Sujet: Re: L'inquiétude sursaute au frisson d'une feuille. Lun 12 Aoû - 11:41
☆ ☆ ☆ { bourreau de ton cœur } crédit/ tumblr ☆ w/@Owen Swaguer
Le corps qui se rapproche du sien, instantanément, attiré comme un aimant. Elle se laisse guider par son seul instinct, par ce désir qui n’a jamais cessé en elle. Ce feu qui ne demandait qu’à s’embraser. Elle ne réfléchit pas, elle ne réfléchit plus. Plus de place pour la raison quand l’envie devient si forte. Elle le savait, au fond d’elle, elle savait dès l’instant où elle a commencé à avancer vers lui ce qu’elle voulait. Ce ne sont pas des mots qu’elle voulait. Les mots lui font peur, les mots rendent tout plus sérieux, plus important. Elle ne sait pas si elle a la force d’avoir vraiment quelque chose de sérieux et d’important. Pas dans sa vie actuellement. Elle a eu besoin de fuir la dernière relation si forte qu’elle a eue, mais elle n’a pas envie de le fuir, lui. Elle a besoin de lui. Besoin de sentir ses mains sur son corps, besoin de sentir ses lèvres venir dévorer les siennes. Besoin de sentir tout son amour, plutôt que de l’entendre. Besoin de le sentir dans chaque parcelle de ce corps qu’elle n’a plus livré à personne depuis celui qui a voulu en abuser. Aucune peur dans son cœur, juste ce désir brûlant qui bout dans ses veines. Les battements de l’organe vital qui s’accélèrent alors qu’elle prolonge avec fièvre le baiser inconsciemment tant désiré. Ses mains glissent tout de suite sur le corps d’Owen qu’elle débarrasse du tee-shirt trop encombrant. Elle peut enfin sentir sa peau douce, enivrante contre ses doigts délicats. La chaleur de son corps la rend si fébrile qu’elle remarque à peine sa propre serviette se détacher. C’est quand elle sent les bras de son premier amour envelopper sa fine silhouette qu’elle réalise. La peau qui frissonne au contact de la sienne, les lèvres qui continuent de s’embraser, elle laisse ses mains parcourir le dos de son amant alors qu’il en fait de même avec les siennes. Elles atterrissent sur les fesses de la belle pour la soulever dans un geste tellement naturel. Comme les jambes de Cassey qui entourent instinctivement sa taille. Elle se retrouve sur la table. Le cœur au rythme déjà rapide se met à s’affoler dans sa poitrine alors que les baisers deviennent de plus en plus torrides. Avides. Elle garde fermement le corps d’Owen contre le sien, par peur qu’il finisse par lui échapper. Le souffle court quand il interrompt leur baiser pour aller à la rencontre de son cou, elle penche la tête en arrière pour lui en laisser le libre accès. Ses paupières se ferment pour savourer la tendresse de ses baisers. Un soupir de plaisir s’échappe enfin alors qu’il s’empare en même temps de l’un de ses seins offerts à lui. Tout son corps tendu vers lui, tout son être qui ne demande que lui. Ses mains qui caressaient encore délicatement sa peau se font plus coriaces, plus incontrôlables, alors qu’elle agrippe de ses ongles le dos d’Owen. La chaleur dans la pièce n’est rien à côté de celle qui la submerge elle. Relevant le visage vers lui, elle l’approche du sien pour lui voler un nouveau baiser. C’est sensuel, très charnel, et à la fois presque sauvage. Elle pose la paume de sa main contre le haut de son torse pour la glisser lentement jusqu’en bas. Le contact contre sa peau la rend encore plus désireuse. Elle laisse ses lèvres les rejoindre, embrassant son épaule, son torse, ses pectoraux, chaque centimètre de peau alors que ses doigts agiles sont déjà en train de lui détacher son pantalon. Elle ne sait pas réellement tout ce que cela signifie, elle ne sait pas ce qu’il adviendra d’eux. Elle sait juste que, là tout de suite, elle est incapable de se passer de lui. Elle veut le garder auprès d’elle, encore et encore, que ce moment ne prenne jamais fin.
Sujet: Re: L'inquiétude sursaute au frisson d'une feuille. Mar 13 Aoû - 12:12
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Tout l’univers semble s’être arrêté. Son monde, à cet instant, c’est lui. Ça a toujours été lui. Elle oublie la réalité qui les entoure pour faire ce qu’elle a eu tant envie de faire. Tout le désir retenu, tous les sentiments mis en suspension, parce que c’est lui, et parce que c’est elle. Parce que rien n’est facile mais que tout la ramène constamment vers lui. À lui. elle peut déployer tous les efforts du monde pour maintenir une distance entre eux, un seul petit pas a suffi pour qu’elle le retrouve. Qu’elle se retrouve, elle aussi. L’impression de revivre à chaque baiser partagé. Ce n’est plus l’oxygène qui la maintient en vie, c’est lui. Les caresses qui l’enivrent, elle se sent transportée alors que son corps brûlant se tend vers lui, en redemande, le redemande. Leurs lèvres à nouveau scellées, ils terminent de le déshabiller, pour qu’enfin elle sente sa peau contre la sienne. Son corps qui attire le sien, elle ne le quitte pas des yeux. Le regard assombri de désir alors qu’il la rapproche de lui, elle ne le lâche pas, comme pour ne pas manquer une seconde. Une sensation. Il s’enfonce alors en elle, provoquant un gémissement de la demoiselle. Elle peut enfin le sentir en elle. Sentir son corps lié au sien. Sentir leurs deux âmes qui ne font plus qu’un. L’instant est doux, débordant de sensualité. Elle savoure pleinement chaque coup de reins, se délecte de ses vas et viens en elle. Ses prunelles toujours accrochées aux siennes, comme une connexion qui n’a jamais cessé qu’ils retrouvent. L’une de ses mains trouve sa place contre la nuque d’Owen tandis que l’autre s’agrippe fermement au rebord de la table. Le souffle court, elle laisse échapper des soupirs de plaisir sans jamais le quitter des yeux. - J’veux pas que tu t’arrêtes... souffle-t-elle, demande impossible à satisfaire éternellement. Car à l’instant où ils ont commencé, cela impliquait que la fin arriverait. Mais, insatiable, elle l’a toujours été. C’est pire encore cette fois parce qu’elle en a besoin, parce qu’elle s’y raccroche. Parce qu’elle a l’impression d’avoir tant voulu ce moment, l’avoir tant voulu, lui. Parce qu’elle se sent plus invincible avec lui et, surtout, plus vivante avec lui. Comme une part d’elle-même qu’elle retrouverait en même temps qu’elle le retrouve lui. Non, elle ne veut pas qu’il s’arrête. Elle ne veut pas qu’ils s’arrêtent. Elle voudrait rendre cet instant éternel. Mais le plaisir devient de plus en plus difficile à contenir. Les gémissements s’échappent de ses lèvres, de plus en plus poussés, de plus en plus rapprochés au gré des mouvements puissants d’Owen en elle, parfois passionnément effrénés, parfois délicieusement lents, mais toujours torrides. Jusqu’à la mettre au supplice, jusqu’à ce que le plaisir devienne douloureux tant elle a besoin de le combler. Le corps qui ne tient plus, elle se laisse tomber sur la table, pour mieux accueillir chacune de ses entrées. Chacune des vagues d’extase qui vient la submerger.
Sujet: Re: L'inquiétude sursaute au frisson d'une feuille. Mer 14 Aoû - 12:46
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Douce addiction qui devient vitale. Qui pourrait bien lui être fatale. Le corps qui retrouve le sien, ils ne font plus qu’un. Le passé se mêle au présent, sans qu’ils ne sachent un instant ce qu’il adviendra de l’avenir. Elle se raccroche à lui, intensément, incontrôlablement. Comme son corps qui s’agrippe au sien, c’est toute son âme qui s’accroche à la sienne. Elle a besoin de respirer son odeur, besoin de sentir sa peau brûlante contre la sienne, besoin de le sentir en elle.
C’est de lui que t’as besoin, Pas seulement de n’faire qu’un, Pas seulement ton corps qui appelle le sien, Mais c’est de lui tout entier, C’est toute ton âme qui veut le retrouver, Tout ton cœur qui vient le réclamer.
Tout la ramène toujours à lui. Celui qu’elle a tenté de fuir, celui qu’elle a tant voulu haïr. Incapable de rester à distance, elle a la sensation d’être une droguée en manque. C’est tellement bon de l’avoir, là, au plus profond d’elle. Là où il n’appartient qu’à elle. Le plaisir est de plus en plus violent. Torture exquise qui fait flancher son corps trop fragile, son corps à la merci de cet homme si viril. Le sentiment qu’il maîtrise chaque parcelle de son être plus qu’elle ne le fait elle-même. Le corps qui retombe, les gémissements qui ne s’arrêtent pas pour autant. C’est pire encore alors qu’elle se laisse aller. Son bassin qui se cambre à chaque mouvement pour mieux accueillir le sien, son corps entier qui remue sous celui d’Owen. Son regard, lui, ne se décroche pas du sien. Comme s’il n’y avait plus que lui, comme s’il était tout ce qu’elle a connu. Tout ce qu’elle a aimé. Elle la voit, sa main qui glisse lentement contre sa peau brûlante. Elle la sent, sa main qui se pose à son tour contre son intimité, retrouvant tout de suite le point culminant de son plaisir. Un cri s’échappe cette fois de ses lèvres alors qu’elle est envahie par une extase démultipliée désormais. En même temps, elle sent les mouvements d’Owen s’accélérer. Ses gémissements s’élèvent dans la pièce, chaque fois qu’elle le sent s’enfouir à nouveau en elle, plus indécents, sauvagement féminins. Son corps, quant à lui, commence à être envahi de soubresauts irrésistibles. L’orgasme est si violent qu’elle a le sentiment de mourir et revivre à la fois. Tout son corps se cambre pour accueillir le plaisir de son amant qui vient rejoindre le sien. Il retombe ensuite sous la puissance de la jouissance qui vient la terrasser. Celui d’Owen vient la rejoindre alors qu’elle le sent encore en elle. La poitrine qui s’élève à un rythme effréné, qu’il embrasse sans pouvoir s’en empêcher, avant de venir retrouver ses lèvres. La respiration encore haletante, le souffle court, la belle prolonge son baiser par instinct. Trop secouée, de toute manière, par le plaisir qui l’a envahie, pour agir autrement que par instinct. Ses doigts fins viennent délicatement se poser contre le dos nu d’Owen pour le caresser doucement. De longues secondes durant, elle ne dit pas un mot, n’en pense pas davantage. Elle retrouve seulement sa respiration, tout doucement, en le gardant auprès d’elle. Sa main glisse toujours le long de son corps, finissant par atterrir sur un petit creux dans son dos, un qu’elle a toujours connu. - J’adore ce petit coin. murmure-t-elle avant d’esquisser un petit sourire malicieux. - C’est mon petit coin. Elle relève la tête, à peine, juste assez pour retrouver ses lèvres dans un langoureux baiser. Elle se demande si elle pourrait à nouveau s’en passer. Ils finissent par se détacher pour se redresser, le lieu n’étant pas des plus confortables. - C’était la première fois. Tu sais... Depuis cet homme. lui confie-t-elle la voix un peu moins assurée. Ce n’est pas un sujet qu’elle apprécie vraiment, mais cela lui semble important de le lui dire. Qu’il sache que ce n’est pas anodin pour toi. Que ça veut dire que tu as confiance en lui. Peut-être même plus que tu devrais, tu ne sais pas. Mais tu te sens tellement bien avec lui.
Sujet: Re: L'inquiétude sursaute au frisson d'une feuille. Jeu 15 Aoû - 1:13
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Leurs deux corps brûlants encore enlacés, elle savoure le moment sans un mot. Elle aime ces instants, Cassey. Ceux après l’amour. Elle aime la sensation de plénitude qui l’a envahie. Cette sensation de bien-être qu’elle n’a plus éprouvée depuis trop longtemps. Elle flotte dans les airs, cette magie, invisible mais si forte à la fois. Elle la transporte hors du temps. Au-delà de toutes les frontières, au-delà surtout de ses propres limites, elle se sent enfin revivre. Aucune envie de s’évader de cette bulle, elle profite de ce silence en caressant simplement le dos offert d’Owen, tout contre son corps. Elle sent presque les frissons de sa peau sous ses doigts charmeurs. Elle ne dit rien, se contente de retrouver son souffle, mais pas la réalité. T’as encore besoin de ce moment d’éternité. Sa main atterrit sur le creux qu’elle connaît par cœur, celui où elle a tant de fois posé la tête, juste pour rester collée à lui. Juste parce t’as jamais pu te décoller de lui. Les mots lui échappent naturellement. Avec la complicité d’une petite-amie plutôt qu’une amante, avec les souvenirs d’un premier amour qui la hantent. Le sourire éblouissant du jeune homme vient rejoindre le sien alors qu’il avoue ignorer pourquoi elle a toujours adoré se poser sur lui pendant qu’elle lisait. – Hum… Parce que c’était confortable… Parce que je pouvais respirer ton odeur… Et parce que tu ne m’empêchais pas de finir mes bouquins comme ça. Parce qu’il a toujours eu le don de la déconcentrer. Le pouvoir de lui faire perdre pied. Cela a toujours été si facile, pour lui, de la détourner. Elle ferme les yeux lorsqu’elle sent ses doigts glisser à nouveau dans ses cheveux. C’est l’une des sensations qu’elle aime le plus au monde, Cassey. Celle qui suit ses paroles est, elle, bien plus troublante. Il n’est pas à elle, Owen, il ne l’est plus. Jouer à ce jeu-là peut s’avérer dangereux, elle ne devrait pas s’y risquer. Mais elle oublie ses craintes à l’instant où ses lèvres s’emparent à nouveau des siennes. Ils partagent un baiser enflammé, le désir à peine assouvi entre eux, qui remonte si facilement. Le corps qui se redresse, la demoiselle lui fait face impudiquement, ses yeux qui se posent sur lui dans une confidence bien plus difficile à dévoiler. Confidence bien réelle, elle n’a laissé aucun autre l’approcher. C’est d’un baiser sur le front qu’il lui répond, Owen. Il ne pose aucune question, pourtant, elle devine sans savoir comment l’expliquer le prénom qui vient dans ses pensées. Il est au courant de l’existence de Toby mais il ne sait pas la distance qu’elle a mise entre eux. Il ne sait pas où ils en sont tous les deux. Même elle, elle ne le sait pas vraiment, Cassey. Penser au jeune prêtre la plonge chaque fois dans un flot de sentiments. Dans une totale confusion. Mais il ne lui en parle pas, elle ne le fera pas non plus. À la place, il lui pose une simple question. Tu regrettes ?
Tu regrettes, Cassey ? Tu regrettes d’avoir succombé ? À celui qui a fait de toi, cette personne brisée ? Tu regrettes, Cassey ? De n’avoir jamais réussi à l’oublier ?
Les deux opales plongées dans les siennes, elle le contemple, sans une parole. Elle le contemple, plusieurs secondes durant, alors qu’il continue de caresser son épaule. Les sensations délicieusement envoûtantes qu’il parvient si bien à provoquer. Les autres bien plus déroutantes. Elle n’sait pas comment lui dire, elle ne sait pas en fait ce qu’elle peut ressentir. Sa main revient se nicher dans le cou de son premier amour, pour l’attirer jusqu’à ses lèvres. Le baiser est voluptueux, sensuel. – Non… Non, je regrette pas. murmure-t-elle contre ses lèvres alors que son front se pose sur le sien. Cela ne signifie pas pour autant que tout est clair dans son esprit. Ni qu'elle peut lui dire ce que cela signifie. Tu n’sais pas ce que ça veut dire. Tu n’sais même pas si tu veux le découvrir. T’as trop peur de ce qui peut advenir. Tu sais juste que, non, tu ne regrettes pas. Tu ne peux pas regretter. Ton corps le voulait mais, ton âme l’a tout autant désiré.
Sujet: Re: L'inquiétude sursaute au frisson d'une feuille. Jeu 15 Aoû - 14:24
☆ ☆ ☆ { bourreau de ton cœur } crédit/ tumblr ☆ w/@Owen Swaguer
Les mots sont là, au bord des lèvres. Mais elle ne les prononce pas. La peur de se dévoiler à l’autre est d’autant plus violente avec celui qui l’a causée. Elle préfère savourer tranquillement le contact de sa peau douce contre la sienne, si frissonnante, si envoûtée sur ses doigts. Elle sent l’effet qu’elle lui fait, Cassey. Quelque part, cela lui fait du bien. Comme si elle avait besoin de s’assurer qu’il est encore à sa merci. Trop sur son emprise pour lui filer entre les doigts. Pourtant, ça ne l’a pas empêché de le faire une fois. Balayant les pensées qui la submergent, celles qui suivent ne sont pas plus agréables. Penser à Toby lui fait mal. Elle ne veut pas en parler, surtout pas avec lui. Comme s’il le devinait, ou bien comme s’il n’était pas prêt lui-même à l’écouter, elle le sent retenir ses mots. Il ne peut imaginer combien elle lui en est reconnaissante à cet instant. Il rend tout plus facile, Owen. Tout a toujours été si naturel avec lui. Ses lèvres se scellent à nouveau aux siennes, sa langue retrouve la sienne. Le baiser la transporte dans un autre monde, un où tout pourrait être plus évident. Elle sent en même temps les mains de son premier amour qui glissent contre sa peau, enveloppent son dos pour mieux garder son corps contre le sien. Douce chaleur qui revient, alors que ses yeux sont ancrés dans les deux océans qui leur fond face. Des mots qu’elle n’attendait pas. Des mots en écho aux craintes qu’elle n’a pas osé formuler. C’est peut-être précisément ce dont t’as besoin. Quelqu’un qui sera là, quoi qu’il advienne. Quelqu’un qui le sera chaque fois que tu le voudras, même quand tu ne le voudras pas. Elle ne répond pas à sa déclaration. Frustrante au possible, Cassey. Il doit remarquer qu’elle est plus fermée qu’auparavant. Il doit savoir qu’il n’y est pas étranger. C’est un baiser qui vient le remercier pour ses jolis mots. - Et j’ai envie que tu sois là. murmure-t-elle seulement. Quelques petits mots qui en disent pourtant beaucoup, bien plus que beaucoup de discours. Et de nouveaux susurrés à l’oreille. – Et j’ai envie que tu me fasses encore l’amour. Elle saisit sa main, sans attendre sa réponse, pour l’entraîner jusqu’à sa chambre. Elle ne sait pas de quoi l’avenir sera fait, elle sait juste qu’elle se sent trop bien à ses côtés. C’est peut-être tout ce qui compte finalement.