SAVE THE QUEENS
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 la misère est si belle (jules)

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Message Sujet: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 0:44

save the queens ---- / jules owens

20 ans ---- / ace of hearts ---- / lily-rose depp

identité complète - douce juliette, ou plutôt jules. nommée autrefois saint-clair, patronyme abandonné à ses dix-huit ans pour owens. parce que c’est plus ricain et parce que dans le fond, elle n’a jamais fait partie de cette famille dysfonctionnelle. elle n’a donc aucun intérêt à porter ce nom qui l’effraie tant, miroir du passé. lieu de naissance et origines - enfant sauvage a vu le jour dans ce bled californien qu'est santa clara. son père est français, même si son nom n'est plus là pour le souligner. seul le ricain maternel enveloppe ses traits à tout jamais. études ou métier - sujet sensible. rêves brisés. si elle était venue à new york pour des études de mode longuement désirées, le résultat en est d'autant plus funeste. c'est en lorgnant sur ses voisins qu'elle s'est rendue compte que beaucoup faisait mieux qu'elle. et la pression a pris le dessus. pour l'engloutir dans une dépression infernale. en août 2019, elle se retrouve au queens, échec ambulant, elle compense son abandon avec un job dans un videoclub en proie aux nostalgiques à la recherche d'une seconde jeunesse. et dès qu'elle le peut, dès que la motivation le permet, elle continue de modéliser en espérant un jour relancer sa carrière. orientation sexuelle - bisexuelle non assumée pour une société craintive, elle succombe aux âmes tourmentées, peut loucher sur la fatalité pernicieuse des courbes féminines tout en se satisfaisant des enivrants baisers de la gente masculine. statut civil - elle a la beauté des femmes inaccessibles, du genre qui ont l’air de sortir d’un tableau de la renaissance et dont la délicatesse se perpétue dans les vies qu’elles ont vécues, son cœur est pourtant malhabile, incapable de construire quoi que ce soit depuis trop longtemps car l’amour lui joue des tours. et ce cœur meurtri lui hurle les souvenirs d'une autre vie. disloqué, incompris, rejeté encore et encore jusqu’à c’que les morceaux ne tiennent plus ensembles. pi, scénario ou prélien - pi.

save the queens ---- / TELL ME WHO YOU ARE

once upon a spirit ---- / a soul ---- / a shining star
traits de caractère / gestes calculés. comédie répétée. ça devient presque naturel. jules comme un mirage. ses prunelles qui promettent monts et merveilles. comme une rare sirène. claquement de doigt. violente douceur, langue corrosive, jules ferait fondre n’importe qui d’un sourire. femme poison, sa ruse, sa sauvagerie, elle les mettra à l’œuvre jusqu’à ce que vous rentriez dans son jeu, elle qui se lasse aussi vite qu’elle s’accroche. l’indécence de succomber à votre innocence pour vous laisser crever le jour suivant. jules consume tout ce qui l’entoure, tempétueuse, on ne la maîtrise pas et il suffit de sa présence pour qu’elle entraîne les bons comme les mauvais dans le chaos. ne pensez même pas à en faire votre propriété ou à lui créer des chaînes, elle a le goût de la liberté et châtiera quiconque tentera de l’en détacher. jules se tâte de vous envoûter pour s’imprimer dans votre rétine, pour goûter à chaque faille de votre esprit, c’est le reflet de sa générosité excessive qui se veut de vous de devenir une âme supportable maniable. pourvu que vous ne l’oubliez jamais, ce minois qui vous perfore de part en part dans le fond de la salle. pourvu que vous pensez à elle, même si vous auriez préféré ne jamais croiser ses yeux désireux. car sa misère immense, si visible soit-elle est déchirante.

encore faut-il briser la surface de cette prison dorée qu’elle a forgé de ses propres mains. elle s’y sera perdue elle-même, mais au moins on ne pourra plus l’atteindre. la vérité c’est qu’elle a la haine jules, contre ce monde qui lui avait promis bonheur et réussite. psycho-rigide qui se prend plus au sérieux, qui se méprise profondément et se voit comme une ermite. affectée par les échecs, malmenée par ses ambitions, elle fourre toutes ces émotions triturées dans ce myocarde autrefois si pur, assombri par cet esprit pernicieux. et elle attend que ça explose. la peur de s’attacher, car jules se sait obsessionnelle et ça l’a rendue malheureuse. la drogue, les hommes, ça ne suffit plus à noyer cette angoisse grandissante. alors elle renie tout ce qui est sensation l’ayant saisie jusqu’à l’âme. jules aime, donc elle détruit. puis il y a cette lueur d’espoir qui persiste, cette promesse enfouie d’une renaissance spirituelle qui la force à continuer, tumeur émotionnelle qui se pave dans son système.
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 0:45

save the queens ---- / TELL ME MORE

once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share
le monde aime à noircir…
lucky star de madonna pour fond sonore, les projecteurs se ruent sur la gamine en costume pailleté. elle s’avance sur la scène débordant de confiance, d’innocence. un truc qu’ont les jeunes filles à cet âge, d’impalpable, d’incommensurable. c’est juste en elles, et quand elles en font profiter tout le monde, elles deviennent des supernovas.

on a toujours traité jules différemment des autres enfants, comme si elle avait un truc en plus. à sa connaissance, tout le monde l’adorait. il n’y avait pas d’explication claire à cela, elle savait juste que les regards étaient sur elle dès qu’elle allait à l’église avec sa mère, ou qu’on l’emmenait à des dîners de famille. et très trop tôt, papa maman l’ont inscrite à des concours. concours de beauté, qu’on renommait concours de jeunes talents féminins pour que l’idée de se faire du fric sur le dos de ses enfants semble politiquement plus correct, et accessoirement passe mieux dans les conversations au boulot. et ça la dérangeait pas jules, car elle prouvait qu’il ne fallait pas être la plus blonde, ni la plus belle, ni la plus grande pour gagner. il suffisait d’avoir cette putain de confiance en soi qu’on lui avait servi sur un plateau d’argent. jules enchaînait les victoires et peu à peu l’argent que ça lui rapportait fut mis de côté, pour elle, pour plus tard.
elle serait sûrement devenue miss univers si ce n’était pour ce coach de reines de beautés qui abusait sexuellement des jeunes filles qu’avaient à peine la dizaine. et même si ce cinquantenaire fou a fini par se faire arrêté lorsqu’il mit la main sur jules, il eut le temps de briser son esprit. ablation de toute innocence à l’âge de onze ans, c’est une réalité dure à accepter quand on vous répète depuis toujours que vous êtes invincible. traumatisme qui l’aura laissée presque bègue, crises de panique interminables depuis la primaire. s’il l’a endommagée, c’est surtout sa famille bancale qu’il aura réussi à faire céder.

à savoir qu’elle a eu pour seule figure paternelle un alcoolique qui s’inventait des heures de travail, d’aussi longtemps qu’elle s’en souvienne. une génitrice utopique qui fermait les yeux sur la situation, clamant qu’il était normal d’avoir une famille instable - selon elle, personne n’est parfait. elle était esthéticienne, pour dire de façon plus classe qu’elle donnait des pédicures aux riches, et jules se rendit vite compte qu’il existait deux types de personne dans ce monde : ceux qui étaient confortablement assis dans leur siège avec les pieds en éventail, et ceux agenouillés devant le bain de pieds. elle savait déjà de quel monde elle voulait faire partie, pourvu qu’elle ne finisse pas comme ses parents.

au collège, jules méprisait son cerveau. parce qu’il était constamment dans cet état de suffocation qui l’empêchait de réfléchir correctement, de vivre convenablement. mais surtout, jules détestait son corps. parce qu’elle n’avait plus l’impression d’en être la propriétaire, parce qu’on lui avait ôter ce droit quand on a laissé les mains d’un pédophile s’emparer d’elle. et pour survivre dans cette vie qu’elle ne supportait plus, jules eut développé des techniques d’adaptation suffisamment flippantes pour concerner ses parents. elle n’a jamais su si c’est le fardeau qu’elle s’est mise à représenter qui l’a conduit à se transformer en monstre mais l’ébriété de son père a inéluctablement pris le dessus avec le temps. il s’est mis à battre sa mère, puis elle. aucune n’a su réagir à temps. à l’âge de treize ans, jules manque de mourir des mains de son père. il a fuit tout bêtement après l’avoir laissée en sang sur le divan du salon au petit matin, celui sur lequel il avait pour habitude de s’abandonner pour la soirée.

deux années de souffrance - même si dans le fond ça durait depuis bien longtemps - ça brise une famille, ça inculque une vision du mariage répugnante quand on a à peine quatorze ans. elle aura fantasmé pendant des années de savoir un jour que son père a été retrouvé mort, ou bien mis derrière les barreaux. mais ça n’est jamais arrivé. puis est venue une accumulation de haine contre ce monde, contre les gens. la boule au ventre s’agrandit mais au moins, jules commence à s’accepter. à comprendre le vrai sens de s’approprier, du bien-être. même si ça paraissait une sombre blague après tout ce qu’elle avait traversé, elle sentait qu’au fond d’elle quelque chose avait changé. que l’angoisse qui avait grandi en elle pendant de longues années commençait finalement à la quitter. parce que à force d’endurer, jules avait envie de se venger.

puis au lycée elle connût le grand amour. le seul plaisir que lui a procuré la vie pendant de sombres instants interminables, de macabres pensées indélébiles. leur relation semblait parfaite, il se comportait en vrai gentleman - du genre qui cache des fleurs dans son casier, la raccompagne jusqu’à chez elle après les cours - du genre plus intelligent que les autres. il l’aimait vraiment. et elle aussi, elle aimait leur relation. il lui arrivait de lui mentir ponctuellement, comme lorsqu’elle lui a dit qu’elle était vierge quand ils l’ont fait pour la première fois. parce que le problème avec les mecs comme lui, c’est qu’il ne cherche pas quelqu’un, il cherche quelque chose à s’approprier, à posséder entièrement. comme tous les hommes qu’elle avait connu jusqu’ici. elle s’imaginait souvent être une marionnettiste quand ils faisaient l’amour, se disait qu’elle était dans le corps d’une autre, remuant ses hanches et cambrant son dos à la perfection. elle voulait constamment rendre son mec fier, parce qu’elle savait que si elle le faisait se sentir confiant et puissant, il serait prêt à tout. jules s’est est rendue compte bien trop tard qu’elle s’était imbriquée dans une relation toxique, pensant que jusqu’ici c’était elle qui tirait les ficelles. car quand jules aime, elle n’existe que plus que pour cette idée surfaite de la personne à laquelle son âme se voue entièrement. elle était obsédée. quand elle avait l’impression de le contraindre dans sa liberté de mouvement, elle flirtait avec les limites de la monogamie après une dispute, ce qui arrivait de plus en plus souvent. car il devenait un vrai connard, lui laissait des traces de plus en plus voyantes. la vérité c’est qu’elle rêvait souvent de lui en coller une, mais elle n’était pas suffisamment conne pour oser : connaissant son tempérament, la riposte lui serait fatale.
découverte accidentelle de l’homosexualité de son premier amour un soir où elle avait fouillé dans son téléphone parce qu’il lui avait paru méfiant, après deux ans de relation. secret qu’elle garda pour plus d’un mois jusqu’à cette soirée où elle explosa après avoir trop bu. secret trop lourd quand on s’illusionne sur une relation qui nous a semblé pourtant si saine. vulnérable et perturbé, son petit-ami n’a trouvé comme issue que la violence et l’aura étranglée jusqu’à l’asphyxie, le genre de douleur qui l’aura laissée nauséeuse en rentrant, qui lui a rappelé tout ce qu’elle avait enduré. et ce ne fut pas tant la violence qui effraya jules, c’était le fait de savoir que quoi qu’elle fasse, elle l’aimerait quand même. jusqu’à prendre la stupide décision de se lever trois quart d’heure plus tôt chaque matin pour tartiner sa gorge de fond de teint et de se rendre au lycée en col roulé en plein mois de mai californien. tout ça dans le but de couvrir un putain de mec qui la torturait depuis des années. mais forcément, quand jules s’était retrouvée dans une salle sans climatisation un après-midi bouillant, la fatigue et le stress des examens finaux suffirent pour qu’elle perde connaissance. analyse de pouls, on y découvrit les traces - maquillées - et toutes les autres - déguisées. tout ceux qui avaient longuement observé cette violence niée avaient témoigné contre le véritable auteur de ces infamies. l’amour l’avait rendue faible, et la peur de perdre le seul être humain qui avait l’air de la soutenir, lâche. à quelques semaines de la remise des diplômes, il avait été arrêté, puis transféré dans un centre d’éducation renforcé à l’autre bout de la californie.

le coeur brisé, car à l’adolescence on croit que c’est ce qu’il y a de plus important, son anxiété revint et devint réellement invivable. à cette même période elle apprit que sa mère était resté en contact avec son père, ce monstre, pendant toutes ces années d’exil dans le but qu’il revienne vivre avec elles après une cure intensive qu’elle avait financée en piochant dans quelques économies de sa fille. c’en était définitivement trop, jules avait porté son nom, ce fardeau immense pendant des années et maintenant, elle devait accepter de vivre avec un individu qui méritait clairement la mort. elle voulait faire connaître au monde sa souffrance, connaître cette haine dont on l’a nourri, détestait tout autant son père pour ses actes que sa mère pour son amaurose. mais l’obsession, c’était de famille.

le rêve new-yorkais lui tendant la main, la princesse aux cheveux de soie s'y envole à tout juste dix-neuf ans, rêvant de décadence et d'intégrer la prestigieuse école de mode FIT depuis sa plus tendre enfance. ça c’est ce qu’elle a dit aux gens qu’elle a rencontré, prétendant avoir quitté le berceau familial après une enfance dorée en californie. la vérité c’est qu’elle a changé de nom ce jour où elle a décidé de couper les ponts avec cette famille dysfonctionnelle, cette famille qui l’aura détruite pour l’éternité. jules s’était tirée avec les quelques économies qui lui restait, autant dire que c’était la hess d’entrée de jeu mais qu’elle aviserait avec le temps, comme si elle allait finalement connaître le bonheur, comme si tant d’années de misère humaine elle allait enfin avoir du répit. surtout parce que dans le fond, elle voulait vraiment intégrer cette école depuis des années, parce que la modélisation ça a toujours été l’échappatoire qui l’empêchait de tenter le suicide pour épurer son âme.
quelques mois passés à la grande pomme et c’était déjà la merde, elle enchaînait des jobs miteux pour arrondir les fins de mois tout en s’acharnant pour se donner des chances de réussir parmi les meilleurs. le truc c’est que jules pensait que tout ce dont elle avait besoin pour se reconstruire c’était new york, de l’ambition à perte de vue, des possibilités infinies de partager au monde son histoire. mais l’isolement spirituel, cette boucle infernale dans laquelle son cerveau s’était coincé, l’échec qu’elle était devenue pour rappel quotidien, tout ça l’invita à succomber à l’étreinte sociale.  

sa seule solution viable pour rester à bloc c’était les nuits blanches et le lsd, pour survivre dans ce train de vie qui commençait à la ronger. alors qu’elle essayait de nager dans cet océan dont elle était prisonnière, jules retrouvait constamment des pierres attachées à ses pieds qui la faisait toujours sombrer un peu plus. jusqu’à l’inévitable connerie. le trop plein. jules a fait une overdose en avril dernier. celian l’a retrouvée inconsciente dans la salle de bain d’une nana qui fêtait son anniversaire à deux heures du matin. l’unique personne qu’elle appréciait réellement dans cette ville de merde, elle avait réussi à lui injecter une dose de traumatisme, comme un virus ambulant. égoïste qu’elle s’est sentie jules, quand elle s’est réveillée quelques jours plus tard en le retrouvant endormi sur le siège à côté de son lit d’hôpital.
jules aura fait quatre mois de cure par la suite - tout en s’étant faite proprement renvoyée de cette école pour qui elle aurait autrefois tout donné. c’est drôle à dire, mais soudainement tout cela avait perdu de son importance. en août, jules s’est installée au queens avec célian avec pour promesse de rester clean à jamais dans la peur qu’il l’abandonne à son tour, comme chaque personne qui est entré dans sa vie. elle sait qu’il refuse de la fréquenter si elle rechute, alors elle s’agrippe à ce qui lui reste pour se lever chaque matin avec une boule au ventre aussi lourde. les drogues ont atténué la douleur, mais elle est toujours très présente. cela dit la cure l’a vraiment aidée, alors elle essaie de ramasser les morceaux, de les recoller pour faire de sa vie un truc qui a de la gueule, jules veut se reconstruire et compte bien montrer au monde que c’est encore possible d’e x i s t e r. la bouche en coeur, battement de cils, le début de la vingtaine et jules s’est réincarnée en une tempête dévastatrice prête à tout emporter sur son passage. cette fois-ci, c’est la bonne.
... ce qui rayonne.
save the queens ---- / BEHIND THE MASK

esther ---- / 16 ans ---- / rpgiste

ville - à l’ouest de paris. études ou métier - lycéenne. avis général sur le forum - sincèrement ravissant. le détail qui t'a fait craquer - cette beauté. fréquence de connexion - souvent dans la semaine. crédits des icons - vocivus. le mot de la fin - hâte de jouer ma jules sur ce beau forum qui m’a longtemps tentée.

Code:
[b]lily-rose depp[/b] / [i]jules owens[/i]
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 0:45

la misère est si belle (jules) 2480631781
veux lire plus moi la misère est si belle (jules) 4074618516
bienvenue toi la misère est si belle (jules) 3794924939
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 0:46

quelle douceur cet avatar....
j'ai hâte d'en savoir plus la misère est si belle (jules) 2037884118
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 0:47

cette place de premier com m'était attitré la misère est si belle (jules) 2746359131
t'as trop de flow pti sukr et rien que pour ça tu mérites ma lecture
je reviens
update : putain ta plume  la misère est si belle (jules) 697000959
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Lali Morales;

-- pretty lies, ugly truth --
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -


Lali Morales



maría.
étangs noirs, ethereal.
4421
1035
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27
le coeur coffre-fort, uniquement comblé par tout ce qui brille.
femme de chambre dans un hôtel de luxe (le plaza). les sourires de façade qui habillent les traits de son visage, les bonnes manières et les courbettes apprises avec frustration.
en coloc' dans le queens contemporain, et ce n'est jamais assez bien.
no gold-digging for me
i take diamonds
we may be off
the gold standard someday.


☆ ☆ ☆
tadeusz - max - betsi - oona
anyone ? - anyone ?

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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 1:24

t'es trop belle, t'écris si bien, j'suis amoureuse la misère est si belle (jules) 2470315465 j'ai déjà hâte d'en lire plus la misère est si belle (jules) 2288768012 un grand bienvenue à la maison ma poupée la misère est si belle (jules) 3794924939 la misère est si belle (jules) 3794924939 la misère est si belle (jules) 3794924939

_________________
--- c'est une question d'angle, d'envers et d'endroits. comment tu nous vois. comme dans un triangle, il faut être trois. toi, le désir et moi. quand est-ce qu'on se consume, qu'on se console d'en être arrivé là. quand est-ce qu'on se consume, une dernière fois.
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https://savethequeens.forumactif.com/t3078-gasoline-lali https://savethequeens.forumactif.com/t3166-boomerang-lali
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 7:21

j'adore ce que je vois, la misère est si belle (jules) 2470315465
bienvenue la misère est si belle (jules) 946831849
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 8:28

Bienvenue ! la misère est si belle (jules) 3794924939
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 8:30

bienvenue à toi la misère est si belle (jules) 2288768012
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Message Sujet: Re: la misère est si belle (jules)   la misère est si belle (jules) Empty Dim 27 Oct - 11:06

Omg la jolie lily la misère est si belle (jules) 2470315465
Bienvenue parmis nous charmante demoiselle la misère est si belle (jules) 1747131343
Au plaisir de te lire
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