en grec, bien qu'il n'ait aucune origine grec. ça ne l'empêche pas de l'aimer ce prénom, même si les surnoms et les faux noms sont devenus nombreux au fil des années. stevenson, ce n'est pas le nom qui lui était destiné lorsqu'il est venu au monde. c'est celui de ses parents adoptifs, il a été adopté à peine deux mois après sa naissance sans en connaître réellement les raisons. il ne connaît rien de ses véritables parents et il n'est même pas certain d'avoir envie de savoir quelque chose. c'est peut-être mieux ainsi. lieu de naissance et origines - quelque part en algérie, il ne sait pas où exactement. il sait juste qu'il a été recueilli à l'orphelinat d'oran. c'est ce qu'il y a de noté dans son maigre dossier. pas plus d'information, encore moins sur ses origines. il en conclue qu'il a des origines algériennes certainement. études ou métier - andreas avait bien commencé dans son parcours scolaire. dès son plus jeune âge, il s'intéressait à tout et avait de bonnes notes dans l'ensemble. il aimait apprendre et dès qu'il rentrait, il avait déjà hâte de retourner à l'école. mais en grandissant, le garçon ne s'est pas entouré de bonnes personnes. ils l'ont plus entraîné vers le bas qu'autre chose, le détachant complètement de ses études et projets pour son futur. plutôt que d'étudier et d'aller en cours, andreas préférait suivre ses nouveaux amis en ville, pour fumer et boire. ses professeurs le voyaient peu et malgré les remontrances de ses parents, ça n'y changeait rien. il n'avait plus d'intérêt pour l'école. et dès que possible, il s'est déscolarisé pour gagner son argent par lui-même. de toute façon, ses parents n'en voulaient pas ainsi. à profiter du confort de la maison sans faire un effort. andreas a préféré partir. aujourd'hui, il est barman dans un club mais qui sait jusqu'à quand. il ne sait pas garder un job plus de trois mois. orientation sexuelle - ce n'est pas une question qu'il s'est déjà posé. quand on le lui la pose, il répond machinalement qu'il est hétérosexuel et c'est ce qu'il pense sans savoir si c'est réellement le cas. statut civil - n'a aucune envie de se lancer dans une relation amoureuse, sauf si ça a un quelconque intérêt pour lui. il n'a pas envie de s'embêter avec ça, préférant s'amuser lorsque c'est possible, lorsqu'il en a envie. aujourd'hui célibataire, il compte le rester un moment. pi, scénario ou prélien - pi.
traits de caractère / homme au caractère particulier, qu'on a souvent du mal à cerner. mi-violent, mi-angélique, il n'a en réalité aucune idée de qui il est réellement. perdu entre ce qu'il veut que l'on soit et la personne qu'il aurait pu être si seulement ses parents avaient fait un meilleur choix. il ne veut pas les connaître, ses véritables parents, mais au fond de lui, ça le hante. parce qu'il a grandi avec des suppositions plein la tête.
un fond de je m'en foutiste de tout et d'une forte rancune à la moindre trahison. il ne laisse rien passer malgré ce que sa bouche laisse entendre. andreas ne supporte pas les coups bas et qu'on ne lui dise pas les choses en face. c'est un grand garçon, il peut supporter la critique ou les paroles négatives à son sujet. quoi qu'il peut rapidement s'emporter selon la façon dont c'est dit. mais sur le principe, il préfère qu'on soit droit et sincère envers lui. parce qu'il peut être un homme impitoyable dans le cas contraire. un homme prêt à tout pour faire payer la trahison qu'on a pu lui faire.
au fond, ce n'est pas un méchant garçon. il est droit et loyal dans ses relations amicales et familiales. il n'est pas du genre à fuir ses responsabilités et ses devoirs, il tente d'être digne des personnes qui l'entourent. même si ce n'est pas toujours une réussite parce qu'il déçoit par ses actions, par sa façon de vivre. andreas n'a pas envie de rentrer dans des cases pour faire plaisir à qui que ce soit, il veut vivre comme bon lui semble, comme il l'entend. il aime se sentir libre, sentir qu'il ne doit rien à personne.
il n'aime pas vraiment l'autorité, c'est peut-être pour ça qu'il ne sait pas garder un job plus de trois mois. parce qu'il y a un moment où le ton monte, où il ne sait plus se contrôler, où il dit tout simplement merde. évidemment, ça ne passe jamais.
il n'a pas de mal à dire ce qu'il pense, à dire les choses comme elles sont. il n'a pas non plus de mal avec la vérité parce qu'il n'aime pas faire traîner les choses. quand il a un truc à dire, il ne tarde jamais parce qu'il sait que c'est bien plus difficile plus le temps passe.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
01/ fils de dorine et edwards stevenson, des new-yorkais de la classe moyenne. un couple qui ne peut avoir d'enfants par voie naturelle et qui adopte pour combler ce manque et ce vide qui les hantent chaque jour. actuellement sept enfants à leur actif et ce n'est sûrement pas terminé. andreas noue un lien précieux avec chacun d'eux parce qu'ils sont la seule famille qu'il a, le point d'encrage dans ce monde. il l'aime cette famille qu'on a choisi pour lui. les origines sont variées, chacun vient d'un coin différent et le presque trentenaire voit ça comme une force. ça les unie plus qu'on ne pourrait les penser, même s'il y a plus de tensions que de beaux moments. c'est partout pareil, chacun a son caractère et ça ne colle pas forcément. mais ça ne les empêche pas de les aimer et d'accourir dès que l'un a besoin d'aide.
dorine est une femme de ménage de cinquante-deux ans. elle se démène chaque jour pour nourrir toute la petite tribu, travaillant chaque jour de la semaine et enchaînant des horaires qui se rapprochent de l'esclavagisme. mais dorine ne dit rien, elle ne dit jamais rien. parce qu'elle a choisi cette vie et qu'elle ne peut qu'assumer. elle aimerait s'en sortir autrement mais aujourd'hui, elle n'a pas d'autres choix que celui là. autrefois, elle était une brillante fleuriste. elle avait l'art et le goût pour créer des bouquets harmonieux. mais l'âge a eu raison d'elle. son employeur l'a licenciée pour une employée plus jeune, qui a apporté un vent de fraîcheur à l'entreprise. ce sont les mots qu'il a utilisé. impossible de retrouver dans son secteur par la suite, elle s'est résignée à prendre ce qu'on lui proposait.
et edwards est un paysagiste de cinquante-cinq ans qui a souvent du mal à rejoindre les deux bouts. il vieillit et ça se ressent chaque jour qui passe. il n'a plus la même force physique, la même robustesse qu'avant. il se fait voler son travail par des jeunes nouveaux dans le métier, qui savent communiquer et vendre leurs services. edwards n'a pas ce savoir d'embobiner les gens. il fait ce métier depuis des années, depuis le fin de ses études. il a tout appris sur le tas mais il a le poids de l'expérience derrière lui. à croire que ce n'est pas suffisant pour garder une clientèle solide. il voit tout dégringoler mais la passion du métier et son amour des grands espaces le poussent à continuer jusqu'au bout.
02/ bien vite, andreas a quitté le nid familial. ne revenant qu'à de rares occasions, sans jamais prévenir qui que ce soit. c'était déjà la cas avant qu'il ne parte définitivement parce qu'il sortait jusqu'à pas d'heures, rentrant en plein milieu de la nuit ou au petit matin. ne prévenant jamais quand il découchait. il les aime ses parents, c'est juste qu'il n'aime pas devoir quoi que ce soit à qui que ce soit. c'est dans sa nature et ses parents ont fini par s'y faire.
il a fini par partir, par prendre son envol. squattant chez des potes ou dans la rue. il n'avait pas vraiment d'endroit fixe, surtout pas les moyens de payer un loyer chaque mois. sa situation a toujours été instable parce qu'il n'a jamais fini ses études et qu'il n'a pas vraiment envie de s'en sortir. il aime vivre de cette façon.
parfois il rend service à des amis en faisant une course ou livraison pas très légale. il prend des risques pour faire plaisir et se mettre de quoi manger sous le coude. parce que le salaire qu'il se fait dès qu'il travaille, part vite. trop vite. dans les cigarettes, dans les drogues, dans l'alcool bon marché. tout y passe.
il squatte des logements inoccupés et change régulièrement pour ne pas se faire prendre. ils ont loin d'avoir le confort rêvé et d'être vraiment isolé mais au moins, il a un toit sous lequel dormir. et ça lui suffit à andreas.
03/ il a tendance à se mêler de ce qui ne le regarde pas et à prendre parti des altercations qui peuvent se croiser sur son chemin. c'est plus fort que lui, il a parfois envie de jouer au super héro sans qu'on ne lui demande quoi que ce soit. ça lui a valu quelques séjours au commissariat qui commence à bien le connaître avec le temps.
ça lui a valu plusieurs ennemis dans le queens et les alentours. des fouteurs de merde et des branleurs, un peu comme lui au final. ils auraient pu bien s'entendre s'il n'y avait pas fourré son nez.
ça lui a aussi valu plusieurs coups parce que ça ne finit jamais bien ce genre d'intrusion. ils n'apprécient jamais de se faire déranger par un bon samaritain qui veut faire sa ba de la journée. mais après tout, il l'a cherché et il l'a trouvé.
peut-être qu'il ne cherche que ça tout compte fait.
04/ l'amour, il n'en veut pas dans sa vie. il n'en a jamais voulu, ni même connu. véritable cœur de pierre, il ne s'est jamais autorisé à tomber amoureux. parce qu'il ne se pense pas méritant et qu'il n'a rien à apporter de bon à une femme. pour lui, personne n'a besoin de quelqu'un à ses côtés pour être heureux dans sa vie.
il voit tout le monde tourner autour de ce sentiment si particulier, si unique. il sent les jugements de ceux qui ne voient que par l'amour. comme si c'était le but ultime de chaque humain sur cette terre. mais andreas n'est pas de cet avis, le sien est bien tranché et il campe sur ses positions coûte que coûte. peut-être qu'il a tord, peut-être qu'il devrait juste baisser sa garde et s’enivrer de ses bienfaits.
mais il n'est pas encore prêt, peut-être qu'il y a un espoir au final.
05/ il a souvent l'impression d'être à côté de la vie, de n'être qu'un spectateur de ce qui se passe autour de lui. il se demande parfois ce qu'il fait là. + il a travaillé dans beaucoup de milieux différents sans jamais que ça ne l'intéresse réellement. jusqu'à présent, il n'a jamais su quoi faire de sa vie et il ne sait même pas s'il pourra répondre à cette question un jour. + pour autant, il ne changerait rien à sa vie actuelle parce qu'il l'aime ainsi. même s'il n'a pas de grands moyens pour vivre et qu'il est dans la merde onze mois sur douze. + il a quelques amis sur qui il peut compter en cas de besoin. il n'en a pas beaucoup en qui il peut réellement faire confiance, il peut les compter sur les doigts d'une main. ce n'est pas la quantité qui compte, mais la qualité comme il aime le dire. + ce n'est pas un mauvais danseur et ça lui est déjà arrivé de récolter de l'argent grâce à ce talent qu'il n'entretient pas vraiment. il en a vu des personnes faire de même par le passé, il a voulu essayer. le soucis, c'est que c'est beaucoup trop irrégulier et que les gens ne sont pas très généreux. + il n'aime pas thanksgiving, noël et toutes ces fêtes familiales et commerciales à souhait. + il a un téléphone qu'il consulte rarement parce qu'il est souvent déchargé et qu'il n'a pas la possibilité de le charger à sa guise. + il a été chrétien et croyant lorsqu'il était enfant, comme ses parents. mais aujourd'hui, il ne se considère plus appartenir à une quelconque religion. + il est très peu matériel et vu son mode de vie, c'est sûrement mieux ainsi. il a un vieux sac à dos dans lequel il met toutes ses affaires et ça lui suffit. + il a parfois envie de partir et de recommencer tout ailleurs, mais au final, il ne sait pas si ça changera quelque chose.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK
marie ---- / 26 ans ---- / rpgiste
ville - en bretagne, dans une petite ville du sud finistère.
études ou métier - en recherche d'emploi, trop d'angoisses pour aller au bout.
avis général sur le forum - toujours aussi beau.
le détail qui t'a fait craquer - ce n'est pas un détail, c'est un tout.
fréquence de connexion - normalement tous les jours, sauf que je pars en vadrouille aux quatre coins de la france pour vivre une heure et demi de concert.
crédits des icons - mistborn.
le mot de la fin - c'est mon retour et cette fois, c'est la bonne.