| | fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) | |
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| Sujet: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 19:19 |
| save the queens ---- / Tadhgán ''La Plume'' Mac an tSaoir
27 ans ---- / Ace of spades ---- / Dominic Harrison
identité complète - Tadhgán, en fait, ton prénom. Ça veut dire ''poète'' en irlandais. Un poète perdu, disparu trop souvent. Tadhg c'est plus facile. La plume c'est encore mieux. Pas juste à Neverland. On t'apelle comme ça dans la rue aussi. Parce que tu glisses, tu files, aussitôt que le vend te roule sur les ailes. Une plume qui frappe comme une tonne de briques. Le nom de famille que t'ont laissé tes descendants est presque aussi complexe que l'histoire qu'ils t'ont léguée, qu'ils ont scarifiée sous ta peau, que t'as cachée derrière des tatouages. Mac an tSaoir, avec un petit ''t'' et trop d'espace, trop de vide où tomber, trop d'occasion de te frapper derrière la tête en te disant que tu savais pas écrire. C'était pas tout à fait faut. Toi, tu savais juste comment rager, révolutionner, foutre le bordel. lieu de naissance et origines - Petite lumière bleutée dans le fond du Bronx. Papa est irlandais, papa à le whisky à la place du sang, maman s'en fout, maman est trop défoncée pour retracer les arbres de ta généalogie, des galaxies d'ecchymoses en armoiries, en héritage, une bouteille maudite qui ne se vide jamais. T'a jamais appartenu à quoi que ce soit, ni femme ni pays. Tu ne viens pas d'ici. Y'a probablement un vaisseau spatial qui t'as oublié et qui est reparti sans toi. Pas à ta place sur cette terre, dans ce monde que tu te buttes à vouloir changer, sans vraiment savoir si ses êtres putrides méritent tes efforts, ou si on devrait tout bruler et recommencer à zéro. études ou métier - Pas terminé le lycée, trop occupée à la pyromanie des bennes à ordure, aux bombes puantes qui font que tout le monde évacue. Trop occupé à casser des gueules pour défendre les plus faibles. T'as jamais pris la peine de savoir comment bien écrire. Toi, tu sais crier, hurler, hacker, voler. Robin des bois, t'as besoin de rien. Tu trouves ta nourriture dans les poubelles des supermarchés, des trucs encore bons qu'ils ont foutu là parce que la date était passée, parce que quelqu'un à décidé que ce n'était plus bon. T'as pa besoin d'argent, t'es un squatteur, un trickster, un petit leprechaun , tu fais des tours de magie, parfois, dans la rue, fait disparaitre des pièces pour amuser les grands et les petits. Parfois tu hurles dans un micro, des chants de gorge, du gros métal, punk sale. Le reste du temps, tu casses tout, de toutes les manifestations, contre la police, contre l'ordre établi. Tu veux juste balancer les choses. Si on tuait tout les milliardaires, personne ne mourrait de faim. orientation sexuelle - L'Anarchie. Pas d'étiquette, pas de contrainte vers qui ton corps se perd. Parce que tu ne crois pas d'abord à la catégorisation des genres ni à la monogamie, couple établis, fermés. Toutes les constructions sociales t'écœurent. T'es souvent attiré par de trucs violents, de gens révoltés, qui mordent, qui font mal. statut civil - Petit oiseau, qui a toujours besoin de sentir le vent glisser contre ses ailles. T'as jamais été en couple, t'es jamais resté assez longtemps pour construire quelque chose de stable. Tu ne veux pas vraiment te poser, pas vraiment faire mal à qui que ce soit. Tu sais que tu ferais un père merdique, comme le tien l'a été, à quoi bon essayer ? Ça te passe, parfois, ses envies d'être mis en cage, attaché de force à un lit, mais ça passe vite, ça part. T'es ce chien qui, retenu par une patte, s'auto-rongerais jusqu'à l'os pour se libérer, pour survivre, même si les sentiments sont forts, t'as peut-être, un peu, peur. pi, scénario ou prélien - pré-lien des enfants disparus. @Shabh Gallagher
traits de caractère / T'a longtemps été ce gamin plein de rage, qui serait les dents, prenant les coups sans pleurer, sans broncher, une habitude, un mode de vie, de survie, surtout. Il ne te restait que cette rage après, au fond de la gorge. Tu te défoulais à ton tour, sur les méchants. Tapant ceux qui tapaient sur les gens inoffensifs. T'es devenu violent, impulsif. Tu ne pensais pas, en te mêlant aux bagarres, tu sautais dans le tas et cognais, le faisait payer à celui qui avait osé faire aller ses points. Combattant la violence par la violence. Toujours les phalanges défoncées, les bras remplis de marques, les collections d'hématomes. La mèche courte, la tolérance très faible. Toutes les soirées se terminant par une bagarre. Parce que quand on est con, tu ne te gênes pas, pour crier, pour provoquer, pour te mêler aux bagarres de soirée trop ivre, de te perdre dans les mushpits. Toi, tu cogneras jamais sur tes enfants, sur ta femme, t'es pas un enculé. Tu cognes sur ceux qui l'on cherché, qui demande à genoux pour les raclés. Tu t'es fait jeté de trop de bars et pourtant ça ne t'empêches pas d'y trainer toujours, de boire trop de whisky, terrible héritage de la bouteille facile, l'œsophage qui sait en prendre trop pour ton bien. Tu sais boire jusqu'à plus voir clair, jusqu'à tituber en rigolant dans les ruelles, jusqu'à t'endormir comme un clochard contre les matelas défoncés, abandonnés là alors qu'ils sont encore potables, parce qu'on a voulu, mieux, toujours mieux, toujours plus, toujours consommer. T'es révolté. La société te dégoute. L'argent te pue au nez, l'ordre établi t'écœure. Tu veux juste foutre la merde, briser les gouvernements, niquer la police aux flingues trop faciles sur tes frères à la peau bronzée contre lesquels tu te fais bouclier suicidaire. Justicier dénoncant haut et fort toutes les inégalités. Souhaitant faire tomber tout les grands, ceux qui se sont issés en haut de la pyramide et qui crachent dans la gueule ouverte du petit peuple en bas. À feu et à sang, que tu veux le monde. Un attrait pour la destruction, même la tienne, ton corps dont tu ne prends pas vraiment soin. Un vaisseau de plus pour porter tes idées de grandeur. Pas peur de rien, ni personne. Sans foi ni loi. T'ose les trucs risqués, le trucs qu'on te dit de ne pas faire, qu'on ne devrait pas faire. Choquer et briser pour mieux refaire le monde. Franc, direct, de quoi de ramasser et collectionner les claques, les cicatrices. Surtout avec l'arrogance, avec cette envie de jouer, petit farceur, petit blagueur pour les amis. De celui qui faisait les meilleurs tours, les meilleurs attrapes. Un bon fond, malgré la nevrose, malgré tout qui fout le camp de phase maniaque à dépressive. De tout les combats, tu ne choisi pas. Ils s'étonnent encore que tu sois encore là, encore vivant, encore debout, à tout faire trop fort. T'as un bon fond, t'es un gamin tendre, un gamin qui veut le plus grand bien, qui tuerait pour les gens à qui il tient, même si c'est qu'une poignée de personnes. Que tu irais chercher la lune pour eux, pour les sortir des problèmes. Que tu volerais des banques pour les sortir des merdes. Surtout avec tes tendances aux mains baladeuses dans les magasins, parce que les ressources devraient être disponible pour tous et pas seulement un privilège, conditionel. T'es rusé, petit leader qui ne se fait pas prendre par ruse, par chance surtout.
save the queens ---- / TELL ME MORE
once upon a story ---- / a soul ---- / a life to share daddy's knocking but no body are answering/ Papa aimait boire, boire jusqu'à voir flou. Boire pour oublier le boulot, pour oublié sa femme complètement défoncée à l'héroine dans le coin de la chambre. Ils sont ce couple qui n'aurait jamais dû avoir de gamin. T'es l'accident qu'ils auraient pas dû avoir. L'avortement qu'ils ne pouvaient pas se payer. La drogue prise pendant sa grossesse n'a pas aidé, t'as rendu toi aussi, toxicomane par le fait même. Sevrage néonatal en plus de piètre soins. C'est presque étonnant qu'ils ne t'aient pas tués, que les voisins n'aient pas appelés les services sociaux quand tu pleurais pendant des heures et que les pleurs de ta mère se mélangaient au sien. T'a commencé jeune à boire, à fumer, à lui voler des médicaments. Comme ça tu ne bronchais plus, ne chialais plus sous les coups de papa qui pleuvaient alors que t'avais rien fait. Les voisins se mêlaient de leurs oignons pour pas faire la merde, pour pas voir les flics débarquer tout près. Personne aime les flics dans votre bout. Y'a fallu qu'il te défonce solidement pour que les services sociaux s'en mêlent. Commotion cérébrale et fractures multiples. On a (enfin) retiré ta garde à tes parents, direction, l'orphelinat. faith, trust and pixie dust/ On t'as examiné, fouillé dans ton corps, dans ta tête, mesuré puis diagnostiqué. Traumatismes nombreux, puis troubles bipolaires, depuis longtemps des phases depressive. Parce qu'un môme si jeune qui veut mourir, c'est pas normal. On t'a médicamenté, te rendant à peu près stable, le reste de ton enfance à l'Orphelinat. Là où t'as rencontré les enfants perdus, là où tu t'es permis de rêver avec Peter, de fantasmer secrètement sur Wendy, de tomber trop creux pour la Guigne. Planifiant des fugues avec les autres gamins perdus. Au final, t'étais souvent le seul à arriver à faire le mur. Et tu le refaisais, encore, encore, encore. L'une des raisons pour laquelle t'es passée de l'orphelinat au centre de détention pour adolescent. Ça et les vols fréquents. Ça et le fait que t'as gravement blessé un gars pendant une baggare. C'est pas vraiment voulu, en perdant l'équilibre, il s'est fracassé la tête contre le mur. Être con c'est toujours plus facile quand on a de l'équilibre. that is why we are her servants/ Dans une fugue bien réussie, vous vous êtes retrouvés chez Siobbhan et Milo et Nash. Nash qui descendait de l'escalier de bois pour venir vous rencontre et tout le reste qui devenait flou. Tu savais pas d'où ça venait, l'envie de tirer ses couettes, de la protéger fort dans tes bras parce qu'elle était toute petite. Que personne n'avait le droit de lui faire du mal. Plus personne existait quand elle te parlait, rigolait. Tu savais pas exactement ce que c'était qui te faisait tourner la tête comme ça, te donnait envie de t'enfuir avec elle, loin, jusqu'à ce que ton ventre ne fasse plus mal quand tes yeux se perdaient dans les siens. Tu t'es tellement mis dans la merde pour elle, prévu des plans d'échappement, tout seul. Parce que t'étais égoiste, tu la voulais juste pour toi, tu ne voulais pas dire à Peter que y'avait désormais un insectarium au complet dans ton ventre. Alors tu fuyais pour escalader jusqu'au haut de sa chambre, jusqu'à sa fenêtre où t'as volé ses lèvres pour la première fois, la tienne, la tienne, la lune presque pleine comme seul témoin. Échappé pour mieux venir rouler dans ses draps, la serrer fort, découvrir des trucs qui n'étaient pas permis à Neverland. Lui volant sa fleur, à Nash, dans des soupirs et pas trop de douleurs, parce que tu faisais attention, de lui faire l'amour doucement. C'était pas grave, tu lui as enmené un bouquet de fleur le lendemain au matin pour te faire pardonner d'avoir voler la sienne, même si elle s'en voulait pas. Nash t'as jamais su lui dire non, t'as toujours eu envie de rester, quand elle te le demandais, même quand tu pouvais pas. Surtout quand t'es devenu majeur, les flics au cul. Elle est la raison pourquoi tu reviens toujours, sinon tu partirais juste, loin, dans un autre pays. Tu ne peux pas, pas quand elle est là, pas alors qu'elle te fait sentir comme un gamin, encore, comme si c'était la première fois que tu la voyais, à chaque fois. if you cannot teach me to fly, teach me to sing/ T'as découvert le plaisir du chant avec ta Guigne, celle qui grattait sa guitare alors que vous déconniez, que vous faisiez n'importe quoi, que vous écriviez des conneries à même vos peaux, t'amusant parfois à chanter tes mots pas beaux contre la peau de sa nuque. Ça t'as quand même ouvert vers un monde, celui du punk, du métal, celui du scream. Pendant un moment, t'as hurlé dans un micro, avec un band, maintenant tu cours trop pour avoir le temps d'hurler autre chose que des insultes aux boeuf qui te pursuivent et que tu sèmes toujours. to die will be an awfully big adventure/ Pas qu'une envie de changer le monde au travers des manifestations et des émeutes que tu mènes. Pire que juste de la rage ou de la violence, on t'as diagnostiqué bipolaire avec des phases maniaques. T'as été médicamenté toute ton enfance, en plus du ritalin qu'ils te faisaient prendre. Maintenant, tu ne prends plus rien, mais c'est peut-être pas mieux. Les traitements étaient tellement difficiles. Tu préfères foutre le camp quand plus rien ne vas. Pour ça un peu, que tu fuis, souvent, toujours. Dernière fois c'était à cause des flics et quand t'es revenu, Nash avait plus de place dans son lit pour toi. Y'avais ce connard de Warren à son bras. T'as tenté, de rester, de tenir bon, mais les voirs ensemble, ça te donnait des envies de te flinguer. T'as du foutre le camp, encore. Pas égoiste, pour l'une des seules fois. Tu l'as laissée, être heureuse, même si ça devait être sans toi. T'es revenu en réalisant qu'il était trop tard, quand elle était dans un lit d'hopital, qu'elle était pas vraiment là. T'es pas resté longtemps. T'es venu comme un voleur, lui donner le baiser de prince, en espérant qu'elle se réveille. Mais c'est ça qui arrive, quand t'es qu'un crapeau. Elle s'est pas réveillée et t'es repartis. T'as poursuivis ce connard, avec pas moins que l'envie de le tuer, de le mettre hors service, qu'il ne marche plus jamais cet idiot qui s'prend pour un bon gars. C'est comme ça que t'es revenu dans le Queens. Parce que lui aussi, y a mis le nez, bordel. save the queens ---- / BEHIND THE MASK
ohwellduck ---- / 26 ans ---- / rpgiste
ville - Toujours la belle province, la grande métropole royale. études ou métier - tartiste avis général sur le forum - in deeeeeep love le détail qui t'a fait craquer - nash la démonne fréquence de connexion - eryyyydayz crédits des icons - beloved & prima luce (deux de nos queens, ouesh) le mot de la fin - je joue de la guitare - Code:
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[b]dominic harrison[/b] / [i]tadhg mac an tsaoir[/i] |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 19:23 |
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Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 19:26 |
| Ouesh, toi t'oublies pas d'abbord. Merci mon petit miel toi. (jolie ton profil, ouesh ) |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 19:34 |
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Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 19:35 |
| bienvenue à toi |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 19:39 |
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| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 19:54 |
| bienvenue sur le forum le personnage promet de belles choses |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Jeu 20 Juin - 23:47 |
| re bienvenue à la maison en tout cas je connaissais pas le vava mais je l'aime bien puis j'ai hâte de savoir ce que tu vas faire avec la douceur de nash je vous suis de prêt déjà |
| | | Invité;
Invité - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Ven 21 Juin - 0:04 |
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| | | Invité;
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| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) Ven 21 Juin - 0:08 |
| Rebienvenue à la maison |
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| Sujet: Re: fuck the system, do it, do it, yeah. (tadhg) |
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